Au commencement de la nuit... (PV. Nyora) [Terminé]

Et voilà une autre journée à me réveiller dans le lit d’un inconnu, tout ça parse qu’il me fallait un coin ou dormir. Je commençais sérieusement à en avoir marre de cette vie, je me levai discrètement et partie sans demander mon reste. Quesque je pouvais bien faire dans cette ville qui justifierais de me donner une chambre, de la nourriture et potentiel de la compagnie pour avoir des infos sur des cible intéressante. La réponse fut vite trouvée, celle de maitresse de la nuit, de compagne de nuit, cela ne me poserait pas de problème, je le faisais déjà presque toutes les nuits et après quelque renseignement le meilleur endroit pour “exercer mes tallent” fut trouver...

Le Nyoras Club, un club de péripatéticiennes venue d’ailleurs et qui marchais plutôt bien d’après les derniers renseignements que j’avais obtenue. Je décidai de me présenter dans mon plus simple appareille, comme d’habitude, et entra dans l’établissement jusqu’à trouver une hôtesse...
 
- Bonjour, je cherche une responsable. J'aimerais postulée...

(PoV : Yor)

Une fois n’est pas coutume, je bosse du côté de Terra !
En train d’enfiler un kimono léger, je me demande pourquoi je ne viens pas ici plus régulièrement. Peut-être parce qu’il y a moins de clientèle, ou qu’on a un peu plus de collègues ?
Ou parce que Ada nous prems toujours quand on se demande qui pourrait venir faire le service ici, espérant ainsi se prendre les plus grosses queues du coin ?

Ou peut-être un peu des deux. En tout cas, aujourd’hui je suis là !

Une fois le kimono tenant à peu près comme il faut, c’est-à-dire juste assez pour être enlevé rapidement, je sors du vestiaire. Il est plutôt petit que sur Terre, et à l’étage… et tandis que je descends et me demande qui je vais bien pouvoir servir aujourd’hui, j’entends une voix derrière moi. Une responsable ? Postuler ? Il doit bien y avoir… hmm… personne en fait, à part moi. Et Ada, en train de se faire déglinguer par un groupe d’orcs. Bon…

J’observe un instant la terranide qui me fait face, pas mécontente de la voir se promener sans vêtements. Au moins elle n’a pas froid aux yeux elle ! Direct dans l’ambiance !

« Salut ! On dirait bien que ça va être moi la responsable aujourd’hui. »

Je souris, et… et merde, je suis censée faire quoi moi là ? Ah oui, Aya a dû mettre des papiers quelque part pour ça… surement dans notre coin privé. Donc retour en haut !

« La paperasse c’est en haut ! Enfin juste des formalités quoi… tu me suis ? Moi c’est Yor au fait. »

Une fois rentrée dans l’établissement, je fis mon annonce au comptoir et une femme vins à ma rencontre. Elle portait un kimono bleu, qui semblais pouvoir se retire avec un simple coup de vent, et pas grands chose d’autre ormis une paire d’oreille en peluche sur la tête, elle m’accueillie en souriant me disant qu'aujourd’hui se serais elle la responsable. Je lui rendis son sourire me demandant bien ce qu’elle allait bien pouvoir me demander pour m’engager, si elle m’engage...

- Enchantée Yor, moi c’est Kana...

Je la suivis quand elle me dit que la “paperasse” se trouve en haut, si m’engagée était une simple tache administrative, se sera rapide. En passant à l’étage je vis une autre fille en trains de se faire prendre par plusieurs orc, elle ressemblait un peu à la femme qui me serre de responsable, j'espère qu’elle ne va pas me demander la même chose...

- Pardon, mais comment se passe l’entretien ? Une simple formalité administrative me semble un peu trop rapide, du coup je vais devoir vous montrer l’étendue de mes talents ?

Une fois la future-potentielle-nouvelle invitée à me suivre, j’ouvre la marche vers l’étage. J’ai bien vu qu’elle m’a dévisagée, pour pas dire matée, et je suppose qu’elle va pas se gêner pour continuer : elle doit avoir une belle vue sur mes cuisses et mon cul dans les escaliers.

« Enchantée aussi Kana ! »

Alors qu’on arrive à l’étage, je me dis qu’avec tout ça Ada se retrouve peut-être toute seule. Et en plus, elle est déjà bien occupée… bon, y’a pas encore trop de monde donc ça devrait aller ! Et au pire elle a toujours de la place pour quelques bites de plus non ? On dira que oui !

J’ouvre la cinquième et dernière porte du couloir, qui donne sur une sorte de bureau. Enfin vite fait. Il y a bien un bureau, des chaises, mais il y a aussi des gros canapés. On ne fait pas que remplir de la paperasse ici, et ça Kana a l’air de s’en douter : elle me demande déjà si elle va devoir me montrer l’étendue de ses talents. Si c’est proposé si gentiment je vais clairement pas dire non !

« Oui t’as raison ! Y’a quelques questions, des explications et j’adorerais te faire passer une petite épreuve pratique. »

Enfin petite… si je me retrouve à pouvoir me la faire, je risque de me laisser aller et ça pourrait déraper. Je me connais à force… et je fais aucun effort pour changer ça !

« Vas-y pose toi, je vais chercher les papiers… »

Je la laisse s’installer où elle veut, le temps de chercher ça. C’est, sans aucune surprise, dans l’un des tiroirs que je trouve les papiers que je cherche et un crayon de bois pour remplir. Bon le nom, c’est Kana… voilà, ça c’était la partie facile. Et maintenant…

« Alors… bon déjà, la question obligatoire : pourquoi tu veux ce taf, et est-ce que quelqu’un te force la main pour que tu le fasses ? »

C’est que chez nous, on préfère éviter d’avoir des gens qui sont pas là de leur plein gré. Question de principe quoi ! Et parfois quand y’a un problème, on peut même aider à le résoudre. Et aussi…

« Et est-ce que tu as des problèmes avec certaines espèces ? C’est que y’en a pas mal sur Terra, et toutes ne sont pas forcément très compatibles… »

Elle l’aura surement compris, mais je parle à la fois de problèmes personnels et de problèmes sexuels. Nos quelques employées locales n’aiment pas toutes se prendre des poutres comme Ada, et se contentent d’humains. Je me demande où se situe cette jolie petite chatte ?

Je continue à la suivre jusqu’au bureau, non sans lui mater le cul, mais me crispe en voyant les orc prendre l’autre dame. Je lui demande s’il va y avoir un teste pratique, chose qu’elle semble soulagée d’entendre, comme si elle n’haussait pas demander...

- D’accord, vous aller voir je suis très bon en cuni, ou féllation...

Comme je n’avais pas vue son entre jambe, je ne savais pas quel mot utiliser. Je rentre dans le bureau et sent tout de suite à l’odeur de stupre qu’il ne s’agissais pas QUE d’un bureau administratif.  Elle me propose de m’assoir, mais ne me dit pas ou, je choisis donc “professionnellement” la chaise en fasse du bureau, mais m’assis en prenant mon aise et écarte les jambes la laissant avoir une vue plongeant sur mon intimité. Je me disais que comme l’entretien avais commencer, faillais la charmer...

Elle commença alors le questionnaire en me demandant pourquoi je voulais de ce poste, et si quelqu’un me forçait la main...

- Alors je veux se taf car j’en ai un peu marre de charmer des males pour dormir chez eux, j’aimerais une chambre rien qu’as moi. Et comme j’ai besoin d’un taf aussi, autant mêler l’utile à l’agréable en venant ici...

Je lui avais dit la vérité, même si elle n’est pas de plus glorieuse, du coup je commence à utiliser mon tallent en lâchant quelques phéromones pour charmer les filles, en les sentant elle ne tombe pas instantanément amoureuse de moi, mais on envie de se rapprocher...

- Et non personne ne me force la main, le dernier qui a testé a perdu la vie... dans un tragique accident bien sûr...

Je faisais référence au maitre de ma mère, mais sans le lui dire évidement, je ne raconte pas ma vie priver aussi facilement...

Elle me demande alors si j’ai des problèmes avec certaine espèce, je souris car je voyais mal un furry cheval enfoncer toute sa bite en moi, mais a par ça...

- Hum, a par les humains, je ne les apprécie par beaucoup, donc je peux les prendre mais pas de gaité de cœur. A par cas un canasson me ferais plaisir mais lui pas sûr qu’il sache mettre beaucoup de son pénis en moi... Les ors qu’on a vus tout à leur ne me font pas peur, mais si on pouvait éviter les gangs bang, se serais apprécier.

Puisqu’on parlait de sexe ôtent parler des positions et de la capote...

- Au passage, ceux et celle qui ont un pénis devront soit éjaculer autre part que dans mon vagin, ou mettre un préservatif, mon système reproducteur n’est pas nul. Et pour ce qui est des positions aucune ne me fait peur...

Et puisqu’elle posait des questions autant en faire de même...

- Sa vous arrive souvent de refuser des clients?

Les entretiens ce n’est pas mon fort, mais je trouve que je m’en sors bien !
Déjà, j’ai trouvé la paperasse. Un bon point par rapport à la dernière fois où j’ai dû en faire passer un. Et en plus, j’arrive à rester à peu près professionnelle… même si j’ai du mal à ne pas mater cette petite chatte qui semble bien accueillante… et vu sa position, c’est tout sauf innocent. Sans parler de ses paroles.

Mais je résiste ! C’est qu’il y a quelques trucs à noter quand même… comme par exemple… besoin d’argent pour avoir un chez elle. Ok, classique… mais elle précise quand même vouloir allier l’utile à l’agréable. Donc ça va, elle aime bien le sexe. Parfait. Si personne ne la force et que l’idée de coucher ne la dérange pas, c’est tout bon.

« Ok, ça me va… ensuite… »

Je souris à la mention d’accident. Oh oui, les fameux accidents…

« Ici les gens se tiennent un minimum… au début ce n’était pas trop le cas, mais après quelques accidents comme tu les appelles… et on a aussi un deal avec quelques habitués qui n’hésitent pas à mettre à la porte les gêneurs, avec perte et fracas. T’auras pas à te salir les mains si il y a un problème avec un client. »

Autant qu’elle sache qu’on ne rigole pas avec la sécurité, même si nos méthodes peuvent être surprenantes.
Je continue de l’écouter, avec la sensation que quelque chose a changé dans l’air. Elle a fait un truc ? Faudra que je lui demande après tiens. Pour l’instant, elle me dit qu’elle n’est pas très fan d’humains. Bon, sur Terre ça serait emmerdant, mais ici ça ne représente qu’une partie de nos clients.

« Ok… t’auras pas à te forcer, si y’en a un ou une qui te tape dans l’œil faudra pas te priver mais sinon tant pis. De toute façon avec le passage qu’il y a ici tu pourras toujours te dénicher une autre espèce… mais pas un centaure alors ? »

Je ris un instant, la fixant du regard. Mes yeux descendent jusqu’à sa chatte toujours exhibée, et je lui demande.

« C’est quoi le plus gros que tu arrives à te prendre… ? Par curiosité bien sûr. »

Oui, bien sûr, de la curiosité. Surement pas pour lui sortir une bite de cette taille dans quelques minutes. Ça n’est clairement pas mon genre !
Et elle dit quoi du coup ? Ah oui, capote, éjaculation, fécondité… les classiques !

« T’en fait pas pour ça, y’a des capotes en libre-service… et des potions ou médoc si ça dérape et que tu veux être sûre de pas te retrouver enceinte. C’est gratuit, faudra pas hésiter à te servir. »

Je vérifie mes notes. Bon, on n’est pas mal ! Elle me pose à son tour une question, mais je secoue la tête.

« Non, à part si ça peut poser un problème dans le club… comme des types totalement bourrés, de toute façon ils peuvent à peine bander alors à quoi bon ? »

Je ris un instant, avant de lui poser une autre question à mon tour. En plus de celle sur la taille des bites qu’elle peut encaisser, qui reste importante… pour moi.

« Bon ensuite… est-ce que tu as des pouvoirs ? Pour être transparente avec toi, sache que nous – enfin, les fondatrices du club – pouvons changer d’apparence et nous téléporter très facilement. On demande à la fois pour le potentiel côté sexuel, et pour la sécurité de tous. L’autre coup on s’est retrouvé avec une succube qui y est allé un peu trop fort avec un client, ça a été un sacré bordel… »

L’entretien se passais plutôt bien, elle demandait si j’étais forcer d’une manière ou d’une autre à faire ça, mais les doute sur ma présence ici furent vite dissiper. Ensuite l’on parla d’“accident” et je me demandai si elle parlait du même genre d’“accident” que moi, car je doutais qu’il ait eu des meurtres ici. Elle me rassura que la sécurité fût bien améliorée par rapport au début ce qui me rassura quand même...

- Ça n’as pas due être facile à vos débuts, j’aimerais bien rencontre ces fameux clients réguliers...

Je remarquai à ces réactions qu’elle sentait mes phéromones, restais plus qu’as attendre pour voir les premiers effets. Vins par la suite le sujet sur les espèces que j’accepte ou non, je lui fis part de mes rejets sur les humains et cela ne sembla pas la dérangée outre mesure. Elle me dit simplement que si un humain me tape dans l’œil, je ne devais pas me priver, mais qu’il ne faillait jamais me sentir forcée. Décidément je me sentais de mieux en mieux ici, elle est super gentille cette fille, si elles sont toutes comme elle, on allait s’amusée ici...

- Oh si, j’accepte les centaures avec plaisir, juste faux qu’il soit au courant qu’ils taperont le fond rapidement, si tu voies ce que je veux dire...

Je la vie alors regarder ma vulve, visiblement mes phéromones devait commencer à la travailler. Elle me demanda alors ce qui était le plus gros que j’acceptais, je rougie un instant et me rapproche de la table pour lui susurre en mode “aguicheuse”...

- Et bien si le bulbe d’un furry chat rentre, j’imagine que le pénis d’un centaure rentre aussi, le problème était plus de l’ordre de la taille que de la grosseur...

Je vis alors qu’il y avait une bosse a son entre jambe, je fus bouche B en le voyant mais ne dit rien attendant de voir ce qu’elle me réservait. Je continuai sur mes craintes de tombée enceinte et elle me rassura bien vite sur le fait qu’il y avait des capotes en libre-service et des potions, donc faillais pas hésiter.

Elle répondit à ma question sur les clients “refuser” en disant que cela arrive rarement, mais que comme ils peuvent à peine bander, a quoi bon. Je rigolai à sa petite feinte, et repris mon sérieux quand elle me demanda si j’avais des pouvoir particulier. Es qu'elle me soupçonne de les utiliser contre elle en ce moment ? Je n’en savais rien, mais comme l’honnêteté m’avais bien aidé jusqu’à présent, autant continuer.

Je me levai et vins m’asseoir sur elle en mode califourchon avant de libérer le plus possible de phéromone sexuelle. Les quantités était telle qu’elle ferait bander un impuissant, c’était certes un peu dangereux sur une inconnue, mais je sentais que je pouvais faire confiance à cette femme...

- Pour tout te dire oui j’en ai un, hériter de ma mère. Je peux lâcher des phéromones qui ont l’effet que je veux, dans le cas présent elle ferait bander un impuissant... Tu les sens ?

Je frotte mon entre jambe a la sienne...

- Oh oui tu les sens...

Je me mets à ronronner attendant sa réaction...

La petite chatte, Kana de son prénom donc, semble plutôt réceptive lorsque je lui parle des quelques soucis que nous avons eu. Rien d’incroyable en soi, mais lui en parler pose les bases : oui on en a déjà eu, et oui on a des solutions pour la plupart d’entre eux. Et pour les autres… ça se termine souvent en téléportation au milieu de nulle part. Sur Terre il faut être sacrément discret, mais sur Terra quand les clients nous voient disparaître avec quelqu’un qui pose des problèmes et revenir sans les rires et les applaudissements fusent parfois. Deux mondes deux ambiances !

Et là, elle dit quelque chose qui me fait particulièrement plaisir : ça ne la dérange pas de se faire prendre par un centaure, carrément ! Je l’aime déjà cette petite. Les centaures, c’est toute une aventure… nous on peut se les prendre en entiers sans problème, mais elle doit douiller elle si ils insistent trop. En fait, même sans ça… elle a peut-être des capacités d’adaptation ou de transformation aussi ? Je serais vite fixée…

« Oh chérie, j’ai bien envie de te voir te retrouver à quatre pattes sous un centaure… »

Ou sous moi ou une des autres nyoras. Après tout on peut lui offrir ce qu’elle veut, et… et j’ai bien envie de lui demander de prouver ses propos tiens… en particulier depuis que quelque chose a changé dans l’air. Pour l’instant je m’étais faites une belle bite humaine, mais je me demande si je ne vais pas améliorer ça ! Surtout qu’elle semble avoir capté ce qui va être la partie la plus amusante de l’entretien, et je vois bien qu’elle est surprise de voir cette bosse entre mes cuisses. Qu’est-ce que ça va être quand je vais la lui offrir !

Lorsque je lui demande si elle a un quelconque pouvoir, elle m’avoue pouvoir lâcher des phéromones dans l’air. C’est donc ça ! Je savais bien qu’il y avait quelque chose qui avait changé. Ça me rappelle une visiteuse qui en avait abusé il y a pas mal de temps déjà… j’avais fini par la remplir jusqu’à ce qu’elle déborde, pendant que le reste de la salle était plongé dans une orgie frénétique… la plupart des filles présentes ce soir là ont fini couvertes de sperme de la tête au pied ! C’était quelque chose, je suis sûre qu’avec Kana on pourra organiser des soirées de folies !

En tout cas, entre l’atmosphère de plus en plus chaude et sa petite chatte qui frotte sur ma queue, j’ai qu’une envie : passer à l’étape suivante. Alors, tout aussi aguicheuse qu’elle, je murmure à mon tour à son oreille :

« T’as pas envie de me montrer jusqu’où tu peux te prendre une queue de centaure tiens ? »

Et, maintenant que j’ai terminé d’adapter mon sexe à la situation, je fais glisser ma culotte au sol et révèle un sexe massif digne d’un centaure. Long, épais, fièrement dressé et à disposition de la nouvelle recrue.

« Tu vois comment je les sens tes phéromones… ? Je bande dur, tu vas avoir du boulot ma belle… »

Elle me révèle que téléporter des gens qui pose problème fond partie des choses qui se fond ici, et des fois même applaudies. Que voilà une initiative que je ne peux qu'approuver, si cela ne dépendait que de moi, je m’occuperais des humains avec joie. 

Vins ensuite le sujet sur les centaures, de tout évidence c'est un de ces kiff personnelle les centaures. Elle fut très agréablement surprise que je ne refuse pas les bestioles à quatre pattes et me dit même qu’elle avait hâte de me voir me faire prendre à quatre pattes par un centaure...

- Ah bon ? Tu as un ami centaure qui viens souvent ? Hi hi hi

Vins par la suite mon idée de lâcher mes phéromones, et de lui grimper dessus. Ce que j’avais vue plus tôt se révéla alors à ma vue, elle venait de faire tomber sa culotte au sol et de délivrer son pénis qui pointais fièrement entre nous. Je fus cependant très surprise en découvrant la forme du dit pénis, c’est un pénis équin d’une cinquantaine de centimètre, a vue de nez, avec deux couleurs, une rouge jusqu’à 60% et une brune jusqu’à la fin. Juste en dessous il y a un sac contenant une paire de testicule, chacune de la taille d’un kiwi et tout au-dessus un gland en forme de champignon avec une collerette d’une grosseur grosse comme mon index...

- Ah je comprends mieux les questions sur les centaures, un de vos parent en est un?

 Comme elle semblais presque me supplier, je lui prends le sexe en main et la branle a vitesse moyenne sur 50% de son pénis en écoutant sa réponse. Une fois qu’elle ma donner sa réponse je descends de la chaise et me mes a genoux devant elle, je n’arrête pas la masturbation, mais la descend pour laisser le gland en paix.

- Oh faite, t’ai-je dit que j’avale facilement ?

Sur ces belles paroles je lèche la collerette de son gland à plusieurs reprises avec toute ma langue râpeuse, comme une glace a la fraise, avant de frotter son urètre avec la pointe. Après une petite trentaine de seconde a la lécher et branler je fais le tour de la collerette avec ma langue avant de gober son gland dans ma bouche qui était totalement obstruée, espérant que mes dents ne touchent pas.

Pour être sûr de ne pas la blesser avec mes dents je les recouvre de mes lèvres, et recommence toute l’opération a plusieurs reprises pendant la masturbation permanente...

- Comment une femme comme toit n’as pas encore une dizaine d’enfants? Hi hi hi

Un ami centaure ? Je souris à l’idée, qui est quand même bien sympa. Mais non, ce sont plutôt des clients occasionnels… même si j’en connais au moins une qui irait volontiers se mettre à quatre pattes au milieu d’une de leur tribu si elle en avait l’occasion.

« C’est plutôt Ada qui court après les grosses bites, même si j’aime ça aussi. Elle est toute gentille et toute douce, mais dès que tu lui montres une queue géante ça devient une énorme salope ! Franchement je l’adore. »

Je ris et me concentre sur la suite de cet entretien. Bon, sur le papier il est terminé, il ne reste que la pratique… et avec tout ce qu’elle m’a dit et l’utilisation de son pouvoir, son test est tout trouvé et se présente sous la forme d’une bite digne d’un centaure bien membré. Après tout, elle a affirmé plusieurs fois pouvoir s’en prendre une et ça serait vraiment trop irresponsable de ma part de ne pas le vérifier…

« Non, je m’en suis faites une juste pour toi… au moins, tu vois en partie à quoi sert notre pouvoir de transformation… pratique hein ? On va pouvoir s’entrainer ensemble… »

Elle semble admirer ma queue, ou peut-être la jauger. Trop grosse ? Trop longue ? Visiblement non, car elle commence à me branler sans se faire prier. Qu’elle est adorable ! Et en plus, elle vient vite se mettre à genoux devant moi pour continuer la branlette du côté de la base. Ses mains ont l’air petites à côté du mastodonte dont elle s’occupe, mais je trouve cette différence de taille très excitante… et avec la quantité de phéromone qu’elle a balancée, elle va avoir du boulot !
Je fais glisser mon kimono de mes épaules et révèle ma poitrine, dont les tétons pointent eux aussi. Mes mains viennent se saisir de mes seins et je les caresse en la regardant lécher le bout de ma bite en lui souriant.

« C’est bien ça… tu vas avoir beaucoup à avaler… j’ai les couilles remplies à ras-bord. »

Mais en plus de surement très bien avaler, elle a aussi une sacrée bouche : elle arrive à y accueillir mon gland, tout en continuant de caresser le reste du mat. Je la regarde faire avec un immense plaisir, toujours appréciative de ce type de spectacle.
Elle profite d’une reprise de respiration pour me poser une question qui, soyons honnête, m’amuse beaucoup.

« Une dizaine… ? Je suis presque sûre que je dois en avoir encore plus que ça… entre les clientes qui ont envie de se faire fourrer et remplir et les coups d’un soir… »

Je ne devrais surement pas m’en vanter vu les savons que m’a parfois passé Aya, mais nous sommes avant tout une race reproductrice ! Balancer la sauce à la moindre occasion c’est tout ce qu’il y a de plus normal… même si nous essayons de faire attention.
Mais maintenant qu’elle m’a chauffée en me rappelant à quel point j’adore gicler à la moindre occasion, j’ai bien envie de la provoquer un coup pour voir jusqu’où elle peut aller !

« Et sinon… jusqu’où t’es capable de la prendre en bouche… ? J’ai bien envie de voir ça avant de te voir la glisser dans ta petite chatte… »

Elle m’explique ne pas avoir d’ami centaure, se serais plus une fille nommer Ada qui serais une grand fan de gros pénis. Elle serait gentille en temps normal, mais quand un gros pénis apparais, elle bave comme jamais et deviens une vrai salope.

- Ah oui ? J’aimerais bien la voir se faire prendre. Tu pence qu’il  a moyen de la regarder se faire pénétrer ?

Je n’avais pas vraiment de tendance « voyeurisme » mais je dois avouer que ce coup la est très excitent. Elle me dit alors que son pouvoir peux lui permettre d’avoir un chibre de la forme et taille voulue et j’imaginais que cela fonctionnais aussi pour le vagin. Je compris alors comment elle pouvait prendre des gros pénis dans leur ventre sans souffrir.

- Ah oui, je voie… Je comprends mieux comment toi et t’es sœur vous prenez des pénis de centaure sans souffrance. Merci pour ce chibre des plus impressionnants, je vais te faire une démonstration de ce que je peux faire…

Je me mes a genoux devant elle, quand elle retire le haut de son kimono et dévoile sa poitrine opulente, je fis un aller-retour avec ma tête entre sa poitrine et son pénis ne sachant plus où donner de la tête. Après cinq petites secondes je choisis son pénis, laissant sa poitrine au bon soin de ces mains. Je commence à la masturber avec vigueur, et même à lui lécher le gland quand elle me dit que j’avais de la margea sucer et qu’elle a les couilles plaine. Je la lâche une seconde et lui sourit en lui prenant ces deux kiwi en main…

- Je l’espère bien, j’ai soif…

Je prends alors le gland en bouche tout en continuant la masturbation et en l’échant le bord et en faisant le tour avec ma langue. Visiblement elle appréciait car elle se caressait les seins avec joie et son pénis vibrait dans ma bouche. Après un moment de fellation je me retire pour lui poser une question sur ces enfants, mais sans arrêter ma masturbation que continue de l’astiquer avec vigueur. Elle me répond qu’elle a surement bien plus de 10 enfants en comptabilisant toute les femmes qui prennent un coup d’un soir sans capote, après tout elle appartient à une race très reproductive…

- Ah chouette ça, et y en a aucun qui n’est jamais revenus en t’appelant « maman » ? Tu ferais quoi si cela arrive ?

Elle me demanda alors jusqu’où je me sentais capable de prendre son pénis en bouche, je sourie à pleine dent et, sans rien dire, je repris sont gland champignons en bouche toute en lâchant son pénis d’une main pour prendre ces kiwi en dessous en main et jouer avec. L’autre main continue à l’astiquer avec vigueur pendant que je l’enfonce progressivement dans ma bouche. Je réussie à la prendre jusqu’as la moitié de la zone rouge (plus ou moins ¼ de la totalité de son pénis), je commençais de lent vas et viens, malheureusement je ne pouvais faire plus rapide car mes canines allais râper sur son membre. Je la suçai pendant une trentaine de seconde avant de la lâcher à nouveau en continuant de la masturber.

-  Peux pas faire plus ou mes dent vont rapper sur ton pénis, sa risque de faire mal… Au passage, tu veux éjaculer dans ma bouche ? Ou dans mon vagin ? L’un ou l’autre je pense d’après ce que je sente dans mes mains, tu n’es pas loin d’exploser… Alors ?

« Tu en auras l’occasion, je vais pas te cacher qu’on est parfois assez exhib’ nous… donc à part si le client veut un coin tranquille, on préfère faire ça dans la grande salle. Ca donne envie aux autres de s’envoyer en l’air aussi, et on passe parfois d’un tête à tête à un plan à quatre ou cinq… Aya dirait que c’est une bonne stratégie commerciale, moi je dirais que plus y’a de bites plus je m’amuse ! »

Je ris durant un instant, avant de me souvenir de sa question. Ah oui, voir Ada ! Bon ça y répond partiellement non ?

« En tout cas Ada tu la croiseras forcément, t’en fait pas pour ça. Si à un moment donné tu vois un centaure avec une nana à gros sein à quatre pattes devant en train de dandiner du cul, ça sera soit elle soit Nea ! Ou peut-être moi, va savoir. »

Car oui, moi aussi j’aime bien y aller fort de temps en temps. Qui l’aurait cru derrière mes airs innocents, hmm ? Je souris, avant de lui faire une démonstration de mon pouvoir et de l’effet du sien. Il ne me faut pas longtemps pour lui tendre une perche, ou plutôt une queue, et de l’avoir à genoux devant moi en train de la sucer puis de lécher comme elle peut le gland. Elle arrive même à le prendre en bouche, ce qui me plait bien ! Et en plus, elle vient même jouer avec mes couilles en me précisant qu’elle a soif. N’est-elle pas adorable… ?

En pleine fellation, elle vient aborder le sujet des enfants. Bien que ça soit sous trait d’humour, je lui réponds honnêtement : notre fonctionnement fait que nous cherchons souvent à en faire, et je n’en ai pas honte. Elle me demande alors si l’une est déjà revenue en m’appelant ‘maman’, et ce que je ferais si ça arrivait. Marrant comme question ça !

« Je crois pas… c’est qu’on change parfois d’apparence pour s’adapter à l’époque, et… hmmf… qu’il faudrait que la mère avoue qu’elle s’est faites culbuter par une fille dans un club… mais si jamais ça arrivait… et que cette personne a vraiment une bonne partie d’elle qui est nyora… je pense que je baiserais avec. On ne raisonne pas en lien filiaux nous, tous les nyoras sont notre famille… et on se gêne pas pour s’envoyer en l’air ensemble quand on en a envie. »

De quoi choquer des humains sans doute, mais c’est comme ça ! Et là tout de suite, j’ai plutôt envie de penser à cette langue et cette bouche qui sont là pour mon plaisir… je lance un petit défi à la chatte, qui se fait un plaisir de me faire une démonstration de ses talents. Je suis impressionnée de la voir prendre un bon quart de la bite dans sa bouche, et lorsqu’elle la relâche je lui souris toute excitée.

« Pas mal du tout Kana… c’est cool que tu penses à ne pas blesser aussi, c’est un bon point… et pour répondre à ta question… j’ai bien assez de stock pour te remplir la chatte et te donner à boire. Après tout tu disais avoir soif, ça serait vraiment pas cool de ma part de te priver d’un petit remontant non ? »

Je lui offre un clin d’œil joueur alors que je caresse lentement le long et épais pénis, l’invitant par là à le reprendre en bouche et le branler à nouveau pour venir boire à la source.

Quand je lui demande si je pourrais observer l’une d’elle en train de se faire prendre par un centaure, elle me dit que j’en aurais surement rapidement l’occasion car elle et ces sœurs son très exhibitionniste, et qu’as moins que le client veut être seul, elle le fond souvent dans le grand salon pour attirer d’autre personne. Elle ajoute même que si c’est Ada qui m’intéresse, il suffit de chercher une fille a quatre pattes devant un centaure en rut, je ne devrais normalement pas cherche longtemps...

- Je voie, pratique votre vagin extensible... Certain mâle arrive à rentrer dans votre utérus ? Ou ces porte close ? J’ai entendu dire que le sperme lâcher dans l’utérus mes des semaines à partir, à cause du col qui se referme. C'est vrai ? Si c’est un centaure qui éjacule dans l’utérus de Ada, elle donne l’aire d’une femme enceinte pendant deux semaines ?

J’avais plusieurs questions, mais valais mieux les poser avant qu'elle ne sache plus parler à cause de l’excitation. Après elle me montre son pouvoir, en faisant apparaitre un pénis de centaure entre ces jambes accompagner d’une paire de testicule grosse comme des kiwi. Je me mis rapidement au travaille en lui suçant le gland. Entre deux fellations de la collerette de son gland, je lui demandai si une jeune fille ou garçon était déjà revenue ici, pour l’appeler elle, ou l’une de ces sœur “Maman”. Elle me répondue que cela n’était pas encore arriver car faudrait que l’autre mère avoue cette fais prendre par une futa dans une maison close. Mais que si cela arrivait, elle baiserait surement avec elle car cher les Nyoras, elles sont toutes de la même famille et il n’est pas rare cher elle de baisser entre elle...

- Heu, cela va peut-être te surprendre, mais ma mère m’a toujours dit que je suis le fruit de son accouplement avec une femme futa d'apparence humain, dans une maison close.

Je lâche son pénis et la regarde dans les yeux...

- Maman?

Dis-je avec curiosité et une pointe d’envie dans la voie.

- Non peu probable, je n’ai pas le pouvoir de me téléporter ou de modifier mon corps. Mais sa peut encore venir... Sa t’ennuierais si c’était le cas ?

Je répondis, en écoutant sa réponse à ma question, ma fellation en lui faisant une gorge profonde, enfin pas si profonde que ça car j’eu tout juste les moyens de l’enfourner jusqu’au quart de son immense pénis. Je mettais mes lèvres sur mes dents pour ne pas lui faire mal en la libérant quelque temps plus tard, et elle m’avoua être ravie de mon initiative.

- Merci, j’adore ta bite, je m’en voudrais de l’écorcher... et puisque tu pence avoir asse pour ma bouche et ma chatte, il ne te reste plus qu’as le prouver. Un petit pari peut être ? Si j’arrive à tout avaler sans lâcher une goute, tu m’engage à coup sûr et tu me donne une chambre de luxe. Si je lâche quelque goute tu m’engage mais me donne une chambre normale et si je lâche plusieurs jets, je m’en vais et tu ne me rêveras pas, deal ?

Quoi qu’elle décide je comptais bien la sucer, mon envie crevais le plafond, mais ce pari me stimulait je gardais donc le contacte visuelle en reprenant son gland en bouche pour le suser et lécher ça collerette, et plaça mes mains à deux niveaux, bas et moyen, de son pénis pour le branler rapidement voulant la faire éjaculer rapidement...

Plus je lui parle d’Ada et de ses envies de grosses bites, plus Kana se montre curieuse ! Après lui avoir expliqué qu’elle tomberait surement dessus en cherchant une fille à quatre pattes devant un centaure – ou à peu près n’importe quoi de bien membré, comme un minotaure – elle se pose de nouvelles questions. Je lui souris, ravie de voir tant de curiosité chez une nouvelle recrue !

« Oui, même si notre utérus n’est pas fonctionnel. On reproduit ce qu’il faut pour les sensations, mais à part le sperme… enfin donc oui, avec une longue queue ça vient taper dans l’utérus. Y’en a qui adorent se vider directement dedans, par contre on évacue vite. En général après avoir baisé on va prendre une douche et hop… à part si d’autres ont envie de nous passer dessus et ajouter leur pierre à l’édifice. »

D’ailleurs, je pourrais lui retourner la question. Est-ce que son ventre va se gonfler si je balance la dose de sperme en elle ? Est-ce qu’elle a déjà senti une bite aller trop loin en elle ? Est-ce qu’elle a aimé ça ? Je crois que je vais me faire mon idée moi-même dans pas si longtemps !
En attendant ce moment qui s’annonce déjà génial, la chatte suce le beau pénis que j’ai fait pousser rien que pour elle. Clairement, elle l’adore…  mais elle me parle d’autre chose, d’enfants. Et elle me fait remarquer que sa mère correspond à ce que j’ai dit. Ah bon ?

« Ah oui… ? Une futa humaine dans une maison close… ça peut être pas mal de monde quand même, c’est pas ça qui manque… mais Aya pourra toujours faire une sorte de test pour vérifier si ça te travaille. Même si tu ne devrais pas vraiment avoir de problème à te prendre un engin pareil si tu étais une nyora… »

Ou elle n’a pas hérité de dons ? Possible aussi, ça dépend en bonne partie de la part de génome nyora qu’elle a en elle… dommage, j’aurais bien voulu enfoncer toute ma queue en elle !

« Mais ça ne m’ennuierait pas. Je t’ai dit, le concept de famille chez nous… mais si c’est le cas, ça veut aussi dire que tu pourras t’en faire pousser des comme ça et qu’il faudra pas te gêner pour nous baiser avec… petite veinarde ! »

Je ris durant un instant, imaginant Kana tomber sur Jun avec une queue de chat et la prendre sauvagement contre un mur. Je ne sais pas laquelle des deux prendrait le plus son pied tiens… même si dans l’immédiat, c’est moi qui prend mon pied en la regardant continuer sa fellation. Vraiment agréable sa langue… et… hmm… ? Je suis pas loin de gicler dans sa bouche quand elle me propose un petit pari. Je suis sûre de l’engager mais bon ok, admettons ! On a des chambres de libre de toute manière, rares sont celles qui ont envie d’avoir leur logement ici…

« Ok on peut faire ça… surprend moi Kana… »

Un sourire aux lèvres, je profite de son rush final : maintenant qu’elle a décidé de me faire éjaculer, elle me suce avec encore plus d’entrain et me branle avec fougue. Hmm… merde, c’est super bon… ! Ma bite tremble vite entre ses mains, prête à balancer la sauce directement dans sa jolie bouche.

« Aaah… vas-y… avale ça…. ! »

Je serre les dents et finit par jouir, balançant un flot continue de foutre entre ses lèvres. J’éjacule bien plus que de raison, lui servant un vrai repas. Au moins, ça lui montre la couleur : quand je vais jouir en elle, y’en aura surement bien plus. On est comme ça chez nous, pleines de vigueur et de surprises…

« Mmmh… oh purée… ça va, ça fait pas trop d’un coup ma belle ? »

Visiblement elle semble ravie que je pose des questions, je ne me fis donc pas prier et posa tout celle qui me passais par la tête. Je lui demande par exemple si des mâles éjacule dans leur utérus et combien de temps elles mettent pour “évacuer”. Elle me répondit gentiment que cela arrive souvent, et qu’une bonne douche sufi a les vidées, sauf si un autre veut “ajouter sa pierre à l’édifice. Je notai l’info dans un coin de ma tête me disant que j’aviserais quand quelqu’un réussira à éjaculer dans mon utérus, chose jamais arrivée...

 Nous parlâmes alors d’enfant et surtout de progéniture que les Nyora peuvent engendrée en s’accouplant a des femmes. Elle me dit que les futas dans les maison close, ce n’est pas ça qui manque, mais que si je voulais Aya pourra toujours faire un test pour voir si l’une d’elle est m’as maman, ou plutôt mon papa. Je fis “oui” de la tête et lui sourit...

- Je veux bien, cela me ferait plaisir de retrouver mon géniteur... Et comme tu dis, si tu arriver à tout mètre, sa pourrais être un signe...

Je continue ma fellation par après, et en sentant des contractions dans son pénis, je lui propose un petit pari. Elle l’accepta, ce qui me réjouit car s'il y a une chose pour la quel je me sais douée, c’est avaler. Je continue mes actions, accélérant le rythme, continuant jusqu’as ce que je sente l’arrêt des contractions de son pénis et son avertissement.

Je plaque son gland contre ma langue pour pas que ces jets ne foncent dans ma gorge et m’étouffer et les stocks dans mes joues au fur et à mesure de leur arrivée. Je stocks dans ma bouche pendant toute la durée de son éjaculation et quand elle finit et me demande si je n’avais pas trop, je lèche son urètre en lâchant son pénis, et ouvre en grand ma bouche pour lui dévoiler qu’elle est pleine de sperme et qu’il n’y avait pas une goute sur mes lèvres...

J'avale progressivement, sans fermer la bouche pour bien lui montrer que je sais bien le faire, et une fois qu’il ne reste qu’un fond je ferme la bouche et mélange le reste a ma salive...

- Hummm, très bon, je crois savoir pourquoi des femmes veules des enfant Nyora hi hi hi...

Je frotte à nouveau le pénis encore dure de Yor et lui fais un grand sourire...

- J’ai hâte de voir ma chambre hi hi hi, mais avant...

Je me mes a quatre patte devant elle...

- Tu dois me montrer jusqu’as quel point tu sais me la mettre...

Secoue légèrement me fesses et bouge ma queue de gauche à droite en mode aguicheuse...