Le monstre ne semblait pas avoir comprit ce que je lui disais, car il resserra davantage son entrave, mais il y avait aussi un tentacule autour de ma gorge, ce qui fit, que j'avais une légère sensation d'étouffer, entrainant de ce fait une meilleur perception de ce qu'il me faisait, bien sur j'hurlais de douleur à chaque mouvement de ce tentacule qui bougeait à l'intérieur de mon corps, mais que pouvais-je faire d'autre, hormis de le supplier d'arrêter et de ma laisser en vie.
Mon corps fut parcourut d'un sorte de coup d'électricité, enfin c'était ce que l'on appel le plaisir corporel, mon corps était humain après tous et cela à mon grand désespoir, mon corps tremblais sous le plaisir qu'il me procurait en même temps que la douleur, même si mon esprit n'était pas d'accord sur le concept de plaisir. Ma poitrine fut assaillit de toute part, de même que mon ventre, mes jambes, mes bras, mon dos et même mon visage, tout en me laissant la bouche tranquille pour que je puisse hurler, mes larmes coulèrent à torrent, ma voix était suppliante et demandais grâce.
Plus cela continuait, plus j'avais du mal à parler, poussant des gémissements, comment je pouvais me permettre de prendre plaisir à me faire violer ? Sans doute la fatigue qui me prenait, une fatigue du aux divers sévisses que cette bestiole me faisait, puis je sentit la prise à ma gorge se resserrer en même temps le tentacules dans mon vagin donnait de terrible coups, j'eus la sensation, et cette fois cela ne devais pas être une erreur, que le tentacules écarta les paroi de l'entrée de l'utérus pour y entrer et frapper le fond, me faisant pousser des cris de douleur et c'est à cet instant que la pire des choses se produisit.
Je pouvais sentir la semence de se monstre en moi, faisant gonfler mon ventre, j'avais aussi eus mon premier orgasme, mais j'avais honte, que dis-je, je voulais mourir d'avoir un corps qui ai apprécié ce traitement.
Alors qu'il me laissa enfin libre, je me recroquevilla sur moi même, mon vagin dégoulinant du sperme de cette monstruosité et je sanglota, tels une fille qui a été punis par sa mère, priant pour que rien ne naisse dans mon ventre, mon corps poisseux qui était exposé aux vent frais sur le marbre glacial. Je pouvais voir son regard sur moi et attendit qu'il parte.
Dès lors je fit tous pour chasser la semence en moi le plus vite possible, les traitements que je m'infligèrent furent aussi douloureux que ce qu'il m'avait fait, aussi une fois mon ventre purgé de cette semence gluante et à l'odeur repoussant, je me cala contre le vieux chêne et dormit, espérant pour que tous cela ne soit qu'un rêve, mais le mal était fais et en moi allait naître une horreur, même si je en le savait pas encore.