évasion d'une fille innocente. (PV : Don)

Dans la nuit de XXXX mois, à XXhXX, à la prison Eternum.

La pleine lune remplissait le ciel sombre de sa douce lumière blanche. Le vent soufflant dans les branchages et donnant un chant d'outre-tombe était frais et le sol, malgré sa sombre apparence, était dur. La prison Eternum est reconnue comme une prison de première catégorie, une prison où peu de gens s'échappent ou rentrent hormis les gardiens. Cette nuit-là allait basculer, il y a déjà eu des évasions grâçe aux gardiens, mais, c'est rare lorsque ça sera une évasion faite par un étranger, qui plus est, aveugle. Une jeune ligre était contre un arbre, tout proche de la porte et elle atendait. Bandeau sur les yeux, cette dernière portait des vétements légers d'une couleur tel un caméléon. Ses rayures tel un tigre et sa longue queue ainsi que son corps de lionne montraient qu'elle avait dans les environs de 16 ans, physiquement.

Mais, voilà un garde qui sort pour prendre l'air. C'est surement la seule chance qu'elle aura et, sortant ses griffes, commença à faire du bruit sur l'arbre en grattant avec la pointe d'une de ses griffes. Réglant la sonorité, elle reussit enfin à distraire le garde qui commença à marcher vers elle, contournant l'arbre en même temps que lui et, lorsqu'il se mit à la place de la ligre, il regarda autour avant de souffler et de maudir un animal pour, ensuite, repartir vers la porte.

A ce moment-là, la jeune ligre donna un coups de tibia lorsqu'il commença à distinguer son corps et enchaina avec une prise de crâne pour, ensuite, l'assomer en fracassant sa tête sur un tronc d'arbre pas loin. La partie où la tête a été enfoncé se cassa, coincant la partie du garde et la jeune fille retira les affaires de l'homme. Mettant la veste sous sa légère chemise noir au col relevé et l'épais pantalon verdâtre sur le sien, elle fit tourner son regard autour avant de marcher vers la route et de rentrer. Elle avait, cependant, oublié une chose. Elle avait entendu que tout les gardes avaient une apparence humaine et voir une ligre fera tout de suite faux bond. Entendant autour d'elle pour s'assurer que personne ne soit là, elle leva son pouce jusqu'à ses crocs et se le mordit pour, ensuite, boire un peu de sang.

Au fur et à mesure qu'elle but le sang, son aspect commença à briller, ses rayures disparurent, ses poils se rappetissent, ses griffes devinrent des ongles, ses pattes devinrent des pieds dans des chaussures et sa crinière devint une longue chevelure dorée, rendant son corps de plus en plus magnifique aux formes surpassant la moyenne. Arrétant de sucer son pouce, elle posa sa main sur le mur avant de caresser doucement ce dernieravant de diriger sa tête vers le sol et de rester quelques minutes en silence pour, ensuite, marcher vers le labyrinthe, toujours la main sur le mur. Lorsqu'elle passe à l'état humaine, son bandeau disparait, mais, elle restait, hélàs, aveugle. Mais, cet handicape allait l'aider à se diriger dans le labyrinthe.

Frolant la mort à plusieurs reprises, échappant à tout les pièges ou confusion, elle reussit enfin à sortir du labyrinthe pour, ensuite, se retrouver dans une salle carré, étant très large et ayant la hauteur démesuré à un tel point qu'on ne pouvait voir le plafond malgré les éclairages. La jeune femme, regardant de ses yeux vides (elle est toujours aveugle), se mit à traverser la salle lorsqu'à mi-chemin, une présence l'interpela. S'arrétant, elle tourna sa tête sur toute la salle avant de trouver, enfin, le point J de sa transmission. Se tournant vers ce corps inconnu, elle dit d'une voix prudente :

-Qui êtes-vous ? Vous ne semblez pas être un garde, vous êtes un évadé ou bien, un intrus?

Elle essayait de jouer son rôle à la perfection, jusqu'à la fin pour ne pas se compliquer la vie. Et puis, si elle avait eu faux, elle aurait sorti comme quoi c'était sa première nuit et qu'elle ne connaissait personne et qu'on l'a mal renseigné sur les habits.

-Par ici Messire.

Comme d'habitude, Don avait ses contacts au sein de la prison, depuis qu'il avait aidé a arrêter une émeute, ses contacts reconnaissant le prevenaient a chaque fois qu'une prisonnière arrivait et lui assurait la "bonne tenue" de celle ci en la mettant dans une cellule a part des autres jusqu'a ce qu'il vienne controler la marchandise, là, moyennant pot de vin, Don récupérait la prisonnière si celà l'interessait, la dressait, puis la revendait a prix d'or, si jamais la prisonnière n'acceptait pas d'être dressée, eh bien elle faisait une bonne mère porteuse pour le restant de ses jours, mais très peu finissaient ainsi a vrai dire, seuls quelques cas dans sa longue carrière avaient réussi a résister a sa séance d'entrainement et devenir de simples ustensiles a fabriquer des bébés pour le reste de leur vie. La plupart étaient mortes a force d'enfanter, une mort particulièrement atroce qui arrivait généralement au bout de la vingtième naissance, il savait que les aliens de la fourmillière avaient le même problème, mais eux au moins avaient un temps de gestation de quelques semaines, ce qui rendait la mort des interessées bien plus rapides et bien moins douloureuses. Il s'attendait a trouver quelques fortes têtes dans les prisons, mais jusque là il n'en avait jamais vu.

Même les plus dangereuses criminelles peuvent être mattée si on y met du coeur. Et il mettait beaucoup de coeur.

On lui avait annoncé que la prison détenait une terranide d'une race particulièrement rare, interessé, il s'était déplacé pour voir ça de lui même et arrivait devant la cage...

"Je ne vois personne."

Le garde jura et sonna l'alerte, la terranide s'était évadée, très vite les gardes de la prison se mirent a accéllerer le rythme et a rallier les forces des gens, on découvrit rapidement le garde tué et Don fut raccompagné dans une sale d'attente où on lui dit qu'il serait en sécurité. Le marchand d'esclave se posa en soupirant et attendit un moment, au bout d'un instant une garde entra dans la pièce et Don ouvrit un oeil pour la regarder...Mazette, où est ce qu'ils les trouvaient ? Ils avaient bien eu de la chance de tomber sur un spécimen pareil avant lui, il l'aurait embarquée depuis longtemps, restant silencieux il la détailla sous toutes les coutures d'un oeil gourmand. Si il s'attaquait a elle il pouvait être sur que les gardes ne le laisseraient pas revenir, c'était bien trop de problème...Peut être pourrait il s'arranger plus tard avec son contact pour qu'elle soit accusée de faute grâve et jetée dans un cachot ?

Ou alors il pouvait s'en charger...

Finalement elle sembla le remarquer pour la première fois et l'interpella, Don sourit, il possédait les clef et ces portes étaient blindées, elle ne sortirait pas comme ça. Il eut une idée soudainement et lança

"Moi ? Un évadé, un évadé de la pire espèce même."

Fit il avec un sourire qu'elle ne put voir mais un ton serieux.

La jeune ligre avait son regard vide en direction de l'inconnu, ne voyant pas si ce qu'il disait était vrai ou faux. Cependant, le simple fait qu'il lui ait dit un mensonge qu'elle crut immédiatement, elle recula avant de s'arréter, se mettant en garde et ne voulant pas se servir de "ça" trop vite sous peine de la trahir. Il y avait bien une arme dans la veste de l'homme, cependant, elle ne voulait pas l'utiliser par question de principe. Cette dernière se mit, donc, en position d'avant-garde, les bras en arrière comme si elle tenait deux épées avant de rester immobile, comme si c'était une statuette de marbre aux couleurs vivantes :

- Je suis désolée, croyez-en, mais, je vais devoir vous arréter, sinon, vous ruinerez mes plans d'un sauvetage de ma meilleure amie.

Elle avait à peine terminé de parler qu'elle fit un mouvement de pied avant de courir vers l'homme qui, pour elle, était démesurément grand et musclé. Elle ne pouvait peut-être rien voir, mais, elle avait un don spécial qui lui permettait de voir comme tout les autres, mais, via des bruits ou par le vent. Arrivant pratiquement à l'homme et, prévoyant déjà d'éviter une quelconque attaque, elle sauta lorsqu'elle jugea que c'était le bon moment.

Les ligres avaient la particularité d'un tigre à sauter haut et loin et, se servant de cette faculté, elle se retrouva au dessus de l'homme avant de se retransformer en une ligre de 16 ans, la crinière rousse dans le vent et les griffes dégagées, elle utilisa une attaque frontale qui était éfficace, mais, qui pouvait être ésquivé de justesse, n'ayant que la marque d'une petite griffure de chat sur une partie du corps. Réattérisant sur le sol, elle se retransforma en une femme qui reprit sa longue course vers l'homme pour, malgré qu'il la bloquait, enchainer des coups de poings (vue humaines) et jambes (vues humaines) avant de reculer en arrière et de se redresser. Jusqu'ici, elle n'avait pas laissé un seul moment de répis pour qu'il puisse parler ou quelque chose dans le genre et, lorsqu'elle allait se remettre sur le travail, la porte s'ouvrit encore une fois, laissant quelques gardes entrés et insistés à la scène. Ils disent, juste, d'une voix éttonnée, mais, habituée :

- Monsieur Garan, on vous cherchait partout. Où étiez-vous ?

La jeune ligre se redressait, ne bougeant pas et, regardant de ses yeux vides, l'homme qu'ils avaient appelé Don et les gardes. Un évadé, d'après la simpathie qu'ils firent preuve envers lui, c'était un mensonge et elle avait été piégé. Est-ce qu'il allait la dénoncer ? Surement, vu qu'elle n'était pas un garde comme eux. Sans même attendre sa sentence, elle courra vers les gardes qui se demandèrent quoi et glissa entre leurs jambes comme un chaton pour, ensuite, se remettre sur pied et courir. Elle ne voulait pas "la" laisser ici pour une sentence illégale. Si sa meilleure amie restait encore deux jours ici, elle se ferait tuer et ça, la jeune ligre le savait et elle agissait en conséquence.

Il ne s'attendait relativement pas a être attaqué puisque toute personne ayant eu les yeux ouverts aurait vu son sourire sarcastique au moment de prononcer ces phrases. Et après tout le garde avait l'air d'avoir les yeux ouverts, même si c'était le cas, il était simplement assis sur une chaise et ne faisait rien de particulier au moment ou celle ci s'était mise a courir vers lui ce qui le pris totalement au dépourvu. Partant du principe que Don ne faisait aucun bruit et qu'ils étaient dans une pièce fermée, le bruit et le vent n'était pas vraiment ce qui remplissait la salle au moment où celle ci se jeta sur l'esclavagiste toutes griffes dehors. Il fallait savoir que Don n'avait pas de moyen d'affronter au corps a corps quelqu'un d'entrainé comme Houseki et qui, qui plus est, disposait de griffes. L'esclavagiste fut néanmoins choqué de la voir courir vers lui et dressa une des chaises entre lui et l'attaque pour encaisser la griffure. La vue de la terranide le fit jurer, la voilà leur foutu prisonnière ! Elle avait tout simplement un pouvoir !  Situation qu'il détestait plus que tout : avoir le dessous. Il allait être obligé de subir pour le moment. La chance était néanmoins avec lui car son adversaire était aveugle et Don doté d'un tabouret encaissait les attaques avec beaucoup de mal. C'est a ce moment là que la porte s'ouvrit et des gardes surgir

"Mr Garan, on vous cherchait partout. Où étiez-vous ?"

Il ne fallait pas oublier que nul au monde ne connaissais son identitée secrète et qu'il s'évertuait a garder secrète et qu'il distribuait ses pseudonymes a droite comme a gauche. Don lança avec une voix emplie de panique et de férocité

"BANDE DE CRETINS ! ARRETEZ MOI CETTE FURIE !"

La voix de l'esclavagiste retentit dans toute la pièce alors que celle ci commençait a repartir de là où elle venait, puisque l'autre sortie de la pièce était vérouillée et qu'il en détenait la clef, forcement, il tomba par la suite sur les renforts.

Du coin d'un couloir un homme portant une armure d'une technologie aussi complexe qu'inconnue pour Houseki braqua son canon sur la ligre et tira un puissant rayon adhesif qui se traduisit en une volée de gélatine gluante qui percuta la terranide et la plaqua au mur, l'homme enchaina immédiatement par un rayon de glace qui gelà celle ci contre la paroi.

-Ici le secteur 2, prisonnière maitrisée.

Fit l'homme depuis son heaume.

Pourquoi la prison éternum possédait le taux d'évasion le plus bas de toutes les prisons de Terra ? Parce que tous les états la subventionnaient. Ici il n'était pas rare que des Tekhans croisent des disciples de l'Ordre Immaculé ou des ESPERS, les murs étaient littéralement gavés de personnes possédant des pouvoirs ou des capacités extraordinaires.

"Ne me l'abimez pas."

Don s'avança dans le couloir, bien en arrière de quatre gardes, l'un d'entre eux vida un flacon de chloroforme sur un mouchoir et le plaqua contre le visage d'Houseki en faisant bien attention a ne pas se faire mordre. Bientôt elle sombrerais dans l'inconscience, le désavantage des terranides était qu'a réflexes et sens sur developpés, on était bien plus sensibles a ce genre de drogues..

Courrant depuis le moment où elle s'est enfuit, la ligre ne s'arrètait pas, disant à chaque nouvelle serrure un nom de jeune fille qui ne laissait pas de marbre. Mais, lorsqu'elle entendit son propre nom à côté d'elle, un nom sortant de la bouche d'une petite fille, elle s'arrèta et regarda vers la cellule avant de s'agenouiller et de passer sa main à travers les barreaux, sentant le visage de la petite fille. C'était la dernière faculté qu'elle avait. Lorsqu'il n'y avait pas de vent, elle se servait de son toucher pour reconnaitre des choses. Touchant chaque trait du visage de la gamine, elle sourit en disant son nom :

- Sakura, ils n'ont pas encore fait le transfer, ne t'en fais pas, je suis là. Je vais te délivrer, atends une minute.

Cette dernière se releva avant de reprendre sa forme originelle. Une ligre de 16 ans, plutôt jolie, laissait plaçe à la belle blonde aux formes sexuellements plaisants. Tirant la tirette de sa veste pour l'ouvrir, elle sortit un couteau plutôt fin et commença à crocheter la serrure de la cellule quand, soudainement, un bruit de métal l'intérrompit.

Comme chaque aveugle qui, par ailleur, pouvait se faire voir à cause de son bandeau sur les yeux, elle avait des dons outre que la vue développés. Lorsqu'elle se retourna vers l'homme qui n'était pas très loin d'elle, étant arrivé pratiquement au bout du couloir, elle sortit ses griffes pour, ensuite, s'élancer sur l'homme qui utilisa son arme sur elle. Se faisant plaquer sur le mur, un tel choc l'assoma temporairement et elle ne reprit conscience grâçe à la voix de la petite fille qui résonnait dans sa tête :

"Ne me l'abimez pas."

Après s'être réveillé, c'était, hormis la petite fille, la première chose qu'elle entendit. Une voix forte, une voix qu'elle connaissait et elle n'avait que le temps de dire"Gar..." qu'elle comprit, par le pas, qu'un des hommes s'approchait d'elle. Elle était bloquée par de la glace et de la glue et, d'une technique nomée "dernière volonté", brisa la glace qui retenait un de ses bras pour, ensuite, griffer l'homme à hauteur des côtes, une des parties faibles qui le fit, par ailleur, cracher du sang sur elle. Sentant le sang, elle n'eut qu'une fraction de seconde pour le lécher un peu avant d'avoir un mouchoir enduis d'un chloroforme sur son visage, lui causant un état de sommeil et d'inconscience.

Elle avait beau essayer de résister grâçe la voix de la jeune fille, elle finit, cependant, par tomber d'inconscience après avoir casser la glace et avoir pratiquement reussit une attaque sur un des trois gardes réstants, ayant mit l'autre dans l'inconscience par son attaque. Elle s'était, certe, libérée, mais, ses bras étaient ensanglantés et elle était inconsciente, sur le sol, sur le côté droit, son bras où des griffes qui commencaient à rentrer dans ses pattes étendu vers un des trois gardes et elle ne bougeait que pour respirer. Un des trois hommes s'agenouillait au dessus d'elle, le deuxième regarda vers garan et le troisième essaya de lever le quatrième homme qui était inconscient.

- Vous êtes surs qu'elle est bien inconsciente ? Avec son bandeau sur les yeux, on ne voit rien...

-Monsieur Garan, que faisons-nous d'elle ? Dit aussitôt le deuxième en faisant un genre de signe de simpathie.

- Au lieu de parler, aidez-moi, il est lourd !

Don sursauta presque quand il vit la jeune fille briser la glace comme si il s'agissait de papier crépon. Cette sauvageonne avait une force incroyable, il en était encore étonné d'être sain et sauf. Immédiatement il se mit a se reculer. Il n'aurait aucun scrupule a utiliser les hommes qu'il avait avec lui comme bouclier humain, après tout cette évasion les concernait, pas lui. Don n'était pas lâche, il était simplement réaliste : Il n'avait pas envie de se faire décapiter par cette furie d'un coup de pied bien placé, il préférait s'occuper de l'affaire quand celle ci ne présentait pas un risque de mort directe de plus 99%, 1% lui suffisait généralement amplement pour ne pas mettre en péril sa précieuse vie. Don était quelqu'un d'extrèmement central, si il mourrait son empire mourrait avec lui car nul ne pourrait le reprendre, il n'avait jamais élevé d'héritier ni quoi que ce soit pour reprendre ses affaires, puisqu'il ne faisait confiance a personne. La mort de Don foutrait également un chaos pas possible dans les affaires de Nexus et de la pègre de Seikusu, sans compter ses possessions immobilières.

Voilà pourquoi il préférait se protéger quand Houseki commençait a devenir Berserker, néanmoins une fois qu'elle fut maitrisée on lui demanda ce qu'ils devaient faire, Don cria

"Attachez la immédiatement ! Et pas avec des cordes, mettez lui vos chaines de plomb les plus solides !"

Le visage de l'esclavagiste était déformé par la haine, la colère et la peur, il faisait vraiment peur a voir pour le moment d'ailleurs, il n'avait qu'une envie, se mettre a donner de nombreux coups de pieds dans le corps d'Houseki jusqu'a ce qu'il la crève, mais il se repris rapidement. Respirant posément. Il perdrait de l'argent si il venait a faire celà et ne gagnerais rien. Don soupira un bon coup pour se calmer a nouveau

"Je vous la prend, et pour un petit plus je n'ébruiterais pas qu'elle s'est évadé et votre réputation restera intacte."

Lança Don alors qu'il donnait ses ordres et que tout sombra dans les ténèbres.

Houseki fut reveillée par des pleurs alors que la réalité apparaissait a nouveau devant elle.

Elle portait un lourd collier de plomb autour du cou ainsi que de lourdes menottes qui lui ligottaient les poignets, et les coudes contre le corps ce qui l'empechait d'allonger les bras, elle portait en plus de celà une musellière et des fers bien plus lourds aux pieds qui la laissaient debout, les jambes écartées et les bras au dessus de la tête, de nombreuses chaines passaient et repassaient pour garantir qu'Houseki ne pourrait pas se dépatouiller de là a moins d'avoir la force de 4 bulldozer. Ses griffes avaient été limées et Don était resté en contact avec elle assez longtemps pour que ses éventuels pouvoirs soient désactivés, qui plus est, il avait retiré son bandeau et mis en route une radio qui passait en boucle des bruits de gouttes s'écoulant dans une grotte, faisant non seulement croire a Houseki qu'ils n'étaient plus dans la prison, mais brouillant également ses sens car elle n'entendrais a présent, plus que ce que Don lui dirait, Don, ou son invitée naturellement.

"Ah tu es reveillée."

Le bandeau d'Houseki avait été le seul vetement qui lui avait été enlevé pour le moment (HJ-Tu pourra me décrire ce qu'elle porte plus en détail comme ça-Hj-, si elle pouvait voir, elle verrait la petite Sakura, également menotée, entièrement nue, assise sur le genoux d'un Don entièrement nu également qui regardait Houseki avec un sourire salace.

"Tu arrive donc juste a temps pour notre petite sauterie."

Fit Don en éclatant de rire. -Hj-Descrption de la dite Sakura aussi ?-Hj-