Un poisson et un chat, ami? (PV Meyel al-drakar) (Abandonner)

Bou que je n’aimais pas cette ville, il fallait bien y passer des fois j’en suis consciente, mais cela me laissait toujours un arrière-gout dans la bouche. Si j’étais sur terre aujourd’hui c’était avant tout pour jouer un mauvais tour a un humain un peu maladroit. Un client de la maison close m’a payé pour que je drague un jeune homme en particulier, si j’arrivais à nous prendre en photo en train de s’embrasser, je gagnais un bonus et si je faisais la photo avec son pénis dans mon vagin, un autre bonus. Cependant je n’aurais aucun bonus dans photo, et même mon payement de base n’a été payer qu’a moitie, l’autre moitié quand on se reverra.

Comme il s’agissait d’un jeune homme de tout juste 18 ans, je pris des vêtements de “jeune”. Un crop top noir ou il est écrit “Make me purr” s’arrêtant entre mes seins et mon nombril accompagné de gant noir qui remontais presque jusqu'au coude avec un tissu gris et pour finir un jeans avec une ceinture blanche. J’avais évidement pris deux ou trois capotes dans un petit sac, jamais je ne laisserais un humain éjaculer en moi sans protection, et un peu d’argent car je comptais aller à la plage après ma petite mission, j’avais d’ailleurs mis mon bikini noir en dessous de mes vêtements, ainsi plus qu’as tout retirer et aller me baigner dans la mer.

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Voilà des images de ces vêtement...



 

 
J’attendis à la sortie de son école et bien vite commença mon manège, celle d’une jeune fille qui tombe sous le charme d’un charment jeune homme blond qui voulais fêter son anniversaire avec ces pots. Sans vraiment comprendre pourquoi, ces pots avais l’aire de le pousser dans mes bras, peut-être se disait-il qu’il se dépucelle rapidement ou peut être que le commanditaire de ma mission avait préparer le terrain, si bien que le baiser fut obtenu en moins de cinq minutes. Après quoi il était comme droguer ou ivre, il ne me fut donc vraiment pas compliqué de l’attirer dans un photomaton, de mettre une pièce pour l’activer, retirer son pantalon et caleçons, mettre la capote et HOP en trois minutes c'était fait. Il semblait vraiment aux anges le petit, visiblement il était vraiment puceau, je lui fis un dernier bisou, récupéra les photos sans rien lui dire et partie le laissant la bite a l’air dans l’appareille...

Je me rendais directement à la plage pour me laver dans l’eau de mer, car je sentais le sexe, même s’il faillait un bon nez pour le sentir car cela n’avait pas duré longtemps, et justement en parlant d’odeur je stoppa nette en sentant celle d’un autre jeune homme qui allais bientôt passer à coter de moi. Il ne sentait pas le sexe, mais plutôt le poisson et pas le poisson dégoutant comme ceux qui avais passé la journée sur les étalages du marcher, non non le poisson frais tout juste sortie de l’eau.

Je fus tellement hypnotisée que ne me décala même pas si bien que l’on se percuta de plein fouet, laissant tomber les photos du puceau avec les lèvres sur les mienne et le pénis dans mon vagin partout par terre. Je les ramassai rapidement prient pour qu’il ne les voie pas et remerciant le ciel que nous soyons les seul dans cette rue...

- Oh pardon pardon, je ne regardais pas ou j’allais, désoler... Je ne vous ais pas fais mal?

Par ou est la mer ? Mince, la ville en pleine nuit semble si différente que durant la journée, c'était tombé si vite, et je m'étais aventuré si loin ! Avec toutes ces lumières artificielles et ce décale de ruelle, je ne retrouvais plus le chemin que j'avais emprunté quelques heures plus tôt. En plus, c'était assez animé et il y avait bien plus de gens le soir entre lesquels je devais slalomer ! Mince, et ces jambes humaines, que je ne maitrisais pas encore à la perfection... Qu'est-ce qui m'avait prit d'aller explorer aussi loin ?! Bon du calme... il fallait que je reste calme, il me restait bien encore 20 bonnes minutes avant que le sort ne se dissipe et que je me retrouve dans ma forme d'ondin... Ce serait vraiment la cata ça par contre ! C'est pas forcément évident non plus de devoir porter des vêtements. Le jean est serré, et mon haut noir ( https://m.media-amazon.com/images/I/51yoNZX5xjL._AC_UY606_.jpg ) que les humains appellent... polo je crois ? N'est pas aussi agréable que mon torse nu non plus.

Tiens, cette ruelle là je la reconnait ! Je m'y précipite en courant tant bien que mal et... quelqu'un se tiens au milieu. Mince, mais ce n'est pas grave, elle m'as vu, elle va surement se déca... Poum ! A croire que non, je la bouscule, nous tombons tous les deux au sol.... Rien de casser de mon côté, surtout un peu mal au derrière. Elle aurait quand même pu se pousser... mais bon, je suis trop gentil pour la sermonner de si peu... Je me relève donc sans un mot, me retrouvant à quatre patte et relevant les yeux...

- Ouch... Non ça va je n'ai rien... et vous ?

Mais mes yeux s'écarquillent un peu, je n'avais pas fait attention, mais en me relevant, nos visages étaient maintenant assez proche. Pas que cela me déstabilise normalement, mais... il y avait une autre sensation étrange, je me sentais un peu subjugué, comme lorsque je me retrouvais devant une créature surnaturelle... Généralement, je ne ressens pas une telle fascination devant une humaine... comme quoi, tout arrive. Mais bon ! Je perds du temps à la regarder comme ça droit dans les yeux, sans rien dire, le temps tourne ! Je me souviens du danger qui plane et je me relève aussitôt, reprenant ma course en laissant cette femme derrière moi.

- Mince désolé, je suis vraiment pressé ! J'espère vraiment que vous ne vous êtes pas fait mal !

Je suis déjà en train de reprendre ma course, quand je lui dit ces mots, je change même bien vite de ruelle. Je recommence alors à tourner en rond pendant 5 ou 6 bonnes minutes, j'ai quand même l'impression de m'approcher de la mer, une douce odeur iodé est transporté par le vent d'est. Parfait, la mer doit être par là ! Je coure à toute allure dans cette ruelle et... AIE ! Voila que je trébuche encore sur quelqu'un ! Cette fois-ci c'est ma faute, je me suis prit le bout du pied dans un pavé en pierre et je suis tombé droit devant. Je me rattrape sur ce que je peux, agrippant quelque chose de moelleux en main, mais emportant surtout quelqu'un dans ma chute. L'autre personne tombe au sol, et moi je suis allongé au dessus.

-Aie... désolé c'est ma faute... je ne suis pas habitué à mes jambes... Heu je veux dire à porter des chaussures ! Enfin non c'est juste que j'ai trébu... Hein... ?

Je me rends compte au milieu de mes excuses que c'est encore elle, la fille de tout à l'heure, avec les même drôles d'image par terre, des images sur lesquels je ne m'attarde pas trop. Sauf que là je suis à moitié allongé sur elle, le regard encore captivé par son visage, par ses yeux... bien trop captivé pour comprendre que cette chose molle que j'ai saisit dans une main, n'est autre qu'un sein... un sein lui appartenant !

Heu désolé vous... Vous ne savez pas ou se trouve la mer ? Je dois absolument m'y rendre... je dois faire vite...

Je marchais simplement dans la rue, bon d’accord pas simplement j’étais un peu dans un état second suite à l’odeur que je sentais dans l’air, mais cela ne méritait pas ce qui m’arrivais quand même. Un mec venait de l’autre bout de la rue en trottinant/courant et me rentre dedans sans crier gare. Nous nous relevons et nos regards s’arrête l’un en face de l’autre a quelque centimètre l’un de l’autre. C’est à cette instant que je compris que l’odeur si alléchante que je sentais, venais de lui...

- Non non je n’ai rien, c’est toi qui sens le...

Je n’eus pas le temps de finir ma phrase qu’il reparti en disant qu’il est pressé. Il me laissa debout aux milieux de la route, avec mes photos coquines par terre. J’étais sidérée par temps de “je m’en foutisme”, je ramasse mes photos et repart en rallent sur la faite que cette humaine sent bon mais qu’il ne manque pas d’air...

Je fais le tour du bâtiment et repart dans la rue voisine en direction de la plage. Qui conque passent à coter de moi ou écoutant a la fenêtre pouvais m’entendre pester sur les humaines et leur habitude déplorable. Après 5 minute de marche, je m’apprêtais à passer un coin de rue et après se serais une ligne droite pour la plage et une barre sympa sur le sable, quand je fus à nouveau renversée pas un mec qui courrais, sauf que cette fois il finit sur moi et me caressais même un sein.

Je m’apprêtais à lui hurler dessus quand je constatais qu’il s’agissait du même mec que tout a l’heure. Alors là, mon gas toi tu ne m’échapperas pas, je le ceinture immédiatement avec mes jambes et retiens sa tête avec mes deux mains me foutant royalement qui me tripote...

- Dis donc toi, tu me renverse il n'y a pas cinq minutes et tu t’excuse à peine, et tu le refais maintenant et tu en profite pour me pelloter et me demander un service ? Le tout en utilisant une excuse pourrie du genre “Je ne suis pas habituer aux jambes ou au chaussure”?

Je luis sourie lui faisant bien comprendre qu’il ne fallait pas tenter de se relever il n’irait nul par, ou alors il devrait le faire avec moi accrocher comme une tique a son corps...

- Tu crois qu’être mignon et de sentir ultra bon suffit à pouvoir fais ce que tu veux ?

Je lâche alors sa tête d’une main pour la plaquer sur la sienne toujours sur mon sein afin de la retenir sur place. Je ne le force pas à masser mais le retiens sur mon nibar...

- Et en plus monsieur veut toucher mes seins, tu ne veux pas copuler aussi t'en que t’y est...

Je lui souris en lui caressant les cheveux et le hum fortement...

- snif snif snif, hum tu sens vraiment bon... Tu t’appelles comment ?

Comment je m'étais retrouvé dans cette drôle de situation ? Ceinturé, immobilisé par de puissantes et belles cuisses. C'est vrai, ce n'est pas désagréable, heureusement qu'elle n'est pas totalement collée à moi, ou elle aurait surement ressentie un petit début d'érection. Il faut dire qu'elle est belle, et que sa peau d'ébène donne envie de la caresser... Par contre, je ne suis pas d'accord de me voir attribué tout le " mérite " de la bousculade. Après tout, elle était restée plantée au milieu sans bouger elle aussi. Comme je suis diplomate, je préfère nous partager le tort, plutôt que de le lui laisser entièrement.

-Je... Je dois vraiment y aller là. Et puis vous avez aussi votre part de tort, je ne suis pas le seul fautif. Vus êtes restée au milieu de la route sans bouger lorsque vous m'avez vu.

Sa main dans mes cheveux m'est agréable, et je ne suis pas timide pour un sous, donc je ne rougis pas. Ma bouche bée tient plutôt de cette étrange fascination que je ressens envers elle. C'est bizarre, elle est parfaitement humaine, mais pourtant, quelque chose n'est pas naturel chez elle... je ne saurais le dire. De toute façon, cette pensée est vite chassée de mon esprit quand sa main vient me rappeler que j'ai sa poitrine entre mes doigts. Comme pour en être bien sure, je referme et ouvre ma main plusieurs fois sur son sein moelleux pour le tâter, après sa dernière remarque. Oui, c'est bien ma main qui est sur son seins, avec la sienne par dessus qui m'empêche de reculer. Inévitablement, cela me déclenche une érection un peu plus vive, une bosse se dessinant dans ce jean serré. Serais-ce une humaine en manque ? A vrai dire c'est possible, maintenant que je regarde ces photos sur le sol... ça parait même clair. Cette fille est donc une prostitué !

Copuler ? Non, pas du tout... Je n'ai pas du tout envie de copuler avec vous... Enfin non, ne vous vexez pas, vous êtes très jolie c'est pas ce que je voulais dire, je dis pas que vous m'attirez pas mais... Heu non ça veut pas dire que je veux vous sauter dessus non plus. Et puis pas au milieu de la rue de toute façon !

Je m'embourbe ! Je ne suis pas très douer pour parler de ce genre de choses. Je la regarde dans les yeux, ma main se resserre sur son sein moelleux, mes doigts se crispent autours de son mont de chair tendre.

C'est vous qui m'empêchez de retirer ma main... de toute façon je n'ai pas d'argent... et je n'ai pas pour habitude de payer pour de relation sexuelles, désolé... Je respecte quand même votre métier. Dis-je en regardant les photos au sol.

Persuadé qu'il s'agissait d'une prostitué à cause des photos et de son attitude très tactile soudainement... je fais là encore surement une bourde. Par contre, que veut-elle dire lorsqu'elle parle de mon odeur ? J'ai presque l'impression de voir un animal sauvage en face de moi.

Je tenais mon poisson dans mes griffes, il ne m’échappera pas, pas des y laisser quelques écailles en tout cas. Je suis solidement attachée à lui, et ne le laisserais pas partir sans une explication plausible et peut-être un dédommagement. Cependant quand je lui dis qu’il m’avait renversé et utilisé une excuser pourrie, il me répondit qu’il devait vraiment y aller et que j’avais une part de tort, car j’étais restée au milieu du chemin.

- La première fois peut être, même si t’aurais pu rester pour m’aider à me relever, mais la deuxième fois on est à un coin de rue et tu m’as juste rentrée dedans...

Je le regarde dans les yeux et voie comme une cicatrice sous son œil droit, cicatrice qui semble spécial un peu comme un tatouage. Une chose est sure, son odeur n’est pas celle d’un humain, il a quelque chose de spécial, je ne saurais cependant dire quoi. Je le vis alors constater que sa main est bloquée par la mienne sur mon sein et qu’il le pressait comme pour être sûr de ce qu’il palpait. Je sentie alors une réaction de son entre jambe, et conclue bien vie que je devais être à son gout...

Quand je lui demandais s’il voulait copuler, en plaisantant bien sur je n’avais pas l’intention de le faire avec qui que ce soit en pleine rue, il se perdis en explication sur le fait qu’il me trouvait jolie, mais qu’il n’est pas chaud pour copuler en pleine rue...

- Merci du compliment, tu es un gentlemen en fait hi hi hi...

Il me dit alors que c’était moi qui le retenais et que de tout façon il n’avait pas d’argent pour. Je fis alors un grimasse, il avait perdue tout notion de galanterie en me comparent à une péripatéticienne. Bon dans un sens il n’avait pas tort, j’en suis une, mais je n’aimais pas le crier sur tous les toits. Je vis alors qu’il regardait mes photos à coter de nous, mes photos de moi et le je blond de tout à l’heur la bite en moi. Je relâche alors ma proie et récupère mes photos en toute hâte prient pour qu’il ne s’encoure pas à nouveau...

- AH regarde pas!

Une fois debout et toutes les photos récupérées, je les mets dans mon sac ou personne ne pourra les toucher ou les faire tomber.

- Bon d’accord, je ne te propose pas de relation sexuelle, mais je pense quand même que tu me dois un verre... Il y a un bar sympa sur la plage, tu viens ?

Lui dis-je en lui prenant la main sans lui demande l’autorisation et en me métant en route vers la plage en le tirant avec moi...

- Tu ne m’as pas répondue, tu t’appelles comment ? Nemo? Hi hi hi

Nouveau problème maintenant... voila que je me fait embarquer de force vers la plage. Bon, ça ce n'est pas un soucis, le problème c'est plutôt le ba sur la plage ! Qui dit bar dit... du monde... mais aussi de l'attente avant d'être servit. Jamais je ne tiendrais assez longtemps ma transformation humaine en partageant ce verre avec elle ! Ile ne faut surtout pas que je me retrouve dans ma forme de triton devant tout le monde, sur une chaise ! Comme elle va sur la plage, je me laisse guider sans trop broncher, après tout, c'est là ou je veux aller alors autant me laisser guider, même de force. Elle marche vite, on voit qu'elle est plus habituée que moi, qui manque de trébucher plusieurs fois.

Une fois sur la plage, j'essaye bien de lui dire que quelque chose ne va pas, que je dois vraiment partir mais... on dirait qu'elle ne me lâchera pas la main comme ça.

Je m'appelle Meyel, pas Nemo.. et je dois vraiment y all...

Y aller... mais sa main ne me lâche pas ! Comme je ne connais pas sa référence avec Nemo, je loupe le fait que ce soit une blague, j'espère qu'elle ne se vexera pas si je ne rigole pas à sa plaisanterie, du coup... quoi qu'il en soit nous voila proche du bar, il y a plein de monde, et sa main est toujours dans la mienne... Il ne doit me rester que 2 ou 3 minutes avant la fin de ma transformation alors... je prends une décision.

Désolé d'avance... je n'ai pas vraiment le choix...

Au lieu d'aller vers le bar vers lequel elle me traine, je commence à soudainement courir dans l'autre sens. Comme elle me tient la main, je l'emporte avec moi, cours vers l'endiguement rocheux à quelques mètres du bar, puis saute dans l'eau. Un grand splash, qui doit surement étonner les clients du bar pas très loin. Mais bon, rien de suspect, juste un couple qui s'amuse, se disent-ils surement.

Quant à moi, j'étais enfin en sécurité, sous l'eau, reprenant peut à peu ma force originel. Mes jambes se couvrent d'abord d'écailles brillantes, puis peu à peu se joignent pour ne former qu'un seul membre, prenant la forme d'une nageoire. Le processus doit bien durer une trentaines de secondes, au point d'en oublier que je tenais toujours la main de l'autre fille dans la mienne, et que je me retrouvais à la serrer à mon tours. Quand j'y repense, je la regarde droit dans les yeux, avec un regard un peu surpris et inquiet de sa réaction, la relâchant sur le coup. Que va t-elle penser ?

Je l’amène de force vers la plage en le tirant par la main, il devait absolument me dire comment pourquoi il m’était rentrée dedans deux fois (et par de la bonne façon) et pourquoi cela ne semblait pas l’affecter du tout. Je voulais l’amener au bar de la plage, de cette façon l’on pourrait parler et s’amuser tranquillement pendant des heures. Il y avait quand même un problème à mon idée, il était drôlement docile pour un mec qu’on force à faire quelque chose qu’il ne veut pas, il y a 3 minutes de ça il semblait très presser de partir pourtant.

-Enchantée Meyel, moi c’est Kana et ne compte pas partir avant un bon petit verre, par toi bien sûr...

Nous étions maintenant sur la plage, et dans la petite file d’attente pour prendre commande de boisson. Pour plus de discrétion je glissai mes doigts dans les siens, façon amoureuse, et continue de le retenir sentent chez lui une envie grandissante de prendre ces jambes à son coup. Je n’eus pas le temps de lui dire d’être moins stresser, je ne comptais pas l’arnaquer ni le foutre a poile devant tout le monde, qu’il me dit qu’il est désolé et qu’il n’a pas le choix.

- Hein? De quoi tu pa...

Évidement je n’eus pas le temps de finir ma phrase, il fila direction la plage en tirant de toute ces forces, je fus d’abord surprise, mais même quand ce ne fus plus le cas je ne résistai pas car cela aurait parue louche que je force un mec à rester sur place, les gens dirais que je fais du forcing et ce n’est pas bon pour la discrétion. Je fus donc contrainte de le suivre jusqu'à un coin reculer ou plus personne ne nous voyait, et quand je vis qu’il allait sauter je m’exclamais...

- Attent! Je ne sais pas....

Mais trop tard, j’étais entrainée dans son hélant et l’on sautait à l’eau tous les deux avec nos vêtements. J’ouvrais à intervalle mes yeux pour voir ce qui se passais, malheureusement je ne vis pas grand-chose a par qu’il y avait un changement physique cher Meyel. En revanche une chose me parue claire comme de l’eau de roche, Meyel venais de me lâcher et ce n’était pas bon du tout aux vues de mes compétence en natation. Heureusement pour moi j’eu le temps de lui attraper le coup et de coller mes lèvres aux siennes, afin de lui prendre de l’aire et par la même lui faire comprendre qu’il faut nous ramener à la surface de TOUTE urgence...

Nos lèvres son collée et inséparable, mes bras son nouer à son coup et mes jambes nouera à son bassin. Nul ne pourrait me séparer de lui en ce moment même avec la meilleure de conviction.