Il fallait lui reconnaitre une certaine beauté, un érotisme affirmé, avec la balafre de la semence sur son visage qui commençait doucement à dégringoler un peu ; oh, certes, ce n’était qu’une partie du tableau. Il fallait noter les relents de crachat, la salive sur le menton, le mascara qui avait choisi de dire merde en partant en live au gré des larmes. Elle donnait vraiment une impression de visage ravagé. C’était le moins que l’on puisse dire. Mais en même temps, je l’avais voulue ainsi… j’avais fait ne sorte qu’elle soit dans cet état ; et je n’en étais pas mécontent.
« Oui, que ta blouse, ma petite chérie… »
Pendant qu’elle mettait sa blouse, je regardais dans la chambre et trouvais ce que je cherchais un petit broc doseur qui pouvait contenir, selon les graduations, jusqu’à un demi litre. Il serait sans doute pour les prélèvements de fluide ou pour doser des liquides médicamenteux. Bien sûr. Mais je ne relevai spas vraiment cela. Je me retournais vers elle. Elle avait la blouse ouverte, révélant ses seins qui pointaient toujours, et son sexe glabre et luisant de son orgasme passé. On le voyait aussi d’ailleurs sur le haut de ses cuisses.
« Oui, oui, ferme ta blouse. Enfin, ferme assez pour cacher l’essentiel, mais pour qu’un mauvais geste en relève trop… ce ne serait pas drôle sinon, tu ne crois pas ? »
Je lui fis un clin d’œil, amusé, ravi même, de la situation, et je venais doucement, avant qu’elle ne le fasse, lui palper le sein, lui malmener un peu le mamelon.
« Allez, dépêches-toi. »
J’attendis qu’elle ait fini pour lui donner le broc.
« Tiens. Je vais m’occuper de toi… »
Je lui souris, et je venais glisser ma main à ses fesses et la pousser en avant.
« Mets tes chaussures aussi, histoire de ne pas marcher pieds nus, ce ne serait pas très sain. »
Je lui donnais une petite tape affectueuse sur la croupe, bien placée pour lui rappeler son passé sodomite. Quelle chance j’avais eu de tomber sur une fille qui avait eu l’horreur de tester pour la première la sodomie….
Enfin, puisque c’était bon et que nous pouvions y aller… je laissais ma main sur son cul et je la poussais un peu en avant. Puis je commençais à remonter le couloir, regardant dans chaque chambre, jusqu’à avoir enfin un sourire satisfait. Parfait.
« Bien, un homme seul. Tu vas rentrer dans cette chambre avec ton bocal de prélèvement et tu vas lui vider les couilles dans le broc. Et nous ferons ça chambre après chambre jusqu’à ce qu’il soit plein. S’il préfère utiliser ta bouche, alors suce. Tu n’es bonne qu’à ça après tout… et une fois que ce sera plain, tu auras ton repas… »
Je lui donnais une claque sur le cul d’encouragement.
« Et dépêches-toi, je ne veux pas que t’en aies pour des heures… »