Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Ayant surpris une autre conversation entre ses deux sœurs aînées à son propos, Takezo n’a que peu fermé l’œil au cours des dernières nuits, bien trop préoccupé par leurs dires et moqueries tandis que, à son âge, les hormones n’ont déjà de cesse de le travailler.

Quelques jours auparavant, Tomie, l’aînée des deux, avait surpris son jeune frère sous la douche, alors qu’il avait encore oublié de fermer la porte de la salle de bain. Quelle surprise que la sienne lorsqu’elle s’était retrouvée nez à nez avec ce qui aurait tout à fait pu être un python, qui aurait mordu son frère à la cuisse. L’énorme chose qu’elle avait eu le malheur de voir l’avait un court instant stupéfaite, mais l’avait tout aussi vite fait fuir en hurlant, horrifiée qu’elle était.

Le soir-même, Takezo eut droit aux rires incessants qui perçaient à travers le mur séparant sa chambre de celle de ses sœurs. Entre elles tout d’abord, puis au téléphone ensuite, la nouvelle semblait faire le tour de toutes leurs copines : quand bien même certaines les aimaient bien grosses, il était improbable que le garçon trouve un jour chaussure à son pied, ainsi littéralement monté comme un cheval, répétaient-elles à tue-tête. Les rires et affreux surnoms perdurèrent et se multiplièrent même presque toute la nuit durant alors que le garçon, honteux, couvrait ses oreilles avec des coussins pour ne plus les entendre. En haut-parleur, il les entendaient toutes… s’offusquer ou se moquer. Même celles qui se disaient curieuses à l’idée de voir ça en vrai étaient catégoriques à ce propos : il restait hors de question pour elles de coucher avec un mec ainsi fait, quand bien même celui-ci aurait été le plus beau des hommes sur Terre.

Décontenancé par ces mots durs et parfois même méchants, Takezo n’eut de cesse de les entendre comme en boucle dans sa tête les jours suivants, se convainquant encore une fois que, même s’il arrivait un jour à draguer une fille, jamais il ne serait capable de perdre sa virginité avec celle-ci. Après tout, et quand bien même il avait cherché durant des jours entiers, même dans les pornos, aucun autre type ne semblait en avoir une aussi grosse. À titre de comparaison c’est pour dire, le pénis de notre jeune adolescent semblait aussi gros et long au repos que les plus gros engins qu’il ait pu voir tourner, en érection, dans toute l’industrie…
Déjà dans une impasse, il espérait évidemment qu’à ce niveau là, sa croissance soit terminée pour de bon.

Obnubilé par la terrible idée de ne jamais rien pouvoir faire de son sexe, c’est après les cours, en fin d’après-midi, que notre jeune accro au porno décida de faire un petit détour parmi quelques allées du quartier chaud de la ville avant de rentrer faire ses devoirs.

Son regard illuminé par de nombreux néons roses et rouges, plus chatoyants et criards les uns que les autres, Takezo finit, après un moment, par jeter son dévolu sur la boutique qui semblait être la plus discrète du coin. À l’abri des regards et des étonnants mouvements de foule du petit quartier, celle-ci lui semblait évidemment plus… discrète et accueillante, avec ses rideaux tirés en façades, comme pour masquer et préserver l’anonymat de sa clientèle.

Après une grande inspiration, prise pour se donner du courage, le garçon poussa la petite porte, faisant se déclencher la petite clochette à l’entrée, qui annonçait l’arrivée d’un client.
Aussitôt le grand jeune homme baissa la tête et détourna le regard pour ne pas risquer de croiser celui d’un vendeur ou d’un autre client, et il prit la direction de la première allée possible pour dissimuler sa présence.

Il n’y avait évidemment pas foule ici, comme dans un supermarché, mais la petite boutique n’était toutefois pas vide. Quelques clients défilaient ça et là entre les petites allées. Tous n’avaient pas forcément l’air très nets, et Takezo fit ainsi de son mieux pour ne croiser le regard d’aucun d’entre eux. Certains étaient masqués… contrairement à lui. Il eut même peur de tomber sur quelqu’un qui le reconnaîtrait.



M’étant enfoncé hasardeusement dans la première allée qui soit, celle qui faisait presque directement face à l’entrée, je m’avançais, le rouge aux joues, entre ces étagères et bibliothèques pleines à ras-bord de DVD, qu’observaient aussi quelques types un peu louches, disséminés sur toute la longueur du couloir. Des films, il devait y en avoir des milliers, des dizaines de milliers, même… mais je me surpris à finir par sourire malgré la gêne, au bout d’un moment, m’étonnant du fait que j’en reconnaissais beaucoup, que j’avais vus une fois ou… parfois bien plus.

Baissant les yeux pour ne toujours croiser le regard de personne, je continuais de m’avancer en esquivant les deux-trois types qui, eux aussi, semblaient aux aguets à l’idée d’être vus ici. Au détour d’une allée en direction d’une autre, je levais les yeux vers le grand miroir de circulation disposé de ce côté du rayon, et tentais de trouver une place depuis laquelle on ne pourrait voir ma tête. Prenant le reflet de la caisse pour référence, je faisais un pas de côté, puis un autre… me convainquant du fait que si je ne voyais pas le visage du caissier, alors il ne verrait pas le mien non plus. Elle, pardon. C’était… une femme.

M’apercevant que j’avais fini au beau milieu d’une nouvelle allée pleine de godes, rangés par ordre croissant de taille, je tentais alors de me planquer de nouveau, et observais avec plus d’insistance et de précision le placement de la caissière, pour être sûre qu’elle ne me voit pas ici.

« Waaah… »

M’étant un peu approché, j’avais fini par obtenir une vue presque en gros plan de la caisse depuis le reflet du miroir. Je ne pouvais alors pas voir le visage de la vendeuse qui s’y tenait, mais en voyais désormais bien assez pour que le spectacle me surprenne… aussi bien avais-je soufflé tout bas, surpris de voir comme, physiquement, la vendeuse également semblait tout droit sortie d’un porno. Penchée sur son téléphone, depuis le comptoir, cette dernière ne semblait presque rien dissimuler de sa féminité, sous cet énorme décolleté que lui faisait son petit haut. Ses deux énormes lolos ballotaient, s’entrechoquaient et s’écrasaient en rythme sur le comptoir à chacun de ses très lents mouvements… C’en aurait presque été hypnotisant.

Au détour d’une autre allée, m’offrais-je son reflet dans un miroir autrement positionné, et avais presque vue sur elle de dessus, par jeu de reflet d’un miroir à un autre. Ses fesses semblaient tout aussi énormes que l’étaient ses seins, comprimés dans un short en jeans si court et moulant qu’en ressortaient les ficelles de son string qui lui marquaient si bien les hanches. Sous celles-ci, des bas résilles, qui strillaient sa peau, pour terminer par de grandes bottines de cuir… Waw. J’en aurais presque eu le cœur qui bat la chamade, c’était vraiment sexy.

Perdu un peu trop longtemps à jouer de ces positionnements de miroirs, je n’en avais remarqué que trop tard la présence de cet homme plus âgé, qui semblait guetter mon regard d’un air amusé et lubrique. Déglutissant, gêné et quelque peu dégoûté, je tournais vite les talons, me décidant à vite trouver ce que j’étais venu chercher, ce pour m’en aller au plus vite de cet endroit.

Jetant un œil discret par-dessus les étals, je trouvais enfin le rayon que j’étais venu chercher, vide, heureusement, de tout occupant : celui des capotes. Mon idée était simple et était donc la suivante : s’il en existait à ma taille, alors c’est qu’il serait tout aussi naturel pour moi que pour n’importe qui d’autre de coucher avec une femme… un jour. Cela voudrait dire que c’est faisable, normal ou qu’en sais-je… Que je ne suis pas seul dans ce cas, et qu’il est possible d’avoir une vie épanouie.

Vide comme il était, ce rayon me paraissait gigantesque, presque interminable. Les marques les plus connues y disposaient l’intégralité de leurs gammes… et les moins connues aussi. Il y avait des packs, des lots, de goûts ou des formes, des nervures… des qui brillent dans la nuit, comme pour jouer au Jedi dans le noir… mais j’avais beau balayer le rayonnage du regard, aucun des modèles dits « XL » ne possédait d’élastique d’un diamètre suffisant. J’avançais encore, jusqu’à cet écriteau affichant « très grandes tailles », et terminais presque au bout de ce long couloir, à deux pas de la caisse, mais encore un peu caché du regard de tout vendeur.

Du bout du doigt, je parcourais les boîtes, en retournais quelques-une pour observer les consignes d’utilisation et autres dimensions indiquées. Désemparé tandis que même après d’intenses recherches, je ne trouvais rien ne convenant à au moins 8cm de diamètre, je m’avouais déçu… et presque vaincu, en constatant qu’il ne me restait plus beaucoup de boîtes à inspecter sur cette toute dernière étagère.

Mon regard finit par s’arrêter sur un petit écriteau disant : « Tailles 5XL et + sur commande, merci de vous renseigner en caisse pour plus d’informations ; ) ».
Gêné, je passais très légèrement ma tête au-dessus du rayon, mais me ravisais plus vite encore, de peur d’être vu par la vendeuse. Il était hors de question que j’aille demander un truc pareil à quelqu’un. Si de plus grandes tailles existaient, j’irai voir ça sur internet.

Soupirant tout doucement, je replaçais sur l’étagère la boîte de préservatifs dénommée « 4XL hard hard sensations & pleasure ».

« Pffff… »
Dans les vestiaires (NSFW)
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L = 38 ⌀ = 10
Aïe aïe äie

Laëlia

Dieu

La boutique était un peu plus animée aujourd'hui que d'habitude. J'étais bien évidemment en charge de m'occuper des clients toute la journée puisque ma patronne était en "voyage d'affaire" ou autrement dit, elle était partie en escapade quelques jours avec deux beaux mecs bien montés et j'étais certaine qu'elle allait en prendre pour son grade.

Mais cela ne me dérangeait pas tellement, désormais habituée à mon travail je prenais moi aussi plaisir à conseiller la clientèle, aiguiller les jeunes esprits parfois encore innocents, rassurer ceux plus expérimentés, sans parler des petites pauses accompagnées que je m'occtroyais parfois à l'arrière de la boutique...

Mais cela s'annonçait compliqué aujourd'hui. Trop de monde pour pouvoir m'ésquiver discrètement, je conseillais un jeune couple à la libido florissante sur différentes gammes de lubrifiant lorsque la petite sonnette de la porte d'entrée retentit, me faisant lever le regard un instant.

Décidément, ils ont tous décider de venir le même jour ! J'observe rapidement le beau jeune homme qui franchit la porte de l'établissement et qui semble mal assuré. Sans doute honteux de penetrer ce genre de boutique, je souris malgré moi, habituée à ce genre de comportement. Il disparaît d'ailleurs rapidement de mon champ de vision et je me reconcentre un instant sur le couple qui m'indique prendre le temps de réfléchir.

Je rejoins donc la caisse derrière laquelle je me faufile tranquillement, tout en gardant à l'œil les quelques énergumènes qui traînent dans les rayons pour m'assurer qu'ils n'importunent personne. Je me mets en parallèle à consulter mon smartphone afin de vérifier l'état de ma dernière commande et ce pour me permettre de m'organiser quant au reassort de la boutique.

Lorsque je sens un regard curieux se poser sur moi et que je cherche discrètement à savoir qui s'intéresse à moi. Le bel etalon, rentré un peu plus tôt semble perdre son regard dans mon décolleté outrageusement sexy. Il faut dire qu'aujourd'hui j'avais mis le paquet, petit tee-shirt, mini short et bas resilles, string apparent. Je devais rejoindre un ami pour la soirée après le boulot et je n'avais pas l'intention de me contenter de jouer aux cartes...

Mais je dois pour le moment rester concentrée au risque de m'égarer rapidement dans mes pensées. Je me focalise alors sur ce jeune homme qui paraît bien grand pour son âge et qui tente de se cacher entre les différentes boîtes de préservatifs. Il semble un peu perdu, je dirais même désemparé et je me sens bien obligée de venir lui proposer mon aide. Dans son dos, je l'observe prendre puis reposer plusieurs boîtes de protection, l'air penaud. Je comprends plus ou moins rapidement quel doit être le problème et je pose une main bienveillante sur son épaule.

- Bonjour ? Je peux peut être te renseigner ?

Je sens bien qu'il n'est pas à l'aise et un premier examen visuel de sa personne éveille ma curiosité. On dirait bien qu'une belle musculature saillante se cache sous son tee-shirt et cela suffit à attirer mon attention. Je lui adresse un sourire rassurant.

- Ne t'inquiète pas, personne ne te jugera ici. Si tu as besoin de quoi que ce soit... il ne faut vraiment pas hésiter !

Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Je manque de faire tomber cette fameuse boîte de 12 préservatifs « 4XL hard hard pleasure & sensations » lorsqu’une main se pose d’un coup sur mon épaule. Quand bien même celle-ci se fait prévenante et douce, c’est tellement inattendu !

Et si c’était le type bizarre de tout à l’heure ? Me dis-je alors l’espace d’un très bref instant.

Heureusement il n’en est rien, comprends-je alors quand s’élève cette petite voix douce et posée, censée joindre le geste à la parole de mon interlocuteur surprise. La question se pose toutefois subitement comme une évidence quand je l’entends : est-ce vraiment mieux qu’il s’agisse là de la voix d’une femme ? Pris de panique, je bafouille encore et manque une nouvelle fois de faire tomber la petite boîte que je viens à peine de reposer. J’ai compris à la question qui vient de m’être posée qu’il s’agit là d’une vendeuse… et c’est pour moi une situation pire encore que toute autre. Enfin je crois.

« Ah ! Euh… Bonjour. Non, non. »

Est-ce que c’est… la caissière du magasin ? Je ne l’avais même pas vu quitter son poste. J’étais tellement obnubilé par cette affaire de capotes très grandes tailles que je ne l’avais même pas entendu s’approcher. Et que faire si c’était elle ? J’veux dire… vous avez vu comme moi, dans ce miroir : ces gros pare-chocs si ronds et lourds, ces deux énormes fesses bien dodues et rebondies qui se dandinaient, saucissonnées de façon si provocante dans toute cette ficelle affriolante… clairement, j’étais pas de taille à affronter un truc pareil ! J’avais déjà bien du mal à faire tenir sur la durée une conversation avec les filles de mon lycée, alors là…

Même si ses mots sont choisis pour me mettre à l’aise, je ne le suis évidemment pas du tout, tandis que la main de la vendeuse est toujours posée sur mon épaule. J’ai pas vraiment… l’habitude, qu’on me touche. Encore moins une fille. Une parfaite inconnue qui plus est… puis, foutue comme ça, en plus… S’il ne me fallait pas tant de sang pour me gorger pleinement, j’aurais très bien pu avoir une érection à ce moment même, à seulement imaginer son corps tel que j’avais pu l’entrevoir. Fort heureusement, ce ne fut pas le cas, mais la chose n’en était pas plus aisée pour autant.

Poussé à lui répondre, ne serait-ce que par convenance et politesse alors qu’elle s’adressait à moi, je ne me tournais qu’à demi en lui rendant un sourire censé cacher ma gêne. Les yeux clos, je la remerciais seulement d’un petit mouvement de tête amical, faisant encore tout pour ne pas la regarder en face.

« Merci, c’est… enfin… »

Mes yeux ayant bien sûr fini par se rouvrir, ne pouvant plus rester plissés plus longtemps, j’apercevais enfin la divine créature qui s’était d’elle-même mise sur ma route. Bien plus petite que moi, je dus baisser la tête pour détailler les traits de son visage et… de cette position évidemment, je ne pus manquer tout le reste, alors que je la toisais de haut malgré moi. Si son visage semblait doux, finement taillé et très sympathique -pour ne pas simplement dire qu’elle était mignonne et sacrément plus jeune que ce à quoi je me serais attendu-, tout le reste, lui, me sautait en pleine face comme s’il s’agissait d’une provocation du démon.

À quelques centimètres de moi à peine, un peu plus bas, ballotaient comme des pastèques bien mûres ses deux très gros seins, à peine retenus dans ce t-shirt un peu large et lâche, mais qui offrait sur eux une vue des plus plongeante. Depuis mon point de vue surtout. D’ici, je pouvais presque voir se dessiner le sommet de son abdomen, à travers l’interstice étroit formé par ces belles mamelles.
Est-ce qu’elle portait un soutif, au moins ? Non, il ne fallait surtout pas que je me pose cette question.

Bien sûr que je bafouillais de plus belle en lui faisant ainsi face. D’ici, je pouvais voir comme la ficelle de son string marquait la chair de ses hanches tendres mais fermes, comme le faisaient aussi celles de ses bas qui ficelaient ses cuisses…

Mon regard ne s’était perdu qu’une seconde à peine, ou deux, mais déjà avais-je la sensation que c’en était bien trop. Mes yeux pivotèrent d’un coup pour regarder ailleurs et je pus sentir comme mes joues se réchauffèrent encore elles aussi. Ainsi près d’elle, je faisais de mon mieux, bataillais pour ne pas la regarder, ni pour trop penser. À la voir de si près, je m’imaginais encore mater son gros cul dans le reflet du miroir… en venant presque à espérer qu’elle me laisse le mater de plus près en s’éloignant pour regagner sa caisse. Ou bien qu’elle se baisse pour ramasser quelque chose, que son short glisse un peu sur l’arrière de ses fesses, pour que je puisse les voir ne serait-ce qu’un tout petit peu dans ces bas… et dans ce joli petit string qui devait lui aller à merveille.

« Hum ! »

Toussotant un peu nerveusement, je chassais vite ces idées de mon esprit… avant qu’elles ne reviennent aussitôt d’elles-mêmes, au triple galop. Un court instant, j’en aurais presque oublié ce pour quoi j’étais là, en plein milieu de ce rayon.

Me retournant en direction de ces boîtes, je cherchais un moyen de me dépêtrer de ce moment quelque peu difficile à passer. Il fallait que je l’éloigne, que je l’occupe… que je fasse quelque chose pour ne pas paraître plus idiot encore…

Mes doigts se refermant de nouveau sur la boîte de « 4XL hard hard pleasure & sensations », je reprenais celle-ci en main et tapotait du bout de celle-ci l’écriteau mentionnant les tailles plus grandes de la gamme. Sans doute trop grandes pour être vendues à destination d’êtres humains, faits de chair et de sang… à quoi pouvaient-elles bien servir alors, c’est une toute autre question. Enfilait-on des capotes sur ces énormes godemichets du rayon d’à côté ? Allez savoir.
Avant d’oser poser ma question, je priais pour que la jeune femme ne s’imagine pas des choses…

« À vrai dire, euh… »

Fuyant son regard, je luttais encore plus pour ne pas retourner mater ses magnifiques nichons, qui semblaient m’attirer comme la gravité nous attirent tous au sol, lorsque l’on tombe. Quitte à parler proportions, c’était là une vraie question qui vint se poser dans ma tête sans que je ne lui demande d’apparaître là : sérieusement… bonnet F, G ? Plus ?

M’écartant timidement du puissant rayon gravitationnel formé par son décolleté, je forçais mon regard à aller se poser bien ailleurs. Je croisais brièvement son regard, mais n’osa jamais le soutenir, préférant plutôt détailler les contours de ses joues, ses cheveux ou encore ses oreilles… tout, pour ne pas la regarder en lui demandant :

« Est-ce que vous en avez des… plus larges ? »

Priant intérieurement pour qu’elle aille chercher cela en arrière-boutique, où elle se perdrait assez longtemps pour que je disparaisse en vitesse, je renchérissais même… quand bien même trouver « chaussure à mon pied » m’aurait sacrément soulagé.

« Peut-être 6 ou 7XL… ou 8 ? »
Dans les vestiaires (NSFW)
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L = 38 ⌀ = 10
Aïe aïe äie

Laëlia

Dieu

Je tente de me montrer le plus agréable possible et de ne pas intimider d'avantage le jeune garçon que j'ai interpeller d'une main. Je remarque rapidement son regard fuyant et ses joues qui se colorent d'une légère teinte rosée. Pourtant, il ne me faut pas longtemps non plus pour remarquer que ses yeux se perdent dans mon décolleté affriolant ou bien même sur les ficelles du string qui glissent sur la peau fine de mes hanches. Je souris légèrement, gentiment, amusée par cette situation et ce jeune homme aux airs si timides.

J'avais d'avantage l'habitude de côtoyer des hommes qui savaient ce qu'ils désiraient et qui n'hésitaient pas à prendre ce dont ils avaient envie alors je ne voulais surtout pas le brusquer. Je comprenais évidemment qu'il ne trouvait pas son bonheur parmi les tailles "standard" de préservatif, ce qui me poussait à jeter un regard curieux vers le bas de son ventre.

Je pouvais presque deviner les contours de la forme de sa verge bien que celle-ci soit au repos et une chose était certaine, elle avait l'air effectivement bien plus imposante que le normale. Il balbutie, hésite, et je me rapproche d'avantage de lui dans l'optique de le rassurer un peu. Nous ne sommes pas importunés par une quelconque présence autour de nous et je commence à sentir s'éveiller en moi l'écho d'un désir qu'il ne peut pas me dissimuler.

Il repose sur le rayon la boite qu'il a failli faire tomber à nouveau à plusieurs reprises et se décide finalement à me demander si je vends des modèles qui conviennent à des gabarits moins habituels. Mon sourire s'élargit un peu et je l'observe à mon tour, de manière un peu gourmande, non sans me cacher, pour ma part, de le reluquer de la tête aux pieds.

C'est qu'il est déjà bien grand et plutôt musclé, ce qui expliquerait aisément que ce qui se cache entre ses cuisses soit proportionnel au reste. Je l'emmènerai bien à l'arrière de la boutique pour observer la chose de plus près mais je ne veux pas le mettre dans l'embarras alors je retire cette idée de ma tête.

- Eh bien nous pouvons trouver de quoi combler chacun de nos clients ! Effectivement je n'ai pas ces tailles là en stock mais je peux tout à fait commander ce qu'il vous faut auprès de notre prestataire. Nous proposons également un service sur-mesure pour les tailles ou dimensions atypiques.

Ce qui impliquait bien sur de prendre les dimensions dudit client, pour certain la taille était un problème, pour d'autres il s'agissait parfois de l'épaisseur. On avait la possibilité de voir de tout quand on faisait mon boulot ! Je tentais alors pour détendre l'atmosphère :

- Vous savez, j'ai déjà eu un client une fois dont le sexe était tellement épais qu'il lui fallait trois fois l'épaisseur d'une protection classique pour pouvoir rentrer dedans ! Et ça même avec un modèle très élastique...

Je n'avais aucun tabou ni aucun problème à parler de la chose ouvertement et décidait de prendre à coeur le fait d'aider ce jeune homme.

- Ne bougez pas, je reviens.

Et je m'éloignais un peu, lui laissant le loisir d'observer ma descente de rein et mes fesses se mouvoir dans une démarche volontairement lascive dont j'usais jusqu'à ma caisse. Je cliquais à un endroit de l'ordinateur, puis un autre, pour chercher le contact de notre fournisseur habitué à nous livrer des modèles sur-mesure. Puis je revenais vers mon client tout en souriant, pour lui dire.

- Je peux être livrée d'ici demain si vous souhaitez commander. Il faut juste me donner votre taille, Monsieur...?

« Modifié: jeudi 21 septembre 2023, 16:21:40 par Laëlia »

Takezo O. Mamoru

Humain(e)

C’est fou comme je suis de moins en moins à l’aise tandis que je me trouve ici, au rayon des capotes d’un sex shop, conseillé par cette véritable bombe qui n’a de cesse de répondre à mes discrets coups d’œil dans sa direction par de petits sourires amusés… et presque flattés.

Sans doute mon teint aura-t-il viré plus encore au rouge tant je suis convaincu qu’elle m’a vu la mater, avant de me sourire comme ça. Perdu de trop nombreuses secondes à bouffer des yeux ses deux merveilleux nibards. Mes yeux avaient croisé les siens lorsque j’avais relevé la tête, et avais-je pu voir ses yeux suivre le mouvement des miens, avant que sur ses lèvres ne s’esquisse un de ces petits airs qui en disent long.

Sans forcément mener à plus, est-ce que c’était son truc ?
Après tout, pour travailler dans un truc pareil, j’imagine bien qu’il fallait en avoir un, être assez ouvert, tout ça… mais son truc à elle, est-ce que ce serait ça ? Elle aime se faire mater ? Foutue comme elle est, aussi… elle ne devait clairement pas se priver. N’importe qui de normalement constitué devait se retourner sur son passage, la dévorer du regard comme je ne pouvais m’empêcher de le faire. Elle était beaucoup trop bonne.

Il fallait dire aussi qu’une tenue pareille, avec de tels… « arguments », avait de quoi faire tourner les têtes. La mienne la première.
C’était clairement indécent, pour ne pas dire complètement vulgaire. Et moi… je trouvais ça absolument torride. Sexy. Habillée comme ça, la vendeuse, qui ne devait pas être beaucoup plus vieille que moi, étonnamment, avait tout l’air d’une actrice porno en plein tournage. Ou bien d’une… d’une… du genre que l’argent convainc facilement, pour dire les choses ainsi.

Si tel avait été le cas, nul doute que j’aurais pu claquer une année entière de mon argent de poche pour la voir à poil… et pour profiter un peu de ses charmes ahurissants de sorte à perdre ma virginité une bonne fois pour toutes.

En attendant, ces pensées bien trop osées mises à part, j’avais presque coupé ma respiration, au moment où ces yeux finirent par se décrocher des miens. Gêné plus qu’il n’en fallait après avoir posé ma question à cette professionnelle à l’écoute, je ne savais plus où me mettre, mais ne pu m’empêcher de remarquer comme son regard dériva, après que je lui ai demandé si son magasin vendait des préservatifs plus larges que ceux déjà dits « grande taille ». Au rapide mouvement que firent ses petites pupilles, il me fut aisé de comprendre qu’elle ne s’attarda pas plus d’une demi-seconde à peine sur la partie supérieure de mon uniforme scolaire. Ni sur ma chemise blanche, sur ma cravate, ni sur le blazer sombre qui les recouvraient, non… ce qui l’intéressait à la simple évocation de mon « problème » se trouvait évidemment plus bas.

S’étant discrètement rapprochée d’à peine un pas, la caissière du sex shop venait, sans aucune honte, de fixer l’épaisse et saillante protubérance qui déformait le tissu grisâtre de mon pantalon d’uniforme. Incapable de faire le moindre mouvement, figé sur place, je la regardais faire sans un mot, le souffle coupé. Je voyais comme ses yeux curieux descendaient encore et encore, et pu ainsi aisément deviner quelle était leur course. Toisant mon bas-ventre de toute sa hauteur, je su quand son regard fut arrivé assez bas pour qu’elle ait tout vu. Ses yeux avaient dû s’arrêter juste au-dessus de mon genou gauche pour finir leur course sur l’épaisse excroissance terminant mon sexe. Même au repos, la taille de celle-ci, comparable à celle d’une petite pomme, était telle qu’il n’était en rien compliqué d’en imaginer la forme, même recouverte de son petit cache de peau et d’un peu de tissu.

J’avais dû commander à l’école un pantalon un peu plus large, à la rentrée… mais celui-ci était à laver aujourd’hui. Celui que je portais aujourd’hui était d’une taille plus… standard, convenant parfaitement à ma morphologie quelque peu atypique, mais pas à ces impressionnantes mensurations que le summum de ma puberté avait su me conférer… il n’y a pas si longtemps que ça.

Gloups. Figé, toujours, j’ai l’impression de suffoquer lorsque son sourire s’élargit, de façon plus coquine que je n’aurais pu l’imaginer, quand je devine qu’elle mate la forme de mon gland pointer sous mes vêtements. Mon dieu que je suis gêné… et étrangement excité en même temps. Ce n’est pas comme si elle semblait horrifiée par ce qu’elle regarde… au contraire. Ou bien est-ce parce que c’est son métier, un peu comme les médecins. Mais sourirait-elle comme ça si c’était le cas ?

Une fois encore, je manque de sursauter quand sa voix me sort soudain du tumulte de toutes ces pensées parasites. Ses yeux se sont relevés d’un coup alors que je ne m’y attendais pas et j’eus à peine le temps de détourner le regard… pour ne pas dire : je sais que vous regardiez ma bite. Quoique dans le cas présent, un peu comme avec un médecin encore une fois, cela aurait pu être normal. Non ?

Je manque clairement d’assurance quand je réponds, faisant de mon mieux pour ne pas paraître aussi gêné que je ne le suis… Mais je suis sûr que cela doit s’entendre à ma voix, alors qu’elle me parle de préservatifs sur-mesure, et du sexe d’un autre de ses clients. Pour qu’elle m’en parle ainsi, j’en venais à penser qu’elle avait dû la voir, cette queue si épaisse selon elle… je finissais même par me demander si elle l’avait touchée.

« Ha ha… eh biiien… cool. Super. J’veux dire, c’est parfait. J’imagine… »

Je suis bien trop décontenancé pour penser comme il faut, pour rester rationnel. Je suis clairement en train de parler de mon sexe avec une fille d’à peu près mon âge, que je mate et qui mate clairement elle aussi ce qu’il peut bien y avoir dans mon pantalon, et qui me raconte sans la moindre gêne que rencontrer des types bien montés est dans ses habitudes. Professionnelles j’entends… mais dans ses habitudes quand même.

« J’imagine que… il me faudrait un truc comme ça. »

D’une circonférence trois fois supérieure à la normale ?
Sans doute. Peut-être même plus, dans la mesure où ce ne serait là qu’un préservatif qui conviendrait à mes mensurations du moment. En vérité, je n’avais aucune idée précise de ce qu’il me faudrait en pleine érection. Fallait-il dire aussi que celles-ci étaient rares, tant il y avait de chair et de poids à irriguer. Le plus souvent, mes érections ne devaient être que ce que l’on appelle des demi-molles, généralement… il fallait que je sois vraiment très, très excité, pour que ç’en arrive au point où, même nu, cela en devenait relativement douloureux. C’était le cas, parfois, quand je ne pensais qu’à ça toute la journée… quand cela me prenait en plein cours le matin, et qu’il fallait que j’attende d’être rentré pour me soulager, alors que mes pensées avaient été grignotées par le vice des heures durant.

N’eus-je pas le temps d’y penser plus -en un sens, heureusement- que je sentis le regard de la vendeuse se reposer sur moi avec malice, avant qu’elle ne fasse volte-face subitement.
Je n’étais pas bien sûr, sur le moment, de quelle mouche avait bien pu la piquer. Elle s’était tourné si vite que je n’eus le temps de rien, même pas un mot, sinon que de la suivre du regard, alors qu’elle s’éloignait dans le rayon, en direction de sa caisse, à quelques mètres seulement.

Sans doute dois-je me faire plus précis. Elle n’a pas disparu subitement. Elle s’est seulement retournée vite. Comprenez que, allez savoir là encore si elle le faisait exprès, qu’elle s’éloigna même plutôt lentement, dans une démarche excessivement chaloupée…
Elle roulait tant du cul que je ne pus ne pas le remarquer : ses fesses étaient vraiment très… très grosses. Pas sûr qu’il m’ait été donné d’en voir de pareilles chez mes compatriotes nippones, même chez certaines de mes professeures « les mieux faites ».

À le détailler ainsi, c’est autre chose que par le reflet du miroir, c’est sûr. Bien sûr j’avais remarqué comme ses hanches étaient larges et comme elles permettaient aux ficelles de son string de tenir sur le haut de celles-ci… mais d’ici, c’était bien différent. Mince alors, au plus tendre de sa chair, son cul paraît si gros qu’une seule de ses fesses semble presque aussi large que mes deux cuisses côte à côte, aussi musclées soient-elles. Devant mon regard ébahi, il roule et rebondit, même ainsi, en bougeant à peine. Le mini-short en jeans qui le recouvre le couvre à peine, me laissant entrevoir le bas de ses reins en haut… comme la naissance de ses fesses rondes par le bas, strillée par ces bas, dont la seule vision commence à faire tambouriner mon coeur dans ma poitrine.

Sa démarche est rythmée de façon si lente… je me demande même si elle ne sait pas déjà que je suis encore en train de la mater.
Cela m’arrangerait bien qu’elle aime ça, moi qui n’ai jamais vu la moindre femme nue de toute ma vie ailleurs que dans des magazines ou sur le net. Si c’était ça… alors peut-être que je n’me priverai pas à passer la regarder un peu tous les jours, après l’école, ne serait-ce que pour voir quelle nouvelle tenue de ce style la met en valeur un jour ou bien un autre… peut-être.

Me mettant sur la pointe des pieds pour continuer de la voir tandis qu’elle passe derrière l’étal, au bout du couloir d’à côté, je finis par tracer moi aussi la même route, pour me poster au bout de l’allée, près de la caisse. Presque étalée de tout son long, penchée sur la caisse bien trop basse, la vendeuse tapote je ne sais quoi à l’écran, si vite d’un côté, puis de l’autre de celui-ci, que ses gros seins en ont la tremblote. Son large t-shirt s’ouvrant encore plus dans cette position, j’ai là presque vue sur tout son balcon… sans pour autant être capable de deviner si elle porte un soutien-gorge ou pas, une fois encore. Ses obus sont si massifs, difficiles de tout voir, même avec un décolleté pareil.

Tout ce que je peux voir, même d’aussi près, c’est la pureté impeccable de sa peau, sans imperfection aucune, comme sa peau d’ébène clair reflète merveilleusement la lumière des petits néons blancs qui illuminent l’espace. C’est comme si ses nichons brillaient. Et comme si son cul aussi. Elle devait avoir la peau douce, et sacrément agréable au toucher.

Avec un corps comme le sien, nul doute que son ou ses partenaires devaient s’en donner à coeur joie. Lui péter l’cul devait être génial… et sa peau devait tout particulièrement bien faire ressortir la couleur de la semence que l’on devait parfois expulser sur son corps. Forcément qu’avec un métier pareil, elle devait avoir de… l’expérience, et aimer faire des folies de son corps. Peut-être même essayait-elle elle-même la plupart des produits qu’elle mettait en vente ? Allez savoir, j’sais pas trop comment ça fonctionne, mais j’imagine qu’il faut bien s’y connaître un minimum pour conseiller les gens.

Alors qu’elle semble s’étirer, ou du moins… bouger, je sens cette fois venir le moment et tourne la tête pour regarder ailleurs quand elle se redresse soudain, pour faire mine de rien.
Aussitôt s’approche-t-elle, tout aussi près de moi qu’elle l’avait été tout à l’heure, que je comprends à ses mots ce qu’elle était partie chercher. Forcément que cela avait un rapport avec ce fournisseur sur-mesure qu’elle avait mentionné à peine deux minutes plus tôt. Je sais pas bien ce que j’imaginais… à part elle, bien sûr.

Je lâchais un petit soupir, soulagé d’abord, d’une certaine manière, d’apprendre qu’il était peut-être possible de trouver un préservatif à ma taille. Toutefois, après une toute petite seconde de réflexion, force était de constater que cela ne réglait absolument pas mon problème : c’était du sur-mesure, pas un truc que l’on trouve simplement dans le commerce. Cela me rangeait encore dans la fameuse catégorie « hors-norme », et ne m’aidait en aucune façon à savoir si mon sexe pourrait un jour pénétrer celui d’une femme. À cette pensée, un second soupir plus contenu vint s’ajouter au premier… de déception cette fois.

« hhaa… T-Takezo. »

Mais en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, la déception fait de nouveau place à la surprise, quand la jolie vendeuse, revenue vers moi, finit sa phrase en me toisant de nouveau. Quelle… taille ?
Mais enfin, je ne sais pas ! Comme je le disais… 6, 7 ou 8XL peut-être ? Peut-être plus ? Je l’avais bien mesurée, une fois, alors que j’avais une demi-molle du tonnerre, et étais arrivé à la conclusion qu’elle était large sur pas moins de 8 ou 9cm de diamètre, et faisait presque 40cm de long… mais au maximum de mes « capacités », jamais n’avais-je réussi à surpasser ma frénétique envie de jouir pour aller attraper un mètre ruban. Qui ferait ça ?!

Me reculant d’un demi-pas, voilà que je me gratte la tête, gêné et de nouveau face à une situation qui me paraît inextricable.
Jetant un très bref coup d’œil vers la sortie, j’hésite…

« En fait j’suis pas sûr. Trois fois la taille d’un élastique normal, c’est gros comment ? C’est que… il me faut… les deux mains pour… vous voyez. Mais pour la taille exacte, je sais pas trop. Est-ce que je peux revenir demain ? Ou rappeler au magasin pour vous communiquer tout ça ? »

Pas sûr que j’ose revenir, mais un jour c’est sûr… je prendrai le temps de prendre une cote précise de ces fameuses mensurations.

Feignant de regarder l’heure sur une montre que je n’ai même pas, je regarde ailleurs une fois de plus, après avoir vite fait rabaissée la manche de mon uniforme.

« Pour aujourd’hui il se fait tard, il faut que j’aille faire mes devoirs… »
« Modifié: vendredi 22 septembre 2023, 00:45:58 par Takezo O. Mamoru »
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Aïe aïe äie

Laëlia

Dieu

En voilà un sacré phénomène. Cela ne fait que quelques minutes que je discute et découvre ce jeune homme qui a décider de franchir le pas de ma porte et je dois bien avouer qu'il a réussi tout aussi vite à attiser ma curiosité au plus haut point. Plus je tente de détailler les formes de son corps, ou plutôt de ce bel engin qu'il a l'air de dissimuler dans son pantalon qui, malheureusement pour lui ne fait pas tout à fait le job, plus je m'imagine avec précision les détails de ce sexe dont il ne semble pas assumer les dimensions hors normes.

C'est un euphémisme de dire qu'il paraît sérieusement timide et réservé ce qui ne l'empêche pas pour autant de me reluquer des qu'il le peut tout en se pensant suffisamment discret pour que je ne le remarque pas. Je souris doucement lorsque ses yeux se perdent dans mon décolleté qu'il semble avoir envie de dévorer, tirant même un peu sur mon tee-shirt pour  faire remonter mes seins, mes tetons dressés se dessinant aisément sous le tissus qui les dissimule. Je trouvais les soutiens gorge particulièrement inconfortables et je préférais de loin cette sensation de frottement que m'apportait le port de mes vêtements... parfois il ne m'en suffisait pas plus pour m'exciter un peu.

Mais il ne se contentais pas de ma poitrine et je pouvais aisément sentir son regard se perdre sur mon fessier mit en valeur, qu'il devait comme beaucoup d'autres rêver de malmener lorsque je m'absentais jusqu'à la caisse. J'aimais particulièrement provoquer ce genre de réaction et c'était d'autant plus adorable de l'observer chez de jeunes hommes à l'allure innocente comme lui.

J'obtiens finalement un premier aveux de sa part et note dans un coin de ma tête son nom avec un sourire. Puis vint la question de ses mensurations et il ne semble pas même avoir un début de piste pour m'aiguiller. Je me demande décidément à quel point elle peut être grosse et il m'en donne une vague idée en m'indiquant que même avec ses deux mains ils est difficile d'en faire le tour. Mon regard s'illumine d'une lueur espiègle et je me mordille légèrement la lèvre, cette fois ci ma curiosité est pleinement piquée au vif et l'idée de cette grosse queue qui sommeille presque à proximité de mes doigts provoque une vague de chaleur dans le bas de mon ventre.

Mais le visage du jeune garçon se colore à nouveau et il recule d'un pas, visiblement trop gêné et cherchant un moyen de s'échapper à tout prix d'ici. Je tente alors de le rassurer et de l'inciter à rester, toujours bienveillante, mais me rapprochant tout de même à nouveau de lui, fortement intéressée par son corps qui désormais m'attire.

- Je suis sûre que tu as encore un peu de temps à m'accorder Takezo. Fait moi confiance je suis également certaine de pouvoir t'aider à trouver ce qu'il te faut.


Je ne lui laisse pas vraiment l'occasion d'infirmer et je surenchérit par ailleurs, histoire que les choses soient un peu plus claires.

- Et je t'aiderai pour tes devoirs si cela prend trop de temps, je suis là pour répondre à tout tes besoins et combler tout tes désirs

J'appuyais mes derniers mots d'un clin d'œil assez significatif. Difficile de me retenir de l'allumer un peu, surtout qu'il devenait de plus en plus craquant de minutes en minutes. Mais désormais il allait devoir outrepasser un peu sa timidité si nous voulions avancer, et j'allais devoir le motiver.

- Je suis certaine que si tu passes cette porte tu ne remettras jamais les pieds ici, alors je peux peut être t'aider à... mesurer ? J'ai un peu de place à l'arrière de la boutique pour un peu plus d'intimité, fais moi confiance.


J'avais volontairement abandonner le vouvoiement pour que notre échange soit plus simple, plus proche, il ne tenait qu'à lui d'accepter, et j'espérais qu'il le ferait. J'avais assez hâte de pouvoir déboutonner son pantalon pour libérer ce qui se cachait dessous...

Takezo O. Mamoru

Humain(e)

C’est quand je suis sur le point de partir, à la recherche d’une d’échappatoire qui me permettrait de fuir mon implacable honte que les choses semblent empirer et s’emballer de plus belle. Comme si le fait d’être surpris dans un tel endroit n’était pas déjà assez honteux pour moi, un ado tout juste majeur, fraîchement sorti de sa salle de classe…

Voilà maintenant que la vendeuse -qui sait pertinemment que je la mate, c’est sûr- refuse de me laisser partir !

Comme si elle n’était déjà pas assez près, la petite mais plantureuse jeune femme s’approche encore, presque trop pour que cela me mette à l’aise. Son ton est doux, calme et… chaleureux, même… mais sans doute un peu trop, d’ailleurs. Cet air, presque de grande soeur, ne m’aide pas, dans la mesure où c’est bien des mensurations de mon pénis dont elle parle, et ce sans vraiment chercher à cacher cette curiosité qui la titille. Quand bien même je tente une parade en cherchant à me défiler, voilà qu’elle fait presque barrage de son corps, pour me bloquer la route, s’approchant assez pour que je sente son souffle se poser jusque dans mon col, insistant pour que sa question trouve sa tant attendue réponse.

Je ne peux bien sûr que me tourner de nouveau dans sa direction, en la voyant venir si près. Mes yeux ont décollé de la sortie, par réflexe, et je la toise désormais de trop près. Aussi grand que je suis à côté d’elle, la hauteur de par laquelle je la domine me donne accès à une vue plus époustouflante encore que toutes les autres sur ce large décolleté, qui semble s’être creusé encore… sans doute la faute à ce téton sombre que je remarque enfin et qui pointe dur, tirant vers l’avant un peu du tissu. Si je n’en avais rien vu auparavant, l’éclairage fait désormais en sorte que je puisse presque tout voir, par transparence à travers son t-shirt blanc : cette large aréole brune transparaissant, si large, en bout de l’un de ses gros obus (probablement un bonnet H, ou double H… ils me semblent si gros maintenant que je les vois du dessus), au centre de laquelle point un délicieux bouton aussi sombre.

Évidemment, en cette seconde à peine je divague… toujours émerveillé que je suis en constatant qu’une jolie femme ne porte pas de soutien-gorge. Juste ça passe encore, mais couplé à son mini-short, ses bas résilles, ses bottines de cuir et à son string dont les ficelles dépassent bien haut, pour qu’il soit sûr qu’elles soient remarquées de tous… j’ai tout bonnement envie de laisser de côté tout féminisme qui soit pour dire qu’elle a tout l’air d’une salope. Pas dans le mauvais sens du terme évidemment, mais plutôt comme moi et mon addiction au porno l’entendons : comme une bonne salope. La regarder m’excite, et ce n’est pas la demi-molle qui commence à tracer un arc-de-cercle dans mon pantalon, tout contre ma cuisse, qui me fera dire le contraire. Ma chair se raffermit déjà, là en bas, alors que défilent dans ma tête des tas d’images tout droit sorties d’un mauvais film X, dans lesquelles une énorme saucisse gifle chacune de ses joues, avant de finir par entrer tout droit dans son décolleté, à travers son t-shirt.

Plus proche de moi, elle me tutoie en plus, comme si j’étais un ami, ou un client fidèle… ou son petit frère, quelque chose comme ça. Je n’ai même pas cette proximité avec les filles que je côtoie tous les jours. Enfin, avec lesquelles je vais en cours… celles qui sont dans ma classe. C’est bien trop étrange, familier et soudain.

« M-mes… merci mais, ç-ça va aller, vous savez. Il faut juste que j’y aille. »

M’aider à faire mes devoirs ? Mais que peut-il bien lui passer par la tête ? C’est chronophage, certes, mais je n’étais plus à l’école primaire non plus, j’étais bien capable de les faire seules, sans un… professeur particulier pour m’aider. Même si l’image que je me faisais des cours particuliers m’apparaissait fort attrayante.
Puis, c’est surtout que des devoirs, je n’en avais aucun aujourd’hui. Rien. J’avais seulement eu des cours de sport, fait quelques activités au sein de ces clubs auxquels je m’étais inscrit, mais il ne trônait en vérité aucun manuel dans mon sac… aucun. Du tout. Pire encore, maintenant que j’y pensais : y résidait bien un « bouquin », une revue, que j’avais recouverte d’un protège-cahier pour faire genre. Il s’agissait d’une vieille revue de charme, du temps où je vivais encore loin des connexions internet haut débit, et dont bien des pages avaient été scellées, collées entre elles par une quantité absurde et faramineuse de mon… plaisir. Non pas que j’y sois retourné souvent et frénétiquement, mais force était de constater qu’en plus de mes mensurations folles, j’étais tout aussi absurdement… fertile, et produisait peut-être cinq à six fois plus de semence que tout ce que les films avaient bien pu me montrer comme étant la… norme.

Repenser à ce cahier manqua de me faire exploser tant j’eus peur que quiconque ne tombe dessus. Dans un coin de ma tête, je me promettais alors de m’en débarrasser une fois pour toutes sur le chemin du retour, mais le clin d’œil que je la vis me faire me sortis vite de mes pensées du moment, pour que j’en revienne plus rapidement encore à celles la concernant.

Sérieusement. Qu’entendait-elle par « tous mes désirs » ? Voilà une phrase et une situation qui m’avait tout l’air tout droit sortie d’un mauvais porno… c’était follement excitant, mais si éloigné de la vie réelle. C’était pas bien de jouer comme ça, avec des mots pareils. Sans doute voulait-elle dire autre chose et que cela n’était pas sorti comme il fallait. Waaaw… il faut faire gaffe avant de dire quelque chose.

Cela dit, elle n’eut pas tort en supposant que jamais je ne reviendrais ici si jamais je partais sur l’instant. J’avais bien trop honte et ça allait me poursuivre pendant des jours, sinon des semaines. J’étais bien capable d’éviter le quartier tout entier jusqu’à la fin de ma vie, pour ne pas y être reconnu.

Tout de ses mots et de sa conduite paraissait ambiguë, j’imaginais plein de choses et mes pensées dépassaient sans doute de très loin toute rationalité qui soit, toutefois… toute pensée se coupa nette dans ma tête d’un coup d’un seul, comme si j’avais buggé, alors que je pris un air interrogateur en la regardant. C’était une professionnelle. Elle en avait vues d’autres et cela ne voulait sûrement rien dire, elle ne me toucherait sûrement pas et se contenterait de me guider pour me pousser à faire des achats dans son magasin, comme n’importe quel vendeur-conseil… mais, je ne pus m’empêcher d’y penser lorsque la vendeuse me dit qu’elle pourrait m’aider à la mesurer : cela voudrait forcément dire montrer ma grosse bite à cette fille, la plus bonne de toutes celles, et de loin, que j’ai pu rencontrer. Cela voulait dire bander, et la voir me regarder…

Et étrangement, cela m’excitait bien plus que ça ne me faisait honte. Ce n’est pas tous les jours que l’on pouvait s’exhiber ainsi devant une femme qui nous attire. Je m’avouais à ce compte bien curieux, à l’idée de voir quelle serait sa réaction, si tant est qu’elle en ait une dépassant son professionnalisme. J’appréhendais, évidemment, à l’idée qu’une autre femme soit également repoussée, voire atrocement effrayée en voyant l’immense masse que représentait mon engin, proportionnellement au reste de mon corps… mais zut, quoi. Plus je la regardais, elle, son gros cul, son string, ses énormes lolos qui pendaient nus et pointaient sous son t-shirt, plus je me disais que j’aimerais qu’elle me regarde bander.

Avalant difficilement ma salive, je regardais nerveusement à droite, puis à gauche, cherchais un je-ne-sais-quoi du regard, comme pour esquiver la charge de ma propre réponse à ses questions, tout comme je voulais esquiver cette proximité, qui me donnait à la fois l’envie de la fuir, comme celle d’être plus près encore… beaucoup plus près. Entendez : faire des centimètres qui nous séparent un nombre négatif.
Comprendra qui pourra.

« C’est vrai… hum. Ok alors. O-on… on fait ça, si vous voulez bien. Est-ce que… c’est rapide ? »

Évidemment. Je venais d’accepter de montrer mon engin à demi-dur à une parfaite inconnue, n’allez pas non plus croire que cela se ferait sans gêne. Ce pourrait être une expérience sympa, ça oui… mais j’avais encore très hâte de me barrer d’ici ! Au moins, j’aurais réussi à trouver des préservatifs à ma taille.

« Est-ce que c’est des tailles… normales ? Pour quelqu’un. C’est pas… trop gros, pour une femme ? »

Qu’elle aussi comprenne ce qu’elle pourra, je venais à demi-mot d’avouer, sans m’en rendre compte, que j’étais encore vierge.
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Aïe aïe äie

Laëlia

Dieu

Je le sens hésitant, observateur, il se perd de longues minutes dans ses pensées comme il se perdrait probablement sans fin dans mes formes généreuses que j'ai pour habitude de mettre en avant. Je sens bien que la décision est difficile à prendre et qu'un vrai combat psychique à l'air de se dérouler dans sa petite tête. Mais je reste patiente, persuadée qu'il finira par prendre la bonne décision. Après tout s'il avait sauter le pas et était rentré dans la boutique, il devait tout de même avoir envie de repartir avec les protections qu'il désirait acheter non ?

Et au vu de son cas de figure assez atypique,nous n'avions d'autres choix que de prendre ses mesures. J'essayais tant bien que mal de ne pas trop laisser paraître ma curiosité et mon envie de le découvrir mais l'allumeuse que j'étais avait toujours tendance à revenir au galop. Si il en avait une aussi grosse, comme il avait l'air de le dire, alors je ne pouvais qu'imaginer les sensations que ce genre de membre pouvait bien me procurer... alors je me perdais, moi aussi, le temps de quelques minutes dans une panoplie de fantasmes tous plus intenses les uns que les autres dont la pensée rendait les pointes de mes seins plus dures encore.

Il émet une dernière objection et je crains qu'il ne refuse définitivement, mais il fini pourtant  par abdiquer et accepter ma proposition, demandant même si cela va être long. Je le rassure en lui tapotant sur l'épaule avec affection :

- Ça ne devrait pas être très long non, enfin, cela dépendra aussi de toi !


J'entendais par la qu'il fallait forcément qu'il soit au maximum de son potentiel pour que nous puissions prendre les bonnes mesures, mais j'étais quasi certaine que cela ne poserait pas de difficulté lorsque je remarquais que son membre jusque là tout juste discernable se voyait d'avantage à travers son pantalon désormais. Un large sourire restait fixé sur mes lèvres et je tentais d'éviter à mes yeux de lorgner à nouveau entre ses cuisses.

Sauf qu'il m'interpelle avec une question qui n'est pas anodine et mon regard se plonge dans le sien lorsque je comprends ce que sous-entend sa question. Le pauvre petit n'a jamais dépassé le stade du fantasme ! C'est donc légitimement qu'il s'interroge et mon sourire s'élargit. Il avait tellement de choses à apprendre.

- Rassure toi, aucune n'est jamais trop grosse et avec suffisamment de prépareration et de volonté, tout passe ! Et puis, certaine les préfère plus imposantes, aussi...


Je lui adresse un nouveau clin d'œil sans lui préciser que c'est mon cas et l'invite donc à me suivre jusqu'à l'arrière boutique. Le temps de notre échange, la boutique s'est suffisamment vidée et plus personne ne semble recueillir mes services, signe que je peux entièrement me dévouer à lui. Nous nous retrouvons finalement seuls tout les deux dans une petite pièce à l'ambiance tamisée. Je le rassure alors :

- Personne ne viendra nous déranger ici, nous sommes tranquilles
.

Dans cette pièce plus sombre, divisée en deux parties, on peut retrouver toute une partie du stock qui permet de faire le réassor de la boutique, et de l'autre côté, un petit coin aménagé pour prendre des pauses agréables avec un petit fauteuil, une chaise, un frigo qui permet de stocker de quoi se désaltérer et se restaurer et même une machine à café qui tourne souvent à plein régime.

Je l'invite d'une main à avancer jusqu'au "coin détente" et vient me mettre face à lui non sans avoir récupérer un mètre de couturière que je fais passer autour de mon cou comme un stéthoscope, histoire d'avoir l'air... professionnelle. Même si en vérité mon accoutrement me faisait d'avantage ressembler à une belle salope.

Je me retenais de me jeter sur lui, curieuse de découvrir ce si prometteur mat de chair qu'il dissimulait sagement, mais je ne pouvait pas decemment lui dire que j'aurais certainement envie de tester cette trouvaille des lors que mes mains auront commencer à l'effleurer son engin, surtout qu'il était encore vierge et que je ne voulais pas le faire fuir.

Joueuse malgré tout, je viens m'approcher de lui, joignant mes mains dans mon dos et m'ettirant un peu pour faire ressortir mes deux énormes seins qui ne demandent plus qu'à s'échapper de mon petit haut maintenant que nous sommes seuls, ils réclament de l'attention. Je glisse mon visage près de son cou, sur la pointe des pieds, venant lui susurer de manière sensuelle :

- Il va falloir baisser ton pantalon maintenant...
« Modifié: dimanche 24 septembre 2023, 08:56:26 par Laëlia »

Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Par… chance, la fin d’après-midi qui pointe désormais le bout de son nez sonne aussi la fin du rush de cette heure dans la boutique, visiblement. Sans même être passés par la caisse, les curieux s’en vont doucement, les uns après les autres, après avoir longuement observé ce qu’ils étaient venus voir. La clochette de l’entrée tinte une fois, deux fois, puis encore et toujours pendant de longues secondes. Il reste bien une personne ou deux n’ayant pas fini son tour des rayons, mais celles-ci ne partagent pas le même couloir que la vendeuse et moi nous partageons déjà. Seuls les miroirs disposés plus haut me confirment leur présence… c’est déjà ça qui suffit à me rendre moins nerveux. A priori, personne n’aura rien entendu de notre conversation et c’est pour le mieux.

Quoique réflexion faite, le clin d’œil que me fait la vendeuse en m’assurant qu’il est des femmes préférant des pénis imposants vient gonfler mon ego. J’aurais presque eu envie que les autres femmes encore présentes dans le magasin l’entende me dire ça… ne serait-ce que pour confirmer ces dires, et me réconforter davantage. Évidemment que je me doutais de tout ça, mais peut-être la vendeuse n’avait-elle pas encore tout à fait saisi toute l’ampleur du problème. Je ne parlais pas de gros sexe, mais de « trop gros » sexe. Ce que j’avais accepté de m’en aller mesurer était d’un tout autre niveau encore que ce à quoi l’industrie du X nous avait habitué. Plus épais encore et plus long que tous les membres apparaissant dans ces vidéos aux titres les plus putaclics qui soient, celui dont je faisais mention… le mien… aurait tout pour surprendre même les professionnelles du métier, voire les inciter à demander une prime de risque ainsi qu’une augmentation de salaire en conséquence.

Ces menus détails mis de côté, je devais bien admettre qu’il était bien plaisant de l’entendre me dire des choses comme ça. Que tout pouvait « passer ». C’était là tout l’inverse de ce que j’avais pu lire ou entendre récemment… et cela me rassurait déjà un peu, me redonnait espoir, quant à l’éventualité de pouvoir mener, un jour, une vie sexuelle épanouie.

Comme si je la fantasmais telle une actrice de charme, je réfléchissais un temps à ses mots, me demandant si ceux-ci étaient encore une fois choisis pour me rassurer, ou bien s’ils étaient là le témoignage de son expérience personnelle…

Alors que je la suivais, timidement, mes yeux suivant le mouvement de balancier de ses grosses fesses, j’hésitais à formuler à voix haute toutes ces questions qui me venaient alors en tête. Préférait-elle les hommes bien montés ? Et bien montés comment ? Préférait-elle l’homme en lui-même, ou se contentait-elle de n’importe qui, préférant sa bite à sa personnalité ? Était-elle complètement nympho, aimait-elle se faire prendre par plusieurs hommes à la fois ? L’avait-elle déjà fait ? Est-ce qu’elle aimait ça ? Était-elle complètement en chaleur et était-ce là la raison de son choix de venir travailler ici ? Et quid des caméras de surveillance un peu partout ? S’était-elle déjà fait sauter au travail ? Si oui… alors je serai carrément prêt à acheter l’une des vidéos…

Des dizaines d’autres questions du même type vinrent se bousculer dans mes petites méninges, alors que j’avais été complètement hypnotisé par le rebond du bas de ses fesses contre ses cuisses, juste sous son mini-short. J’en devenais bien trop curieux, m’imaginant à quoi elles pouvaient bien ressembler, nues, et pénétrées par un chibre de grande taille, coulissant lentement au coeur de sa raie.

Je ne m’extirpe vraiment de ces chaudes pensées qu’après avoir passé l’encadrement d’une nouvelle petite porte seulement. Je la quitte des yeux un instant pour réaliser, seulement maintenant, que nous avions bougé… je ne m’en serais presque pas rendu compte, tant cela avait été automatique, mécanique de ma part.

Découvrant la petite pièce, grande d’à peine quelques mètres carré seulement, je m’interrogeais déjà, en me retournant, sur le fait que celle-ci ne soit séparée du reste du magasin que par un fin rideau rougeâtre et transparent. Quelques étagères séparaient un espace grouillant de cartons et de boîtes en tout genre d’un espace un poil plus cosy, mais rien de plus. Une petite lampe à lave éclairait faiblement le cuir d’un grand fauteuil qui trônait dans un coin, face à l’une de ces toutes petites tables basses que l’on achète pas très cher mais qu’il faut monter soi-même. Il semblait y avoir de quoi se désaltérer, ou bien de quoi faire réchauffer son repas du midi, lors de pauses des employés, mais pas l’ombre d’un espace tout simplement prévu pour la fameuse prise de ces… mesures.

Moi qui pensais trouver du matériel, une cabine d’essayage au moins… ou bien ne serait-ce qu’un paravent, derrière lequel me changer, sans risquer d’être vu ou dérangé par un client qui passerait juste dans le couloir adjacent… La vendeuse venait tout simplement de m’emmener dans sa salle de pause.

« Vous êtes sûre que personne ne peut me voir, d’ici ? C’est quand même… très transparent. »

N’ai-je pas le temps d’obtenir la moindre réponse à cette question, pour l’instant du moins, que la caissière sexy repasse devant moi pour me pousser du bout de sa main, posée contre le centre même de mon sternum. Lentement je recule. D’un pas, puis deux, jusqu’à me retrouver les mollets ancrés au cuir du fauteuil, sans que je n’ose pourtant m’y asseoir.

À l’image d’une infirmière en petite tenue échancrée dans un film à très, très happy end, celle-ci passe tout contre sa nuque délicate le mètre ruban dont j’allais supposément devoir me servir. J’avouais sur l’instant ne pas bien comprendre : comment allais-je faire si la vendeuse gardait l’instrument pour elle seule ?
Creusant son dos, elle se pencha un peu, puis un peu plus, et fit gonfler les deux énormes pastèques qui habillaient merveilleusement bien son poitrail. La très faible lumière vint en faire ressortir ses magnifiques pointes dressées à travers son t-shirt… j’eus presque l’impression de sentir mon bas-ventre tressauter à la seule vue de ces larges mamelons qui gigotaient, frôlés par le tissu, tandis que son geste soudain provoquait un rebond de ses seins qui jamais ne sembla vouloir s’arrêter.

Très obéissant, j’avais posé mes deux grandes mains sur la boucle de ma ceinture avant même de prendre pleinement conscience de ce qu’il me fallait maintenant faire. Elle s’était approché plus près qu’elle ne l’avait jamais été… et la chaleur de son souffle dans mon cou vint faire dresser davantage la grosse bosse sous mon vêtement, frôlant l’une de ses jambes, désormais bien trop près.

Cela me surprit et, cherchant à me reculer, je manquais de tomber à la renverse dans le fauteuil. Je me ressaisis vite et parvins à rester debout, mais me pencha légèrement vers l’arrière pour me décoller un peu, et chercher à ne pas la gêner.

« H-hum… oui. Oui. Est-ce que… vous pouvez vous retourner et me passer le mètre ? Dites-moi juste comment faut faire et je vous donne les chiffres. »

Pour cela du moins, il faudra déjà attendre que ceux-ci soient optimaux.
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Aïe aïe äie

Laëlia

Dieu

J'ai bien du mal à dissimuler mon enthousiasme de me retrouver seule, un peu plus à l'écart avec ce beau spécimen plein de douceur, de fragilité et de timidité. Je prends sur moi pour ne pas le bousculer même si je laisse plus ou moins clairement échapper quelques allusions pour lui montrer que je le trouve... intéressant.

La petite pièce dans laquelle je l'emmène n'est pas forcément la plus charmante, d'avantage pensée pour son confort que sa belle gueule, il ne semble pas s'en offusquer néanmoins mais s'interroge pourtant.

Il cherche à se rassurer quant au fait que personne ne pourra le surprendre ici et je hoche la tête pour le lui confirmer. Personne... à part moi bien sûr. L'espace ne permettait pas vraiment d'obtenir beaucoup plus d'intimité, il y'avait bien un petit espace aménagé pour les toilettes à quelques mètres de là, mais la pièce ne faisait que quelques mettre carrés et il n'y serait pas plus à l'aise pour prendre ses mensurations j'en était certaine.

La luminosité est faible, mais je me rapproche à nouveau du jeune étudiant, bien plus près cette fois-ci et je sens que ma présence l'intimide. J'aurais presque envie de coller ma poitrine contre ce torse aux muscles que je devine saillants mais là encore je me retiens, même si j'ai pleine conscience qu'il a lui aussi du mal à ne pas laisser son regard s'échouer sur mes deux seins fermes et dressés dont les pointes sombres ne demandent qu'à être stimulées.

- Seul le personnel est autorisé à entrer ici, pas de risque qu'un client ne vienne nous déranger.

Et je me rapproche à nouveau, tant et si bien qu'il manque presque de tomber à la renverse sur le canapé, et j'ai une magnifique vue sur la bosse qui s'est formée sous son pantalon et que je crois bien avoir sentie frôler ma cuisse il y a quelques secondes à peine. Comment résister à pareille vision... je sens bien que mon corps se réchauffe et je sens aussi que je lui fais de plus en plus d'effet. Pourtant il a du mal à assumer, et, mal à l'aise, me demande de lui passer le mètre et de me retourner pour mesurer son engin sans que je ne puisse assister à cette scène qui me fait pourtant saliver d'avance.

- Oh... tu es certain que tu ne préfères pas... que je t'aide ? J'ai l'habitude, tu sais. Laisse moi faire...

Je joue la carte de la professionnelle mais c'est bien la petite Laëlia accro au sexe qui veut en voir d'avantage. Je prends les devants et vient poser mes mains sur la ceinture de son pantalon, lentement, effleurant sa peau du bout des doigts. Je défais la boucle et déboutonner son pantalon. Puis je descend la fermeture éclaire, lentement, avant de venir écarter les pans de tissus qui recouvrent le haut de son bassin...

Je lui jette un coup d'oeil en coin, remarquant qu'il retient presque sa respiration, tandis qu'une de mes mains se glisse par dessus son caleçon. Ce que je sens me fait hausser un sourcil curieux et j'ai envie d'en voir d'avantage. Alors, toujours avec autant de délicatesse, je viens tirer un peu sur son pantalon pour me libérer l'accès à son sous-vêtement, dont je baisse le tissus pour venir extirper une verge comme je n'en n'ai jamais vu auparavant. Mon souffle se coupe et j'observe ce merveilleux bâtons de chair avec des yeux pétillants :
 
-Ouaw... incroyable...


Je pose le bout de mes doigts sur ce véritable serpent chaud, glissant ceux-ci pour en découvrir la sensation, abasourdie de telles mensurations. Cette queue est si épaisse, si longue, une véritable épée alors même qu'elle n'est pas au maximum de ses capacités... j'admire ce gland rosé sur lequel j'ai envie de poser ma langue, ces veines qui ressortent et me demandent de venir les caresser...

Je ne peux me retenir de le caresser un peu, ma main glissant même jusqu'à ses bourses que je devine tellement pleines... Je sens que l'intérieur de mes cuisses s'humidifie et je me mordille un peu la lèvre, gardant à l'esprit la raison de notre présence ici.

- Elle est très belle, tu sais... tellement grosse... tu as beaucoup de chance d'avoir une bite pareille... tu pourrais faire jouir beaucoup de femmes avec un pareil instrument, ouch...

Mes yeux brillent de désir et je suis comme une enfant devant un morceau de chocolat. Naturellement, ma main se referme autour de sa queue pour entamer un petit mouvement de vas et vient. Je l'interroge alors :

- Est-ce que... ça fait du bien ? Il faut que tu bandes au maximum pour que je puisse mesurer correctement...

Je serre un peu les cuisses, excitée, et tire doucement sur la peau pour le décalotter, venant effleurer son gland avec envie. Je lui murmure dans un souffle, lui avouant un peu de mon penchant pour les plaisirs solitaires :

- Est-ce que je peux prendre une petite photo ? J'ai une collection personnelle dont je me sers lorsque j'ai besoin... de me faire du bien et de me masturber...

 


Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Une fois n’était pas coutume : aussitôt tentais-je encore de fuir, de me défiler, que j’étais rattrapé par le caractère fort… entreprenant, de cette bonnasse de caissière en bas résilles.

Son petit « oh » de surprise se teinta d’un brin de déception, qu’elle rendit sans doute perceptible exprès, et je n’eus le temps de rien d’autre sinon d’enlever mes mains de là où elles étaient, quand les siennes vinrent prendre leur place. J’esquissais un hoquet surpris, mais ne protesta pas. Tant parce qu’elle était la professionnelle ici, que parce que jamais une femme n’avait fait courir ses doigts ici.

Je n’ose plus bouger d’un millimètre, car elle s’est approchée encore, comme quelqu’un le ferait pour embrasser son partenaire. Nous sommes presque collés l’un à l’autre et je m’estime heureux d’être bien plus grand qu’elle… ceci me permettant au moins d’aller quérir un peu d’air en hauteur, comme un apnéiste avant de plonger.

Le bout de ses doigts fins agrippe les bords de ma ceinture et ses pouces s’arrêtent contre sa boucle. Soufflant très légèrement en sentant mon corps envahi de frissons continu, je laisse mon sac à dos retomber à côté du fauteuil, et me saisis de ma chemise pour la tirer doucement vers le haut, la sortant de sous mon pantalon.

Plein de gêne, j‘acquiesce, mais obéis, découvrant de quelques tous petits centimètres le bas de mon abdomen, sculpté et légèrement fourni d’une petite toison sombre, annonciatrice de l’épaisse forêt qui surplombe autant mon pubis que mes bourses. C’est une zone bien trop délicate de mon anatomie pour que je ne me sois perdu ne serait-ce qu’une fois à la ratiboiser. Puis allez savoir pourquoi, malgré mon jeune âge, la pilosité est une chose que je trouve plus esthétique, en ces endroits.

« Ffffffff… »

Soufflant entre mes dents, je ferme les yeux d’appréhension, n’ose d’abord pas regarder quand je commence à entendre tinter la ferraille de ma ceinture. Trop curieux et désireux d’apprécier ce spectacle pour la première fois de ma vie, l’un de mes yeux s’entrouvre toutefois… et je continue de zieuter, avec appréhension. Le bout de ses ongles s’infiltre sous le haut de mon pantalon tandis qu’elle attrape la ceinture tout en la débouclant… et je frissonne encore, mes poils se hérissant d’eux-mêmes sur ma peau. Deux de ses doigts pincent le bouton de mon vêtement, le font sauter d’un coup sec… puis ils descendent, effleurant la grosse bosse chaude, dont il se dégage déjà tant de chaleur.

« Hmpf ! »

Ça y est.
La jeune femme ne fait pas dans la dentelle et ne se contente pas d’aller quérir la petite braguette du bout de ses doits seulement, non. Le bas de sa main se pose, s’écrase même presque sur la base de mon début d’érection, tandis que son index et son pouce, eux, s’attellent en effet à dézipper le colosse. J’aurais presque soupiré d’aise, en sentant comme la bosse dans mon caleçon trouvait enfin l’espace dont elle avait besoin, alors que l’épaisse masse se trouvait bien plus libre sans braguette pour la contenir.

Sa petite main droite rejoint l’autre, et toutes deux s’en vont écarter plus encore le tissu de mon pantalon, pour que commence à en ressortir un début à peine de la colossale bosse qui déforme mon caleçon long, le striant du motif dessiné par ces grosses veines qui, doucement mais sûrement, se gorgent de sang. Ses yeux se lèvent un instant dans ma direction et, le souffle court, je rouvre les miens pour la regarder, droit dans les yeux cette fois… chaudement, excité comme je suis perdu, à ne savoir ni que faire, ni ce qu’il est en train de se passer.

Sa main se pose sur la bosse, caresse plus qu’elle ne l’effleure… je déglutis en attendant sa réaction, en attendant la suite, alors que nous constatons tous deux que je suis plus large que la paume de sa main, qui ne recouvre qu’un peu du dessus de ma protubérance. La vendeuse ne sursaute pas, ne recule pas non plus de surprise… seule son expression change, s’illuminerait presque, alors que ses yeux ont vite quitté les miens pour, je le vois, se reposer sur ce qu’il y a sous ses doigts si fins, en comparaison.

Le souffle coupé, je sens de nouveau ce même grand frisson qui me parcourt l’échine, quand ses ongles viennent racler ma peau une seconde fois. Ses mains sont passées sur mes hanches et tirent lentement sur l’élastique de mon bas, qui à cause de mes mensurations, court jusqu’au-dessus de mes genoux. Tout doucement, celui-ci descend, comme descend aussi mon pantalon, et… peu à peu, se dévoile mon aine, mon pubis, bien couvert qu’il est de son épaisse toison brune et entre laquelle, quelques centimètres plus bas, se découvre la base épaisse d’un véritable tuyau de chair, d’une belle lance à incendie encore molle, mais déjà plus large en tous points qu’un avant-bras de notre belle amie vendeuse.

Mon pantalon tombe doucement et difficilement, tout contre mes cuisses bien trop musclées pour rendre la chose aisée. Tout aussi lentement se découvre le reste de l’épais conduit veineux mais encore tombant, jusqu’à ce que, arrivé au niveau de mon genou enfin, celui-ci ne finisse par ressortir d’un petit bond, signalant que même sa pointe avait fini à découvert. Légèrement courbée vers le haut en un début d’arc-de-cercle, sous l’effet de mon excitation naissante, l’énorme queue qu’était la mienne retombait enfin lourdement, à moitié molle, mais sous les yeux de la curieuse enfin…

Ce qu’elle lâcha à cette vue fut si soudain qu’il ne me fut pas compliqué de deviner comme cela était franc, et venait du fond du coeur. La belle, douce… et grosse salope venait de lâcher un « ouaw » qui me réchauffa d’un coup de l’intérieur. Venant de la part d’une jeune experte qui devait en avoir vues bien d’autres, je me sentais comme libéré d’un poids et sentais même poindre plus d’excitation encore alors qu’elle ne prenait pas de gant pour ce qui est de complimenter mon engin.

L’une de ses mains m’effleure, glisse le long de mon épais conduit, et je sens ma chair se serrer dans un énième frisson. Mes veines roulent sous ses tout petits doigts lorsque ceux-ci viennent tracer le contour de mon sexe, passer derrière comme pour le soupeser un peu, avant de se glisser sous mes couilles pour les porter, en apprécier tout le poids…

J’ai beau serrer la mâchoire, je ne peux contenir ce gémissement, ma bouche s’entrouvrant d’aise comme de surprise.

« haan… p-pardon. J’suis désolé. »

Mais sans doute que mes excuses n’ont pas vraiment lieu d’être. Tout aussi vite que tout cela était arrivé, sa réponse ne se fait pas attendre et prend même la forme d’une nouvelle question, qu’elle pose encore de sa voix douce et rassurante. Les doigts d’une de ses mains tentent de m’entourer, se referme en un demi anneau à peine, alors qu’elle me la secoue lentement. Ma peau glisse et vrille sous sa lente caresse, commençant à découvrir, à nu, le bout de mon gland boursouflé.

J’ai du mal à lâcher prise, puisque ce n’est pas vraiment ce que je suis censé faire… toutefois oui, je commence à apprécier, plus que je n’appréhende et plus encore que je ne me sens gêné.
Vivement, j’opine du chef pour acquiescer, les lèvres closes alors que je contiens de lâcher un nouveau témoignage de mon plaisir.

« Mmh… hm hm. Moui… oui c’est… c’est différent, c’est sûr… de quand c’est moi qui l’fais… h-haaa… mh. P-pardon, j’arrive pas à m’en empêcher. »

J’ai presque un sursaut quand les autres de ses doigts viennent enserrer le bout de ma queue, forçant un peu pour que mon gland vienne à se découvrir tout entier. La soudaine caresse de l’air me surprend, mais moins encore que l’effet que me procure ce doigt qui effleure ma grosse pointe sensible.

« OOH ! »

De nouveau, je m’arque légèrement vers l’arrière, sur la pointe des pieds, et manque encore de tomber à la renverse dans le large fauteuil sur le bord duquel je me rattrape pour prendre appui. Il faut dire que… je ne m’attendais pas à ça, lorsque nous parlions de « mesurer » mon sexe.

Pris ainsi au dépourvu, j’éprouve un mal fou à penser, quand vient l’étrange question qu’elle me pose. À sa merci de la sorte, je n’ai rien de vraiment rationnel à lui dire tant je peine à réfléchir. Sa main sur ma bite me fait du bien, et le corps caverneux de celle-ci ne cesse d’enfler pour la faire doucement se lever… comment trouver quoique ce soit d’anormal dans un moment pareil ?!! Pire encore, j’aime qu’elle me touche la queue, qu’elle m’en parle comme ça… et l’entendre me dire qu’elle pourrait se masturber en y pensant m’excite comme un fou. Si la honte est encore là, parmi nous… elle s’est au moins cachée assez loin en cet instant. Bien assez, du moins, pour que je n’y pense pas de suite.

« H-hmm… oui, oui bien sûr. Enfin… je peux pas… mmh… HhaaaaaaAa… hin… j’peux pas vous en empêcher. C’est même… cool, si elle vous plaît. Vous êtes une femme sacrément… sacrémenhAAhaaaaHaann… »

N’a-t-elle pas besoin de faire de vifs mouvements, que tout ça me chauffe déjà grandement. Quelques caresses, quelques compliments, regards et commentaires et je suis déjà dans tous mes états, tandis que je ne sais plus si je dois la regarder me branler, où me concentrer sur ses énormes lolos qui ballottent au rythme de son geste du poignet.

La grosse queue s’est levée, raide et palpitante comme jamais au creux de sa main. Son volume a encore bien augmenté, et celle-ci s’allonge même sur plus de quarante centimètres. Ma peau me tire… c’est infernal. Et pourtant si bon à la fois. Je tiens difficilement debout tant j’ai l’impression de vibrer. Ma bite tremble, gigote, ainsi touchée pour la toute première fois. Déjà si proche de l’extase, je me sens pris de soubresauts que je contiens nerveusement.

La pauvre vendeuse n’a même pas encore sorti son mètre-ruban que je suis près à exploser.

« A-att… moins… moins vite… c’est bon, j-je... vous m'faites bander… »

Et ça pour bander… en un clin d’œil, elle avait réussi à me faire bander comme un âne.
« Modifié: mardi 26 septembre 2023, 15:46:16 par Takezo O. Mamoru »
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L = 38 ⌀ = 10
Aïe aïe äie

Laëlia

Dieu

Nous y voilà. La découverte de cette queue épaisse et longue comme aucune autre, que je fantasmais depuis qu'il m'avait avoué que ses dimensions étaient hors norme, et c'était un euphémisme de dire qu'il avait raison... mes mains ne pouvaient même pas se refermer entièrement sur ce pénis que je caressais du bout des doigts, il était tellement imposant à côté de mes petites mains pourtant expertes que je devais mettre beaucoup de cœur à l'ouvrage pour le découvrir pleinement...

Mais à mon plus grand plaisir, je le sentais particulièrement sensible, des frissons faisaient réagir son corps et quelques délicieux soupirs d'aise s'échappaient de ses lèvres. Ils m'incitaient d'ailleurs à continuer mon exploration et mes mains se faisaient de plus en plus insistante, j'étais bien obligée de monopoliser les deux pour couvrir un maximum de surface, et résistait difficilement à l'envie de branler ce magnifique chibre.

Ma respiration accélérait elle aussi, signe d'une évidente excitation et je me lechais les lèvres tandis que mes doigts glissaient sur sa peau tendue, caressant son gland qui s'humidifiait sous le désir qui grimpait naturellement en lui. Et quel surprise lorsque je compris qu'il bandait cette fois ci pour de bon et que son sexe avait gagner d'incroyables centimètres.

- Ne t'excuses pas... j'aime voir que ça te fait du bien... et j'aime aussi beaucoup te voir bander comme ça... je dois forcément immortaliser ça...


Et pour illustrer mes propos, je sors mon téléphone portable de ma poche et tente de cadrer au mieux pour enregistrer le cliché qui apparaît à l'écran. L'image est superbe et la voir ainsi me donne envie de créer de plus beaux souvenirs encore. Je lui laisse quelques secondes de repos, la tension de sa queue étant palpable sous mes mains et vient me mettre doucement à genoux face à lui.

- Tu permets...? J'aimerai beaucoup avoir une photo comme celle-ci...


Avec précaution, je viens glisser le bout de mes lèvres sur l'extrémité brûlante et palpitant de son sexe tout en appuyant sur le bouton qui me permet de capturer l'instant. Sauf que sentir la peau de sa bite sous mes lèvres provoque en moi quelque chose d'irrepressible... je pose mes mains sur mes genoux, docile, et vient glisser ma langue que je remonte avec envie le long de son chibre, laissant une traînée humide sur mon passage.

Mon regard s'ancre au sien tandis que mes lèvres glissent sur l'objet de mes désirs, je me crispe un peu en sentant l'envie de le dévorer enfler en moi, toutes sortes de pensées malsaines envahissant mon esprit tourmenté.

- Tu es tellement... appétissant... hmmm je suis désolée j'ai trop envie de goûter à ton gros chibre... laisse toi faire...

Et je l'incitais à s'asseoir sur le rebord du canapé pour prendre place entre ses cuisses, la tête au niveau de son sexe et lui permettant ainsi d'avoir une vue plongeante sur mon décolleté sexy. Je continuais quelques secondes à le goûter, le lechant goulument, ma langue tournoyant sur son extrémité si sensible, faisant monter le plaisir avant de lui autoriser la penetration qu'il devait certainement rêvé.

J'imaginais déjà son énorme serpent se glisser entre mes lèvres serrées pour visiter l'intérieur de ma bouche qu'il finirait inévitablement par tapisser de son foutre que j'imaginais très abondant. C'est qu'il était encore vierge et qu'il devait forcément avoir beaucoup de sauce à lâcher...


Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Quand bien même j’en viens à lui demander de ralentir, la jolie coquine censée prendre mes mesures vient joindre une seconde main à celle me procurant déjà bien des caresses, enserrant ma grosse queue entre chacun de ses dix doigts pour ne me masser que plus fort et plus longuement encore.

« hiiiiin… »

Une main serrée bien fort sur le dossier du large fauteuil de cuir, je trépigne et l’emprise de ma poigne ne se fait que plus forte à chaque nouvelle seconde, à chaque nouveau mouvement de va-et-vient que sa peau fait sur cette parcelle large, mais si délicate de la mienne. Je ne cesse d’aller et venir et de changer de position, tant mon inconfort est certain, dansant sur un pied puis sur un autre, me hissant sur la pointe de ceux-ci…

C’est pour moi une torture de me retenir, d’attendre qu’elle se décide enfin à se servir du mètre de couturière qui repose sur ses épaules, tant tout de ces sensations et de cette vision sont pour moi des plus chaudes et exaltantes. Mon incroyable petite salope de caissière m’a attiré jusque dans la réserve pour me branler à l’abri des regards, est à ce titre la première femme à m’offrir pareille attention, mais mon esprit s’en trouve plus qu’embrumé désormais, tant je lutte pour bien faire la part des choses entre ce qu’il lui est nécessaire de faire… et entre ce désir brûlant que je ressens à son égard.

Mais ces mots qu’elle choisit… son ton, qui soudain devient plus chaud et saccadé alors que le bruit de son souffle lourd commence à entrecouper ses phrases au rythme de ses lentes glissades sur ma bite… tout ceci ne me confuse que plus encore et embrouille mes méninges déjà trop pleines, les remplissant d’une idée dont je ne sais que faire : j’ai comme l’impression que la vendeuse aime faire ce qu’elle me fait, et qu’elle s’est décidée d’elle-même, sans me mettre au parfum, de m’offrir une petite branlette pour me mettre à l’aise. C’est du moins ce que j’espère, l’esprit échauffé par cette toute première expérience avec une femme.

« Haaaa… ha… »

J’éprouve cependant comme un énorme regret, une part certaine de frustration, lorsque ses mains quittent mon vît, comme à ma demande, pour qu’elle s’en aille chercher son téléphone dans l’une de ses poches. L’absence soudaine de ses caresses forme en mon bas ventre un grand vide, un empressement intense… Mon gros chibre remue, balance et tressaute d’impatience comme pour réclamer son attention, comme le font ces couilles épaisses qui pompent et se gonflent déjà, prêtes à déborder.

Fort heureusement, elle revient vite, portant de nouveau l’une de ses paumes sous mon énorme lance fièrement dressée, pour la soupeser et l’emmener plus près, en direction de l’objectif du petit appareil qu’elle a sorti pour l’occasion. Le clic du déclencheur me fait frémir tandis que j’imagine ce à quoi la photo doit ressembler, mettant évidemment en scène une comparaison de la taille de sa petite main, de son petit avant-bras, avec cet immense colosse de chair qui palpite, de son poignet jusque plus loin, au-delà de son coude.

Puis elle me lâche, encore… mais revient vite d’une manière plus excitante encore. Mon dieu comme j’ai envie qu’elle en prenne d’autres de ces clichés, si c’est pour me faire des trucs pareils !
Se reculant à peine d’un tout petit centimètre, l’entreprenante jeune femme plie un genou, puis l’autre pour se mettre à la hauteur de ma grosse queue. C’est excitant… plus encore que n’importe quelle vidéo en POV à laquelle je pense en contemplant une telle scène. Mes pensées se bousculent vivement alors que défilent dans ma tête de trop nombreuses images et compilations de gorges profondes… Je vois d’ici comme s’écartent les mailles de la résille sur ses cuisses larges, comme son décolleté s’ouvre encore sous mes yeux ébahis, comme ses formidables nichons bondissent et rebondissent, ne demandant qu’à sortir pour s’exhiber face au pervers que je suis…

« A-aah… oui. Allez-y, allez-y. P-prenez-en autant que vous voulez… »

Je soupire, me crispe d’un coup, lorsque la situation prend une tournure plus inattendue encore, quand bien même je l’espérais vivement. À la sensation de sa toute petite bouche qui vient se sceller d’un baiser tout contre mon gland massif je soupire et l’un de mes yeux se ferme d’appréhension comme de plaisir. Ses lèvres sont douces et humides… ça chatouillerait presque.

« HAN ! »

L’énorme pointe tressaute d’un nouveau bond quand cette intense vague de plaisir m’assaille, presque électriquement. Celle-ci sautille contre les petites lèvres fines, dont le rouge léger me marque indécemment. Je manque de défaillir en scrutant cette scène depuis l’écran de son téléphone qu’elle tient sur le côté, affichant un plan plus ou moins large de ce timide baiser qu’elle offre à une queue bien trop énorme en comparaison de son visage… Même si ce sont là des photos prises au téléphone, ô comme elles sont… sexy.

Mais lentement, le petit écran retombe, suivant le trajet de sa main qu’elle pose sur son genou et je ne vois soudain plus rien de cette scène, en photo du moins. L’autre suit le même parcours, trouvant la seconde rotule et… perdu, mon corps tout affolé, je ne sais plus que suivre du regard. J’aurais moi-même eu envie de prendre une photo de ce que j’ai sous les yeux, pour ne jamais oublier pareil panorama. À genoux sous mon sexe tendu, la vendeuse aux énormes lolos se tient là, telle une actrice soumise et bien obéissante au tout début d’une séquence de porno… voir ça en vrai, ça me fait quelque chose. Ma queue sautille et bouge encore, requérant son attention sur l’instant…

Et elle ne perd pas une seconde à se faire prier ou désirer. N’ai-je rien demandé que sa bouche s’entrouvre, pour qu’en sorte sa petite mais longue langue rose, qu’elle vient d’un coup presser contre l’énorme veine sous ma bite, presque à la commissure de mes bourses. Celle-ci humecte ma grosse queue et lentement, doucement, tout… doucement… la voilà qui remonte, centimètre après centimètre contre l’énorme veine boursouflée, qu’elle tâche de sa salive.

« ha-haaaa… haaaaaa oui… »

Depuis mon angle mort, j’aperçois maintenant comme ses yeux se sont ouverts et ne peux me résoudre à faire autrement que de joindre mon regard au sien, qui s’est d’un coup fait si chaud, tandis qu’elle me lèche la bite. C’est si vulgaire… que ç’en est juste incroyable. Je sens déjà comme mes couilles gonflent et pompent à cette simple vue, en cette seule sensation à peine. La vendeuse ne me regarde vraiment plus comme un client… ou bien, c’est que c’est une sacrément bonne vendeuse, d’une certaine façon… mais je comprends en tout cas, avant même qu’elle ne le prononce à voix haute, qu’elle aurait bien envie de m’en donner un peu plus.

Je ne sais pas bien ce qu’il me prend, mais alors qu’elle me lèche ainsi, en me regardant, j’ose et fais un pas, passant une main un peu fébrile dans ses cheveux. Mais ce n’est que de courte durée.

Mes pupilles se dilatent d’un coup à ses mots, et ma respiration ne s’en fait que plus forte, que plus intense et chaude. Pourquoi donc devrait-elle s’excuser ? Ce qu’elle est en train de me dire est plus que formidable. Cette bonnasse veut me sucer la bite !

Bien sûr que je me laisse faire lorsqu’elle me repousse de nouveau vers l’arrière. Le pantalon sur les mollets, j’écarte bien les jambes en me laissant tomber dans le fauteuil, pour lui donner tout l’espace qu’il lui faut… impatient de la laisser m’offrir ma première fellation, si c’est bien là ce qu’elle se propose de m’offrir. Le regard fiévreux, je l’observe s’installer, curieux mais presque en panique, à bout de souffle tandis qu’elle écrase ses grosses fesses au sol pour se trouver une place qui ne lui est pas trop inconfortable.

« B-bien sûr ! Tout c’que vous voulez, a-allez-y ! »

Les mains fermement ancrées aux accoudoirs, je me tords d’un coup d’un seul vers l’arrière en sentant déjà sa langue repartir à l’assaut. La salope ne s’est pas faite attendre et la revoilà déjà qui bave sur mon sexe, jusqu’à s’attaquer cette fois à mon gros gland, qu’elle avait jusqu’ici délaissé.

« haaaaaaaaan… hmm. HMM… ouiii… oui ! OUI ! Oh, c-c’est trop… trooop… HMMM aaaaah… AH ! »

Le ballet entamé par sa langue sur le bout de mon large sexe me rend dingue. Entre chatouille et vagues de plaisir électrisant chacun de mes sens, je me tords dans un sens puis dans un autre, incapable de lui dire ce qui me brûle les lèvres, de lui avouer ma folle envie de me faire sucer sur l’instant.

Beaucoup trop sensible, je ne peux plus que réagir, me tortiller, soupirer et gémir en profitant de ces sensations de lapements humides dont elle gratifie mon urètre palpitant. Sa langue balaye et chatouille chaque parcelle de cette zone découverte, fait bien le tour des reliefs de ce large bout… et d’une façon si experte pour un novice tel que moi, que j’aurais pu en hurler, si je ne me mordais pas les lèvres si fort.

« MMH… MMMMMH ! MMH-oui, OUI, OUIII… HAAAN, haan je vais, je… je viens, je viens… AAAH !

Déformé de la tête au pied par l’implacable choc que je dois à cette montée trop soudaine de mon plaisir, je me tords soudainement tel un désespéré, décollant mes fesses du cuir du canapé quand elles se serrent… Tout le bas de mon corps tremble. Je n’ai qu’à peine le temps de poser une main sur la tête de ma sulfureuse conseillère de vente, me cramponnant de l’autre au petit meuble, que tout mon bas-ventre vient à se contracter sous les spasmes qui me gagnent.

Ma queue tressaute encore et ripe contre sa langue, pour que mon gland finisse posé contre le bout de son nez quand mon urètre s’entrouvre une toute première fois. Aucun retour en arrière n’est possible et, quand bien même je le désirerais ardemment, je ne peux plus rien contenir, alors que je ne suis même plus en contact avec sa bouche délicate. Le râle qui parvient depuis le fond même de ma gorge est intense… tant qu’il aura sans doute été entendu dans tout le magasin, à n’en pas douter.

« MMMMOOOOOOOOH ! OUII, OUIIIIIIII »

De l’énorme conduit tremblant, se comportant dès lors comme le ferait une gigantesque lance à incendie que l’on ne tiendrait pas bien, s’échappe un premier jet, d’une épaisseur inédite, de ma semence. À bout portant tel que c’est le cas juste ici, le choc de l’impact se fait soudain et violent. L’énorme jet de sauce crépit dans un véritable déluge tout le haut du visage de la vendeuse, scellant ses yeux clos comme à coup d’une épaisse colle dans ses cils, marquant tout autant ses joues que la naissance de sa magnifique crinière au-dessus de son front.

Bien sûr je me recule un peu, tente de contenir l’impact de ce flot trop important de foutre qui s’échappe, alors que mes fesses se reposent dans le fauteuil… mais cela ne suffit guère, quand bien même j’empoigne la base de mon sexe de ma main libre.

Le bout de celui-ci continuant de vaciller à gauche, puis à droite, la seconde salve est quand même plus violente encore, malgré le fait que je me sois éloigné de ma cible involontaire de quelques centimètres. Le second jet lui explose quand même en pleine poire, éclaboussant ses cheveux et arrosant ce qui de ses narines n’avait pas encore été atteint. J’éjacule en quantité sur ses petites lèvres closes et explose assez pour que c’en déborde à grosses gouttes sur son menton. De son joli teint d’ébène, on ne voit déjà presque plus rien après deux jets seulement… et mon orgasme, intense, ne semble pas vouloir s’arrêter là.

« HHHMMM.. OOH O-OH… OOOOHAAAAN »

Pour parachever cette surprenante oeuvre, presque contemporaine, les trois jets suivants ne font que s’intensifier, tapissant ce si joli minois déjà tout maculé de ma purée… bien assez -ou trop- pour que le tout en vienne à couler en de grosses flaques épaisses tout contre sa face. Le fruit de mon extase est si épais, si lourd que ça coule, tombe en vitesse, sous l’effet de la gravité. De grosses gouttes ne cessent de tomber, encore et encore, pour s’écraser dans son décolleté, formant entre ses deux gros seins noirs comme une grosse mare de sperme qui colle à son t-shirt.

Lorsque les vannes se referment enfin, après cette extase du tonnerre, mon énorme queue retombe un tout petit peu, mon gland surplombant ses beaux nichons pour les tâcher de ces quelques gouttes de sauce qui perlent encore.

Au fond de mon siège, je reprends très difficilement mon souffle, constatant, bien désolé, le carnage que je viens de causer.

« Haa-haaa… haa c’était… c’est… je suis désolé, pardon ! J’ai juste pas pu… »
« Modifié: mercredi 27 septembre 2023, 15:49:53 par Takezo O. Mamoru »
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Aïe aïe äie

Laëlia

Dieu

Je découvre cette merveilleuse queue qu'il m'offre sur un plateau d'argent et me délecte d'en savourer les sensations qui courent, tant sur ma langue que contre mes mains. Je pense déjà à la manière dont je vais pouvoir remuer mes doigts ou le jouet que j'aurais choisi à ce moment là entre mes cuisses lorsque j'observe d'un sourire satisfait les photos qui apparaissent à l'écran de mon téléphone portable.

Celle de mes lèvres sur son gland est tellement excitante que je pourrais certainement la mettre en fond d'écran... histoire de repenser chaque jour à ce merveilleux engin avec lequel j'ai l'opportunité de m'amuser un peu.

Je suis d'ailleurs certaine que mon bel étudiant en profite aussi, mes coups de langue et mes caresses le crispe de toute part, il se laisse faire, obéissant, et se contente de laisser échapper de nombreux râle de plaisir qui témoignent du bien que je lui fais. J'aime beaucoup l'entendre presque gémir sous le traitement que je lui réserve et je profite du fait qu'il s'enfonce confortablement dans le canapé pour passer aux choses sérieuses.

Mes cuisses s'écartent et je tente d'ignorer le feu qui se répand entre elles, je me mets à le lécher, le suçoter avec de plus en plus d'entrain, aspirant son gland entre mes lèvres pour faire tournoyer ma langue sur son mas de chair. Je suis ravie de sentir le plaisir grimper en lui et sa belle queue palpite de plus en plus. Je le sens presque sur le point d'exploser et avant même que j'ai le temps de le faire pénétrer mes lèvres, il éjacule une quantité de foutre absolument incroyable !

J'ouvre grand la bouche pour tenter d'en avaler un peu mais le liquide épais et gluant vient maculer mon visage et ma poitrine, faisant glisser mon maquillage. Agréablement surprise pourtant je tire la langue lorsqu'il tente de reprendre le contrôle de sa lance à incendie en espérant qu'il arrive au moins à viser un peu ma bouche.

Mais il est totalement incapable de contrôler les choses et de nouveaux jets puissants viennent me souiller d'avantage, du sperme commençant à couler de mon menton tout blanc. Il s'excuse, le souffle court, et je lui adresse un sourire particulièrement coquin :

- C'est dommage tout ce gâchis... j'aurais adorer boire tout ton lait voyons... mais j'ai surtout très envie de te sucer la bite comme une petite chienne en chaleur... c'est tout l'effet que tu me fais... hmmm qu'en penses-tu si je la mesure directement avec ma bouche...? 

Je lui laisse quelques secondes de répit avec mes lèvres mais c'est ma main qui prend à nouveau le relais, mes doigts courant sur sa peau humide puis sur ses bourses encore pleine qui ont besoin d'être vidées... son épaisse bite est encore bien dure malgré les quantités qu'il vient de lâcher et j'ai bien l'intention d'en découvrir plus...

- Tu m'en as mis partout petit coquin...


Mon visage est totalement trempé et je dois frotter un peu mes yeux pour y voir à nouveau clairement, étalant un peu de mon mascara d'avantage encore. Ce spectacle doit me faire ressembler à une véritable petite salope et je dois bien avouer que cela me fait mouiller encore plus. D'un doigt, je viens récupérer du sperme accroché sur ma joue pour l'enfoncer entre mes lèvres et le suçoter goulument. 

- Hmmm absolument délicieux...

Mon tee-shirt est désormais complètement collé à ma grosse poitrine, à tel point que celui-ci en est presque devenu transparent. Je ne vois plus la nécessité de le garder hormis pour la décoration, alors je m'en débarrasse sensuellement, le faisant passer par dessus ma tête en déposant un peu plus de sa crème dans mes cheveux pour libérer mes deux seins aux pointes tendues, lui laissant le loisir de l'admirer certainement pour son plus grand plaisir.

Je vois bien que cela lui fait de l'effet en constatant que son engin se redresse d'avantage, et j'approche cette fois-ci mon buste de son bassin pour venir enserrer son mas de chair entre mes deux seins, le faisant doucement coulisser, ma peau parfaitement glissante et humidifiée par son propre foutre.

- Ils te plaisent...? J'ai bien vu que tu n'arrêtais pas de les regarder... Tu peux les toucher vas y...

J'avais très envie qu'il me touche et qu'il les agrippent pour les caresser, je voulais sentir sa bite s'exciter contre eux pour les recouvrir une nouvelle fois de son épaisse purée. Il était tellement imposant que son gland se retrouvait une nouvelle fois presque collé à mes lèvres, et je ne résistais pas, cette fois, à plonger ma bouche sur sa queue pour lui faire découvrir ma cavité buccale, entamant un long mouvement de vas et vient que je répète à plusieurs reprises.

J'entreprends une profonde fellation, resserrant au maximum mes lèvres autour de son chibre tout en tentant de l'avaler tant que je le peux au fond de ma gorge. Mais il est beaucoup trop bien membré pour me permettre de le prendre en entier alors je stimule la base de son sexe avec mes seins qui s'agitent contre lui.
 
« Modifié: jeudi 28 septembre 2023, 16:12:46 par Laëlia »

Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Si tout cela n’était qu’un rêve, alors je vous en prie, ne me réveillez pas.

Qui donc aurait pu croire que, de toutes les boutiques que j’aurais pu faire dans ces quartiers de la ville, je puisse tomber, par le plus grand des hasards, sur celle tenue par une telle chaudasse, amatrice d’énormes bites ? Et amatrice, le mot était encore bien faible.

À bout de souffle et surpris moi-même par l’énormité de mon orgasme soudain, je tentais à peine de m’excuser que la salope au bout de ma bite me lançait un petit sourire en m’avouant comme elle regrettait de ne pas avoir pu déglutir un peu de toute cette semence qui lui parsemait le visage. Elle en avait vraiment partout.
Mais si moi j’étais désolé de ne pas avoir su me retenir, il sembla évident que elle, ça ne la dérangeait pas du tout. Elle parut même excitée… et fière d’elle, de m’avoir fait juter comme ça.

La phrase qu’elle prononça juste après aurait pu me faire fondre…
J’y réfléchis un très bref instant, de peur d’avoir mal compris, ou bien d’avoir interprété les choses de travers, tant j’étais moi aussi excité mais, bien cramponné aux accoudoirs de mon siège, je finissais par acquiescer vivement de quelques mouvements de tête… sûr qu’elle venait de me dire qu’elle crevait d’envie à l’idée de me faire une fellation. Une vraie, cette fois.

« Hin hin… Sérieusement ? Eh bien… c’que vous voulez. Bien sûr.»

Quelle étonnante jeune femme que cette vendeuse. Se rendait-elle compte, au moins, que jamais personne ne m’avait dit ou fait ce genre de choses de toute ma courte vie ?
Quand bien même venais-je de jouir que cette seule petite phrase placée comme ça suffit à me redonner quelque raideur.

Hyper-sensible comme je le suis encore, je frissonne quant à sa parole elle joint le geste, frictionnant mes larges bourses encore bien pleines. Mes yeux ne peuvent plus décrocher d’elle, comme de ses gestes aguicheurs… ceux-ci grands ouverts, j’observe même, stupéfait, comme est épaisse cette couche de mon onctueuse crème qu’elle ramène de sa joue jusqu’à sa bouche. Sans un mot, je la regarde racler, puis suçoter longuement ce doigt recouvert de mon foutre, qu’elle lèche et aspire bruyamment jusqu’au fond de sa gorge.

Je ne dis rien, mais bous de l’intérieur, ébahi.
Pour la toute première fois, une femme m’a fait jouir… et celle-ci se régale désormais même, en avalant mon sperme. Je crois rêver, ou bien devenir fou, tant cette scène a tout d’un film.

De toutes, celle-ci c’est clairement la bonne… et j’aimerais en profiter un maximum.

« Elle est… toute à vous, si vous la voulez dans la bouche. »

Je me mordille, me lèche les lèvres d’impatience en me rapprochant un peu, quittant mon dossier. Ses bras se croisent sous son t-shirt, et celui-ci monte d’un coup… soulevant ces deux gros globes appétissants, qui lourdement retombent en balançant. Oh putain… La vendeuse fait encore grimper la pression en exhibant sous mon nez ses deux énormes nibards ronds, qui bondissent et pendouillent comme deux énormes pastèques noires, gonflées aux hormones. Ils sont… gigantesques, magnifiques… tout simplement bandants.

Je n’en reviens clairement pas et suis bien incapable de calmer mes ardeurs, quand ses petites mains passent sous ses obus pour les soupeser et les soulever, avant qu’elle ne les laissent reposer sur mes cuisses écartées. Mes mains n’ont jamais effleuré la moindre paire de seins qui soit que ceux-ci, tout juste parfaits, viennent se reformer en un étau tout chaud et tout moelleux tout autour de ma grosse queue. Soufflant comme un buffle, voilà que je me retape une érection à en faire pâlir les taureaux eux-mêmes.

M’avançant encore un peu, les muscles de mon bas-ventre se bandent durement tandis que je me contorsionne, les mains grandes ouvertes, déjà prêtes à partir à la découverte.

« C-c’est vrai je… je peux ? »

Comme un enfant, le sourire aux lèvres, j’appose l’empreinte de mes deux grosses mains sur les côtés de ses belles mamelles pour venir les pétrir avec lourdeur. Les malaxant tendrement, je les pèse, les soupèse et les écrase tout contre ma bite si chaude… et mon bassin se met à bouger de lui-même, au moment même où la petite bouche de la vendeuse s’ouvre très grand pour gober mon gros gland.

« H-haaaaan ! »

Je lâche subitement l’un de ses seins pour enserrer fermement l’un des accoudoirs, bien trop surpris par ce flot de sensations nouvelles et divines qui parcourt tout mon être. Sa petite bouche m’aspire, sa langue court tout autour de mon gland, tourne… fouette et lèche, lape et boit les quelques gouttes de mon foutre qui restaient là… et elle m’enfonce, m’enfonce… encore… et encore…

Pressant sur ses gros seins, j’avance et recule, coulisse longuement dans l’interstice entre eux, comme s’il s’agissait de la raie de son énorme cul que je me prenais à imaginer… fantasmant sur l’idée de le baiser si fort.

« Hhaa oui… mmh… i-ils sont… waw… m-magnifiques… est-ce que je peux les… les baiser, comme ça ? »

Les malaxant dans un sens, puis dans un autre, j’ondulais peu à peu du bassin, cherchant des façons toujours plus érotiques et sensuelles d’insinuer mon chibre entre ses deux gros nichons.
Dans les vestiaires (NSFW)
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