Relation familialle - ft Chloe

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Notre relation à commencé depuis bien longtemps, Chloé, ma très chère soeur... Nous sommes nés dans une famille au seuil de la limite de la pauvreté. Un père absent, disparu, mort ? Va savoir, notre mère nous a rarement parlé de lui, il est parti quand j'étais trop jeune pour me rappeler de tous les détails et Chloé qui est de deux ans ma cadette venait de naitre.
Notre mère à pu profiter des allocations, mais son état psychique n'en menait pas large. Dès que j'ai été assez vieux, je jouais le rôle du père et du frère à la maison. J'ai tout fait pour maintenir notre famille à flot, ma soeur restait bien accroché à moi et à l'école, ce n'était pas la joie. J'ai à de nombreuse reprise du me battre des sales garnements qui se moquait d'elle sans père. Les abrutis...

Les années ont passés et ils se sont mordus les doigts lorsque ma soeur est devenue une des plus belles filles du collège (et évidemment lycée par la suite). Elle a pu prendre plus d'assurance et moi je faisais des petits jobs le soir pour gagner un peu d'argent de poche.
Notre mère à fini par se retrouver un copain... plein au as. Sauf que bon, il aimait pas les mômes. Certes, il ne se montrait pas violent avec nous, mais il ne nous montrait aucun intérêt et moins il nous voyait, mieux cela lui allait.
De plus notre petit appartement ne lui plaisait pas vraiment, peu d'intimité, dans un quartier calme, mais pas assez Upée pour lui. Je dormais dans le même lit que ma soeur et depuis ma puberté j'avais arrêter de me doucher avec elle.

J'ai toujours eu du mal à savoir ce que ressentait notre mère, certes elle nous aimait, mais elle était maladroite et sa condition la blessait. Je ne peux affirmer qu'elle aimait cet homme, peut-être le faisait-elle pour elle, pour nous ? Chloé connaissait mieux ma mère que moi, mais j'évitais de demandé, elle se démenait déjà énormement pour nous à ses petits jobs.

Enfin, elle fini par l'épouser et... vivre avec lui. Moi et Chloé nous étions maintenant suffisamment grand pour vivre à deux, il nous offrit même un appartement en centre-ville, une meilleure qualité de vie ! ... Mais un coût de vie aussi plus élever. Je n'étais pas le plus intelligent, alors j'ai terminé mes études et je suis devenu pâtissier, comme ça je gagnais assez pour payez les études de ma soeur. Je voyais moins Chloé avec mes heures et elle avait dû se trouver un petit job, car elle ramenait de l'argent, on vivait plutôt bien.

Notre relation est devenu aussi plus... ambigüe. Nous qui étions si proche enfant, s'était un peu éloigner à l'adolescence, je la protégeais de mes pensées... d'ado pré-pubert.  Grandissant, elle est devenue une femme superbe, je ne doute pas des garçons qui lui tournait autours et qu'elle eut des petits amis. Et entre nous, sa à commencer à déraper lorsque je l'ai taquiner sur son physique, une main sur son fessier, qu'elle ne m'a pas fait retirer.
Petit à petit, après des câlins, de petit geste "taquin" se sont mêler entre nous, des caresses de plus en plus osé, mais rien d'affirmer.

Mais j'ai commencé à la zieuter, de penser à elle sous la douche... De me toucher un peu.
Elle était devenue une adulte et si sexy... On a fini par s'embrasser après avoir trop bu et je doute qu'elle s'en rappelle, mais bien émécher, elle avait dormit contre moi, frottant parfois son corps. Ce fut un enfer de lui résister alors qu'elle n'était pas consciente.
Depuis lors, on continu ces petits baiser délicat et ces caresses discrètes, faignant que ce n'est qu'un jeux. Mais on est frère et soeur... on ne devrait pas ! Pourtant... bon sang que je rêve d'elle !!!

-------------

Encore une journée épuisante, je suis rincé, mais j'adore ce travail. Au début j'avais fait sa parce que cela ne demandait pas un niveau d'étude incroyable, mais faire de la pâtisserie... C'est génial ! Créer des oeuvres et des desserts qui ravissent tout le monde, c'est si plaisant !

- Je suis rentré Chloé !

... Un silence m'accueil à l'appartement, a oui, j'oubliais son sms pour me dire qu'elle sortait ce soir et rentrerait plus tard. Un peu déçu, mais bon... entre fille ou avec son copain ? Elle reste mystérieuse ma petite soeur.
Une bonne douche, torse-nue, en ce moment il fait chaud alors je profite de l'absence de ma soeur ! Puis un repas léger, avant d'allumer la télé, je m'ennuie un peu avec ce qu'il y a et aucun film ne me tente vraiment... Soupirant avec une bière fruité, l'amertume me dérange sinon, je fini sur un film d'enquête lorsque la porte s'ouvre, me retournant, je peux voir ma soeur dans l'entrée.

- Ca va ? Tu rentre plus tôt que prévue soeurette.

Chloé, 21 ans, étudiante en astronomie et escort-girl pour financer ses études. Elle vit actuellement avec son grand-frère bien qu'elle soit en proie à de nombreux dilemmes.

Vivre dans la misère n’a jamais été un fardeau pour la jeune Chloé. Certes, les moqueries se succédaient parfois à l’école sur ses vêtements, sur l’absence de leur père. Son frère était toujours là pour se battre à sa place et la défendre tandis que leur mère leur offrait son amour et un foyer chaleureux.

Une certaine proximité est née avec son aîné de cette vie, un lien anormal et différent de la norme. Elle n’a jamais réussi à le nommer même après une soirée excessivement alcoolisée. Dont les souvenirs brumeux parviennent parfois à la hanter des nuits paisibles.

Aujourd’hui encore, ils ont été incapable de se séparer malgré leurs vies adultes. La vie coûte cher, ses études d’autant plus. Partager ainsi l’appartement est un vrai soulagement économique pour la cadette qui prend pourtant la peine de travailler, à côté.

Un jour, il trouvera une copine qui deviendra sa femme. Elle ? Elle devra partir et lui laisser sa vie. C’est une sensation bien étrange qui se mêle toujours à ses constats avec un soupçon de jalousie, d’amertume. Comme la culpabilité qui l’envahit quand elle réclame son affection, une qui dépasse les bornes.

Chaque jour, Chloé a l’impression de franchir la limite qu’elle s’est fixée, la limite du correct qui lui permettra de partir, une fois sa vie de famille commencée. Elle s’attache un peu plus à cette situation peu ordinaire. A côté, il n’y a que son travail qu’elle a été obligée de prendre pour payer ses études qui tend à la sortir de ces dilemmes moraux.

Un travail peu ordinaire, qui répond d’une certaine façon à son besoin débordant d’affection, qui rapporte bien et que son aîné n’accepterait jamais.
Alors elle lui cache, n’admettant que vaguement elle sera prise toute la soirée et rentrera tard. Comme ce soir-là avec un mot griffonné à la va-vite et laissé en plan sur la table.

Mais ce soir-là fait exception. Chloé arrive tôt, un peu fatiguée et vêtue d’un grand sweat, d’un jean foncé et de ses vieilles baskets porte-bonheur dont la semelle usée qu’elle menace de s’enfuir à chacun de ses pas. Elle tient un sac de sport.

« Oui, ils m’ont libéré plutôt au travail. » Elle est visiblement un peu ronchonne, chiffonnée sans l’avouer. « Tu regardes quoi ? »

Je ne m’attendais pas à ce que ma sœur rentre plus tôt. Et en vue de la tronche qu’elle tire, ce n’est pas forcément positif.

- Sa ne va pas ? Un soucis ? Et pour répondre à ta question… Mon regard se reporte sur l’écran. Rien de bien fou, je n’ai pas trouvé grand-chose. Tu as envie de te regardé un truc avec moi ?

Retournant sur elle, je constate son sac de sport, c’est un peu tard pour allez faire des exercices et je l’imagine peu allez faire des soulever en salle de sport. Bien que curieux, je me retiens de lui poser des questions. C’est sa vie privé et elle me dira ce qu’elle veut, quand elle le voudra.

- Tu peux prendre une douche, tu as faim ? J’ai mangé de la salade, mais je peux te préparer des pâtes si tu veux.

Je tiens surtout au film pour deux raisons, il est trop tôt pour que je me couche, même si un peu fatigué et aussi… J’aime bien la proximité « normal » qu’on peut avoir avec un film. Blottie l’un contre l’autre pendant un visionnage. Bon, après je fais attention à ne pas m’échauffer tout seul, sa peut devenir vite problématique de ne pas (trop) la caresser. On s’effleure et parfois s’embrasse, mais je suis presque sur qu’elle à déjà senti que je pouvais bander ainsi.

Mince, me voilà a y penser et avoir envie de la toucher. Je m’en mords la langue et garde un sourire calme. Et maintenant je l’imagine nue sous la douche… Rahlala, quel frère je fait ! Faudrait qu’on met les choses au clair, avant de déraper. Pourtant, quand je pense à ça, je me demande comment ça serait de la caresser à même la peau, la toucher et l’entendre soupirer, gémir. Argh, faut vraiment que j’arrête, je commence à bander !

Finalement elle se fait un petit sandwich et se pose à mes côtés pour regarder le catalogue des séries/films. On essaie de s'en faire de temps en temps, en vue de notre emploi du temps qui se chevauche. Profitant de sa proximité, je caresse ses cheveux délicatement et passe les films, terminant par trouver un film de comédie romance, on a pas chercher très loin. Et hop elle part à la douche, me laissant un petit moment seul à fantasmer...

Chloé élude ses questions pour préparer bien vite son repas du soir. Elle n’est guère d’humeur à parler et préfère de loin passer un moment paisible et calme en la compagnie de son aîné. Une fois l’encas prêt, elle saute par-dessus le dossier du canapé pour s’installer à ses côtés. Sa tête sur son épaule, la cadette choisit avec lui ce qu’ils regarderont ce soir. Elle a toujours eu un penchant très marqué pour les comédies romantiques. Si les scénarios sont stupides, souvent malmenés, l’étudiante est si fleur bleue qu’elle finit toujours touchée.

Enfin, le choix fait, le sandwich mangé, elle file sans un mot à la douche. Mais seulement dix minutes plus tard, échauffée par sa douche, elle sort vêtue d’un vieux t-shirt et d’une culotte. Que dire ? Après sa soirée compliquée au travail, sa brève proximité avec son aîné, son inavouable attirance a resurgi. A son instar, sans se l’imaginer, son esprit s’est inondé d’obscènes scénarios, de souvenirs brûlants. Elle sait très bien qu’elle se doit d’entretenir la frontière entre eux.

Mais… C’est difficile, trop parfois. Comme ce soir, la jeune étudiante privilégie une approche plus osée qu’à l’accoutumée, d’une tenue révélatrice. Elle a senti chez son frère plusieurs fois des signes de son excitation, sans être capable de les utiliser. Le faire s’éveiller, l’exciter à son contact est une sensation bien plaisante qui prouve parfaitement leur attirance. Là, malgré sa raison qu’il lui crie de se calmer et de prendre ses distances avant qu’il ne soit trop tard, elle est bien décidée à passer à l’étape suivante.

Ou peut-être qu’une fois sur le canapé, elle sera calmée ? Pas du tout. A peine assise sur le canapé, la petite brune sent son coeur s’emballer, prêt à surgir de sa poitrine. Sa tête s’écrase contre l’épaule de son aîné et ses joues sont rougies d’embarras. Avec les autres, elle est plutôt séductrice, presque rentre-dedans. Avec lui, elle a toujours l’impression de marcher sur des œufs, d’aller trop loin et de le pousser vers l’irréparable.

« Tu mets le film ? » Cette soirée risque d’être mémorable. Comme lui, Chloé les apprécie pour la proximité, les instants doux et câlins qui se profilent. Elle est audacieuse, sans être brusque. Ses doigts se posent sur la main de son aîné, sur sa cuisse. Ils s’enlacent avec leur comparse. Sa tête s’appuie un peu plus contre son épaule, sa poitrine contre son bras. « Je crois que je l’ai déjà vu… Attends ! » Elle se relève un peu et se penche au-dessus de lui pour attraper la télécommande au-dessus de son accoudoir. Là, ce n’était pas prévu.

La voilà parti pour la douche... j'ai un certains temps pour, soit me faire plaisir, soit calmer mes idées !
Après une bonne inspiration, je prend mon téléphone et me fait une petite partie en omettant les bruits de l'eau de la douche. Ne pas s'imaginer sa soeur nue... ni faisant quoi que ce soit ! Heureusement, ma partie fini par se corser et me rappeler à l'ordre.

Chloé fini plus rapidement sa douche que prévu et quand je relève la tête à son arrivé... mes oreilles rougissent à sa tenue et je ne peux m'empêcher de la regarder avec envie. Tiens, je ne porte pas de haut et elle pas de bas... on fait la paire ! Cela m'arrache un sourire, aurais-je dû en profiter pour reprendre un t-shirt ? ... Trop tard.

Ma soeur vient contre moi, j'en profite pour reporter mon regard sur l'écran sinon il va tomber sur ses longues et jolies jambes. Je sens sa main venir prendre la mienne, qui se referme doucement avec, en profitant pour la caresser délicatement. Et j'en profite pour embrasser son front pour dire "je t'aime (comme un frère...et plus ?)". Son doux parfum viens chatouiller mes narines et sa peau tiède, voir un peu chaude de l'eau me réchauffe au contacte. Malgré moi, je commence à imaginer des choses... encore.

Allez vite, je lance le film !
Cependant, après quelques minutes, le temps que le contexte soit poser et les acteurs dévoiler, Chloé se redresse, elle reconnait le film. Et évidemment, elle veut changer, elle cherche alors à attraper la commande qui est à ma droite. Mais j'ai envie de la taquiner, alors j'éloigne la manette, elle me fusil du regard alors que je ricane. La forcant à s'avancer plus et se relever, à quatre pattes sur le canapé et en parti sur moi, je frémis lorsque sa main prend position sur mon entrejambe. Rougissant, mon membre n'était pas ériger, mais n'était pas au repos non plus... pire encore, il commençait à être stimuler par cette main.

Ne pouvant voir le visage de ma soeur, avec sa chevelure tombant en cascade sur son visage, elle ne bouge pas et sa main tendu pour attraper la télécommande se fait hésitante. Relever dans cette position, mon regard longe son dos et fini par sa culotte, dévoiler avec son jolie fessier tendue. Me mordant la lèvre, je pose ma main gauche dessus, Chloé frisonne alors et moi je n'en chauffe que plus. Caresser ses fesses à même la peau et bien plus agréable que pardessus un jean ou une robe.

Les cheveux de ma soeur finisse par dégager sa nuque et j'y plonge mon visage pour y déposer un délicat et sensuel baiser. Une idée germe alors dans ma tête...

- Embrasse moi et je te rends la télécommande sister.

Pourquoi ce soir suis-je comme ça ? Hum... Plusieurs jours à me retenir ? Le fait que chacun de nous manque un vêtement et donc nous rapproche un peu plus physiquement ? Peu importe, je désire ma soeur et ce soir j'aimerais savoir les limites qu'on pourrai atteindre. Si elle me repousse, je mettrais fin à tous ça sinon...

Elle semble hésiter, frissonnant à mes caresses sur son fessier, finalement elle tourne la tête et je n'attends pas plus, ma main droite glisse dans sa chevelure et je me penche sur son visage pour l'embrasser, mais pas un délicat baiser comme on peu se le faire de temps en temps, non... un passionné, vorace, un ou ma langue ira rapidement chercher sa compagne après quelques instant si Chloé ne me résiste pas.

« File-moi juste la télécommande ! Râle Chloé. » Elle est bien vite contrainte d’accepter la situation dans laquelle elle s’est mise. Des mains baladeuses se déposent délicatement sur son fessier rebondi. Elle frissonne, se penche un peu plus pour attraper l’objet. Il l’en empêche encore. Les joues gonflées, une petite boudeuse, la cadette se tourne vers son aîné pour se plaindre, encore. Mais il interrompt d’un baiser. Surprise, elle se laisse porter par le flot de ses émotions et guide sa langue rejoindre sa congénère.

A partir de là, la situation est vouée à déraper. Plus aucune raison n’est prête à maintenir le déferlement de son désir. La brune s’approche, sans se défaire de ses lèvres pour venir s’installer sur ses genoux. Sa main posée par inadvertance contre son entrejambe accentue le contact avec la bosse naissante. Elle s’appuie, forme des ronds contre la protubérance discrète. Ses doigts libres se déposent sur son torse pour découvrir et apprécier sa peau.

Elle se modère et apprécie chaque seconde qui s’écoule de gestes lents et langoureux. Leurs lèvres finissent par se quitter. Son souffle est saccadé mais l’étudiante en demande encore. Elle ne récupère sa respiration qu’elle vient à nouveau chercher un baiser passionné. Sa poitrine se soulève, son cœur s’emballe. Tant de fois au cœur de la nuit, dans la pénombre, Chloé s’est imaginée la première fois. Ses doigts étaient tombés au creux de ses cuisses. Mais rien ne vaut la réalité et ce rêve enfin réalisé.

« J’en ai plus besoin… » A la fin de leur second baiser, elle est passée à tout autre chose. Un sourire malicieux aux lèvres, elle se saisit de son t-shirt pour le retirer, élevant ses bras par-dessus sa tête. Ses jolis seins ronds sont dévoilés, libres de toute entrave.

La jeune femme prend ensuite les devants. Elle descend de ses genoux et s’installe au sol. Une main attrape la limite de son pantalon, l’autre sort sa virilité à peine éveillée. « J’ai toujours voulu faire ça. » Un aveu à demi-voix. Ses doigts s’empressent de piéger le sexe dans leur douce étreinte. Ses lèvres s’approchent, s'entrouvrent pour l’accueillir au chaud.

Chloé a encore bien du mal à réaliser la portée de ses actes. Son esprit n’est guidée que par son désir longtemps refoulé de peur de gâcher leur si précieuse relation. Mais peut-être ne l’embellira-t-il que davantage ? Elle profite de chaque instant comme s’il acceptait ses caresses pour la première et dernière fois. La cadette commence à le cajoler de sa bouche. Son regard remonte vers son visage.

Elle veut observer ses réactions, voir le plaisir l’envahir et le torturer alors quelle s’occupe de lui.

Ma petite soeur râle et cela m'amuse bien, mais j'ai envie de faire chauffer les choses. Alors je l'embrasse, un baiser plus vif que les précédents. Chloé est d'abord surprise, mais sa langue ne tarde pas à venir s'enrouler avec la mienne pour un baiser langoureux.
Bon sang que j'en avais envie ! Je prolonge ce baiser et ferme les yeux pour l'apprécier, alors que je sens qu'elle vient se poser sur moi, je lâche alors la télécommande et pose mes mains sur son fessier pour la tenir.

Sa main me touche et m'excite un peu plus, mon membre se dressant petit à petit dans mon bas de pyjama. J'ai aussi quelques frissons à ses doigts sur mon torse-nue. Ce baiser est... fort, subjuguant si je puis dire. J'en oublie quelques peu de respirer et mes mains se mouvent que très lentement sur ses fesses.

Je fini par reprendre avec elle mon souffe, j'en suis un peu retourné, mais mon désir pour ma soeur ne fait que grimper !
Cette fois-ci, c'est elle qui est à l'action en me rembrassant tout aussi fougueusement. Cependant, j'arrive à garder mon cerveau en marche et apprécie un peu plus de caresser son fessier, sentir sa peau chaude entre mes doigts et son corps si proche du mien, tandis que nos lèvres... s'entre-dévorent !

Elle est la première à reprendre la parole, ce qui me fit sourire avant qu'elle ne dévoile sa poitrine nue. Je peux ainsi dévorer du regard ma soeur en simple culotte, m'en pourléchant les lèvres, mais je n'ai pas le temps de la toucher, qu'elle descend de mes genoux et retire mon bas. Mon érection est tendue, mais pas encore à son sumum, même si cela ne devrait pas trop tarder en vu de la situation.

Je tressaille à sa main sur ma queue alors que je me retrouve entièrement nue, le bas au cheville et son visage face à mon sexe. J'aime son regard dessus, je déglutie ensuite et soupire chaudement à ses lèvres qui vienne de gober mon gland.

- ahn... oui Chloé. Je l'enjoins à continuer ce départ de fellation.

Je ne m'attendais pas à ce que les choses dérapent aussi vite, pas autant. Plus à des caresses osés et non directe un préliminaire... Mais je n'ai rien contre. A vrai dire, bon sang que ça m'excite de voir ma soeur me sucer ! Mon membre fini ainsi de gonfler à son apogé dans sa bouche.
Tressaillant et me mordant la lèvre, je viens caresser sa chevelure avec un sourire coquin et le regard pétillant de plaisir en me laissant faire.

Je me demande alors si elle a de l'expérience, ce qu'elle a pu faire et ce qu'elle aime. J'ai eu quelques relations, rien de sérieux, plus des coups d'un soir à cause de mon manque de temps et de mon penchant pour ma soeur.
Et ce soir... je vais assouvir mes fantasmes !

- J'ai toujours... rêver de toi sister. Eu envie de... hmmm... de te faire l'amour. Déglutis-je la voix rauque du plaisir qu'elle m'offrait.

Chloé s'émoustille d’entendre la voix de son aîné troublé par le plaisir et de le sentir grossir entre ses petites lèvres. Sa peau se frotte à sa bouche, son gland s’enfonce dans sa bouche pour sortir ensuite. Sa tête répète ses mouvements incessants de vas-et-viens sans parvenir à l’accueillir entièrement. Son sexe est une gourmandise qu’elle se plait à avaler et lécher sans retenue ; elle ne se lasse guère de cette sensation chaude. Son corps est bouillant et sa culotte marquée par son extase. Son aîné ne peut le sentir mais il peut observer le véritable entrain que sa cadette prend dans cette pratique.

Or, un peu essoufflée par un rythme effréné, elle s’éloigne pour continuer de ses doigts. Lui aussi s’est fait honnête… Elle n’est guère indifférente à ses paroles, à cette vision charnelle de leurs corps enlacés et unis. « Tu veux le faire ? ose-t-elle demander. » Elle frémit d’impatience à l’idée de sentir sa queue la pourfendre. Pourtant, la brune est bien incapable de rester inactive dans l’attente d’une réponse. Depuis longtemps, cet instant hante ses rêves et elle ne perdra une seconde à hésiter.

Sa langue cajole son gland gonflé et descend le long de sa peau tendue. « J’ai besoin de toi… De ton aide… Plus bas. » Ses cuisses se sont brutalement fermées, serrées. Elles se frottent l’une à l’autre tant l’impatience la gagne. Elle l’aimerait tant l’amener à profiter de sa bouche jusqu’à la fin mais son corps la démange, son toucher lui manque. Tenir devient de plus en plus difficile…

Malgré son travail, son agence ne l’encourage pas à coucher avec tous ses clients. Au contraire, il la protège davantage de ce genre de pratiques. Elle se comporte plus comme une compagnie. Peut-être une fois ou deux, un rendez-vous a fini dans une chambre d'hôtel. Chloé n’a d’ailleurs pas beaucoup plus d’expérience. Même, elle a l’impression avec son aîné de repartir à zéro… Les sensations sont si intenses et nouvelles. Elle n’en mène pas large face à cet homme qui d’un regard, la met dans tous ses états.

Ma soeur à genou avec mon chibre en bouche... Bon sang que j'en suis dur ! Je mémorise la scène, me retenant de la prendre en photo pour l'utiliser plus tard. Peut-être qu'a partir d'aujourd'hui on pourra coucher ensemble à notre guise, sans se retenir ou feindre de ne pas se mater.
Tressaillant de plaisir, j'observe Chloé et ses mouvements sur ma queue, soupirant en caressant délicatement sa chevelure. Nos regards l'un dans l'autre, je vois très bien son désir, comme elle peut sentir le mien.

Finalement elle reprend un peu son souffle et me pose une question dont elle a déjà la réponse, mais surement veut-elle me l'entendre dire pour le confirmer.

- Oui, j'ai envie de toi sister. M'en mordais-je la lèvre.

Sa langue et sa bouche continue cette gâterie qui va me rend fou et exploser, je ne sais pas trop si elle veut que je vienne dans sa bouche... Mais elle me demande de l'aide et j'en souris perversement.

- Avec plaisir sister. Je peux jouir dans ta bouche ? Mes joues rougissent un peux, d'embarras et d'excitation.

Elle ne refuse pas alors je caresse sa joue et repousse son visage, afin de m'allonger sur le canapé en lui jetant un coup d'oeil torride, me pourléchant la lèvre.

- Retire ta culotte et offre moi ton minou pendant que tu me suce Chloé. Je me montre plus graveleux et osé.

Je me touche en attendant qu'elle se déshabille, étant moi-même nue maintenant que mon bas à été retiré un peu plus tôt. Mon sexe est encore chaud et la salive de ma soeur y dégouline...

- Je vais préparer ta chatte à me recevoir. Lancais-je en l'observant agir.

J'ai tellement hâte de sentir mon érection percer ses lèvres intimes et l'entendre gémir mon prénom... Maxime. Sentir sa féminité serrer mon pénis et la prendre partout dans l'appartement...

Quand son aîné lui confirme être prêt, elle le sait : ils vont franchir ce cap tabou. Enfin, avoir sa sœur s’occupant de sa queue ferme est déjà un grand pas dans la relation. Mais elle s’impatiente de le recevoir en elle et de conclure leur union sacrilège.
Avant… Sa question la prend de court. Elle répond timidement d’un hochement de tête, sans se défaire de son impérieuse tâche.  Pourtant il vient repousser avec délicatesse son visage pour s’installer autrement.

Elle observe, les joues rougissantes à son langage osé. La brune ne se souvient pas l’avoir déjà entendu parler de cette manière pourtant… Ça l'excite. Elle se sent perdre le contrôle de son propre corps à entendre ses mots crus.
L’étudiante peine à aligner une phrase, à trouver les mots et même à agir ! La scène est si surréaliste. Devant ses yeux est tendu le sexe de son aîné, prêt à lui faire connaître un nouveau monde.

Après quelques minutes, à être restée interdite, ses doigts saisissent sa petite culotte pour lui permettre de tomber au sol. Sa féminité luisante se dévoile à son regard, imprégnée d’un désir honteux.
Chloé s’avance d’un pas pour s’installer comme demandé. Sa bouche vient entourer immédiatement le sexe brûlant et humide de salive.

Mais sentir les doigts de son aîné se poser contre sa peau chaude, sentir son souffle si près de son intimité lui fait un tout autre effet. Son corps réagit, frémit. Ses gémissements s’étouffent dans sa gorge, contre le sexe envahissant sa petite bouche. Elle s’applique et allie vitesse et élan pour lui permettre de trouver rapidement l’orgasme entre ses lèvres.

Chloé se crispe et se lève avant qu’il ne s’occupe d’elle.

« Max… Son visage est écarlate. Je veux le faire… Maintenant… Si on le fait, ça voudra dire qu’on pourra recommencer autant qu’on veut. Toute la nuit, demain, après-demain et plus encore. »

Sans laisser le choix à son aîné, l’étudiante vient s’installer au-dessus de son sexe. Entre ses cuisses, il paraît bien imposant mais le désir l’emporte sur toute forme de raison. Son gland se presse contre ses lèvres intimes ; ses premiers soupirs s’élèvent dans l’appartement. Petit à petit, la brune s’empale pour le recevoir.

C’est si bon qu’elle ne sait trouver les mots pour l’exprimer. Ce plaisir intense l’envahit brutalement alors qu’elle continue sa lente descente. Ses mains s'agrippent au canapé derrière son aîné. Ses lèvres tombent contre les siennes. Elle l’embrasse jusqu’à ce qu’il prenne entière possession de son corps. Enfin ! Le désir interdit qui hantait ses nuits se réalise… Elle lui appartient.

La brune rompt le baiser pour lui susurrer ensuite, au creux de l’oreille. « Je me rattraperais tout à l’heure… » Une promesse qui annonce une suite tout aussi plaisante à Max. Pour l’heure, il la possède. Elle ne bouge pas encore, s’habituant à la présence étrangère. Il serait bien aisé pour son aîné de retourner la situation, tant sa sœur est légère.

Ce soir nous allons définitivement passez le pas ! Et j'en suis sur-excité, je me permets ainsi d'être plus cru, plus directe au lieux de tous nos petits jeux timides et sensuels. J'ai envie d'elle et vue comment elle gobe mon sexe, je ne doute pas qu'elle aussi. Et puis elle-même me la dit, enfin sa question et sa réaction me le font dire !

Je lui propose alors un 69, une position bien coquine et parfaite pour nous stimuler mutuellement. Chloé en reste interdite, hésitante ? Je la fixe chaudement, attendant, et je dois avouer que je fini par hausser un sourcil. Elle allait me laisser tomber au dernier moment ?
Non, ouf ! Lever, sa culotte tombe au sol et je peux voir ma petite soeur entièrement nue, avec sa jolie fente que j'allais pouvoir dévorer avant de la prendre.

Elle monte sur moi et j'ai une vision parfaite de ses lèvres intimes, luisante de désir. Je recommence à gémir à sa bouche sur mon érection et soupire sur sa fente qui attends que je joue avec elle. J'y vais tranquillement, mes mains la font frissonner en caressant ses cuisses et arrive sur ses fesses. Mon visage se rapproche de sa fleur et...

Chloé s'enlève, je la fixe interloqué. Elle se rétracte ?!
J'ouvre la bouche, mais ne trouve quoi dire pour la rassuré, sauf que... Non. Chloé n'en peu plus d'attendre ? Et me ferait presque encore plus bander à ses propos ! J'en déglutis, je ne m'attendais pas à ce qu'elle soit aussi coquine...

- Très bien. Ai-je à peine le temps de dire, elle n'a pas attendu qu'elle se positionne pardessus moi et mon gland frotte sa fleur.

Ma soeur ne tarde pas à s'asseoir sur ma verge, petit à petit, mon membre turgescent s'enfonce dans sa féminité. Ses chauds soupire me rend fou, heureusement bien lubrifié... et elle excitée ? Ma queue l'empale à son rythme. Mes mains viennent alors agrippé ses hanches, tandis que je soupire aussi, prenant une profonde inspiration. Est-ce parce que je couche avec ma soeur, ou sa fellation d'avant ? Mais j'ai beaucoup de mal à ne pas jouir aussitôt.

Nos lèvres s'unissent dans un baiser fougueux, mais déconcentrer par le plaisir de l'union incestueux de nos corps. Je suis en elle... Mon membre palpite dans sa fleur, entièrement touchant le fond de son vagin. Je tente de rester calme pour tenir en haleine ma jouissance et le baiser rompus, profite pour reprendre mon souffle, avant de sourire coquin à ses propos.

- Hmmm sister... Chloé. Comme tu l'as dis... à partir... de maintenant, on pourra coucher ensemble n'importe... quand.

Je commence à masser ses fesses et ondule du bassin sous elle, pour sentir sa féminité entourer ma queue. Honnêtement, je l'aurais bien prise avec plus de vigueur, mais je me contiens et le canapé n'offre pas beaucoup de possibilité de mouvement. Je ne me serais pas allongé peut-être, mais la non... Après.

- Et autant qu'on veut. Vins-je lui souffler chaudement à l'oreille avant de donner un coup de rein pour la faire gémir. J'en profite pour lécher son cou et masser ses fesses plus fermement. Allez, maintenant chevauche ton frère jusqu'à me faire jouir en toi. Ce soir tu es entièrement mienne et je ne compte pas te laisser te reposer.

J'avais un grand sourire coquin, me demandant combien de fois chacun de nous pourrais tenir.

« Où on veut… »

Chloé a toujours été bloquée par cette idée de prendre la place d’une petite amie potentielle, celle avec qu’il pourrait envisager son futur. Mais elle ne peut plus résister à cette attraction interdite qui les unit… Si jamais cette dernière devait faire son apparition, la cadette choisirait tout simplement de se mettre en retrait. C’est le compromis accepté dans son esprit pour profiter sans limite de ces nouvelles expériences, de cette faim insatiable qui la dévorait. Elle a envie de son aîné, une fois ne lui suffirait pas.

Alors qu’il prend entièrement possession de sa féminité, il l’encourage à donner le rythme jusqu’à ce qu’il atteigne la jouissance. Pour leur première fois, c’est une bonne manière pour Chloé de s’habituer à son gabarit qui est un peu étouffé entre ses cuisses. « Je t’appartiens… Mais tu as aussi intérêt à tenir la cadence… lui murmure-t-elle d’une voix érotique. » Un baiser déposé sur ses lèvres, la cadette se relève pour mieux s’installer sur le canapé, accroupie au-dessus de Maxime allongé.

Ses hanches se lèvent peu à peu. Son pieu de chair apparaît pour mieux entamer sa nouvelle exploration et être englouti entre ses parois serrées. Le rythme est lent, sensuel. Chacun peut apprécier le frottement intense de leurs sexes et de leur union sacrilège. Les gémissements de Chloé donnent le ton sur le plaisir qu’elle ressent et qu’elle n’est plus capable d’étouffer.

Mais sa voix ne cesse de s’intensifier à mesure que les secondes s’écoulent. Ses mouvements se font plus rapides mais plus chaotiques. Elle prend son pied à chevaucher son aîné et le ressentir brutalement s’enfoncer, encore et encore. Une main s’accroche au dossier du canapé pour avoir un peu de stabilité alors que l’autre s’est posée sur le sommet de son genou.

« Maxime ! Aah… »

Ses râles s'accroissent ; elle se dirige lentement vers un orgasme ravageur. Avec l’effort, son souffle est tumultueux. Son corps tremble jusqu’à ce qu’après de longues minutes à tenir un rythme effréné, la délivrance l’étreigne. Épuisée, Chloé s’écroule contre son frère. Si elle réussit sa mission, un grand sourire s’affiche sur ses lèvres, en extase de l’avoir senti l’honorer ainsi. Sinon, elle espère se rattraper plus tard…

Peut-être est-ce la frustration entretenue depuis toujours qui l’a conduit si vite au septième ciel ? Elle s’est connue bien plus endurante et en maîtrise de son corps. Son constat est définitif : Son aîné lui fait perdre tous ses moyens. Mais désormais, ils ont tout le temps nécessaire pour l’entraîner à apprécier plus longuement leurs ébats.

Quand, où et autant que l'on veut ! Cette pensée m'excitait incroyablement. Si je ne faisais rien avec Chloé, j'aurais tout de même bandé à cette idée.
Mon membre était en tout cas ardent entre ses cuisses, palpitant de plaisir de sentir ses parois intimes me serrer en elle. Le fait qu'elle réponde sur le fait qu'elle était mienne, me donnait vraiment envie de prendre le contrôle, mais je me retenais en vue de notre position... pour l'instant. Je répondis au baiser de ma soeur en la dévorant du regard.

- Oh je vais me montrer aussi endurant que besoin sister.

Je matais donc ma soeur, nue pardessus moi. Nos sexes unies incestueusement, elle était si sexy... L'entendre soupirer et gémir me procurait des frissons, alors que j'employais mes mains sur sa poitrine, la touchant et la stimulant tandis qu'elle glissait sur ma verge.
Si au début elle prenait son temps, pour découvrir ma queue et bien préparer sa féminité, elle accélère. J'en tremble de plaisir, ayant un peu de mal à me concentré sur le fait de caresser sa poitrine, étant parfaitement stimulé plus bas, je grognais en me retenant de jouir trop vite.

La délicieuse sensation de la fleur de ma soeur, accélérait mon rythme cardiaque ainsi que mon corps brûlant pour elle. Mon membre suivait son rythme, tandis que je grognais des "putain", remuant instinctivement sous elle. C'était si bon de la voir et la sentir me chevaucher!
Et après un temps dont je ne pourrais juger, le coup de grâce arrivait, sa féminité enserrer mon pieu et me fit exploser en elle, dans un coup de rein à ma jouissance.

- Chloéé !!!

J'étais vraiment venue dans ma soeur... et je ne le regrettais pas, Chloé avait un grand sourire, épuiser dans mes bras. J'en rigole à peine, en reprenant moi aussi mon souffle. Je lui fit redresser la tête pour lui voler un tendre baiser et caresser sa chevelure.
Nous l'avions vraiment fait... J'avais du mal à réaliser, mais sentir le corps chaud et nue de ma soeur contre moi n'était pas un rêve. Nous avions couché ensemble... et ce ne serait certainement pas la dernière fois !

J'attendis qu'elle reprenne un peu d'énergie pour la faire bouger et me retirer d'elle. Agrippant son bassin, je la tournais contre le canapé, l'allongeant à ma place. Avant de me relever et m'étirer, la matant avec un grand sourire.

- Chloé... tu es si sexy et désirable ma soeur.

Je vins caresser sa joue avec douceur et glissa un bras sous ses genoux et l'autre dans son dos. Avant de la soulever, porter comme une princesse. Rigolant à son petit air surpris sur le coup, marchant lentement vers notre chambre pour continuer notre soirée tout aussi chaudement...
Un petit coup de pied dans le porte et celle-ci s'ouvrit, me mordillant la lèvre, je me dépêchais de la poser sur le lit avant de l'embrasser passionnément, glissant mes mains sur ses délicieuses courbes.

- Mets toi à quatre pattes Chloé... Lui soufflais-je sensuellement en mordillant sa lèvre, le regard brillant de désir pour elle.

Enfin, ils l’ont fait. Tous les deux ont atteint le septième ciel, ensemble. Chloé a senti un dernier mouvement de son aîné, lui permettant de se délivrer au plus profond de son intimité. Il l’a honoré de sa semence chaude, lui arrachant de ponctuels soupirs d’aise. Maxime lui a pris sa première fois sans protection ; elle aurait pu en décider autrement ou le laisser venir ailleurs. Or, la cadette le veut entier, sans aucune limite n'entache leurs désirs et fantasmes. Maintenant qu’ils ont franchi ce tabou, elle se sent libérée d’un poids.
Satisfaite et bien incapable de se remettre de ses émotions, l’étudiante se repose bien installée contre le torse de frère. Elle relève à peine le menton, quand il l’y incite pour l’embrasser. Mais elle ne bouge plus. La proximité la ravit ; sentir les battements de son cœur, son torse se lever au rythme de sa respiration créent entre eux une véritable intimité, au-delà de ce qu’ils ont connu jusqu’ici.

La brune se remet vite. Sa seule présence suffit à l’exciter de nouveau. D’autant plus quand il la renverse sur le canapé. Elle ne l’a jamais vu prendre les devants, au-delà de quelques chastes baisers. Le voir prendre l’initiative est à la fois intriguant et stimulant. Ses compliments s’ajoutent, ses joues rougissent d’un seul coup. Une main vient cacher son visage alors qu’il la porte en princesse. Il est tellement doux qu'elle se sent fondre à son contact et peine à aligner quelques mots : « Si tu me dis ça… Je serais plus jamais capable de te résister… »
Il parvient bien vite à la chambre. Le lit offre tout de suite plus d’espace et de confort pour continuer leur activité… Bien que toutes les pièces de leur appartement seront rapidement honorées de leur passion charnelle.

Elle sent ses fesses s’enfoncer contre le matelas. Ses mains sont accrochées à sa nuque et l'emportent avec elle. Il saisit l’occasion de l’embrasser. Chloé se fait passionnée dans son baiser, laissant sa langue trouver sa congénère. Elle désire lui montrer à quel point sa seule présence suffit à la faire céder, à quel point elle le désire. Ses seuls doigts déposés contre sa peau la font frémir. Elle est sensible à son toucher mais apprécie d’autant plus quand il se saisit de sa jolie poitrine ronde.
La brune résiste quand son aîné s’éloigne pour parler. Son ordre la surprend mais la trouble… Pourtant, elle ne s’exécute pas tout de suite. A nouveau, elle vient chercher ses lèvres et sa langue, une, deux et trois fois de suite pendant plusieurs longues minutes.

La position ne lui permettra de se délecter de ses baisers. Elle prend de l’avance. Ce n’est qu’à ce moment, la cadette se tourne pour s’installer bien au milieu du lit. Sa croupe est offerte à son aîné qui peut venir s’installer derrière elle et s’emparer de son corps… « J’adore vraiment entendre ta voix chaude… Dis-moi ce que tu as envie de faire… Ce que tu veux que je fasse. » Découvrir mutuellement leur corps est vraiment excitant mais Chloé se fait impatiente d’un moment où elle saura parfaitement lui faire plaisir sans avoir à l’obliger à lui dire.

Voir ma soeur rougir est gratifiant, elle est si mignonne... en plus d'être sexy ! Je rigole un peu alors qu'elle cache son visage, j'en suis aussi un peu intimidé, mais trop excité et désireux pour me stopper maintenant !
On a passer le stade du baiser tout doux... Nos corps se sont unies et je sens très bien qu'on désire se reconnecté encore... et encore ! Dans tous l'appartement. ... Voir en dehors.

Je l'amène alors à la chambre et me tenant, je tombe avec elle, venant chercher ses lèvres. Un baiser passionné, langoureux entre nous. Mes mains repartent découvrir le corps sensuelle et chaud de ma soeur, glissant sur sa peau délicate, effleurant sa poitrine puis l'empoigne, appréciant ce contacte. Je termine par lui demandé une position, en déglutissant d'envie.

Et mon "ordre" est refuser, bien que le regard de ma soeur pétille, elle vient m'embrasser, surpris, j'y réponds, me collant à elle. C'est si agréable de sentir nos corps chauds l'un contre l'autre. Mon membre s'érige de nouveau alors que j'ondule contre son bassin pour me stimuler.
A la fin de ce baiser, je reprends mon souffle et... non, une second baiser survient, je rigole contre ses lèvres, mais adorant l'embrasser aussi passionnément, j'y réponds, ma langue vient jouer avec la sienne, salivant de plus en plus.

J'en profite pour reprendre mes caresses sur sa poitrine, jouant du pouce sur ses tétons. Mon corps continue de frissonner et de se tendre à sa fleur. Je l'ai laisser faire la première fois, cette fois-ci, je guiderais la marche. Néanmoins... un troisième baiser me prend de court, j'adore toujours autant, mais je suis un peu frustrer... Alors j'appuie plus férocement mon membre à son bassin, si j'avais guidé mon membre, je l'aurais certainement pénétrer, là ou au contraire il frotte et y glisse tout du long.

Enfin, Chloé bouge et s'installe, j'en ai un énorme sourire et m'en mords la lèvre en la regardant prendre position, m'offrant son corps. Sa voix suave me fait bander alors qu'elle me pose une question. Je m'approche et glisse mon gland sur sa fleur, me penchant pour embrasser ses reins, puis déposer de léger baiser le long de sa colonne vertébrale.

- Chloé... j'ai envie de te prendre encore et encore... partout dans l'appartement. Je lèche son échine. Je veux que tu prenne mon sexe entre tes lèvres, sentir ta langue glisser dessus et jouir dans ta bouche sister. J'en déglutis, rouge d'embarras et de désir. J'ai aussi envie de te faire l'amour discrètement, en dehors de chez nous... De jouer à quelques jeux coquins. Lui soufflais-je, n'en pouvant plus, j'agrippe ses hanches et pousse mon érection entre ses lèvres intimes soudainement.

Mon membre s'enfonce assez facilement dans sa fleur, profondément et une nouvelle fois. J'en pousse un râle de plaisir, plus sensible qu'a ma première jouissance. Après avoir repris mon souffle, je ne tarde pas à la pénétrer entièrement, jusqu'à ce que mes bourses viennent claquer ses fesses dans un bruit érotique, entre ces coups de reins et les bruits de succion de son minou et de ma queue la prenant avec fougue.