[Terminé][Contenu sensible] Trop en voir condamne à un cauchemar ? [Pv]

Je me laisse porter par son rythme et son plaisir, m'adaptant sans cesse aux réactions de son corps et à ce qui semble lui faire perdre la tête. Mais il est plein de contrôle et si un autre homme aurait pu s'abandonner et tout lâcher en quelques minutes à sa place, lui n'en fait rien. Je ressens parfaitement cette volonté de rester maître de la situation de ne pas laisser les choses échapper à son contrôle aussi vite.

D'ailleurs, il fini par libérer ma bouche, j'en profite pour respirer un peu d'air tandis que je l'observe se recentrer pour ne pas défaillir. Si il y a bien un domaine dans lequel je me sais douée, c'est celui ci, et pour avoir suffisamment l'art de la pratique, je sais que je ne me trompe pas en disant qu'il prend son pied.

Je prends le compliment de la meilleure suceuse avec un petit sourire aux lèvres, les yeux pétillants de désir, le naturel revenant au galop.

- J...J'aime vous sucer Maître...

Son sexe se promène sur ma joue mais je sursaute lorsqu'il me gifle avec. Mes mains jaillissent alors instinctivement de derrière mon dos pour tenter de le repousser mais je me retrouve à nouveau avec son gland en bouche d'abord, puis sa verge au fond de ma gorge. Il m'impose alors un rythme brutal que je suis incapable de contrôler et je m'étouffe presque à chaque aller retour lorsque mon menton s'écrase contre son bassin.

- M-mais...

Même si ce comportement était prévisible, je tente de de reprendre le contrôle et de me dérober pour pouvoir respirer. Sans doute que je perds un peu conscience de ma position et de ce qu'il risque de m'arriver si je desobeis.

Le rythme est brutal et même si je pousse sur ses cuisses avec mes mains pour me libérer, je sens la pression de ses mains sur ma tête qui me verouillent sur place et qui m'incitent à me laisser faire comme la parfaite petite chienne que je suis censée être.

J'ai du mal à apprivoiser le mélange d'émotions qui tourbillonent en moi. Mon corps semble m'abandonner totalement, griser par les plaisirs de la chair tandis que ma raison subsiste et me lance des avertissements pour me pousser à me rebeller.

Je ne pousse pas le vice jusqu'à lui faire mal, consciente qu'il risque de me faire la peau sur place malgré cette fellation magistrale mais il peut sans doute remarquer que je tente de reprendre un peu de ma place.

Elle avait une tête à apprécier plus que de raison la situation… alors forcément… qu’elle dise qu’elle aimait me sucer allait de soi. Elle avait le regard enfiévré, la joue baveuse, et, pariais-je, son petit abricot tout autant, voire sans doute plus… oui, rien qu’à la manière dont elle suçait je devinais sans mal que ça devait suinter comme un fruit trop mûr, là en bas…
Je lui tapotais doucement la joue, presque tendre.

« Encore heureux… sinon à quoi tu servirais… »

Je me laissais porter par mes envies et c’était bien cela qui m’amena à lui baiser littéralement la gueule. Comme si sa bouche – et sa gorge – n’avait été qu’un équivalent dentu de ses autres orifices.
Ce rythme était normal. Je lui avais dit. Je la traitais telle qu’elle était. Une chienne bonne à foutre, et à se faire défoncer, quelle qu’un soit la manière… je voyais bien son regard de surprise, et je savais que les hoquets de haut le cœur arriveraient vite, ainsi que le surplus de sa live générée par la situation qui s’échapperait de ses lèvres tôt ou tard.
Mais apparemment j’atteignais déjà un point de non-retour pour elle, car elle ne put s’empêcher de me repousser, ou du moins d’essayer… je cessais mes mouvements alors qu’elle tentait de me résister et qu’elle essayait de se rebeller. Et forcément…
Je me reculais, faisant sortir mon sexe, la laissant livre de tousser, cracher sa salive en trop, et reprendre le souffle que je lui avais pris.

« Est-ce que je ne t’avais pas donné une consigne claire ? »

A savoir garder ses mains dans son dos.
Je refermais mes doigts sur ses cheveux et je commençais à tirer, sachant parfaitement que c’était douloureux, non pour la relever mais pour l’entrainer vers le lit médical….  Et c’était seulement lorsqu’elle était toute proche du lit que je tirais sur ses cheveux vers le haut pour la redresser. Elle était toute proche du corps en décomposition.

« Regarde le… tu veux finir pareil ? »

Et ma main s’éleva pour s’abattre sur sa joue… une puissante gifle bien méritée.

« Puisque tu es incapable d’obéir alors je vais sévir. Mais je vais surtout te donner quelque chose qui te servira de rappel. Par exemple… »

Je désignais la main en cours de décomposition…

« Je vais détacher un doigt et te le glisser dans ta fente baveuse. Et tu le garderas jusqu’à ce que je t’aie joui au visage. »

Je me fis songeur.

« Ou alors, tu te masturbes avec ? Les deux idées ont du charme… »

Sinon il restait toujours les aiguilles des seringues… juste pour percer la peau, à des endroits sensibles…

Je savais que mon comportement ne passerait pas mais j'étais loin d'imaginer à quel point cet homme avait des idées farfelues. Lorsqu'il me libere de sa prise, je reprends mon souffle difficilement, mon maquillage complètement fichu en l'air et le visage plein de bave et de traces de sa verge.

Cette baise intensive ne m'a laisser que peu l'occasion de respirer alors je toussote un peu en tentant de discipliner mon rythme cardiaque. Mais c'est sans compter sur sa main qui agrippe mes cheveux et me fait grimacer de douleur pour me tirer jusqu'au corps en décomposition.

Je suis bien obligée de poser mon regard sur le macame et j'ai cette fois ci un haut le cœur qui manque de me faire vomir de peu. L'aspect affreux du mort est une motivation particulièrement puissante et je l'implore, à nouveau, à genoux et complètement soumise et il faut le dire un peu paniquée.

- Je suis désolée... je ne voulais pas pardonnez moi... je ne recommencerai pas s'il vous plaît...

Vlam. La claque s'abat violemment sur ma joue qui irradie instantanément. Je sursaute et lâche un cri de douleur en me tenant le visage, les yeux larmoyants. Je commence à m'apitoyer sur mon sort et me détester de ressentir du désir en compagnie d'un taré pareil mais je le regarde avec effroi lorsqu'il me parle de m'enfoncer ce doigt en cours de décomposition à l'intérieur de moi. Le pire dans tout ça, c'est que l'adrénaline et l'horreur ne parviennent même pas à faire disparaître mon excitation. J'ai tellement envie de me faire penetrer.

- Vous n'allez quand même pas faire ça...

Mais je remarque à son air mesquin que cette idée n'est absolument pas hypothétique. Qui sait ce qu'il a comme autre idée derrière la tête... j'ai un mouvement de recul par instinct de survie mais je suis totalement exposée, nue face à lui et degoulinante de désir.

- Je vais obéir... c'était juste une erreur...

Elle comprenait un peu ce que je lui promettais comme réaction ? Possiblement, ou pas. En fait, je pensais sincèrement qu’elle méritait une bonne leçon. Et quoi de mieux que d’utiliser mes resres pour cela ? Bien sûr, je ne disais pas que j’allais agir comme je lui mentionnais, non. Bien sûr, mais j’estimais juste que j’avais un réel droit à lui faire peur avec. Mes idées, particulièrement sordides, était typiquement ce que je pouvais faire pour lui montrer que je contrôlais. D’ailleurs, elle comprit que même si elle ne voulait pas, pouvais la orcer. C’était ça, le pouvoir en fait… le pouvoir que j’exerçais sur elle, et qu’elle m’avait cédé. Tout simplement.

« Tu ne voulais pas… est-ce que ça justifie que je passe outre ? »

La gifle devait lui avoir fait du bien. Son visage avait clairement montré qu’elle ne pouvait pas me refuser. Elle avait la salive sur le visage, sur le menton, le mascara qui coulait sur les joues. Et j’en passais. Je la regardais et je rajoutais.

« Pourquoi est-ce que je ne le ferai pas ? N’as-tu pas dit que tu obéirai sans discuter ? »

Ces propos avaient un double sens   un rappel de son échec, d’une part, et du fait que si je voulais qu’elle fasse ça, refuser allait contre sa cession. Je ricanais un instant avant de finalement lui caresser la joue tendrement, lachant ses cheveux.

« Promettre quelque chose alors que tu as déjà trahi ta promesse, cela nihilise toute crédibilité de ta part. donc si yta parole n’a pas de valeur, alors pourquoi devrai-je en tenir compte, ma petite chérie ? »

Je lui tapotais la joue, un peu infantilisant, certes. Mais en même temps, quoi de plus normal ? Je me contentais de dire, doucement.

  « Il va falloir que je te montre que moi, je n’ai qu’une parole, alors tu vas être châtiée… et nous allons faire en sorte que plus jamais, tu ne commettes une telle erreur…. Mais je me montre généreux. Propose-moi une vraie punition, une que tu devras endurer avec peine… fais moi une proposition. Si elle me va, alors soit. Si elle ne me va pas, je choisirai, et quoique je choississe je ferai en sorte que tu en chiales… »

Le problème avec les promesses non tenues c'est que forcément, après, il est difficile voir impossible de paraître crédible.... et j'étais exactement dans cette position. J'avais fait une promesse que j'avais envoyer en l'air et maintenant je n'avais plus aucun moyen de prouver mon obéissance. En tout cas par les mots.

J'ai du mal à me remettre de la grosse claque que je viens de me prendre mais elle a eu le mérite de me remettre les idées en place. Je n'avais plus aucune envie de me rebeller et de le contrarier. Surtout que j'allais désormais devoir redoubler d'effort pour prouver mon honnêteté.

Je ne le contredisais pas, les mots ne suffiraient plus à le convaincre et je le savais pertinemment. Il oscille entre cette fausse tendresse et la violence qui émane de lui, me caressant les cheveux après me les avoir malmenés. Il me rabaisse, me replaçant à ma juste place avant de me mettre au défi de lui prouver ce que je suis réellement capable de faire.

Je l'observe un instant, une boule se formant dans ma gorge avant de jeter un coup d'œil au cadavre tout près de moi. L'idée qu'il m'avait proposer était tout bonnement affreuse, mais ce qu'il avait en tête ne serait-il pas pire que l'éventualité de ce que je pense à faire ?

- Je vais me rattraper... je ne vous décevrais plus Maître...

J'essaye tant bien que mal de me repentir mais je vois bien à son regard qu'il est sérieux et qu'il n'hésitera pas à me faire souffrir pour son petit plaisir personnel.

Alors même si cette idee me rebute, j'attrape le bout de l'index du cadavre qui se craque lorsque je tire dessus et se détache de l'ossature de la main. Je ferme les yeux pour ne pas m'évanouir et referme ma main dessus pour le dégager le plus vite possible de mon regard. Je persuade mon esprit de s'imaginer qu'il s'agit simplement d'un jouet comme un autre que j'ai l'habitude d'utiliser. Un sextoy en forme de doigt, ni plus ni moins.

- Est ce que si je me masturbe avec, cela vous conviendrait...?

J'espérais que oui. Et pour prouver ma bonne foi, même si tout ceci me paraissait irréel, je reculais un peu en écartant mes cuisses pour lui prouver que j'étais prête à franchir le cap. Avec un peu de chance il aurait suffisamment pitié pour me dire de ne pas le faire et que tout ceci n'était qu'un test... même si j'étais suffisamment en chien pour savoir au fond de moi que malgré les circonstances, je trouverai du plaisir quand même.

Elle revenait dans mon giron. C’était une excellente chose, me semblait-il. Après, restait à savoir si elle serait en mesure de me prouver qu’elle restaurait assujettie. Ce n’était plus possible de le montrer par les gestes, et par les actes. C’était devenu essentiel et elle le comprenait, me disant qu’elle ne me décevrait plus. Mais je ne pouvais pas m’empêcher de me dire que c’était presque trop facile…
Je relâchais ses cheveux de l’étreinte de ma main pour qu’elle se sente libre d’agir.

« Nous verrons. »

Je la laissais donc essayer de me convaincre. Elle regardait le cadavre. Avait-elle peur que je ne passe à l’acte ? Elle avait raison. Je passerai à l’acte, c’était une certitude. Il suffisait pour cela qu’elle ne me convienne pas dans sa réaction. Et donc tout dépendait d’elle. Et pas qu’un peu… parce que maintenant la charge était renversée. Elle ne devait pas juste endurer mis me montrer jusqu’où elle pourrait aller. Et ce n’était clairement pas une chose aisée... mais c’était aussi cela qui me permettrait de voir ce qu’elle valait vraiment, niveau engagement.

Elle regarda le cadavre, saisit un doigt, et l’arracha. Le doigt vint sans problème, craquant sans résister. Oh… ainsi elle allait oser ? Il était temps de voir ce qu’elle pouvait faire.  Et elle avait intérêt de faire les choses bien…

« Et tu couinais parce que l’idée même que je te masturbe avec était trop pour toi ?  Tu vois, c’est largement à ta portée ma chérie… »

Je lui tapotais le crâne, els cheveux, avec un air ravi, mais je me permettais alors de rajouter.

« Mais cela ne suffira pas. Il ne suffit pas de revenir sur ce que je souhaitais je faire pour me combler. Il ne s’agit plus de satisfaire une ancienne demande, mais de faire acte de châtiment… »

Sans la moindre once de dégout, je venais glisser ma main sous les draps, sous la blouse et je saisissais un service trois pièce qui avait commencé à bien sécher. J’arrachais alors le trio. Je mettais alors sous ses yeux le service trois pièces défraichi.

« Tu devras utiliser le doigt et ça. A toi d’en faire un spectacle qui me plaira… mignonnette… D’ailleurs c’est quoi ton petit nom ? Que je sache de quel nom a hérité ma chienne en chaleur… »

J’attendais qu’elle prenne le service trois pièces pour lui dire.

« Maintenant, mets-toi en place, mets-toi en scène, et montre-moi un peu ce dont tu es capable. Il va falloir assurer le spectacle, et jouir comme une chienne en chaleur jouirait. Sans retenue, violemment, éclaboussant… »

Je préférai préciser alors.

« Uniquement vaginale, la masturbation. Salope comme tu es, tu risquerais de vouloir utiliser ton cul ou ta bouche aussi… »

Je savais que j'avançais pleinement sur la pente descendante mais avais-je vraiment le choix ? J'étais face à un taré à qui j'avais eu le malheur de céder tout contrôle et il était bien décidé à faire tout ce qui lui chanterait de faire. J'étais vraiment dans une fâcheuse position.

C'est certainement pour cette raison que je me tiens à genoux avec le doigt desséché d'un cadavre dans ma main, prête à m'en servir pour me masturber et faire preuve de ma bonne foi. J'espérais au fond de moi que ce serait suffisant, que ce serait même trop. Lorsqu'il ricane en se moquant de mes plaintes précédentes, je detourne le regard.

Il a raison, je suis prête à tout pour m'en sortir indemne, et si je peux soulager mes pulsions au passage, alors je risque de tout céder aussi. J'ecarquille les yeux lorsqu'il porte devant mes yeux ce qui servait d'organes génitaux à notre ami décédé sur la table et je met ma main devant ma bouche pour réprimer un nouveau haut le cœur. Quel être sain d'esprit peut avoir des exigences aussi affreuses ?

L'idée de refuser traverse mon esprit l'espace d'une seconde avant de disparaître. Je ne peut pas désobéir à nouveau. Pas alors que je suis dans cette situation parce que j'ai justement oser me rebeller.

Je redresse le buste pour me donner un peu de courage et de volonté, plantant cette fois ci mon regard dans le sien. Je répond cette fois ci d'une voix pleine qui ne flanche pas, bien consciente qu'il s'agit désormais de faire mes preuves. 

- Je m'appelle Laëlia. Et je vais tout faire pour que soyez satisfait de mon comportement, Maître.

Il voulait du spectacle. J'étais prête à lui en donner. Le fameux service trois pièces dans une main et le doigt dans l'autre, je pose le premier entre mes cuisses au sol tout en gardant l'autre dans ma main. Le voilà qui émettait des nouvelles conditions, encore, et je hochais la tête pour lui signifier que je les respecterait.

- Je n'utiliserai que mon vagin, dans ce cas...

La main qui tient le doigt desséché vient se balader sur ma poitrine pour titiller mes mamelons qui se tendent à nouveau instantanément. Je me sers de l'extrémité du doigt pour me caresser, frissonnant rapidement tandis que mon excitation reprend le pas sur tout le reste. Je ne le quitte pas du regard, pour avoir à éviter d'affronter ce que je suis entrain de faire, tandis que mon bassin s'abaisse légèrement pour que la verge viennent stimuler l'intérieur de mes cuisses.

Mon sexe est encore dégoulinant de désir et je n'ai pas grand chose à faire pour qu'elle rentre. Pourtant, pour le spectacle, je prends le temps de faire monter encore ma température, trouvant le moyen de stimuler mon clitoris en me frottant comme une assoiffée de plaisir.

Mon visage se transforme peu à peu, malgré l'horreur de la situation, malgré le fait que je suis entrain de me faire plaisir avec le service trois pièces d'un mort, lorsque je fais penetrer le membre à l'intérieur de moi, je gémis comme la véritable petite chienne qu'il m'accuse d'être. Je me déhanche pour le faire aller et venir, suffisamment loin pour me faire haleter, tout en descendant le doigt qui appartient au même corps entre mes lèvres intimes pour stimuler dans le même temps mon petit bouton de chair tellement sensible.

Elle obéit, elle céda. Oh, certes, elle manqua de vomir, certes, mais bon… je lui fis un air amusé, avec une lueur mauvaise dans le regard qu’elle commençait à bien connaitre et qui montrait bien à quel point cette situation me prenait aux tripes. Et sincèrement, après avoir fait « mumuse » avec ça, que pourrait-elle faire de pire ? les animaux ? les monstres ? d’autres fluides peu amène ? Voilà qui ne devrait pas être trop incongru…

« Laëlia…. Hum… soit… »

Je n’aimais pas beaucoup son nom. Et parce que je n’aimais pas beaucoup, elle serait peut-être amenée à changer de nom. Mais bon, ce n’était pas bien grave… je lui fis un sourire avant de finalement la regarder se préparer au « pire » … et, forte des dernières consignes, je la regardais alors commencer à se titiller les mamelons avec le doigt, puis, elle commença à jouer avec le sexe du corps en décomposition. Voilà ce que j’attendais ‘elle et je venais même saisir son menton pour l’empêcher de détourner ses yeux de moi. Pour le moment je ne lui répondais qu’une vague indifférence intéressée. Pas grand-chose quoi. En même temps, elle n’avait pas vraiment bien débuté, et la vue n’était pas terrible.

Mais eu voyais son visage, la manière qu’elle avait de peu à peu changer d’expression… elle montrait qu’elle était en chaleur et que n’importe quoi aurait pu la contenter… elle en avait besoin. Et pas qu’un peu. Il lui fit un air joueur et mauvais avant de finalement lui cracher au visage et, puisqu’elle ne regardait pas ce qu’elle faisait, je lui donnais un coup de pied entre les cuisses. Pas très fort, pour qu’elle n’ait pas non plus trop mal. Mais c’était un avertissement.

« Qu’est-ce que tu n’as pas compris dans l’idée de faire le show, le spectacle, Layla ? »

Le prénom avait été complètement écorché et cela m’allait bien quand même. Et c’était tout ce qui comptait.

« Je ne vois rien et toi non plus. Alors tu continues de te fourvoyer ? »

Elle prit une nouvelle claque, sur l’autre joue, égale à la première.

Je pensais que le fait de pratiquement m'envoyer en l'air avec un mort serait suffisant pour prouver à quel point j'étais capable de me soumettre. Mais je comprends rapidement que ce n'est pas le cas. Son regard laisse facilement transparaître ses exigences et je comprends qu'il le sera toujours plus. Il n'a pas de limites et je suis entrain de le comprendre à mes dépens.

Malgré la peur, la crainte de ne pas faire suffisamment bien et la terreur en toile de fond de ne pas sortir de cette pièce vivante, le plaisir me monte à la tête et envahit mon corps. Les vas et vient qui me stimulent de mieux en mieux me font soupirer de plaisir, et j'en ai besoin, je m'y raccroche comme à une bouée de sauvetage. J'ai besoin de me faire prendre et de jouir jusqu'à tout oublier.

Il le remarque certainement et il en profite puisque je ne m'attends pas à ce qu'il me crache au visage, ce qui ne manque pas de me faire ouvrir de grands yeux. Choquée, je laisse le crachat marquer ma peau sans oser l'en débarrasser d'un geste de la main. Et je sais que j'ai bien fait de ne pas bouger lorsqu'il m'assene un coup de pied entre les cuisses qui m'extirpe une plainte de douleur. Ce coup fait s'enfoncer la verge encore plus loin à l'intérieur de moi.

- P...Pourquoi...

J'obtiens rapidement ma réponse, non sans qu'il écorche mon prénom au passage, ce qui me fait comprendre qu'il ne l'aime probablement pas. Il n'était pas satisfait et cela se soldait par une nouvelle claque sur ma joue qui rougit sous le coup.

Je me relève difficilement, tremblante d'un mélange de peur-plaisir et désir. Je ne parviens pas à arrêter de me masturber et je tiens d'une main ferme les bourses accrochées au membre qui s'enfonce en moi. A présent debout, la vision est meilleure, j'ecarte encore d'avantage les cuisses, je sais qu'il veut que je regarde, parce qu'il me poussera dans mes retranchements jusqu'au bout. Alors je baisse la tête et contemple ce membre desséché qui me perfore, avant de reposer sur lui un regard désespéré.

Le plaisir me fait vibrer, mais j'ai besoin de plus, je suis presque en trans, dans un état second, je déteste cet homme tout autant que je le désire et je crois bien que cela pourrait me rendre folle.
 
Les barrières tombent peu à peu et je me penche en avant, agrippant de mon autre main son épaule malgré le doigt qui y est toujours coincé. Je continue de me faire plaisir, venant gémir à son oreille, il a une vue pleine sur mon bassin qui remue et ma poitrine qui s'agite au rythme de mes accoups. Il pouvait sentir la vibration de mon corps à chaque aller retour. Et alors que je laissais échapper mon plaisir, j'abdiquais.

- J'ai besoin de me faire prendre... j'aime tellement ça... je suis votre petite chienne et je suis prête à tout pour vous satisfaire...

J’en demandais beaucoup. Je le savais. Je savais même que j’en demandais potentiellement trop. Mais elle cédait, elle suivait, elle laissait faire. Alors pourquoi me priver, au juste ? En cet instant, elle était là pour ça, il fallait bien le reconnaitre. Pour obéir, et pour me divertir. E pour le moment, si le bilan semblait mitigé, elle restait quand même assez divertissante. Il fallait bien le reconnaitre.

Petit sourire en coin. J’en avais un comme ça quand elle ouvrit de grands yeux avec ce crachat au visage. Mais elle ne chercha ni à le retirer ni autre elle laissa ainsi son visage souillé. C’était presque comme si c’était naturel. Ça lui allait bien. Mais le pire, ce fut suite au coup de pied. Elle réagit comme si elle ne savait pas pourquoi j’avais frappé. C’était exécrable de sa part. alors forcent, la gifle avait suivi et c’était légitime. Elle continuait à ne asa agir comme il fallait. Et j’étais persuadé qu’elle le savait et qu’elle le faisait exprès. Sinon, pourquoi aurait-elle agi de la sorte ?

« Tu avais pourtant promis de ne plus me décevoir… »

Je lui caressais les cheveux dans un simulacre e tendresse, avant qu’enfin, elle ne bouge, offrant cette fois une belle vue sur l’action. Voilà qui était quand même mieux. Et pendant quelle continuait, venant se caler contre moi, gémissante, bouillante vibrante, je vins saisir sa poitrine à pleines mains pour commencer à presser pétrir, ses globes de chair, jouant avec ses mamelons en tirant, tordant, pressant, pinçant.

« Je sais. Je vois ça, tu dégoulines e plaisir… et tu es prête à mettre n’importe quoi dans ton con… »

Je ricanais. Une idée venait d’arriver…. Une idée dans la ligne des précédentes.

  « Jouis et ensuite je promets que je te perforerai de mon chibre… je te baiserai, à quatre pattes, comme une bonne chienne… »

Je continuais à maltraiter ses seins, et ce, en me montrant toujours un peu moins tendre à chaque geste.

  « Je te promets de m'occuper de toi comme tu le mérites… »

Le spectacle semblait un peu mieux lui convenir, en tout cas mes joues ne furent pas gratifier d'une nouvelle gifle et j'en soupirais de soulagement. Et je ne pouvais pas dire que je ne profitais pas du plaisir que m'offrait cet objet incongru qui s'enfoncait en moi.

Et c'était bien le problème. Je me soumets à nouveau entièrement à lui, prête à tout pour soulager mes besoins, ses idées sont affreuses et pourtant mon esprit est déconnecté de la réalité. Je le laisse me frapper, me maltraiter, alors que j'aurais certainement pu au moins essayer de le tuer.

Mais cette entreprise serait veine, je le sais parfaitement, et le plaisir que je retire de cette situation est tout simplement malsain. Alors quand il s'attaque à mes seins tendus en me promettant de me baiser des que j'aurais jouis, je redouble aussitôt d'effort, bien que cela ne soit pas difficile.

Les vas et vient entre mes cuisses deviennent plus vifs, mon corps se contracte. Je suis au bord de la jouissance, prête à tout lâcher, et l'idée même de le sentir s'enfoncer en moi provoque une vague de chaleur dans tout mon corps.

- Oh oui... je n'attends que ça...

La raison s'envole et avec elle mon esprit. Je bloque le membre en moi tandis que ma jouissance explose dans un long gémissement de soulagement. La tension est tellement forte que mon plaisir  dégouline en abondance le long de mes cuisses et inonde le service trois pièces que je tiens encore entre mes mains.

-Oh bordel...

Je sentais son soulagement d’être convenable. En fait, c’était un peu le minimum que je demandais. Je ne me trouvais pas si exigeant que cela quant aux mots employés, bien sûr… mais c’était quand même bien plus fun comme ça. Je lui fis un sourire et je lui tapotais la tête pour lui montrer que j’étais content de son travail actuel. Même si elle aurait pu faire mieux, c’était déjà acceptable, ou plutôt passable. Donc je me montrais généreux et je la laissais continuer, faire ce qu’elle pouvait et ce qu’elle devait…

Au moins, je lui avais offert une belle issue. Si elle jouissait suffisamment alors je la prendrais. Et je ne le ferai pas doucement. Je le ferai comme à mon habitude, comme je le voulais, sans vraiment me soucier de comment elle réagissait à cela.

« Tu n’attends que ça, vraiment ? Eh bien jouis, ma belle… »

Je regardais la jeune femme avec amusement alors qu’elle continuait. Et enfin, je la vis jouir, éclabousser, offrir un spectacle absolument obscène. Mais elle avait l’obscénité qui coulait dans ses veines, c’était le moins que l’on puisse dire. Elle jouit bien. Elle jouit fort. Et je la récompensais d’une claque sur le cul. Brave fifille. »

« C’est bien, ma Layla… »

Je la laissais quelques instants avant de finalement prendre ses hanches et la faire pivoter pour qu’elle soit dos à moi. Alors, je la poussais en avant, brutalement, pour que son buste s’étale sur le lit, en travers du cadavre et je souris avant de finalement lui caresser le dos tendrement, allant jusqu’à son cul.

« Où est le doigt ? »

Elle avait utilisé le service trois pièces, mais le doigt… n’avait-elle pas négligé cela ? Je prenais son nouveau sextoy favori, poisseux de ses plaisirs, avant de finalement l’appuyer pour qu’il reste bien rentré en elle, et je venais la forer à accepter un testicule desséché à l’intérieur, puis la deuxième… et enfin, le tout fut en elle. Bien, voilà qui était réglé. Elle était bien remplie ainsi, non ?  Alors je lui disais, une main posée sur ses reins pour la maintenir.

« Choses promises choses dues. »

Je posais mon gland entre les rondeurs de ses fesses et je forçais, profitant de ma force largement supérieure à la sienne pour m’enfoncer dans son anus aussi loin que possible sans la préparer… qu’elle déguste. C’était le but. Prise comme elle le méritait et comme je le voulais sans la moindre prudence, attention, retenue.

« Heureuse ? »

Mon orgasme est sans retenu, j'explose dans une marre de cyprine, mon vagin se contractant à intervalles régulières jusqu'à ce que l'euphorie redescende et qu'il me claque le cul bruyamment. J'imagine que ma peau doit être aussi colorée que celle de mes joues.

Pourtant la douleur se dissipe sous les effets du plaisir et je reprends doucement mes esprits sans comprendre ce qu'il m'arrive lorsqu'il me retourne et que je me retrouve à moitié étalée sur le cadavre. Cette vision d'horreur me pousse à plisser les lèvres pour ne pas hurler. J'en avais presque oublier sa présence et pourtant, c'était bien à cause de ce fichu mort que je me retrouvais dans pareille situation.

La redescende est brutale mais ce qui suit l'est d'autant plus. Je desserre ma main dans laquelle est toujours emprisonné le doigt lorsqu'il me demande oú il est. L'état de décomposition de celui ci devient d'ailleurs de pire en pire mais je chasse cette idée de mon esprit.

- Il est là...

La penetration des bourses accrochées au sexe qui est toujours enfoncé en moi "m'aide" à penser à autre chose mais la sensation est inconfortable, je suis suffisamment trempée pour qu'elles rentrent sans problème mais je me sens bien trop pleine. J'ondule un peu des hanches pour tenter de m'adapter avant de m'agripper au cadavre car il est la seule chose que j'ai sous la main sans pouvoir cette fois ci me retenir de crier.

- Aaaaah !!!!

Mon sang ne fait qu'un tour et la douleur me coupe le souffle. Je sens son chibre s'enfoncer sans pitié à l'intérieur de mon anus avec la net impression qu'il me dechire de l'intérieur. Je sens sa poigne qui me maintient et m'empêche de me dérober. L'intensité de la douleur est telle que les larmes me montent aux yeux.

J'ignore si il n'a pas réellement tout détruit sur son passage et la sensation de plaisir est à cet instant très lointaine. J'ai envie de lui hurler qu'il est complètement fou et que j'ai envie de l'étriper mais je ne suis même pas certaine que mon corps soutienne mon poids au vu de la douleur qui irradie. Le problème c'est qu'il trouve toujours le moyen de retourner les choses contre moi et que je n'ai pas la force de m'opposer à lui. Après tout, je lui avais expressément demander de me prendre comme une chienne.

Alors je serre les dents et ne dit rien, pour ne pas m'attirer ses foudres, deglutissant difficilement. Osciller entre plaisir et pareille douleur est une véritable montagne russe émotionnelle. Et mes capacités divines naturelles, bien que je n'en ai pas conscience ne m'aident pas beaucoup plus à encaisser le choc, si ce n'est que je suis encore consciente.

Je remarque que le bras du mort auquel je me suis trop fermement accrochée s'effrite et tombe au sol. Alors je ferme les yeux, tremblante, pour espérer que le cauchemar se termine au plus vite, essayant de me raccrocher à l'orgasme que je viens d'avoir et dont je me remet tout juste.

Ce que je lui faisais n’était pas quelque chose de particulièrement agréable, même avec toute la bonne volonté qu’elle avait manifestée. Est-ce que la briser était un objectif ? Pas nécessairement… moi je me contentais d’estimer qu’elle était faite pour ce qu’elle subissait, bon gré mal gré… je lui donnais une petite claque sur la croupe. Brave fifille. J’allais la faire gueuler. Il allait falloir qu’elle se taise part contre, me dis-je quand je l’entendus crier de douleur lorsque que je forçais pour entrer dans son petit trou. Il était fait pour ça, comme elle était faite pour ça, non ?

Je venais appuyer sur sa tête, alors qu’elle s’accrochait au macchabé, pour lui enfoncer le visage entre les draps et la faire taire. C’était le seul moyen pour qu’elle ferme beaucoup… je gardais son visage ainsi alors eu je sentais que mon bassin claquait contre ses fesses. Je me penchais sur elle pour lui caresser les cheveux et lui susurrer au creux de l’oreille des mots de pure gentillesse.

« Courage, ce n’est que le début… je vais apprendre à ton cul à s’ouvrir bien grand devant un gland… »

Je commençais à reculer, lentement, pour lui laisser le temps de ressentir les choses.  Avait-elle saigné de cette pénétration ? Peut-être, je ne vérifiais même pas. Je me contentais de ressortir et lui faire sentir l’air entre dans son étoile brune ouverte. Puis je reposais mon gland contre celle-ci une fois douloureusement refermée et je lui disais.

« Respire bien et détends-toi, sinon tu auras encore plus mal… »

Et sans attendre je recommençais, encore, et encore, et encor. A combien de reprises ressortais-j, attendais-je que son cul se referme, pour le repénétrer ? Je n’étais pas sûr, une bonne dizaine de fois à n’en pas douter… et alors, je venais une nouvelle fois pénétrer son cul, un peu plus habituer, pour commencer les rudes vas et viens…

« Vraiment un cul de chienne, tu le sais, ça ? »

Je cessais d’appuyer sur sa tête.

« Vraiment une putain jusqu’au fond de chaque trou… »

Si la penetration brutale me provoque une douleur insupportable, ce n'est rien comparé à lorsqu'il se met à bouger. La tête enfoncée dans les draps et maintenue par sa main pour éviter de crier, j'ai l'impression qu'il m'ouvre de l'intérieur chaque fois qu'il s'enfonce entre mes chaires. J'ai d'ailleurs l'impression que la sensation ne disparaîtra jamais tellement c'est insoutenable.

Mais je sers les dents, tandis que des larmes coulent le long de mes joues et que comme il me l'avait promis, il me fait chialer. Par moments, les accoups sont tellement douloureux que des plaintes s'échappent de ma gorge, heureusement pour lui étouffées par le draps. Même la présence du mort ne me paraît plus si terrible à côté de ce qu'il me fait subir.

Je manque d'air et je sens que si il continue comme ça, je vais me briser en mille morceaux. C'est sans doute ce qu'il cherche puisque dans le même temps, je me jure de ne plus jamais lui désobéir et de rester éternellement docile.

Il me provoque ouvertement, me souhaitant même bien du "courage" puisqu'il ne s'agit que du début. Et il ne manque pas de me le prouver lorsque ses vas et vient deviennent plus brutaux encore et qu'il s'amuse à me perforer à nouveau des lors que mon cul se referme.

Je suis presque certaine de saigner, la déchirure me paraît inévitable mais cela ne l'arrete pas, il m'incite à respirer, ce que je fais aussitôt mais me détendre est tout bonnement impossible.

Inévitablement et malgré la torture que je subit, mon petit trou commence à s'élargir et s'adapter à cette intrusion violente, lui laissant d'avantage de place poir s'amuser comme il le souhaite. J'ai abandonné l'idée de trouver un moyen de m'en sortir et mon corps cesse de lutter.

La douleur est toujours aussi insupportable et j'ai juste envie d'éclater en sanglots, mais je me retiens, par dignité, par peur de provoquer encore son courroux. Lorsqu'il relache ma tête, je ne trouve même pas la force de la soulever. Je murmure simplement en hoquetant, autant pour lui que pour moi même :

- Je ne désobéirai plus jamais...