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Sacrée offrande [ La bête des bois & Marguerite]

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Marguerite Clairbois

Humain(e)

Cela vous surprend que dans ce petit village reculé, au fin fond des terres sauvages de Terra, les jeunes filles aient la réputation d'être faciles et de s'offrir si facilement à quiconque insisterait un tant soit peu ? Vous dites vous que les mœurs des familles du cru sont déplorables et qu'elles devraient avoir honte d'éduquer leurs filles de façon si laxiste ?  Vous serez surpris d'apprendre que rien de tout ceci n'est le fruit du hasard. Les jeunes filles sont éduquées ainsi par leurs mères pour une bonne et juste raison ...

Car il y a dans le village, une légende qui se murmure dans le dos des hommes. Un savoir transmis de mère en fille au sein d'une toute petite poignée de familles élues. Cette légende parle d'un sanctuaire oublié, caché dans les replis mystérieux de la partie la plus ancienne et luxuriante de la vieille forêt. Un endroit où aucun bucheron, aucun chasseur n'aurait jamais osé mettre les pieds.Près de ces ruines résiderait une bête mythique, gardienne des équilibres entre le monde des hommes et celui des esprits de la forêt.

Selon la légende, un dieu bienveillant aurait autrefois confié à cette créature le devoir sacré de protéger la forêt et ses habitants. Pour honorer cet équilibre fragile, une jeune fille du village doit être choisie chaque décennie pour accomplir un rituel au cœur de la forêt. Ce rite, pratiqué dans la plus grande discrétion, impliquerait un cheminement à travers des sentiers sylvestres tortueux et oubliés. Ils mèneraient jusqu'aux ruines d'une église abandonnée. Là, la jouvencelle devrait, selon les dires, allumer les feux sacrés et faire offrande d'elle même à la bête mystérieuse afin de garantir la paix et la prospérité dans le village et ailleurs ...

Cette tradition, les Clairbois y croient dur comme fer. Comme bien d'autres familles d'ailleurs. Marguerite sait que sa mère, sa grand mère et nombre de ses tantes ont été choisies pour accomplir le rituel avant elle. Sans que ni père, ni oncles, ni aieul ne l'aient jamais soupçonné.

Et le grand jour arrive aujourd'hui à son tour pour Marguerite. Jeune. Belle. Dans la force de l'âge. Et parfaitement au courant de tout ce qui est attendu d'elle. Elle est préparée pour le rituel sacré par la rebouteuse du village, une femme vénérée pour sa connaissance des anciennes traditions. Tout en répétant, un ultime fois ses consignes, elle tresse les cheveux de la jeune paysanne de fleurs sauvages et les parfume de douces essences aux odeurs printanières.

Pendant que Marguerite voit son corps être lavé par l'eau pure de la rivière, elle ne peut s'empêcher de sentir une grande tension grandir en elle. Être désignée pour accomplir le rituel est un honneur autant qu'une joie car, dit on, qu'en plus d'être vigoureusement membrée, la créature accorde force et vitalité à l'élue et à sa descendance. Elle harcèle l'ancienne de questions.

- Que s'passera t'il si y m'refuse, ancienne ?

- Un joli brin d'mignonne comme toi, y f'rait jamais une chose pareille.

- Est-ce qu'il va m'faire du mal ?

- Non, l'est gentil comme un coeur et doux comme un agneau. Si tu t'montres bien docile, y te f'ra c'qu'aucun homme t'as jamais fait.

Pour autant que Marguerite le sache, les hommes lui ont déjà fait à peu près tout ce qu'il était possible de faire à une jeune fille. Mais l'obéissante jeunette n'insiste pas sur ce point. Elle laisse l'ancienne la vêtir d'une robe ample de lin blanc. Un symbole de pureté (étrangement) et de connexion avec le divin (là on y croit davantage).

Plusieurs autres questions sont encore posées à l'anciennes, telles que est-ce qu'il sent bon ? ou  Est-c'qu'on va rester collés comme des chiens après ?. Autant d'inquiétudes auxquelles l'ancienne essaye de répondre avec patience et pédagogie. A la toute fin des explications, elle tend à la jeune fille un fiole remplie d'un breuvage bien mystérieux.

- Bois donc ca gamine. Ca t'proteg'ra de tout c'qui faut.

C'est quoi "tout ce qu'il faut" ... ? Des autres créatures qui rodent en forêt ? Des chances de tomber enceinte ... ? Des puces ... ?

Et c'est ainsi, après avoir fait avaler la potion à la docile Marguerite que l'ancienne l'abandonne à l'orée de la forêt.

- Suis donc le vieux ch'min délimité par les grandes pierres ! Et avances tout droit sans jamais t'arrêter !

Le cœur palpitant d'excitation et de nervosité, la jeunette s'exécute. Elle s'enfonce dans la forêt, pieds nus. Elle se laisse guider par les grandes pierres dressées qui marquaient le chemin sacré. Le périple est long et ardu. L'ancien sentier finit rapidement par s'effacer et seules les pierres marquent désormais les bornes à suivre. Ce n'est pas facile car elles sont peu nombreuses et leurs ombres sont parfois difficiles à distinguer dans la pénombre du sous bois.

Chaque pas la rapproche d'une nature de plus en plus vierge, de polus en plus sauvage. Le craquement des brindilles sous ses pas, le murmures des arbres et le chant des oiseaux deviennent rapidement les seuls compagnons de sa marche solitaire.

Enfin, après des heures de marche, elle débouche enfin dans la clairière attendue. En son centre se dresse les ruines d'une Eglise depuis longtemps abandonnée. La végétation luxuriante a depuis longtemps recouvert les lieux et seul le relief de certains murs effondrés dépassent encore, comme les côtes saillantes d'un animal mort depuis longtemps. A côté s'étend la fameuse marre sacrée. Une statue intimidante s'y dresse. Elle représente le géant des bois. La statue est très ancienne. Bien qu'elle ait commencée à être érodée par le temps, Marguerite ne peut que reconnaître la silhouette qu'on lui a décrite.

Massive, puissante. La statue tend devant elle des mains en coupe et elle ne peut s'empêcher de remarquer que celles qui ont érigé cette effigie au monstre l'ont orné d'un phallus d'une taille gigantesque. La vue de l'appendice fait rougir la jeune fille et fait battre davantage le cœur dans sa poitrine. Cette statue est elle réellement à l'échelle ? Il faut prier les dieux que non !

Connaissant les consignes, Marguerite s'arrache à la contemplation du divin phallus. Elle déballe le petit ballotin d'herbes à brûler que lui a confié l'ancienne. A l'aide du briquet à amadou également confié à ses bons soins, elle allume l'encens rural qui immédiatement dégage de la fumée blanche ainsi qu'une odeur végétale puissante. L'odeur attirera le monstre et l'informera que l'offrande est arrivée ... Comme de nombreuses générations de femmes avant elle, Marguerite place l'encens entre les mains en coupe de la statue, devant pour ce faire (et preuve que les anciennes avaient peut-être un peu d'humour), prendre appui sur la verge de pierre comme on devrait utiliser un marchepied ...

Alors que la nervosité de la jeune femme est à son paroxysme, il ne reste plus qu'à attendre. Combien de temps est-ce supposé prendre ? Une heure ... ? Dix ... ? L'Ancienne a confié à Marguerite nourriture, couchage et un rien d'alcool si elle se sent ultimement manquer de confiance ... Personne ne voudrait qu'une offrande ivre morte soit livrée aux appetits du monstre mais les anciennes savent d'experience que parfois, un petit peu de courage liquide pourrait être nécessaire pour entamer les choses.     


Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Sacrée offrande [ La bête des bois & Marguerite]

Réponse 1 mercredi 06 mars 2024, 16:46:01

Et plusieurs heures se passent ainsi, à attendre. Le seigneur des bois règne sur un vaste domaine et le vent pourrait retarder le message olfactif. Marguerite sait qu'elle doit faire preuve de patience. Elle a ainsi utilisé le temps qui lui était offert. Elle a profité de l'eau claire de la mare sacrée pour s'y laver les pieds et se rafraichir. Elle a ramassé des brassées de fleurs sauvages qu'elle a ensuite tressées en guirlandes colorées. La plus belle manière qu'elle puisse imaginer de rendre hommage à la luxuriance de la nature qui règne ici.

La jeune paysanne s'est occupée. Elle a essayé de concentrer son esprit sur des tâches simples. C'était pour mieux écarter la nervosité qui avait pris possession de son cœur. Une appréhension qui lui rappelait l'époque pas si lointaine de ses premiers émois avant d'aller à la rencontre des tout premiers amants qu'elle a connus.

Le soir approche. Et alors que Marguerite envisage doucement l'idée de devoir passer la nuit ici,  quelque chose dans la forêt semble changer. C'est subtil. Indescriptible. Sans qu'aucun indice ne trahisse vraiment la présence de quiconque, elle a désormais la certitude que "quelque chose" est là. La Bête, très certainement.

Fébrile, la jeune fille se relève. Debout au bord de la marre elle fait le tour de la clairière du regard sans qu'elle ne parvienne à distinguer quoi que ce soit.

Et puis soudain, un soufflement puissant manque de la faire sursauter. Elle porte la main à sa poitrine alors que son coeur avait accéléré soudain. Elle se tourne vivement vers l'arche en ruine  et aperçoit à cet instant la silhouette qui n'y était pas quelques instants auparavant.  L'être de la forêt est là. Mi-homme, mi-animal, il regarde la jeune campagne avec une intelligence aussi ancienne que sauvage.  Il est immense. Imposant.

A côté de lui, la jeune fille ressemble à un lapereau frêle et effrayé. Si les anciennes du village n'avaient pas dit et répété que la créature était bienveillante, Marguerite aurait fort probablement pris ses jambes à son cou à cet instant !

Le temps se suspend dans la clairière alors que pendant de longues secondes, ni l'un ni l'autre ne bougent. Déglutissant, Marguerite se force à regarder l'être qui s'expose à elle. Les yeux de la jeune fille ne peuvent s'empêcher de descendre et de tomber sur les attributs virils de la créature. Une vue qui fait naître en elle des sentiments très contradictoires. D'un côté, elle ne peut qu'être ébahie par la taille et la puissance de ce qui s'offre à son regard. Des pensées inavouables naissent en elle et font naître un net rougissement sur ses joues.
D'un autre côté ... elle sent son appréhension grandir en elle. La divinité est dotée de tels attributs qu'elle doute sincèrement de sa capacité à survivre à un accouplement avec cette chose. Elle se demande comment il est possible qu'elle ne souffre pas ...

Lentement, la créature commence à décrire des tours autour de Marguerite. Il n'y a aucune animosité dans ce geste. Il ne s'agit pas d'un prédateur tournant autour d'une proie qu'il sait condamnée. Il s'agit davantage d'une ... présentation ? Une tentative de montrer à la jeune femme qu'elle n'a rien à craindre en sa présence ? Et puis la bête finit par approcher. Lentement, comme s'il ne souhaitait pas effrayer davantage sa visiteuse. Il incline la tête. Un geste qui emplit de chaleur le coeur de Marguerite qui constate bien que le monstre n'est animé que de bonnes intentions à son égard.

- Je ... J'm'appelle Marguerite.

Dit elle d'une voix un peu tremblante mais décidée. Elle sait pertinemment que l'hôte des bois ne répondra pas à ses paroles mais ca ne l'empêche pas de lui parler avec déférence. Elle s'incline bas.

- Vous avez ... été bon avec ma mère. Et avec sa mère avant elle. Et encore avant sans doutes ...

Tête toujours inclinée, elle ne sait pas exactement quoi faire à présent. Trop intimidée pour oser lever les yeux, elle lève lentement le bras jusqu'à approcher la paume du muffle de la bête qu'elle va aller jusqu'à oser toucher avec une crainte révérencieuse.

Puis avec des gestes lents, respectueux, la jeune fille s'abaisse. Elle ramasse la couronne de fleurs fraiches  qu'elle avait tressée lors de son attente. Un ornement comme elle en porte elle même mais qui a été taillée à la mesure de la créature. Un cadeau symbolique qu'elle lève à deux mains en même temps qu'elle croise enfin le regard de l'être millénaire. Un regard qui exprime toute la sagesse de temps immémoriaux ... et dans lequel luit le reflet d'un désir bien plus charnel.

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Sacrée offrande [ La bête des bois & Marguerite]

Réponse 2 mercredi 06 mars 2024, 23:46:27


Quelle n'est pas la surprise de Marguerite quand, avec douceur et précision, la créature parvient à saisir une fleur minuscule et à la tendre avec douceur à la jeune femme. Celle ci regarde d'abord avec incrédulité avant de lui adresser un sourire, visiblement touchée par le geste.

- Oui. Marguerite. C'est moi

Souffle t'elle d'une voix mélodieuse. L'échange a quelque chose d'étrangement intime et de touchant. Jamais elle n'aurait imaginé qu'une créature pareille puisse faire preuve de tant de prévenance et de douceur. C'est une tristesse de se dire que de tous les gaillards qui l'ont un jour approchée pour quémander ses faveurs, presque aucun n'aient réussi à égaler ce que fait cette bête ...

Lentement la jeune femme s'acclimate à la présence du gardien des bois et elle commence à prendre confiance dans le lien ténu qui se tisse entre eux. Sans qu'un mot supplémentaire ne soit prononcé, la créature se penche de nouveau en avant et parvient à se faire comprendre. Elle l'invite à utiliser son épaule pour se hisser. Avec des mouvements prudents causés davantage par la peur de choir que par la crainte de la créature, Marguerite soulève modestement les pans de sa robe lui permettre de se hisser sur la créature. Le contact de la fourrure sous ses pieds est étrangement doux. Elle se surprend à trouver l'expérience bien plus agréable qu'elle ne l'avait anticipé. Docile, la bête se laisse escalader et la paysanne parvient finalement à bonne hauteur pour déposer avec précaution l'ornement tressé sur la tête cornue.

Ce n'est qu'une fois la couronne placée que la jeune femme, sensible à l'appel qu'elle avait cru ressentir, se positionne sur l'épaule en vue du mouvement qui s'annonce. Sitôt mise en route, le mouvement imprimé par la bête oblige Marguerite à s'agripper à une des cornes pour conserver son équilibre. Un geste qui ne semble pas indisposer l'animal alors qu'il  avance vers le centre de la mare. Un vent léger se lève, il joue avec la robe de la jeune femme qui ne prend la peine d'essayer de l'empêcher se se soulever, fait voler ses cheveux et arrache quelques pétales aux couronnes printanières.

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Sacrée offrande [ La bête des bois & Marguerite]

Réponse 3 jeudi 07 mars 2024, 18:35:51

Quelle étrange magie est à l'œuvre ici ? Alors qu'elle pensait se tenir près d'une marre aux dimensions modestes, le géant ouvre en quelques pas un paysage immense et insoupçonné. La jeune femme en reste béate avant de se rappeler que nombreuses sont les histoires qui évoquent les sentiers cachés qui mènent à des mondes mystérieux. Pas tout à fait sur Terra, ni tout à fait dans le monde des esprits non plus. élevée dans un berceau de superstitions, Marguerite accepte l'explication mystique et sait que guidée comme elle l'est par le protecteur, elle ne risque strictement rien.

Quelle étrange sensation également que de sentir la parole plutôt que l'entendre. Marguerite reste parfois incrédule, doutant d'elle même et des messages qu'elle perçoit. La jeune femme tourne un regard incertain vers la bête.

- Que v'voulez vous dire ... ?

Elle se rend compte à la fin de sa phrase qu'elle ne sait pas comment l'appeler. "Messire" qui est la marque de distinction la plus haute qu'elle connaisse semblerait insuffisante pour qualifier la majesté de la créature qui l'honore de sa présence. Elle se mord la lèvre, en proie au doute et avoue.

- Pardonnez je ... j'ne sais comment vous appeler.

Elle parait contrite un instant.

Les questions de la bête se font ensuite plus explicites. Et plus crues. Cette approche aussi directe fait monter le rose aux joues de Marguerite. Il y a de l'embarras, bien sûr, à l'idée de se livrer de manière aussi impudique à ce qui aurait toutes les caractéristiques extérieures d'un animal. Mais elle ne peut s'empêcher de ressentir de l'excitation. Malgrès elle, son poul s'accélère et elle sent une chaleur monter depuis son bas ventre et se diffuser en elle. Elle ne peut s'empêcher se dandiner légèrement, aux proies aux tourments de l'excitation. Mais il reste malgré tout une crainte. Sa confiance en la douceur et en la bienveillance de la bête est acquise, aussi livre t'elle son état d'âme sans détour.

- Je serai ... honorée d'me donner à vous. Mais ... n'allez vous point m'faire mal avec votre ...

Elle rougit, comme une midinette face à son tout premier amant.

- ... phallus ?

Un terme étrange et savant que les villageois n'ont certainement pas l'habitude de parler. Mais le contact psychique a cela de puissant qu'il transmet le sens en même temps qu'il fait entendre le mot.

Car oui, là est toute la délicate question. Marguerite est prête à s'offrir. Dix fois. Cent fois comme il le suggère même, pour peu que sa constitution le lui permette. Mais il faut se rendre à l'évidence : l'immense braquemart est bien trop long pour qu'il puisse naturellement entrer sans dommage dans le corps de la paysanne, d'aussi bonne volonté soit-elle. A moins qu'une magie mystérieuse ne puisse intervenir, ce qui bien sûr est dans le domaine du possible au vu de l'être qui lui fait face.




Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Sacrée offrande [ La bête des bois & Marguerite]

Réponse 4 jeudi 07 mars 2024, 23:23:04


Marguerite hausse les épaules face à la perplexité de la Créature devant sa question. Avec un sourire doux, elle murmure.

- Ce n'est ... p'têtre pas si important. C'était pour n'pas vous faire de peine en n'entendant pas vot' nom sortir de ma bouche.

Il lui offre ainsi le choix de l'appeler comme bon lui semble. Une décision difficile s'il en est ... La jeune fille hasarde, après quelques secondes d'hésitation.

- Gardien ... ? Protecteur ... ? Père des arbres ... ?

Trois noms qui décrivent la bête qui lui fait face de manière plus flatteuse que "monstre", "bête" ou "animal". Visiblement les suggestions prononcées ne font pas s'offusquer le géant des bois et Marguerite comprend que chacun de ces noms conviendra de manière égale.

Elle lui fait par la suite part de ses inquiétudes et écoute avec attention ce qu'il lui dit. Bien qu'évitant les termes les plus crus, Marguerite comprend très bien où il veut en venir. Avec un sourire qui se veut rassurant et doux, elle pose la paume de sa main sur la peau de la bête et murmure.

- J'comprend ... très bien c'que vous voulez m'dire. Vous n'devez pas avoir peur d'me choquer. Je ... connais ces choses là. Et j'sais pourquoi j'suis ici.

Les explications de la créature lui suffisaient. Elles complètent le témoignage de ses ainées qui, à sa connaissance, sont toutes ressorties des bois non seulement indemnes mais comblées. Sans ôter sa main de la créature, elle lui affirme

- J'vous crois, père des arbres.

Oui. Faute de comprendre, Marguerite accepte de croire. Les choses mystiques de ce monde n'ont pas d'explication logique. Et c'est très bien ainsi.

La décision de Marguerite est prise. Sans doutes l'est elle depuis longtemps en vérité. Le feu qui parcoure ses veines et fait accélérer son pouls l'avait déjà poussée vers cette direction. La paysanne recule d'un pas, et d'un geste ample, fait passer sa robe de lin par dessus la tête, faisant attention à ne pas ôter l'ornement floral qu'elle porte encore. Elle révèle ainsi dans l'obscurité les contours d'un corps à la fois jeune, vigoureux et si agréablement dessiné. Son regard croise celui de la bête alors qu'elle repose son vêtement au sol et pose une pierre dessus pour l'empêcher de s'envoler. Elle lui sourit et constatant que toute son attention était sur elle, elle sourit. Elle tourne sur elle même, laissant l'occasion à la créature de l'admirer sous toutes les coutures. Du galbe généreux de ses seins fermes qu'elle presse entre ses deux mains à la cambrure de ses reins qui surplombent des hanches joliment rebondies. Marguerite se sait belle. Elle veut le montrer à l'être ancien, que celui ci ait le temps d'apprécier l'offrande qui lui est faite.

Alors qu'elle s'exhibe ainsi, son regard ne peut s'empêcher de s'arrêter sur l'entrejambe de la créature. La vue de cet organe ne peut empêcher une fois encore d'attiser l'envie dans son regard. Elle se surprend à vouloir le voir dressé, tendu pour elle. Avec un soupçon de provocation, elle caresse son corps et demande d'un ton faussement ingénu.

-Est c'que j'vous plait ... ?

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Sacrée offrande [ La bête des bois & Marguerite]

Réponse 5 vendredi 08 mars 2024, 08:38:41

L'effet qu'elle a sur le géant millénaire semble ravir la jouvencelle qui ne se fait pas prier pour se frotter à lui langoureusement quand il l'invite à se rapprocher. Les paroles pensées de la créature font naître un sourire à ses lèvres alors qu'une fois encore, elle considère avec un rien d'émoi l'attribut viril de la divinité.

-J'aim'rais la voir dressée pour moi, père des arbres.

Souffle t'elle avec une désarmante sincérité. Elle observe la créature présenter son sexe, le décalotter. Elle se mord la lèvre, prise par l'envie de saisir elle même l'immense verge à son tour et de la faire grossir entre ses doigts.

- J'adorerais la sentir. Partout sur moi. Avant qu'elle me prenne.

Elle se serait reculée, croupe en avant pour frotter son corps contre le phallus présenté. Mais elle n'en a pas le temps car la bête la mène jusqu'au futur lieu de leur union. Une dalle de marbre. Un autel de pierre large et froid heureusement par grand bonheur recouvert d'un tissu soyeux et délicat. La créature fait comme à son habitude preuve d'égards et de douceur pour la jeune femme. Jamais il ne la force ni ne la brusque et Marguerite, menée en toute confiance, se laisse faire avec docilité. Allongée sous la créature, elle frissonne au contact du tissu mais ca ne dure qu'un fugace instant. Bientôt la silhouette massive  de la créature la recouvre et elle écarte très docilement les cuisses, se demandant quelles sensations allaient bien pouvoir prodiguer le contact avec cette langue si peu humaine. Elle caresse d'une main son pubis, frôlant sa toison entretenue et écartant pour le seigneur des bois les lèvres de son intimité.

Dans la posture dans laquelle ils se retrouvent, Marguerite n'est cependant pas la seule à pouvoir profiter de la situation. Ainsi positionnée, elle a une vue sans pareille sur l'intimité de la créature. D'une main douce, elle se met à caresser les bourses pendantes et l'écrin de fourrure. Un préambule qui, elle l'espère lui permettra de décalotter la choses et de peut être, si la bête le veut bien, oser les premiers coups de langue timides le long de cette tige si colossale.
« Modifié: vendredi 08 mars 2024, 23:51:18 par Marguerite Clairbois »

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Sacrée offrande [ La bête des bois & Marguerite]

Réponse 6 samedi 09 mars 2024, 00:37:13



Fais la grossir ma belle fleur

Lui intime t'il

Il n'en faut pas plus pour que Marguerite sourit et se fasse un plaisir d'accéder à sa requête. Ses caresses, toujours aussi douces, se font plus appuyées. Sa main court le long du membre, depuis les bourses velues jusqu'à son extrémité. Elle agit avec douceur, sans se presser, et prend plaisir à sentir la verge grossir sous l'effet de son action.

Quand enfin elle en voit le bout sortir, elle n'ose pas immédiatement le toucher de crainte qu'un contact direct ne soit pas désagréable pour le père des arbres.

- Oui, j'commence à la voir.

Elle en a l'air ravie et émerveillée.  Connaissant ce qu'aiment les hommes et profitant de la relative souplesse du membre dont la rigidité n'était pas encore totale, elle approche la partie dégainée de cet estoc de chair de sa bouche et passe le long de celui ci la langue. L'odeur animale qui en émane l'imprègne et décuple les fourmillements qu'elle ressent dans le bas ventre. Plus qu'apporter une caresse buccale, elle veille avant tout à mouiller la tige sur toute sa longueur afin de rendre plus agréable le contact avec sa paume qu'elle pose finalement dessus. Elle entame un lent mouvement de va et vient, qu'elle va poursuivre ainsi un long moment.

Mais pendant que Marguerite s'affaire ainsi sous le ventre du gardien de ces bois, celui ci ne reste pas inactif. Après avoir profité des caresses de la jeune femme et échangé avec celle ci un regard complice, celui ci  décide de retourner les faveurs à la jeune femme. Avec douceur, il penche sa masse colossale sur elle et approche son muffle de son intimité. Sentant le souffle chaud caresser son entrecuisse, Marguerite frémit d'anticipation. La sensation la pousse à plonger deux doigts au sein de son intimité brûlante, entamant machinalement un va et viens au milieu des fluides qui inondent déjà son sexe.  Mais avant qu'elle n'ait pu beaucoup poursuivre son geste, elle sent la pattes immense se poser sur sa cuisse avant qu'immédiatement après, la bête plonge la tête vers elle. Les coups de langues assénés par la créature la font immédiatement gémir et se contorsionner.

- Oh oui s'il vous plait continuez !

Parvient elle à souffler entre deux gémissements.  Les premiers coups de langue maculent de salive son sexe et la main qui s'y affairait. Elle ôta sa main pour laisser place aux caresses prodiguées par son amant bestial. Celle ci vient machinalement serrer ses seins, les maculant au passage d'une partie de la salive laissée par le monstre sur ses doigts. Chaque nouveau coup de langue provoque un sursaut en elle, ainsi qu'un gémissement ou un cri. Elle doit lutter pour continuer à prodiguer au père des arbres les caresses qu'elle avait commencées. Ses mouvements de va et vient appliqués sur la tige deviennent plus amples, plus erratiques. Le sexe bestial devient hélas peu à peu trop dur pour qu'elle puisse continuer d'utiliser sa bouche pour la stimuler.

Aussi change t'elle à un moment donné de technique. Essayant de contenir les vagues de plaisir qu'elle ressent, elle place la verge immense entre ses deux jolis seins et entreprend de les utiliser pour l'enserrer. S'aidant de ses deux mains et profitant du fait que le sexe immense ait commencé à être mouillé de salive, elle fait coulisser le membre viril contre elle et se satisfait bientôt de le sentir continuer de prendre vie contre son coeur.

- J'le sens grossir !

S'émerveille t'elle avant de fermer les yeux alors que la langue la pénètre soudain. Elle se cambre et pousse un cri de surprise autant que de plaisir qui se répercute dans les bois silencieux. Bouche entrouverte avec une expression de plaisir pure sur le visage, les mouvements de va et viens que son amant entame ensuite la font trembler et défaillir. 


Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Sacrée offrande [ La bête des bois & Marguerite]

Réponse 7 mercredi 13 mars 2024, 01:02:50

Si au départ, Marguerite tentait encore de continuer à branler l'immense épieu de chair qu'elle maintenait entre ses seins, l'action continuelle du père des arbres finit par avoir raison d'elle. Qu'il est difficile de garder la tête quand pareil traitement est infligé ! Enfoncée loin dans sa plus profonde intimité, la langue du dieu la pénètre avec la chaleur et la volupté d'un membre masculin. Chaque va et viens fait s'arquer davantage le dos de la pauvre paysanne et envoie davantage de frissons électriques à travers ses membres. Ses soubresauts soudains s'accompagnent de cris et de halètements qui se perdent dans le silence des bois millénaires jusqu'à ce que soudain elle atteigne des sommets qui ne lui permettent plus de se contrôler. Elle crie à pleins poumons et est prise de mouvements violents et incontrôlés. Agrippée de toute ses forces au tissu qui recouvre la table de marbre, elle sent ses propres fluides exploser et se mélanger à la divine salive alors que la langue de la bête se retire et que celle ci relâche doucement l'étreinte qu'elle exerçait sur elle.

Son plaisir consommé, les épaules de Marguerite s'affaissent sur le plat de la pierre. Corps plein de sueur, cheveux défaits collés sur son front, la jolie couronne de fleurs qu'elle portait semble avoir été emportée par les vents violents de la passion.  Elle cherche du regard celui du père des arbres et lui sourit quand elle le trouve, le regard encore plein d'étoiles. Main posée avec tendresse sur la cuisse du père des arbres, elle sent le dieu se mouvoir à côté d'elle alors qu'elle même va devoir mettre encore de longues secondes à redescendre sur terre après ce petit tour au ciel où la créature vient de l'envoyer en voyage.

- Woaw ... réussira t'elle seulement à articuler au cours de la minute qui arrive.

Comprenant peut être qu'elle allait tarder à se remettre de ses émotions mais ne s'en offusquant visiblement pas, le protecteur de la forêt la déplace gentiment de côté comme si elle ne pesait rien pour lui de manière à pouvoir lui même se retrouver allongé sur le dos, immense et démesuré en comparaison d'elle. La jeune fille, après les quelques secondes supplémentaires qu'il faut pour qu'elle se remette d'aplomb, n'a plus qu'à saisir la main qui lui est tendue pour escalader cette puissante silhouette.

Le regard brillant d'une envie toujours aussi vive, elle grimpe jusqu'à se retrouver juchée au dessus du bas vendre du géant, cuisses largement ouvertes de manière à s'asseoir à califourchon sur le chibre immense. Elle se positionne de manière à ce que sa douce fente soit en contact du manche raidi qu'elle coince ainsi sous elle.  Tendre, même au milieu des ébats les plus torrides, elle caresse le ventre du géant des bois et lui sourit.

- C'est à votre tour d'profiter un peu maintenant, Père des arbres.

Sexe en contact du sien, elle coince le membre entre ses cuisses et entame un lent et long mouvement d'avant en arrière avec ses hanches. Son intimité, lubrifiée comme jamais elle ne pourrait l'être, glisse avec volupté le long du manche immense. Cette caresse préliminaire née par le contact de leurs deux sexes brûlant est un avant goût délicieux de la chevauchée à venir.


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