Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Olympe || Elle se donnait par amour. Une putain amoureuse. [Vanéalidée !]

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Olympe Polyxena

Humain(e)

Identité : Olympe Polyxena (Duvallois)
Âge : 25 ans
Sexe : Féminin
Race : Humaine (Un royaume sur Terra, peu connu, si ce n'est pour sa ville de luxure qui accepte l'argent de tout le monde...)
Sexualité : Pansexuelle ; Homoromantique (ne le sait pas encore) Olympe est une prostituée ayant une connaissance des plaisirs assez vaste pour lui permettre de prendre du plaisir dans diverses pratiques.)

Physique || caractère

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Un mètre soixante-dix-sept, si en ville elle ne fait pas partie des plus grandes de son espèce, dans son village d’origine, si elle y retournait, on la verrait comme une jeune femme robuste, faisant partie des femmes à marier, belles filles de paysans. Enfant pourtant chétive, elle dû attendre l’adolescence pour voir son corps se transformer. Aujourd'hui, malgré les six ans loin de la vie paysanne, Olympe garde de son passé des épaules larges, des hanches généreuses, ainsi qu’une bonne constitution.

Lorsqu’elle était adolescente, Olympe commença à prendre des formes. Elle complexait, elle qui se voyait comme ses frères, garçon en devenir. Mais au travers des gravures dont elle était encore friande, la jeune femme appris à aimer son corps. Une vie au bordel n’étant pas aussi physique que celle dans une ferme, Olympe s’entretient un minimum en faisant quelques exercices. Elle sait que son instrument de travail se doit d’être entretenu. Mais c’est par période.

Car si Olympe est une bosseuse, une femme qui n’a pas peur de se salir les mains, elle est devenue quelque peu flemmarde et aime désormais le confort. Il sera surprenant aussi de la voir inconfortablement installée. Patiemment posée sous la pluie ou…il y a bien des choses qu’elle évite par crainte de ne pas être à l’aise.

Pourtant, Olympe n’en est pas devenue une princesse pour autant. La jeune femme connaît la valeur de son corps et connaît sa place. Si elle nourrit le désir de prendre un jour, la tête du bordel, c’est uniquement pour assurer ses vieux jours tout en continuant de faire ce pour quoi, selon elle, elle est faite. Et puis elle apprécie énormément celle que tout le monde appelle Mère.

Olympe n’est pas une femme qui s’attache facilement. Sans être un cœur de pierre pour autant (au contraire, les gens vous parleront de sa générosité, de sa douceur et de la chaleur qu’elle dégage, un peu malgré elle), elle évite de donner trop de sa confiance et de son amour au premier ou à la première venue. Pour une putain c’est une règle d’or que olympe parvient à suivre peut-être trop scrupuleusement.

N'étant pas d’une beauté incroyable, si elle se sait belle, Olympe se trouve assez quelconque. Elle travaille à cultiver ses talents de prostituée, car elle fait partie des physiques courant de son époque. Brune à la chevelure volumineuse, une peau très pâle, des formes où il le faut…ce qui peut attirer particulièrement le regard, ce ne sera pas tout ça. Non. L’attraction qui opère sur les autres viens de ses yeux et de ce qu’elle dégage.

Odeur musquée, presque masculine, des toilettes choisies avec goût, une capacité à changer jusqu’à sa façon de parler pour plaire au désir de ses clients. Mais il y a aussi son regard. Celui de sa mère il paraît. Bleu changeant, du plus sombre au céruléen en passant par le gris…presque blanc lorsque la lumière est trop vive. Ses paupières légèrement tombants lui donnent l’air constamment lasse. Cette lassitude qui prend le corps après une nuit d’amour.  Le dessin de ses sourcils ainsi que la gourmandise de ses lèvres n’aident pas à lui retirer cet air boudeur d’enfant légèrement capricieux…

Olympe n’a jamais été capricieuse pourtant. Malgré l’amour qu’elle recevait des employés de son père, ainsi que de ses frères quand elle était enfant, être la seule fille à la maison n’a jamais été un rang de reine. Pas chez les Duvallois, pas pour Olympe. Enfant peu bavarde d’ailleurs, elle ne réclamait jamais rien (bien que sachant parfaitement comment obtenir), prenait ce qu’elle pouvait et se démenait si elle le désirait vraiment. Mais Olympe n’a jamais mal pris un refus. Et gère la frustration avec nonchalance.

La nonchalance d’ailleurs la définit assez bien. Si l’on devine sous cette chaire, une musculature solide, les gestes sont calculés, délicats et Olympe semble savoir comment faire jouer son corps pour attiser le désir quel que soit l’instant.

Curieuse de nature, Olympe porte sa curiosité comme une qualité, car elle est tournée vers l’intérêt de l'autre et non vers la futilité. Peu adepte des banalités, elle écourte les conversations sur la météo ou le climat politique. Ses silences en disent plus que ses mots, mots qu’elle économise. Les longues conversations ne sont pas tenues par elle. D’une bonne écoute à la mémoire efficace, Olympe est agréable à côtoyer. Mais n’attendez pas de sa part de longues discussions au coin du feu.

Pourtant, tout cela ne dit pas pourquoi la clientèle aime tant Olympe. Tout cela ne dit pas pourquoi Mère veut que ce soit elle qui prenne sa suite.

Ses tétons bruns peut-être ? Sur une peau si blanche ? La lourdeur de ses seins, comme si un jour elle avait porté ? Ou alors sa discrétion…en toute circonstance, Olympe est quelqu’un de fiable. Même si elle doit taire ses principes, vos secrets sont bien gardés. Elle est appréciée parce qu’elle accepte tous les clients. Sans regard sur l’espèce, la race, la taille de la bourse. Les physiques non plus, elle sait ne pas être regardante. Avec elle, le plus laid, la plus monstrueuse, auront la sensation d’être magnifiques et uniques. Pas besoin de se forcer lorsqu’on aime se donner.

Et si Mère l’aime autant, c’est que c’est une fille intelligente. Elle sait lire et écrire dans plusieurs dialectes, possède une bonne culture sur divers sujets. Elle prend soin des clients et des clientes, ne regarde pas ses heures et fait parfois dans le bénévolat.. si on peut dire. Mère sait que Olympe risque de se faire une belle place dans le monde des lupanars. Elle est belle sans en faire des tonnes et sa nature paysanne qu’elle laisse ressortir parfois offre à son personnage une dimension vraie et nature. (Ivre...c'est autre chose...)

Il y a beaucoup de chose à dire. Peut-être pas sur le physique, mais sur son caractère, c’est certain. Venez chez la Mère et vous pourrez en découvrir plus. Peut-être même des choses que personne de son entourage ne soupçonne…

Histoire :

PORTRAIT DE FAMILLE
 
Son père, Jean Simon Duvallois, était un riche propriétaire terrien. Il faisait partie des personnages influents dans la région. D’un premier mariage avec une cousine éloignée, comme cela se faisait à cette époque, sont nés six robustes garçons.

Il y a l’aîné, Simon Pierre Duvallois. Fils prodige, fierté de son père, ce dernier attend de lui qu’un jour, il prenne la suite de l’affaire familiale. Malgré les pressions subies par les ambitions du père, Simon ne se laisse pas submerger facilement.

Trois ans plus jeune, Paul Abraham Duvallois est un pur produit de la Terre. Habitué dès son plus jeune âge au travail en extérieur, il est le plus robuste de tous, bien qu’illettré, Paul n’en reste pas moins d’une bonne intelligence et se montre extrêmement débrouille s’il le faut.

 Vient, avec 4 ans d’écart par rapport à Simon, Abel Jean Duvallois, qui est le plus beau. Et de loin. La délicatesse de ses traits a fait de lui et pendant longtemps, le préféré de sa mère. Le décès de cette dernière, aussi soudain que sans explication, l’a touché plus que les autres. Il en garde une sorte de mélancolie dans les traits, un désintérêt pour ce qui n’a pas un rapport avec le travail à la ferme.

2 ans après Abel, sont nés les jumeaux, Jacques et John Duvallois. Certainement pas les plus futés de la fratrie, mais si Jacques est un sot ingrat et mauvais par moment, son jumeau, John, est généreux, plutôt dans l’esprit de l’imbécile heureux. Même lorsqu’il se fait malmener, John n’en perd pas pour autant son sourire niais.

Le petit dernier n’a pas connu sa mère, décédée peu de temps après sa naissance. Tout comme les jumeaux, qui n’en ont gardé que peu de souvenir. Joshua Abraham Duvallois, est né 4 ans après Jacques et John. Comme il était le plus jeune, il se fit malmener par ses plus grands frères, car monsieur Duvallois père, semblait accorder plus d’attention à Joshua qu’aux autres.

La mère des six fils de Jean, s’est mariée avec ce cousin austère et fervent catholique, par devoir plutôt que par amour. Sarah Duvallois était une femme pieuse, élevée dans la sévérité. Devenue timide par l’autorité dont elle a été victime, elle a été une épouse idéale pour Jean. Ce n’était pas la plus belle. Peut-être bien que s’il l’avait rencontrée dans d’autres circonstances, il ne l’aurait pas épousée. La pauvre femme est décédée quelques années après la naissance de son dernier enfant. Personne ne sait grand-chose sur ce qui a conduit à la mort de la première Dame Duvallois. Il y a beaucoup de spéculation, mais rien de concret. Et personne dans son entourage ne semble s’inquiéter plus que cela de cette histoire.

Jean, peu de temps après la disparition de sa première femme, s’est vite remarié. Bien que de trente ans sa cadette, Asmodée Olympe Polyxena, a vite fait de gagner le cœur du jeune veuf.  Aujourd’hui, l’on serait probablement choqué d’un tel empressement au remariage, mais dans ce village et à cette époque, on comprenait le besoin pour cet homme, de rapidement trouver une femme qui puisse l’aider avec ses enfants.
Asmodée faisait partie des jeunes femmes qui avaient été vendues il y a longtemps, à de riches humains. Passés de mains en mains depuis son plus jeune âge, elle a fini par obtenir sa liberté, lorsque les lois ont changées sur l’esclavagisme. Déracinée, ne pouvant retourner chez elle, Asmodée a su se débrouiller pour gagner son pain, jusqu’à ce que Jean ne tombe amoureux de son regard.

Leur mariage s’est fait rapidement après leur rencontre, car Asmodée était enceinte. Jean ne voulait pas que le village se mette à raser, lui qui était parvenu à éviter le scandale d’un mariage avec une femme de vingt-deux ans, lui qui en avait déjà cinquante.

LES EMPLOYÉS

Jean était un homme avare. Il y avait donc peu de domestiques dans la maison, malgré une fortune qui le lui permettrait. Mais Jean n'avait confiance en personne et sa jalousie envers Asmodée était telle qu’il refusait qu’un homme ne passe le pas de la maison. Seuls ses fils étaient en droit se côtoyer Asmodée, et encore. Jean avait peur que son jeune âge, plus proche de celui de ses fils que du sien, ne les attire. Sans parler se sa beauté. Enfin. Aussi, le personnel était composé d’une cuisinière, Louise Fleury, une vieille femme qui cuisinait déjà pour les parents de Jean. Elle était dur, impressionnante, mais avait un cœur énorme. Personne ne connaissait son âge. Les gens du village se tenait loin d’elle, car beaucoup disaient qu’elle était une sorcière. La cuisinière était accompagnée par une jeune fille qui n’était autre que sa petite nièce. Elle devait prendre la suite de sa grande tante. Charlotte Fleury était une jeune femme bavarde et étourdie, mais dans ses maladresses, elle parvenait étonnement à des résultats culinaires surprenant. Son côté travailleur et servile la rend chère au cœur de Louise, qui peut ainsi se reposer sur elle. Ne reste que deux personnes, deux sœurs, vieilles filles selon les dire, jamais mariées. Quarante ans, elles semblent avoir toujours vécu entre les murs de la maison. Personne ne sait si elles sont jumelles ou non. Personne ne sait si elles sont de la famille Duvallois, Fleury ou…on les appelle « enfant de la Terre » car on ne sait pas d’où elles viennent. Muettes de naissances, elles ne cherchent pas le contact plus que nécessaires. Elles s’occupent du ménage.

Rappelons que la jalousie de Jean, ainsi que les comportements frivoles de sa jeune épouse, empêchait se dernier d’accepter des employés de maison masculin. Seulement, son affaire était bien trop importante pour ne pouvoir se reposer uniquement sur ses fils. Aussi, il avait plusieurs employés sous ses ordres, des hommes qui me venaient jamais dans la maison, et qui même, pour certains, n’avaient jamais vu la nouvelle madame Duvallois, enfin…Polyxena (cette dernière ayant refusé de changer son nom, tout comme le refusera pour sa fille par la suite.).

UNE VIE

« Parlez moi de vous…Olympe. Racontez moi votre vie. »
« Apres tout…vous payez. Le client est roi… »

Sa voix est lente. Suave. Un peu basse pour une femme, mais capable de monter dans les aigüe au besoin.

«  Par où puis je commencer. Mon père. Il est tombé amoureux de ma mère si fort, qu’il en a gardé longtemps les stigmates…et qu’il les porte encore. Ma mère elle…était trop jeune pour comprendre dans quoi elle s’engageait. Comprenez cher ami. Elle n’avait que vingt-deux ans. C’était une belle femme. Non pas incroyable, ni même magnifique. Mais belle. Je l’ai su tardivement. A force que tout le monde la dépeigne comme une créature détestable, j’en avais une image absolument hideuse, qui me faisait horreur. Longtemps, j’ai eu peur de lui ressembler. »

« Vous lui ressemblez ? »

« Ne me coupez pas. Oui. Je lui ressemble. A tel point que mon père en a souffert….en souffre encore. Il aime porter sa croix cet homme. Il n’a jamais abandonné les pas de son Dieu. Mais je vous parlais de ma mère. Trop jeune pour comprendre. Elle s’est engagée par besoin de ne plus être seule. Elle travaillait depuis la libération des Esclaves, dans un bar le soir. Ce n'était pas le plus fameux, mais elle y gagnait de quoi manger. Peut-être pas à sa faim…cela dit. Plus elle approchait de sa maturité, plus elle devenait belle. Attirante serait le mot. Elle attirait les regards des clients, des passants…ce n’était pas un regard d’amour. Ma mère n’a pas été conçue pour être aimée. Mais désirée. Comme un objet que l’on veut dans une vitrine. Vous voyez ? »

Sa voix parfois partait dans le chuchotement las. L’homme qui lui tenait lieu de compagnie ce soir, était un étrange et mystérieux petit personnage qui venait de temps en temps et payait pour lui raconter des histoires. Aujourd’hui, c’est elle qui devait raconter. Et ça la fatiguait de devoir parler autant. Ce n’était pourtant que le début.

«  Ma mère s’appelle Asmodée Olympe Polyxena. Elle était belle, l’est peut-être encore. Elle plaisait beaucoup, même quand elle était mariée à mon père. Les employés de la ferme essayait de l’apercevoir, car ils avaient entendus bien des choses sur elle. Oui monsieur. Ma mère était putain et bien que d’une autre ville, il y a des choses qui vous collent à la peau. Comme la crasse de certains lieux. Ou la tristesse des cimetières.

Ce que je vous raconte ne vient pas de ma mémoire, mais du journal de ma mère. Et des ragots de village.
C’était une femme qui aimait…les plaisirs que sa chaire pouvait lui offrir. Quelque chose en elle brûlait de passion et d’envie. Bien vite, elle était parvenue à fatiguer mon père par ses envies insatiables. Je ne sais si c’est vrai, mais mes frères disent que le patriarche était allé jusqu’à faire appel à un exorciste.  Mais c’est peut-être une légende… »

Lorsqu’elle était concentrée, Olympe avait les sourcils froncés. Sa bouche prenait une moue boudeuse et lui redonnait momentanément un air presque juvénile. Comme si on pouvait entrevoir l’enfant qu’ elle a été un jour…quelque part…

« Ma mère était astucieuse. Elle trouvait les moyens de s’échapper de la maison et partait s’acoquiner du premier venu. Mon père…il était si avare. Si…pingre. Son épouse avait compris qu’il lui faudrait, afin de s’offrir de jolies toilettes (n’était-ce pas en partie pour ce luxe la qu’elle s’était mariée ?) et d’autres petits plaisirs. Elle se prostituait, sans mettre ce nom dessus. Les hommes avec qui elle allait pouvait ne rien lui offrir en échange, cela lui était égal. Elle n’attendait rien. Disons que les cadeaux étaient un plus… »

« Vous avez suivi les pas de votre mère alors ? »

« Je vous interdit de dire ça. Vraiment. Je ne suis pas ici pour faire comme ma mère. Pendant longtemps d’ailleurs, je l’ai détestée. Il faut comprendre que lorsque j’eus cinq ans, Asmodée s’évapora dans la nature. Mon père me dit qu’elle était partie avec un homme, qu’elle ne voulait plus entendre parler  de nous. J’étais perdue. Mais cela me passa, je n’ai que peu de souvenir de ce moment de ma vie…

J’ai donc grandit sans mère. C’est à huit ans que l’un de mes frères est venu me voir. Plus je grandissais, plus je voyais que les hommes autour de moi se comportaient différemment. Si je restais là chouchou des employés (la plupart étaient loin de leurs enfants. J’étais comme un réceptacle de leur manque…mes frères…mon père….c’était autre chose. »

Olympe fit une pause. Elle retira ses vêtements, se laissant observer, nue.

« continuez… »

« Je vais devoir faire une parenthèse. Avant se vous expliquer pourquoi ces regards. Je n’avais que huit ans. Vous vous doutez bien que ce n’était pas du désir. Pas encore.

Bref. Mon père attendait de Simon, qu’il fasse des études et possèdent de quoi entretenir et faire fleurir l’affaire familiale. Avec sept enfants, il ne pouvait envoyer tout le monde à l’école où en pensionnat. Je suis la seconde et dernière à avoir bénéficier d’un enseignement scolaire. Mes cinq autres frères apprenaient sur le tas ou parfois, demandaient à leur aîné. Ils se reposaient beaucoup sur lui et c’était ainsi que ce devait être fait. Car un jour, Simon serait leur patron.

Très jeune (et peut-être pour me faire oublier ma mère, que mon père a ce moment me forçait à appeler « ma génitrice ») j’ai eu un professeur. Il venait à la maison et me faisait les leçons dans une grande salle d’étude. Il a fait partie de mon enfance et une partie de mon adolescence. »

Olympe bougeait de temps en temps sur son siège, au gré des envie que l’écrivain lui faisait comprendre par des gestes nonchalant du doigt. Sa bouche s’ouvrit.

« N’arrêtez pas de parler. J’aime votre voix. Je l’entends rarement… »

« Je n’ai pas eu une vie palpitante…cher. Au contraire. C’était assez banal pour une enfant de la campagne. Jusqu’à mes dix ans, j’étais plutôt bien entourée. Certes, comme je vous l’ai dit plus tôt, le regard de mes proches avaient changer à mon encontre. C’est Abel qui me glissa la vérité. Sans méchanceté. Il était ainsi Abel. Il parlait avec une douce mélancolie, même lorsqu’il disait simplement la vérité. Elle faisait mal. Mais Abel ne mentait jamais. « Ta mère était une putain. Elle ne se faisait pas payer en tant que telle, mais elle recevait des petits cadeaux. Père était trop amoureux ou trop stupide pour s’en rendre compte. Il croyait sincèrement que c’était des objets que ta mère recevait d’anciens clients. Ça n’avait aucun sens, mais tu sais comment il est. Monsieur Duvallois. En bon chrétien….tout plutôt que d’accepter qu’il y a le démon dans sa maison. » j’ai reçu cette annonce comme une petite gifle. Je savais ce qu’était une putain. Je savais lire et mes lectures ne se cantonnant pas à des contes pour enfant…

Abel ne s’est jamais excusé de me parler comme ça de ma mère. Il l’aurait répété si j’avais demandé. Mais je ne voulais pas l’entendre. Mon père avait dit qu’elle était paie avec quelqu’un d’autre. « T’es conne ? Il l’a jetée. » Mes autres frères étaient moins tendre avec moi.
Plus je m’approchais de mes seize ans, plus je m’éloignais de mon côté « petit mec », plus mon père a commencé à me surveiller. Il répétait aussi de plus en plus que je lui ressemblait. A elle. Asmodée. Je l’ai entendu, ai-je rêvé ?, chuchoter des prières sur mon passage. Je n'osais pas lui demander si tout allait bien. Car je sentais dans son regard que c’était moi, le problème dans la maison. Qu’il aurait mieux valu que je ne disparaisse avec ma mère. »

Olympe soupira. Les mains de l’écrivain étaient douces. Pleines d’encres. Son enfance, elle n’en souffrait pas. Pas plus que le passé de sa mère. Comme pour beaucoup de chose, Olympe fait avec. Tout simplement.

« Le jour de mes seize ans, j’ai reçu de mon professeur, une série se gravures libertines. Des écrits également. Je ne sais pas s’il avait projeté de me pervertir à ses fins, car il fut renvoyé quelques semaines après. Pourquoi…je ne sais pas. Une sombre histoire avec la servante des voisins. Ce cadeau me faisait plaisir, tout en me laissant un sentiment de honte. Il n’avait pas besoin de me dire de garder secret tout cela. « Ton père est un bon père…mais un mauvais chrétien. » Jamais je n’aurais osé dire une chose pareille. Aujourd’hui…je le comprends…vous me chatouillez… »

L’écrivain releva la tête d’entre les cuisses blanches. Il embrassa la peau striée de vergetures et soupira pour accompagner ceux de la prostituée.

« Pardon. Il faut que je me rase…. »

« Surtout pas !...surtout pas…continuez. »

Et elle reprit également.

« J’avais seize ans. Mes seins poussaient…mon corps changeait. Pour le meilleur et pour le pire. De condescendant, mes frères et mon père commencèrent à avoir une sorte de…concupiscence dans le regard. Je ne me sentais plus très à l’aise en leur compagnie. Un jour, je suis tombée sur une lettre que mon père avait écrite. C’était un brouillon de lettre. Je ne savais pas à qui il l'adressait … je ne le su que plus tard.. »

« Que disait cette lettre ? L’avez-vous gardée ? »

«  Bien sûr que non. Je l’ai parcourue avec horreur. Je me sentais coupable d’ainsi violer les pensées de mon père, mais il était si étrange à mon encontre depuis mon anniversaire, que…il fallait que je comprenne. Je tolère beaucoup de chose vous savez ? Mais pas que l’on m’écarte sans explication. Je préfère une vérité douloureuse à un mensonge. Même le plus doux qu’il soit. »

Parfois, durant leur conversation, Olympe gémissait faiblement. Ce n’était pas une femme bruyante. Tout comme normalement, elle n’était pas bavarde. Ivre ou selon la brutalité de l’acte, on pouvait l’entendre crier, mais c’était plutôt rare.

« oui mais que disait cette lettre ? »

« Vous êtes impatient… »

Sa phrase se termina dans un soupir tandis que l’écrivain retournait faire jouer de sa langue avec talent et gourmandise. Il savait s’y prendre pour que Olympe ne perde pas totalement le fil de son histoire.

« La lettre. Lorsque je ferme les yeux, je vois encore le papier froissé que l’on avait lissé. Déposé comme si on voulait que je tombe dessus… je m’en rends compte aujourd’hui seulement. Quelqu’un dans la maison voulait que je sois mise au courant…mais qui ? Simon ? Abel…ce n’est pas son genre. Il me l’aurait dit…. »

« Ce n’est pas le moment de spéculer… »

Le grognement impatient, le sourcil froncé. Il avait du charme…ce petit écrivain. Olympe soupira et le fit se remettre à sa besogne tandis qu’elle reprenait, essayant de ne pas se laisser distraire par la question « pourquoi ? Qui ? »

« Mon père faisait part à quelqu’un, un ami peut-être…il en avait peu, mais ils étaient intimes. Assez pour qu’il se confie ainsi. Il faisait part aux troubles qui l’habitaient. Ma ressemblance avec ma mère. Mes comportements de plus en plus aguicheurs…j’étais en âge de vouloir ressentir des choses. Et que ressentir dans une ferme entourée d’hectares de fruits et légumes…de la boue…des animaux. Mon père ne me laissait jamais aller en ville sans l’un de mes frères pour me chaperonner. Je n'avais pas d’amies de mon âge, si ce n’est la petite cuisinière. La vieille me faisait peur. Je l’aimais, mais avec une sorte de crainte lorsqu’elle me parlait….enfin…j’étais très seule.
Alors ne soyez pas choqué d’apprendre que j’ai commencer à jouer avec les hommes qui travaillaient pour mon père. Je faisais même parfois tourner en bourrique mes frères. Non sans un plaisir certain. Voyez vous, je ne faisais que reproduire les vies palpitantes des héroïnes d’histoires…d’histoires parfois libertines…qui me bercent depuis ma plus tendre enfance. J’oubliais mon âge, les lieux qui m’entouraient et je me laissais gentiment charmer par les employés.

Ce n’était pas pour le sexe. C’était autre chose qui me poussait à faire tout ça. C’était devenu un besoin. Je ne pensais pas que mon père s’était rendu compte de quelque chose…coupable aussi, de ses pensées.
Mon père disait son désespoir de ne pouvoir m’enfermer. Il savait que j’allais finir comme ma mère. Il suppliait Dieu et son interlocuteur de lui venir en aide. En proie aux démons, il avouait ses désirs pour moi. Qui n’était plus sa fille, mais le fantôme de celle qu’il avait tant aimé. Mais tout ça, certes me fit mal, n’avait pas autant d’importance que ce qu’il avait annoté…

Mon père voulait m’envoyer au couvent. Il avait même pris quelques noms de lieux, pensionnats pour jeune fille, autres…certains si loin qu’il semblait vouloir me faire disparaître, comme il l’avait fait avec ma mère. Avait il fait pareil avec son ex épouse ? Celle qui serait décédée… »
Olympe du s’arrêter. Le plaisir l’empêchait de réfléchir. De se souvenir. Ils firent l’amour lentement, et restèrent nus, dans le noir, bercés par leur respiration légèrement haletante encore.

« J’ai payé pour la nuit complète et la matinée…reprenez. »

Malgré la somnolence post-coïtale, Olympe, sensible au plaisir de ses clients, reprend donc le récit de son enfance. Elle n’est pas sure de reprendre au bon moment, mais qu’importe.

« Ma découverte me fit un choc tel que je m’enfermai dans ma chambre, refusant d’en sortir malgré les menaces de mes frères, de mon père. Je ne voulais voir personne, bien trop effrayée à la perspective de vivre dans un couvent. Je le répète. Je lis depuis longtemps et j’ai lu beaucoup se choses peu glorieuses sur les traitements que l’on réserve au récalcitrante. De plus…je ne me suis jamais sentie proche de la religion monothéiste que mon père m’imposait. »

Olympe se leva et se dirigea vers la grande fenêtre dont elle tira les rideaux, laissant la lune éclairer son corps, faire ressortir la pâleur de sa peau.

« Pendant ces quelques jours enfermée, je ne mangeai pas énormément, préférant le jeûne et ma fierté qu’accepter la nourriture que l’on mettait devant ma porte. Mais je pris le temps de réfléchir. Je ne pouvais pas me permettre une vie de chasteté et de promesses consacrées à Dieu. C’était terrible pour moi. De passer des mains et des ordres de mon père a celui de Dieu, pour finir ma vie auprès d’un homme que je devrai épouser par…nécessité. Je ne veux pas être amoureuse par nécessité. Vous comprenez ? »

La putain avait pris une longue pipe dans laquelle elle mit du tabac, préparant cela longuement tout en ne s’arrêtant dans le récit de sa vie, uniquement pour se concentrer à sa tâche.

«  puis ma retraite pris fin. Je me montrai douce et polie, mis mon absence sur la dépression, après tout «les femmes ont leurs humeurs vous savez bien ! » Pas encore totalement femme et déjà capable de manipuler aussi facilement que ma mère le fit avant moi. Je partageais le travail à la maison et acceptait sans broncher de rester à la maison, ne sortant qu’avec mes frères et ne profitant plus de leur étourderie pour m’éclipser. J’étais sage. L’enfant que mon père avait toujours rêvé d’avoir. Vous me croyez si je vous dit que j’allais même à l’église les dimanches ? Durant le peu de temps libre que m’accordait mon père, je m’instruisais seule, depuis le renvoi de mon professeur. Parfois, lorsqu’il avait du temps ou était de belle humeur, Simon m’aidait. Je garde tout de même des limites et des lacunes dans mes connaissances… »

Installée sur un sopha, Olympe fumait, drapée dans un bout du rideau. C’était une putain qui savait comment attiser le désir dans ses poses ou les fluctuations de sa voix. Elle fumait avec une sorte de nonchalance. Moins nerveuse qu’avant leur union.

« Je ne sais si père a revu son désir de m’envoyer au couvent. S’il a changé d’avis…mais il était plus charmant. Il s’inquiétait moins et je savais que j’étais en train de redevenir sa petite fille. Cela ne dura pas, malheureusement… »

De temps à autre, Olympe suçotait l’embout de sa pipe, en pleine réflexion. Mais avant que l’écrivain ne s’impatiente, elle reprenait.

« Cela n’a pas duré, car je ressentais des besoins que Onan, ne pouvait satisfaire seul. Il m’était de plus en plus difficile de retenir cette chose en moi. J’avais envie de partager mes plaisirs avec quelqu’un. Mais le brave Jean Simon Duvallois, veillait. Un relâchement de sa vigilance ne signifiait pas une complète liberté. Si j’avais tenu quelques mois de plus…mais j’allais sur mes dix-huit printemps et je n'avais encore rien fait de plus que quelques caresses.

Mes frères n’aidaient en rien mes pulsions, car ils venaient me demander de leur lire des histoires libertines. Les plus jeunes savaient que Simon, malgré que ses frères soient  des adultes désormais, serait choqué de faire une telle chose. Abel semblait ne pas s’intéresser à ce genre de chose. Et leurs livres étaient plus osés que les miens. »
S’étirant de tout son long, elle resta dans une posture de chatte, légèrement cambrée, afin que son amant puisse venir contre elle. Son bras encerclant sa taille.

« Abel a fini par le découvrir. Si ç’avait été Simon, mon père n’en aurait rien su. Jamais. Mais Abel ne savait pas mentir. Et lorsque mon père lui a demandé pourquoi ses fils passaient tout à coup tant de temps sur leurs congés, avec moi, cela piqua la curiosité de mon frère qui fini par nous voir. Abel ne sait pas mentir. Alors lorsque mon père réitéra sa demande, son second ne put garder sous silence nos petits manèges. S’ensuivit une scène violente entre mon père et moi… »

Olympe désirait oublier cette partie. Il l’avait traitée de putain, l’avait giflée et pendant un instant, il l’avait regardée comme s’il ne la voyait pas. Son regard a ce moment là…Olympe eut un hoquet de surprise lorsque son amant s’unit a nouveau à elle.

« Ensuite… ? »

« Je suis partie. J’ai fui. Cela n’était pas un coup de tête. Depuis la lettre et les histoires de couvent, je m’étais préparée a cette éventualité. En essayant se me faire détester ma mère, mon père n'avait fait que renforcer mon désir de la comprendre. Mon désir de la retrouver. Entendre sa vérité…avait elle réellement accepter de l’argent pour m’abandonner ici ?...doucement…ah… »

Son récit était saccadé, devenant décousu tandis que l’écrivain s’escrimait a lui arracher des gémissements.

«  J’avais quelques économies dans une cachette. Ce n’était pas grand-chose, mais je pensais que ça me suffirait à survivre quelques temps. Je ne sais pas pourquoi tant de naïveté. Mon peu d’économie…ne dura pas. Du tout…ralentissez par pitié…je n’arriverai jamais au bout de ce récit. Je…j’ai parcouru la route qui me conduisit dans cette ville, a pied, puis une autre partie en calèche. Mon premier client…si je peux dire… »

« Comment était il ? »

« Ça n’a pas d’importance… »

Olympe se fit retourner d’un coup brusque, mais d’un geste habile. Elle se retrouva à califourchon sur son écrivain aux étranges requêtes. Ainsi elle pouvait donner le rythme et reprendre le récit de sa vie avec un peu plus de tranquillité dans la voix.

« Dites moi quand même. »

« Rustre. Tout était démesuré chez lui. Mais il aimait la chose et moi…je n’avais que ça à offrir. Il valait mieux que continuer seule sur les routes. J’avais pris assez de risque jusqu’à ma rencontre avec lui. Il sentait fort. Le bois, l’alcool, le tabac. Mais ses mains étaient habiles…et sa…verge…ça vous...suffit ?

Lorsque nous sommes arrivés en ville, mon compagnon de route me proposa de venir avec lui. Mais je refusai poliment, lui faisant la promesse sans y croire, de le laisser me visiter lorsque j’aurais un logis… »

Tous deux roulèrent du Sopha et finir sur le sol. Leurs cris montèrent en chœur lorsqu’ils jouirent. Olympe resta allongée sur le torse de son amant.

« La suite de l’histoire ressemble celle de tant d’autres filles en ville que…vous savez bien. Sans domicile, j’ai vécu seule quelques jours. Par miracle j’ai survécu. Bien vite, je suis devenue l’amante d’une femme qui tenait une échoppe. Elle m’avait choper entrain de fouiller ses poubelles…elle avait d’étranges pratiques, mais elle m’offrait un lit et un couvert. Cela dura jusqu’à ce qu’elle en ai marre. Seulement, elle me trouvait sympa, alors elle m’a donné l’adresse d’une maison… »

« Ici ? »

« Ici. Je suis arrivée en sachant parfaitement pourquoi j’venais. Contrairement a d’autres fugueuses, c’est un choix  j’suis là parce que j’en ai envie. Tout simplement. Notre Mère m’a prise en affection et parle de me donner sa suite quand j’aurai plus d’expérience. »

Sa façon de parler était devenue plus vulgaire. Comme si elle reprenait des habitudes prises auprès des employés de son père. Ses origines paysannes se faisant ressentir. L’écrivain sourit, c’est ce qu’il aimait aussi chez elle…ce double visage.

« Je ne sais pas. Peut-être. En attendant, j’aimerais retrouver ma mère. Pour le moment, rien n’a été trouvé, mais j’attends. J’ai le temps. Et des contacts désormais. Voilà. Il n’y a pas grand-chose à raconter. Ou trop de chose. Mais vous n'avez pas payé pour une vie.. »

« Puis je vous demander…qu’est-ce qu’il est advenu de votre père et vos frères ? »

« Je ne sais pas. Quand je suis partie, j’ai laissé un mot. Ils ne doivent pas me chercher. Quand à mon père…il m’a écrit il y a peu, je ne sais pas comment il m’a retrouvée. Mais il n’a plus aucun droit sur moi, alors je n’ai plus peur. Et je pense…sincèrement…que je suis parvenue à lui retirer l’ascendant des Polyxena. Bah. Il suffit. Mon père est peut-être décédé aujourd’hui. Je le lui souhaite…il ne trouvera la paix qu’ainsi...»


Autre :

J'ai volontairement peu dit sur la vie de Olympe. Beaucoup de zones d'ombres. Mais pas pour moi. C'est simplement que j'ai envie de partager sa vie dans les futurs rps  :-*

Pardon si je n'ai pas vu toutes les fautes, je suis depuis mon téléphone pour faire cette fiche *a mal aux doigts.*

Comment avez-vous connu le forum ?

Google est encore parfois un ami.
« Modifié: mercredi 30 novembre 2022, 13:20:31 par Anéa »

Gerd

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Re : Olympe || Elle se donnait par amour. Une putain amoureuse.

Réponse 1 mardi 29 novembre 2022, 20:08:34

Parfois Google amène de bonnes gens oui. :D
Bienvenue par minous et belle validation ! En attendant de se revoir en RP peut-être. ;D
Gerd ··· sorceleur de l'Ecole de l'Ours

-> complément de script sur les sorceleurs <-

Olympe Polyxena

Humain(e)

Re : Olympe || Elle se donnait par amour. Une putain amoureuse.

Réponse 2 mardi 29 novembre 2022, 20:10:49

Hello !!!

Merci pour votre accueil  :-*

Il faudra venir demander après moi au bordel si vous le trouvez... :-X...je me ferai un plaisir de vous accueillir.

Asmodeus

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Re : Olympe || Elle se donnait par amour. Une putain amoureuse.

Réponse 3 mardi 29 novembre 2022, 20:15:48

 :-* :P J'aime bien ta mère en tout cas.

Olympe Polyxena

Humain(e)

Re : Olympe || Elle se donnait par amour. Une putain amoureuse.

Réponse 4 mardi 29 novembre 2022, 20:17:18

Mais pas la fille ? Je comprends. ce doit être la chrétienté de mon père qui fait un peu peur aux autres parfois... :( ;)

Kaixiu

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Re : Olympe || Elle se donnait par amour. Une putain amoureuse.

Réponse 5 mardi 29 novembre 2022, 20:19:06

Bienvenue bienvenue

Bastien Hachimato

Humain(e)

Re : Olympe || Elle se donnait par amour. Une putain amoureuse.

Réponse 6 mardi 29 novembre 2022, 20:29:29

Magnifique fiche! Bienvenue.

Asmodeus

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Re : Olympe || Elle se donnait par amour. Une putain amoureuse.

Réponse 7 mardi 29 novembre 2022, 20:37:19

Pour la fille, le tout est de savoir si elle a hérité des bonnes moitiés mais... Je pense qu'il y a de quoi plaire. :-*

Souta et Janus

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Bienvenue dans le coin. En espérant que tu y trouves ton bonheur.  ;)

Olympe Polyxena

Humain(e)

Merci tout le monde !  :-* :-* :-*
Disons que je n'ai plus accès à mon pc, alors le portable est devenu ma nécessité...

Pour le catholicisme, c'est répandu dans la région d'où elle vient. Je pensais à un coin paumé. Parmis d'autres coins paumés...pour les paumés...I guess... ;D :-\

Aphrodite Pandemos

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*Vous entendez quelque chose au loin... un cri... rien? Bien? Tiens tiens? Non.*

... nne... nne... .ienne ...ienne... mienne... mienne... mienne... MIENNE... MIENNE! MIENNE!

*Aphrodite pousse tout le monde et saute sur la nouvelle, l'enlace et frotte sa joue sur la sienne.*

Ehehehehehehehe... mienne <3

Aphrodite Pandemos

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... Si c'est pour partager avec Koya, moi, j'dis toujours oui.

Olympe Polyxena

Humain(e)

Re : Olympe || Elle se donnait par amour. Une putain amoureuse. [Anéa]

Réponse 12 mercredi 30 novembre 2022, 13:07:07

Quel accueil  :'( trop chou.
Je vous aime déjà.

Merci pour les compliments, l'intérêt et la gentillesse !

Ne vous en faites pas, Olympe a énormément d'amour et de  plaisir à offrir.  ;) promis  :-*

Vittorio Vulcano

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Re : Olympe || Elle se donnait par amour. Une putain amoureuse. [Anéa]

Réponse 13 mercredi 30 novembre 2022, 13:18:45

Bienvenue à toi !

Anéa

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Re : Olympe || Elle se donnait par amour. Une putain amoureuse. [Anéa]

Réponse 14 mercredi 30 novembre 2022, 13:20:08

Hellow et bienvenue !  :D

J'ai beaucoup aimé te lire !

Tu es validée ! o/ Bon jeu à toi  :-*



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