Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Quand la musique est bonne [PV Em]

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Em

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Re : Quand la musique est bonne [PV Em]

Réponse 15 jeudi 05 décembre 2024, 05:58:30

Alors, je m’attendais à une réponse à la con, du genre « Ah mais j’ai eu des relations sexuelles ! » ou un truc du genre, comme toute personne normale, mais ce que Rubis me déballe, c’est littéralement le plus soudain condensé de sa vie personnelle que j’me suis jamais attendu à entendre, et alors qu’elle me parle de pipe et de branlette espagnole, je la regarde avec la plus énorme paire de billes que j’ai fait de toute ma vie.

– Alors, lui dit-je en ravalant un peu ma surprise. T’es peut-être pas naïve, mais j’commence à croire que t’es peut-être une salope cachée sous des airs seins… euh.. saints. Et pour répondre à ta question, ma grande ; maximum, je te parlais du mouvement, ouais, ou peut-être un massage. Mais je vois que j’m’inquiétais pour rien ; je me demande jusqu’où t’es allée, maintenant, avec ton bâtard d’ex.

Et pour une fois, je dois admettre que mon intérêt pour ce que pouvait baver cette sainte-nitouche à bonnet DD venait de grimper en flèche ; quel autre secret se cachait donc dans cette petite mémoire de p’tite femme ? Et qui d’autre le savait ? Est-ce qu’elle se pait ma gueule depuis des mois ? Non, sans doute pas ! Je l’aurais vu, si ? Si ?!

J’allais lui poser encore plus de questions quand Seto réapparut, et pour la première fois de toute la soirée, cette fois-ci, j’ai eu une envie féroce de lui en coller une. Comment osait-il interrompre la conversation la plus passionnante de la soirée ? Et tout ça pour une paire de verres, en plus. Je prends mon verre et je crois que je devais le regarder bien fixement, parce que Seto me lance un coup d’œil, puis un vers Rubis, et encore une fois vers moi. Et le tout ponctué des sons de galoche que les deux hormonaux cachés derrière le pseudo-yakuza, qui commençaient sérieusement à me taper sur le système.

– J’interrompe quelque chose ? demande-t-il au bout d’une seconde.

– Heu… Je… Je pense que… Qu’il serait peut-être judicieux de… Rentrer à l’intérieur et envisager d’y poursuivre la soirée ou d’aller ailleurs alors… Non ?

– Ah… oui, sans doute. Mais je crois qu’ils commencent à remballer à l’intérieur. Apparemment, il y a des disputes au sein du personnel.

Je ne dis rien.

Je suis curieux. Je veux en savoir plus sur Rubis. Et maintenant, je vais être honnête, j’ai envie de voir jusqu’où elle va, si ses hésitations sont jeté aux vents.

– Bon, bah, on va chez moi, alors.

Seto me jette un coup d’œil surpris.

Je lui en renvois un autre.

Il comprend immédiatement que, par « chez moi », j’entends bien sûr « chez lui », parce que… ben, j’ai pas de chez-moi, après tout. Un jour. Mais c’est dur de faire du fric dans cette ville de merde. Y’a toujours une raison ou une autre pour le perdre ; si c’est pas la coke et les putes, tu te fais littéralement dévaliser, ou hacker ton compte en banque. Tu t’en sors absolument jamais. Pas étonnant que la criminalité est aussi élevée ; ils essaient tous de compenser pour les pertes engendrées par les coups fourrés que d’autres merdes comme eux leur causent. Et du coup, ils s’en sortent pas.

Il regarde Rubis et lui adresse un sourire rassurant.

– Il y a quelques chambres d’amis, et ce sera surement plus agréable de commencer le week-end avec des amis que seule à la maison, non ?

Pas que je comptais lui laisser le choix, de toute façon. Je lui attrape le bras et je m’approche de son oreille avant de souffler doucement dedans ;

– Allez, quoi. J’suis sûr que si on joue nos cartes comme il faut, on va pouvoir voir Seto sans sa chemise. Imagine ; beau, grand, musclé, viril, et il peut même faire ce truc avec ses pectoraux. Sisi.

Je m’approche encore plus, et bien silencieusement, je lui dis.

– Et peut-être qu’il fera danser les jumelles~

*** Description de l’appartement de Seto Emily ***

L’appartement d’Emily se trouve au cœur de Seikusu, dans le quartier légèrement plus huppé de la ville, et au sommet d’un petit immeuble à huit logements. Il est d’ailleurs le seul appartement jouissant de quatre chambres, ce qui était relativement exceptionnel dans la ville pour le mentionner ; Seikusu était une ville principalement orientée vers la carrière et l’industrie, ce qui faisait que les appartements étaient rarement de grandeur suffisante pour abriter une famille. Mais les gens comme Emily savaient se procurer les belles choses, surtout quand Seto était celui qui payait la facture.

La pièce principale est un espace ouvert qui s’étend sur environ trente mètres par douze, avec un grand salon, une petite salle à manger et une cuisine en une pièce, bien que la cuisine soit séparée du reste par un paravent. Une grande baie vitrée laisse entrer toute la lumière de la ville (et du voisinage) dans la demeure, ce qui laisse les arrivant voir leur environnement avant même que les lumières ne soient allumées. Contrairement aux fenêtres habituelles, ce n’était pas un panneau de tissu qui couvrait la fenêtre lorsque les occupants visaient l’intimité, mais un panneau de fer qui couvrait complètement la fenêtre, empêchant toute lumière solaire de passer, parce qu’Em ne voulait pas finir en tas de cendre.

Les chambres, en elles-mêmes, sont plutôt insignifiantes, avec un grand lit de draps blanc et quelque mobiliers pour que les invités puissent s’y installer pour un temps sans devoir laisser leur bagage trainer au sol, bien que la troisième fasse également office de bureau de maison, avec un ordinateur qu’Em n’a jamais vu Seto utiliser. La chambre principale, donc celle de Seto, par contre, était richement décorée, avec un grand lit king-sized, sur lequel reposait probablement le matelas le plus confortable du monde. 

La seule chose qui montrait qu’Em résidait ici, c’était le fait qu’il y avait du linge à lui qui trainait un peu partout, et comme c’était vendredi et que la ménagère ne passait pas avant lundi, elle n’avait probablement pas eu le temps de nettoyer. Pas qu’elle l’aurait fait sans chigner. Em privilégiait le canapé, et compte tenu de la grande couverture qui reposait sur celui-ci, ainsi que le gros oreiller qu’il avait surement piqué dans une des chambres, c’était probablement là où il dormait quand il le pouvait.

Rubis Starling

Humain(e)

Re : Quand la musique est bonne [PV Em]

Réponse 16 mercredi 11 décembre 2024, 21:27:45

Tandis que Rubis était aussi rouge que ses prunelles écarlates, son regard timide et gêné jouait du yoyotage entre le sol et son amie, au rythme de sa main glissant et caressant sa nuque, après les déclarations qu’elle venait de faire, le tout saupoudrer de quelques questions par rapport aux mots de la belle brunette qui l’avait intriguée.

Et alors qu’Emily reprit enfin la parole, la jolie albinos ne perdit pas d’un millimètre sa jolie teinte rougeâtre de son visage, ses yeux clignotant autant de surprise que de gêne en l’écoutant, manquant même de s’étouffer par moment en l’entendant lui dire qu’elle cachait peut-être une salope sous ses airs de sainte. Les lèvres pinçaient et le regard presque fuyant car elle ne savait plus où se mettre, la demoiselle à la chevelure de neige commença à jouer avec les mèches de ses cheveux qu’elle entortilla avec ses doigts au fur à mesure qu’elle écoutait son amie, avant de se stopper d’un coup en l’entendant se questionner sur son ex.

Le regard légèrement tremblant et troublé tandis qu’il se perdait dans le vide, Rubis déglutissa légèrement en fermant les yeux un instant, retirant sa main de ses cheveux pour venir passer ses bras autour d’elle en soupirant intérieurement.

Parler de son ancien fiancé mettait souvent la demoiselle un peu mal à l’aise, car c’était compliqué. Il fallait dire que la vie qu’il lui avait offerte et imposait n’était pas des plus banales, dans laquelle tout n’était que soumission et brutalité. C’était à cause de lui qu’elle connaissait toutes ces choses qu’elle avait dit un peu plus tôt à Emily, toutes ces choses qu’elle avait dû faire contre son gré, au risque de recevoir des coups jusqu’à l’évanouissement, coups qu’elle recevait quand même car il arrivait fréquemment à l’albinos de se rebeller et essayer de fuir tout cela. Mais c’était le genre de chose dont elle n’avait jamais parlé à qui que ce soit, en tout cas pour le moment.

Même si ce type était mort depuis des années maintenant, il continuait malgré tout de la hanter dans ses cauchemars et il était responsable de ce qu’il lui arrivait aujourd’hui dans ce bar, avec ce patron qui connaissait son secret si on pouvait dire et la faisait divinement chanter avec quand il avait besoin de ses services.

« Je… Je dirais que je suis allée loin avec lui ? » répondit-elle d’une petite voix presque étouffée, semblant se questionner elle-même au passage, alors qu’elle caressa doucement ses bras avec ses mains enlaçaient autour d’elle, les yeux toujours fermés « Mais… Je… Je te jure que je ne suis pas une salope Emily… Je te promets que je ne suis pas comme ça… »

La voix légèrement tremblante mais toujours aussi basse voir presque imperceptible à entendre, la demoiselle arrêta doucement de caresser ses bras, laissant retomber ceux-ci le long de son corps doucement, les passants ensuite devant elle alors qu’elle se laissa doucement tomber contre la rambarde du balcon. Et tandis qu’elle rouvra lentement ses yeux dans lesquels une faible lueur de tristesse était venue s’installer avant de disparaître pour laisser la place de nouveau à la gêne et la timidité dans son regard si doux, Rubis regarda son amie quelques instants avant d’esquisser un faible sourire tout timide qui termina par un très léger rire gêné.

Mais l’instant papotage dût prendre fin avec l’apparition du beau Seto et des verres qu’il apporta à ces « dames ». Et alors que Rubis pouvait admirer l’échange de zieutage entre Emily et le séduisant brun, se demandant au passage si son amie qui regardait cet homme avec tant d’intensité avait peut-être des vues sur lui, elle fut interrompue dans ses réflexions à cause de la bruyante musique qu’un jeune couple en plein galochage sur le chemin du tripotage XXL était en train d’offrir à leurs innocentes oreilles.

Après un petit échange sur le balcon/terrasse du bar entre les trois joyeux lurons, la décision de poursuivre la soirée ailleurs afin de fuir le spectacle de jambes en l’air qui pointait son nez à l’horizon fut prise, Emily annonçant qu’ils iraient donc chez elle pour cela.

La jolie albinos lança un petit regard à la belle brunette, se demandant bien à quoi pouvait ressembler l’appartement de son amie, n’étant jamais allé chez elle. Cela étant dit, elle non plus n’était pas encore allé chez elle, il faudra qu’elle pense à l’inviter un de ces jours se disait-elle dans sa petite caboche. Perdue de nouveau dans ses réflexions, Rubis en sorta en entendant la douce voix de Seto qui la rassura sur le fait qu’il y avait plusieurs chambres et que cela serait surement plus agréable de passer le début du week-end avec des amis que plutôt seule.

Son regard tournait vers le séduisant brun, la petite blanchette lui adressa un joli sourire en hochant la tête. Mais alors que la demoiselle s’apprêta à lui répondre une banalité du genre « Oui, ça serait plus agréable et plaisant. », Rubis senti son amie se rapprochait d’elle pour venir lui chuchoter des choses à l’oreille qui firent revenir au galop le rouge sur ses joues. Et alors qu’elle tenta de boire quelques gorgées pour essayer de camoufler son visage teinte coquelicot, elle manqua de s’étouffer en entendant Emilly lui dire que Seto pourrait peut-être faire danser les jumelles.

« Je… Kof kof ! Je, excusez-moi, je… J’ai avalé un peu de travers… » n’étant pas douée pour le mensonge et étant vraiment nature, Rubis avoua avoir avalé de travers mais sans préciser bien sûr la raison, avant d’ajouter en toussant un peu pour retrouver sa voix « Je serais ravie de passer le début du week-end en votre compagnie alors et de découvrir l’appartement d’Emily par la même occasion. »

Un petit sourire aux lèvres, Rubis éloigna doucement le verre de son visage encore légèrement rosé à cause des paroles de la brunette. Et alors qu’elle jeta un regard timide à son amie avant de regarder de nouveau Seto, l’albinos esquissa un beau sourire en les regardant tous les deux en hochant la tête tout en levant son verre pour les inviter à s’enfiler cela cul sec, afin de pouvoir filer ensuite dehors pour se rendre chez Emly.

Une fois les verres vidés et qu’ils se faufilèrent ensuite à l’intérieur dans le but de sortir de l’établissement, la demoiselle à la chevelure de neige en profita pour saluer ses collègues qui étaient encore présents en leur souhaitant une bonne soirée, avant de disparaître avec les deux bruns à ses côtés dans l’ouverture de la porte du bar. Puis à l’extérieur, ils prirent ensuite un taxi attrapait à la volée par le beau Seto et ils purent donc se rendre chez Emily très rapidement sans avoir à marcher dans les rues, ce qui n’aurait pas dérangé notre petite demoiselle adepte de balades et de marches nocturnes cela étant dit.

Arrivé chez Emily, Rubis ne put s’empêcher de remarquer que son amie habitait les beaux quartiers et que c’était aussi calme que le quartier dans lequel elle habitait, sauf que pour sa part elle était plus vers l’extérieur de la ville que dans son centre contrairement à la brunette. L’immeuble avait l’air comme neuf et tout semblait sécurisant à l’intérieur, puis ça sentait divinement bon les fleurs dans le hall, ce qui ne déplaisait pas à la demoiselle qui adorait les odeurs florales qui lui rappelait la nature et quelque part aussi son chez-elle lointain.

Une fois l’ascenseur prit et arrivé au 8e étage, la demoiselle suivit toujours sagement ses deux compagnons de ce soir, avant de finir par rentrer dans un grand appartement, qui se vu offrir un tour du propriétaire par Seto qui paraissait le connaître par cœur, ce qui amusa grandement Rubis qui se mit à le taquiner gentiment.

« On pourrait presque croire que c’est chez vous Seto, vu comment vous le connaissez si bien cet appartement… » un doigt sur les lèvres en le regardant, un petit air intrigué au visage en passant une main dans ses cheveux pour remettre quelques mèches en place « Vous devez rendre souvent visite à Emily j’imagine. Ou peut-être que vous cohabitez ensemble ? »

Cette idée venait tout juste de traverser l’esprit de l’albinos, qui se disait que cela était fort possible vu le prix des loyers de la ville. Et alors qu’elle songeait à cela, retournant sa petite bouille intriguée vers Emily, Rubis la regarda avant d’esquisser un petit sourire, attendant autant sa réponse que celle de Seto.

Puis, une fois le mystère résolu (ou non) après la visite guidée, Rubis regarda la belle brunette et le beau brun tour à tour, avant de leur adresser un beau sourire en continuant de jouer avec ses cheveux timidement.

« Alors… Quel est le programme de la soirée ? Si vous avez besoin de quelqu'un pour faire des cocktails, je… Je sais en faire quelques-uns… J’ai un de mes collègues qui m’a appris deux trois petites choses, si jamais vous en avez envie, dite-le moi ! »

Une petite voix enjouée, un beau sourire aux lèvres, la demoiselle était là toute sage et debout au milieu du salon avec eux, les regardants tous deux tour à tour en attendant leurs réponses sur sa proposition de leur concocter une boisson, mais surtout sur la suite de la soirée, ne pouvant s’empêcher de repenser aux mots d’Emily avant qu’ils ne quittent le bar, faisant rougir comme une pivoine Rubis qui détourna parfois le regard en se caressant la nuque, tentant de ne pas penser à cela pour faire redescendre le rouge de ses joues qui lui donnait un peu chaud malgré elle.

Em

Créature

Re : Quand la musique est bonne [PV Em]

Réponse 17 mercredi 11 décembre 2024, 22:27:53

– On pourrait presque croire que c’est chez vous Seto, vu comment vous le connaissez si bien cet appartement…  Vous devez rendre souvent visite à Emily j’imagine. Ou peut-être que vous cohabitez ensemble ?

Je jette un coup d’œil sur Seto, et je le prends de cours pour qu’il ne se retrouve pas dans un mensonge qu’il ne gardera pas en tête de toute façon une fois quelques verres alignés. Pas qu’il soit moins malin qu’un autre, mais on dirait que presque que, par habitude, il est trop honnête pour son propre bien, et en ce cas-ci, maintenant qu’on a attiré Rubis dans notre repaire, je compte bien l’entourlouper bien comme il faut, et c’est pas Seto qui va y arriver.

– Alors, ouais, il passe pas mal de temps ici. Quand il vient à Seikusu, quoi, ou quand il s’ennuie de la pauvre petite Emily qui est toujours toute seule~

Même sans que je le regarde, je le sens presque rouler des yeux dans l’ombre.

Seto est ma goule, et les goules, bien qu’ils perdent beaucoup de leur naturel envers leur domitor, restaient quand même des humains avec leurs émotions propres. Si Seto est et sera à jamais incapable de me nuire volontairement, tant les liens que la vitae avait créé entre nous étaient maintenant bien trop forts, cela ne voulait pas dire qu’il y avait perdu tout libre arbitre. Il était encore capable d’autonomie, parce que mes besoins ne sont pas ceux d’avoir un automate à mes ordres. J’aurais pu en faire un robot, mais à quoi bon ? Il était beau, fort, riche et avait beaucoup de succès, en plus d’avoir de nombreux contacts. Ruiner tout ça pour en faire une loque servile, c’est un sort que je réserve à ceux que je hais, et Seto, je ne le hais pas.

– Alors… Quel est le programme de la soirée ? Si vous avez besoin de quelqu'un pour faire des cocktails, je… Je sais en faire quelques-uns… J’ai un de mes collègues qui m’a appris deux trois petites choses, si jamais vous en avez envie, dites-le moi !

Après un bref coup d’œil pour confirmer ma pensée, Seto se dirige vers le salon et prit place à côté de Rubis, alors que je me dirige vers le bar. Je bois pas, normalement, parce que je n’en ai pas besoin, mais Seto y reste affectueux, donc il y a un peu de tout ce qu’un bartender pourrait vouloir ; de la vodka, du rhum, de la tequila, du gin, de la crème irlandaise, du whiskey, du cognac, des sirops, et dans un frigo, il y avait même différent types de jus. Rien de bien bio, c’est juste pour de la saveur, mais même. Pour Rubis, je choppe une bouteille de grenadine, une bière, des cerises au marasquin, du sirop à la cerise et, avec des mains plus ou moins expertes, je mélange le tout. Pour Seto, rien de plus simple ; il y a une grande bouteille de saké, et pas le truc qu’on trouve au supermarché, hein, c’est une bouteille de saké artisanal, parce que s’il y a bien une chose que Seto déteste, c’est le saké de grande production. Je lui verse un verre, puis je reviens vers les deux.

Pendant mon absence, semblerait que Seto avait pris la peine d’expliquer le programme.

– Eh bien, avait-il dit avec son sourire charmant habituel. Le programme de la soirée, c’est juste de passer un bon moment. Emily dit que tu travailles beaucoup, sans vraiment prendre de temps pour toi, donc profite de notre présence pour te changer les idées.

Je passe devant eux, et je me penche pour poser les verres sur la table, avant de regarder Rubis.

– Faut bien, cette pauvre petite chose n’oserait pas prendre une journée de congé si on ne lui cassait pas un bras. Et encore là, elle trouverait un moyen de se faire convaincre d’aller bosser. Ah, et de la musique, ouais ! de la musique !

– Tu savais qu’Em chantait ? dit soudainement Seto.

D’instinct, je tourne la tête vers Seto, parce que pourquoi il parle de ça, lui ?

Il indique le micro posé sur le meuble de la télévision.

– Emily a passé quelque temps aux États-Unis et en Allemagne. À une époque, elle voulait être artiste-chanteuse.

– Oh, ta gueule, lui dis pas ça ! que je réponds.

– Et elle a même fait quelques chansons sous des pseudonymes.

– C’est pas vrai !

– Même qu’il y a trois ans, elle faisait la tournée avec Black Lips, et elle avait même remplacé certaines chanteuses et même certains chanteurs pendant leur performance.

Je ne rougis pas, à défaut d’avoir le sang qu’il me faut pour le faire, mais je fusille Seto du regard ; et lui, il sourit, parce qu’il sait, ce connard, que j’aime chanter, mais pas devant les gens. L’avantage d’être ce que je suis, c’est que ma voix est très modulable, et donc chanter est facile. Cela ne voulait pas dire que j’avais nécessairement envie de me foutre dans la merde.

– Allez, Emily, ne fais pas un menteur de moi, montre-lui.

Je continue de le regarder, puis je regarde Rubis, et encore Seto, avant de grommeler quelque chose à voix basse, et je me dirige vers le décodeur, lequel était également branché au micro et à des amplificateurs. Je me penche bien bas, ce qui laisse amplement le temps à Rubis de voir la naissance de mes fesses sous ma jupe, et je règle les paramètres de la machine, avant d’y glisser un disque sans écriture, et de lancer une chanson sur le disque.

– J’te jure que si tu me le fais regretter, Seto…

– Chante, allez !

Je roule des yeux et je prête donc ma voix à la chanson. La mélodie, douce, me vient naturellement, et j’écoute attentivement les signaux musicaux pour arriver à y glisser ma voix, apportant le micro à mes lèvres.

“ Step forward and meet a new sunrise
A coward is shivering inside
Today I'll be a friend of mine
Who swallows suffering with smile”

Du coin de l’oeil, je remarque le genou de Seto qui s’approche de celui de Rubis, et je le vois même approcher sa main de son épaule, et de l’enlacer plus près. Je m’approche donc du duo, puis je place mes jambes de chaque côté de celles de Rubis, avant de grimper sur elle à califourchon, une main sur son épaule, l’autre au micro.

“ I drew a different reality
With unconditional loyalty
Ego hardly can be piqued
'Cause I'm selfless”

Je m’approche un peu d’elle, frôlant son corps du mien, pressant mon buste au sien, avant de renverser la tête alors que la guitare se lance, et de ma gorge jaillit une voix gutturale et sauvage.

“Scale armour blaze!”

Je me penche sur Rubis, et je lui caresse la joue de la main sur son épaule.

« Virgin innocence ! »

Et je continue la chanson, et je m’adonne à ma performance. Putain que c’est bon. Putain que j’aime faire résonner ma voix. J’aime tout. Et je sens l’énergie monter en moi. Mes cheveux se balancent librement, mon corps se mue, et j’ai envie de brûler. J’ai chaud. Tout en étant sur Rubis, ma main quitte sa joue et se pose sur la cuisse de Seto, d’abord près du genou, et après un peu plus haut.

Rubis Starling

Humain(e)

Re : Quand la musique est bonne [PV Em]

Réponse 18 samedi 21 décembre 2024, 00:55:01

Après la petite visite guidée offerte par les soins de Seto à Rubis, celle-ci ne put s’empêcher de taquiner légèrement le séduisant brun en lui faisant remarquer qu’il connaissait bien les lieux. Et alors qu’elle songea ensuite à une possible cohabitation entre lui et Emily, la jolie albinos passa son regard de l’un à l’autre en partageant cette pensée, écoutant attentivement la réponse de la belle brunette qui suivit à ses interrogations. 

« Awwwwwwww… » lacha-t-elle avec douceur et compassion, posant ses petites mains sur sa poitrine attendrie en retournant son regard vers Seto « C’est vraiment très gentil à vous de ne pas laisser Emily toute seule, c’est adorable. »

Et alors qu’elle esquissa un beau sourire au bel homme à ses côtés qui lui sourit également, Rubis reporta ensuite son regard vers la jolie brune. Tandis que Seto roulait des yeux à cause d’Emily, la demoiselle à la blanche chevelure s’approcha de son amie afin de lui prendre les mains avec douceur en la regardant tendrement.

« Je suis désolée de ne pas m’être rendue compte de ta solitude Emily… N’hésite pas à passer quand tu veux au bar ou même à la librairie, on passera plus de temps ensemble pour plus que tu sois seule. »

Pendant que l’albinos caressa affectueusement les mains de la brune face à elle en étant inquiète pour elle, le séduisant brun regarda la scène stupéfait de voir la réaction de la petite demoiselle qui avait sauté à pieds joints dans le plat mensonger préparer en urgence par Emily.

Mais après ce petit moment de douces inquiétudes et tendresse, et le mystère résolu sur les connaissances si développés de Seto sur l’appartement d’Emily, Rubis retrouva sa joie naturelle et son doux sourire, venant s’enquérir du programme de la soirée tout en proposant son aide si besoin pour les boissons. À ses mots, le séduisant brun en parfait gentleman invita la jolie demoiselle à le suivre dans le salon, afin de prendre place dans le canapé tout en lui expliquant le programme. Écoutant attentivement Seto, l’albinos se mit doucement à rougir quand il lui parla des confidences d’Emily sur sa charge de travail, et le rouge sur ses joues fut encore plus intense quand la confidente en question les rejoignit pour poser les verres sur la table basse tout en rajoutant une couche à ses propos.

« Je… Heu… C’est que… Travailler c’est important et… Je… J’aime mes emplois aussi… » se caressant la nuque en rougissant en regardant le sol « Puis… Ça m’arrive des fois de prendre des congés… C’est rare oui mais… Mais… Ça m’arrive aussi… »

Essayant de se justifier alors qu’elle était toute gênée d’être vue comme une accro au travail, ce qui n’était pas totalement faux, mais cette passion pour le travail en plus de son intérêt pour était surtout pour s’occuper l’esprit.

Mais quand Emily parla de musique, Seto enchaîna direct, informant Rubis que la brunette chanter. Des yeux grands ouverts et pétillants avec un sourire radieux, Rubis reporta son regard vers son amie, la regardant avec émerveillement. Et ses mirettes admiratives furent de plus en plus pétillantes alors qu’elle lâchait des « Wooooooow… » à chaque phrase que Seto rajoutait sur les prouesses et aventures musicales de la belle brune, trouvant cela absolument extraordinaire et impressionnant. Et lorsque le séduisant brun avec son magnifique sourire invita Emily à chanter, la mignonnette blanchette regarda son amie avec un regard scintillant et un grand sourire, tapotant dans ses mains avec enthousiasme.

« Ho oui Emily ! Une chanson s’il te plaît ! Chante-nous quelque chose s’il te plaîîîîît ! »

Voyant son amie les regardait tous les deux avant de se diriger vers les appareils pour la musique, Rubis tapota de ses mains heureuse, ayant grande hâte d’entendre son amie chantait. Puis quand la musique commença à jouer dans la pièce, la demoiselle arrêta de taper dans ses mimines, redevenant sérieuse en regardant attentivement la brunette commençait à chanter et à se déhancher.

Commençant a profiter du spectacle, la jolie albinos put sentir le séduisant brun se rapprochait d’elle sur le canapé. Le contact de son genoux contre le sien la fit doucement rougir et même frémir discrètement, sa main sur son épaule fit amplifiait le rouge sur ses joues alors que son cœur commença doucement à battre la chamade, tandis que la chaleur commençait doucement à prendre possession de son corps en sentant Seto l’enlaçait.

Et cette chaleur fut encore plus forte tout comme la belle couleur rougeâtre sur ses joues  quand son amie s’approcha d’elle avant de lui grimper dessus, continuant le show musical sans sourciller, caressant sa joue et son épaule tout en se pressant contre elle, faisant battre le coeur de plus belle de la naïve albinos chamboulée de plus en plus autant par cette prise en sandwich que la performance magistral d’Emily.

Tandis que la belle brunette continua son show telle un diable sortie de sa boîte, Seto lui profita de sa main jouant sur son pantalon, qui dans ses mouvements ne le laissait pas indifférent. Il en profita pour serrer un peu plus Rubis près de lui, commençant à caresser doucement son épaule tout en jouant parfois du bout de ses doigts avec quelques unes de se mèches blanchâtres qui frôlaient sa main, ce qui fit rougir de plus belle la demoiselle qui ne savait pas vraiment quoi faire, se laissant totalement faire par les deux bruns près d’elle, alors qu’elle serra timidement ses mains sur ses jambes en tirant parfois sur le tissus de sa jupe. Puis de son autre main de libre, le séduisant brun en profita pour poser celle-ci sur une des jambes d’Emily, autant légèrement échauffés par ses caresses que sa performance mais surtout par défi malicieux, voulant voir ce que son dominateur répliquera à cela alors qu’ils avaient Rubis près d’eux, dont le regard de la demoiselle était plongée dans celui de son amie qui la captivait par son extraordinaire show, même si celui-ci lui donnait de plus en plus chaud étrangement.

Coincée entre-eux deux, la mignonnette ne savait vraiment pas quoi faire ni répliquer. Jetant un petit regard rapidement à l’homme à ses côtés, Rubis put voir qu’il semblait trouver la scène divertissante, autant par le spectacle d’Emily que les réactions de l’albinos, car il la regardait avec un petit sourire amusé mais séducteur. Mécaniquement, la jolie demoiselle esquissa un petit sourire gênée en le regardant tout en riant légèrement nerveusement et timidement, son visage bien rouge comme une tomate, avant de reporter son regard de nouveau vers son amie qui dansait et chantait avec une sensualité assumée.

Continuant de jouer de ses doigts avec le tissus de sa jupe à mesure que le show de son amie se poursuivait, elle restait presque figée et se demandait qu’est-ce qu’elle devait faire dans cette situation, se disant qu’elle devait faire quelque chose mais quoi ? Bon sang, elle n’en avait aucune idée et elle se disait qu’elle devait avoir l’air d’une pauvre carpe presque morte à ne pas réagir comme ça, hormis si on comptait ses rougissements comme une réaction et des petits rires timides et nerveux.

Instinctivement, dans ce genre de situation, timide comme elle était, la belle demoiselle se serait recroquevillait en s’enfonçant encore plus dans le canapé en continuant à rire gênée. Mais son instinct lui souffla d’agir autrement, de ne pas se cacher, et c’est ainsi qu’elle arrêta de jouer avec le bout de sa jupe qu’elle commençait à froisser, et qu’elle posa une de ses mains entre elle et son amie. Puis elle la poussa doucement afin de l’inviter à se relever, se relevant avec elle, tandis que Seto enleva sa main de l’épaule de la demoiselle tout en regardant cela avec amusement, curieux de savoir ce que la timide blanchette avait prévue.

Et quand elles fut debout toutes les deux, Rubis passa ses bras autour du cou d’Emily, un regard pétillant de malice mais un sourire timide sur son visage rouge pivoine, venant poser un baiser sur la joue de son amie.

« Voilà tu as gagné, je participe au spectacle maintenant ! »

Dit-elle avec un sourire gênée en riant timidement, ayant visiblement trouver une parade pour fuir sa prise en sandwich sur le canapé, entraînant donc son amie à poursuivre son show en dansant avec elle sensuellement.

La parade de la demoiselle amusa fortement Seto qui admira la suite du spectacle et la réaction d’Emily à la surprenant prise d’action de Rubis, échangeant un regard avec son dominateur pour savoir s’il voulait qu’il se relève du canapé pour venir lui aussi participer au show et reprendre la demoiselle en sandwich ou s’il souhaitait pour le moment profitait un peu seul de la jolie albinos qui dansait avec sensualité avec et contre lui, essayant de suivre le rythme de la musique tout en se laissant doucement aller sur son tempo plus à l’aise visiblement.
« Modifié: samedi 21 décembre 2024, 12:51:49 par Rubis Starling »

Em

Créature

Re : Quand la musique est bonne [PV Em]

Réponse 19 dimanche 12 janvier 2025, 08:32:50

Après, chanter n’était pas complètement terrible, quand c’était avec des gens sympas. J’aurais peut-être juste préféré ne pas le faire. L’admiration des autres, très peu pour moi, même si c’est quelqu’un qui n’a absolument aucune méprise ou émotion négative à mon égard. En soi, je ne m’attendais pas à une réaction de Rubis. Rubis avait du mal à se dégourdir, comme si elle avait peur de faire quelque chose d’incorrect. Comme si elle était capable de faire quoi que ce soit qui puisse me choquer, ou encore choquer Seto qui, pour sa part, resterait indifférent même si elle lui disait qu’elle avait assassiné un être humain de sang-froid.

Autant dire, donc, que quand elle me prend par la main pour aller danser devant Seto, je suis un peu surpris, et encore plus par le baiser qu’elle me colle sur la joue. Pas autant que je l’aurais été si elle s’était de son propre chef décidée à me rouler un patin, mais quand même agréablement surpris. Et donc, on danse. On danse sur tout ce qu’on entend. On danse sur la musique, peut-être, mais franchement, c’est juste une autre excuse pour être l’un contre l’autre. Du moins, c’est ce que je vois dans ses yeux.

Seto regarde donc le spectacle pour un moment. Seto, parmi toutes mes goules, est assurément le plus patient, et le plus en phase avec mes attentes et désirs. Je crois que, si j’avais été enclin au viol et au meurtre, il aurait peut-être même été le plus dévoué à la tâche, trouvant les victimes les plus exquises et dignes d’être suppliciées par mes mains. Mais à la place, il se concentrait simplement à s’assurer que je passe des bons moments. D’où ses approches séductrices envers Rubis, d’où les mots qu’il utilisait, comme pour la pousser à perdre tranquillement ses repères et ses inhibitions.

Après un moment de danse, je regarde Seto qui se relève de son siège, sans dire un mot, et plutôt que de coincer Rubis dans un sandwich, je m’écarte pour lui laisser la place, avant de changer la chanson pour une autre. Un rythme plus latin, plus sensuel, qui permettait donc à un geste plus rapproché.

Seto pose donc une main sur l’abdomen de Rubis en la calant contre lui, fléchissant un peu les genoux et abaissant sa tête pour essayer de se rapprocher un peu plus de la demoiselle qu’il dominait aisément d’une tête et demie. Une main sur l’abdomen, l’autre dans une main, le visage près du sien, il se met à danser avec une remarquable aisance malgré sa position précaire, entrainant Rubis dans une danse presque romantique si nos intentions n’étaient pas beaucoup plus sensuelles que Rubis ne semblait le prévoir.

On joue ainsi avec elle pendant un bon moment ; on se la partage, on se l’échange, et plus la soirée s’avance, plus les verres s’entasse pour Rubis et Seto. Mes verres, à moi, sont discrètement vidés dans celui de Seto, parce que je savais que boire le moindre verre de plus garantissait un vomissement hémorragique, et je n’avais pas envie de devoir nettoyer du sang de la moquette. Ou d’expliquer à Rubis comment une personne pouvait autant vomir de sang sans en crever.

Et puis, finalement, après quelques verres, et après quelques danses, et quelques conversations, je prends Rubis à l’écart et je l’emmène dans la salle de bain pour aller se ‘rafraîchir’. En fait, ce n’est que pour démarrer la seconde partie de mon plan.

Je me glisse derrière elle et je lui murmure à l’oreille.

– Tu sais, Rubis, lui dit-je avec un sourire, ce soir, c’est ta soirée.

Et je lui mets une main sur les hanches, embrassant son cou, puis sa joue.

– Tu as été sage pendant si longtemps. Et tu as un mec comme Seto qui semble juste attendre que tu lui fasses un signe... moi, je te dis ; on retourne dans le salon, et on lui saute dessus. Tu mérites de te faire gâter par un beau mec.

Je suis peut-être pas le tentateur le plus doué, ce prix revient clairement aux Ventrues et leurs putain de regard hypnotique. Moi, tout ce que j’ai, c’est peut-être assez de talent pour forcer quelqu’un à détourner la tête, mais surement pas à faire ce que je voulais. À la place, je devais me fier au charme de Seto. Et surtout, probablement, à la naïveté de Rubis.

– Et Seto est beau, et fort… et talentueux. Je crois qu’il pourrait te faire plaisir.

Qu’est-ce qu’elle allait choisir ? Elle qui avait passé les derniers mois dans un relatif célibat, qui ne pouvait compter sur rien d’autre que le jouet qu’elle cachait chez elle pour satisfaire un plaisir qu’elle savait que seules les attentions d’un être de chair et de sang pouvait lui accorder. Ou alors, est-ce qu’elle allait s’enfermer, de nouveau, dans un monde de retenues qui la privaient des belles opportunités ? Après tout, quelles étaient les chances qu’elle tombe sur un autre mec, comme Seto, qui ne cherchait pas à se l’approprier, mais simplement à lui donner une belle nuit, sans lui faire de mal ou de peine.

Rubis Starling

Humain(e)

Re : Quand la musique est bonne [PV Em]

Réponse 20 mercredi 15 janvier 2025, 22:29:37

La parade de la jolie albinos avait réussie, un doux baiser sur la joue en venant enlacer la belle brunette, Rubis s’empara ensuite de son amie en l’entraînant dans une danse, puis encore une autre, et une autre puis encore une, ainsi de suite, dansant en continue en laissant les musiques défilaient une à une.

Si au début cela avait été une contre-attaque pour se sortir de son embarras, la demoiselle aux prunelles écarlates prenait vraiment plaisir à danser contre sa belle amie. Son regard plongeait dans le sien à presque en oublier si elle dansait ou non en rythme avec la musique, Rubis voulait juste profiter de ce moment où elles étaient l’une contre l’autre, se laissant porter par cet instant qu’elles partageaient ensemble, avant qu’il ne finisse quand Emily céda sa place à Seto.

Rougissant doucement en regardant le séduisant brun face à elle, la petite Blanchette esquissa un doux sourire avant qu’ils ne commencent à danser, le laissant totalement faire quand il vint se positionner derrière elle en posant sa main sur son ventre tout en se saisissant de son autre main, avant que la musique ne se joue de nouveau et qu’une sonorité latino ne les entraînent tout deux dans une danse sensuelle et romantique.

Plusieurs danses s’enchaînèrent ainsi entre eux tout comme avec la belle brunette auparavant, passant du latino à la pop, au rock et même à l’électro mais aussi l’electrojazz. Divers types de musiques se jouaient donc durant la soirée, Rubis passant d’un partenaire à l’autre, dansant parfois même avec eux deux en même temps. S’amusant et profitant pleinement de ce moment dansant qui l’éclatait totalement car elle adorait ça, la faisant oublier sa gêne et la desinhibant de plus en plus au fur à mesure que la soirée avançait, l’alcool aidant bien entendu dans cette affaire.

La soirée se déroulait bon train grâce à la danse, l’alcool et le papotage entre-eux trois, s’amusant et profitant de ce moment fort agréable et plaisant. Mais une pause s’imposait pour ces dames, Rubis se faisant entraîner par Emily à la salle de bain, histoire de se refaire une beauté mais surtout papoter.

Et ce papotage ne laissa pas de marbre notre jolie albinos qui rougissait autant par les paroles que les gestes tendres de sa belle amie, l’écoutant malgré tout avec grande attention et bien sagement, tandis que son regard était rivé sur le lavabo de la salle de bain.

« Je… C’est à dire que… » commença d’abord timidement Rubis, se pinçant doucement les lèvres, n’osant pas relever le regard « Je… Tu sais… Je… Je sais bien que c’est idiot mais tu sais que… Je rêve de rencontrer quelqu’un… Pour de vrai… Pas juste pour un soir… »

Fermant les yeux en riant gênée, la demoiselle secoua la tête à la négative, les joues encore plus rouges.

« Je veux dire par « pour de vrai », rencontrer l’amour quoi… Connaître de vrais moments de tendresse, de douceur, sincérité… Toutes ces choses tu vois… Et… » lacha-t-elle timidement en rouvrant les yeux, son regard toujours rivé sur le lavabo, esquissant un petit sourire « Et je sais bien que tous le monde n’y croit pas à ça et… Et que ce… Ce genre de chose n’est pas aussi simple… Que l’âme sœur est… Compliqué à trouver et que certaines personnes ne la trouve jamais… Et moi, je… Je me demande si un jour… J’aurais cette chance… Si je pourrais vivre cela aussi…Si je le mérite… Et… Si quelqu’un voudra vraiment de moi aussi… »

Termina-t-elle par chuchoter tout bas quand elle confia se demander si elle aura cette chance, avant de se redresser doucement ensuite tout en restant coller contre son amie, son dos contre son torse, relevant la tête en venant la poser contre son épaule, la regardant gênée à cause de tout ce qu’elle venait de dire.

« Je… Désolée de t’embêter avec mes rêves de romance ce soir… Je… Je crois que je suis un peu pompette hihi… » riant avec légèreté et timidité, son regard fuyant sur le côté quelques instants en soupirant doucement « J’ai…  Tu sais… J’ai parfois peur de ne pas être fidèle à mes rêves et convictions d’amour… Quand je… Je me laisse tomber parfois dans des bras d’un homme pour un soir ou deux… Je… Je me sens l’âme d’une catin et… Je ne me sens pas digne de mériter un véritable amour… »

Fermant les yeux ensuite, Rubis frotta doucement sa tête dans le cou de son amie, esquissant un petit sourire en gardant les yeux fermés.

« Mais…J’ai envie de me laisser tomber ce soir… Je… J’ai envie de tout abandonner et tout oublier, juste un instant… Juste avoir un peu de tendresse ce soir… » ses yeux se rouvrant doucement en relevant son regard vers Emily, un petit sourire gênée sur ses lèvres « Tu… Est-ce que tu crois que c’est une bonne idée tout ça juste pour un soir ? »

Et après son beau et long monologue sur ses rêves d’amour ainsi que ses états d’âmes à son propos, Rubis redressa doucement sa tête pour la retirer de l’épaule de son amie, restant toujours contre elle de dos, la regardant dans les yeux de son regard si doux et naïf en attendant un signe ou une réponse de sa part.

Puis quand leur « petite » conversation fut finie, la jolie albinos sauta au cou de son amie pour lui faire un câlin, lui offrant ensuite un baiser sur la joue toute radieuse de nouveau.

« Merci Emily de m’avoir écouter et désolée encore de t’avoir casser les oreilles avec mes bêtises. T’es un véritable  amour, merci ! »

Et après un nouveau baiser sur la joue de son amie, Rubis se saisissa de la main de la belle brunette, sortant de la salle de bain avec elle pour aller retrouver Seto au salon, qui était rester sagement à les attendre en buvant un verre en attendant le retour ainsi que la suite de la soirée.

« Désolée pour l’attente… J’espère qu’on a pas été trop longue, je… C’est ma faute désolée… » s’excusa-t-elle timidement en venant caresser sa nuque en regardant le beau brun, jetant ensuite un regard à son amie avant de reporter son regard vers Seto, se pinçant les lèvres toute timide « Vous… Je… Heu… Quel est donc la suite de notre programme alors ? » arriva-t-elle a lâcher enfin timidement, continuant à se caresser la nuque tout en passant son regard du brun à la brunette, en se questionnant sur comment aller se dérouler la suite de la soirée à présent, appréhendant un peu cette dernière même.

Em

Créature

Re : Quand la musique est bonne [PV Em]

Réponse 21 mercredi 15 janvier 2025, 23:09:33

Putain, je crois que j’ai jamais entendu une nana se prendre autant la tête, sauf dans les séries pour… nana. Le genre de série où la meuf rôde autour du même mec pendant quatre saisons, que t’as presque envie d’entrer dans la télé pour lui tirer les cheveux et lui frapper la tête dans le mur tellement elle rate tous les signaux ou laisse les malentendus l’éloigner de son objectif final, qui est une baise digne de ce nom. Ou « l’amour » avec un grand « A ». Rubis me fait souvent penser à ces meufs qui refuseraient un diamant si elle apprenait que, quelque part dans la chaîne d’acquisition, il était passé entre les mains d’un chef de guerre tyrannique du tier monde. L’achat est déjà fait, le mec n’en bénéficiera et n’en souffrira pas plus, et personne n’a aucune chance de savoir la provenance du bijou à moins qu’elle en parle.

Elle veut l’amour, mais elle vit à Seikusu, au Japon. L’amour est tellement secondaire que le mariage arrangé y existe encore.


– Rôh, fais-je. Allez, quoi, Rubis. Depuis quand une petite sauterie fait d’une fille une pute, quoi. C’est quoi, dans trente minutes, tu vas m’traiter d’pute ? J’ai dû baiser quatre mecs juste cette semaine. L’âme sœur, ma grande, elle va te trouver. P’t’être pas ce soir, ce soir, c’est toi, moi et Seto, mais qui sait. Et quand elle va te trouver, crois-moi, tu vas vouloir lui faire une baise digne de ce nom. Tu vas le jeter au sol, tu vas lui grimper dessus et tu vas le prendre en entier, parce que tu vas rendre ce mec complètement fou de toi et incapable de s’passer d’tes cuisses.

Je glisse mes mains sous son chemisier, jusqu’à m’emparer de ses généreux atours, et de les masser entre mes mains, comprimant la chair sous mes doigts au travers du tissu et du rembourrage de son soutien-gorge, avant de poursuivre en suçant son lobe d’oreille :

– T’as un corps parfait, Ru’. Et quel intérêt d’avoir des atours pareils s’ils ne t’accordent pas un peu de plaisir à l’occasion ? J’te dis pas de t’jeter dans des gangbangs ou de tourner dans un porno –quoi que si tu veux le faire, je connais un excellent producteur, y’a max de thunes à se faire–, je te dis juste de profiter un peu. Et pour répondre à ta question…

Je lève la main droite, révélant la culotte subtilisée de Rubis, et je la fais tomber au sol.

– Je crois que c’est une putain de bonne idée.

Elle enchaine avec un bisou sur la joue. Putain d’allumeuse, même pas foutu de me rouler une pelle. Quoi, j’suis pas assez bien pour ses quelques expérimentations lesbi– ouais, bon, j’suis pas une meuf, d’accord, mais elle en sait rien. Mais elle va bientôt le savoir. Ça, il n’y a aucun doute possible.

On retourne donc vers Seto, qui depuis avait fini encore quelques verres. Peut-être pour se donner du courage, ce qui serait étonnant vu que j’ai fait tout le travail pour lui… enfin, pour moi, principalement, mais il allait aussi en bénéficier. Et elle lui demande alors quel était la suite du programme. Et comme je sais que Seto risque de m’interroger du regard, je les prends tous les deux par la main et je les emmène vers la chambre des maîtres.

Une fois à l’intérieur, je pousse Seto vers l’avant –bouge ton cul, tocard– et je me tourne vers Rubis.


– Là, ma belle, le programme, c’est ‘Rubis prend son pied’. Tu demandes plus rien ; t’as envie d’un truc, tu le fais. Tu le prends. Tu t’affirmes, meuf, tu fais ce que tu ferais si t’avais pas constamment peur de vexer un autre.

Et j’crois que c’est peut-être la chose la plus difficile que personne n’a jamais demandé de Rubis. Mais je suis excellent pédagogue, et donc, je la pousse contre la commode, et je lui roule une pelle endiablée, fichant ma langue dans sa délicieuse petite bouche aux lèvres sucrées, en glissant un doigt sur son chemisier et faisait sauter les boutons du bout d’un doigt, révélant son soutif, mais également son buste et son abdomen. Je lève les mains, et je les glisse dans ses cheveux. Je les mêle, je défais sa coiffure, comme pour chasser sa bienséance par la même occasion.

Je la pousse contre la commode, mettant fin au baiser, avant de lui tourner le dos. Je me penche et, faisant tâche de montrer mes fesses à ma « copine », je retire mon propre sous-vêtement, puis mes chaussures, avant de m’approcher de Seto, roulant des hanches moins pour son bénéfice que celui de Rubis, pour lui montrer ce que je veux dire par "arrêter d'attendre" et "Prendre les choses en main."

Au tour de Seto d’être bousculé. Il tombe assis sur le lit. Je lui agrippe la mâchoire et je lui roule une pelle digne de ce nom. Je n’attends pas, je lui agrippe la chemise et je tire les pans ; les boutons cousus sautent et tombent en partie au sol, les autres pendant lamentablement au bout de leur fil. Je me penche et je lèche son pectoraux, avant de grimper sur le lit, passant derrière lui, et promenant mes mains sur lui. Le regard de Seto, cependant, ne lâche pas Rubis une seule seconde. Malgré mes avances, son regard n’est que pour elle. Comme si je n’étais qu’un accessoire au tableau d’homme sexuel qu’il se tâchait de dégager. Je pose mon menton sur son épaule, et je regarde Rubis par-dessus, la fixant avec un air d’invitation, tout en glissant une main plus bas, sur la ceinture du Yakuza, et la débouclant d’une seule main.


– Viens, ma belle~

Rubis Starling

Humain(e)

Re : Quand la musique est bonne [PV Em]

Réponse 22 jeudi 16 janvier 2025, 01:15:58

La douce et naïve demoiselle fut bien surprise de la réponse de son amie après son beau et long monologue sur l’amour et ses états d’âme qui en découlait. Rougissant autant aux paroles compatissantes et encourageantes ainsi qu’aux remontrances et compliments à son égard de la belle brunette, Rubis était plus que gênée et ne savait plus où se mettre, se laissant faire tout en écoutant son amie, son visage entièrement rougis de la situation et son coeur battant à tout rompre dans sa poitrine.

Muette comme une carpe durant une grande partie de la prise de parole d’Emily, ne sachant trop quoi dire et n’osant pas comme à son habitude très souvent, la jolie albinos ouvrit de grands yeux choquée en rougissant encore plus quand elle entendit son amie lui parler de porno, ses yeux laissant transparaître un « Ho seigneur non ! » sans avoir à le dire car il était écrit en gros sur son visage. Mais son regard redevint attentif quand la belle brunette s’apprêta à répondre à sa question, la regardant lever sa main et lui montrer sa culotte, faisant ouvrir de nouveau de grands yeux surprise à l’albinos qui redevint rouge comme une pivoine.

« Que… Quand est-ce que  tu as… ? Comment… ? Je… »

Balbutia-t-elle toute gênée, passant son regard de sa culotte à son amie, rougissant encore plus en entendant Emily l’encourager dans son idée de se laisser aller ce soir. Et malgré la situation plutôt cocasse et un peu gênante, Rubis esquissa un petit sourire timide en regardant son amie, hochant doucement de la tête comme pour confirmer que c’était décidé, elle allait donc se laisser aller ce soir à son désir de tendresse.

Et c’est donc ainsi que la mignonnette guimauve qu’était Rubis vint remercier sa belle amie adorée, venant lui baiser la joue en lui offrant un gros câlin naïvement, avant de se saisir de sa main et de retourner au salon avec elle pour rejoindre Seto, demandant la suite du programme. Et la suite du programme fut des plus surprenante ! Sentant Emily la traîner par la main avec Seto en direction de la chambre, la voyant pousser le beau brun dans la pièce avant de la regarder et lui déclarer que la suite c’était qu’elle devait prendre son pied et faire ce qu’elle voulait, Rubis redevint rouge comme une jolie tomate avant de se pincer les lèvres toute gênée en regardant son amie.

Mais elle était pas au bout de ses surprises quand la belle brunette vint la pousser dans la chambre, venant la buter dans une commode avant de l’embrasser à la française tout en ouvrant sa chemise, faisant rougir de plus belle la demoiselle qui sentit l’air frais caressait la peau de son buste presque à nue, dévoilant ainsi une partie de ses atout avec sa voluptueuse poitrine recouverte de son soutient-gorge noire en dentelle, maintenant à la vue de tous ce qui faisait encore plus rougir la mignonnette. Puis quand elle sentit Emily venir passer sa main dans ses cheveux pour jouer avec et la décoiffer, Rubis frisonna légèrement à en avoir une légère chaire de poule, gémissante doucement autant à cause du baiser de la belle brunette que de ses mains dans sa chevelure.

Et quand la brunette libéra enfin les lèvres de l’albinos avant de lui tourner le dos, Rubis regarda son ami ôter un de ses sous-vêtements ainsi que ses chaussures, le tout en lui offrant une belle vue sur ses fesses qui ne manqua pas de faire rougir la demoiselle, détournant le regard ailleurs quelques secondes avant d’attendre que son amie se relève et se dirige vers le lit, la regardant faire un putain de roulage de hanches digne d’un mannequin en lingerie sur les podium en allant rejoindre Seto pour s’occuper de lui.

Ne les quittant pas du regard, Rubis les regardait tous les deux sur le lit, voyant Emily embrasser Seto et faire péter sa chemise, avant de venir se mettre derrière lui en baladant ses mains sur lui, faisant rougir de plus belle la demoiselle de la situation, commençant à comprendre que tout cela allait finir en plan à 3. Déglutissant doucement alors que le rouge ne voulait pas quitter ses joues, la jolie albinos se demanda comment ça allait se passer, appréhendant un peu la situation. Car elle n’avait jamais fait cela, cela ne l’avait jamais attirer car bah, c’était Rubis, elle était très fleur bleue et vieux jeu en prime, c’était une grande rêveuse d’amour et douceur qui avait au final pas coucher avec grand monde de son propre chef (mais sous la contrainte de son job actuel ou de son ancien en Suède sous les ordres de son ancien fiancé, oui). Donc les plans à plusieurs et partouzes c’était pas son truc du tout, elle avait même aucune idée de comment cela fonctionnait d’ailleurs.

C’est donc toute timide et fébrile que la demoiselle ne savait pas quoi faire, regardant Seto et Emily sur le lit, entendant l’invitation lancée par sa belle amie et croissant le regard du beau brun qui ne la quittait pas des yeux, la faisant rougir tandis que son coeur tambourinait légèrement dans sa poitrine. Tel un petit animal craintif, Rubis n’osait pas bouger, ne sachant pas quoi faire et ayant peur aussi, mais Seto ne cessait de la regarder en souriant avec douceur, arrachant un petit sourire timide à la jolie albinos. Et comme pour appuyer l’invitation d’Emily mais également donner du courage à la demoiselle, Seto tendit une de ses mains, paume en avant, comme pour l’inviter à venir se saisir de sa main comme dans une danse.

Timidement, Rubis esquissa un petit sourire gênée, hochant doucement de la tête et avançant doucement et lentement vers le lit, un peu sur la défensive. Puis toujours timidement, elle posa sa main dans celle de Seto, tremblotante et inquiète, alors que le beau brun n’arrêtait pas de la regarder en lui souriant, l’attirant doucement et délicatement sur le lit, ne lui faisant pas remarquer qu’elle avait encore ses talons aiguilles, car il voyait bien qu’elle était toute fébrile et qu’il fallait donc apprivoiser cette petite demoiselle ingénue.

« Je… Je suis désolée… Je n’ai pas l’habitude… Je… »

Et c’est tel un gentleman, tout en laissant Emily jouait avec lui et son corps, qu’il écouta attentivement la petite demoiselle, venant secouer doucement la tête à la négative pour dire que cela n’était rien en voulant la rassurer. Et attirant un peu plus Rubis vers lui, Seto rapprocha délicatement la main de la demoiselle qu’il tenait dans la sienne près de son visage, venant y déposer un doux baiser dessus en gentil homme, essayant de faire tout pour la rassurer et qu’elle se sente à l’aise.   

Et cela marcha, en tout cas un peu, il fallait être patient pour apprivoiser cette demoiselle mais avec un peu de douceur et de patience, elle se senta un peu plus à l’aise malgré le rouge sur ses joues et elle osa timidement se rapprocher un peu plus de Seto, venant lui donner un baiser sur la joue qui lui arracha un sourire amusé, avant d’avoir le plaisir de pouvoir goûter à un baiser timide sur le bout de ses lèvres. Ça y est, Rubis se sentait un peu plus à l’aise et se détendait, il suffisait de continuer sur cette voie-là pour qu’elle continue de se lâcher et commencer à prendre les choses en main.

Em

Créature

Re : Quand la musique est bonne [PV Em]

Réponse 23 jeudi 16 janvier 2025, 06:16:53

OK, j’veux bien admettre que j’suis pas la meilleure tacticienne de tout le nord-nord-ouest de Seikusu – franchement, qui l’est, à part les geeks qui passent leurs nuits sur des jeux de stratégie ? – mais là, faut pas déconner, y’a des limites, nan ? J’étais persuadée de l’avoir bien préparée, l’autre. Genre, j’ai fait tout ce qu’il fallait : briefing rapide, motivation en béton, petite mise en situation pour chauffer l’ambiance... le truc parfait quoi. Et qu’est-ce qu’elle me sort ? Rien. Que dalle. Elle fige. Complètement.

Et attends, c’est pas comme si j’avais sorti un coup d’éclat ou un plan machiavélique à dix dimensions, hein ! Non, c’était tout simple, basique. Genre, le niveau ultra mild. Le truc que même une universitaire un peu à l’aise avec la biologie pourrait gérer. Mais elle ? Elle plante. Elle bugue. Comme un vieux Windows Vista en plein écran bleu de la mort. Sérieux, j’en reviens pas.

Et là, je me retrouve comme une conne à essayer de rattraper le coup. Mais t’as déjà essayé de relancer quelqu’un qui est en mode error 404 ? Spoiler : c’est impossible. T’as beau faire des grands gestes, tenter de lui parler doucement, ou même balancer une petite pique pour la booster, ça bougera pas. Elle est juste là, à clignoter entre « j’ai peur » et « je comprends pas ce qui se passe ». J’te jure, c’était presque fascinant de voir à quel point elle était bloquée.

Et le pire, c’est que je peux sentir que Seto, monsieur-toujours-plus-malin-que-tout-le-monde, se paie ma tête intérieurement, en plus. Alors, il est peut-être plus doux et plus adroit que moi, j’veux bien, mais merde, quoi ! J’suis quand même cent fois plus… ‘fin bref. Connard. Mais j’dois me calmer. Ca sert à rien de rester énerver ou de faire monter la pression. Rubis est juste… pas dégourdie, c’est tout.

Je relâche Seto et je me glisse sur le lit, réajustant mes cheveux derrière mes oreilles –moi qui essayait de donner une ambiance un peu plus
hot à la soirée, et je pose les mains sur le lit, croisant les jambes et regardant le plafond.

Alors que je prends une pause, Seto, lui, ne se laisse pas prier. Avec ce suave travaillé, ce talent pour la gente féminine –je le sais, c’est justement cette manière séductrice qui a fait sauté ma culotte la première fois–, il prend le visage de l’autre platinée avec une de ses grandes mains de monsieur et, avec une douceur à me faire vomir, il l’approche de lui, et pose un baiser sur son front, puis sur sa pommette et sa joue. J’entend chaque baiser, et franchement, j’ai envie de juste… cogner un truc tellement c’est rose bonbon et innocent comme approche.

Et là, il sort une phrase du genre :


– Tu n’as pas à l’écouter, Rubis. Prend ton temps. On peut même retourner dans le salon, si tu es plus confortable.

Ah, le bâtard ! Sa mère la pute ! Il tire une balle dans mes plans, en plus ! Retourner dans le salon ! Mais merde !

Je lâche un soupir, et je me gratte furieusement la tête, pour essayer de reprendre un peu de sang-froid. Autant ça me fait bien chier de l’admettre, j’crois bien qu’il a
peut-être raison. J’ai peut-être trop poussé. Mais peut-on vraiment blâmer une meuf de s’être essayé ? Je veux dire… Rubis a autant l’air d’avoir besoin d’une bonne baise bien décadente que j’ai besoin de faire le plein de sang dans les jours qui viennent. Mais… peut-être que ma méthode lui fait peur.

Enfin, je dis ça, ca me parait gros, quand même, parce que là, à ce rythme, elle peut pas regarder Scary Movie 3 sans supervision. Et c’est une putain de blague.


– J’m’excuse, Rubis.

C’est la première fois en… [insérez un nombre d’années ici] que j’ai pas vraiment ressenti de l’embarras, ou de la culpabilité. Et j’suis même pas sûr que c’en est, mais même moi, je sais que la diplomatie, des fois, ca paie mieux que le bâton… bien que je ne suis absolument pas contre l’idée d’utiliser une matraque pour arriver à mes fins si cette fois, ca marche pas encore.

– J’veux juste te faire passer un bon moment, quoi.

Rubis Starling

Humain(e)

Re : Quand la musique est bonne [PV Em]

Réponse 24 vendredi 17 janvier 2025, 21:41:02

Fébrile et toujours effrayée malgré qu’elle se soit rapproché d’eux et soit montée sur le lit, Rubis ne savait pas quoi faire ni vraiment comment réagir. Mais elle osa effectuer une légère approche timide en embrassant Seto, qui lui rendit bien à son tour tout en douceur en venant se saisir de son visage et y déposer plusieurs baisers, la rassurant ensuite en essayant de la mettre plus à l’aise.

Esquissant un petit sourire timide en le regardant gênée, son coeur battant tandis que ses joues rougissaient si près de lui, la jolie albinos fit une petite salutation de tête pour le remercier d’être si prévenant avec elle.

« Je… C’est vrai-vraiment très gentil… Merci Seto… »

Répondit-elle d’une petite voix un peu tremblante, son regard troublé et inquiet plongé dans le sien si doux et posé.

Et tandis que le séduisant brun caressait avec délicatesse la joue du petit agneau craintif près de lui, ressentant Emily pester dans son dos allongé sur le lit, il ouvrit légèrement le regard en entendant son dominateur s'excuser, surpris d’entendre cela. Rubis quant à elle ouvrit de grands yeux, quittant les beaux yeux de Seto pour tourner son visage vers son amie derrière lui, la regardant allongé sur le lit en se grattant la tête, l’écoutant reprendre la parole en venant lui dire qu’elle voulait juste lui faire plaisir.

À ses mots, les grands yeux naïfs et doux de l’albinos clignèrent plusieurs fois, avant que ses sourcils ne s’abaissent en ayant une mine légèrement triste, se sentant désolée de la situation et ayant peur de faire de la peine à son amie.

« Je… Tu… Ne t’excuse pas Emily, s’il te plaît…  » une petite voix douce désolée en secouant doucement la tête à la négative, venant poser sa main de libre sur sa poitrine, regardant sur le côté timidement en n’osant pas affronter le regard de la belle brunette « Je… Je ne suis pas habitué à ce genre de chose… Je… C’est une première pour moi… Je… Je n’ai jamais fais ça à 3 et je… Je n’avais pas tout à fait compris ça non plus pour être honnête… Je… C’est déjà compliqué quand c’est à 2… Je ne sais pas toujours comment réagir… Donc à 3, je… Je… Je ne sais pas comment ça marche puis ça me laisse un peu perplexe tout ça… »

Avoua-t-elle timidement en jouant avec le ruban de son soutien-gorge, regardant toujours sur le côté, avant de rire un peu gênée de son aveu. Et c’est toujours avec une petite mine entre l'embarras et l’excuse que Rubis reporta son regard vers son amie, la regardant en esquissant un petit sourire.

Puis malgré sa crainte et son appréhension qui l’avait figé sur place, la demoiselle commença à se mouvoir lentement, relâchant doucement la main de Seto pour aller voir Emily, marchant à genoux sur le lit pour se rapprocher d’elle et s’asseoir à genoux à ses côté.

« Je… Je te remercie d’autant te soucier de moi Emily… Et merci pour ce que tu as fais ce soir pour moi… »

Un doux sourire sur les lèvres et un regard tendre en regardant la brunette, l’albinos rougissait légèrement en ne quittant pas son amie du regard, avant de se pencher lentement vers elle et déposer un timide baiser sur ses lèvres pour appuyer son remerciement, faute de French kiss et courage pour le faire aussi sans doute.

Après cela, la mignonnette se redressa lentement, regardant son amie avec les joues rouges et un petit sourire timide au visage, riant avec légèreté et gêne de son geste.

Et pendant ce temps, Seto admirait la scène sans un mot, souriant en les regardant ensemble avant de reporter son regard vers Emily, lui suggérant par le regard de faire autrement pour la soirée, comme retourner au salon comme il l’avait suggérait un peu plus tôt, proposer un film ou autre chose  histoire d’apprivoiser un peu plus le petit agneau effrayé avec eux, afin qu’elle se sente plus confortable pour la suite.

Em

Créature

Re : Quand la musique est bonne [PV Em]

Réponse 25 samedi 18 janvier 2025, 01:20:41

SON OF A SHINTOIST WHORE!

Encore il me tire une balle dans les pattes, l’autre ! Il veut quoi, que je lui shoote dans les testicules avec une batte !? Et il se prend pour qui, lui ? Son père porte des short shorts en décembre, il a pas de leçon à faire aux autres !

Aaaaaaah. Merde. Oh, et puis, à quoi bon, finalement ? Mes plans sont déjà foutus. D’accord, elle a pris un peu sur elle pour faire des baisers, mais putain, quoi. J’suis peut-être pas très ‘viol’, parce que j’suis passé au travers et ça m’a pris trois décades pour m’en remettre, donc je vais pas lui faire le coup de l’hypnose. Ma soirée est fioutue. Et j’ai faim, en plus. Allez. On décolle, et je la laisse se relever, en lui rendant sa culotte par la même occasion, arrachant un regard surpris à Seto, qui n’avait manifestement pas pigé jusqu’où j’étais allé pour essayer de faire passer la soirée à grande vitesse. À son regard, je réponds par un discret doigt d’honneur, pour bien lui faire comprendre à quel point j’suis colère, mais que je peux pas lui exploser à la gueule parce qu’on a une invitée, et que je compte pas brûler les ponts avec celle-là pour le moment.

Je me relève, je remets mes cheveux en place avec mes ongles, et je vais ramasser ma culotte et mes chaussures. Un pied après l’autre, je l’enfile, et je relève ma jupe pour faire remonter le vêtement jusqu’en haut, faisant claquer l’élastique sur mes hanches avant de la laisser retomber et de la lisser.

Cachant au mieux mon moral, je m’assois sur le canapé pendant que Seto reboutonne sa chemise et reboucle sa ceinture, toujours avec son putain d’air digne et décontracté. Si je pouvais, j’lui en collerais une, en ce moment. Ah, il fait bien le malin, lui. Mais plus tard, je le fous au lit et je vais prendre mon déjeuner en lui mordant la bite. Rien à foutre. Il a le buffet Emmy à volonté, je le suce aussi souvent qu’il le veut, je le SAUTE aussi souvent que possible, et il me fait le coup du chevalier blanc. Connard. Après, il a probablement raison ; si j’pousse plus loin, ca risque de déraper dans un sens où je ne pourrais pas rattraper.

Une fois tout ce beau monde de nouveau présentable, je me dirige vers le salon, et j’entends Seto parler à Rubis, à voix très basse :

Elle fait la gueule, mais ca va lui passer, t’inquiète pas.

Je tourne la tête vers lui, et il fait mine de regarder ailleurs, comme s’il avait vu quelque chose d’intéressant au plafond.

Non mais je vous ai dis, hein. C’est un connard. Un gros connard. Enfin… subjectivement, bien sûr. Après, c’est sûr que s’il n’était pas là, quitte à ne pas sauter Rubis, j’lui aurais probablement sauté dessus juste pour me faire mon déjeuner. Ah là là. À avoir sû, j’aurais drainé son collègue avant de lui foutre la tête dans les chiottes. Qui aurait cru qu’un jour, je regretterais un toilettage en règle ?

Je fais un détour vers le frigo, et je choppe une bouteille rouge avec un sticker fait à la main sur lequel était écrit ‘jus de tomate fait maison’. Un autre nom pour parler de sang, lorsqu’on essaie de se faire passer pour humain ; c’est pas du sang ! C’est du ketchup ! Mais non, monsieur l’agent, c’est juste ma copine qui a eu ses règles sur mon t-shirt ! Ah bah, ça, mon bon monsieur, c’est du jus de tomate, faut pas vous inquiéter !

Je m’assoie sur le canapé, et je ronchonne, pendant que Seto, pour sa part, s’assoit avec Rubis, lui sourit et la serre contre lui. Awai, carrément, le mec, il va jouer le réconforteur ? Devant moi !? Rien à foutre, moi ! Je suis un grand garçon ! Je me fais pas avoir dans ses conneries ! Je mets le fi---

Aahn ! Mhh ! Harder, daddy, give it to me! Give i––

ARGH!

VITE! CHANGER LE CANAL! VIIITE!

J’appuis sur un chiffre au hasard pour changer de chaîne, et je regarde vers Seto, qui lève une main en mode ‘qu’est-ce que tu fous ?’

Oui, bon, ça va, j’avais oublié que j’avais mis la pause dessus ! Ca arrive !

Je mets un film populaire du moment, une comédie romantique. J’aurais préféré un film d’horreur, mais Rubis avait déjà assez les chocottes comme ça. Gamine, va.

Rubis Starling

Humain(e)

Re : Quand la musique est bonne [PV Em]

Réponse 26 samedi 18 janvier 2025, 14:25:00

Rubis regarda son amie se relever du lit sans un mot en lui tendant sa culotte subtilisé à la salle de bain, faisant rougir comme une belle tomate la demoiselle qui la récupéra timidement en hochant doucement de la tête pour la remercier. Et tandis qu’Emily s’éloignait du lit pour récupérer ses affaires sans piper un mot, la jolie albinos jeta quelques regards à son amie, se disant qu’elle devait être contrarié car elle n’avait rien dit.

Se sentant un peu coupable, elle se pinça doucement les lèvres en baisant la tête en regardant sur le côté, se demandant ce qu’elle pouvait faire pour que son amie aille mieux, ne pouvant s’empêcher de se dire qu’elle l’avait peut être blesser à cause de son comportement de peureuse naïve qui remporte toutes les compétions de sainte-nitouche (mais que l’on peut quand même toucher - ok ok arrêtons les plaisanteries et reprenons sérieusement).

Et alors que la belle brunette termina de se rhabiller sans un mot, la jolie albinos se mit sur le bords de lit et enfila timidement sa culotte en dentelle noire, venant à se relever pour terminer de l’enfiler en faisant remonter légèrement sa jupe crayon en ne cessant de rougir en sentant l’air caresser sa peau nue. Et une fois sa culotte remise, elle remis sa jupe bien en place et ferma délicatement sa chemise, remarquant qu’un des boutons au niveau de sa poitrine avait lâché et offrait ainsi une belle vue sur un décolleté bien plongeant, n’arrangeant pas ses rougissements sur le coup. Essayant de ne pas penser à cela, Rubis se recoiffa avec ses doigts afin de remettre à peu près en place sa coiffure, son regard se baladant lentement dans la pièce pendant qu’elle faisait cela, finissant par croiser celui de Seto qui était entrain de terminer de se préparer.

Esquissant un petit sourire gênée en regardant le séduisant brun, la demoiselle rougissa légèrement en le voyant se diriger vers elle, venant l’aider à replacer en douceur quelques mèches de sa frange sur son front en souriant. Faisant rougir de plus belle la mignonnette qui hocha timidement de la tête pour le remercier, avant de se saisir de la main qu’il lui tendait pour suivre Emily qui entama le pas en faisant résonner les talons de ses chaussures dans toute la pièce en se dirigeant au salon, Rubis haussa légèrement un sourcil en écoutant Seto  lui dire que la brunette faisait la tête mais que ça allait lui passer. Jetant instinctivement un regard vers son amie après cela, elle put la voir tourner la tête en fusillant Seto du regard, la faisait reporter ensuite son regard vers le brun qui fit mine de regarder ailleurs, faisant légèrement rire la demoiselle qui trouvait cela amusant, venant se reprendre ensuite pour ne pas énerver plus son amie qui boudait en ce moment.

Arrivé enfin dans le salon et prenant tous place dans le canapé de nouveau, Rubis se laissa totalement faire par Seto qui la gardait prés de lui et la serrait tendrement, la faisant toujours légèrement rougir de cette proximité mais qui ne lui déplaisait pas au contraire. Et alors que la mignonnette Blanchette regarda timidement le séduisant brun souriant, elle ouvrit de grands yeux en entendant la télé s’allumait et le son qui en sortait, la faisant avoir un visage rouge pivoine, gênée d’entendre tout ces cris et supplications sexuelles qui émanait de la télé qu’elle en laissa tomber sa tête contre l’épaule de l’homme à ses côtés, comme se cacher contre lui.

Entendant Emily enfin parler en disant qu’elle avait oublié qu’elle avait mis ce film qui se jouait en pause, tout en changeant rapidement de canal et zappant après plusieurs chaînes à la recherche de quelque chose. Entre gêne et amusement, la demoiselle ria quelques instants contre l’épaule de Seto, autant amusé par la situation que la justification de son amie, avant de regarder timidement le brun contre lequel elle avait pris appuie, esquissant un petit sourire timide en croissant son regard, reportant ensuite son regard vers l’écran lorsque que la belle brunette se stoppa sur une chaîne avec une comédie romantique.

Profitant calmement du film qui se jouait à la télé, riant parfois ou non aux blagues et situations bien cocasses qui s’y déroulaient, une petit pause publicitaire vint interrompre ce moment bien trop calme. Tel un gentil homme, Seto proposa d’aller prendre quelque chose à boire pour tous le monde, venant poser un baiser sur une des mains de Rubis dont il se saisissa avant de se lever et partir vers la cuisine. Rouge comme une belle tomate ou bien comme ses jolies mirettes écarlates, Rubis regarda Seto s’éloignait en se retrouvant seule avec Emily, reportant donc son regard vers son amie.

Mais quelque chose l’interpella sur le visage de son amie, la faisant cligner plusieurs fois des yeux avant de rire tendrement en la regardant.

« Emily, tu… Tu as quelque chose là… »

Dit-elle avec douceur en se rapprochant d’elle sur le canapé, venant se mettre à côté d’elle et naturellement lever une de ses mains vers le visage de la brunette, venant essuyer une trace d’un liquide rouge à côté de ses lèvres en riant amusée et tendrement.

« Tu as bue comme un petit cochon Emily… »

Riant toujours en la taquinant un peu, l’albinos reporta son doigt avec le liquide à sa bouche pour le sucer et enlever toute trace du liquide sur son doigt. Mais quand elle eut son doigt en bouche, le suçotant légèrement, Rubis fronça légèrement les sourcils en essayant de reconnaître le goût de ce que cela c’était, avant de reconnaître un goût ferré proche du sang.

Cela la fit ouvrir de grands yeux paniqués, regardant son amie avec inquiétude en enlevant son doigt de sa bouche tandis que ses yeux tremblés de peur de nouveau.

« Emily ! Mon dieu ! Qu’est ce qui se passe ?!? Tu es blessé ?!? »

Et en ni une ni deux, Rubis attrapa le visage d’Emily entre ses deux mains et la regarda, la scrutant presque comme une mère inquiète à la recherche d’une blessure sur le visage de son môme tout paniquée. Pendant ce temps, Seto revint dans le salon et regarda le spectacle, restant calme mais se retenant de pouffer de rire face à la scène forte amusante, se demandant comment son dominateur allait se sortir de cela ou s’il allait avoir besoin de son aide pour se dépatouiller de son amie qui lui scrutait le visage de partout à la recherche d’une potentielle blessure inexistante.

Em

Créature

Re : Quand la musique est bonne [PV Em]

Réponse 27 mardi 21 janvier 2025, 06:22:54

– Emily, tu… Tu as quelque chose là…

J’avale ma gorgée en clignant des yeux alors que Rubis m’adresse la parole ; non mais de quoi je me mêle, sérieusement ? Si j’ai envie de me tartiner de jus de tomate, je fais encore ce que je veux, non ? J’suis chez moi ! Enfin… chez Seto, mais techniquement, si Seto m’appartient, ce qui lui appartient m’appartient aussi, non ? C’est logique ! Vive le système féodal !

En vrai, j’suis pas vraiment si fâché que ça. J’exagère un peu mais comme je peux pas dire ce que je pense, autant que je le pense encore plus fort, nan ?

 Je la vois qui se lève et s’approche. Tiens, bizarre, je croyais qu’elle resterait à distance. Mais comme elle se lève, je sais qu’elle déconne pas, que j’ai probablement effectivement quelque chose sur la gueule, donc j’essaie d’atteindre le bout qu’elle m’indique avec la langue, mais n’ayant pas la dextérité linguale de Scooby-Doo, ca ne semble pas avoir marché.


– J’l’ai eu ?

Rubis m’essuie du pouce, et fait une vanne. Lorsque je la voie approcher son doigt de sa bouche, et simultanément, presque par réflexe, je tends le bras pour essayer de l’arrêter, mais trop tard, elle a déjà goûté. Omerde. Oh merde, Oh putain, oh non. Non mais ça, faut pas !

Elle panique. Bien sûr qu’elle panique ! Moi aussi, je panique ! Pourquoi elle met des trucs randoms dans sa bouche !? Attends, non, pourquoi elle met des trucs randoms que je ne VEUX PAS qu’elle mette dans sa bouche ? Elle aurait pu sucer le petit bout rouge de Seto, à la place ! Mais non, à la place, elle me met dans la merde. Dans la panique, alors qu’elle me choppe la tronche et m’examine comme une auscultatrice à deux ronds ! De réflexe, je lui enlève les mains et je les tape, répétitivement alors qu’elle essaie de me reprendre le visage.

–Non mais ça va, arrête ! Arrête ! C’est rien !

Elles sont chiantes, ces mortelles ! Encore une fois ; mais de quoi je me mêle ? J’entends Seto ricaner derrière elle ! Il se paye ma tête, le batard ! OoooOOoh, je vais tellement le cogner… non, pis ! PIS ! je vais le topper, le fils de pute ! J’vais lui défoncer sa rondelle et le forcer à m’appeler daddy ! Merde ! On rit pas de son domitor ! Ça ne se fait pas ! Je bois l’intégralité de ma bouteille, je me lève, je la jette dans l’évier, je vais chercher un carton de lait, je reviens vers Rubis, j’ouvre le carton de lait et je lui enfonce le bec dans la bouche.

– ALLEZ ! GLOUGLOU !

Alors, on se calme, je lui fais pas boire l’intégralité du truc, juste assez pour noyer le goût ferreux. Alors, faut que je trouve une excuse à ce qui pourrait donner à du jus de tomate un goût de sang… et je déclic. Putain, idée de génie.

– C’est rien, c’est juste du jus de tomate avec lequel j’ai déconné un peu ! J’ai fait des mélanges chelous, mais j’veux pas gaspiller, c’est tout !

Haha ! Sauvé !

Même Seto me regarde avec un air de ‘attends, c’est quoi ces conneries’, et surtout n’est pas 100% convaincu que cette explication puisse satisfaire Rubis, mais ça va, quoi, sans être conne, Rubis, elle a pas non plus inventé l’eau chaude, et elle sait pas ce que je fais de mes temps libres, alors, j’ai de bonnes chances de m’en tirer, même si c’est un peu bateau.


– Nan mais sérieux, bois pas ces trucs. Y’a que moi pour boire ces trucs, et c’est bien comme ça.

Je la pousse de nouveau vers le canapé, et je m’assoie en biais de Seto, qui avait repris sa place, avec elle. Seto lui tend donc son brevage, et je le tiens pour Rubis, gardant celle-ci assise entre mes cuisses.

Rubis Starling

Humain(e)

Re : Quand la musique est bonne [PV Em]

Réponse 28 mercredi 22 janvier 2025, 20:51:47

Alors que Rubis était en panique car elle pensait que son amie était blessée, elle n’arrêtait pas de la zieuter en lui tenant le visage telle une mère à la recherche d’une blessure sur le minois de son chérubin. Mais la demoiselle était interrompue plusieurs fois dans son investigation, se faisant taper les mains et retirer plusieurs fois du visage de la brunette par ses soins, l’entendant piailler comme un môme qui refuse qu’on le touche.

« Mais mais mais Emily ! Arrête de faire le bébé et laisse moi voir, tu es peut-être blessée ! »

Essayant de rétorquer et de retourner à son inspection, la jolie albinos subissait de nouveau les tapes d’Emily sur ses mimines qui essayaient de reprendre son visage, l’empêchant donc de faire correctement son travail d’infirmière dans l’âme et devant donc s’avouer vaincue face à la brunette qui refusait l’accès à son jolie minois. Tout cela faisait soupirer la demoiselle pendant que sa belle amie termina d’engloutir sa bouteille alors que Seto ne retenait plus ses rires derrière elles, se calmant doucement quand Emily se leva tel un diable avant de filer dans la cuisine.

Alors qu’elle était toujours inquiète, Rubis n’eut point le temps de se ronger les sangs trop longtemps quand son amie revint de la cuisine avec une brique de lait, intriguant l’albinos tout comme le brun. Voyant Emily s’approchait d’elle, la demoiselle ne songea pas un seul instant à ce qui allait suivre, c’est donc surprise qu’elle se retrouva la brique de lait dans la bouche en ouvrant des grands yeux.

« Que mmmmh mmppfff ?!? »

Fermant les yeux quelque instants en avalant le lait qu’Emily lui fourrait dans la bouche, essayant de se calmer histoire de ne pas en foutre partout mais surtout ne pas s’étouffer avec, Rubis put soupirer de soulagement quand son amie retira le bec de la brique d’entre ses lèvres. Et tandis qu’elle retrouva une respiration plus calme, l’albinos haussa un sourcil en écoutant la belle brunette lui donner des explications sur ce qu’elle buvait.

« Ho ! Je vois… Et ça ne t’as pas dérangé de boire ta nouvelle mixture ? Car… Elle avait un goût de sang on aurait dit… C’est assez déroutant faut dire… »

Clignant des yeux plusieurs fois telle l’ingénue qu’elle était, Rubis buvait les paroles que lui donnait son amie, n’ayant pas à douter sur l’honnête de la brunette qui était après tout très originale et farfelue, ce qui ne déplaisait pas à la demoiselle qui était devenue amie avec elle au contraire.

« Remarque, avec une telle mixture tu pourrais faire fureur aux soirées d’Halloween. Ça surprendra plus d’une personne et ça sera amusant ! »

Dit-elle avec douceur en riant avec légèreté, retrouvant enfin son jolie sourire et n’étant plus inquiète pour son amie, s’amusant même de la situation et de ses essaies loufoques de boissons auquel elle croyait sans l’ombre d’un doute naïve qu’elle était, ce qui pouvait parfois avoir du bon comme ici.

Hochant ensuite la tête aux mots d’Emily qui lui interdisa de boire ses essais culinaires, la demoiselle ainsi que ses deux compagnons pour la soirée reprirent place dans le canapé, tandis que le film reprenait son train. Mais Rubis cette fois en plus de se retrouver à côté de Seto, se retrouva assise entre les cuisses d’Emily, la faisant doucement rougir de cette proximité et cette pose. Mais l’albinos était aussi rassurée de cela, se disant que son amie n’était donc plus fâchée, ce qui lui fit chaud à son petit cœur. C’est donc avec joie qu’elle se laissa tomber contre le torse de son amie, venant poser sa tête entre son épaule et son cou, contente de pouvoir profiter de sa belle amie tandis que Seto lui caressait la tête de temps en temps, histoire d’avoir un peu de contact lui aussi avec la demoiselle.

« Bon maintenant que je suis là, tu permets que je m’installe ? Tu me dois bien ça Emily après la frayeur que tu m’as faite ! »

Et c’est avec un doux rire que Rubis déposa un baiser sur la joue de son amie, venant replacer sa tête ensuite entre son épaule et son cou, s’installant bien comme il faut alors que le film continua son bout de chemin, faisant rire parfois ou non, avant d’arriver à sa fin et enchaîner sur le générique de fin.

Rubis était resté lové contre son amie tout le long de la seconde partie du film, contente que son amie ne boude plus, et afin de manifester sa joie, elle lui donna un petit coup de tête dans le cou tel un chat, reprenant son verre dans la main d’Emily avant de le finir en se redressant, libérant donc le torse de la brunette en riant avec légèreté.

« Je dois dire que tu es un excellent coussin Emily, très confortable ! Combien je te dois pour la location de ta personne ? »

Plaisantant avec tendresse en buvant les dernières gouttes de son verre en regardant son amie avec un regard espiègle, tandis que Seto avait également légèrement rit aux mots de l’albinos, curieux de savoir la réaction de son dominateur aux mots de la demoiselle aussi câline que taquine à son encontre. 

Em

Créature

Re : Quand la musique est bonne [PV Em]

Réponse 29 jeudi 30 janvier 2025, 22:22:07

– Je dois dire que tu es un excellent coussin Emily, très confortable ! Combien je te dois pour la location de ta personne ?

– J’crois pas qu’tu peux payer mon prix, puce.

Mais Em, que vous dites, ignares que vous êtes, t’es qu’une trainée de bas étage, tu peux pas coûter bien cher ! Eh bien, détrompez-vous. Toute pute, même occasionnelle, que je suis, je charge pas que du fric, mais je fais mon déjeuner, aussi. Alors, peut-être bien que j’veux faire quelques suçotements à cette tête en l’air, mais j’veux qu’elle prenne son pied à un tel point qu’elle s’en rendrait pas compte.

Oh, et puis, après, pourquoi pas ?

Je la renverse sur le canapé, et je lui grimpe dessus.


– Tu sais quoi ? P’t’être bien qu’tu l’peux.

Et j’me penche sur elle, cachant complètement la vue à Seto alors que je colle ma bouche à la sienne, et je lui roule une pelle. Mais une bonne, hein, une vraie. Avec la langue, la salive, les frottis de sa langue contre la mienne. Six bonnes secondes, puis une pause de deux, avant de revenir à l’assaut à pleine bouche, passant mes bras autour de son cou fragile, resserrant mes cuisses sur les siennes, l’empêchant de bouger.

Seto se lève, et je l’entends dire un truc du genre ‘j’vais pisser’, mais avec des mots plus polis, comme un mec qui essaie de pas trop s’imposer ; et il ferait mieux. Ce con a tout ruiné, deux fois de suite. Alors, ouais, casse-toi. Si t’es trop une lopette pour pécho une nana comme un homme, j’ai pas besoin d’toi.

Et je m’applique, mais sérieusement. Si je me fies aux mœurs sexuelles de Rubis, j’peux parier qu’elle n’a jamais été galochée comme ça. Ou du moins, que l’autre pétouille qui a clamsé ne s’est jamais soucié de lui en mettre plein la vue. Je lui roule des pelles, les unes à la suite des autres, en la serrant un peu plus fort, puis je brise les pelles, et je viens lui bécoter, la joue, et je viens lui mordiller l’oreille.


–Relaxe,que je lui dis, j’ferai rien de trop inapproprié. Profite. J’embrasse bien, alors, embrasse-moi. J’ai des jolies hanches, et un beau cul, alors, touche-les si tu veux. Si tu veux pas, tu aimes les câlins, non ? Alors, câline comme tu veux.

Et je reprends les galoches, je remue les hanches contre les siennes, je presse mon torse contre ses seins et je l’écrase sous mon ‘poids’, même si y’a pas moyen que je sois plus lourd qu’elle. J’suis maigrichon, après tout. J’lui touche tout ; les hanches, les flancs, les côtes, les seins, le cou. Puis, je viens lui embrasser la mâchoire, et je descend jusqu’à son coup, et je lui fais un suçon. Un gros suçon. Un suçon qui prend un bon deux minutes.

Et un suçon qui, par la même occasion, lui envoie vague après vague après vague d’un plaisir si intense qu’il est comparable à une série d’orgasmes. Une chaleur se répand partout en elle, comme un venin ; son cerveau s’embrouille, ses tétons s’érigent, ses cuisses deviennent moites, son abdomen devient chaud comme la braise, parce que je ne me contente pas de lui faire un suçon ; j’en profite pour la drainer un peu. Et enfin,
enfin, mon appétit se calme. Je ne bois pas beaucoup, peut-être juste un bon petit litre de sang, mais juste assez pour calmer mon estomac. Une fois rassasié, je retire mes lèvres de son cou et je lèche la plaie saignante, faisant disparaître les quatre marques de morsure dans son cou.

Et je reviens à la charge de ses lèvres extasiées.


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