l'improbable déesse humaine... (PV Laëlia) (Abandonner)

Aujourd’hui j’avais reçu des indications de là par des sœurs de la maison close, elles voulaient des nouveau “jouais” pour la maison. Elle m’avait donné un post-it avec des indications, “gros” “avec des pointe” “plaisant”... j’en passe et des meilleur, paye ton indice. Je fourre la feuille dans mon sac à dos et me rend à la boutique.

Une fois devant je me dit que la boutique ressemble aux autres, sauf qu’on pouvait bien voir en vitrine qu’on ne vendait pas d’ananas ici. J’entre dans la boutique et voie immédiatement qu’elle est tenue par une humaine a la peau basanée et au cheveux brin/noir. Je fis mon possible pour ne pas faire de grimasse et lui fis un simple signe de tête avant d’avancer vers le raillons “gode”.

Je pris quelque gode, certain qui reste dans mes mains d’autre retournant directe à leur place. Au final je me retrouve avec deux trois exemplaire et hésite sur un “double”...

L'après-midi est plutôt calme à la boutique et je m'amuse un peu à mater quelques vidéos assez suggestives sur mon téléphone en attendant qu'un client décide de pénétrer ici. Les rayons sont impeccables et le magasin parfaitement entretenu si bien que je n'ai même pas besoin de faire un peu de poussière puisque tout est parfaitement propre.

J'ai passé la matinée à ranger les rayons pour que chaque objet soit parfaitement mis en valeur à la place à laquelle il est exposé et je me suis même fais un petit plaisir personnel entre midi et deux avec un nouveau jouet que nous avons reçu la vieille.

Je réajuste ma mini jupe noire lorsque j'aperçois une jeune femme aux abords du magasin et je verrouille mon téléphone lorsqu'elle décide de passer le pas de la porte. Je l'observe, curieuse, tandis qu'elle me fait un simple signe de la tête en guise de bonjour.

Je ne m'en formalise pas, consciente que certains individus n'aiment pas forcément expliquer les raisons de leur présence ici et la laisse s'enfoncer entre les rayons pour chercher ce qui lui faut non sans la lâcher du regard.

Je la vois se diriger vers la multitude de gode aux formes et aux aspects tous plus différents les uns que les autres et la laisse en prendre quelques uns en main pour les tâter un peu.

Voyant qu'elle hésite, je quitte l'arrière du comptoir et m'approche doucement vers elle avec un sourire tout à fait professionnel aux lèvres. Je pose une main sur son épaule pour attirer son attention.

- Bonjour, est-ce que je peux vous aider ? Vous cherchez un modèle en particulier ?

La jeune femme qui ne semble pas tout à fait humaine tient entre ses mains un jouet assez épais et un autre qui permet de stimuler dans un même temps l'orifice vaginal et anal. Je ne peux m'empêcher de sourire, curieuse de savoir si elle désire utiliser cet objet pour un usage personnel.

Je rentre dans la boutique, et voie tout de suite qu’elle est bien entretenue, ce n’est pas par ce que c’est une boutique de sexe, que c’est mal famé. Le seul défaut à la limite c’est que la boutique est tenue par une humaine, une humaine très jolie mais une humaine quand même. Je lui fais signe en passant et vas voire les godes, une fois devant il y a tellement de choix que je n’arrive pas vraiment à choisir. J’en prend deux trois en face de moi et les observe sous toute les coutures...

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

J'eu cependant un mouvement de recule quand la caissière apparue au coin de l’étagère en demandant si j’avais besoin d’aide. Due à la mini peur de repris mon souffle et lui montre les trois gode que j’avais trouvé...

- Pour le travail je pense avoir trouver, mais j’en voulais un aussi pour moi, et j’avoue ne pas savoir me décider...

Je la reluque de haute en bas et me dit que j’aurais peut-être due mettre une tenue légère quand même car je suis nue devant elle et elle est tellement jolie que mes phéromones de plaisir vont s’activer tout seul.

C’est alors que je sens une odeur familière venant d’elle, ou plus précisément de son intimité et de ces doigts, son coup et cheveux aussi, comme si elle irradiait de plaisir sexuel. Je me mis à renifler plus proche d’elle sans pour autant la toucher.

- Snif snif snif, vous sembler vous y connaitre en plaisir, je sens sur vous beaucoup de plaisir, mais pas de trace de l’odeur de quelqu’un d’autre, on s'est fait un plaisir solitaire il n'y a pas longtemps petite humaine ? Hummmm?

Je lui fais un sourire pour bien lui faire comprendre que je l’ai cramé. Du coup de je demandais avec quoi elle c’était fait plaisir, juste avec ces doigts ? Ou avec un autre truc...

- Tu as utilisé un gode pour t’as masturbation ? Ou juste t’es doigts ?

Je me dis alors que je pouvais peut-être utiliser cette info pour obtenir une réduction qui sais, on verra où nous mène cette conversation...

Voila un specimen assez intéressant puisque la jeune femme que j'interpelle est entièrement nue. Je n'ai pas pour habitude de juger quique ce soit qui entre de la boutique mais je me demande bien comment elle a pu venir jusque ici sans se faire arrêter par les autorités locales ou par un homme un peu trop interessé...

Soit, ce n'est pas grave, moi ça me permet de me rincer l'oeil et elle est plutôt bien foutue cette demoiselle ! Et puis elle a l'air de s'interesser à des modèles de sextoys plus élaborés que la normal et elle pique ma curiosité. Elle m'indique également avoir trouver ce qui lui faut pour le travail et j'en déduis que ce doit être une travailleuse du sexe. Je lui adresse un sourire bienveillant :

- Eh bien si vous voulez je peux vous expliquer les petits plus de chacun pour vous aider à vous décider ?

Avant même de me répondre, finalement, je la vois me renifler de manière curieuse et elle m'indique sentir sur moi l'odeur du plaisir. Son odorat doit être particulièrement développé puisqu'elle comprend que je me suis laisser aller à me faire plaisir toute seule. Je ris un peu, pas le moins du monde complexée par mon corps.

- Je m'y connais bien en effet. J'ai l'habitude de me faire du bien pendant mes temps de pause. Il faut dire que j'ai de quoi faire avec tous ces petits objets à proximité.

Puis elle semble s'intéresser de manière plus précise à la manière dont je me suis fait jouir un peu plus tôt. Amusée, je viens lui glisser à l'oreille :

- J'ai utilisé un gode, et même plusieurs... un pour mon cul, et un pour ma petite chatte toute chaude... tu veux que je te montre ?

Je ne m'embarrassais pas d'avantage avec le vouvoiement, après tout elle était rentrer complètement nue dans la boutique, ça ne pouvait être qu'un appel non ?

J'attendais de voir comment elle allait réagir pour déterminer si une ouverture était possible. Je n'avais rien contre l'idée de profiter d'un peu de chaleur humaine surtout qu'il n'y avait pour le moment personne d'autre dans la boutique.

Elle me répondit qu’elle pouvait m’expliquer les détaille de chaque gode si je le voulais, mais avant que je ne puisse lui répondre, je démarrai la phase “sentier l’amour”. Je la renifle fortement et lui avoua que je sentais une belle odeur sur elle, et elle me répond qu’elle si connais en plaisir et qu’elle a l’habitude de de se masturber à ses pauses. Cela doit surement l’aider à bien connaitre ces jouais, et je lui demande alors ce qu’elle a utilisé pour se faire jouir, et elle me répond qu’elle a mis un gode dans sa chatte et un autre dans son cul. La vache je devais surement être tomber sure une grande dépravée, elle finit même par me demander si je voulais voir...

- De quoi t’as chatte ? Ou le gode ? Non, ne dit rien, oui je veux bien les voire, l’un dans d’autre...

Je rougie un peu mais cette humaine avait réveillé quelque chose en moi, ce qui me mis la pusse à l’oreille, et si c’était un piège ? Je pris alors les trois gode que j’avais trouvé et la suivit dans l’arrière-boutique. Je la suivais avec deux mètres d'écart pour être sûr de pouvoir riposter en cas d’attaque.

Je sentis dans cette nouvelle pièce une odeur de sexe encore plus forte, pourquoi tu te masturbe ? Une humaine aussi belle que toi de forcément avoir un petit ami, ou amie ou à la limite des tas de sexe friends. Je pose les godes sur une chaise et là mes en fasse du canaper qui avait une trasse dessus comme si on avait renversé une bouteille d’eau...

- Tu invites souvent des clients dans “l'arrière-boutique”?

Le voyeurisme ne fessait pas partie de mes fétiches, mais là je devais voir si elle n’allait pas m’attaquer avec une armer dissimuler donc après avoir fait le tour d’inspection de la pièce, je m’assis sur la chaise et la regarde...

- Aller montre-moi ton gode...

Je vois bien que cette étrange demoiselle ne reste pas insensible lorsque je lui avoue que je me suis effectivement donner un petit plaisir solitaire quelques heures plus tôt. Cela me fait doucement sourire et lorsque je lui demande si elle veut en voir plus, elle énonce clairement son envie de me voir utiliser un des objets sur moi.

Bien, nous partions dans la bonne direction, pour mon plus grand plaisir. Je me leche instinctivement les lèvres à l'idée de me donner en spectacle et l'invite à me suivre un peu plus à l'écart dans une grande pièce divisée en deux parties, l'une pour stocker le réassort et l'autre pour se détendre un peu.

On y trouvait un petit sofa usagé ainsi qu'une chaise un peu abîmée, une tablette pour naviguer sur le Web et un mini frigo qui contenait de quoi se désaltérer.

La demoiselle semble sur ses gardes et fais le tour de la pièce pour vérifier je ne sais quoi mais je la laisse faire tandis qu'elle me demande pourquoi je me masturbe, ce qui me fait rire à nouveau.

- Eh bien j'ai des envies sexuelles très régulières et je n'ai pas toujours quelqu'un sous la main pour me satisfaire. Et disons que je n'aime pas attendre quand j'ai une petite envie !

Ce qui était la stricte vérité. Je reluque d'ailleurs le corps de la demoiselle qui s'offre à mes yeux et mon regard s'attarde sur sa jolie poitrine puis sur la féminité qui se dissimule entre ses cuisses.

- Effectivement ça peut m'arriver d'emmener des clients ici, mais ce n'est pas non plus tous les jours !

La jeune fille pose finalement les godes sur la chaise et m'invite à me rapprocher du canapé. Je m'y installe confortablement en écartant les cuisses, sentant déjà ma chatte humide de désir. Mes vêtements deviennent soudainement gênants et alors qu'elle semble impatiente d'en voir plus, je me libere du bout de tissus qui dissimule mon bassin pour un accès facilité à mes lèvres humides.

Je m'assure qu'elle a une bonne vue sur l'intégralité de mon corps et attrape un des godes sélectionnés par ses soins, le plus clair et fin d'entre tous pour le faire glisser d'abord sur ma cuisse, puis le faire remonter vers l'aîne...

- L'aventage de ceux que tu as choisi, et notamment celui-ci, c'est qu'ils se faufilent facilement partout pour procurer des sensations très intenses.

Pour appuyer mes propos, je glisse le jouet entre mes cuisses écartées et ouvre mes lèvres baveuses pour venir caresser mon clitoris qu'elle peut déjà voir particulièrement gonflé. Puis je le fais tourner contre mon orrifice brûlant avant de le faire pénétrer de moitié, doucement, tout en venant caresser un de mes seins à travers mon haut.

Le température montait soudainement d'un cran et j'accrochais mon regard au sien, la fixant pour voir quel effet cela lui faisait.

- Hmmm... tu vois ce gode pénétre... parfaitement bien...

Après mon “tour d’inspection” je ne vis rien de suspect, valais mieux être prudent, elle me répondit alors qu’elle a des envies sexuelles très fréquente et qu’elle ne supportait pas d’attendre. Je fis la grimace a sa réponse, me disant qu’elle devait surement tromper son petit ami souvent et que c’est pour ça qu’elle n’en a pas. Je m’assis en face d’elle, de l’autre coter de la table basse sur le qu’elle est posée une tablette...

Apparemment elle invite de temps en temps des gens ici, mais pas tous les jours non plus, visiblement la masturbation est un plaisir vraiment TRES régulier pour elle. Je l’invite à commencer, c’était le dernier rempart avant de me détendre, elle a peut-être une arme ou de la drogue sous ces vêtements, et l’observe en écartent les jambes qu’elle voie m’as chatte mais ne touche à rien me détendant tranquillement sur la chaise en tirant et relâchant mes moustaches...

- J’imagine que tu n’as pas de petit copain, il aurait du mal à te faire l’amour 10 fois par jour pendant longtemps... En revanche tu dois avoir une sacrée liste de sexe friends...

Elle retire vite sa jupe, et je pus constater qu’elle n’avait même pas de culotte, cela expliquait pourquoi cela sentais aussi fort. Je l’admirai alors prendre le troisième gode que j’avais sélectionner, mon préférer, et se caresse avec.

- C’est sûr qu’il s’infiltre plus facilement que les deux autres, en revanche je ne saurais pas dire c’est un pénis des quel race, une idée?

Je soutien son regard un moment pendant qu’elle se caresse, mais après quelque minute l’auteur de sa cyprine me prend le nez et me fais tourner la tête si bien que je n’ai même pas besoin de me toucher pour sécréter de la cyprine à mon tour...

Je m’enivre de cette odeur que sent de plus en plus fort me posant de plus en plus de question car personne ne m’avait jamais enivré à ce point.

- Tu es sûr d’être humaine ? J’ai déjà fait l’amour avec des humains, male comme femelle, mais aucun ne sentais aussi fort que toi. L’odeur que se dégage de ton intimité est si bonne que n’importe qui voudrais la lécher ou y mettre sa bite...

Je me levai, pousse la table pour la dégager de mon chemin et pose ma tête a quelque centimètre de son intimité pour respire chaudement laissant mon souffle s’écraser sur son clito et entrée de vagin ou s’infiltrai parfaitement le dildo...

Je me laisse aller à me détendre de plus en plus dans le canapé dans lequel mon bassin s'enfonce, tandis que je garde les jambes bien écartées pour qu'elle ne rate aucune miette de ce que je suis entrain de faire. La penetration du jouet me tire un petit soupir de plaisir mais je me contente de savourer cette sensation sans aller plus loin pour le moment.

Je hoche la tête lorsqu'elle semble comprendre les difficultés que peuvent poser mon désir impossible à combler et ajoute :

- En effet j'ai du mal à me contenter d'une seule personne... si tu veux tout savoir je préfère largement avoir plusieurs mâles qui s'occupent de moi en même temps, d'ailleurs !

Je repensais aux dernières orgies auxquelles J'avais participer avec un frisson d'excitation qui me donne envie d'activer le gode à l'intérieur de mon vagin. Je le penetre alors entièrement en gemissant doucement, sans penser à m'interroger d'avantage sur la forme du jouet :

- Hmmm je ne sais pas de quel race il est... en revanche j'adore l'effet qu'il me fait.

Elle pouvait voir que mon entre-jambe était entrain de devenir particulièrement tremper, je vois d'ailleurs que cela lui fait aussi de l'effet et je ressens rapidement son désir monter. Elle aussi est entrain de sécréter un délicieux nectar auquel j'aurais bien envie de goûter...

Certainement attirée par mon corps, elle pousse la table pour venir coller son visage à l'intérieur de mes cuisses tout en m'interrogeant sur mes origines. Je lui souris avant de lui faire un petit clin d'œil :

- Effectivement, je ne suis pas une humaine tout à fait lambda. Mais chut, c'est un secret. 

Je peux sentir son souffle chaud s'échouer sur mon clitoris et voir ce petit visage ainsi entre mes cuisses est une vision irrésistible. Je pose une main sur sa tête que je presse avec douceur pour coller sa bouche  sur ce petit bouton de chaire. Je lui susurre tout en matant avec envie sa poitrine.

- Vas y... léche... je sais que tu en as envie.

Elle confirma qu’être en couple avec un seul mâle n’était pas son genre, et qu’elle préféra largement avoir plusieurs mâles en elle en même temps. Je fus bouche B devant tant de dépravation venant d’une humaine. Je lui souris et lui dit...

- Et bien et bien, je ne m’imaginais pas les humaines si dépravées... Si le cœur t’en dit, tu peux venir ce soir dans la maison close ou je travaille, je te présenterais quelqu’un qui devrais te plaire...

Elle me dit qu’elle ne savait pas de qu’elle race est tire le gode, mais qu’il est divinement bon. Tellement qu’elle l’enfonça en entier en elle, et cela eu le don de me mettre en émoi et de me faire secréter des phéromones sexuelles et de pousser la table basse pour voir cela de plus près...

Elle me révéla ne pas être tout à fais humaine, mais que c’était un secret. Je souris à cette révélation, c’était surement pour sa que son odeur m’attirait tellement malgré son apparence humaine.

Je fourrai alors mon nez proche de son intimité pour prendre une nouvelle bouchée “d’air frais”, quand je sentie sa main sur ma tête m’invitant à la lécher. Je reculai soudainement et mis mes lèvres à un petit centimètre des siennes (celle de son visage)…

- Pas maintenant, faisons monter la pression...

Je me relève et passe derrière elle, comme un poulpe, la serrant contre moi et passant ma main gauche sous son haut, je le retire pour libérer sa lourde poitrine et lui fais des bisous dans le coup. Je passe ma main partout sur sa poitrine, pressant certain endroit mais en prenant soin de ne pas toucher les tétons. 

Une fois convaincue qu’il n’y avait pas d’arme caché, je repris son sein gauche, mais cette fois en caressant le téton et en léchant avec ma langue râpeuse son cou...

- Dommage il n’y a pas de lait, j’aurais bien gouter... slurp...

Je passai mon autre main entre ces jambes et me saisit du bout du gode avant de faire des allers-retours en elle tout en frottant bien la base sur sa vulve pour que les boules à la base frottent bien son clito...

- Dit moi chérie, tu as une poitrine énorme, elle est naturelle? Ou tu as un tour dans ton sac?

J'ai de plus en plus de mal à tenir la conversation avec cette petite chatte assez curieuse mais je poursuis néanmoins car je dois bien avouer que cette situation m'excite beaucoup. Je vois bien que c'est le cas chez elle aussi lorsque j'enfonce entièrement le gode dans ma chatte brûlante et qu'elle vient presque coller ses lèvres entre mes cuisses. Je l'incite à y goûter, mais elle se retire en prétextant vouloir faire monter la pression.

J'hoche la tête pour lui indiquer que je comprends, néanmoins le mal est fait et je suis désormais trop excitee et j'ai besoin de me soulager. Je commence à faire bouger le jouet en moi et elle se redresse pour venir libérer ma poitirne voluptueuse de sa prison de tissus, à mon agréable surprise. Elle me caresse et embrasse ma peau, et je réagis à ses avances en gemissant doucement.

- Même si il n'y a pas de lait, tu peux les goûter quand tu veux ma jolie...

Comme pour ponctuer mes propos, je me leche les lèvres et ondule un peu du bassin. Puis je sens qu'elle vient s'emparer du faux sexe qui s'enfonce en moi pour le faire aller et venir au rythme qu'elle lui impose. Je ferme doucement les yeux et l'incite à continuer :

- Hmmm continue... j'aime quand c'est toi qui le fait...

Je poussais un peu sur mon bassin pour accompagner ses mouvements, désormais tellement excitee que de la cyprine coule d'entre mes cuisses. Je note intérieurement que ma poitrine semble lui plaire et que j'aurais de quoi jouer avec. J'imagine déjà enfoncer sa petite tête dedans...

- C'est tout à fait naturel, mais je t'en prie n'hésite pas à l'explorer d'avantage, je constate que tu l'aimes plutôt bien.

Je venais de passer derrière elle, visiblement elle ne s’attendais pas à ce que je refuse son invitation au cunnilingus, et libère sa poitrine pour la caresser doucement. Il me faut bien une bonne dizaine de seconde pour en faire le tour a une main, tellement elle est énorme. Je m’attaque alors à son téton gauche et lui dit qu’il est dommage qu’il n’y ait pas de lait, ce à quoi elle me dit que même sans lait, je pouvais les gouter quand je veux...

- J’en ai bien l’intention, fais-moi confiance, mais plus tard...

Je retourne à son coup et continue de le lécher en remontant dans ces cheveux pour les sentir un moment avant de revenir à son visage et la couvrir de baiser tout en évitant soigneusement ces lèvres pour laisser la tentions monter...

Je lui prends alors, avec l’autre main le gode en elle, et commence à lui faire des allers-retours rapides tout en frottant bien les grosses bulles à la base sur son clito.

- Et moi j’aime t’entendre gémir, je me demande combien de temps tu peux tenir avant de jouir...

Je voyais déjà son bassin bouger au rythme de des entrée et sortie du gode en elle, elle est bien partie la coquine. Après cinq ou six minuter à la prendre dans cette position et à lui lécher le coup tout en lui tripotant la poitrine, j’eu envie de passer à l’étape suivante. Je sortie alors le gode de son ventre et vin le mètre dans ma bouche...

- Slurp slurp slurp, hummm de la soupe de Laëlia... slurp hummm

Mais pour ne pas la laisser redescendre, je mis rapidement ma queue dorsale dans son vagin. Elle est peut-être duveteuse, mais elle a une base dure d’un diamètre de cinq bons centimètres ce qui était largement suffisent pour faire jouir les gens. Je faisais donc des allers-retours en elle avec ma queue pendant que mes mains prenaient ces deux seins et les malaxais plus fortement et plus fréquemment qu’avant...

-humm toi vouloir encore? Slurp...

Je faisais aussi des mouvements de bassin pour aider ma queue à aller et sortir de son entre...

La coquine s'amuse à faire monter et grandir mon impatience et je dois dire que cela fonctionne plutôt bien. J'apprécie vivement le contact de ses lèvres sut mon visage et de ses caresses sur mon corps et je l'accueille sur moi et en moi avec un plaisir que je ne prends pas la peine de dissimulé.  Elle semble aimer m'entendre gemir et je ne suis pas prête à lui refuser ce petit plaisir !

Le gode s'enfonce de plus en plus rapidement en moi et fait monter d'un cran la température de mon corps. Ma chatte commence à se contracter autour de plus en plus régulièrement mais elle la libere finalement pour venir glisser le jouet entre ses lèvres et s'amuser à le nettoyer des traces de mon plaisir avec sa langue. Cette vision est tout bonnement exquise et je ne peut m'empêcher de me dire que si j'avais une queue entre les jambes elle serait déjà entrain de la labourer de toute part.

- Hmmm c'est que t'as l'air d'être une sacrée bonne suceuse...

Et j'ai bien envie d'en voir d'avantage. Cette fois ci c'est moi qui vient attraper le gode entre ses lèvres pour lui imposer mon rythme et je me mets à lui baiser la bouche non sans un sourire, lui imposant un semblant de fellation tout en me retenant de venir dévorer ses lèvres.

 Puis le manque provoqué entre mes cuisses est à nouveau comblé lorsqu'elle vient me penetrer avec sa queue duveteuse. Je lâche un hoquet de plaisir, surprise, et prend le temps de découvrir cette nouvelle sensation particulière. Elle se met à bouger à l'entrée de ma chatte et je comprends surtout qu'elle a ainsi les moyens de me faire jouir.

- Ouuuh oui j'en veux encore... oh oui c'est bon...

Je me mets à accompagner ses mouvements et pose mes mains sur les siennes tandis qu'elle me caresse les seins, gigottant sur l'assise sous l'effet qu'elle me fait elle ne peut que constater à quel point je suis excitee.

Je ne me lasse pas de l’entendre gémir, et continuerais temps qu’elle n’a pas eu d’orgasme. L’entendre crier de plaisir a l’orgasme est mon but, et je ne l’embrasserais pas avant, ou même changer de position. Quand je retire le gode de ces entrailles, pour venir le sucer devant son regard plein de stupre, le me complimente sur le faire que je devais être une bonne suceuse…

- Merci, dommage tu n’as pas de pénis, je t’aurais bien sucé jusqu’as la dernière goute… Enfin je ferais pareille avec ton clito après et…

Je n’eus pas le temps de finir m’as phrase qu’elle prit le gode dans ma bouche pour lui imposer un rythme rapide en l’enfonçant à fond à chaque passage. Je fus surprise au début, mais rapidement je referme mes lèvre dessus et la laisse faire ce qu’elle voulait, le gode n’était pas asse gros/grand pour me poser problème.

Quand je la pénétrai avec ma queue dorsale, je constatai rapidement qu’elle aimait cela et que je pouvais y aller à fond. Je sentais son vagin se contracter de manière régulière sur ma queue ce qui voulait dire que l’on avait passé le point de non-retour. Il ne me restait plus qu’une chose à faire, lui donner l’orgasme le plus explosif possible, donc pendant qu’elle s’occupait de ma bouche, ma main droite lâcha son sein droit, le laissant au bon soin de sa main à elle, et descendis en vitesse a son clitoris pour le caresser vigoureusement avec mon majeur pendant que le l’autre main presse fortement son sein et téton nouer a sa main…

- Oui vasi, joui pour moi… Je m’appelle KANA, DIT MON NOM HUMAINE !!!

Je savais bien qu’elle n’était pas vraiment humaine, je ne lui accorderais pas autant de plaisir si c’était le cas, mais je voulais qu’elle chante mon nom pendant son orgasme, simple petite lubie personnelle…

Les vas et vient de sa petite queue sont pour le moins agréables et je gémis de plus en plus fort, ce qui a l'air de bien lui plaire. Elle ne se plaint pas non plus de la fellation que je lui impose et referme même ses lèvres sur le gode pour me montrer ses talents de suceuse, ce qui ne manque pas de me donner d'avantage d'excitation. Elle me parle de sucer mon clitoris et je languie de sentir ses lèvres se faufiler entre mes cuisses.

- J'ai hâte...

Mon vagin se contracte de plus en plus et je sens que l'orgasme est proche, elle décide d'ailleurs de venir m'achever en venant stimuler mon clitoris et mes mains s'activent sur ma poitrine que je maltraite tandis que je ne parviens pas à me retenir plus longtemps. Mon corps est parcouru de spasme et j'obeis à ses directives en gardant à qu'elle n'est pas prête pour ce qui l'attend ensuite :

- A tes ordres Kana... vas y encore... OH OUI KANA JE JOUIS !!!!!

Ma main vient s'appuyer sur la sienne pour l'inciter à continuer à me faire du bien et mes cuisses et sa queue se font arroser de ma cyprine. Je mets quelques secondes à planer avant de redescendre un peu et tirer sur sa main pour qu'elle vienne se remettre face à moi :

- C'était divin... mais maintenant j'ai bien envie de profiter de toi moi aussi...


J'observe son corps aux jolies formes et la regarde avec gourmandise. Les possibilités qui s'offrainet à moi etaient allechante et j'avais bien envie d'epuiser cette petite chatte.

Elle continue de gémir de plus en plus entre mes pattes, et avec ma queue en elle. Les cris de joie d’une femme sont à mes oreille le plus beau son qu’elles peuvent produire, alors entendre ceux de Laëlia qui augmente en intensité par mes soins, est drôlement excitent et plaisant. Elle confirmât même avoir hâte que je lui suce le clito, chose que j’avais effectivement envie. Je rentrai encore un peu plus ma queue en elle jusqu’as faire une boulle au fond de son ventre, ne pouvant aller plus loin.

Ce fus à ce moment que je sentis les contractions de son vagin sur ma queue, je sue alors que le point de non-retour venait de passer, elle ne l’avait pas encore, mais elle allait avoir un orgasme dans les secondes qui suive. Je fis donc mon possible pour le rendre le plus explosif possible en, mettant la vitesse de pénétration max à ma queue en elle, en lâchant son sein droit pour frotter/jouer activement son clitoris et en nouant les doigts de ma main gauche a la sienne et en maltraitant son sein gauche avec elle.

Après dix petit seconds d’intense cris de joie, je sentie en elle son vagin se caler sur la position “ultra serrer” et cracher quelque jet de cyprines sur ma queue et ma main, pendant que nos autres mains serraient sont sein gauche si fort que je crue que son téton allait éclater. Elle se mis, comme demander, à crier mon nom pendant son orgasme qui durant cinq à six seconde avant qu’elle ne repose son bassin sur le mien et ne respire à nouveau normalement...

Elle me dit alors que c’était divin, mais qu’elle voulait s’occuper de moi maintenant...

- D’accord, cependant j’aime trop t'entendre jouir et te donner des orgasmes. Donc on n’a cas faire ça...

Je la poussai dos sur le divan et me mis au-dessus d’elle pour l’embrasse en me frottant bien comme il faut à elle, si bien que si j’avais un pénis il serait déjà en elle a coup sûr. Après trente bonnes secondes d’un baisser mêlant salive langue et passion, je me retirai et me retourna pour me retrouver la tête entre les cuisses de Laëlia et ma chatte au-dessus de la sienne.

- Bonne appétit... La première à faire jouir l’autre, gagne le droit de faire ce qu’elle veut au corps de l’autre au troisième round... GO

Et sans attendre je plaque ma langue râpeuse sur l’intimité, mouillée comme jamais, de Laëlia et descend jusqu’en bas, m’arrêtant juste avant l’anus. Je renouvelle l’opération a plusieurs reprises jusqu’as ce que je suis sûr qu’il e reste plus la moindre trace de cyprine sur son sexe et m’attaqua alors à son bouton de plaisir l’astiquant a un rythme rapide avec ma langue râpeuse...

- Slurp slurp slurp, tu sens slurp si bon slurp... je vais te faire l’amour encore un long moment...