Enquête d'actions (pv Claire)

Putain....une vraie nympho insatiable, est ce qu'elle est comme ça en permanence ou est-ce moi qui l'ai conduite aux portes de la folie furieuse ? Si c'est le cas mon ego va encore plus gonfler, ce qui n'est pas le cas de ma queue qui lui ramone les entrailles, ayant atteint sa taille maximale depuis un moment maintenant.

Et elle qui m'avait imposé de seulement lui faire avaler ce que je lâche, finit par me supplier de me vider dans son fondement. Maman m'a toujours appris à ne pas contrarier ces dames, donc dans un râle d'extase, je finis par me vider, les yeux grands ouvert, je sens des jets innarétable de sperme qui la remplit allègrement, au point de gonfler son ventre. Elle passerait pour une femme enceinte avec un gonflement pareil.

Ayant besoin de reprendre mon souffle, je me retire et la laisse au sol, amorphe et le regard vide avec un air béat.

- C'est bien...parce que je...me sens comme le roi...du monde...quand je baise une salope comme toi, que j'ai pris de penthouse...

Prenant une bouteille d'eau pleine au frigo, je la vide d'une traite. Et en prenant une deuxième, en voyant que tu es complètement ailleurs, je la verse sur toi pour te réveiller. Pour l'épave que tu es à cet instant, c'est pas une seconde douche qui va t'humilier plus que ce n'est déjà le cas.

M'assayant à côté de toi, le dos contre la vitre, je m'essuies avec le bras la transpiration que j'ai sur le front.

- Tu sais, je crois que tu m'plait bien. J'ai encore jamais été aussi loin dans l'humiliation et je pensais que tu allais te briser, mais pas du tout, t'as du cran....et tu baises comme une reine

Sur ces mots je finis par m'endormir profondement d'épuisement...

Quand il jouit en moi, j'en ai des étoiles pleins les yeux. Il me brancherait à des électrodes pour m'envoyer le jus que ça ferait la même chose. Mes jambes ne me portent plus et je m'effondre, seulement retenue par ... lui, dans moi. Hum ... Il semble inarrêtable  et j'en viens à me dire que tout ce qui entre va devoir fatalement sortir et que ça risque d’être surprenant. Je m'en fous. Après l'orgasme qu'il m'a offert sur un plateau d'argent, je ne vais pas faire ma mauvaise fille.

Il se retire de mes fesses, et là, je peux m'affaler comme une loque, le visage collé au mur. Derrière, en bas, c'est les chutes du Niagara. Je sens son sperme s'écouler de moi de manière ininterrompue. Ça souille mes cuisses et le sol de son appart, s’amoncelant en une flaque poisseuse. Du bout des doigts, je m'assure quand même qu'il ne m'a pas déchirée. Non ... ça à l'air d'aller même si je me doute bien que mon anus ne va pas retrouver toute son élasticité immédiatement. Il a dérouillé après tout, sévèrement. Je suis dans le coaltar mais quand il me vide la bouteille sur la tête, je reviens à la réalité. J'en rigole ... Curieux comme trip ...

Il s'assoit à côté de moi, je suis satisfaite de constater qu'il a l'air épuisé et satisfait. Honnêtement, ça m'aurait vexé qu'il me sorte une connerie du genre: pas mal ... Je l'aurais mal pris et ça aurait pu avoir une mauvaise influence sur la suite de mon plan.

"Je crois que tu me plais bien aussi ..."

Je vais ajouter un truc crado qui devrait lui plaire mais il s'endort en quelques secondes. Je reste à ses côtés un petit moment, ressassant tous les moments sympas de mon existence. Avant mon petit problème, elle n'était pas mal quand même ... Mais comme tout à une fin, il faut que je me tourne vers la suite de mon voyage. En essayant de ne pas le réveiller, je déambule dans l'appartement à la recherche de ma culotte ... Ah! Là! ... que j'enfile. Parce que je n'ai pas envie qu'on me retrouve nue sur le trottoir, même abimée, je passe sa chemise et la boutonne de moitié. A la cuisine je bois un grand verre d'eau. J'ai mes pensées claires et l'esprit serein. Bien entendu, je ne pense pas une seule seconde au bordel que je vais provoquer pour Kilian. La police se posera nécessairement des questions et ses voisins sauront ce qu'il s'est passé. Il apparaitra aussi surement dans la presse. Gros titre: une déjantée se balance de la fenêtre du penthouse d'un gros pervers ... Moyen mais encore une fois, je n'y pense pas.

Quand j'ouvre la baie qui mène au balcon, je suis frappée par l'air frais de la nuit. J'en aspire une pleine bouffée, la dernière. En quelques pas, j'atteins la rambarde et je me hisse sur le rebord. Wow! C'est ... haut et je tangue, trouvant à peine un équilibre précaire.

Ça y est, c'est l'heure, plus de regrets. Ma vie se termine sur une baise mémorable et plus rien ne me sépare de l'éternité. Fuck la malédiction! C'est moi qui gagne!
Je ferme les yeux, et laisse la gravité m'entrainer en avant.

Sursaut ! Un bruit de klaxon me réveille soudainement et je constate que tu n'es plus à côté de moi, passant mon regard dans la pièce, je sens un courant d'air et me dit que tu dois être posé à prendre l'air sur le balcon. Me levant difficilement je regarde vers toi en train de grimper sur la rambarde, prête à sauter.

- Putain de ....!!!!

Pas le temps de réfléchir je fonce vers le balcon et te rattrape in extremis alors que tu tombais dans le vide, une main aggripant ton poignet, et la seconde tenant la rambarde.

- TU TE FOUS DE MOI ? C'EST QUOI TON PROBLEME ?

Puisant dans les forces qu'il me reste, voilà que je la tire à bout de bras, ce qui n'est pas évident en ayant le corps trempé de sueur pour l'un comme pour l'autre, ça va que je n'ai pas le vertige. Je sers les dents et la remonte tant bien que mal, tombat en arrière sur le balcon avec elle.

- Qu'est ce que t'as tenté de faire bordel ? T'es ma chienne et je t'interdit de crever sans mon accord, c'est clair ?

Je te hurle littéralement dessus, ayant le cœur battant à mille à l'heure, à cause des emmerdes que tu aurais pu me causer, et de façon plus profonde, tu es l'un de mes meilleurs coups et ça me ferai chier de perdre ça.

Je te traîne à l'intérieur et verrouille la porte du balcon pour éviter que ce genre d'incident ne se reproduise. Et puisqu'on en est là, je te tiens par les cheveux et t'emmène dans une pièce particulière car tu vas me devoir quelques explications.

Tu tentes bien de résister, me suppliant de te laisser faire, mais là je ne suis pas d'humeur à prendre en compte tes gérémiades, la pièce a de grandes baies vitrés mais aucune ne peut s'ouvrir, et on y trouve une chaise en cuir avec des liens sur laquelle je t'installe et t'attaches, ça me permettra de te garder à l'œil. Je m'assure que tu ne puisse pas te détacher, tu te retrouves les bras écartés au dessus de ta tête, les jambes attachées au niveau des chevilles, elles sont écartées et posées sur un support en cuir.

- Bon, j'ai des questions et tu vas y répondre.

Me dirigeant vers le meuble adjacent, je l'ouvre laissant apparaître une panoplie d'outils et de jouets sexuels dont je compte me servir pour découvrir ce que tu caches pour avoir eu envie de mettre fin à tes jours.