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La vampire domestique [ Draven Dairn ]

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Draven Dairn

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Re : La vampire domestique [ Draven Dairn ]

Réponse 15 samedi 24 août 2024, 14:41:51

Le chat à neuf queues avait été clément dans es griffures pour le moment. Elle le savait comme moi ? mais la combinaison des poids et des longues et lourdes lanières de cuir faisaient leur office. Notamment quand il lui arrachait des cris. C’était tout ce que l’on pouvait donner. Apparemment, user des poids avait été une bonne idée. Une petite option savoureuse.  Elle m’excitait à souffrir de la sorte, c’était évident, n’est-ce pas ? Sinon, pourquoi trouver si facilement prétexte à m’y livrer ?
 Le coup qui heurta son sexe, il me ravit lui aussi, par la musique du cuir, et par ses vocalises de la vampire, qui montrèrent qu’elle avait, elle-même, « apprécié » le moment à sa juste valeur. Je commençais à la connaitre, je savais quand le cri n’était pas de la pure douleur. Mais rien que pour ça, je ne pouvais qu’apprécier la chose, qu’apprécier l’instant, et ce, même si je ne voyais pas ses traits se tordre et se déformer, je les devinais. Mais j’avais eu mon petit effet, elle en avait resserré les cuisses. Oh, juste un instant, mais assez pour essayer soit de cacher la situation de son sexe, soit pour le dérober aux coups suivants.
Mais elle était bien dressée, ou du moins, elle était en passe d’être bien dressée, donc elle rétabli l’écart d’elle-même sans que j’aie besoin d’intervenir. La frêle créature avait le souffle un peu court. Et je sentais la fébrilité de son être. Allait-elle

Ma demande si la force des coups de fouet étaient suffisants ou s’il fallait frapper plus fort était une belle demande. Qu’en dirait-elle ? Son égo ne pouvait pas lui faire dire que c’était trop fort. Ni que c’était juste assez fort, bien sûr. Elle le savait, en se calant contre mon doigt, contre ma main. Son assaut de fierté sur le sujet ne saurait que lui être préjudiciable, c’était l’évidence même.
Alors forcément, sa saillie sur le sujet était clairement une bien belle invitation.

« Soit… je suppose que tu es le seul mérite que frappe plus fort, n’est-ce pas ? Mais avant… peut être devrait-on rajouter des pinces ici ? »

Ma main s’égara, le long de ses lèvres intimes, venant caresser son sexe dans y entrer. Son humidité palpable devait aller de pair avec son attente de la douleur, n’est-ce pas ? pour autant je ne suivais pas mes mots et je donnais une claque aux notes poisseuses à cette zone si sensible de son anatomie.
Cette fois, lorsque j’armais mon bras, la position changea très légèrement. Je venais alors laisser pleuvoir les lanières contre son bras. Le manque d’espace entre son bras et son visage vinrent faire cingler les lanières sur sa joue.
Bis repetita. Le second bras, et l’autre joue, prit le même tarif.

Je choisissais alors de faire preuve d’un peu de cruauté légère, en tachant de ne frapper cette fofos, non ses bras mais ses poignets et doigts joints, afin de rendre la prise, qu’elle savait ne pas avoir le droit de lâcher.

« Vas-tu tenir le coup ? »

Cette fois je frappais fort. Très fort. Faisant de nouveau remonter le fouet aux multiples lanières entre ses cuisses. Mais je ne la laissais pas souffler, car après le mouvement ascendant, le mouvement descendant fut du même acabit, faisant cingler le cuir sur ses reins, et ses fesses. Cette fois, la peau marquait davantage que de simples légères trainées rosâtres.
Toujours pas de répit, les lanières s’enroulèrent autour de son buste, à nouveau.

« Tu as le droit de t’effondrer et de prier pour être épargnée ou pour que je cesse…. Je suis quelqu’un de clément… »

Thanasia

Créature

Re : La vampire domestique [ Draven Dairn ]

Réponse 16 lundi 23 septembre 2024, 11:09:48

« Soit… je suppose que tu es le seul mérite que frappe plus fort, n’est-ce pas ? Mais avant… peut être devrait-on rajouter des pinces ici ? »

L'exploration digitale que répète l'avatar entre ses cuisses lui fait récolter de petits gémissements impatients et frustrés.
Pas de doute, son regard le supplie d'aller plus loin, plus profond, de la pénetrer.

« "Ici" manque de quelque chose, pour cela vous avez raison, et c'est ma plus grande souffrance que d'en être priv... HAan ! ♪ »

La claque lui provoque une autre forme de satisfaction, à en juger par le velouté de son gémissement, plus impudique encore que la première fois.

Cette fois, les coups de fouet frappent les bras de la petite créature, giflent violemment ses joues et s'abattent sans pitié sur ses doigts. Emporté par le passage des lanières, le visage de Thanasia grimace plus de l'humiliation des gifles que de la douleur qu'elles provoquent.
Ses bras figent leurs muscles et ses doigts resserrent leur prise sur le crochet.

La vampire absorbe la souffrance comme une éponge. L'avatar pouvait se rappeler leur long combat et sa tolérance inhumaine à celle ci.
Sa plus grande vulnérabilité trônait dans son orgueil si vaste et vulnérable. Ainsi que dans l'urgence de ses... besoins intimes qu'elle peinait terriblement à dissimuler.

Mais là, sa résilience physique n'enlève rien aux coups de fouets qui s'abattent. Il renforce le sentiment que le corps de Thanasia est celui d'un pantin ou d'un jouet, un roseau ou une poupée, pouvant être malmenée avec l'assurance qu'il en faudrait bien plus pour la casser.

Elle se marque de rouge, elle ressent la douleur, mais rappelle davantage un objet animé qu'un être humain.

« Vas-tu tenir le coup ? »

Demande l'avatar à son jouet comme un préambule à la frappe qui va suivre.

*SchKlak !*

Le bruit pesant, cinétique, du cuir contre son sexe se marrie à son cri de douleur orgasmique qui sonne comme un "Oui", un "Enfin" et un "Encore" tout à la fois.
Le coup fait s'envoler la frêle vampire sur l'extrémité des orteils, les cuisses scellées l'une contre l'autre. Mais le suivant, s'abattant sur ses fesses blanches la recloue sur la pointe des pieds, flattant ses reins de la violence du cuir. Le dernier qui termine sa course sur ses tétons est presque de trop. L'espace d'un quart de seconde, ses petits seins se déforment sous l'impact et laissent la marque des bandes. Une de ses phalanges glisse du crochet alors qu'elle gémit de plus belle et ses jointures blanchissent sur le métal qui la soutient, accentué par le coup qu'elle venait d'y subir. Ses doigts se referment sur leur prise avec difficulté.

« Tu as le droit de t’effondrer et de prier pour être épargnée ou pour que je cesse…. Je suis quelqu’un de clément… »

Peinant à calmer sa respiration, Thanasia baisse les yeux sur sa peau marquée de rouge, son entrejambe à fleur de peau et les poids qui s'agitent encore sous ses tétons meurtris. Elle relève lentement la tête.

« Ne... Ne vous moquez pas. Je sais que nous venons de commencer... Je sais ce qui va suivre... De quoi vous pourriez me priver... Donnez moi tout, maître. »

Demande-t-elle avec une voracité assoiffée.
Elle dévoile le bout pointu de sa langue rose claire, posée sur sa lèvre, celui de ses longues canines blanches qui se distingue au  plafond de sa bouche haletante.
Une nouvelle fois ses pieds aux ongles pointus s'écartent l'un de l'autre.

« Modifié: lundi 23 septembre 2024, 11:17:48 par Thanasia »

Draven Dairn

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Re : La vampire domestique [ Draven Dairn ]

Réponse 17 mardi 24 septembre 2024, 08:17:36

La vampire, tenant toujours le crochet métallique, m’impressionnait, forcément, par sa tenue. Usuellement, j’avais besoin de l’attacher à son « perchoir » mais là, non, pour le moment, elle tenait le coup sans perdre son attache. Ça promettait d’être intéressant que de la voir perdre vraiment pied au point de « lâcher ». je caressais les marques dans son dos, dans ses bras, et même au visage qui en avaient pris aussi. Elle supportait la douleur comme personne et la savourait. En jouirait-elle ? Probablement pas. Mais elle permettait de me défouler sans casser mon jouet. C’était important, n’est-ce pas ? Je faisais le tour pour revenir devant elle, pour l’admirer.
Elle, elle savait crier. Ses cris qui mêlaient désir, plaisir, douleur, étaient toujours un vrai régal, et je venais embrasser la peau marquée, caresser le sexe meurtri.

Je la voyais lutter contre les sensations et je savourais la palpitation que ses lèvres intimes  exprimaient contre mes doigts. Elle savait très bien que ce n’était qu’un début ; donc forcément… je jouais à tirer doucement sur les poids ornant sa poitrine menue, et je l’écoutais dire une grande vérité. Mes lèvres s’étirèrent en un rictus qui monta jusqu’aux oreilles. Elle me connaissait si bien… la lueur émeraude dansa devant mes yeux.

« Oui, tu as raison, il manque quelque chose entre tes cuisses… c’est quelque chose de très important… »

Je m’écartais avant de revenir avec de la corde. Un chanvre rugueux, qui ne serait pas faits pour la tendresse. Et je commençais par attacher une cheville à  sa cuisse, et sa cuisse à sa taille, ainsi, sur un pied, elle ne pourrait plus fermer les cuisses, même si elle le voulait. Ce qui me permettait de venir prendre des pinces égales à celles ornant ses mamelons pour venir enserrer ses jolies petites lèvres intimes. De cette manière, elle savourerait encore plus, non ?

« Voilà, comme ça il ne manque plus rien, n’est-ce pas ? Tu vois ce que tu me fais faire parce que tu n’es pas capable de garder les cuisses écartées ? »

Je reprenais alors mon arme, et je venais donner une nouvelle fois un cinglement de lanière sur son sexe impatient, et je regardais les nouveaux poids danser, d’un revers de la main je fis cingler les lanières plus haut afin que les quatre poids dansent de concert. C’était un bien joli spectacle.

« Après nous passerons aux aiguilles, qu’en penses-tu ? »

Je venais caresser sa joue et venais même, volontairement glisser mon doigt contre sa canine, prononçant les mots adéquats pour lever de manière momentanée le sceau et faire perler une petite goutte de sang je savais qu’elle ne perdrait pas une miette de cela. Puis, doucement, je pressais à intervalle régulier à côté de la plaie pour faire perler goutte à goutte. Chaque goutte venant heurter le sol.
« Modifié: jeudi 26 septembre 2024, 08:16:29 par Draven Dairn »

Thanasia

Créature

Re : La vampire domestique [ Draven Dairn ]

Réponse 18 mardi 22 octobre 2024, 23:49:55

Thanasia accueille, fébrile, le baiser sur sa peau et en déguste le bruit volatile. L'avatar joue avec elle, passe fugitivement les doigts entre ses jambes nues, sans même cette fois y laisser une tape.

Elle bourdonne d'envie inassouvies alors que son tortionnaire joue avec sa frustration toujours plus refoulée et qu'il tire sur le bout de ses seins. Sans jamais pousser dans son intimité, ses doigts cruels ne lui avaient même pas accordés une nouvelle tape pour punir son excitation. Thanasia fulmine d'envies vermeilles et impuissantes. Et son tortionnaire sait les alimenter :

« Oui, tu as raison, il manque quelque chose entre tes cuisses… c’est quelque chose de très important… »

Il replie sa petite jambe souple, la soulève et la noue sans résistance dans les nœuds de sa corde rêche. Elle serre sa peau blanche, et la vulgarité de sa matière jure avec le reflet délicat du fer argenté qui emprisonne sa cheville. Mais chanvre et argent se côtoient sans se gêner, car ils partagent le même dessein : Restreindre la vampire pour la livrer aux tourments. Quelque part, la vampire mérite le chanvre qui agresse sa peau
Si la créature ne laisse rien paraître, trop bâillonnée d'orgueil pour jamais admettre ce que les privations de liberté provoquaient à son excitation, elle pousse un cri pour chaque pince qui mord ses lèvres intimes. Et l'avatar la laisse gémissante, consommée de petites plaintes alors que les dents métalliques tirent et s'enfoncent dans sa peau à vif et que tirent sur son intimité les poids tremblant au bout de leurs chaînes.

« Voilà, comme ça il ne manque plus rien, n’est-ce pas ? Tu vois ce que tu me fais faire parce que tu n’es pas capable de garder les cuisses écartées ? »

Thanasia ne répond rien d'autre que ses petits bruits de crainte et d'anticipation. Car elle convoite ce qui va suivre. Ses hanches basculent comme pour mieux l'accueillir.
Et les lanières éclatent contre son sexe ouvert par les pinces. Un bruit sourd, mat, humide et aigu tout à la fois. Le cuir s'abat, et un éclair blanc de douleur foudroie le corps de la vampire. Et l'avatar peut voir la peau de son ventre se tendre comme la peau d'un tambour.
Thanasia pousse un cri suraigu, puis, fouettée à nouveau sur le bout des seins, finit dans des graves presque grotesque. Elle tire la langue, le corps tordu en diagonal, possédée de bruits suppliants alors que les poids s'agitent toujours sous son entrejambe, tirant sur les rideaux rougeoyants de sa féminité.
La vampire s’enivre de sa flagellation génitale, s'exposant saoule de douleur sous les yeux de son maître.
Toute dignité la quitte alors qu'elle halète en silence sous la caresse de sa joue.

En quelques mots, son maître prononce l'exorcisme qui la libère du sceau de l'Ange dans sa nuque, celui qui l'empêche de verser le sang d'autrui.

« Je t'autorise à me blesser. » La phrase est courte et sans emphase. L'exorcisme ne tiendra pas longtemps. Mais assez pour laisser l'avatar percer son doigt contre la canine de sa possession dépravée, teintant l'émail de liquide vermeil.
La vampire ferme la bouche pour laisser cette goutte glisser contre sa langue et en déglutir l'infime mais délicieuse quantité.

Sa bouche ouverte à nouveau, ses yeux ne parviennent plus à se séparer des perles de sang qui tombent une après l'autre sur les lattes où reposait encore un de ses pieds.
Draven a fécondé son esclave des graines de la Soif. La substance est en elle. Elle en veut davantage. Et chaque goutte qui tombe est un deuil de plus pour la créature de la nuit.

La voix bredouillant d'impatience et de toutes les urgences qui la tiraillaient, Thanasia lève les yeux vers l'avatar :

« Maître ! Plutôt que les aiguilles, je... Ne voulez vous pas nous conduire à votre lit ? P...Prenez moi, maître, de grâce, je n'y tiens plus, étrillez moi ! Je vous serais soumise, je saurais vous satisfaire ! »

Draven peut entendre Thanasia briser le vase de son orgueil, le sacrifier pour le soulagement de ses  pulsions corporelles.
Elle n'y tient plus, il le voit. Mais c'est la sincérité dans ses yeux qui le frappe. Pour la première fois, la fière vampire réclame la verge de l'assassin, plutôt que d'accueillir ses promesses d'ébats avec le mépris qu'il lui connaissait bien. La verrait-il agir autrement au lit que son comportement d'esclave - passive et indifférente entre ses mains - jusqu'à l'orgasme avec lequel il ne manquait jamais de la terrasser  sur ses draps ?

Ce n'était pas la douleur que Thanasia fuyait, c'était sa propre débauche et la terreur de ses  réactions, tordue de plaisir dépravé à chaque coup qui mutilait plus encore ses parties intimes. Elle craignait les aiguilles car elles lui interdiraient un instant de plus  la délivrance de la pénétration.

Son vagin en feu réclamait d'avaler une nourriture consistante au delà du piment de douleur qui s'étalait déjà sur ses lèvres. Elle voulait la queue, elle voulait l'étreinte, elle voulait le cou à portée de ses dents.

Draven Dairn

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Re : La vampire domestique [ Draven Dairn ]

Réponse 19 samedi 26 octobre 2024, 20:33:42

La corde et les entraves ‘argent avaient un air étrange, et beaucoup auraient pu penser que cela n’allait pas ensemble, mais  c’était bien l’inverse, l’harmonie était parfaite pour la simple et bonne raison que chacune des deux matières avaient une cible différente :  largent entravait la vampire, le chanvre entravait la femme, d’une certaine manière…. Et ainsi, je lui prenais tout, et je ferai tout ce que je désirerai d’elle. Bon gré mal gré, c’était une évidence. Quant à savoir si elle voulait, ça, c’était une autre paire de manche. Elle voulait sans doute justement obtenir sans avoir à laisser de côté son égo. Au fond, que je la force était sans doute le meilleur compromis qu’elle espérait, indubitablement.
Je la sentais vibrer, se livrer, l’offrir, se ravir. C’était un spectacle sublime…

Les cris qui accueillirent les pinces et les lourdeurs de ses petites lèvres se montrèrent comme une symphonie tant visuelle qu’auditive, les plaintes doucereuse et le spectacle de ses chairs qui étaient meurtries étaient magiques… je savourais et je l’admirais alors que la séance de flagellation continuait. Son corps était libre de subir toute souffrance que je désirerai lui faire subir. Elle allait être magnifique, j’en étais persuadé. Cette fois, je savais qu’elle avait souffert de plaisir suffisamment pour mériter une petite goutte de sang. Son petit air extatique à la simple goutte de sang suffisait à montrer à quel point elle était prête à se briser. Et si elle était prête à se briser, alors les aiguilles achèveraient le travail sur son corps, quand le sang qui perlait de mon doigt achèverait de ruiner son esprit. Je la voyais ne perdre des yeux aucune goutte de sang qui lui était refusée… et je savais qu’elle était magnifique, comme ça.
Sa voix semblait là, mais sans qu’une quelconque cohérence ne vienne ou qu’aucun son ne soit pleinement audible. Alors, je lui caressais les cheveux avec douceur, enfin, quand elle fut en mesure de prononcer une phrase cohérence et que je pu comprendre.

Avait-elle déjà supplié de la sorte ?
Non, sans doute jamais. Ou aucune autre occurrence ne me venait comme ça. Si je n’en profitais pas, aurai-je une autre opportunité du genre ? J’en doutais vraiment… alors, je renonçais un peu, et avec une petite dose de dépit, aux aiguilles pour venir la faire descendre de son perchoir, la privant de chanvre.
Je ne retirais pas les pinces, je ne comptais pas le faire. Non, je ne comptais pas la priver d’une douleur qu’elle avait cent, mille, un million, de fois, mérité. Tout simplement. Je lui fis un sourire tendre et je lui caressais la joue, éloignant ma main si jamais elle essayait de la mordre.

« Chaque chose en son temps, ma chérie… »

Je lui liais les poignets dans le dos, fermement, pour l’entraver de nouveau. Mais je ne lui offrirai pas le luxe de ma chambre, non.

« Tu ne mérites pas d’avoir un lit moelleux sur lequel t’allonger afin d’être besognée. Là, ici, tête contre le dallage et cuisses bien écartées. Réclames de la plus belle et de la pire des manières, alors je t’offrirai une délivrance que tu ne mérites pas mais que je daigne t’accorder… »

Et pour la guider, le la tirais par les cheveux pour l’approcher d’une zone évidente : si elle plaquait la joue au sol, sa langue pourrait laper les maigres gouttes de mon sang qui étaient tombées.

Thanasia

Créature

Re : La vampire domestique [ Draven Dairn ]

Réponse 20 samedi 09 novembre 2024, 09:01:41

Aidée par la main de son maître, Thanasia lâche le crochet et retombe sur sa jambe mal assurée, retrouvant l'équilibre contre son torse, que ses mains ne quittent alors plus. La vampire accueille ses caresses et ses mots doux avec l'espoir fragile qu'il accède à sa requête.

La réponse ambiguë de l'avatar la voit pendue à ses lèvres comme une concubine à celle de son empereur et ses yeux arctique cherchent l'émeraude des siens, couvant tous ses désirs comme des poissons affleurant sous la glace.

Ses mains jouissant d'une liberté éphémère parcourent le lest de ses chaînes du bout des doigts, explorant les effets de leur aimable morsure.
Mais lorsque Draven s'affaire à nouer ses poignets derrière elle, Thanasia n'est pas fâchée.
Elle doit même se mordre les lèvres en secret pour réprimer un gémissement d'excitation.
Car elle s'en rend compte, elle le préssent : Il allait la prendre par derrière.
Et la petite vampire n'aimait rien tant que de se voir saisie par les hanches, le train battu contre un bas-ventre au rythme dicté par son partenaire.

Sous la coupe de l'avatar, Thanasia n'est plus que la somme des coups de fouets qu'elle avait reçu, l'effeuillant de son orgueil pour réveler ce qu'elle dissimulait en dessous. C'était frappant de voir deux êtres si différents posséder un même corps. Une vampire puissante, hautaine, convaincue de sa supériorité ...et une bête lascive aveuglée par les désirs primaires.

Les deux étaient réelles, elles coexistaient mais rares étaient ceux capable d'effacer la première pour ne laisser que la seconde, la marque d'un véritable maître-dresseur.

L'attirance inavouée de Thanasia pour la soumission et l'humiliation provenait sans doute de l'ange qui l'avait vaincue et brûlée de sa marque il y a des millénaires. Dalsimaï.
Il l'avait enchaînée puis brisée sur la montagne, physiquement et psychiquement. Puis, une éternité plus tard, il l'avait libérée.
Il était le seul être de la Création auquel Thanasia s'était absolument abandonnée. Elle l'avait vénéré autant que craint, haï, son geôlier, son tourmenteur et son sauveur. Des siècles s'étaient écoulés depuis leur dernière rencontre en haut de Saerth'wen, sa prison, et depuis Thanasia rêvait de leurs improbables retrouvailles. Dalsimaï était l'un des seuls à l'avoir vaincue sans l'avoir prise, sans avoir jouit entre ses cuisses. Car autrefois elle s'offrait à tous ceux qui y parvenaient. Mais la vampire était trop vile pour un corps si pur, pensait-t-elle.
Thanasia aurait voulu être violée par l'ange, foudroyée sur la pierre sous ses muscles divins.
Qu'il aille jusqu'au bout puisqu'il lui avait déjà tout pris.

Et c'est pourquoi, lorsqu'elle touchait le fond, Thanasia y restait longtemps. Elle y cherchait le même abandon, la même soumission qu'il y a des siècles autrefois. Dans le cas particulier de Draven Dairn, elle l'avait détesté jusqu'à ce que cela lui plaise, visiblement. L'avatar n'était pas Dalsimaï mais elle s'était finalement réconciliée à l'idée d'être sa propriété, à travers tous les tourments de cette condition.
Car par dessus tout, douleur ou plaisir, Thanasia aimait ressentir, et ce maître ne faillait jamais à cette attente.

Si c'était cela, "toucher le Fond", elle en avait connu des moins voluptueux. Et elle s’accommoderait volontiers de celui ci, pense-t-elle, sans doute dans un état second alors que l'avatar la guide par les cheveux où il comptait la prendre.

« Tu ne mérites pas d’avoir un lit moelleux sur lequel t’allonger afin d’être besognée. Là, ici, tête contre le dallage et cuisses bien écartées. Réclames de la plus belle et de la pire des manières, alors je t’offrirai une délivrance que tu ne mérites pas mais que je daigne t’accorder… »

« Merci maître... » soupire Thanasia, reconnaissante, tombant à genoux à peine les doigts relâchent leur prise sur son scalp. « C'est vrai, je ne mérite même pas le sol. »  gémit-t-elle en posant sa joue sur le carrelage, sonnant le cliquetis des lests métalliques pendant de sa poitrine.

Mais pourtant son dos s'arque naturellement, son postérieur s'épanouit au  dessus de ses cuisses blanches qui s'écartent comme des rideaux. Ils découvrent ses bijoux génitaux, tirant sur le sexe offert à sa vue. Thanasia semble si familière, si confortable dans cette position d'offrande, éclose telle une fleur intime prête à être cueillie n'importe où, n'importe quand. Car telle était sa nature, une lasciva aeterna.
Et l'attente laisse couler son nectar le long des chaînettes. Elle gémit encore de plaisir.

« Nhh... Je suis à vous, maître..   Prenez moi, par pitié, prenez moi... Montez moi de toute votre saoûl... » La langue de Thanasia lèche sans réserve le sol immaculé du peu de sang qui s'y trouve. « Voyez comme vous m'avez manqué. Ne... ne laissez pas ces vêtements vous retenir. Oubliez les, libérez votre vraie nature. Je saurait vous plaire, vous le savez... vous accueillir entièrement. Molestez mon corps, consommez moi.
Rappelez moi que je suis votre objet...  »
supplie Thanasia, excitée par ses propres mots, les portes de ses intimités n'appelant qu'à être forcées.
« Modifié: mercredi 20 novembre 2024, 10:52:07 par Thanasia »

Draven Dairn

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Re : La vampire domestique [ Draven Dairn ]

Réponse 21 jeudi 21 novembre 2024, 08:18:30

Elle avait supplié et ce simple fait était nouveau. Cela montrait jusqu’où je l’avais poussée, et je n’allais pas le cacher : je jubilais. Elle n’avait jamais été mise dans cet état et je ne pouvais que savourer cette manière qu’elle avait de me surprendre aujourd’hui. Une supplique, un gémissement, une envie qui couvait en elle de sentir qu’elle était possédée, n’est-ce pas ? Alors pourquoi n’aurai-je pas dû en profiter ?  le fouet avait eu un effet dévastateur sur la vampire et je m’en félicitais.
Ses yeux clairs montraient toute sa situation : al détresse d’une envie qu’elle avait besoin d’assouvir, une drogue que je pouvais distiller, et que j’étais le seul à pouvoir distiller. Et rien que pour ça, rien que de sentir que là, maintenant, j’avais réellement le pouvoir sur elle. Parce qu’elle avait abdiqué complètement.
On eut presque dit une personne différente dans ses manières et dans ses attentes. L’hautaine, l’égotiste et dangereuse vampire semblait n’être qu’une petite chose, soumise et envieuse qui attendait tellement de son maitre qu’elle aurait pu crever de dépendance à lui… ce n’était pas une nouvelle facette, je l’avais déjà entraperçue. Mais disons que nous atteignions des sommets que je ne me souvenais pas de l’avoir déjà vue atteindre…

Le sol même semblait la ravir pour subir la besogne de son maitre et je ne savais pas si j’aimais ou détestais ça. en fait, dans son état actuel, elle était en train de sombrer dans une telle servilité et une telle dévotion avide au plaisir, c’était presque décevant, et cela aurait presque supprimé la simple envie de la prendre ainsi, comme elle le méritait, et comme elle l’aurait probablement détesté dans ses phases plus dignes.
Je la relâchais pour admirer son corps blême, menu et élancé, la cambrure de ses reins, l’arrondit de son joli fessier, le haut de ses cuisses, luisants de son envie, les petites lèvres toujours tiraillées par les poids. Une putain sans pudeur, c’était le moins que l’on puisse dire. D’un autre côté, elle semblait ne plus raisonner sur le sujet et offrir sur un plateau ce qu’elle pensait que je puisse désirer….
Elle léchait le sol, tâchant de récupérer les maigres traces de sang au sol, sa nourriture, la seule qu’elle ait eu depuis un certain temps…

« Oui, tu n’es qu’un objet… un morceau de viande existant juste pour mon plaisir, ma chérie… »

Je glissais mes doigts contre sa peau, et jusqu’à son sexe que je caressais, constatant son envie plus qu’abondante d’avoir à subir mes assauts. Je laissais mes doigts errer, glisser jusqu’à son clitoris que je chahutais d’une petite pichenette à la puissance modérée. Je lui fis un sourire et je venais lui offrir ce qu’elle voulait ; je retirais tout rempart de tissu qui aurait pu éloigner nos chairs. J’approchais mon sexe de sa fente moite, faisant courir le gland contre les lèvres avide de celui-ci.

« J’aime t’entendre réclamer et supplier comme si tu connaissais enfin ta place, et cela mérite une petite récompense, je suppose. »

Je me penchais sur elle, la redressais pour jouer avec poids de ses mamelons. Puis je glissais une main dans ses cheveux, et je la retenais un peu redressée comme ça pour forcer la gravité à reprendre ses tortures sur son corps. De mon autre main, je guidais mon sexe pour venir l’appuyer, et forcer son anneau rectal, qui n’avait probablement pas prévu une telle intromission. Je forçais pour rentrer et m’offrir tout le plaisir que je voulais en molestant son corps.

« Savoure, mon adorable putain… »


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