Le manoir hanté de Furry Hotaku

Pete avait pris tous les mauvais exemples. Gentil fils de bonne famille aisée, il aurait pu aurait sûrement dû suivre la voie de son père, reprendre l'entreprise familiale et la metree au goût du nouveau siècle, la rendre encore plus profitable et efficace et poursuivre l'histoire dorée de sa lignée.
Mais, sans avoir leurs talents de communicants, de showmen ou, surtout, leur sociopathie, il avait préféré s'identifier aux frères Paul et à leur entourage de dégénérés, se vouant au skate, au paraître et à la drague pour devenir un jeune bouffon dénué de capital symmathie ou d'intelligence sociale. Il était négligent et désordonné, et il avait fui la pression familiale pour se rendre au Japon et le rendre plus cool, ou en tout cas pensait-il pouvoir le faire.

Pete avait mis un petit bazar dans le petit patelin de Furui Teitaku, causant bien de l'embarras et des contrariétés depuis son arrivée il y a quelques semaines. Sa seule attitude de petit con américain irrespectueux et bruyant suffisait à mettre la communauté ancienne et peu visitée dans tous ses états, et ses habitants s'étaient réunis pour trouver une manière polie et détournée, bien nippone, de le convaincre de fuir.
Ils avaient fini par organiser une grande loterie avec un mystérieux gros lot d'une valeur inestimable. Évidemment, Pete participa et gagna le jackpot : la clé du grand manoir dominant le village, au sommet de la colline, entouré par les bois, bâti par un ambassadeur anglais en mêlant architecture meiji à l'extérieur et ambiance victorienne à l'intérieur.

Et quand on lui raconta que les lieux avaient été le théâtre d'un terrible massacre et qu'il restait hanté à ce jour, l'Américain, surexcité, sauta de joie à l'idée de remplir son Instagram de vidéos du manoir hanté.
Le damn des habitants était grand, car l'histoire du massacre était fausse et le manoir était un lieu protégé dont ils étaient fiers. Ils l'entretenaient depuis des générations et craignaient désormais de voir le jeune con le défigurer et y attirer des amis et touristes aussi turbulents et dissipés que lui.
En revanche, personne n'y ayant vécu, ils ignoraient qu'une chose était vraie.

Le manoir était bel et bien hanté.

Pete investit les lieux dans l'heure, ignorant le débat s'agitant dans le village pour trouver un nouveau plan, plus radical. Il lâcha ses sacs dans le hall, envoya ses baskets voler à travers le grand salon en poussant des exclamations excitées clairement exagérées tout en se filmant avec une petite caméra au bout d'une barre à selfies.

"Oh mon dieu ! C'est qui le patron de Furry Hotaku ? C'est moi ! #blessed #hustle #énorme !! J'ai hâte de passer ma première nuit et de rencontrer le faaantôôôme !!! Hahaha MDR tchô les Pitiz !"

Après cette performance objectivement déplorable, il décida que le meilleur moyen de marquer son territoire était de faire le tour de la barraque en se déshabillant. Il trouverait peut-être la salle de bains à temps pour s'y mettre à poil ? Ou pas ! Est-ce qu'il y avait une salle de bains ? Il allait vite le savoir !

"C'est bon d'être le roi ! Hahaha ! Hey ! Le fantôme ! Tu viendras me frotter le dos ? Pwahahah !"

Victoria était née dans ce manoir il y a bien des années. Des centaines d’années peut-être même. Cependant elle est né avec une santé très fragile. Une simple grippe et elle pouvait mourir. D’ailleurs... elle avait seulement 18 ans lorsqu’elle est décédée. Ici même dans ce manoir. Une pneumonie l’avait emportée. Et sa famille avait tellement été triste et sous le choc qu’ils avaient tous abandonner le manoir une fois que la petite fut mise en terre. Sa famille était partit en laissant le manoir tel quel. Tout les meubles s’y trouvait encore. Et la jolie Victoria aussi. Elle était revenue sous forme de fantôme car elle avait fait pitié a un dieu qui l’avait aider à revenir sous cette forme.

Elle avait une condition pour rester dans le monde des vivants. Elle devait prendre soin de sa demeure et des gens qui y vivrait maintenant. Elle avait acceptée et en revenant dans le manoir elle fit qu’elle portait maintenant une tenue de maid, de bonne à tout faire. Bon... Commençons le travail. Elle se mit à entretenir. C’était bien la première fois qu’elle pouvait faire autant d’effort sans se sentir mal ou faible. C’était merveilleux. Se sentir aussi vivante malgré le fait de ne pas l’être.

Elle restait bien sage jusqu’à ce qu’elle entende un homme entrer avec trombe dans le manoir.  Elle ne comprenait pas... avait-il déjà de nouveaux habitant dans le manoir sans qu’elle ne le sache? Comme elle ne pouvait pas sortir d’ici elle ne savait pas que les habitant de la ville avait mis le manoir dans une loterie et que tout le monde croyait que le manoir était hanté. Ils avaient raison car Victoria y était présente... elle ne savait pas non plus quelle genre de bêtises ils racontaient sur le manoir.  Il n’y avait eu aucun meurtre ni massacre horrible ou tout ce qu’ils disaient comme rumeur.  Pourtant.. certains habitants venaient entretenir l’extérieur du manoir et les environs.

Le bâtiment était des plus magnifiques. Entouré de bois et situé sur une colline, l’endroit était calme et paisible. C’était une belle demeure. Tellement qu’elle était presque considéré comme patrimoine du village. Depuis le départ de sa famille personne n’avait osé mettre les pieds ici. Les gens avaient lancer des rumeurs sur un fantôme vêtue de blanc et de noir se promener dans la maison durant la nuit. Victoria ne pensait pas qu’ils parlaient d’elle. Elle se montrait pourtant si discrète.

Bref.... tout cela n’était pas vraiment important pour elle. Elle avait une mission, un devoir à accomplir. Elle s’était cacher lorsqu’elle avait entendu les bruits et la voix d’un homme entrer dans le domaine. Elle voulait observer qui il était avant de se montrer. Elle avait beau être une fantôme mais son corps était bien réel et elle n,avait pas très envie de lui laisser la chance de lui faire du mal.  Elle restait dans l’ombre et le vit lâcher des sacs dans le hall et lancer ses basket dans le salon.  Il tenait un drôle de bâton dans sa main et parlait tout seul.

"Oh mon dieu ! C'est qui le patron de Furry Hotaku ? C'est moi ! #blessed #hustle #énorme !! J'ai hâte de passer ma première nuit et de rencontrer le faaantôôôme !!! Hahaha MDR tchô les Pitiz !"

Mais... quel énergumène... il était très étrange comme jeune homme.  Après ces paroles incompréhensibles pour la jolie demoiselle, il arrêta ce truc machin bidule et commençait à se déshabiller. Victoria soupira et le suivit sans faire de bruit. Elle ramassait le désordre qu’il causait et avait même déplacer les sacs du hall afin de les mettre près des escaliers qui menait aux chambres. Elle continua de le suivre en ramassant chaque morceau de vêtements qu’il retirait de son corps bien défini.

"C'est bon d'être le roi ! Hahaha ! Hey ! Le fantôme ! Tu viendras me frotter le dos ? Pwahahah !"
-Troisième porte sur votre gauche si vous cherchez la salle de bain.

Elle était derrière lui et tenait ses vêtements dans ses mains. Elle le regardait et soupira.

-Voulez vous réellement que je vous frotte le dos?

Elle restait à bonne distance de lui... Au cas où elle devrait se sauver si jamais elle avait affaire à un fou furieux.

Pete ne s'attendait absolument pas à voir un fantôme. A dire vrai, il ne croyait pas aux fantômes. Pourtant, il avait participé à un épisode d'une émission de chasse aux fantômes, mais c'était juste pour le clout, pour le reach, et pour se marrer un peu, aussi. Mais non, il n'y croyait pas, pas plus qu'à l'âme immortelle et à l'Au-Delà. C'était peut-être une façon triste de voir la fin de vie, mais il était jeune et se pensait immortel. Alors, les esprits...
Il était tellement sûr d'être seul et de ne pas avoir de mouron à se faire qu'il calcula à peine Victoria quand elle s'adressa à lui la première fois. Il l'entendit bien, mais il réagit machinalement, sans la considérer.

"Okay troisième à gauche, merci !"

Il lui fallut quelques secondes pour réaliser qu'il avait répondu aux paroles de quelqu'un et qu'il n'était, en fait, pas seul. Il se calma, ouvrit ses oreilles et entendit le soupir derrière lui.
Lentement, les yeux ronds, il se retourna.
C'est là qu'il vit la jeune femme, occidentale, pâle et aux cheveux clairs, aux grands yeux rouges, en tenue de soubrette d'un autre temps, qui portait ses vêtements et le fixait d'un air dubitatif. Elle lui parla encore, mais il était trop choqué pour l'entendre cette fois.

Est-ce que cette fille était... ?
Le village devait bien avoir des employés pour s'occuper du manoir !
Mais il ne se rappelait pas avoir vu un seul Blanc parmi eux. Et puis... Elle était...

Doucement, il grimpa sur le fauteuil avant d'en descendre précautionneusement sans lui tourner le dos. Il le garda entre eux en reculant, comme si elle allait lui sauter dessus et si le mobilier pourrait lui faire écran.
Lui aussi se montrait suspicieux et prudent à présent, et ils s'observèrent à distance sans bouger un instant avant qu'il daigne lui parler enfin. C'était complètement fou. C'était trop bizarre. Mais ça ne pouvait pas être un fantôme, si ?

"Tu... Salut... T'es qui toi ? Qu'est-ce que tu fais chez moi ?"

Et voila... Le nouveau propriétaire de son manoir... De sa maison. Sa demeure tombait entre les mains de ce jeune homme aux cheveux blonds aux allures complètement étranges. Il avait des expressions et un parler complètement perturbant pour la jeune demoiselle. Lorsqu’elle décéda les gens ne parlaient pas de cette manière et encore moins à ce truc rectangulaire qu’il tenait dans sa main. Elle commença donc  par le surveiller, afin de savoir si elle pouvait se montrer ou non. Elle était peut-être morte mais elle pouvait ressentir comme une vraie personne vivante. Puis elle soupira. Il se déshabillait dans le manoir sans même prendre la peine d’admirer ses nouvelles possessions. Elle se mit donc à le suivre en ramassant ses vêtements un à un. Et voyant qu’il semblait chercher la salle de bain elle finit par lui donner un coup de main en lui adressant la parole. Elle lui indiqua l’endroit où il devait aller.

"Okay troisième à gauche, merci !"

Elle continua ensuite en lui demandant s’il souhaitait réellement qu’elle ne l’accompagne dans la salle de bain afin de faire ce qu’il venait de demander.  Mais elle vit qu’il ne l’écoutait pas vraiment. En faite... vue qu’il se disait être seul ici elle devait sûrement lui faire peur. Il finit par s’arrêter et se tourna vers elle les yeux ronds. Il semblait un peu paniqué par sa présence. Pourtant Victoria n,avait rien d’effrayant. Elle restait sagement devant lui, en gardant une bonne distance entre eux au cas où elle devait fuir. Il la détaillait en silence.

Cela paraissait sur son visage qu’il était surpris. Il ne devait pas savoir comment réagir car il semblait presque figer pendant quelques instants.  Elle le regardait grimper sur un fauteuil comme s’il était terrifié par une aussi petite fille comme elle.  Victoria le laissa faire sans bouger. Il se retrouvait de l’autre côté du fauteuil et finit enfin par ouvrir la bouche.


"Tu... Salut... T'es qui toi ? Qu'est-ce que tu fais chez moi ?"
-Bonjour. Toutes mes excuses... Je vous ai fait peur?.... Je me nomme Victoria. Et vous êtes?

Elle posa les vêtements du jeune homme sur la table devant elle avant de prendre les pans de sa tenue de soubrette et lui fit une révérence.

-C’est également chez moi... Je suis... une... Fantome...Enfin votre soubrette fantomatique si vous préféré!

Elle se redressa et le regardait. Elle affichait un air innocent et doux. Elle ne le menaçait aucunement. Il n’avait donc pas à avoir peur d’elle.

-Vous avez désirez que je vous frotte le dos plus tôt... Desirez-vous que je vous accompagne dans la salle de bain afin de vous aider?

Elle lui sourit avant de lui dire une nouvelle phrase qui pouvait être prise de plusieurs manières.

-Je suis la pour faire tous ce que vous voulez.

Sidéré, Pete ne savait trop quelle attitude adopter face à cette soudaine apparition. Prudent, peut-être trop, il ne se résolvait pas à croire aux fantômes, mais le doute était désormais permis. Il y avait là trop de faits curieux et de points discordants pour qu'il rejette totalement la présence d'un esprit dans le manoir.
Les présentations, au moins, restaient faciles et lui permirent de se détendre un petit peu face à l'attitude prévenante et agréable de l'inconnue ; Victoria, disait-elle s'appeler, encore une curiosité.

"Victoria... Salut... J'm'appelle Pete."

Il restait sur ses gardes, mais elles baissaient rapidement face aux gestes de la maid aux yeux rouges et aux cheveux cendrés. Ranger ses affaires, lui donner des courbettes... Il n'y avait là rien de menaçant. Doucement, il se détendait, mais il attendait toujours une surprise, et la confirmation de la nature fantomatique de Victoria lui mit un coup. Les yeux ronds, il se retint de crier au fantôme mais, au fond de sa tête, les pensées, les interrogations et les scénarios allaient dans tous les sens, brisant tout sens et annihilant tout contact au réel pour un bref instant.

"Fantôme... Soubrette... Salle de bains..." répétait-il, entre autres, doucement, sans autre forme de réaction.

Il fallait qu'il se calme. Pete inspira et expira profondément, plusieurs fois, comme son ex XxMary_GxX lui avait appris pour se détendre. Inspire... Expire... Inspire... Fffooouuu... Chasse les mauvaises ondes... No pensée...
Il rouvrit les yeux pour revenir à la réalité. Le fantôme, Victoria, était toujours là, prête à exaucer ses moindres souhaits apparemment. Elle ne l'avait pas attaqué, n'avait pas l'air de cacher de couteau de boucher ou quoi que ce soit...
Il fallait qu'il fasse le point ! Il avait reçu ce manoir à la loterie. On lui avait dit qu'il était hanté, il n'en avait rien cru, et, sur le coup, il lui semblait que les gens voulaient lui faire peur. Mais essayaient-ils juste de lui expliquer le pourquoi du comment ? Les Japonais étaient bizarres, ce n'était pas impossible. Peut-être le fantôme faisait-il partie du prix ? C'était pour ça que ce vieux manoir hybride hors de prix, avec les taxes et la facture d'énergies qui devaient venir avec, étaient considérés comme un cadeau ?

Victoria était-elle le véritable jackpot ?!
L'Américain la toisait sans rien dire un instant, mais il se détendit à mesure que ses réflexions, simplistes et égocentriques, le rassuraient et le mettaient au centre d'un grand concours de circonstances devant l'encenser des mille et une joies du service de la maid fantomatique.
Par un habile tour de passe-passe pseudo-intellectuel, il se retrouvait vernis et méritait de l'être.

"D'accord. En fait t'es là pour garder le manoir propre et faire c'que j'veux, c'est bien ça ?"

Il osa se rapprocher pour l'observer de plus près. La jeune maid victorienne ne cachait pas grand chose de sa plastique avantageuse et Pete se sentait un peu comme le protagoniste masculin d'un porno à gros budget avec une jeune prodige à découvrir.

"Tout c'que j'veux, c'est bien c'que t'as dit ?"

C'est bien ce qu'elle avait dit.

"Alors du coup, vas-y, montre-moi la salle de bains. C'est vrai qu'j'ai bien besoin d'un bain et... d'un coup d'main, tu vois."

La jolie Victoria ne s’attendait pas à ce qu’elle provoque une réaction aussi vive chez cet homme.  Elle prit la peine de s’excuser en lui disant qu’elle ne voulait pas l’effrayait. Elle était la pour satisfaire ses besoins et prendre soin de lui ainsi que du manoir.

"Victoria... Salut... J'm'appelle Pete."
-Enchantée de faire votre connaissance Monsieur Pete.

Elle s’inclina encore une fois pour lui montrer  sa bonne fois ainsi que le fait qu’elle ne lui ferait rien. Enfin rien de bien méchant. Elle allait tout de même prendre soin de lui s’il lui en donnait l’ordre.  Il semblait, cependant, sur ses gardes. Elle lui faisait peur?  Il semblait terrifié par elle?... Elle ne bougeait donc pas plus qu’il le fallait. Elle lui montrait par sa docilité qu’elle n’était pas une menace. Lorsqu’elle confirma qu’elle était bel et bien une fantôme il ne semblait pas savoir comment traiter cette information. Il avait les yeux ronds de surprise probablement. La jolie Victoria le regardait et lui laisserait tout le temps qu’il aurait besoin.


"Fantôme... Soubrette... Salle de bains..."

Elle le regardait. Il était réellement si apeuré que cela?  Devrait-elle le laisser alors? Non si elle disparaissait alors qu’il tentait d’assimiler cette information, elle risquerait de lui faire encore plus peur. Et ce n’était pas son intention. Elle désirait simplement prendre soin du manoir ainsi que de son propriétaire. Il semblait tenter de se calmer. Aller courage Monsieur. Vous aller y arriver.  La jolie maid resta silencieuse en le regardant. Lorsqu’il rouvrit les yeux, elle se trouvait toujours devant lui affichant un air innocent. Il semblait prendre conscience qu’elle n’était pas armée et qu’elle n’allait pas se jeter sur lui pour lui faire du mal.

-Je ne vous veux aucun mal. Je ne cache rien parmi mes vêtements.

Elle leva les mains.

-Désirez-vous me fouiller?

Elle lui sourit et resta aussi immobile que possible. Elle lui offrait le choix. Il pouvait sois lui faire confiance et croire qu’elle était pure et innocente. Ou il pouvait venir vers elle et la fouiller pour ne rien trouver.  Il la regardait en silence. À quoi pensait-il? Elle ne le savait pas.  Il semblait prendre conscience de certaines choses qu’elle ne savait pas elle même...


"D'accord. En fait t'es là pour garder le manoir propre et faire c'que j'veux, c'est bien ça ?"
-Oui. Je suis à votre service.

Elle pencha un peu la tête sur le côté en ne comprenant pas pourquoi il semblait avoir aussi peur d’elle. Mais à sa plus grande surprise, il finit par se rapprocher d’elle. Il la regardait avant de laisser ses yeux glisser sur les courbes de son corps.  Ce qu’il voyait semblait lui plaire. Donc... qu’il la regarde ... Il en avait le droit. Après tout, elle était la pour le service et tout faire pour qu’il se sente bien donc si son physique lui était plaisant c’était bien. Et bien qu’elle n’était que très peu expérimentée en matière sexuelle... elle se donnerait à lui s’il le lui demandait.

"Tout c'que j'veux, c'est bien c'que t'as dit ?"
-Oui Monsieur. Je ferais tout ce que vous demanderez dans la mesure de mes capacités.

La jolie maid le regardait un peu perplexe. Avait-il déjà des ordres à lui donner? Il le pouvait, elle lui obéirait.

"Alors du coup, vas-y, montre-moi la salle de bains. C'est vrai qu'j'ai bien besoin d'un bain et... d'un coup d'main, tu vois."
-Bien Monsieur. Suivez-moi je vous pris. Et oui Monsieur Pete je vous aiderait si vous le désirez.

Elle reprit les vêtements du jeune homme et lui fit signe de la suivre. Elle se dirigea vers la salle de bain en silence. La pièce était grande et bien équipée. La demoiselle posa les vêtements dans un panier prévue pour cela et entreprit de remplir l’immense baignoire avec de l’eau chaude.  Le bouchon était bien placé et l’eau commençait à montée peu à peu.

-En quoi puis-je vous être utile Monsieur Pete?

Elle se tourna vers lui et le  regardait. Il avait une drôle de manière de la regarder.... C’était étrange.

-Je ne vous ferais aucun mal je vous assure. S’il-vous-plait n’ayez pas peur de moi.

Elle lui fit un sourire timide et resta immobile.

Pete suivit donc la maid spectrale jusqu'à la salle de bains, ne la lâchant pas du regard tout du long. Il se faisait remarquer à quel point le fantôme pouvait avoir l'air réel. C'était comme si elle était véritablement là, en chair et en os.
En même temps, Pete n'avait jamais vu de fantôme. Il n'avait jamais cru à l'occulte. Il en avait toujours rigolé. Mince ! Tous ces gens qui vendaient des infestations fantomatiques étaient peut-être pleins de bullshit, l'un n'empêchait pas l'autre. Mais Pete était face à une rencontre inédite, inexplicable et inexpliquée.
Il n'allait pas cracher sur sa chance ! Il avait gagné le manoir hanté, après tout.

Il se retrouva dans la fameuse salle de bains. Elle était ancienne, c'était certain, mais tout était bien entretenu et les constructeurs de l'époque n'avaient pas lésiné sur les moyens à l'époque. Ça devait être le nec plus ultra en son temps !
Rapidement, la réalisation lui vint qu'il allait se baigner et donc retirer le dernier vêtement qu'il avait gardé, son boxer clinquant. Il n'était pas du genre à avoir peur d'un peu de nudité entre adultes consentants, c'était même essentiel quand on cherchait à lancer une partouze à L.A. Mais c'était sa première fois devant un fantôme et, d'ailleurs, comme il se désapait et mettait le boxer dans le panier, passant près de la fille au sourire timide, il s'assura d'un détail :

"Et euh... T'étais bien majeure quand t'es morte, hein ?"

Qui le saurait, demandez-vous ? Et bien, lui le saurait. Elle pouvait avoir 100 ans, restait un malaise à l'idée de bander sur un corps de mineure. L'image, tout ça...

Il fila quand même dans l'eau qui coulait et siffla au contact du chaud avant de se détendre.

Ce charmant jeune homme aux cheveux blonds était l’heureux propriétaire du manoir qui avait été autrefois sa demeure. Vicky allait tout faire pour lui rendre la tache facile. Elle allait entretenir la demeure, lui préparer tous les plats qu’il avait envie et obéir aux moindres ordres de sa part. Elle allait fait de son mieux pour qu’il soit satisfait.  La belle fantôme lui montrait donc le chemin vers la salle de bain afin de lui préparait la baignoire avec d l’eau chaude. Elle le laissait terminer de se dévêtir s’il en avait envie en préparant tout ce dont il allait avoir besoin pour se laver et se détendre. Elle lui dit aussi qu’il n’avait pas à avoir peur d’elle. Victoria n’allait certainement pas lui faire de mal. Elle n’en serait pas capable de toute manière. Elle n’était peut-être plus vivante et malade mais son corps fantomatique n’était pas super puissant non plus.

De ce qu’elle pouvait voir il semblait vraiment mal à l’aise et incertain. Comme s’il ne croyait pas qu’elle était une fantôme. Pourtant c’était bien le cas. Elle ne pouvait ni mourir, ni vieillir ni tomber malade ni faire tout ce que les vivants pouvait faire. Son corps était bien et bien la. Il pouvait la toucher s’il le voulait. Il n’allait pas passer au travers. Enfin si mais seulement si elle le désirait et pour le moment elle n’en voyait aucune utilité.  Après quelques minutes, il semblait mieux prendre la nouvelle et termina de se dévêtir. Il vient porter son boxer dans le panier avec le restant de ses vêtements. En passant a ses côtés il lui posa une question qui était tout a fait légitime et compréhensible. C’était normalement de vouloir avoir une personne majeure pour prendre soin de lui.

"Et euh... T'étais bien majeure quand t'es morte, hein ?"
-Hum?. Oh et bien j’avais 18 ans à l’époque.

Elle lui fit un petit sourire timide avant de détourner le regarde alors qu’il se glissa dans la baignoire. Elle pouvait l’entendre. Il semblait aimer la température. Elle le regardait et se mit a attacher ses cheveux en chignon avant de commencer à retirer ses propres vêtements qu’elle rangeait dans le même panier.  Elle se couvrit un peu en rougissant avant de se glisser a son tour dans la baignoire. Elle prit le savon et le regardait.

-.. Tournez-vous... je vais vous laver le dos.

La réponse de Victoria rassura Pete, qui ne put s’empêcher de souffler de soulagement. Pour lui, tout était bon.

Son avocat aurait sûrement beaucoup de choses à lui dire en ce moment, et pas que lui d’ailleurs. Réalisait-il qu’il était certainement l’objet d’une vaste farce destinée à ruiner sa réputation ? A dire vrai, évidemment, il y avait pensé. Qui croyait aux fantômes et allait se laisser avoir par un tour aussi farfelu ? Peut-être que Pete y croyait un peu, peut-être qu’il était forcé de reconnaître la situation. Il le sentait dans ses tripes en entrant dans l’eau. C’était vraiment la situation la plus bizarre à laquelle il avait fait face, et il avait vu des trucs vraiment spéciaux.
Mais la température, légèrement chaude mais parfaite une fois à l’intérieur, chassa ses soucis, le détendit comme il s’allongeait dans la baignoire en soupirant d’aise. Et une fois ces pensées évacuées, il ne pensa qu’à la silhouette de la petite maid et ne se dit qu’une seule chose : que ce serait quand même con de laisser passer l’occasion.
Il tourna instinctivement la tête vers elle en y pensant et il la vit se déshabiller à son tour. Sa tenue était plus complexe et lui prit plus de temps à retirer que le numéro qu’il avait donné à travers le manoir, mais le garçon n’en perdit pas une miette, la fixant en faisant glisser son regard sur elle à mesure qu’elle dévoilait sa peau blanche.

C’était putain de bizarre, mais aussi putain d’excitant. Il ne put s’empêcher de bander et se toucha distraitement et discrètement alors qu’elle approchait pour le rejoindre. C’était une super idée ! Il voulut se tourner vers elle quand elle fut entrée, mais la baignoire n’était pas très large et elle avança sa propre idée avant. Il s’interrompit et haussa les épaules en souriant. Va pour un frottage de dos !
Pete s’avança jusqu’au milieu en ramenant les jambes contre son torse, sa queue raide serrée entre ses cuisses, cachée à toute attention pour le moment mais bien présente. Il se pencha un peu, baissa la tête pour lui laisser le champ libre, murmura des approbativement entre ses dents après qu’elle se soit mise à le frotter.
Son dos n’était pas bien grand et il fut vite terminé. Et avant qu’elle ait la possibilité d’avancer d’autres idées, il changea de tactique et sa laissa aller en arrière en s’étirant comme il pouvait. Il se retrouva vite entre les jambes du fantôme, sa tête contre sa poitrine, croisant son regard qui le surplombait.
Il avait gardé sa queue entre ses cuisses pour l’instant.

"Tu peux aussi me frotter le torse ?" demanda-t-il presque en minaudant.

Il semblait soudainement plus serein maintenant qu’il savait pour son âge. Il ne devait pas se sentir coupable ou quoi que se soit.  Il avait eu peur qu’elle soit mineure? Elle comprenait. Avec les lois de cet époque. À la sienne c’était très différent. Les femmes de son âge étaient déjà marier et pouvait être soit enceinte ou avoir déjà un enfant ou deux.

C’était sûrement une situation complètement étrange pour lui. Mais elle était compréhensive.  Elle pouvait agir différemment si elle le mettait mal à l’aise. Elle ne voulait pas lui rendre la vie difficile. Au contraire. Elle voulait lui rendre la vie douce, agréable et facile. Elle lui laissait donc l’intimité de se glisser dans l’eau lorsqu’il fut nu. Il n’avait pas grand chose a retirer comme elle avait déjà mit les vêtements dans un panier. Elle les laverait plus tard. Mais la. Il avait demander a ce qu’elle lui lave le dos en entrant dans la maison. Et c’était exactement ce qu’elle allait faire.

Elle espérait pouvoir bien prendre soin de lui... Cela la fit légèrement rougir d’ailleurs. Victoria finit par se déshabiller également. Comme elle allait entrer dans la baignoire avec lui autant se mettre à l’aise. Cependant pendant son délicat effeuillage elle avait sentit son regard sur ses courbes. Cela la fit rougir encore plus. Elle était peut-être morte mais elle restait une femme avant tout. Elle n’avait pas vraiment l’habitude de se mettre nue devant les gens. Elle se mordilla la lèvres en faisant glisser ses cheveux derrière son épaule.

Curieusement c’était très étrange comme situation. Elle avança vers la grande baignoire et finit par se glisser dans l’eau avec lui. Elle avait la chance d’être petite donc partager le bain avec lui n’était pas si terrible. Elle lui demanda de se tourner pour qu’elle puisse lui laver le dos. Il haussa les épaules et sourit avant de faire ce qu’elle lui demandait. Il s’avança un peu dans la baignoire comme s’il voulait lui laisser de la place. Elle glissa timidement ses jambes de chaque côté de lui pour commencer à lui frotter doucement le dos.

Elle continue se lui laver le dos en rougissant encore et en restant en silence. Puis elle du se redresser un peu et finit par se mettre sur ses genoux pour venir lui masser les épaules doucement. Il pencha ensuite la tête vers l’arrière pour venir l’appuyer sur sa tête sur sa poitrine. Elle baissa les yeux et vit qu’il la regardait.

"Tu peux aussi me frotter le torse ?"

Elle rougit un peu avant de se fait glisser doucement le savon sur lui. Elle se colla un peu à lui, aplatissant sa poitrine contre son dos pour faire glisser ses mains sur son torse. Elle laissait ses doigts parcourir timidement les muscles qu’elle rencontrait. Puis elle fit disparaître ses mains sous l’eau avant de les remonter.

-...Je. Je ne vous fais pas mal... J’espère....

Elle se mordilla la lèvre en lui jetant un coup d’oeil. Elle continuait pourtant de lui caresser le torse timidement. Elle appuya sa poitrine contre son dos encore plus afin de glisser ses mains sur ses bras et se revenir sur ses épaules et de redescendre.

Sans rechigner, la maid revenante s’exécutait et Pete, bien vite, se détendit pour en profiter, tout simplement. Il s’était laissé aller en arrière contre elle et elle s’était encore serrée à lui pour lui frotter le torse en passant ses bras autour de lui comme elle le pouvait. Il ferma les yeux en laissant un sourire coquin barrer son visage. Il éclata presque de rire en l’entendant demander si elle lui faisait mal. Est-ce qu’elle plaisantait ? Elle s’y prenait sacrément bien ! Elle y allait doucement, tout simplement, peut-être un poil trop doucement même.
Il rouvrit les yeux et se tordit doucement pour tourner le regard dans le sien. Il avait presque oublié ses iris rouges et aurait frissonné s’il n’y avait eu le reste pour le conforter, et son sourire s’effaça une seconde pour revenir tout de même, malicieux.

"Oh non ! Ne t’inquiètes pas, c’est parfait," minauda-t-il en réajustant sa position pour caler sa tête dans son corsage, usant de ses seins comme de coussins. "En fait, tu peux y aller un peu plus franchement même."

Il lui fit un clin d’œil et marqua une pause avant de reprendre :

"Tu tiens vraiment à me faire plaisir, c’est ça ?"

Pete guetta la réaction de Victoria en silence, faisant mine d’être touché par sa dévotion, et il passa à un ton doux et intimiste pour poursuivre.

"Tu sais comment tu peux me faire vraiment très plaisir ? Viens, donne-moi ta main !"

Il leva un bras pour le passer au-dessus du sien, pris sa petite main dans la sienne et la plongea dans l’eau pour descendre ses abdominaux et parcourir son pelvis rasé. Il conduisit ses doigts jusqu’à ce qu’ils englobent le manche de chair encore mollasson de son manche et les referma dessus en douceur, la dirigeant directement pour entamer un frottement le long du corps caverneux qui, doucement, se mit à palpiter et à chauffer sous ses doigts.

"Là, serre un peu. Continue comme ça."

Partager un bain avec un homme était une chose qu’elle n’avait jamais fait. Il était bien le premier avec qui elle se montrait aussi intime comme cela. En général, les gens étaient plus ou moins cacher durant l’acte charnel. Donc, la nudité complète était un peu plus gênante. Elle fit tout pour le laver de son mieux. Y allant de manière douce même un peu trop douce ?


"Oh non ! Ne t’inquiètes pas, c’est parfait,"

Elle continua donc de le laver en douceur alors qu’il se plaça confortablement contre ses seins pour s,en faire un oreiller.

"En fait, tu peux y aller un peu plus franchement même."
-Comme cela ?

Elle frotta un peu plus sans y aller trop fort. Elle ne souhaitait pas particulièrement faire souffrir son nouveau maitre.

"Tu tiens vraiment à me faire plaisir, c’est ça ?"
-Je suis à votre service. Je ferais tout pour vous faire plaisir.

Si innocente qu,elle était, la fantôme n’avait pas eu dans l’idée qu’elle pouvait lui offrir du plaisir plus sexuel et physique.. Elle n’avait pas vraimet penser à cela sur le coup.

"Tu sais comment tu peux me faire vraiment très plaisir ? Viens, donne-moi ta main !"

La petite fantôme le laissa faire lorsqu’il lui pris la main. Elle ne savait pas encore ce qu’il voulait qu’elle fasse jusqu’à ce qu’il fasse disparaitre leur mains sous l’eau. Elle sentit ses joues devenir bouillantes en sentant un membre toucher ses doigts. Ce n’était pas une cuisse ou un bout de jambes ça non....Il lui faisait tenir son sexe qui palpitait peu à peu sous ses doigts. Il lui fit bouger la main dans de dous mouvements de bas en haut.


"Là, serre un peu. Continue comme ça."
-Oh...

La belle fantôme rougit alors que ses doigts tenait le sexe frétillant de son nouveau maitre. Elle posa sa deuxième main sur son épaule pour se coller un peu plus à lui et ainsi facilité les mouvements de vas et viens qu’elle faisait sur son sexe. Elle se mordilla la lèvre alors qu’elle continuait de le branler de son mieux. Ayant pris son courage à deux mains, la belle Victoria changea de position. Elle se glissa lentement devant lui. Les joues rosies, elle le regarda avant de poser sa main de libre sur sa joue et vient l’embrasser timidement. Elle continua de le caresser avant de rompre le baiser. La douce maid glissa sa main sur lui, descendant sur son épaule et caressant son bras avant de lui prendre le poignet pour lui poser la main sur l’un de ses seins volumineux.

La petite maid victorienne fantomatique était peut-être venue d’une époque où les mœurs étaient plus resserrées qu’aujourd’hui, mais elle ne se laissa pas impressionner par le devoir qui lui était donné. Pete fut agréablement surpris de sa réponse, mais aussi du doigté avec lequel elle s’exécuta, et de l’application qu’elle mit à remplir sa mission. Il ne put pas la voir virer pivoine sur le moment, mais il la sentait bouger et voyait bien ses efforts. Il soupira, gémit doucement en raidissant dans sa main, en chauffant à son contact –ou était-ce elle qui se réchauffait ?–.
Lorsqu’elle se déplaça pour trouver un moyen de venir se glisser devant lui, il recula pour s’adosser au fond de la baignoire et la laissa s’installer comme elle pouvait à califourchon sur lui. Maintenant, il pouvait voir les couleurs qu’elle avait gagné et, oui, ses mains étaient presque chaudes maintenant qu’elle touchait sa joue. Il la scrutait avec curiosité quand il fut ramené au moment présent par le baiser, puis par une petite menotte impérieuse posant sa main sur un de ses beaux seins bien pleins. L’Américain ne se fit pas prier et serra sa prise, le malaxa en caressant son aréole et son téton du pouce.
Il gémissait derechef face à son application et à la conquête de ce corps pâle mais délicieux. Elle revint l’embrasser et il la rejoignit cette fois, mais pas seulement. De sa main libre, il attrapa sa taille et l’attira à lui. Il vint la coller à lui mais, surtout, il colla leurs ventres l’un à l’autre, la forçant à abandonner sa masturbation –mais telle n’était plus l’envie du jeune propriétaire–.

"Viens… Viens là… "

Il l’attira encore un peu contre lui. Cette fois, il la tirait vers le bas, vers l’épieu de chair brûlant qu’elle avait si bien dressé à ses ordres et qui se pressait maintenant contre ses lèvres intimes, les écarta. Son gland n’eut aucun mal à trouver son chemin et à entrer en elle, ouvrant l’entrée de son vagin et s’y glissant, bientôt suivi par le manche comme Pete continuait d’attirer la défunte Anglaise à lui en gémissant, sifflant son plaisir et son envie en se serrant contre elle, en la serrant contre lui, et en dédiant ses deux mains à la tirer à lui et à la faire descendre le long de chaque centimètre de son chibre raide et palpitant.
Elle était brûlante, elle aussi.

"Allez, lâche-toi, je le sens bien que t’adores ça bébé !"

Ce moment dans le bain devenait bien étrange. Il ... elle le touchait bien plus intensément qu’elle ne l’aurait imaginer. Elle découvrait le sexe de son... employeur? Elle n’avait pas vraiment l’habitude de toucher un homme de son vivant et même présentement. Elle ne savait pas vraiment ce qu’elle devait faire mais elle se contenta de suivre son instinct et ses désirs. Elle avait envie de le toucher. Donc... elle le faisait. Il durcissait entre ses doigts et cela l’excitait, elle devait bien avouer. Savoir que l’on pouvait faire un tel effet à un homme était une sensation des plus excitantes pour la fantôme.

Finissant devant lui pour mieux le regarder. Elle voulait voir ce qu’il faisait comme visage quand elle le caressait aussi intimement. Elle voulait savoir ce qu’il ressentait en le regardant et pas juste en l’entendant. Le visage qu’il affichait la fit rougir. Il semblait vraiment apprécier son toucher. Son coeur battait si vite alors qu’elle s’attardait à caresser son... maitre? Ap`res un bon moment elle lui caressa la joue pour lui voler un baiser timide mais délicat. Elle ne se montrait aucunement brusque. Elle n’avait pas ce genre de tempérament de toute manière. La douceur sortait de tout ses gestes. Elle voulait qu’il la touche... Vue qu’elle le touchait c’était juste qu’il puisse lui aussi profiter de son corps non.

Elle soupira de plaisir alors qu’il entamait les caresser sur sa poitrine. Elle se mordilla la lèvre avant de voler les siennes à nouveau.  Cette fois il répondit au baiser en posant la main sur sa taille pour la coller contre lui. Elle du relâcher son sexe en voyant qu’elle ne pourrait plus le caresser dans cette position. Ses mains se placèrent donc sur son torse alors qu’il les collaient encore plus.

"Viens… Viens là… "

La belle fantôme le laissait l’attirer contre lui. Elle frissonnait alors qu’ils étaient si près l’un de l’autre. Il la positionna de manière à la faire descendre peu à peu sur son sexe droit et dur. Cela ne prit pas du temps avant que son gland ne trouve l’entrée de son être. Alors qu’il écartait ses lèvres intimes, elle se mit à gémir et posa les mains sur ses épaules. Son corps continuait sa descente sur ce sexe ardent. Elle n’était pas la seule à prendre plaisir de cette pénétration. Il gémissait lui aussi. Cela l’encouragea à se détendre et à profiter de cet instant avec lui. Elle poussait de timide et doux gémissements. Après quelques secondes elle se retrouva assise sur lui, empaler sur son sexe.

"Allez, lâche-toi, je le sens bien que t’adores ça bébé !"
- .. Mo...Monsieur... Pete...

Elle avala sa salive alors qu’elle entreprit de bouger doucement ses hanches. Elle prit appuie sur les épaules de Monsieur Pete et se mit à le chevaucher lentement en gémissant. La douce maid gémissait de plus en plus alors que son corps se détendait sous les mouvements que ses hanches faisaient.

Si Pete avait toujours des doutes sur sa situation, sur ce fantôme et sur toute cette aventure, il n’avait en revanche aucune pensée pour ce qu’il était en train de faire. Une fois que la belle s’était retrouvée avec lui dans le bain, une fois qu’elle avait commencé à le branler avec ses petites mains froides, c’était foutu. Maintenant qu’elle était chaude et qu’il était bien plongé en elle, il n’y avait plus de retour possible. Il avait écarté ses jambes autant que la petite baignoire ancienne le lui permettait pour qu’elle s’empale bien proprement sur son pieu et elle n’avait pas perdu une minute pour commencer à le limer en gémissant doucement.
Mais Victoria y allait lentement, un peu timidement, à la victorienne sans doute. Elle prenait son temps et Pete avait une envie de plus en plus ardente de sa petite chatte. Il gémissait de plaisir lui aussi, doucement, mais il finit aussi par souffler du nez, de frustration.
Ses mains, qui avaient maintenu la belle près de lui et avaient suivi ses mouvements jusque là, bougèrent encore. Il attrapa son petit cul ferme à pleines mains et s’y cramponna avant de se mettre à tirer dessus, dans un sens puis dans l’autre. Plus fort, plus vite. L’eau se mit à remuer tandis qu’il poussait la belle à adopter la cadence et, lorsqu’elle eut fini par le faire, il se laissa aller en arrière et, les yeux fermés, il gémit longuement en la sentant le limer de manière bien plus franche.

"Ah ouais Vicky ! Continue comme ça poupée !"

Il en était aux petits noms maintenant. Il ne lui fallait pas grand-chose. Maintenant qu’elle avait commencé à grimper sa bite, elle était à lui dans sa tête. Mais ça, ça viendrait plus tard sur la table. Il rouvrit les yeux pour croiser son regard et ramena ses mains à elle, lui attrapant les seins et les massant en cadence un instant avant de les redescendre jusqu’à sa taille.
L’attrapant de chaque côté au-dessus des hanches, il entrouvrit la bouche et ahana de plaisir en la dirigeant encore une fois, la poussant et la tirant à lui avec toute l’énergie que l’eau contraignante voulait bien lui laisser imposer à son corps. L’eau clapota de plus en plus fort et se mit à faire des vagues et à déborder à flots alors qu’il gémissait plus fort, son plaisir bien servi grimpant bien vite à son point culminant.

"Ah ! Suis la rythme ! T’arrêtes pas, je t’interdis ! Vicky ! Putain… Baise-moi !"