Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Emprise [PV]

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Jack Taylor

Humain(e)

Emprise [PV]

samedi 15 octobre 2022, 16:41:14

“A la tienne mon cher Kenzo, et à ce nouveau partenariat, que j’espère fructueux !”

Affalé dans le canapé de Kenzo X, un de mes complices de toujours, je savoure le champagne français qu’un domestique vient de nous servir. C’est bien la troisième fois que nous trinquons en l’espace de vingt minutes, mais les circonstances le permettent, sinon l’exigent. Nous venons de conclure un accord financier entérinant mon entrée au capital de son entreprise ainsi qu’au conseil d'administration. Dans l’opération, la société de Kenzo absorbe plusieurs de mes sociétés - dont une société-écran, mais le très honnête Kenzo n’en a pas été informé. Le très honnête Kenzo qui dodeline déjà de la tête, passablement ivre. Il n’a jamais très bien tenu l’alcool et à l’époque de la fac, c’est souvent moi qui le ramenait chez lui en taxi. je m’affale contre le dossier du canapé en cuir blanc immaculé. Sur la table basse qui me sépare de Kenzo, les contrats, signés, ainsi que ma cravate dénouée. Il fait bon dans la villa, et ma chemise en popeline blanche est largement ouverte sur mon torse musculeux. J’ai également remonté les manches sur mes avants-bras. Ma veste de costume en tweed bleu marine est soigneusement pliée sur l’accoudoir.

“Est-ce que monsieur désire que je le resserve ?” Je hausse un sourcil en direction de la jeune domestique qui me sourit avec sollicitude. Rousse, blême. Jolie, mais un peu grasse. Non merci. "Ça ira. Je ne vais pas trop tarder, j’ai un rendez-vous, juste après.” Et pour cette rencontre, il est préférable que je sois en forme.

“Ma femme ne va pas tarder. Tu veux l’attendre un moment ?”

Je me suis toujours bien entendu avec Mariko. Peut-être est-ce que parce que je la baisais bien avant Kenzo, et que j’ai continué à le faire pendant de nombreuses années, avant de rencontrer ma femme - par son entremise. Nous avons complètement cessé de nous voir - sexuellement parlant - lorsqu’elle est tombée enceinte de Cannelle.

“Avec plaisir. J’imagine que c’est à elle que nous devons l’impeccable rédaction des clauses de la fusion-acquisition, pas vrai ?” Le sourire de Kenzo est éloquent. Mariko est tout aussi brillante que lui, dans des domaines connexes. Lorsque la porte d’entrée s’ouvre dans mon dos, je jette un regard par-dessus mon épaule, sourire aux lèvres. “Mariko-chan ? On parlait justement de t… Ah, Cannelle, c’est toi ! Cannelle. Un prénom doucereux pour une ravissante petite confiserie interdite. L’adolescente est adorable, plus belle encore que sa mère ne l’était. Parce qu’elle me la rappelle au même âge, j’évite, dans la mesure du possible, de me retrouver seul avec elle, bien qu’elle semble globalement apprécier ma compagnie. Je connais mes pulsions et me refuse à y exposer une mineure.

“Il est tard ma chérie, tu devrais aller te coucher…” Kenzo, la tête renversée sur l'appuie-tête de son fauteuil, semble être sur le point de s’assoupir. Quant à la domestique, elle s’est éloignée et s’affaire à la cuisine.

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Emprise [PV]

Réponse 1 mercredi 19 octobre 2022, 15:25:07

Je sens ta présence dans mon dos, alors qu’un léger courant d’air transporte les effluves fruitées de ton parfum qui me chatouille les narines. Je déglutis, m’efforce de garder contenance. D’un geste je sors mon téléphone portable de la poche poitrine de ma veste. Aucun message de ma rencontre du soir. La voix de Kenzo est lasse, lorsqu’il te donne la permission de rester. Je sais qu’il ne s’est jamais trop préoccupé de l’éducation de sa fille unique. Ayant moi-même quelque peu négligé l’éducation de mon fils Toshio, je suis mal placé pour lui en tenir rigueur. La pression de ton regard sur ma nuque m’incite à me retourner, un peu gêné, pour croiser ton regard trouble. Du menton, je te désigne un fauteuil libre, sur ma gauche, mais c’est sur l’accoudoir à ma droite que tu décides de poser tes jolies petites fesses bombées.

“Toujours un poids plume hein ?”

Avec affection j’effleure tes omoplates de ma grosse main calleuse, en résistant à l’envie de la faire glisser jusqu’au creux de tes reins. Si fragile, si pure. Tes jambes fuselées s’échappent de ta jupe plissée. Ta peau est pâle, délicate. De toute évidence, elle doit bien marquer.

“De l’avenir. Et de détails juridiques ennuyeux. Comme tu le sais, la société de ton père va absorber la mienne et…”

Le contact de ta main sur la peau de mon avant-bras me fait sursauter. Je déglutis, t’adresse un sourire factice, baisse les yeux sur tes longs doigts fuselés, aux ongles propre, soigneusement entretenus. Je les imagine glisser sur ma queue érigée, en découvrir fiévreusement chaque aspérité. Le sang cogne sur mes tempes et mon cœur bat la chamade. Sournoisement, je sens qu’entre mes jambes, mon chibre gonfle. Je referme doucement les jambes, en espérant que du haut de ton perchoir, ce détail t’aura échappé. C'est d'une main tremblante que je repose mon verre de champagne vide sur la table basse.

“Hmm. Enfin. Il se fait tard…”

Je soupire, m’efforçant de trouver en moi la résolution de m’enfuir. Mais mon regard fiévreux accroche tes yeux d'un vert profond, s’égare sur ton orgueilleuse petite poitrine qui tend le tissu de ton chemisier. Juste encore un peu. Je ne fais rien de mal. Ma main libre vient se poser sur tes petits doigts. Du coin de l'œil, je constate que ton père semble s’être assoupi.

“Comment va ta mère ? J’aurais bien aimé la voir avant de partir.”

Ces derniers temps, je ressens une certaine nostalgie quand je repense à mes ébats avec Mariko. Je crois n’avoir jamais rencontrée une femme aimant autant se faire souiller que cette fière catin. Je fronce les sourcils en observant ton joli minois. Dire qu’elle avait l’air aussi sage que toi, à ton âge. Alors qu'elle couinait comme une chienne quand je lui démolissais le cul.

Et si… Non. STOP.

“Et heu. A l’école. Ça se passe bien à l'école ? Tu as de bonnes notes ?”




Jack Taylor

Humain(e)

Re : Emprise [PV]

Réponse 2 mercredi 26 octobre 2022, 15:38:03

“Ah oui ? C’est bien ça, ma grande.”

Je n’écoute plus vraiment ce que tu me racontes et ne songe qu’à un moyen de me sortir de ce bourbier. Si je ne quitte pas rapidement les lieux, je risque de déraper. Mes doigts se crispent nerveusement sur ta petite main. “Oui, la fusion acquisition… Ton papa t’en as probablement déjà parlé, j’imagine.” Ma respiration s’accélère. Je jette un regard éperdu vers mon ami, qui semble définitivement avoir sombré dans les bras de Morphée.

“Nous allons probablement… Travailler ensemble plus régulièrement, désormais. On se verra davantage et tu pourrais revoir mon fils, qu’est-ce que tu en penses ?”

Au fil des années, Kenzo et moi nous sommes souvent amusés de la perspective de marier ensemble nos deux progénitures et, à l’âge qu’ils ont aujourd’hui, force est de constater qu’ils feraient un fort joli couple même si, à la différence de Canelle, mon fils est un fieffé cancre, bien plus intéressé par le sport et les jeux-vidéos que par ses études. “Oh, dommage, dommage.” Le changement dans ton attitude ne m’a pas échappé, non plus que la lueur de colère que je lis désormais dans tes jolis yeux verts. Je fronce les sourcils, surpris. je t’ai toujours connue douce et conciliante. Soumise même, pourrait-on dire. Peut-être que tu as davantage en toi de Mariko que je ne le supposais.

“Oh je sais bien. Ton père n’arrête pas de s’en vanter. Il est très fier de toi, tu sais.”

Le léger sourire qui étire mes lèvres se crispe lorsque je sens le moelleux de tes petits seins s’écraser contre mon bras. “Canelle ? Tu es fatiguée ? Tu veux aller te coucher ?” Mon coeur manque un battement. Le parfum délicat mais musqué que tu portes chatouille mes narines, ton souffle tiède sur ma peau me donne la chair de poule. Te repousser, il faut impérativement que… “Hmm.” J’ai un long frisson. Mon gros chibre bandé, compressé entre le boxer et la braguette de mon pantalon suinte. Plusieurs de tes mèches brunes caressent ma nuque. Mon regard affolé, passe de Kenzo à tes longues jambes diaphanes. Impossible de m’illusionner davantage. Tu n’es plus la petite fille sage que j’ai connu. Comme un automate, je vois mes propres doigts se délier, lâcher ta main pour se poser sur ta cuisse offerte, glisser légèrement sous l’ourlet de ta robe et.. Déraper. sur la peau humide, vers ton entrejambe. “Canelle.” Ma voix est rauque, sourde. Tu mouilles. Comme une sale chienne. Les trois mots que tu prononces ensuite, que tu craches même, tout contre mon oreille me font sursauter, hoqueter. Mes gros doigts se crispent sur la chair  de ta cuisse, y laissant des traces rouges.

Punir.

Je me redresse autant que possible, tournant la tête vers toi, pour plonger mes yeux marrons et fiévreux dans les tiens. J’ai envie d’enrouler tes cheveux autour de ma main, de les tirer brusquement vers l’arrière pour te forcer à te cambrer. De te cracher à la gueule avant de remplir ta petite bouche rose avec ma grosse bite. Sans vraiment m’en rendre compte, mes jambes se sont éloignées l’une de l’autre, dévoilant l'obscène et volumineuse protubérance qui déforme mon pantalon. “On ne peut pas.” Pourtant, ma main glisse vers l’intérieur de ta cuisse, lentement sournoisement. De l’autre, j’écarte des mèches brunes de ton joli minois pour les replacer derrière la branche de tes lunettes. Mon front se rapproche du tien, jusqu’à le heurter. “Ta mère. Me. Tuerait." Mes lèvres sont à quelques centimètres des miennes, ton petit nez frôle le mien. La pulpe de mes gros doigts glisse sur ton… Ton sexe. Nu. Humide. Nouveau rush d’adrénaline. Je grogne, comme l’animal en rut que je suis. Trop tard, c’est trop t…

La sonnerie de mon téléphone me sort de ma torpeur. Presque choqué, je me recule, retire ma main du dessous de ta jupe, décroche et pose le téléphone contre mon oreille de mes doigts souillés.

“Oui chérie ? Non non… Ah oui ? Figure-toi que j’étais justement en train de parler d’elle !” L’occasion est trop belle. Rassemblant toute ma volonté, je m’extirpe du canapé pour me redresser, et m’éloigner de ton corps tiède et moelleux, t’observant à la dérobée du coin de l'œil. “Parfait, parfait, j’ai signé le document avant de partir de toute façon, je ne comprends pas comment j’ai pu l’oublier en partant, il était en évidence sur mon bureau… Je m’approche du fauteuil de ton père, posant ma grosse patte sur sa frêle épaule. Il s’éveille, sourcils froncés pour me sourire et je lui adresse un signe de tête appuyé pour lui indiquer que je prends congé. Il hoche la tête en baillant, tapotant mes phalanges de la paume de sa main. “Ecoute, je devrais revenir peu après minuit, j’ai encore un rendez-vous à assurer avec un fournisseur…”

Et sans t’accorder un regard, je tourne les talons pour quitter la pièce, puis le pavillon. C’est nécessaire. Si je reste plus d’une minute de plus en ta compagnie, un drame risque de se produire. Qui plus est, contrairement à ce que je viens d’affirmer à ma femme, ce n’est pas avec un partenaire commerciale que j’ai rendez-vous, mais avec Ashley, une étudiante que j’entretien grassement, en échange de faveurs sexuelles notoirement dégradantes. Une fois dans la rue, j’hésite un court instant à commander un taxi, mais soucieux de m’éloigner le plus rapidement possible de toi, je décide de partir à pied et remonte la rue pour rejoindre l’avenue d’un pas chaloupé.




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