Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Laëlia

Dieu

Mais quel plaisir d'être tombé sur pareil étalon. C'est que je suis tout particulièrement ravie qu'il ai décider de venir aujourd'hui dans ma boutique et que je ne peux pas laisser pareille occasion filer non sans en avoir profiter au maximum auparavant.

J'adore sentir son énorme queue se tendre entre mes seins et palpiter dans ma bouche et je frémis de plaisir en le sentant prendre en mains mes deux gros obus tandis qu'il me confirme que je peux faire tout ce que je veux de lui. Je le pousse d'ailleurs à y aller pour de bon et hoche la tête lorsqu'il me demande la permission pour se mettre à malaxer mes seins autour de son chibre qui a repris fière allure et qui s'allonge à nouveau sur plus d'une quarantaine de centimètres.

C'est que je frétille déjà à l'idée de l'accueillir entre mes cuisses même si je sais que je vais devoir prendre le temps de le recevoir pour profiter au maximum des sensations qu'il est susceptible de m'apporter... mais pour l'instant c'est bien lui qui semble découvrir de nouvelles sensations ! Je gémis lorsqu'il se met à coulisser de haut en bas entre mes seins, libérant son gland de la pression de mes lèvres un instant pour lui glisser :

- Oh oui baise les comme tu veux... n'hésite pas à faire tout ce dont tu as envie...

Et je plonge à nouveau sur sa belle bite pour me mettre à l'astiquer avec plus de vergogne encore. Sa queue coulisse entre mes lèvres serrées et je me régale de le dévorer, tentant de l'enfoncer de plus en plus profondément à chaque aller-retour... toujours agenouillée entre ses cuisses, je viens déboutonner mon short d'aguicheuse d'une main pour glisser mes doigts sous mon string désormais trempé. Je lui laisse l'occasion d'apercevoir d'ailleurs l'ébauche de celui-ci, n'y tenant plus.

- Hmmm... tu m'excites beaucoup... je mouille comme une folle à cause de toi Takezo...

Je prononce son nom presque dans un murmure au moment où j'enfonce deux de mes doigts dans mon antre pour me mettre à les agiter avec envie, gémissant pour de bon cette fois-ci alors qu'il peut constater à quel point l'excitation déforme mon visage encore trempé du sperme déposé quelques minutes plus tôt.

Sa queue tellement imposante déforme elle aussi ma bouche et je fini même par l'accueillir dans ma gorge pour lui faire découvrir de nouvelles sensations plus intenses encore. Je le garde au chaud ainsi pendant de longues secondes, tant que le peux en tout cas avant de le libérer à nouveau en souriant.

- Si tu me donnes encore plus de sperme... je te laisserai me prendre la chatte et m'ouvrir le cul... hmmm qu'en dis tu ?

Nous étions entrain d'atteindre le point de non retour et la petite vendeuse aux allures calmes laissait place à la vrai salope avide de sexe qui rêvait de se faire démonter de tous les côtés. J'étais persuadé que le beau garçon avait la tête pleine de fantasmes et j'avais bien envie de tous les réaliser un par un. Je voyais dans son regard qu'il n'en revenait pas de ce qui était entrain de lui arriver et j'étais ravie de lui offrir l'opportunité de découvrir ce qu'était le corps d'une vrai femme en feu...

Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Comment ne pas défaillir face à de telles propositions ? Face à de tels… arguments ?
Réduit à mon très simple état de jeune mâle en rut, je peine chaque seconde un peu plus à contenir toutes ces envies qui sont les miennes, celles qui… ne sont généralement pas avouables à une femme que l’on vient de rencontrer.

Ma toute première expérience d’une poitrine de femme est… tout bonnement extraordinaire, exquise. Tout ce dont j’aurais bien pu rêver si ce n’est plus, à vrai dire. Faut dire aussi que la vendeuse a de gros, très gros pare-chocs. Posés ainsi sur mes cuisses, aussi énormes qu’ils sont, c’est fou ce qu’ils paraissent lourds. Tendres, souples et moelleux à souhait, ils forment un écrin tout juste parfait pour mon sexe qui les martèle fort… et heureusement, ils sont même assez gros pour que je m’y enfouisse bien. N’en dépassent que quelques bons centimètres, tout juste assez pour que ma charmante compagne m’offre à la fois pipe et branlette espagnole.

Soupirant toujours plus fort toute mon aise et mon plaisir, je suis aux anges, déjà accro à ces sensations en tous points meilleures que tout ce à quoi j’ai pu m’adonner, seul.

Emporté par mon propre élan de luxure, je ne manque pas de sourire intérieurement à la réponse qu’elle me donne quant à mon envie de baiser ses deux gros seins comme s’il s’agissait là de son cul, auquel je m’attaquerais tel un sauvage. Les prenant à pleines mains, je m’y agrippe bien, les soupèse et les touche encore et encore, parcours toute leur rondeur, tandis que tout le sperme qui coule encore entre eux facilite mes va-et-vient. Attrapant ses tout petits tétons entre mes pouces et index, je les presse doucement, amplifie l’allure et la force de mes coups de reins pour bien enfourner ma grosse bite entre ses deux obus…

Les yeux fermés, rivés en direction du plafond, je m’agite, donne des coups de plus en plus grands, de plus en plus secs, frappant l’arrondi parfait de ses nibards à grands coups de mes bourses qui claquent et rebondissent dessus. L’écouter gémir, l’entendre me dire comme elle se sent excitée, tout comme j’entends les bruits humide de succions se répandre dans la pièce… tout ça me conforte, m’émeut, alors que je m’imagine déjà dans son gros cul.

D’un bond je me redresse pour prendre un bien meilleur appui, et sans même plus faire attention à quoique ce soit autour de nous, me voilà debout, un pied posé sur l’accoudoir, à purement et simplement malmener ses gros seins en m’imaginant en train d’enculer la vendeuse. Ma bouche se tord en soupirs et gémissements intenses… j’ai envie de me retenir… mais à la fois tellement envie de continuer. Mes hanches bougent toutes seules. La sensation de mon gland qui entre et sort de sa bouche me fait fondre, comme celle de sa langue qui me titille me fait frissonner à chaque fois.

J’ai du mal à séparer fantasme et réalité. Les yeux ainsi fermés, j’imagine tellement de choses… alors j’en dis d’autres, sans même prendre conscience que je le fais à voix haute.

« MmmH… a-ah… ah… hhmmm, ça t’plaît, hein ? T’aimes ça pomper des grosses queues, salope… HOO ! H-ha-aaaaaah… »

Rouvrant les yeux sans même me rendre compte de ce que je viens de lâcher, je ralentis peu à peu… à bout de souffle et bien trop près d’une nouvelle extase.
Mais à peine ai-je lâché ses seins que la vendeuse reprend ma queue en main, la soupèse pour la guider un peu plus loin dans sa bouche. Debout devant elle, la jambe levée, je l’observe les yeux écarquillés, de surprise, quand elle en vient à me gober plus loin… et plus loin encore.

Couvrant ma bouche d’une main pour retenir un hurlement trop brusque, je me sens entrer, coulisser longuement… et vois aux traces de rouge à lèvres déjà laissées sur ma bite qu’elle est sur le point de battre son propre record tandis que les centimètres défilent.

La bouche ouverte plus grand que jamais, elle me pousse un peu, vers elle, pour m’aider à coulisser encore un peu plus. Plus de la moitié de mon gros chibre est entré dans sa bouche, déformant grossièrement sa si petite gorge. Me regardant droit dans les yeux, elle me laisse là un moment… un long moment…

« H-haaa… hannnn… »

Mais, comme si une telle prouesse n’avait même pas suffi à lui couper le souffle, la voilà qui sourit, en m’adressant cette phrase… cette phrase…

Tout doucement, je hoche la tête, réfléchissant en même temps à tout ce qu’elle vient de me dire, prenant difficilement conscience du fait qu’elle me propose, en échange d’encore un peu de mon sperme dans sa bouche, de prendre ma virginité… et peut-être même d’aller lui enfiler ma grosse chose dans chacun de ses trous. Ce truc énorme… dans son cul.

Guidant mon sexe d’une main jusqu’à ses lèvres encore entrouvertes, j’impose mon gros gland dans sa bouche en lâchant un profond soupir, tandis que je tremble, plus excité que jamais.

Posant mes mains derrière sa tête, je la guide, comme pour mener cette nouvelle fellation qu’elle semble désirer tout autant que moi.

« Bon appétit. »

Poussant doucement sur sa tête aussi lentement que s’avancent mes hanches, je fais coulisser ma queue entre ses lèvres, tentant d’en revenir ) ce point où elle avait réussi à me faire entrer, quelques secondes plus tôt.

Lentement, je ramone… râlant de plaisir en écrasant sa langue toute baveuse de tout le poids de ma grosse bite.
Me servant d’elle comme d’une pompe bien humide, j’y vais toutefois bien doucement et avec précaution, profitant de chaque petit morceau de ma peau qui entre en contact avec sa belle cavité à pipes.

« aaaah… Haaa… sucez-la bien… comme ça, oui. J’vais vous la mettre comme ça… »

Sans plus tarder, le plaisir croît et monte. Malgré la douceur de ces caresses, la chaleur grimpe et mon corps bout. La sauce monte et je me sens… électrisé.

« Haa… haaa… ça va… ça va venir. Ça vient… h-aa-HAAA… A-avalez tout… av-… haaa ! HMMMM »

Ma main posée sur l’une de ses joues, j’extirpe ma queue de son gosier pour ne plus laisser tremper que mon gland au creux de sa petite bouche. Reposant contre sa langue. L’enfonçant un peu pour déformer son autre joue, par jeu, je donne de petits coups involontaires alors que de nouveaux spasmes m’assaillent déjà. Sur la pointe des pieds, je m’astique furieusement…

Et se déversent de nouveaux flots incessants de mon foutre, qui en un premier jet à peine, gonflent sa petite bouche à l’excès.

Dans la bouche de notre petite salope de vendeuse tremble et tressaute de nouveau l’énorme lance à incendie, palpitante, qui ne cesse de déverser en elle d’astronomiques quantités de semence.
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Aïe aïe äie

Laëlia

Dieu

Le jeune adolescent semble peu à peu dériver sur la pente glissante du chemin de la luxure et il s'y enfonce allégrement à mesure que ses mouvements se font de plus en plus vif et décidés. Je le sens s'imposer et s'abandonner au désir qui l'envahit pour oublier toute forme de délicatesse ou de politesse. Et je doit bien dire que cela me plait beaucoup.

Ses mains sur mes seins s'enfoncent et les agrippent pour les malmener au rythme de ses vas et vient qui ne cessent de gagner en intensité. Je vois bien que l'étau de ma poitrine qui comprime son énorme chibre lui procure des sensations incroyablement délicieuses et qu'il compte bien profiter de chaque aller retour pour s'y enfoncer avec encore plus de force.

L'excitation me gagne encore d'avantage lorsque je constate à quel point il prend son pied et les mouvements de mes doigts dans mon antre terriblement humide s'accélèrent à leur tour pour me tirer d'intenses soupirs de plaisir, tandis que j'imagine l'énorme queue que je suis entrain de sucer s'enfoncer à la place de mes doigts pour me faire hurler comme jamais.

Je le sens palpiter et presque défaillir lorsque son sexe gigotte contre ma langue et qu'il me traite enfin comme ce que je suis vraiment : une véritable salope qui adore pomper des grosses queues comme la sienne. Je hoche la tête et lui lance un regard brulant lorsqu'il rouvre les yeux pour lui faire comprendre à quel point il a raison et je frissonne sous une nouvelle vague d'excitation lorsqu'il pose ses mains derrière ma tête pour m'imposer le rythme de cette nouvelle fellation.

Me laissant guider avec plaisir ma bouche coulisse de plus en plus loin sur son incroyable sexe et je mouille encore d'avantage lorsqu'il utilise mes lèvres et ma langue pour se faire plaisir comme il l'entend. Si je n'étais pas aussi occupée j'aurais probablement pris quelques nouveaux clichés de cet instant délicieux, moi à genoux entrain de me faire baiser la bouche par cet étudiant aux abords si timides qui semble désormais bien décider à se servir de moi comme un animal en rut.

-Hmmmpf... trop bon...

Et voila qu'un nouveau ras de marée m'assaillit et que ma bouche est en quelques secondes inondée d'une nouvelle quantité astronomique de son sperme. Je peine à tout avaler et quelques goutes s'échappent de ma bouche pour glisser le long de mon menton et les jets de foutre se succèdent comme s'ils ne semblaient jamais prêts à s'arrêter.

Je fini néanmoins par libérer sa queue lorsqu'il a terminer de vider ses couilles et déglutit une dernière fois le sperme encore présent dans ma gorge. Je lui administre quelques délicats couts de langue pour le nettoyer proprement avant de lui adresser un sourire qui en dit long sur mes intentions quant à la suite des évènements.

- J'ai adoré pomper ton énorme queue... hmmm un vrai régal...

Retirant mes doigts qui ont finalement cesser de gigoter en moi, je me relève pour me mettre face à lui, mes seins désormais libre de toute entrave se balançant au rythme de mes mouvements. Je me sépare de mes chaussures et tire sur mon short pour le faire glisser jusqu'à mes chevilles afin de me retrouver simplement en bas résilles et en string. Joueuse, je viens également glisser mes lèvres dans son cou pour y passer sensuellement ma langue. Je lui murmure alors :

-  J'ai très envie que tu t'occupes de moi maintenant... et j'ai bien envie de voir jusqu'où tu peux la rentrer...

Provocatrice, je me recule légèrement et vient m'asseoir à mon tour sur le canapé, à côté de lui, écartant les jambes pour venir faire un trou dans mon collant en résilles, décalant suffisamment mon string pour lui offrir une vue pleine sur ma vulve trempée.

- Regarde dans quel état tu m'as mise...

Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Un gamin turlupiné par son gigantesque mais inassouvi appétit de chair aurait-t-il pu rêver mieux ? Tomber sur une véritable nymphomane adoratrice de gros calibres relevait du fantasme, du genre de ceux que l’on s’imagine mais qui ne prennent vie que dans nos têtes seulement… et pourtant, voilà bien ce à quoi avait droit Takezo, qui s’apprêtait à faire l’expérience d’un décoinçage en règles.

Les yeux rivés dans ceux de l’étonnante petite vendeuse, il s’astiquait furieusement à l’aide de sa grosse main, et finissait de faire reluire son gland aux proportions exagérées au creux de ces belles lèvres pulpeuses mais grandes ouvertes rien que pour lui. Pris de spasmes, il n’avait de cesse de se raidir et de se raidir encore, à l’image de ses deux énormes bourses qui gonflaient et gonflaient, pour que gicle leur épais contenu.

De la même façon, les joues de la caissière, déjà bien remplies par l’énorme sexe du garçon, s’arrondissaient encore, prêtes à exploser sous l’effet de la trop importante quantité de semence qu’il libérait en elles. Mais par je-ne-sais-quel miracle, ou par la force de l’habitude peut-être, celles-ci se dégonflaient aussitôt, avant de reprendre du volume la seconde d’après. Contractant sa gorge experte, la jeune femme pompait, pompait et pompait encore, avalant par lampée, à chaque nouveau jet de foutre, ce que dix hommes normalement constitués auraient bien pu lui jouir au visage.

Quelques épaisses gouttes débordèrent évidemment, coulant abondamment jusqu’à la pointe de son joli petit menton… mais quel exploit malgré tout. Une telle expertise du bukkake était-elle seulement normale ? Qu’importe après tout. Devant un tel spectacle, le garçon, plus excité que jamais, ne pouvait en revenir… à bout de souffle après avoir tant éjaculé, et ce pas une, mais bien deux fois, il bandait encore, raide comme un taureau, tant cette belle nymphe à gros cul semblait lui promettre monts et merveilles, au moins pour les quelques prochaines heures à venir.

Ce qu’elle lui dit en se relevant, sans même sembler éprouver ni fatigue ni difficulté l’aida d’ailleurs en ce sens. Se défaisant de son ridicule et tout petit short pour en faire jaillir un postérieur plus imposant encore vu comme ça, celle qui n’avait pas encore fini d’avaler son copieux déjeuner lui avait encore balancé, de but en blanc, comme elle avait aimé ça…

Tandis que Takezo se tournait pour la laisser prendre place sur l’étroit fauteuil, détaillant du regard l’impressionnante largeur de ces hanches faites pour enfanter, celle de ces cuisses, débordant de part et d’autres de ces affriolantes résilles… il déglutit, tout en cherchant son souffle, la contemplant, debout qu’il était, la bite à l’air, levée bien haut et toute dure, comme une grosse bûche, de celles que l’on se partage au moins à dix tant il y a à bouffer. Toute luisante de salive, couverte de traces de rouge à lèvres, marquant ça et là l’impressionnant record de gorge profonde qu’avait dû battre la jeune femme à l’instant…

Hésitant, le garçon avait quand même bien envie de la poser, sa question.

« … e-est-ce que… je pourrais passer me faire sucer, de temps en temps ? »

Mais n’avait-il pas encore obtenu de réponse que les gestes suivants de la belle à la peau d’ébène, quoique déjà bien maculée de blanc, vinrent le ramener au moment présent. Écartant grand les cuisses, la belle tentatrice venait de poser ses mollets sur les accoudoirs du fauteuil en guise d’invitation à son encontre. Sa grosse raie enfoncée dans le cuir du siège, le string écarté… la jeune femme n’avait pas tardé une seconde pour faire un trou béant dans ses dessous sexy, à l’endroit où Takezo, à en croire ses mots, devait venir la lui mettre.

Lui souffla fortement, tentant de rassembler ses esprits, alors que tout se bouscula d’un coup dans sa tête. Il allait le faire. La baiser, la déglinguer… et dès lors qu’il la lui aurait mise, il ne serait plus vierge. Plus jamais. Peut-être même qu’il n’aurait plus jamais à s’en faire quant à la taille démesurée de son engin… au moins pour un temps, peut-être aurait-il la chance de tringler cette beauté régulièrement. Que cela se fasse ou pas, au moins, il s’assurerait de rendre cette fois-ci mémorable. Autant pour elle que pour lui, assurément.

Hochant doucement la tête, toujours debout, il se pencha et posa ses mains sur les accoudoirs cerclant le fauteuil. Lâchant l’un deux, il remonta doucement, posa ses doigts sur l’une des cuisses de sa partenaire de fortune, jusqu’à remonter encore pour attraper sa cheville, bien haut, l’attirant à lui pour qu’elle vienne reposer sur son épaule. Il fit pareil de la seconde, puis la lâcha pour enfin agripper son gros engin, qui reposait du bas-ventre de la vendeuse, jusqu’à la base de son sternum, côtoyant encore ses beaux et gros lolos.

Posant un pied au bord du siège, il se hissa pour prendre un peu de hauteur, et vint enfin nicher son gland à l’endroit où ce dernier devait finir. Plus ou moins. Tirant l’énorme saucisse en direction de ce trou formé dans les bas de la belle, il la frotta longuement, marquant de son gros gland la belle raie de son cul, qu’il écarta curieusement, remontant de bas en haut, puis allant de haut en bas. Putain… le cul de la donzelle était si gros que, sans même entrer en elle, il pouvait déjà enfouir son gros gland bien au chaud entre ses fesses toutes rondes.

Se branlant un instant dans sa belle raie, à la recherche de ce trou qu’il lui fallait encore trouver, le garçon soupira déjà, réchauffé par la somptueuse vision qu’il avait, se promettant d’immortaliser celle-ci dans son esprit.

Son gros sexe remontant encore, il put enfin sentir, quand bien même il n’était pas bien sûr de lui, qu’un creux bien humide semblait l’accueillir, le happer. L’énorme pointe, d’une douzaine de centimètres de diamètre, vint doucement s’enfoncer, tout près de ces belles lèvres charnues et trempées… mais s’enfonça à peine. L’énorme chose, malgré tout ce lubrifiant naturel, peina à entrer et, enfin convaincu d’avoir trouvé le chemin de sa chatte, le garçon, prenant meilleur appui, se mit à pousser.

« Oooh »

Serrant les dents, Takezo poussa fort.
Attrapant fermement les jolies gambettes de la jeune femme, posées sur son épaule, il y mit de son poids, de sa centaine de kilos de muscles pour pousser de ses hanches, comme un joueur de rugby, pour faire entrer en force son gigantesque gourdin.

Ça y est, la pointe de l’énorme sexe était enfin en elle, accompagnée de quelques premiers centimètres à peine de ce gigantesque phallus, qui peinait à se faire une place, malgré l’excitation des deux amants. Soupirant bien fort, le garçon leva les yeux d’extase, puis se mit à tamponner la caissière, tout doucement, tentant toujours d’entrer plus encore…
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Aïe aïe äie

Laëlia

Dieu

La timidité semble finalement s'être totalement envolée pour laisser place à l'homme sauvage incapable de résister à l'envie de tringler une femme en chaleur comme moi. J'ai bien du mal à engloutir toutes les quantités de sperme qu'il déverse entre mes lèvres et quelques goutes s'échappent inévitablement mais je parviens tout de même à avaler d'importantes quantités qui, même pour moi, sont plutôt inhabituelles.

Tandis que je me déshabille un peu plus et que sa queue reprend toujours autant d'ampleur, je ne peut empêcher un large sourire de déformer mon visage lorsqu'il me demande si il pourra passer se faire sucer régulièrement. Je hoche doucement la tête avant de lui dire :

- Tu peux passer quand tu veux... j'ai pas beaucoup d'occasion de sucer des queues aussi énorme... je risquerai de ne plus pouvoir m'en passer.

Et d'ailleurs, j'avais déjà du mal à me retenir de ne pas venir m'empaler directement entre ses cuisses tant l'envie de le sentir s'enfoncer entre mes chaires était présente. Je n'étais même pas certaine d'être capable de l'accueillir aussi facilement que ce dont j'en avais envie mais il n'y avait qu'un seul moyen de le savoir, c'était d'essayer ! Et j'en mourrais d'envie.

Alors lorsqu'il vient s'installer près de moi pour redresser mes chevilles et les poser sur ses épaules, je ne peut m'empêcher de frissonner longuement d'excitation. Son sexe, incroyablement long vient se loger jusque entre mes seins avant de disparaître pour se faire stimuler entre mes grosses fesses avec lesquels il s'amuse à se branler.

J'ondule un peu du bassin et il vient naturellement glisser jusqu'à mon orifice terriblement humide, tandis que je prends une petite inspiration lorsqu'il se décide à s'enfoncer en moi. Je l'encourage d'une voix fébrile en baissant légèrement la tête pour observer son gland disparaître doucement à l'intérieur de mon vagin.

- Oh oui vas y... baise moi Takezo...

Tout mon corps se tend sous cette pénétration beaucoup trop imposante et je sens mon orifice se dilater sur son passage, je gémis pourtant mon plaisir de me sentir enfin pleine de cette belle bite et ferme les yeux quelques secondes pour en savourer chacune des sensations exquises. Mes capacités divines me permettent certainement d'encaisser le choc comme il le faut et je m'accommode rapidement à ses mensurations inhabituelles.

Rapidement, je commence à réclamer plus, et je viens poser mes mains sur mes seins pour les stimuler sous ses yeux, titillant mes pointes dressées que je fais rouler entre mes doigts.

- J'adore ta bite... vas y enfonce toi...


J'adore sentir son énorme queue coulisser en moi et ma respiration devient de plus en plus haletante. Je viens finalement enchainer mon regard brillant de désir ou sien pour lui faire comprendre à quel point j'aime cette petite sauterie.

Takezo O. Mamoru

Humain(e)

Alors que le voilà penché au-dessus de la jeune caissière, blotti entre ses larges cuisses et le pantalon aux chevilles, la respiration du garçon se saccade soudain, se fait plus difficile, alors qu’il pousse si fort pour loger en elle son gros engin.

Les mains fermement agrippées à ces belles gambettes de femme, comme pour les écarter plus encore et les tenir bien haut, il s’enfonce. Doucement, lentement et par petits à-coups. Faiblement, pour qu’on ne l’entende pas, il gémit, grince presque des dents sous la pression. La sensation de ces chairs chaudes et humides enveloppant et caressant son énorme gland le rend dingue. C’est si bon…

Un petit bruit de succion résonne alors. Ça y est. Ce… « plop » marque le coup d’envoi, se fait signal, en quelque sorte. Huit ou neuf premiers centimètres l’ont déjà pénétrée sur la longueur… et il ne s’agit là que de son gland, massif et triomphant. L’épaisse tête enfin entrée, ne reste au garçon qu’à enfourner sa grosse tige.

Dans un râle, il pousse… soupire.
Forcé par la trop épaisse pointe de son mandrin, l’accès très étroit à cette belle petite chatte se facilite. Takezo n’a qu’à pousser encore un peu, plus fort encore, pour que les contours veineux de son bel organe viennent imprimer leur forme et leur contour si loin en elle.

« Mmf… mmmAah… haa… c’est si chaud… »

Le souffle court, le jeune homme ne loupe pas une miette de ce petit spectacle auquel s’adonne sa partenaire, dont le bas-ventre se gonfle déjà tant il la remplit.

Empoignant l’un de ses beaux et gros melons avec lequel elle joue pour attiser en lui un brasier, il le porte à sa bouche comme un affamé. Rendu complètement fou d’amour et de plaisir par ce merveilleux supplice du pal auquel il la soumet, il suce, lèche, mordille et baise ce gros nichon sans la moindre once de gêne ou de honte, la dévorant goulûment. Comme par gratitude, le garçon s’applique, telle qu’elle-même s’était si bien appliquée pour lui pomper le dard.

Un petit sourire malin se dessinant aux commissures de ses lèvres, il lève alors doucement la tête et ancre son regard à celui de la belle.

« J-je crois que j’adore la chatte… »

Se redressant dans un nouveau soupir, l’ado se relève comme il le peut tout en gardant sa si confortable position. Se mettant malgré lui à onduler de bassin, par jeu purement inconscient, le voilà qui entame quelques longs et lents va-et-vient. Sa belle grosse queue s’enfonce, fore cette si petite chatte et la fait enfler au passage. Il s’amuse, la regarde disparaître et se prend au jeu d’essayer d’en mettre chaque fois un peu plus, pour la ressortir toujours plus chaude, raide et trempée.

Son joli boudin blanc gonfle et palpite. Les gémissements de Takezo s’amplifient à présent. Il commence enfin à en prendre conscience : il baise.

Ramonant, insinuant en elle son gros engin sur déjà vingt bons centimètres au moins, un rythme de croisière s’installe. Ça y est, ça glisse bien. Il peut la démonter, prendre son pied comme un dingue, comme une bête.

Ses grosses mains glissent tout contre ce corps tout fait de voluptés et de courbes généreuses. Ses doigts glissent entre les maillons de ces bas résilles avec lesquels la belle aguichait, s’amusait à allumer ses clients. Sans plus ressentir le besoin de demander la moindre permission qui soit, il agrippait ce cul énorme, si ferme et pourtant si dodu, si large. Il trouvait sa peau si douce…

« J’veux qu’on le fasse par derrière. Vot’ cul est beaucoup trop beau… »

Plus confus, mais toujours sur sa lancée, le garçon continua, un peu plus bas.

« Et… j-je… est-ce que vous voulez bien continuer à dire des trucs comme ça. Sur ma bite et… enfin, tout ça. Je… je crois que ça m’excite quand vous jouez la salope. »
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Laëlia

Dieu

Ce qui est une véritable découverte pour Takezo est une chose à laquelle je suis déjà bien habituée. Les plaisirs sexuels sont nombreux et j'ai la chance de pouvoir pratiquer régulièrement. Je ne sais pas comment je serai sans, d'ailleurs. Mais je dois bien avouer que les mensurations de l'adolescent, ça c'est une première.

La sensation de me sentir pleine lorsqu'il commence à me penetrer est vertigineuse et je suis tellement excitee que je prends mon pied. Pourtant, à mesure qu'il s'enfonce, je sens bien que le passage à du mal à se faire, même pour moi. Je fais appel à mes capacités divines pour m'aider à amortir le choc mais lorsqu'il se fraye un passage plus loin et qu'il commence à bouger, j'ai l'impression que tout mon corps est secoué.

Je continue à me caresser pour maintenir mon état d'excitation à son maximum mais j'ai du mal à encaisser ses assauts sans ressentir un peu d'inconfort voir même de douleur. Alors lorsqu'il me parle de passer par derrière, j'attrape ses hanches pour l'inciter à ralentir le rythme, enchaînant mon regard au sien.

Je vois bien à quel point ce plaisir nouveau et intense est divin pour lui, je peux parfaitement ressentir la manière dont il s'épanouit et jubile de se débarrasser enfin de sa virginité. Mais il va falloir qu'il garde à l'esprit qu'il ne faut pas bruler les étapes sans quoi il risque de me casser en deux.

- Je sais que t'adore ça... mais il va falloir y aller doucement... je suis pas certaine que mon cul soit capable d'endurer ça...

Je pouvais toujours tenter, mais au risque qu'il ne puisse plus rien utiliser du tout chez moi. Et je comptais quand même préserver un peu mon derrière. J'avais déjà du mal à l'accueillir convenablement entre mes cuisses... je reprenais cependant, le sourire aux lèvres.

Quant à mes petits mots doux... ça ce n'est pas un problème.

Je viens lui susurrer au creux de l'oreille :

- Car je ne joue pas la salope... j'en suis certainement une.

Avant de pousser un peu sur son bassin pour l'inciter à reculer légèrement, histoire de faire sortir quelques centimètres pour retrouver un peu de confort.


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