[Terminé] Une façon radicale de se découvrir (Pv. Tani Rei)

(PoV : Mio, l’une des nombreuses filles de Yor !)

« C’est bon pour aujourd’hui, vous pouvez rentrer chez vous. Mio, c’est à ton tour de ranger le matériel. »

Le coach siffle un coup dans son sifflet et marque ainsi la fin de l’entraînement de volleyball.
Je soupire, exténuée. Si je m’étais souvenue que c’était aujourd’hui que je devais m’occuper du rangement, j’aurais clairement moins fait d’effort ! Ça risque de me prendre un certain temps pour ranger tout ça…

Pendant que les autres prennent leurs douches et rentrent chez eux, je fais le tour de la salle pour récupérer les ballons. Pourquoi on en utilise autant ? Vraiment… je me console en me disant qu’au moins, personne ne m’attend à la maison. Mes parents adoptifs ne s’occupent plus vraiment de ce que je fais depuis quelques années, trop accaparés par les autres gamins qu’ils ont adoptés. Et il parait que du haut de mes dix sept ans, je suis bien assez grande pour m’occuper de moi et tout le tralala.

Je balance le dernier ballon dans le bac et le pousse dans le local de rangement. Le plus facile est fait ! Maintenant, les poteaux…

Alors que je détache le filet, tout un flot de questions me traversent l’esprit. Ca m’arrive souvent ces derniers temps, mais je suppose que c’est normal.
Je me demande qui sont mes vrais parents, ceux qui ont décidés de m’abandonner.
Et je me demande aussi comment je serais si ça n’avait pas été le cas. Est-ce que j’aurais eu la même éducation ? Je n’en suis pas sûre… peut-être que je serais comme ces filles qui couchent à droite à gauche ?

Je fais la moue en y pensant, bien consciente que l’éducation un peu stricte que j’ai reçue m’a clairement détournée de cette voie. Bon, le coup de rester vierge jusqu’au mariage c’est quand même un peu trop… mais j’ai pas l’intention de m’offrir à n’importe qui ! On ne rigole pas avec ça comme dirait Mère.
Et pourtant, je dois bien avouer que parfois ça me travaille tout ça… j’essaie de me renseigner discrètement, histoire de ne pas être à la ramasse le jour où je tomberais sur la bonne personne, mais par petite session pour ne pas me sentir bizarre ensuite... mais je suppose que c'est normal ?

Et avec tout ça… plus qu’un poteau à ranger !
Vu qu’il n’y a plus personne, j’utilise mon t shirt pour essuyer la sueur sur mon front et le replace avant d’aller m’en occuper. Allez, dans quelques minutes je serais sous la douche… et au moins, aucune fille ne viendra me faire de réflexion sur mes fesses vu qu’elles sont déjà toutes parties.
C’est donc en toute confiance que j’entre une dernière fois dans la salle de stockage et file vers le fond pour déposer cet ultime poteau…

Tani sortait des cours et il passait à côté du cours de gym. C’était d’ailleurs la dernière heure de cette journée. De ce fait, ils finissaient parfois un peu plus tard que les autres comme le professeur pouvait se permettre de finir en retard. Tani avait l’habitude de venir ce jour la pour observer … Car il y avait une fille avec un subtile parfum et surtout … de ces fesses ! Elle était mignonne et attirante. De quoi titiller la curiosité de Tani.

Quand il se permit d’entrer, cachant son sac à l’une des entrées. Il observait silencieusement tout en se cachant. Il y avait quelqu’un qui rangeait … sa silhouette semblait être celle d’une demoiselle. Mais ce qui lui mit la puce à l’oreille, c’était ce parfum ! Il le reconnaissait. Rapidement, il se senti à l’étroit dans son pantalon … Surtout lorsqu’il s’approchait de manière discrete et sans un bruit, tel le prédateur animal qu’il est, et qu’il pouvait l’observer dans cette tenue qui la mettait en valeur. Le simple fait de la voir faire deux pas dans cette tenue le rendait fou … Il se rinçait l’œil de sa cachette, se faufilant alors dans la salle de stockage quand elle était occupée à ranger quelques affaires. Il se cachait alors derrière un tas de tapis avant de pouvoir observer des cordes à sauter … Cela lui donnait de mauvaises idées. Il s’empara d’une d’entre elle, toujours de manière silencieuse et furtive avant de la voir venir avec ce qui semblait être le dernier poteau.

Il n’avait donc plus le choix ! S’il voulait agir c’était maintenant ou … la douche ?! Mais il n’avait aucune envie d’attendre. Il mit la corde sur une de ses épaules. Alors qu’elle était proche de sa destination finale avec ce poteau, il se faufilait derrière elle pour l’attraper par surprise, une main sur sa bouche pour qu’elle ne puisse pas crier tout en lui tirant la tête vers l’arrière, la calant sur son épaule et ne lui laissant pas le choix que de regarder en l’air. L’autre main, il sortit ses griffes et pointa celles-ci contre le dos de la jeune femme. Il voulait user de son manque de vision pour faire naitre la peur en elle et lui faire imager un couteau, bien entendu. Tani lui murmurait alors dans la seconde à l’oreille…

-Chhhhht … Tiens toi tranquille … sinon tu risques de te planter ce qu’il y a dans ton dos … Et ne cries pas, même si personne ne t’entendra à cette heure … Joint tes poignets maintenant et ne bouge plus …

Il lui laissait faire avant de doucement retirer sa main de sa bouche pour attraper la corde à sauter. D’une main, il passait la corde autour de ses poignets en gardant une certaine pression de ses griffes dans son dos. Ses poignets enroulés et le nœud fait, il passait sa deuxième main joindre la première en rangeant ses griffes et il lui démontrait par la même occasion qu’il n’y avait eu aucune arme depuis le début. Il sert bien fort le nœud puis, il passait malgré tout sa main sur son ventre pour lui coller le dos contre son torse et de sentir ses fesses contre son bassin, dont sa verge était bien droite et pouvant se faire sentir…

-Je crois que ton joli petit nom c’est Mio … N’est-ce pas ?

Il sourit avant de guider ses mains liées vers le poteau. La corde étant longue, il enroulait alors le reste autour du poteau avant d’en faire un nouveau nœud. Cela lui permettrait de s’agripper au poteau et de pouvoir monter et descendre ses mains le long de celui-ci. Maintenant qu’elle ne pouvait plus s’échapper grâce au poids du poteau, il se détachait un peu d’elle pour venir en face d’elle et montrer son visage.

-Toi et moi on va jouer à un petit jeu … Si tu devines, tu es libre ! Attention … Tu n’as qu’une seule réponse possible. Bien sûr, je vais te donner des indices, sinon ce ne serait pas équitable. Voici donc. Qu’est-ce que je veux de toi ?

Il savait pertinemment qu’elle allait répondre faux ! Il s’approche alors d’elle pour lui donner les indices. Il lui attrapait les fesses pour l’attirer contre le poteau qui venait s’installer entre ses deux beaux seins ainsi que son ventre ses contre entre jambe. Elle devait poser ses mains la ou elle serait le plus agréable. Il massait alors ses superbes fesses, les caressant comme si on nettoyait un melon ou une pastèque, les découvrant tout en plongeant son regard dans le sien … Soudainement, il les agrippait toutes les deux, la soulevant légèrement du sol et en la faisant remonter contre le poteau … Ses doigts qui s’enracinaient dans ses fesses frôlaient son intimité. Cela avait aussi pour but d’exciter la jeune fille, sa poitrine masser contre le poteau à ses moindre gestes … Il se mit alors à se lécher les lèvres …

-Mio … Mio … Miiiiooo … Alors tu as la réponse magique ?

Voilà ! Le dernier poteau est enfin posé ! Je ne suis pas contente d’avoir terminé, je vais pouvoir…

« Hmmmmf »

Quelqu’un m’attrape ! Encore une mauvaise blague des filles ? Ca m’étonnerait même pas, mais… merde, c’est quoi ça dans mon dos ? Et c’est qui lui ?? Je me débats durant une demi-seconde, avant de comprendre que ce qui me touche la peau est surement un couteau. Oh merde… qu’est-ce que je peux faire… ? Il a de la poigne en plus, j’arrive à peine à bouger ! Est-ce que je dois obéir ? C’est ça ou… non, je préfère ne pas y penser ! Tremblante, je joins mes poignets comme il me l’a demandé. Il me fera pas de mal si j’obéis hein… ?

« … »

Il enlève sa main de ma bouche et accroche vite mes mains ensemble, mais j’ai trop peur pour tenter quoique ce soit. Il est entre moi et la sortie, et… tout le monde est parti. Je le sais, il le sait. Je suis toute seule avec lui. Je ne sais pas ce qu’il veut, mais si je lui donne il me laissera tranquille non… ? Et… quoi, c’était pas un couteau ? C’est une blague ? Je lui jette un regard d’incompréhension, les yeux embués. Mais qu’est-ce qu’il me veut lui ? Sa main vient se poser sur mon ventre, ce qui me fait avoir un mouvement de recul… ça n’aide en rien : il me colle contre lui, et je sens encore quelque chose. Il a un truc dans son pantalon ? Une arme peut-être ? Et… il connaît mon prénom ?

« Q-quoi… ? Comment… »

En réalité ça importe peu. Il doit juste être élève ici aussi, ou connaître quelqu’un qui… enfin on s’en fout ! Ca ne me dit pas ce qu’il veut, et pourquoi il me cible moi. Car si il connait mon prénom, c’est qu’il en a après moi non ? Qu’est-ce que j’ai bien pu lui faire ? Et pourquoi… pourquoi il m’accroche au poteau ?!

« H-hey qu’est-ce que… »

J’essaie de tirer la corde, mais ça ne bouge quasiment pas ! C’est quoi son délire ! Je commence à m’énerver, même si j’ai aussi peur.

« C-ça suffit maintenant, c’est pas drôle… ! »

Et là, il m’annonce vouloir jouer à un petit jeu. Qu’est-ce qu’il veut de moi ? Qu’est-ce que j’en sais moi ? Je ne lis pas dans les pensées des détraqués comme lui ! De l’argent ? J’en ai pas, et mes parents très peu aussi… et d’un coup je comprends. Je me fige en sentant ses mains agripper mes fesses et me coller au poteau, avant de le sentir jouer avec. C’est la première fois que quelqu’un me touche comme ça et… non, c’est hors de question que ça se passe comme ça… j’essaie de me débattre, mais entre lui, le poteau et la corde je me retrouve presque à dandiner des fesses. Ca va ps aider ça Mio… !

« N-non ! »

Le voilà en train de me soulever ! Je suis pas lourde mais quand même ! Et ses doigts… j’écarquille les yeux en les sentant se rapprocher de mon intimité, pas du tout à l’aise. Je secoue vivement la tête, des larmes commençant même à couler sur mes joues. C’est trop ! Mon corps ne réagit pas comme je le veux, c’est…

« S-stop ! Arrêtez, c’est pas drôle… c’est une blague c’est ça… ? »

Ça doit forcément être ça. Je suis sûre que les filles doivent être en train de regarder discrètement, prêtes à sortir de nulle part en me pointant du doigt pour se moquer….

-Q-quoi… ? Comment…

Voici la première réaction lorsqu’elle ne senti plus de couteau et qu’elle pouvait enfin réagir à ce qui lui arrivait sans risque de se faire blesser … Si mignonne. Comment ? Il n’y avait aucune explication à donner. Il la stalkait depuis un petit moment. Il avait fait d’elle sa cible, une cible appétissante à ses yeux. Comprendrait-elle ? Pour le moment, son innocence semblait être du côté de Tani.

-H-hey qu’est-ce que…

Elle tente de se débattre une fois accrocher au poteau. C’est trop tard ma grande …

-C-ça suffit maintenant, c’est pas drôle… !

-J’ai l’air de rigoler ?

Tani lui avait proposé le petit jeu, lui laissant soi-disant une chance de pouvoir repartir d’ici sans se faire sauvagement pénétrer. Lorsqu’il commençait à lui toucher les fesses et profiter de cette partie tant convoiter par le garçon, elle se dandinait pratiquement … et il avait le plaisir de pouvoir sentir ses fesses se bomber, se durcir sous l’effort avant de parfaitement bien les empoigner. Une bosse était maintenant visible. La voir se débattre était un délice … Et elle se mettait à produire quelques larmes … Cela n’allait pas l’attendrir, au contraire.

-N-non !

-Siiii siii

-S-stop ! Arrêtez, c’est pas drôle… c’est une blague c’est ça… ?

Il soupire alors devant elle avant de laisser une de ses mains aller bien volontairement entre ses cuisses afin de lui offrir une caresse intime très appuyer sur sa fente, laissant ses doigts lui laisser le plaisir d’écarter ses lèvres et de passer, puis de presser, l’un d’eux sur l’entrée de sa fente malgré les divers tissus qui couvraient encore ce petit jardin secret…Avant de lui lâcher les fesses et de venir derrière elle sans dire un mot. Il commençait à se déshabiller hors de sa vue, lui laissant simplement deviner ce qu’il faisait par les bruits des vêtements qui tombaient par terre, la braguette qui s’ouvrait et le bruit de la ceinture pour être entièrement nu derrière elle … Avant de venir se coller à elle, son sexe partiellement dressé venant se glisser entre la fente de ses fesses visible dans sa tenue de sport. Il lui laissa le plaisir de sentir la chaleur de son sexe, laissant quelques va et vient bien lent se faire, sa verge glissant de son long contre son anus, prenant une forme encore plus volumineuse entre ses fesses. Il empoignait alors sa poitrine tout en lui collant le dos contre son torse pour qu’elle se cambre et qu’il puisse encore mieux en profiter…

-Pour te répondre, ce n’est pas une blague … Mais tu as perdu la chance de t’en tirer avec mon jeu. J’attend ça depuis si longtemps … Enfin … Enfin je vais pouvoir profiter de toi sans que personne ne vienne nous emmerder …

Il lachait alors sa poitrine qu’il avait bien massée, glissant ses mains le long de son corps pour attraper le bas de sa tenue de sport et la lui glisser vers le bas … Il embarquait la culotte avec ce geste également. Son sexe sautait un peu lorsqu’il passait l’élastique pour se replacer entre ses fesses, lui laissant cette fois le plaisir de profiter de la chaleur de son sexe dans intermédiaire … Il laissait alors les tissus glisser d’eux même au bout d’un moment jusqu’au sol.

Il reculait ensuite lentement son bassin, sa verge glissait entre ses fesses, son gland finit par se retrouver contre son anus. Il donnait deux à trois légers coups de bassin pour qu’elle sente la pression de son gland contre son anus, comme pour la pénétrer avant de le laisser glisser plus bras … pointant ensuite contre son intimité. Il avança son bassin, laissant son gland embrasser l’entrée de son intimité avant de glisser sur son clitoris. Toute sa verge offrir une chaude caresse à son clitoris avant d’empoigner son membre pour le relever contre la peau de Mio. Celui-ci se dressait alors jusqu’au nombril de la jeune femme … Bien plus long que celui d’un être humain …

-Mio … Tu l’imagines en toi ? En train de monter et de descendre ? Tes fesses se faire écraser par mon bassin ? De plus en plus vite … Ca frotte … c’est si chaud … Prisonnière de mes mains qui imprime leur présence sur ton corps …

Il lui murmura ceci à l’oreille avant de la lui mordiller pour glisser son autre main sur son intimité et la lui caresser de manière bien plus énergétique pour qu’elle soit simplement prête à le recevoir. Son doigt manquait à chaque passage sur ses lèvres de la pénétrer. Mais c’était fait exprès. Il voulait d’un côté la faire languir, qu’elle se pose simplement la question de … pourquoi il n’en donne pas plus … C’est alors qu’il s’attardait sur son clitoris pour tenter de la faire jouir afin qu’elle inonde son vagin de cyprine, qu’elle soit prête à le sentir l’envahir pour de bon. Il laissait sa foudre parcourir sa main sur son bouton de chaire, que cette foudre remonte son système nerveux et la stimule bien assez, longuement. Rien pour faire mal, c’était calculé pour qu’elle ne ressente que du plaisir. Mais c’était la surprise soudaine qu’il lui offrait pour la préparer.

-Tu as aimé ? … Hmmm ? …Si tu mens, je recommence une nouvelle fois …

Ce… tout ça n’est pas une blague… je finis par le comprendre lorsqu’il se montre bien plus pressant, et que sa main vient caresser plus fortement mon entrejambe. Il… il veut me… me violer ?! Mais… qui ferait ça… pourquoi… ?

« N-non, pitié ! »

Je tente une nouvelle fois de me débattre, en vain. Il m’a attachée. Je suis perdue et ne sais pas quoi faire… et pire encore, une partie de moi est excitée. Pourquoi je réagis comme ça ?! Il n’y a rien qui va dans cette situation ! J’essaie de reprendre mes esprits et de me calmer alors qu’il va derrière moi pour faire je ne sais quoi. J’ai le souffle court, à la fois à cause de la peur et de cette drôle de sensation que je ressens. C’est la même que celle que j’ai quand je fais des recherches, en plus intense… attend, c’est quoi ce bruit ?

J’essaie de tourner la tête pour le voir, en vain. C’était une fermeture éclair non ? Est-ce qu’il… ah ! C’est quoi ça ? Pourquoi il le fait bouger ? C’est son… son sexe… ? Alors que je me pose la question, ses mains viennent agripper ma modeste poitrine et me tirer à lui. Merde, ça grossit ! J’avais pas l’impression que c’était censé être aussi… volumineux…

« M-mais pourquoi… pourquoi comme ça… pourquoi moi… »

J’entends ses mots, sans comprendre. J’ai envie de pleurer, mais je suis comme figée. Des larmes coulent sans sanglots, et j’essaie de ne plus bouger. Peut-être qu’il se sentira moins excité comme ça ? C’est ce que j’espère, mais le voilà en train de me déshabiller. Mon visage devient rouge vif tant je suis gênée ! Un garçon voit mes… mes fesses et ma… c’est un cauchemar ! Et pourquoi c’est aussi chaud et dur… ? Je cherche un moyen de m’en tirer, mais je commence à douter de moi. Je suis censée faire quoi ? L’amadouer peut-être ? Lui faire pitié ?

« S’il vous plait… je… je suis vierge, faites pas ça… »

C’est qu’il est passé de mes fesses à mon intimité, frottant le bout de son pénis contre. Il touche même mon clitoris, me provoquant un frisson dans tout le corps… je sens même quelque chose couler sur mes cuisses. Je comprends vite de quoi il s’agit, je l’ai lu… mon corps, à l’inverse de moi, se prépare pour la suite. Et lorsqu’il vient glisser cette chose énorme sur ma peau, j’écarquille les yeux. C’est beaucoup plus gros que sur les images ! Comment une telle chose est censée pouvoir entrer en moi ?!

« N-non, c’est trop… ça va jamais rentrer… »

Je commence à perdre espoir, d’autant qu’il commence à nouveau à me toucher. Cette fois-ci, il y va plus fort et vient jouer avec l’entrée de mon vagin sans jamais vraiment y entrer. Je ne comprends pas pourquoi, mais je n’irais pas m’en plaindre… même si mon corps semble réclamer plus… mais pas moi ! Je me mords même les lèvres lorsqu’il joue avec mon clitoris, essayant de résister à la chaleur et la pression qui m’envahit. Puis il se passe quelque chose. Je ressens quelque chose me traverser et m’aider à me relâcher, et mes efforts sont anéantis : tout ce que j’essaye de contenir se libère, et me voilà en train d’avoir un orgasme.

« A-Aaaaah ! »

J’essaie d’étouffer le cri comme je peux, mais rien n’y fait : le sol et mes cuisses sont témoins de ce qu’il vient de se passer, tout comme les éclaboussures qu’il y a devant moi. Je l’entends à nouveau parler, me demandant si j’ai aimé ça… j’essaie d’avoir l’air énervée, mais je suis surtout exténuée et brûlante.

« B-bien sûr que non ! Personne n’aimerait ça ! »

Je tente de resserrer mes cuisses pour appuyer mon propos, mais j’ai les jambes tremblantes et manque de glisser sur le sol.

-M-mais pourquoi… pourquoi comme ça… pourquoi moi…

-Pourquoi toi ? … Parce que tu me plais tellement que je suis prêt a tout pour te faire mienne

Raison suffisante non ? Elle finit par rougir en sentant les vêtements quitter son corps et en sentant ainsi directement la peau de sa verge contre la sienne, s’exciter et durcir contre son corps ainsi dévoilé. Sa poitrine encore protégé des tissus étaient sur le point d’être dévoilée, à la merci des mains de son agresseur, il continuait son massage en appréciant leur texture … hmmm

-S’il vous plait… je… je suis vierge, faites pas ça…

-Et bien je vais imprimer en toi cette première fois, tu te souviendras toujours de moi en train de m’infiltrer en toi, de conquérir ton corps … Te me sentir en train de te faire plaisir, encore et encore … avec des va et vient qui seront puissant et profond …

Il sourit, de sa main encore sur sa poitrine, il remonte se qui la protège encore par-dessus … arrachant alors ce soutif qui ne servait à rien. Il passait ses doigts subtilement sur ses tetons pour rapidement les faire pointer alors qu’elle se rendait compte de la taille de son sexe contre son ventre, caressant de temps en temps son clitoris avec quelques pulsations et quelques mouvements de va et vient dessus …

-N-non, c’est trop… ça va jamais rentrer…

-Je t’assure que si … Tu verras fais-moi confiance …

Mais avant, il la fit jouir avec sa petite surprise. Cela marchait bien. « A-Aaaaah ! »Elle jouit rapidement, laissant sa vulve se tremper comme il fallait pour l’accueillir, même plus que ça ! Cela débordait alors sur ses cuisses et il en profitait pour frotter son sexe contre, l’humidifiant pour s’enfiler encore plus facilement dans son étroit vagin vierge.

- B-bien sûr que non ! Personne n’aimerait ça !

-Oooh tu as choisi de mentir ? … Devrais-je recommencer ? … Quoi que … Non, tu as bien joui … Ton corps est prêt à m’accueillir !

Et la, il lui attrapait alors la taille et il se reculait alors avec elle, avec ses cuisses qui s’était un peu refermer pour encore mieux masser sa verge bien chaude … Reculait la forçait à se pencher en avant et à lui tendre ses fesses. Il s’en léchait les lèvres. Elle venait de jouir mais il recommença des va et vient contre son clitoris de tout le long de sa verge. Son gland caressait à chaque retour ses lèvres intime, les ouvrant de plus en plus à chaque passage … Plus ses lèvres s’ouvraient, plus souvent elle pouvait sentir son gland crocher contre l’entrée de sa vulve … De plus en plus fort jusqu’à ce qu’il ne glisse plus et qu’en appuyant sur son bassin … son gland s’infiltre lentement en elle. Il lui arrache lentement ce qui fait d’elle une vierge et il s’enfonce encore et encore … il bute alors contre le col, son bassin loin d’être contre ses fesses. Sa verge se voyait sur son ventre, dessiner par une large bosse qui indiquait clairement jusqu’ou il la pénétrait en ce moment … et il pouvait aller encore bien plus loin … Elle pouvait voir se spectacle en penchant la tête vers le bas, vers son entre jambe …

-Aaaaaah … Encore un peu et elle est entièrement dedans … oooh…

Sa verge pulsait contre ses parois serrées, elle était chaude, brulante, pleine d’envie et d’excitation. Elle démontrait clairement une envie d’exploser de plaisir …

Je… je lui plais ? Sa réponse est si surprenante que j’ai du mal à la comprendre. Qui fait ça à quelqu’un qui lui plait ? Pour moi ça ne fait aucun sens ! Et me faire sienne… non, ce n’est pas comme ça que c’est censé fonctionner ! Et pourtant, je suis bien attachée et à sa merci. Plus les minutes passent, moins je comprends ce qui le pousse à agir ainsi…

Alors j’essaie de l’amadouer, lui disant que je suis vierge. Peut-être qu’il aura pitié non ? Si je lui plais, ça pourrait bien le pousser à me relâcher… du moins ça, c’est ce que je me dis. Mais quand j’entends sa réponse, je comprends bien qu’il n’y a plus aucun espoir. Pire encore, mon corps réagit positivement ! L’idée de me faire prendre ici et maintenant m’effraie, tout comme elle me travaille. Ou alors c’est à cause de ses mains qui me touchent et me déshabillent, et commencent à jouer avec mes seins et mes tétons…

« Hmm… »

J’essaie de retenir mes gémissements, ce qui s’avère plus difficile que ce que j’aurais cru. Déjà qu’il joue avec mes seins, je sens aussi son pénis se frotter contre moi et… et il me demande de lui faire confiance, comme quoi ça va rentrer. Comment je pourrais le croire alors qu’il est en train de… hmf ! Je détourne le regard, faisant mine de bouder. Ça ne changera rien, mais je ne veux pas lui donner le plaisir d’afficher ne serait-ce qu’une once de plaisir. Il ne manquerait plus qu’il croit que j’apprécie ça… !

Mais tout ça, c’est avant cet orgasme fulgurant. Je ne comprend pas ce qu’il se passe, et fait mine de ne pas aimer ça, mais la vérité c’est que mon corps en veut plus. Il menace de recommencer, avant de changer d’avis. Ouf… non… il s’apprête à… ? Je veux me débattre, mais je n’en ai pas la force. J’ai déjà du mal à tenir debout, mais le voilà en plus en train de me tirer en arrière ! Je me concentre du mieux que je peux pour me maintenir au poteau, en oubliant presque ce qu’il se prépare derrière. Son poteau à lui commence à se frotter contre mon intimité à nouveau, et je sens vite mes lèvres s’écarter sous la pression… d’abord un peu, comme si il jouait avec moi, puis plus. Non…

« Aaaaaah….. ! »

Même si j’aimerais hurler et lui crier dessus, j’en suis bien incapable. Tout mon corps est en alerte, se tend et travaille à accueillir ce pénis. Je ne comprends pas comment c’est possible, mais comme il l’a dit ça passe. Et d’un coup, une douleur se fait ressentir tandis qu’il s’enfonce en moi lentement. Je serre les dents, m’attendant à souffrir le martyre, mais c’est moins pire que ce à quoi je m’attendais. Je suis même surprise lorsque cette douleur disparait au profit d’une sensation de plaisir, décuplée lorsque son gland vient taper contre l’entrée de mon utérus.

« Aah… aaah… »

Chose étrange, j’ai l’impression que mon ventre est… déformé ? C’est vraiment censé faire ça ? Vu que je ne ressens aucune douleur je suppose que c’est normal, mais… je ne sais pas quoi en penser. N’aidant pas, il annonce qu’il n’est pas encore totalement enfoncé en moi. Mais pourtant il n’est pas censé aller plus loin…
Je cherche quelque chose à dire, mais rien ne me vient. Tout ce que j’ai en tête, c’est cette sensation : celle de cette chose énorme qui a écarté mes parois vaginales avec une terrible facilitée, et me met dans un état que je n’ai jamais ressenti. Je dégouline dessus, et clairement pas à cause de mon premier orgasme : je me sens brulante, et je suis partagée contre une envie de me débattre et celle de lui demander de continuer…

Cette sensation était divine ! Se sentir entrer dans une jolie fille tout en sentant parfaitement les chaires s’écarter sur la peau de son gland … c’était si excitant, ca frottait si bien ! Il n’y avait rien de plus délicieux. Il lui arrachait donc sa virginité, ne laissant pas le temps au sang de s’écouler sur sa verge en continuant de s’enfoncer lentement en elle jusqu’au col de son utérus. Il avait tellement envie de s’enfoncer d’un coup plus loin … mais il la désirait tellement qu’il voulait s’amuser avec elle … Lui faire sentir un plaisir qu’elle n’était pas prête d’oublier.

-Hmmm … Tu sembles parfaitement bien t’adapter à mon sexe … Il est loin d’être à la même taille que celui des humains …

Il s’amusait alors à tourner son bassin en rond pour que son gland torture l’entrée du col de son utérus, l’ouvrant lentement dans ce petit mouvement rotatif. Il passait ses mains sur ses fesses, bien ronde grâce à la belle cambrure qu’elle lui offrait. Il empoignait alors ces fesses bien fermes qui semblaient malgré tout s’être bien habitué au sport qu’elle pratiquait … Hmmm … Il se penchait alors sur elle, venant respirer son odeur en humant ses cheveux.

-Ca a vraiment l’air de te plaire ma petite menteuse … Je te sens dégouliner sur mon sexe … Ton vagin est en train de baver dessus …

Il ricane alors, proche de ses oreilles, content de voir que le corps de sa victime était tout à faire consentant avec ce qu’elle était en train de vivre. Il poussait d’ailleurs soudainement plus fort son sexe, forçant alors l’entrée de son utérus pour le pénétrer d’un coup sec, percutant le fond de celui-ci en gémissant en sentant son col le serrer comme il faut … Un vrai anneau élastique qui était en train de le caresser et de lui faire du bien plus fermement que le reste de ses chaires … Pulsant et ne pouvant s’empêcher d’arroser cette chambre de pré-semence d’un jet chaud …

-Aaah … oui oui oui … Continue de me serrer comme ça … Et fais-moi jouiiir…

Il lui attrapait donc la tailles, ses doigts finissant proche de cette forme qu’il lui faisait jusqu’au ventre pour appuyer dessus et rendre les sensations encore meilleures autour de sa queue … Il commençait alors les va et vient, claquant soudainement son bassin contre ses superbes fesses digne d’une déesse, laissant voir le sang se glisser sur sa verge et sur ses cuisses….

« Q-quoi… »

Celui des humains ? En l’entendant, mon cerveau embrumé comprend quelque chose. Ce n’était pas qu’une impression, un pénis n’est pas censé être aussi… gros. Et pourtant, je ne ressens presque aucune douleur. Est-ce que le corps humain est censé pouvoir s’adapter à ce point ? Je n’en étais pas sûre, mais visiblement oui. Et c’est tant mieux ! Sans ça, la douleur serait surement terrible ! Mais... pourquoi parle-t-il d'humain comme si il n'en était pas un... ?

Et comme pour me sortir de mes pensées et me rappeler que je suis en train de me faire prendre dans ce local, il se met à faire tourner son sexe en moi. Je sens que ça presse le fond de mon vagin, comme si il souhaitait s’enfoncer dans mon utérus… mais c’est impossible, non ? Que ça le soit ou non, je sens mon corps chauffer de plus en plus, et mes parois se contracter sur l’envahisseur. Jamais je n’aurais cru ressentir des choses si intenses… !

De son côté, je sens ses mains venir jouer avec mes fesses. On dirait que la cible des railleries des autres filles est pour lui quelque chose de plaisant et excitant, et… je suis partagée entre le fait d’en être contente ou non. En tout cas ça me fait quelque chose de le sentir les toucher comme ça… et les mots qu’il prononce ne m’aide pas.

« C-c’est faux… je suis pas… »

Excitée ? Une menteuse ? En train de dégouliner comme jamais ? Il n’entendra pas la fin de la phrase, car je pousse un cri tandis qu’il s’enfonce soudainement plus profondément en moi. Mon corps, déjà à bout, se met à trembler face à cette sensation nouvelle et beaucoup trop excitante. Mon sexe se contracte encore plus sur le sien, et je me mets à jouir à nouveau.

« Aaaaah ! N-nooon… ! »

J’ai beau crier non dans un dernier sursaut de volonté, mon corps lui hurle oui et le serre comme il le réclame. Je sens ce pénis frotter de tout son long en moi, s’invitant jusqu’au plus profond de mon être. Et impossible de se faire à cette sensation : à peine s’est-il enfoncé qu’il commence à bouger, me maintenant fermement par la taille alors qu’il me donne des coups de reins. Sans lui pour me maintenir, je tomberais surement en avant sous leur puissance… et tandis que mon esprit vacille, mon corps lui fait tout pour l’accueillir comme un roi pénétrant son palais.

Et elle, était-elle seulement humaine pour accepter si facilement son sexe si imposant en elle ? Il s’en fichait tout de même un peu … c’était trop plaisant pour la mettre de côté pour un détail aussi insignifiant. Elle avait à ses yeux un corps de rêve, de belles fesses pour encaisser tout ce qu’il pourrait lui faire, s’y donner sauvagement ! Elle avait une silhouette qui le mettait en rut !

-Hmmm ces fesses, elles m’excitent tellement … Elles sont parfaites, garde les comme ça…aaaaa

Il continuait de les toucher, il ne s’en laissait pas ! Il était tout simplement en train de les classer comme trésors national. Bon sang ! «C-c’est faux… je suis pas… ». Mais elle jouit rapidement quand il pénétra son utérus et qu’elle découvre de nouvelle sensation … C’était sur maintenant, elle n’avait rien d’humaine. Ça lui plaisait ! Il sentait la jouissance de son corps tout autour de sa verge, les spasmes qu’elle vivait, elle les transmettait directement sur sa chaire tendue au fond d’elle. Il était si bien massé … Que même sans va et vient, elle l’encourageait à jouir en elle.

-Aaaaah ! N-nooon… !

-Hmm … Tu jouis encore … c’est délicieux de sentir ton corps me réclamer …

Il commençait donc les mouvements de va et vient, la tenant fermement par la taille. Son bassin claquait contre ses fesses, encore et encore, il devenait de plus en plus sauvage, lui faisant bien sentir toute l’excitation et l’envie de jouir se faire sentir ! Il gémissait, il se penchait pour venir lui chuchoter son prénom à l’oreille, en lui disant que ça venait, qu’il allait jouir … Mais elle ne s’attendait surement pas à une telle jouissance…

Il s’arrêtait alors contre ses fesses d’un claquement bien plus fort que les précédents, déformant ses fesses en les attirant contre lui en lui tenant la taille … Pendant que sa verge déforme son ventre et qu’il lâche son sperme en elle. Le chaud liquide l’envahissait en moins d’une seconde, son ventre gonflait ! Son utérus devait s’élargir, accueillant sa semence, noyant l’intérieur de son corps par ce ras de marée qui s’écrasait contre ses chaires ! Hors de question de reculer son bassin ! Il s’accrochait fermement à la taille de Mio tout en poussant son bassin contre ses fesses … Il voulait la garnir généreusement, encore et encore … Il se mit même à tourner son bassin en rond alors qu’il jouissait encore, gémissant son plaisir, le hurlant, faisant tournoyer ce chaud liquide contre ses chaires déjà bien attaquée de sensation …

-AAAAAH Bordel … MIOOOO … Hmmm .. .OUI ….

Tournoyer en elle lui permettait de rester bien dressé en elle … Il gémissait en sentant pareil pression sur son gland, mais c’était si bon … il voulait profiter de ces sensations et que rien ne s’échappe…hmmm

L’entendre complimenter mes fesses me met encore dans un drôle d’état. Qu’un sujet de raillerie passe ainsi au statut d’obsession, de cible de ses pulsions sexuelles… c’est si… bizarre ! Sont-elles vraiment si parfaites ? Et… et pourquoi est-ce que l’entendre dire ça me fait plaisir ? Je suis sûre que c’est parce que je ne suis pas dans mon état normal… ça ne peut être que ça !

Et ça ne va pas en s’arrangeant. Tout se passe très vite depuis qu’il m’est tombé dessus. D’abord la corde, ensuite son pénis… et maintenant, je ne suis plus vierge. Je n’ai même pas encore assimilé l’idée qu’il vient s’enfoncer au plus profond de moi, me faisant jouir une nouvelle fois. J’ai terriblement honte, je me sens si… sale. Mais le pire c’est que mon corps en redemande, comme si il avait attendu ça depuis longtemps. Et mon esprit, lui, n’a plus la force de se battre contre ces envies. Alors, lorsqu’il commence à me prendre et me donner des coups de reins, mes seules réactions sont des petits cris de plaisir. Ils accompagnent chaque pénétration, couvrant le bruit des claquements de ses hanches contre mes fesses, alors que ma chatte est si trempée qu’il n’y trouve aucune résistance. Pire, tout mon corps se contracte pour… pour quoi ? Pour qu’il… l’idée devrait me répugner, mais rien n’y fait : je n’ai pas la force de contester, alors lorsqu’il annonce vouloir me remplir je n’arrive qu’à gémir en réponse. Et lorsqu’il commence à jouir, c’est tout mon corps qui se met à trembler.

Je suis presque sûre que ce qu’il se passe n’est pas normal, mais peu importe ! Déjà que sa queue s’est enfoncée dans mon utérus, le voilà en train de le remplir au sens le plus littéral possible. Un flot de sperme, pour ne pas dire un tsunami, commence à me remplir. Je cris en sentant mon ventre se gonfler plus qu’il ne l’était déjà et prendre une forme plus arrondie, signe qu’une quantité incroyable de semence est en train de s’accumuler en moi. Lui ne s’arrête pas pour autant, s’amusant à tourner sa queue en moi pendant que je tourne de plus en plus de l’œil. C’est… beaucoup trop bon… je ne devrais pas réagir comme ça, mais pourtant… quelque chose s’éveille en moi. Le peu de résistance mentale que j’ai encore disparait, alors qu’une nouvelle sensation me traverse : en plus du plaisir sexuel que je ressens malgré moi, j’ai aussi l’impression d’être plus… forte ? Je ne l’explique pas, surtout dans mon état… tout ça m’échappe, et lorsque mon troisième orgasme arrive je finis par m’évanouir.

La petite encaissait très bien ses coups de bassin et surtout, il jouissait énormément. Même lui trouvait qu’il y en avait plus que d’habitude. Il faut dire qu’elle avait des fesses magnifiques et un corps tout aussi alléchant. Il ne se gênait pas de la remplir, ne reculant pas … voulant lui faire l’offrande ultime. Elle le méritait. Elle avait parfaitement supporter son viol et elle n’avait pas rechigner au fait qu’il jouisse en elle. Elle avait donc bien grandi, submergée par le plaisir, ça lui plaisait. Il retirait simplement son sexe de son anus pour continuer à faire bouchon pour que son col se referme autour de la semence afin qu’il en coule le moins possible et qu’elle garde ce joli ventre, signe que tout ce qu’elle venait de vivre était réel … Parce qu’elle venait de tourner de l’œil en jouissant. Qu’allait être sa première réaction en se réveillant … de se convaincre que tout ceci n’était qu’un rêve. Alors … Il fallait qu’elle garde tout. Il la soutenait donc pour qu’elle ne tombe pas, attendant patiemment.

-Oh zut ... Elle tourne de l'oeil ...

Il attendit de longues minutes avant de se retirer d’elle et de la reposer lentement au sol pour ne pas la blesser. Il la détachait alors. Il se faisait tard. Il allait être facile pour lui de la porter dans cette tenue jusqu’à chez lui. Il s’en réjouissait. Alors il la portait dans ses bras et parti rapidement sans se soucier que la corde et le poteau soient rangés. Dans le pire des cas, elle pouvait très bien dire qu’elle avait effectué son travail mais que des intrus étaient entrés ensuite. Surtout qu’il n’avait pas nettoyer les traces de leur jouissance sur le sol, cela allait laisser des preuves … que quelque chose s’était produit ici.

Il n’y avait plus grand monde dehors à cette heure. Cela facilitait le voyage, aucun regard bizarre se posait sur eux. Parfait. Personne ne verrait cette sorte de kidnapping. Il atteignait après quelques kilomètres de marche son manoir pour entrer dans sa chambre … Il observait alors son nouveau jouet. Il sourit. Il la déshabillait alors en essayant de pas la perturber dans son sommeil. Comment allait-il l’habillé ? Il avait toujours envie de jouer avec son corps …

Oh ! Il sait, il avait trouvé comment l’habiller. Il sortait un vêtement blanc, un voile … C’était un peu sexy mais cela pouvait un peu rappeler une robe de mariage … Un peu bizarre, mais il fallait bien fêter la perte de sa virginité ! Il l’avait fait sienne. C’était un petit rite de passage amusant qu’il venait d’avoir en tête … C’était surtout pour voir la tête de Mio dès son réveil … Surtout qu’elle gardait son ventre légèrement bombé et plein de semence … Ouuh il avait hate qu’elle se réveil.

Il habillait donc Mio en n’étant pas trop brusque. Quelle chance … La tenue lui allait en plus, comme dans un gant ! Décidément, Mio pourrait certainement se retrouver à porter d’autres tenue tout aussi sexy que celle-ci pour son plus grand plaisir … Mais il fallait qu’elle ouvre les yeux désormais. Il ne savait pas trop comment faire. Il s’éloignait du lit sur lequel elle était allongé en tournant en rond devant celui-ci … réfléchissant comment faire.

…
…
…
Hmm…
…
Je me sens pas très bien…
Je garde les yeux fermés en grimaçant et en me retournant dans mon lit. Du moins je crois que c’est mon lit. J’ai l’impression d’avoir la nausée et d’avoir mal au ventre, comme si quelque chose ne passait pas… et en même temps, je me sens différente.

Je commence lentement à me réveiller, pour ne pas dire que je reprends connaissance. Mon corps est bizarrement chaud, et… oh mon dieu ! Je me redresse, à moitié paniquée. Je suis pas du tout dans mon lit. Je suis où là ?

« Que… où… »

Et là, je le vois face à moi. Lui ! Je me souviens maintenant ! Il a déboulé après le cours et…
Mes yeux descendent vers mon ventre et s’écarquillent. P-pourquoi mon ventre est rond comme ça ?! Je suis enceinte ou quoi ? J’ai fait un coma ? Non attends réfléchit Mio… déjà quand sa grosse queue était en toi ton ventre se déformait, alors il a juste dû éjaculer et… oh non !

« Mais… tu as… tu m’as… mais ça va pas bien, et si je tombe enceinte ! »

Il y a plein de choses dont je devrais me scandaliser, comme la tenue que je porte – un de ses fantasmes ? – ou le fait que je sois… je sais pas où. Mais ça me parait bien moins important que cet océan de sperme que j’ai en moi… même si… pourquoi je me sens si bizarre en pensant à ça et à sa bite ? Et pourquoi… j’imagine des choses là ?

Je le fixe longuement du regard, fronçant par moment les sourcils, baissant parfois les yeux comme si je voulais voir ‘quelque chose’… et si je dois être honnête avec moi-même, je me fais un peu violence pour empêcher mes envies de me monter à la tête. C’est trop bizarre…

« Qu’est-ce que tu m’as fait… ? Pourquoi je me sens si… si différente… ? »

C’est forcément de sa faute ! Tout allait bien avant qu’il ne débarque dans ma vie, alors il a forcément profité de mon évanouissement pour faire un truc bizarre ou me droguer. Oui c’est forcément ça ! Il n’y a aucune autre explication rationnelle à la chaleur que je sens grandir en moi !

« Et qu’est-ce que tu m’as fait prendre pour que je me sente comme ça ?! »

Ne se rendant pas compte qu’elle était en train d’émerger tranquillement sa son petit sommeil, il continuait son petit manège en imaginant différente manière pour lui faire ouvrir les yeux sans que ce soit trop brutal … Bien que l’envie de la prendre alors qu’elle dormait était appétissante, ce serait justement l’une des méthodes peut-être un peu trop brutale … Mais …

-Que… où…

-Ah enfin !

Ils allaient pouvoir continuer de faire ce qui avait eu lieu dans la pièce de stockage. Elle s’était redressée. Il pouvait l’observer baisser les yeux et constater que tout ce qui s’était produit hier était réel. Elle semblait choquée de se voir ainsi … Pourtant, elle avait du tout sentir comme elle avait joui comme jamais attaché à ce poteau.

-Mais… tu as… tu m’as… mais ça va pas bien, et si je tombe enceinte !

-C’est tout ce qui t’inquiete ? … Ca me rassure un peu …

Il s’approche alors d’elle qui constate comment elle est habillée. Il pose ses genoux sur le gros lit rond, pouvant accueillir six personnes facilement. Il marche ensuite à quatre pattes vers elle, posant ses mains sur ses jambes quand elles sont à sa hauteur en continuant d’avancer … Il plonge son regard dans le sien, son visage très proche du sien et il lui attrape alors soudainement les épaules pour la faire tomber en arrière …

-Qu’est-ce que tu m’as fait… ? Pourquoi je me sens si… si différente… ?

-De quoi tu parles ?

Il ne comprenait pas trop ou elle voulait en venir. La seule chose qui avait changé chez elle c’était qu’elle n’était plus vierge. Il soupire alors avant de glisser ses mains de ses épaules à ses mains pour les ramener a coter de la tête de la jeune femme et entremêler ses doigts aux sien …

-Et qu’est-ce que tu m’as fait prendre pour que je me sente comme ça ?!

-Hm ? Rien du tout … Après notre délicieux rapport physique, je me suis contenté de te porter jusqu’à chez moi comme tu semblais t’être effondrée d’épuisement. Je n’allais tout de même pas t’abandonner après m’être donné autant de peine à te faire jouir …

Il collait ensuite ses lèvres contre les siennes pour lui arracher un baiser, un baiser semblable à celui qu’il lui avait offert durant son viol ! Désireux, débordant d’excitation avec une touche de gourmandise démesurée … Une simple action pour lui faire se remémorer tout ce qu’elle venait de vivre avant de s’endormir. Un souvenir ancrer dans la mémoire de ses muscles …

-J’attendais que tu te réveilles pour continuer … Oh … Et le petit déjeuner ne devrait pas tarder à arriver … On a le temps de s’amuser un peu avant. Tu veux bien ?

Hein ? Comment ça, ça le rassure un peu ? Je lui parle d’être enceinte, et ça a pas l’air de le déranger le moindre du monde. Il est trop bizarre lui !

Il s’approche de moi comme un prédateur pendant que je constate qu’il a changé mes vêtements, et probablement droguée. C’est la seule chose qui expliquerait l’état dans lequel je suis ! J’ai toujours été sage, même si parfois… non, il n’y a pas de mais ! C’est pas possible que d’un coup je me sente si… si… excitée ?

Et pourtant, il me dit ne m’avoir rien donné. Et aussi qu’il m’a amenée ici après que je me sois évanouie… il me pousse sur le lit se met à m’embrasser alors que je me perds dans mes pensées. Il ne trouve aucune résistance, mon corps réagissant comme si nous étions des amants de longue date : mes lèvres s’ouvrent, ma langue s’agite, et mes jambes s’écartent lentement. Je ne comprends pas. Est-ce que je suis comme toutes ces filles qui couchent avec n’importe qui ?

« D-d’accord… »

Je ne sais pas pourquoi, mais je crois que j’ai envie que ça continue. De sentir à nouveau cette énorme queue me pénétrer et me remplir… c’est comme un besoin compulsif qui sort de nulle part ! Et bon, il est presque mignon là à me tenir par la main et m’embrasser non ? En plus, il est plutôt beau gosse.

Je ne sais pas trop comment enlever la tenue qu’il m’a mis, alors je me contente de lui signifier que je suis prête en glissant mes jambes dans son dos. J’ai toujours l’air boudeuse, mais j’ai si chaud que mon visage doit être tout rouge ! Je détourne le regard en lui demandant, l’air de rien…

« … tu fais souvent ça ? Kidnapper des filles et les amener chez toi… »

Je ne sais pas ce que je préfèrerais entendre comme réponse. Si il dit oui, ça veut dire qu’il y a d’autres filles qui ont été victimes de lui… mais si il dit non, c’est que je suis la seule ici et que sa queue est toute à moi. Enfin lui ! Enfin… pourquoi je serais contente si c’est le cas de toute manière ? Parce que chez moi j’ai l’impression d’être dans un couvent et tout le temps surveillée ? Je n’en sais trop rien, mais j’ai l’impression que j’ai raté un truc…