mais qu'es ce que !?! ... (PV )

Cela fait une semaine maintenant que Noboru Hirano est arrivé au lycée, depuis il est rester seul. Personne ne lui adresse la parole ou ne s'intéresse à lui, peut-être est-ce l'inverse lui qui parle à personne, quoi qu'il en c'est très bien comme sa. deux jours après, il trouve le manuscrit et fait la rencontre du démon mineur banni Grendel. L'intérêt que porte Hirano au livre le pousse à prendre tous sont temps libre pour en étudier son contenu.

Le soir étais tombé au dessus de la ville de Seikusu. Et un bâillement mis fit décrocher le nez de ce livre que j'avais trouvé il y a plus de deux jours. Quel heure vit-on ? Je regarde ma montre et aperçois qu'il était passer vingt heure. « mince, j'ai encore raté le repas, il faut que j'arrête de lire se truc » en le refermant, je me leva de mon bureau et m'étira les bras dans un nouveau bâillement sonore. A part la lampe de chevet il n'y avait pas d'autre lumière dans ma chambre, elle fut plonger dans le noire après avoir éteint cette lampe. Je réveilla Grendel d'un coup de pied dans mon lit où il dormait. En se réveillant ce bougre se mit à déblatérerai sur moi.

-arrête de pioncer, on va manger.

Sur ces mots il arrêta et s'envola dans ma direction pour tourner autour de moi.

-mais qu'attendons-t-on ? J'ai faim moi.
-tas toujours faim.

On se dirigeaient à présent vers la réfectoire, j'étais toujours étonné que les autres personnes ne réagisse pas au agissement de Grendel car personne ne le voyait. J'étais pratiquement à la sorti quand la personne de la réception m'interpela.

-Hey Hirano !!, tu sais pas où est passer Mikari, on à un paquet pour elle et personne ne sait où elle est.
-désolé, je sais pas où elle est passer.

En réalité je savait qu'elle étais sortie en douce comme son habitude et qu'elle ne rentrerai pas avant bon un moment, mais bon je ne suis pas une balance et de plus ce n'est pas mes oignons.

-tu pourrais monter sa dans sa chambre, merci.

Je ne peu rien refusé. Je pris le paquet et je remonta les escaliers. Tous le long du chemins Grendel riait sous cape et marmonnait qu'on aller bien s'amuser. Je me demande bien ce qu'elle à encore reçu. En arrivant vers sa chambre je vit sortir Kimi, elle fut surprise de me voire devant la porte de la chambre de Mikari, comme un enfant qu'on à attraper en train de faire des bêtise. Je lui donne la boite et tourna le dos pour aller manger.

-pose-sa sur le lit de Mikari veux-tu? Et arrête de fouiller dans sa chambre, ok ?.

Elle le faisait tout le temps et sa ne m'étonner plus. Ce qui avait plus d'importance que sa c'était d'aller manger, je mourrais de faim. Les rires de Grendel était devenus une sorte de jubilation.

-qu'est ce que tu as encore toi ?
-rien rien,... j'ai faim, ont va manger ??

en allant manger, je ne me doutais pas de se qu'il y aller se passer par la suite...

" Crr. Crr. "

Ah, elle était mignonne la poupée ? Evidemment .. La curiosité féminine était trop violente pour certaines pauvres personnes .... Comme cette fille. C’était drôle, trop drôle. Marionnette admira une nouveau fois son œuvre. Cette jeune incongrue, trop curieuse, avait ouvert le paquet : Fatale erreur. Aussitôt qu’elle avait commencée à toucher Marionnette, celle-ci s’était réveillée. Elle avait constatée que la jeune humaine était belle, bien faite. Aussitôt, elle l’avait anéantie. Et maintenant, Kimi pendait dans les airs, accrochée à des fils comme un vulgaire pantin, les yeux crevés, les dents arrachées. Une macabre découverte, évidemment.
De plus, cette humaine avait beaucoup criée. C’était énervant. Mais toujours est-il qu’elle avait loupée sa véritable cible. Enfin, qu’importe … Une belle fille était morte, c’était le principal.

« Crr. Crr. »

Marionnette poussa la porte prudemment, mais la referma, entendant des voix. Et sentant une atmosphère étrange, incongrue. La réponse s’offrait à elle, il y avait une créature magique ici. Un démon, sûrement, ou un génie. En tout cas , quelqu’un de pas banal. Elle poussa un long soupir. Si un démon l’attrapait, elle morflerait sûrement … Même si elle possédait une certaine puissance doté de sadisme inexpliqué, elle espérait que ce démon ne soit pas trop puissant ni violent.
Elle regarda un dernière fois son œuvre. Et eut un sourire, réconfortée. Au moins, elle n’avait pas gâchée sa journée, et avait réussie quelque chose.

Presque seul dans le réfectoire, malgré tous, j'ai pus être servit. Purée et viandes de bœuf. Grendel s'en donna à cœur joie sur les morceaux que je lui donnait. Il arriva un moment où je me senti très mal. J'avais mal à la tête et après je sentais au fond de mon cœur une douleur insoutenable. Cela dura un très cour instant, Grendel semble n'avoir rien remarqué.

Quand le repas fut terminer on décida de revenir dans ma chambre. Au passage je croise un petit de première qui trébucha sur moi. Il étais pale comme un linge et disait des truc incompréhensible sur des cris et pleins d'autres truc, puis il reparti en courant. Les jeunes de première était souvent les victimes des farces des plus vieux. En marchant le long du couloir j'entendis un porte se refermer derrière moi, hein !? C'était celle de Mikari, tien elle est déjà la ? Non, c'est surement encore Kimi qui fouillait dans sa chambre. Faut que je pense à bien fermé la mienne.

Il commencait à se faire tard, j'avais encore le nez sur ce manuscrit. Grendel s'envola et atterri près de ma tête.

-alors, interessant ce bouquin ?
-oui, assez. Il explique pleins de choses, mais bon, il semble qui manque des inscriptions.
-t'aime sa toi, le truc morbide ?
-ouais,... NON ! Je trouve sa seulement intriguant.
-à mon avis devrait porter plus ton attention plus sur la boite que ta monter.
-laquel..., celle pour Mikari ?
-ouais, j'ai senti un truc et franchement sa puait.

En voyant son sourire malsain je compris qu'il y avait surement quelque chose qui clocher.

-ok, je vais aller voire si Kimi est encore dans sa chambre et j'y demanderai ce que c'est.

Je revint à l'étage d'en dessous et à peine un vingtaines de mètre de la chambre de Mikari j'entendis un cris à vous glacer le sang. Pris de panique je me mis à courir. Je trouva Mikari assise sur le sol devant la porte de sa chambre qui étais grande ouverte. Elle étais visiblement en état de choc. Je me pressa pour voire ce qu'il y avait et je fut surpris du sanglants spectacle qui souffrit à moi. Il y avait du sang partout, le corps de Kimi pendait dans les airs et il y avait cette odeur, cet odeur qui me prenait le nez. Je me sentit mal face à cette scène macabre, au point où je ne put me retenir de vomir se que j'avais mangé avant. En me relevant je vis de plus en plus de monde venait voire ce qui se passer, certaine personne étaient choqué d'autre pleuraient. Un prof. Arriva à son tour pour calmer la situation. Il nous renvoya dans nos chambres. Je me sentait responsable de cette horreur.

Dans ma chambre, je ne pus trouver le sommeil. Je ressasser cette histoire dans ma tête. En bas on entendait des gens discuter, la police. Si j'avais pas monter cette maudite boite, mais est-ce vraiment sur qu'elle soit à l'origine de sa, Grendel ne ma pas encore menti, pourquoi il ferait sa maintenant? Plusieurs heures se sont écoulé et la police semble s'être en aller. Il fallait que je sache ce qu'il y avait dedans, me rassurer que c'était pas de ma faute. Je me relève et je me rhabille.

-qu'est ce que tu fait ?

Grendel c'était réveillé.

-tu viens avec moi, on va savoir ce qu'il ce passe en bas.

On se redirige à nouveau vers la chambre et on y pénètre, il y avait de banderole de la police et dedans le corps étais retiré. Mikari logé maintenant dans la chambre voisine avec un de ses copines.  Le sang et l'odeur y étaient toujours présent. Je fouilla un moment et je mit enfin la main sur cette boite, mais non !?!, elle était vide, mais qu'est-ce qu'il y avait dedans et ou c'est maintenant ?? une personne était morte par ma faute il faut absolument retrouver la chose qui est à l'origine de tous sa !!

Des beuglements incessants, des filles implorantes. C'était pitoyable. Marionnette s'était dissimulée dans un recoin, derrière une armoire, en entendant tout ces cris, ces hurlements. ça sentait la peur, la crainte, l'incompréhension. Elle était restée là, s'endormant pour régénérer son organisme, attendant un peu. La police ne trouverait jamais, elle le savait. Comme d'habitude ... Elle nettoya ses mains tachées de sang sur la moquette, avec l'idée de quitter ces lieux, puisque la pièce et le chemin étaient libres. Quand une odeur, une sensation, lui attrapa la gorge.
Dans un grincement lugubre, elle se mouva pour voir, et reconnaitre. Un être, non, deux. Elle les voyait distinctement. Un enfant et un démon. Elle n'était pas là de s'en aller ... Que voulaient-ils au juste ?  Elle se leva, se hissant de sa petite taille.

- Le spectacle est terminé, annonça t'elle avec une voix enfantine.

Elle se tenait debout devant eux. Un sourire innocent sur les lèvres, un couteau à ses pieds. Le démon, il n'était pas difficile de le reconnaitre. Un vieux démon, un de ceux qui ne sont pas des plus malsains sans doute. Elle connaissait sa démonologie, elle savait qui il était, ce démon ! Grendel, gardien d'une livre, et patati et patata ... Enfin, qu'importe. Il y avait à ses côtés un humain. Inconnu. "Tant pis"
Elle resta là, face à eux, comme un défi.

Je poussa un souffle, je ne trouvais rien du tout, et cette odeur était insupportable. Le manuscrit ne m'est d'aucune utilité car j'ignore se qui s'est passé. Mais quoi que se soit il y avait surement un lien avec le contenu de la boite. Pff... j'aurais jamais du écouter cet idiot volant, il faut s'en aller.

-Le spectacle est terminé

cette remarque me fit sursauter, j'ai même faillit perdre l'équilibre et m'étaler sur le sol.

-mais qu'es ce que !?!

stressé, je trouve une lampe de poche qui trainait avec plein d'autre affaires sur le sol et parvint à éclairer l'endroit d'où venez la phrase. Je vit avec horreur que celui ou plutot celle qui ma abordé était une marionnette. Elle était pas plus grande que le canapé d'où elle est sorti.

-Gr... Grendel, mais qu...!!

je reprend ma respiration et m'adressa à la poupée avec une certaine colère.

-qui êtes vous, qu'avez vous fait !!

je me tenait prêt à courir en direction de la porte, mais pas avant d'avoir entendu ce qu'elle pourrait nous dire.

-Grendel !, qu'est-ce que c'est ?!?
-j'en sait rien, tu devrait lire ton manuscrit.

Mon manuscrit !?!, c'est la première fois qui me dit dit sa …!!

cette chose me faisait froid dans le dos, elle n'exprimait aucune sensation. J'essayai de rester la plus lucide possible, je n'avait jamais vu sa.

Marionnette récupéra son couteau pour le faire tourner entre ses doigts, doucement. Ses yeux brillaient un peu, beaucoup, passionément ... Son oeuvre était encore là, belle, sanglante, représentation parfaite de ce qu'était - au fond - la belle Marionnette. Elle secoua son visage, faisant tinter les quelques grelots, et poussa un long soupir. Pourquoi perdre du temps à lire dans un manuscrit ? Elle pouvait parler, avec une voix usée par le temps, certes, mais elle avait encore cette capacité de cracher des mots.
Ce qu'elle fit.

- Abrégeons. Je n'ai pas de nom, je suis une Marionnette, et cela me sied bien assez.

Elle se posa à un métre d'eux, toujours debout. Elle n'avait pas peur, non, peur de rien. C'était une créature magique. Elle eut un rapide sourire empreint d'un sadisme pur, et continua à parler de sa voix unique et irremplaçable, inquiétante.

- Je suis une artiste, je vous présente mon oeuvre.

Elle montra avec sa main le cadavre. Elle n'avait pas à se justifier, c'était son art. Celui de mettre en scéne des êtres de chair, une mise en scéne macabre, certes, mais une beauté pour qui sait bien y regarder. Elle montra Grendel du doigt, effaçant son courire sadique pour que sa bouche reprenne sa place initiale.

- Tu es Grendel, n'est ce pas ? J'ai entendu parler de toi. Je ne savais pas qu'un démon devait se coltiner un humain. Tu n'es pas assez puissant pour voler de tes propres ailes ?

Ce n'était qu'un ton moqueur, evidemment ...

la créature se présenta et tant que marionnette, sa voix était d'une froideur incroyable et moi je n'arrivait pas à croire que cette poupée puisse marcher, parlé et même tuer. Un couteau à la main, elle s'avança assez prêt et nous lança.

-Je suis une artiste, je vous présente mon œuvre

elle nous montra avec sa main le corps encore ensanglanter de la pauvre Kimi, je ne pouvais pas m'empêcher d'avoir un pincement au cœur et un sentiment de responsabilité à chaque fois que je la regardait, comment sa se fait qu'il ont pas encore réussi à la décrocher. Mais sa c'était le cadet de mes soucies, en ce moment j'avais son assassin en face de moi et il avait tous sauf l'aire de vouloir nous laisser en vie. Puis elle tourna le doigt vers Grendel et lui lança et signe de défit.

-Tu es Grendel, n'est ce pas ? J'ai entendu parler de toi. Je ne savais pas qu'un démon devait se coltiner un humain. Tu n'es pas assez puissant pour voler de tes propres ailes ?
-NE ME SOUS-ESTIME SURTOUT PAS, TU NE SAIS RIEN SUR MOI.

J'avais jamais vu Grendel dans cette état, il avais laisser sa colère éclater.

-SI JE VEUX JE PEUX TUER CETTE HUMAIN ET TOUS CEUX QUI SONT DANS CE MAUDIT COLLÈGE ET C'EST PAS UNE MARIONNETTE DE MISÈRE QUI VA...

-Calme toi Grendel !!

je me tourna ensuite vers la marionnette.

-mais pourquoi tu fais sa ?, pourquoi cette horreur...  !?!

sans que je puisse rien faire, Grendel fondit sur la marionnette et tourna autour d'elle pour l'attaquer dans tous les sens. je ne savait plus quoi faire, cette chose était terriblement effrayant.

-attend, ne fait pas sa !!!

La marionnette poussa un long soupir. Soit. Il jouait à ce jeu. Elle connaissait aussi les règles, ce n'était pas bien difficile. Elle remonta doucement ses manches, et de longs fils se dénouèrent. Ils étaient enroulés autour des poignets de Marionnette, et étaient directement reliés à son organisme. En un instant, elle bougea , pour rapidement changer de place. Elle possédait une agilité et une puissance qui dépassait l'entendement. Elle se posa sur le lit ... Elle remua son premier poignet et, pris d'une vie éclatante, les fils attaquèrent Grendel,l l'immobilisant.

Elle lui jeta un regard froid et dédaigneux.

- Une marionnette de misère ? Je n'appartiens à aucune humain, pourtant, moi ...

Puis elle se retourna vers l'humain.

- C'est de l'art, je l'ai dit. On ne me triture pas impunément, je suis une artiste !

Elle semblait remplie de colère. Evidemment ... Elle n'aimait pas que l'on critique ses oeuvres. Surtout quand on était pas capable de faire mieux qu'elle !

La rage de Grendel l'avait pousser à foncer sans réfléchir, il ne pouvait pas supporter de se faire insulter par n'importe qui, encore moins par une marionnette sans âme. Il s'envola et tourna autour de la poupée avant que celle ci ne puisse l'immobiliser dans une action rapide et efficace grace à des fils qui sortirent de ses poignées. Après avoir charrier encore une fois le pauvre Grendel elle se tourna vers moi et me parla malgré les bruits que faisait le petit démon empaqueter dans les fils. Il bougeait tellement qu'il se déplaçait en roulant, sauf qu'il avait pas l'air de savoir contrôler ses mouvements. Si les circonstance était différente, j'aurais trouvé très drôle.

-C'est de l'art, je l'ai dit. On ne me triture pas impunément, je suis une artiste !

Fallait sortir cet idiot de la situation qu'il s'est mis. En réfléchissant deux secondes, je trouva comment attirer l'attention de cette maudite marionnette. En prenant un air plus calme possible malgré la peur qui me tiraillait les entrailles. Je ravala un dégout et me rapprocha gentillement près du corps de la pauvre Kimi. Et en pointant du doigt cet « œuvre d'art » je mis à dire ce que je pensait.

-comment peux-tu dire que tu es artiste !? L'astuce veux-tu, c'est pas toi qui doit te définir en tant telle, mais les autres qui vous définisse comme sa. hors je ne vois rien dans cette, hum... chose une œuvre d'art. Tu es un artiste ! Mais une très médiocre artiste.

Sur ces mots, j'attrapai un des bras de du cadavre qui pendait dans les air et tira de toute mes forces pour la décrocher. Le bruit de chair déchiré et l'odeur de sang accompagna une giclé de sang qui me frappa le visage. Aussitôt je fuit dans les toilettes et ferma la porte à clef pour me protéger de la colère de cette marionnette. Toute suite après, je me rinsa le visage pour m'enlever ce sang mais pas le temps de tous enlever. J'ouvris la pharmacie et chercha une bonbonne quelqu'onque. Je mit la main sur une laque à coiffé. Maintenant il me faut un briquet, je voulais faire un petit lance-flamme. J'étais pas sur que sa suffirait pour me débarrasser d'elle, mais sa suffirait pour la ralentir pour nous enfuir après j'improviserai. Mais bon sang! Ou est-ce que Mikari cache ses foutus briquet. Je fouillait à présent dans son armoire dans son armoire

Dieu du ciel ... Une artiste médiocre, vraiment ? Elle poussa un long soupir. Personne ne connaissait la véritable expression du mot artiste. Elle allait répliquer, quand elle comprit le manège du gamin. Il venait de lancer sur elle un des morceaux de son œuvre. Il avait impunément déchiré ce qu'elle venait de créer. Elle l'insulta, rapidement, puis lança un de ses fils pour réquisitionner le bras. Alors qu'il s'enfuyait, elle recolla le bras au cadavre grâce aux fils sortit de ses poignets, grognant contre le petit. Le démon remuait toujours. Elle lui balança encore quelques fils pour l'immobiliser - si elle devait se charger du gosse, il ne faudrait pas que celui là la gêne - et admira à nouveau sa réussite.

Puis se tourna vers la porte. Il était là. Elle se dirigea vers la porte, fortement mécontente, et planta violemment le couteau en travers du bois de la porte.

- Je peux ouvrir cette porte en moins de deux, petit con.

Oui. Habituellement, elle n'était pas vulgaire. Parce que, habituellement, on ne touchait pas à son travail. Elle sortit les fils de ses bras et entoura la porte afin de la briser copieusement entre les fils solides et dangereux. La porte explosa devant elle. Dévoilant le gamin.

- Tu vas voir ce qu'il en coûte de m'insulter et de bafouer mon travail.

Elle n'avait plus de regard, plus d'oeil. Juste deux orbites vides, noires. Juste de la colère.

J'étais en proie à la peur, on ce serai cru dans un film d'horreur de très mauvais qualité. Je retournais tout la salle dans l'espérance de mettre la main sur un foutu briquet. Je savait que Mikari fumait, il était donc logique qu'elle cache un briquet dans sa salle de bain. Dans la pharmacie encore? Non! Toujours rien. Dans son armoire? Non plus! Décidément c'était pas mon jour de chance. Cette maudite marionnette menacer de pouvoir ouvrir la porte en très peu de temps. Si elle le fait, je ne suis pas dans la merde. Je m'adossa contre la porte pour reprendre mes esprit deux secondes et et réfléchir sur une solution pour me dégager. Je compris rapidement que c'était une grosse erreur de faire cela. L'instant d'après, elle enfonça son couteau à travers la porte me manquant de justesse.

En reculant, je manqua de trébucher sur un sac à main. Mais oui !!! j'aurais du y penser! Je pris le sac et l'ouvrit pour fouiller dedans. Des maquillages, des calepins et plein de truc dont je ne savait pas l'utilité et sur le coup cela ne me paru que très peu important compte tenu de la situation. Bon! Foutu pour foutu, je retourna le sac et y déversai son contenue pour mieux chercher. Je repoussa un moment les bibelots et fini par trouver un petit briquet de couleur rose.

-JACPOTE !!!

je m'exclamai de joie en trouvant l'objet de mes désires. Puis d'un violent coup la porte vola en éclat envoyant des morceau de bois dans toute la pièce. Je pu mettre mes bras pour me protéger le visage et découvrit par la suite une image horrible. C'est yeux ficher la chaire de poule.

-Tu vas voir ce qu'il en coûte de m'insulter et de bafouer mon travail.

Sans réfléchir je tourna la bonne, alluma le briquet et créa une langue de feu d'une bonne taille et la dirigea sur ce monstre. Je ne voyait pas grand chose visiblement quelque chose était en train de bruler et cela créait de la forte fumé, je profita de ce moment de perte de visibilité pour ouvrir la fenêtre et trouver une sortie. Mais il semblerai que le premier étage soit plus haut que je le pensais. Je ne sais pas ce qui ma poussé à faire sa? Mais je sauta contre un arbre pour pouvoir en descendre. Mais une fois dessus, les branches cédèrent et provoqua une violente chute et je me retrouva couché au sol sur le dos. Je sentait mon dos me faire affreusement mal. Mais la au moins, j'en était débarrasser. Du moins c'est ce que je pensait.

La fumé provoqué par le feu avait fait stresser Grendel qui se débattu comme un beau diable pour se libérer de ses liens, il s'envola par je ne sait quel passage pour s'enfuir loin de cette pièce.

Du feu. Des flammes. Marionnette voulut reculer, mais ne put empêcher l'élément destucteur de s'attaquer à elle. Malédiction ! Elle n'aimait pas le feu. Elle n'était, aprés tout, qu'une marionnette. Mais, à la grande surprise de la petite folle, le feu la lècha sans pour autant la brûler, l'entourant et la touchant avec une chaleur forte. Elle ne put s'empêcher de s'en retrouver heureuse, elle venait aprés tout d'échappter à la mort. Mais son butin avait disparu. Plus de démon, plus de gamin. L'esprit de revanche de la furie s'alluma en un instant : elle s'éjecta des flammes, les yeux toujours noirs, le visage abattu. La fenêtre ouverte.

" Idiot "

Elle le trouverait sans trop de soucis. Elle se pencha doucement, et le vit, sur le sol. Alors qu'elle s'apprêtait, plus dangereuse que jamais, à sauter sur cet enfant pour l'égorger, elle sentit qu'on l'agrippait. Elle leva les yeux : Grendel ! Elle marmonna quelques insultes, mais ne perdit pas de temps. Aussitôt, elle fit remuer ses petits doigts afin d'enrouler le cou du démon de ses fils tueurs. Elle ne se laisserait pas faire, elle tenait à sa revanche.

- Ne me dites pas que vous seriez peu heureux d'être ma prochaine oeuvre, grinça t'elle, tandis qu'elle lançait, plus violemment que jamais, ses fils pour qu'il la lâche.

-sa va mec?, c'était hard ce que ta fait.

Ouille! Mon dos me faisait souffrir! Quelque personne, d'autre étudiants, était venu voir comment j'allais et pour savoir se qui c'est passé. En ne disant rien j'essayais de me lever et je senti mon dos faire un bruit de craquement bizarre et ensuite plus aucune douleur, je venais de surement remettre un os en place mais préférera de ne pas chercher le quel c'était.

-AU FEU !!!

un cris de frayeur et un vent de panique commença à se propager parmi les personnes présentes.

-appelez les pompier, au feu !

L'alarme anti-incendie se déclencha provoquant l'évacuation. Je regarda vers la fenêtre et je vit Grendel au prise avec cette affreuse marionnette. Il faut le sortir de la! Je me mis à courir pour revenir dans cette chambre. Avec tous le mal que je me suis fait pour y sortir! Mais ce coup-ci je vais m'armer. En poussant tous le monde qui courrait à contre-sens, je me dirigeais dans les escaliers en prenant au passage le seul objet que j'ai put trouver, un balai!? C'est toujours mieux que rien.

C'était difficile de monter quand tous le monde aller dans un autre sens. Je parvint quand même dans cette chambre. En déchirant les banderoles jaune de la police qui bloquer la porte j'y rentra m'attendant à tous. Une fois à l'intérieur je trouva un petit démon inconscient sur le sol. Grendel qui avait agrippé la marionnette, c'était écroulé avec du au manque d'oxygène de l'attaque de ce monstre. Ne sachant si il était encore vivant, je me laissa emporter par la colère et courra avec le balai et tenta de frapper de toute mes forces la marionnette.

-MANGE SA SALETER !!!