Je dirais pas que je pourrais faire virer sa jaquette à n'importe qui, mais… putain ce que j'suis bonne, quand même. C'est qui la plus forte? C'est Emily. Même Rubis, qui a passé l'âge d'avoir sa première expérience au collège entre deux pétards ne peut pas me résister! Et ce même sans alcool!... Enfin… euh… juste un peu d'alcool. Donc, j'arrête de la faire languir. J'lui rend son patin et je glisse mes mains sur ses seins, les massant dans mes mimines. Avec un corps pareil, elle pourrait faire tomber qui elle veut, mais à la place, c'est elle qui tombe, et dans la gueule du l… euh… hm… j'suppose que c'est pas la gueule du loup. Nan, c'est pas adapté. Et les chauves-souris ne bouffent pas les humains... et le piège à sangsue… ah, puis merde.
Je laisse tomber mon analogie, et je la redresse sur le canapé. Je me penche sur elle, et je lui roule un autre french kiss, choppant ses jambes et la tirant vers moi, la forçant un peu à faire épart des jambes pour me laisser la place, et j'm'approche plus. J'l'embrasse dans le cou, et je presse mon buste contre ses nichons pour les écraser un peu entre nous, et j'lui suce la lèvre inférieur alors que le baiser se briser avec un gros *shlop* bien sonore.
"Si tu veux plus, alors, reste comme ça, et ferme les yeux."
J'attends qu'elle s'exécute, parce que la connaissant, elle est juste parfaitement incapable de désobéir, et j'lui pose un baiser sur les paupières.
"Triche pas, hein~"
Et je descends du canapé, toujours penché sur elle, et je pose un baiser sur sa joue, puis son cou. Je suis tenté, j'avoue, de lui faire un Baiser, en bonne et due forme, encore une fois, mais je me retiens. C'est pas bon d'abuser des bonnes choses, et elle était déjà un peu drainée. Ah, y'a encore un peu de sang ici. Je règle la situation d'un coup de langue. Alors que je lui bécote le cou, je lui retrousse encore la jupe, et mes mains trouvent sa culotte. Et quand je la retire, je remarque que cette salope cachait une surprise de taille, alors que je fais lentement descendre son sous-vêtement vers le bas de ses jambes.
"Tu sais, pour une nana qui rougit à tout, tu portes des trucs fort indécents~"
Je jette le sous-vêtement dans un coin de l'apartement, et je reviens contre elle, cette fois descendant jusqu'à ses mamelles, et putain, quelle paire. Non, je dis pas ça légèrement; c'était presque grossier pour une nana aussi frustrante d'avoir un corps roulé comme une actrice porno. Gâchis de potentiel. J'pourrais faire tellement de thune à la filmer!
Oh, puis, encore une fois, j'laisse tomber.
"T'as d'la chance que j't'aime bien, Ru~"
Parce que normalement, j'ai pas de scrupule; un petit coup d'hypnose, et dans trois mois, elle est au milieu d'un gang bang de rue dans une toilette publique en train de se faire tringler par dix mecs dont elle ne connait ni le nom, ni la provenance. Mais j'réserve juste ce genre de trucs aux connasses. Et pour toutes ses failles, Ru n'était pas une connasse. P't'être une conne, mais dans ce monde, tout le monde est con.
Je lui dévore les nichons, tout en glissant une main entre ses cuisses. Je joue pas souvent avec des nanas, mais je connais les trucs, et j'ai fait assez le tapin pour savoir ce que je fais, et donc, je frotte mon majeur contre sa petite perle d'orgasme, et je la fais tourner sous mes doigts.
Et je ne la fais pas attendre trop longtemps. Juste un peu; j'aime pas utiliser mes mains. Je dirais même, je suis plus… oral.
Je me laisse glisser plus bas, et je lui agrippe les cuisses, pour la tirer jusqu'au bord du canapé.
"Bouge pas, sinon, tu perds~"
Et je tire la langue; hop, sur la cuisse. Et je fais lentement glisser ma langue sur sa cuisse, remontant lentement vers le haut, posant des baisers sur sa peau, et remontant vers sa chatte. Et encore une fois; quelle chatte. Enfin… chatte… un minou, quoi.
Est-ce qu'elle se rase? Ou est-ce qu'elle n'a juste pas de poil en bas?
Oh, et puis, que m'importe.
J'enroule mes bras autour de ses cuisses et je lui tire le bassin vers ma tronche, et je pose ma bouche sur ce petit minou sans défense, et lèche le rubis de Rubis. Je le lèche, je le suce, je le mordille, et je le suce encore, et je l'empêche de se faire violence; elle doit encaisser, et c'est tout.