Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Il faut toujours commencer par les bases (PV |-| Alice Makai )

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Souta et Janus

Humain(e)

Il est bientôt 22h, signe d'une journée sur le point de débuter pour une bonne partie des habitants de la ville de Seikusu. La vie nocturne est tout autant, si ce n'est plus, active que de jour. Les bars sont aussi nombreux à ouvrir que les voyous qui émergent de leur sommeil pour trouver de nouvelles victimes ou assoir le territoire de leur clan face à leurs rivaux.

C'est du moins comme ça que les choses sont censées se dérouler normalement. Après une grosse descente qui a amputé le clan des coréens, les autres familles sont en plein pourparlers pour se diviser leurs territoires et commerces illégaux en évitant un bain de sang. Autant dire que je me fais chier comme un rat mort depuis déjà plus de deux semaines déjà.
Mon activité la plus stimulante a été la kermesse du quartier, c'est dire à quel point ça sent le sapin. A ce rythme là je vais être le premier homme à crever d'ennui.

Pour ne rien arranger à la situation, je suis de cor-... de service de protection ce soir. Un client fortuné a récemment jeté son dévolu sur une prostituée qui travaille dans un tout nouveau bar qui vient d'ouvrir. Les filles qui y travaillent sont pour la majorité plutôt jeunes et font dans le cosplay à la demande de leurs clients. Le genre de truc qui fait triquer les petits vieux qui ont besoin de revivre l'excitation de leur jeunesse.

Une fois arrivé, je reste derrière le client pendant que la femme qui travaille en binôme avec moi tient la porte au client qui lui envoie un baiser et un client d'oeil pour obtenir... aucune réaction de sa part. Cela est un petit jeu qui dure entre eux depuis des mois et la chose ne semble pas le déranger.

L'homme s'approche du comptoir en demandant d'un air guilleret :
- Bonsoir, est-ce qu'Elodie est disponible ? J'ai rendez-vous pour 22h.
- Vous êtes monsieur...
- Nagram.
- En effet, votre rendez-vous est bien marqué dans notre carnet. Si vous voulez bien patienter un instant pendant que je la préviens de mon arrivée.
- Oui, faites donc.


L'attente est de courte durée, dix minutes à peine. Sauf qu'il n'y a pas une, mais deux femmes qui s'approchent de nous.

- Ce n'est pas ce que j'avais demandé.
- Toutes nos excuses, mais nous cette jeune femme commence à peine et personne ne semble intéressé par ses services. Et comment vous êtes un de nos plus fidèles clients nous avons pensé que...
- Pas question, Elodie me suffira amplement. Puis j'ai amené quelqu'un d'autre pour jouer ce soir.

La seconde femme garde du corps s'approche du client pour indiquer qu'elle est la personne dont il parle. C'est alors que le client fait un geste de la main dans ma direction.

- Tu n'as qu'à t'en occuper. Ce n'est pas comme si tu avais mieux à faire après tout.

Okay, c'est sympa. Surtout que je n'ai pas le temps de dire quoique ce soit que la femme de l'accueil me tire par le bras pour m'emmener dans une grande chambre. C'est limite si elle ne me pousse pas à l'intérieur avant de refermer la porte.

A première vue je vois un lit king size, une armoire qui doit servir à stocker un nombre pas croyable de costumes et un buffet qui, si j'en crois mon expérience, doit être chargé de lubrifiants, capotes et autres sex-toys pour pimenter le passage dans le coin.

Je me retourne alors en direction de la débutante qu'on m'a coltiné dans les pâtes. Histoire de me mettre à l'aise j'enlève ma veste de costume pour finir en pantalon et chemise en lui lançant : - Alors, c'est quoi le programme, ma mignonne ?

En regardant de plus près ses formes je remarque à ma grande surprise qu'elle est sacrément bien foutue la petite. Surtout au niveau des nibards qui doivent mettre hors compétition plusieurs de ses collègues.

Alice Makai

Humain(e)

- T-Tu es sûre que c'est à ma taille ?
- Bien sûr ma belle, ça te va comme un gant. Bon, tu te rappelles ce que je t'ai expliqué jusqu'à maintenant ?
- O-oui. Je dois accepter chaque requête du client.


Répondit d'une voix un peu distraite Alice à sa collègue qui commençait alors à lui expliquer les kinks du client avec qui elles allaient passer la soirée. La demoiselle, habituellement si studieuse, n'était pas des plus concentrées en cet instant, essayant davantage de s'assurer que sa poitrine ne débordait pas de tous les côtés dans ce bunny suit qu'on lui avait fourni pour la soirée que d'enregistrer les instructions données par la jolie Elodie, déjà affublée d'une tenue des plus provocantes également. C'était le premier soir de la jeune fille dans cet établissement qui venait de l'engager et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'elle n'était pas encore tout à fait au point sur ce qu'on attendait d'elle, et elle risquait fort d'être surprise.

La dénommée Elodie continuait à monologuer, et la nouvelle recrue acquiesçait à chacune de ses phrases sans réellement les écouter. Et si ça se passait mal ? Et si elle n'était pas à la hauteur ? Tant de doutes qui passait et repassait dans sa tête, quand une voix vint les interrompre :

- Elodie, ton client est arrivé !
- Bien Madame, nous arrivons. Allez ne t'en fais pas, il ne va pas te manger. Enfin...  pas trop~

Tenta de rassurer la blonde en ponctuant sa phrase d'un petit rire tout en tirant un peu la tenue d'Alice vers le bas pour mettre sa poitrine en valeur, réduisant à néant les efforts précédentes de la jeune femme pour tenter de les cacher, avant de la prendre par la main pour l'entraîner derrière elle. La nouvelle la suit sans broncher, mais son regard se dirige irrémédiablement vers le sol. Elle n'a pas du tout l'habitude de ce genre de tenue aussi dévoilante et ne peut se retirer de la tête l'impression que chaque personne qu'elles croisent la déshabille du regard.

Les deux jeunes femmes finissent par rejoindre l'accueil. Là bas, Alice remarque trois personnes de l'autre côté du comptoir : un homme d'un âge mûr, légèrement appuyé sur celui-ci, et un duo composé d'un autre jeune homme et d'une femme un peu plus en retrait. Alors que les deux employées sont enfin assez proches pour que les  clients les repèrent, la plus jeune des deux voit l'homme au comptoir qui semble tiquer et la femme en retrait s'avancer d'un pas. Elle n'était en revanche pas assez proche pour entendre ce qui se disait, ou plutôt elle n'était pas assez habituée à la musique qui envahissait le lieu pour se concentrer sur la discussion. Puis le client fit un signe vers l'homme qui attendait un peu plus loin, alors Elodie prit la parole avec une petite moue attristée :

- Je suis désolée ma belle, je crois que nous ne pourrons pas partager le même client ce soir.

Alice n'eut pas le temps de lui demander pourquoi elle affirmait cela que la femme de l'accueil l'interpella en lui demandant de la suivre, alors qu'elle trainait le plus jeune des deux hommes derrière elle.

- Va avec eux, et ne t'en fais pas. Je sais que tu vas assurer, tu as ça en toi !

La jeune recrue hocha la tête en déglutissant, les joues rouges, et emboîta le pas à la réceptionniste, qui les conduisit elle et son client pour la soirée dans une des chambres du bâtiment avant de refermer derrière eux. Le regard d'Alice passa rapidement sur la chambre. Au moins celle-là faisait partie des plus classiques, car elle avait pu en voir certaines où l'équipement était davantage orienté BDSM ou autres fantasmes en tout genre.

Puis elle retourna son attention vers son client qui déjà retirait sa veste de costume, sans doute pour se mettre plus à l'aise, avant de lui demander le programme. Le programme ? Ce… c'est Elodie l'experte, pas elle, c'est elle qui devait mener la danse ce soir normalement. La novice s’empourpra et baissa à nouveau la tête face à son interlocuteur

- Je… Je suis à votre service Monsieur.

Bien. Et ? Elle n'espérait tout de même pas qu'il se contenterait de cela ? Sans décolorer, elle s'inclina pour s'excuser.

- Veuillez me pardonner, c-c'est mon premier jour, j'apprends tout juste et….

Ça ne faisait même pas deux minutes qu'ils étaient seuls et déjà elle paniquait comme un lapin pris dans les phares d'une automobile. Enfin, au moins c'était raccord avec son costume. Elle releva le regard vers son client, craignant la déception dans sa réaction.

Spoiler: tenue d'Alice (cliquer pour montrer/cacher)

Souta et Janus

Humain(e)

Mon regard ne se pose qu'un bref instant sur sa poitrine qui doit mettre au supplice le tissu de sa tenue pour revenir se poser dans le sien alors qu'elle tente de m'offrir ce qui ressemble à un semblant de réponse.

- C'est sympa, mais ça m'avance pas plus.

Je la vois alors baisser la tête, ce qui fait que sa poitrine s'incline encore plus, menaçant de jaillir de son haut. Aussi surprise qu'elle, je m'avance pour poser une main sur son épaule pour lui faire comprendre de se redresser.

- Okay, okay, j'ai compris.

Ma main droite quitte la peau douce et tremblante de la jeune femme pour venir gratter mon cuir chevelu pour montrer que je suis quelque peu paumé. Des putes j'en ai croisé un certain nombre et c'est la première fois que je tombe sur une débutante doublée d'une grande timide. D'habitude les filles dans sa position cherchent à compenser en arrachant le pansement d'un coup sec pour aviser sur la durée.

- Bon, si tu commençais par me servir un truc à boire ? Je te laisse choisir.

Cette petite pause me permet de fouiller un peu plus consciencieusement l'endroit et m'assurer que mes premières pensées sur le contenu du mobilier étaient exactes. Ce qui est le cas. J'attrape un petit plug anal à boules de différentes tailles que je glisse dans mon dos le temps d'un instant.
Car dès qu'elle revient avec mon verre je lui montre l'objet en lui demandant :
- Tu sais ce que c'est et à quoi ça peut servir ?

J'imagine déjà l'embarras sur son visage quand elle devra répondre à cette question un peu cruelle de ma part. Ce genre d'intervention ne risque pas de la mettre très à l'aise.

Légèrement amusé, je m'excuse pour cette petite blague en essayant de calmer le jeu.

- Désolé, j'ai pas pu m'en empêcher.

Une main vient se déposer délicatement sur son menton pour faire en sorte de relever son visage pour que ses pupilles se plongent dans les miennes. Mes doigts glissent alors sur sa petite joue douce et délicate alors que je fais un pas en arrière.

- En tout cas j'ai de la chance d'être le premier à profiter de tes services. Une aussi jolie femme risque de se retrouver rapidement surchargée de demandes.

Mon verra à la main, je m'éloigne encore de quelques pas avant de me tourner dans sa direction pour lui lancer un petit regard sulfureux pour finir par me poser tranquillement sur un grand fauteuil de luxe. A la qualité du bois et des broderies, on sent que la personne qui gère cet endroit n'a pas peur de mettre les moyens pour attirer une clientèle fortunée.

- J'espère que tu n'es pas trop déçue de ne te retrouver qu'avec moi. Peut-être que tu préfères les trucs à trois ?

Vu les magouilles de la réceptionniste, peut-être que le plan originale était de la dévergonder un peu avec un client aux tendances bien tordues comme le client que j'accompagne ce soir. Au pire, la question pourrait m'apprendre plus de choses sur elle tout en restant sur le sujet de départ.

D'un geste de la tête je lui fais comprendre de venir me rejoindre en tapotant ensuite de la main sur ma cuisse droite.

- Viens donc t'asseoir.

Ma main gauche se contente de garder mon verre à portée pour que je puisse me rincer la bouche en cas de besoin pendant que je pourrais admirer et effleurer directement ma jolie partenaire de la soirée.

Partie de ma cuisse rapidement, ma main droite vient se poser sur sa taille dans un premier temps. Remontant et descendent à un rythme très lent pour lui laisser le temps de se mettre à l'aise. Tous les motifs de son bas fait rebondir et réagir mes doigts alors que je me tente à venir titiller sa cuisse dodue.

C'est alors que ma bouche s'ouvre pour aller chercher la sienne de manière délicate et sensuelle sans y mettre la langue pour le moment. Mes lèvres viennent capture sa lèvre inférieure pour la presser juste ce qu'il faut avant de s'arrêter pour la regarder droit dans les yeux.

- Si tu commençais par me montrer ce qu'on t'a appris.

Chaque chose en son temps après tout. Précipiter les choses n'aurait aucun intérêt dans la situation actuelle.

Alice Makai

Humain(e)

- C'est sympa, mais ça m'avance pas plus.

Alice se retint de déglutir en l’entendant lui répondre cela. Evidemment, rien n’allait dans la situation présente. Le client était censé être un habitué de la maison. Elle-même n’était pas censée se retrouver seule, mais chaperonnée par Elodie, et cette dernière aurait dû passer la soirée à tenir les rênes et la diriger. Là, elle était totalement dans le flou, livrée à elle-même, et devait se retenir pour ne pas verser de larmes. Ridicule, parfaitement ridicule pour son premier jour. Se mordillant la lèvre, elle ne put réprimer un sursaut en sentant sa main se poser sur son épaule.

- Okay, okay, j'ai compris.

Relevant les yeux vers lui, elle essaie de détailler brièvement son visage, s’attardant d’abord sur ses traits. Contrairement à ce qu’elle aurait pu croire en le voyant de plus loin, il ne semblait pas avoir tant d’années de plus qu’elle, sa chevelure d’argent trompait aisément l’oeil au premier abord. Ceci dit ses traits lui donnaient une maturité qu’elle n’avait pas encore et aurait pu lui envier. Elle aurait pu s’attarder plus longtemps sur l'étude de son visage, mais déjà il exprimait une requête. 

- Bon, si tu commençais par me servir un truc à boire ? Je te laisse choisir.
- Bien Monsieur.

La demoiselle refit une petite courbette et lui tourna le dos pour se diriger vers un petit bar qui se trouvait sur un des murs de la pièce, et sur lequel trônait plusieurs bouteilles d’alcool, ainsi que les verres correspondants à chacun. Son regard passa de l’un à l’autre des récipients, essayant de se rappeler les conseils d’Elodie, ne prêtant pas attention à son client actuel et à sa fouille. Mais la blonde ne l’avait pas préparée là dessus, en réalité, il était prévu de la former sur le tas. Cependant, elle lui avait enseigné quelques-uns des goûts de l’habitué avec qui elle aurait du passer la soirée, peut-être que cet homme allait les partager ? Après tout, ils se connaissaient, ça ne pouvait pas être une si mauvaise idée. Partant de ce prédicat biaisé, elle finit par servir un verre de vin rouge, un vin de qualité d’ailleurs, bien qu’elle n’en avait pas conscience, avant de faire demi-tour vers le jeune homme et de lui tendre le récipient à pied.

- Votre vin Monsieur.

Sa voix était douce mais transpirait de sa timidité, bien qu’elle essaie de ne pas trop détourner les yeux. Quoique, elle aurait bien aimé ne pas regarder, et surtout ne pas entendre, quand il sortit un objet de son dos, lui demandant :

- Tu sais ce que c'est et à quoi ça peut servir ?

Il ne fallut pas plus d’une seconde pour que ses joues ne virent à l’écarlate en voyant ce qu'il cachait. Heureusement qu’elle n’avait déjà plus le verre en main, sinon il aurait sans doute fait un aller simple vers le sol vu comme ses mains tremblaient. Elle n’avait jamais vu ce genre d’objet en vrai, ou du moins d’aussi près, et se doutait plus ou moins de l’usage que l’on pouvait en vrai, mais n’en était pas non plus convaincue. Elle ne s’attendait clairement pas à ce qu’on en trouve dans cette chambre, mais elle n’avait pas eu l’occasion de découvrir tout le reste du matériel qui s’y cachait encore. Est-ce qu’il prévoyait de s’en servir avec elle ? A cette idée, son visage passa lentement du rouge au blanc, alors qu’elle tentait néanmoins de répondre à sa question, ouvrant et fermant les lèvres, mais sans qu’aucune phrase plus intelligible que quelques bafouillements. Elle devait avoir parfaitement ridicule sans doute alors qu’il s’excusait de l’avoir taquiné ainsi.

- Désolé, j'ai pas pu m'en empêcher.

Elle allait baisser la tête à nouveau, honteuse, mais il ne lui en laissa pas l’occasion, attrapant doucement son menton pour qu’elle relève le regard, se retrouvant happé par ses yeux dorés. Elle pensait avoir rêvé lorsqu’elle l’avait observé plus tôt, mais non, plus de doute à cette distance, ces iris couleur de l’or étaient bien réels, et elle aurait pu se perdre dedans si un frisson ne l’avait pas parcourue lorsque ses doigts glissèrent sur sa joue alors qu’il s’éloignait.

- En tout cas j'ai de la chance d'être le premier à profiter de tes services. Une aussi jolie femme risque de se retrouver rapidement surchargée de demandes.

A nouveau, la couleur lui monta aux joues, mais était-ce seulement son compliment ou bien même ce regard qui lui avait accordé avant de s’asseoir qui la troublait ainsi ? A moins que ce ne soit sa question à venir ?

- J'espère que tu n'es pas trop déçue de ne te retrouver qu'avec moi. Peut-être que tu préfères les trucs à trois ?
- Je…

Une fois de plus, la bouche d’Alice ouvrit la bouche sans plus de mot avant de la refermer. Un “truc à trois” ? C’est vrai que si elle s’était retrouvée avec Elodie, c’est sans aucun doute ce qui se serait passé, mais avant que le jeune homme n’en fasse la remarque, ça ne lui serait pas venu à l’esprit que c’était le genre de situation dans laquelle elle se serait mise. Maintenant, est-ce qu’elle était déçue d’être en sa compagnie ? Certainement pas, pour le moment en tout cas.

- N-Non Monsieur, je ne suis pas déçue. Je n’étais juste pas préparée à me retrouver seule face à un client ce soir mais... Je n’ai pas de préférence de ce genre… Je crois ?

La jeune fille n’était pas certaine de sa propre réponse. En même temps, elle n’étais même pas sûre d’être fixée sur sa propre sexualité, donc comment répondre à ce genre de question ? Mals elle n'eut pas le temps de prolonger cette petite introspection sur le sujet que le client lui fit signe de se rapprocher, alliant également la parole au geste. Obéissante, Alice hocha la tête tout en se dirigeant vers lui avant de venir s'asseoir sur sa cuisse droite.

Un nouveau frisson, un de plus, lui traverse le corps lorsqu'il pose sa main au niveau de sa taille, et un sourire timide se dessine sur ses lèvres, juste avant que de petits soupirs ne viennent s'échapper de ces dernières lorsqu'il commence doucement à mouvoir sa main et l'effleurer au travers de ses habits.

Alice ferme doucement les yeux, profitant de chacune de ses caresses, jusqu'au moment où elle sent une paire de lèvres se presser contre les siennes, lui tirant un soupir plus fort que les autres et un nouveau rougissement alors que ses paupières se rouvraient pour recroiser son regard doré.

- Pa-Pardonnez-moi
- Si tu commençais par me montrer ce qu'on t'a appris.
- Je…

Les yeux de la demoiselle se font une nouvelle fois fuyants, mais plus qu'esquiver, elle réfléchissait. "Faire plaisir au client", c'est le principal mot d'ordre qu'Elodie lui avait confié. Mais comment ? Ça en revanche elle ne lui avait pas donné la clé et elle devrait aviser seule.

Ce qui semblait être de longues secondes aux yeux de la novice s'écoulèrent avant qu'elle ne se décide à agir. D'un geste timide, elle monta ses deux mains au niveau du col de son client et commença à détacher les premiers boutons, juste assez pour decouvrir son cou. Elle se pencha en avant vers lui, trouvant un appui sur son épaule, à l'aide de sa main gauche, puis commença à déposer de petits baisers dans le creux de son cou, donnant également des coups de langue discrets ou soufflant en alternance. D'un autre côté, sa dextre avait attrapé la main qui caressait ses hanches et la remonta vers sa poitrine, avant de redescendre seule vers son bas ventre, mais sans oser se poser encore sur son entrejambe.
« Modifié: lundi 02 mai 2022, 18:58:13 par Alice Makai »

Souta et Janus

Humain(e)

Ma demande semble clairement la faire hésiter. Peut-être parce qu'elle est trop gênée pour tenter quoi que ce soit. Ou alors les informations et idées se mélangent dans sa tête. Dans ce genre de métier il n'y a pas des millions de façons de faire vu que le résultat que l'on cherche à obtenir est toujours le même.

A en juger par ses premiers gestes, j'ai clairement en face de moi une timide ou une fille qui veut prendre son temps. Ce qui est loin de me déplaire car je pense que je vais facilement avoir une heure ou deux minimum devant moi. Le vieux pervers que je conduis est même déjà resté six heures d'affilé dans ce bordel.
J'ignore ce qu'il a pris pour tenir aussi longtemps mais c'était forcément illégal et peu recommandable. On ne l'a d'ailleurs pas revu durant deux semaines qu'il a passées chez lui. Les gens parlent beaucoup dans le milieu. De vraies commères, en particulier quand l'occasion de se payer la tête d'un queutard pointe le bout de son nez. A en croire la rumeur il ne pouvait plus faire trois pas sans hurler de douleur. A force de trop tiré sur le tuyau celui-ci s'est bouché et même un petit courant d'air sur sa peau lui provoquait une douleur atroce.
Autant dire que c'était la première fois qu'on avait ressenti de la pitié pour lui.

- J'aime où ça nous mène.

La remarque est glissée dans son oreille d'une voix douce et sensuelle alors que je me laisse faire face à sa main inquisitrice qui commence à explorer mon corps. Un sourire apparaît brusquement sur mon visage lorsque sa main vient chercher la mienne pour se faire déposer sur son opulente poitrine.

Avec la taille imposante de ses mamelles, mes doigts viennent s'enfoncer sans la moindre difficulté dans sa chair tendre alors que ma paume se frotte sur l'extrémité du bout de tissu qui couvrait ce qu'il pouvait de cette partie de son anatomie. Ma main, loin d'être petite, est incapable de prendre se saisir complètement de cet masse lourde et si douce à la fois.

D'un geste délicat alors que sa mimine descend pour venir caresser mes tablettes de chocolats parfaitement dessinés entre les entraînements et les missions risquées, je me sers de deux doigts pour libérer son mamelon sensible que je frotte avec ma paume en reprenant le massage de ce sein qu'elle venait de m'offrir d'elle-même. Je prenais mon temps pour ne pas la brusquer, autant que pour l'exciter au maximum.

- Tu as des seins magnifiques. J'ai bien envie d'y goûter.

Mon bras gauche se plie pour me permettre d'avaler une gorgée de vin en attendant que ma partenaire ne se décale un peu pour m'offrir assez de latitude afin de me permettre de réaliser mon souhait.

C'est d'abord un long baiser baveux qui vient lancer les hostilités alors que ma main se met à malaxer sa poitrine avec plus de vigueur. Sans pour autant que mes lèvres ne libèrent les siennes tant que je ne le décide pas. Voilà que je m'amuse de nouveau à capturer ses lèvres douces et fines à tour de rôle entre les miennes.

Au bout d'une petite minute d'un échange brûlant et humide, ma tête descend pour venir embrasser le dessus de sa poitrine pour commencer alors que je soulève son sein par la même occasion. Très rapidement je me lance à la conquête de sa sensible pointe rosée à laquelle j'offre également un baiser. Avec la langue pour marquer l'occasion.
Mon appendice baveux s'amuser à tracer des cercles autour de sa tétine avant que je ne l'aspire fort pour contraster avec ma douceur précédente.

Je termine en le recrachant dans un bruit de succion volontairement forcé afin de faire grimper un peu plus la température. La main toujours collée à son sein je m'arrête et recule la tête pour la redresser et regarder dans sa direction.

- Pardon, je te laisse reprendre.

Si jamais elle décide d'ouvrir davantage ma chemise ou de me la retirer elle remarquera forcément quelques cicatrices disséminés un peu partout sur mon corps. Entailles, coups de couteaux, une plaie par balle. Cela ne m'a jamais gêné, mais j'ignore ce qu'il est pour une fille aussi réservée qu'elle.
Ce qu'elle fait produit son petit effet en tout cas et je décide de l'encourager.

- Continue, c'est parfait. Tu m'excites tellement.

Et j'en pense chaque mot. Surtout que la suite risque de l'être encore plus.

Alice Makai

Humain(e)

Alice continuait de déposer de petites attentions dans le cou de son client, fermant les yeux, inspirant son odeur, et surtout en profitant pour étouffer ses faibles soupirs contre sa peau. Elle n'était pas sûre d'elle ou de ce qu'elle faisait, loin de là, mais l'homme ne semblait pas s'en plaindre, du moins c'est ce dont elle se convainquit en l'entendant souffler à son oreille :

- J'aime où ça nous mène.

Elle se surprit à sourire à ces quelques mots, même si elle-même n'est pas sûre de savoir où cela les mènait justement. Mais elle n'y pense pas, ou plutôt elle ne veut pas y penser, pas pour le moment en tout cas, préférant se concentrer sur le goût de sa nuque, ou sur l'exploration de son torse, sa petite main se promenant sur sa peau, traçant des lignes invisibles du bout de ses doigts sur ce corps encore caché par sa chemise qu'elle n'avait qu'entrouverte.

Elle mordille son cou pour étouffer un soupir lorsqu'il plonge ses doigts dans son sein, griffant son torse du bout des ongles, tentant de retenir sa réaction, avant de lâcher dans un souffle :

- Pardon…

Elle est gênée. Bien sûr, il ne fallait pas se leurrer, il lui était déjà arrivé de se caresser la poitrine, mais sentir quelqu'un d'autre jouer avec, la presser comme il le faisait, ce n'était pas la même chose que de le faire seule, pas du tout même, c'était une toute autre sensation, bien plus agréable que ce qu’elle avait connu jusqu’à présent. Un autre soupir, un de plus, lui échappe à nouveau lorsqu’il libère enfin son sein droit de sa prison de tissu qui l’oppressait jusqu’à présent pour venir le masser directement de sa paume. Bon sang, si on lui avait dit plus tôt que cela pouvait être si agréable…

- Tu as des seins magnifiques. J'ai bien envie d'y goûter.

La requête fait de nouveau monter le rouge aux joues de la demoiselle alors que son visage quitte le nid qu’elle s’était fait jusqu’à présent dans son cou, reculant assez pour lui laisser un libre accès à sa poitrine à moitié dénudée, tout en repoussant sa chevelure en arrière d’un geste de la main, afin que rien ne vienne déranger sa “dégustation”.

- B-Bien sûr Monsieur. Comme ceci ?

Essayant de calmer ses pommettes enflammées, Alice se laisse totalement surprendre lorsqu’il profite de l’occasion pour lui voler un nouveau baiser, plus long et humide que le précédent. Elle tente d’y répondre bien entendu, mais ce sont davantage de petites plaintes de plaisir qui viennent s’écraser contre ses lèvres alors qu’il joue à presser davantage son sein dans le creux de sa paume, laissant échapper un son étouffé au milieu de ces échanges de salives.

Haletante, la jeune femme n’oppose pas la moindre résistance lorsqu’il désoude enfin ses lèvres des siennes pour descendre à l’assaut de sa poitrine. Plus encore, elle se cambre légèrement, lui offrant un accès encore meilleur à ce sein qui n’attendait que d’être dévoré à en juger comme son téton était déjà dressé par ses caresses. Et la réaction lorsqu’il vient enfin le taquiner ne se fait pas attendre, la main droite d’Alice allant se plaquer aussi vite que possible sur sa bouche pour tenter d’étouffer les gémissements qui lui échappaient encore une fois. C'était tellement bon, elle aurait presque pu lui demander de ne pas arrêter, mais ce n'était pas dans son genre, aussi baissa-t-elle la tête lorsqu'il retira enfin ses lèvres.

- D-Désolée…
- Pardon, je te laisse reprendre.

Un léger sourire sur les lèvres, elle hocha la tête avant de retourner ouvrir sa chemise, retirant cette fois-ci tous les boutons jusqu'au dernier avant de l'ouvrir, dévoilant à son regard ses muscles saillants qu'elle repartit caresser avec douceur, tandis que sa jumelle venait se glisser derrière sa tête, passant ses doigts dans sa chevelure alors qu'elle s'avançait pour venir goûter ses lèvres une nouvelle fois, de son propre chef cette fois-ci.

Puis elle s'interrompit d'un coup, fronçant légèrement les sourcils alors que ses doigts passaient et repassaient au même endroit, essayant de déterminer pourquoi ce qu'elle sentait sous ses phalanges la perturbait. Mettant un terme au baiser qu'elle lui offrait, Alice se pencha pour observer son torse et y découvrir plusieurs balafres, dont celle qu'elle caressait depuis de longues secondes. Sans même se rendre compte de ce qu’elle faisait, elle commença à les suivre du doigt, une à une, se demandant quelle pouvait donc être sa vie pour porter autant de marques de violence, et quelle était l’histoire qui se cachait derrière chacune de ses marques.

Son petit manège dura plusieurs minutes où elle semblait presque avoir oublié la situation dans laquelle ils se trouvaient, jusqu’à ce qu’elle revienne d’un coup à la réalité en un sursaut.

- Pardon ! Je… Je vous ai fait mal ?

Ses pommettes rosées de gêne, elle observa sa réaction. Il devait sans doute bien sourire devant cette petite ingénue qui se laissait distraire aussi facilement et ne semblait pas vraiment consciente de ce qu’on attendait d’elle, sinon qu’elle l’aide à se détendre, à oublier sa vie de tous les jours. Hm, peut-être que… La jeune femme quitta le siège confortable que lui offrait sa cuisse pour se relever face à lui, sans prêter attention à sa propre poitrine à moitié dévêtue qu’elle exhibait devant lui et attrapant chaque côté de sa chemise, demande avec toute sa timidité :

- Vous permettez Monsieur ? Que je vous déleste de ce vêtement ?

Sans attendre totalement sa réponse, elle glissa ses mains sous le tissu, au niveau de ses épaules, et commença à faire glisser son habit le long de ses bras, se collant presque à lui dans le processus. Une fois débarrassé de celui-ci, elle se laissa tomber à genoux devant lui et commença à déposer de petits baisers sur chacune des marques qui se battaient l’espace de son torse et ventre, alors que ses seins venaient trouver leur place entre ses cuisses dans la manœuvre, pressant avec insistance contre son entrejambe sans qu’elle n’y prête garde. Ses lèvres, sa langue également, profitaient de tout l’espace de jeu qui s'offrait à elle pour le détendre, pourtant c’est bien l’adjectif tendu qu’il aurait fallu utiliser pour définir ce qui semblait réagir dans son pantalon.

Se reculant légèrement pour reprendre son souffle, Alice finit par repérer la déformation cachée par sa poitrine et, relevant les yeux vers le jeune homme, se contenta de demander malgré la gêne :

- Comment dois-je m’occuper de ceci Monsieur ?

Souta et Janus

Humain(e)

Lui laisser les commandes semble l'aider à se lâcher davantage même si il y encore un peu de retenue dans ses gestes. Voir à quel point elle est absorbée et intéressée par mon torse boost mon égo et me procure de petits frissons réguliers même si j'essaie de prendre sur moi pour ne pas le montrer. Cela ne dure qu'un temps étant donné qu'elle finit par sortir de sa torpeur pour s'excuser.

- Pardon ! Je… Je vous ai fait mal ?
- Pas du tout, au contraire. J'aime sentir tes doigts sur moi.


Elle prend alors très vite une autre initiative en se redressant et se levant pour m'offrir une vue plongeante sur sa poitrine alors qu'elle se penche en avant pour me retirer ma chemise sans que je ne lui donne mon accord. La voir aussi motivée est excitant. Au point de sentir un petit frétillement sous mon boxer.

C'est même tout aussi rapidement qu'elle enchaîne avec une position encore plus audacieuse. Le poids tout entier de sa poitrine vient s'écraser sur mon pantalon. Le fait d'avoir été aussi gâté par la nature fait que sa chair se déforme légèrement pour faire en sorte que je puisse autant la sentir sur mon sexe que sur l'intérieur de mes cuisses lorsqu'elle s'avance pour embrasser la peau nue de ma poitrine ou de mon ventre.

J'ignore si elle a pu sentir ma bite remuer légèrement au contact de ses seins ou si c'est professionnalisme qui a pris le dessus lorsqu'elle décide de se redresser pour me poser une question qui provoquer un nouveau remous à ce qu'elle était en train d'écraser à l'instant.

- Comment dois-je m’occuper de ceci Monsieur ?

Toujours aussi joueur, je ne peux pas m'empêcher de la titiller en lui demandant :
- De quoi donc ? Il faut être plus précise si tu veux que je t'aide.

La pauvre est gênée depuis qu'elle a été conviée à me rejoindre dans cette chambre et je ne lui facilite clairement pas la tâche par moments. J'attends cependant sa réponse pour lui offrir un grand sourire pour me baisser une nouvelle fois dans sa direction pour un énième échange de salive. Comme pour l'encourager à aller encore plus loin à chaque fois, mes baisers se veulent de plus en plus fougueux et baveux. Avec des caresses plus insistantes de ma langue contre la sienne.

J'attrape alors sa main pour la déposer sur la bosse qui commence à se former tranquillement en gardant la mienne sur la sienne. Puis je fais coulisser celle-ci très lentement dans un mouvement circulaire allant d'avant en arrière tout en soupirant bien fort, quitte à forcer légèrement la chose.

- Commence par défaire ma ceinture et ouvrir mon pantalon.

Le client est là pour profiter après tout. En sa qualité de travailleuse elle aura de toute manière à faire ce genre de geste régulièrement si elle ne tombe pas sur un homme trop pressé de tirer son coup.
Je l'observe tranquillement faire son travail en ne décollant pas un seul instant mon regard de ses mains et de ses pupilles lorsqu'elle cherche à relever la tête.

Le cliquetis de ma boucle de ceinture résonne dans la pièce silencieuse avant que le bouton de mon pantalon et ma braguette se subissent le même sort pour s'ouvrir et lui permettre de voir directement la bosse de mon sexe à demi-mou qui ressort encore plus maintenant que mon sous-vêtement est dévoilé.

- Bien, bien... Maintenant tu vas m'aider à bander. Tu peux me caresser, me renifler aussi en approchant ton visage pour t'imprégner de mon odeur.

Alors que je l'observe pendant qu'elle décide de la manière de poursuivre notre échange je lui demande avec une voix parfaitement calme.

- Juste par curiosité, tu as déjà taillé une pipe ?

Quitte à nous retrouver dans cette position, autant essayer d'en savoir un maximum pour me préparer à ce que je vais devoir lui apprendre de zéro ou si certains domaines n'auront besoin que d'être approfondis.

Alice Makai

Humain(e)

D’un geste distrait, Alice caressait les cuisses de l’homme en attendant sa réponse, qui ne tarda pas à venir d’ailleurs, alors qu’un éclair de malice semblait passer dans son regard.

- De quoi donc ? Il faut être plus précise si tu veux que je t'aide.

Un son étouffé fut sa première réponse, serrant les dents pour ne pas grogner. Cet homme… Il prenait un tel plaisir à se jouer d’elle et… elle n’avait techniquement pas le droit de s’en plaindre dans sa position. Le client est roi n’est-ce pas ? Prenant une inspiration pour essayer de camoufler son trouble, elle murmura :

- De votre… le mot n’arrivait pas à sortir, alors elle usa d’une paraphrase. virilité…

Elle devait paraître si prude en comparaison de ce client qui semblait savoir ce qu’il voulait, et dans l’immédiat cela semblait être profiter de cette occasion pour la taquiner le plus possible en la mettant dans l’embarras. Ce nouveau sourire qui fendait son visage en était la preuve alors qui se penchait pour venir échanger un nouveau baiser avec elle, venant de plus en plus chercher sa langue, les lèvres, à lui en couper le souffle presque.

Il se recula ensuite et prit sa main pour la poser sur la bosse qu'elle avait aperçue plus tôt, avant de guider ses caresses sur celle-ci en soupirant. Alice le laissait guider sans dire un mot, fixant leurs mains jointes et leur façon de bouger, essayant de comprendre quel mouvement le faisait réagir de quelle manière. C'était une première pour elle, mais, ça ne voulait pas dire qu'elle ne voulait pas apprendre.

- Commence par défaire ma ceinture et ouvrir mon pantalon.

La jeune femme hocha une nouvelle fois la tête, dégageant sa main de celle du client sans forcer pour les remonter vers la boucle de sa ceinture, la détachant lentement. Elle fait une tentative de relever ses yeux vers lui, cherchant une forme d'approbation à ses gestes, et se retrouve irrémédiablement à croiser son regard doré qui ne semble pas la quitter un seul instant. Alors elle baissa de nouveau le regard vers cette bosse qui ne demande qu'à être libérée, glissant ses doigts fins pour venir ouvrir tour à tour le bouton de son pantalon, ainsi que la fermeture éclair de celui-ci, dévoilant son boxer et le monstre de chair qu’il emprisonne.

- Bien, bien... Maintenant tu vas m'aider à bander. Tu peux me caresser, me renifler aussi en approchant ton visage pour t'imprégner de mon odeur.
- B-bien Monsieur.

Alice approcha une main timide de l’engin encore camouflé et commença à reproduire les mouvements qu’il lui avait appris plus tôt, d’abord circulaires, puis d’avant en arrière, avant de revenir au premier mouvement. Elle le sentait réagir sous ses caresses, elle en était presque certaine, elle ressentait la chaleur qu’il dégageait également.

Elle continua ainsi de longues secondes, ou minutes peut-être, avant de se décider à approcher son visage de son entrejambe, venant le titiller du bout du nez, en l’y frottant une fois, deux fois… Puis ce fut au tour de sa joue de se coller à sa virilité prisonnière, soupirant doucement en sentant son odeur, tout en continuant ses caresses d’une seule main. Enfin ce fut sa bouche qui vint taquiner en dernier cette zone, y déposant des baisers à travers le tissu. Elle se demandait le goût qu’elle aurait eu sur les lèvres si seulement son boxer ne faisait pas barrière. Le jeune homme avait-il entendu ses pensées lorsqu’il lui posa une nouvelle interrogation qui la figea sur place, le nez entre ses jambes :

- Juste par curiosité, tu as déjà taillé une pipe ?
- Je… Non Monsieur, ça ne m’est jamais arrivé.

Elle n’osa pas le regarder après cette réponse aussi honnête. Elle allait encore confirmer son statut de parfaite débutante avec ses mots, et il allait encore en profiter pour rire à ses dépends. Enfin, tant qu’il ne s’amusait pas à jouer avec le premier degré de l’expression… Certes, elle avait sans doute la théorie, ou même seulement la théorie de la théorie, mais la pratique, ça absolument pas. Les yeux fuyants de nouveau, elle demanda néanmoins, n’osant pas prendre l’initiative d’elle-même.

- Pour cela, il faudrait finir de vous déshabiller, n’est-ce pas ?

Souta et Janus

Humain(e)

Même si elle est peu coincée depuis le début de notre rendez-vous, je ne m'attendais clairement pas à ce qu'elle soit aussi ignorante dans le domaine. Elle a jamais fait la moindre fellation et on l'a balance dans le grand bain comme ça ? Ils ont pas peur de faire fuir la clientèle ? Ca me laisse clairement sur le cul.

- Pour cela, il faudrait finir de vous déshabiller, n’est-ce pas ?
- Oh non, c'est plus excitant quand on évite de tout retirer d'un coup. Pour le moment glisse ta main sur mon boxer pour me caresser directement et dis-moi ce que tu sens.


Qui est le plus à plaindre entre moi qui doit tout lui expliquer pas à pas ou elle qui est clairement paumé ? Au moins on ne peut pas lui enlever sa motivation et sa dévotion car elle obéit à chacune de mes demandes depuis qu'on a commencé. Et histoire d'être plus efficace je me penche quelques secondes sur le côté pour déposer mon verre afin d'avoir les deux mains de libre.

- Tes clients aimeront toujours que tu prenne les devants. Que ce soit avec ton corps ou avec tes mots. Ton boulot c'est de les exciter. Et pour ça... faut utiliser des mots plus appropriés.

Ma main gauche vient trouver son poignet pour la retirer de sous mon boxer et la faire remonter pour faire en sorte que ses doigts se trouvent à hauteur de l'élastique du sous-vêtement.

- Tire dessus... Lentement. Et approche ton visage pour revenir sentir, caresser, ou même embrasser ma queue.

Curieux de voir comment elle va procéder et afin de mieux orienter la suite des évènements, je me contente de l'observer en soupirant de plaisir au contact de ses caresses délicates. Jusqu'au moment où je me retrouve avec la tige à l'air. Je lui ordonne alors de continuer son mouvement.

- Continue !

Mes boules étaient encore bloquées sous le tissu de mon boxer et il fait bien qu'elle ait accès à tout pour me procurer un maximum de sensation. Sentir mon propre sous-vêtement frotter dessus fait remuer ma bite qui vient donner un petit coup sur son visage sans même que je ne touche quoi que ce soit. Érigé aux trois quart de sa forme finale, mon membre se présente déjà fièrement devant elle. Mon gland gonflé se présente avec arrogance au niveau de son front.

Amusé, un léger rictus d'arrogance dans la voix je lui lâche :
- Rassure-toi, tu en verras pas souvent des bites aussi grosse que la mienne.

Je l'observe alors quelques secondes avant de me lancer dans une nouvelle requête.

- Pose tes mains dessus. Les deux. comme ça...

Mes mains attrapent les siennes pour venir les faire se poser l'une au-dessus de l'autre sur ma longue tige épaisse dont ses doigts ne semblent pas parvenir à faire complètement le tour. Sans me gêner pour réclamer un petit bonus.

- Enduis-là de salive pour que ça glisse plus facilement.

Moins d'une minute passe quand j'entends toquer à la porte. Le son de la poignée qui grince légèrement me laisse à supposer que quelqu'un est en train d'entrer quand j'entends une voix dans mon dos.

- Excusez-moi si je dérange, mais on m'a demandé de venir vérifier si tout se passait bien.

J'ignore de qui vient cette voix.

Alice Makai

Humain(e)

- Oh non, c'est plus excitant quand on évite de tout retirer d'un coup. Pour le moment glisse ta main sur mon boxer pour me caresser directement et dis-moi ce que tu sens.
- T-Très bien, Monsieur.

Toujours hésitante, elle reposa sa main sur son sous-vêtement, puis, glissant sa main dans une des ouvertures,  elle vient enserrer son membre encore prisonnier avec une certaine douceur avant de le frotter avec la paume de sa main.

- Tes clients aimeront toujours que tu prenne les devants. Que ce soit avec ton corps ou avec tes mots. Ton boulot c'est de les exciter. Et pour ça... faut utiliser des mots plus appropriés.

Quels mots ? Quels mots pouvaient-être appropriés pour encourager l'ego des clients et les exciter davantage ? Elle n'en savait absolument rien. Que fallait-il flatter ? Leur force, leur musculature, leur vigueur ?... Une moue sur son visage trahissait son indécision à ce sujet. Cependant elle n'interrompait pas les caresses de sa main, essayant d'évaluer sa taille.

- Elle a l'air… si grande… J'ai envie…

"De la voir, de la goûter…" Les derniers mots ne franchirent pas ses lèvres, mais son regard, fixant son sexe toujours prisonnier avec une curiosité certaine, complétait la phrase pour elle mieux que si elle ne la terminait elle-même. Peut-être avait-il compris ce qui l'intriguait puisque c'est à ce moment qu'il vint sortir sa main de la cachette chaude qu'elle s'etait trouvée pour l'amener au niveau de l'élastique.

- Tire dessus... Lentement. Et approche ton visage pour revenir sentir, caresser, ou même embrasser ma queue.

Alice hocha la tête, descendant lentement l'élastique pour révéler petit à petit son membre déjà gonflé. A peine commence-t-il à paraitre que ses lèvres viennent le couvrir de petits baisers, commençant par l'extrémité puis sur le reste de la longueur, suivant ce que son boxer laisse apparaitre en descendant toujours plus, mais sans jamais être brusque. Timidement, sa langue vient également se mêler au jeu, humidifiant ses lèvres à chaque fois qu'elle les recule, avant de profiter de chaque baiser pour lécher avec douceur cet imposant manche de chair. De petits soupirs lui échappent également, alors qu'elle s'apprêtait à marquer une pause dans son effeuillage. Mais ce n'était pas de l'avis de son client.

- Continue !

L'ordre avait fusé, l'avait surprise, mais elle s'exécuta encore, continuant sa lente descente, venant autant que possible coller son visage près de cet entrejambe qui se devoilait un peu plus à chaque seconde, continuant de le couvrir d'attention autant que possible. Peut-être même un peu trop près lorsque son membre vint tapoter contre sa joue sans qu'elle ne s'y attende.

- Ah !…
- Rassure-toi, tu en verras pas souvent des bites aussi grosse que la mienne

La jeune femme ne put s'empêcher de déglutir. Autant cela la rassurait pour le futur, autant dans l'immédiat, les dimensions de ce chibre la paniquait assez pour que cette émotion ait le temps de passer sur son visage avant qu'elle ne se reprenne. Calme toi Alice, tout ira bien, il ne te fera pas de mal. Enfin pas trop. C'est alors que l'homme reprit :

- Pose tes mains dessus. Les deux. comme ça…

Et, joignant le geste à la parole, il prit ses mains pour les poser le long de sa verge tendue, et l'ingénue de rougir de nouveau en la sentant entre ses doigts. C'était tout bonnement un monstre de chair qu'elle avait entre ses mains.

- Elle est si grosse…
- Enduis-là de salive pour que ça glisse plus facilement.

Les joues pourpres, elle opina du chef, une fois de plus, avant de venir donner des coups de langue dessus, d'abord timidement, puis parcourant de plus en plus de longueur à chaque passage avec son appendice buccale. Mais ça lui paraissait encore bien trop léger pour le lubrifier assez à son goût, aussi décida-t-elle de tenter de prendre son gland entre ses fines lèvres. La chose était loin d'être facile au vu de ses dimensions, mais avec quelques efforts, elle réussit à l'entourer de sa bouche.

C'est à ce moment précis qu'elle entendit frapper à la porte, avant d'entendre quelqu'un la pousser en demandant :

-- Excusez-moi si je dérange, mais on m'a demandé de venir vérifier si tout se passait bien.
- Fofia ?!

En effet, c'était bien Fofia, enfin Sophia lorsqu'on ne prononçait pas son nom la bouche pleine, qui venait d'entrer dans la chambre. C'était une brune plantureuse, aînée d'Alice d'une dizaine d'années tant à la ville que dans leur emploi, vêtue en ce soir d'un tailleur qui mettait particulièrement ses formes en valeur. En la voyant, la plus jeune recula légèrement, retirant sa bouche pour pouvoir baisser le chef. Cette réaction ne manqua pas d'amuser la nouvelle venue qui s'approcha d'Alice, s'accroupissant pour se mettre à sa hauteur. Elle attrapa son menton pour la forcer à relever la tête et lui sourit.

- Tu m'as l'air un peu stressée ma grande. Ta première fois te fait peur ?... Peut-être que cela t'aideras à te détendre un peu.

Et prononçant ses mots, Sophia vint embrasser sa collègue à pleine bouche, venant chercher sa langue avec une fougue qui surprit la plus jeune des deux. Bien entendu, ce baiser était loin d'être innocent. Non contente de certainement attiser certains désirs chez le client, la brune en avait profité pour faire avaler à sa collègue un aphrodisiaque certes léger mais rapide à agir mais surtout suffisant pour qu'elle se lâche davantage. Son méfait accompli, Sophia se releva, et caressant la tête d'Alice, lui suggèra :

- Tu devrais reprendre ce que tu faisais avant que je n'arrive.

Suggestion à laquelle Alice hocha vivement la tête avant de revenir lécher le pieu de chair du jeune homme avec une avidité certaine, puis d'ajouter ses mains à l'équation, celles-ci venant le caresser dans de lents mouvements d'avant en arrière sur toute sa longueur. De son côté, la brune se sentait d'humeur à provoquer leur client, et ne s'en priva pas.

- J'espère que ce que j'ai fait ne vous dérange pas ? Ou peut-être vouliez-vous le même traitement ?

Un sourire malicieux au coin des lèvres, elle attendit sa réponse avant de venir presser sa bouche contre celle du jeune homme avec encore plus de fougue que précédemment, alors qu'Alice continuait les va et vient de ses mains en contrebas. Leurs visages finirent par se séparer après de longues secondes, lorsque la plus âgée baissa le regard pour voir comment l'autre demoiselle se debrouillait.

- Hm, tu as l'air de t'en sortir mieux que je ne le pensais. Je devrais peut-être te laisser te débrouiller toute seule. Puis, retournant son attention vers le client, elle ajouta : A moins que vous ne préfériez que je reste, voire que je la remplace ?

Souta et Janus

Humain(e)

Il ne m'a pas fallu très longtemps pour découvrir que la voix inconnue venait d'une collègue de boulot de la jeune femme innocente que je suis en train de corrompre à petit feu depuis tout à l'heure. Celle-ci a clairement de l'expérience derrière elle vu qu'elle ne perd pas un instant pour rejoindre sa camarade et lui rouler une galoche sous mes yeux surpris.

Je me contente de les regarder toutes les deux, aussi belles l'une que l'autre, alors qu'elles s'échangent baisers et regards complices. J'ignore ce que la nouvelle arrivante lui a fait, ou si elle a simplement des lèvres magiques, car la petite nouvelle se remet rapidement à la tâche avec plus de vigueur et d'envie. Mon attention va pourtant se porter rapidement sur cette Sofia pendant que je soupire de plaisir en sentant de nouveaux deux mains me branler la queue sur toute la longueur.

- J'espère que ce que j'ai fait ne vous dérange pas ? Ou peut-être vouliez-vous le même traitement ?
- Hummm ? Ouais, approche donc.


Ses lèvres douces ont un goût un peu étrange mais je ne fais pas plus attention que ça. Mes pensées sont bien trop occupées par le plaisir que je ressens avec leurs actions combinées. Au point que ma langue cherche à s'échapper de ma bouche pour s'extirper de mes lèvres afin de danser avec la sienne de manière aussi baveuse que vulgaire. Notre échange a rapidement perdu en sensualité pour tomber dans la vulgarité.

A moins que vous ne préfériez que je reste, voire que je la remplace ?
- Tu as pas fait tout ce chemin pour partir aussi vite.


Surexcité par cette nouvelle présence, ma main droite vient se saisir de son cul pour le caresser quelques secondes par-dessus le tissu de son tailleur. Me retrouver avec deux femmes rien que pour moi a toujours été quelque chose qui me plaît et je ne compte pas me priver pour le temps que ça durera. Du bout des doigts je pars chercher le dessous de sa jupe pour la remonter d'un coup et je glisse immédiatement ma main sous sa culotte pour caresser sa douce peau de pêche pour revenir échanger un baiser baveux et dégoûtant avec elle.

Alors que plusieurs filets de salive continuent de connecter ma bouche à celle de Sofia, ma tête se tourne en direction de sa collègue sur qui je fixe mon regard.

- Prends-moi entre tes gros seins, ma belle.

Je marque une pause de quelques secondes pour mieux me retourner car je m'étais retrouvé dans une position un poil compliquée en me penchant sur le côté pour jouer avec Sofia. C'est alors que me revient une demande qu'elle m'avait faite auparavant.

- Enlève-moi mes chaussures, mon pantalon et mon boxeur avant.

Comme un roi sur son trône, je l'observe avec délectation en imaginant déjà toutes les bonnes attentions et sensations qui m'attendent. Tout en m'occupant à jouer de la langue avec l'autre femme à mes côtés.
Peut-être que j'ai les yeux plus gros que le ventre, mais il serait fou de ma part de ne pas exploiter la situation autant que possible. Je les regarde alors toutes les deux en leur détaillant le petit programme que j'ai en tête.

- Je veux jouir entre tes seins. Ils me font envie depuis que je t'ai vu.

Mon regard se porte ensuite de manière plus insistante sur Sofia alors que j'arbore un immense sourire pervers. Une main vient également se poser sur sa joue pendant que je glisse mon pouce entre ses lèvres charnues et pulpeuses.

- Et plutôt que de la remplacer comme tu me l'as si généreusement proposé... Pourquoi tu n'irais pas lui apprendre à sucer ? Puis vous me finirez ensemble. Ce serait un bon début.

Vu que la jeunette n'a jamais sucé d'homme, je me dis qu'elle n'a jamais couché avec qui que ce soit non plus. Du coup, se faire déflorer dans ce genre d'endroit ou de situation ne doit logiquement pas lui faire envie. De toute manière ça ne nous empêchera pas de nous amuser et de lui faire découvrir un tas de choses. C'est notre rôle de la guider dans le monde des adultes après tout.

Alice Makai

Humain(e)

- Tu as pas fait tout ce chemin pour partir aussi vite.

Un rire passa la gorge de Sophia. Cet homme savait ce qu’il voulait, à n’en pas douter, et elle allait faire en sorte de lui en donner pour son argent. Un soupir de plaisir lui échappa lorsque la main de l’homme vint lui caresser la fesse, sa propre main venant se poser par dessus la sienne pour accompagner ses mouvements et l’encourager à presser plus fort, à profiter de cette chair qu’elle lui mettait à disposition alors qu’elle revenait par la même occasion coller ses lèvres aux siennes, et mêler leurs deux langues dans une nouvelle danse humide.

Alors que la brune se détachait un instant pour reprendre son souffle, l’homme en profita pour reporter son attention sur la plus jeune des deux qui, consciencieusement, continuait de faire glisser ses mains le long du manche de chair, donnant par instant des coups de langue tantôt sur la longueur, tantôt sur le gland. Timidement, elle leva les yeux en l'entendant s'adresser à elle, la langue tirée, s'arrêtant dans son mouvement.

- Prends-moi entre tes gros seins, ma belle.

Elle hocha la tête à son ordre et lâcha sa queue avant de poser ses mains de part et d'autre de sa poitrine, l'approchant de son membre chaud. Mais très vite elle grimaça. Autant jouer des mains autour de son engin était chose aisée, autant essayer de l'entourer de ses seins promettait de s'avérer compliqué tant que son pantalon était présent. Comme s'il avait vu sa difficulté, l'homme ajouta.

- Enlève-moi mes chaussures, mon pantalon et mon boxeur avant.

Une nouvelle fois, Alice acquiesça à sa demande, retirant d'abord ses chaussures ainsi que ses chaussettes, les poussant sous son siège, avant de s'attaquer à son pantalon et son boxer. Elle s'avança pour passer les bras autour de sa taille, écrasant son sexe de sa poitrine alors que ses mains se glissaient sous ses habits, caressant les fesses de l'homme tout en faisant descendre pantalon et sous-vêtement le long de ses jambes, continuant de coller ses seins contre son corps à la moindre occasion. Ah ! Là c'etait davantage envisageable. Une fois le client déshabillé, la jeune femme s'approcha une nouvelle fois, à genoux et vient entourer sa virilité de son opulente poitrine. La sensation était totalement nouvelle pour elle et elle se sentit rougir.

- Hm… C'est si chaud…

C'était si agréable, juste le sentir contre sa peau, elle se sentait toute chose et elle mourrait d'envie de lui faire plaisir. Alors, sans attendre davantage, elle utilisa ses mains pour aider ses seins à glisser autour de son membre, soupirant à chaque aller et venue. Ses gestes étaient sans doute imprécis, maladroits, mais ce serait mentir que de dire qu'elle y mettait de la mauvaise volonté.

De l'autre côté, Sophia continuait ses échanges de salive avec le client, ses mains caressant son corps, découvrant ses muscles, jusqu'à ce qu'il ne rompe le baiser pour poser sa main sur sa joue, glissant dans sa bouche un pouce que la plus expérimenté s'empresse de suçoter avec envie.

- Et plutôt que de la remplacer comme tu me l'as si généreusement proposé... Pourquoi tu n'irais pas lui apprendre à sucer ? Puis vous me finirez ensemble. Ce serait un bon début.

Un sourire coquin passa sur le visage de la brune qui mordilla doucement ce doigt avant d'écarter son visage, descendant se placer accroupie derrière Alice, posant ses mains sur les siennes, qui elles-mêmes étaient toujours poser sur ses seins.

- Viens là ma belle, on va travailler ça ensemble. Là, comme ça, fais des mouvements amples.

Joignant le geste à la parole, Sophia guide les gestes de la plus jeune, coordonnant davantage les mouvements, faisant presser parfois sa poitrine le plus possible entre les cuisses de l'homme, arrachant des couinements à la demoiselle. La brune contrôlait chaque action, finissant par lui faire marquer une pause, entourant sa trique de toute la masse de ses seins, à l'exception du gland qui était le seul à ressortir, avant de se coller, sussurant à son oreille :

- C'est bon comme ça, hein Alice ?
- O-oui… Ah…
- Hm, et regarde moi ça. Tu n'as pas envie de le goûter encore ? Va y, sors ta langue et léche le. Oui comme ça. Maintenant, ouvre la bouche et prends le entre tes lèvres. Doucement, juste le gland… Oui voilà comme ça… Utilise ta langue maintenant, caresse le avec, montre lui comme tu en as envie. Comme tu as envie qu'il te donne tout ce qu'il a.

A chaque instruction, Sophia prenait soin de guider Alice, qui s'évertuait à être la plus appliquée des élèves. Avant même qu'elle ne s'en rende compte, la plus jeune coordonnait les caresses de ses seins et de sa bouche avec une application certaine, ne retirant ses lèvres que pour reprendre sa respiration, haletant, avant de retourner le prendre avec toujours plus de motivation.

Souta et Janus

Humain(e)

Le début de branlette lorsqu'elle s'y mettait toute seule était déjà assez excitant pour me faire trembler sur mon siège. Alors lorsque sa partenaire vient la rejoindre pour lui montrer comment comprimer et branler ma queue avec son savoir faire, il me faut rester concentré pour ne pas me laisser dépasser par les évènements.

La tendresse de sa peau fait des ravages sur mon sexe veineux qui pulse d'excitation à chaque fois qu'elle termine un mouvement entier. Je manque de leur exprimer à quel point c'est bon pour moi également. Cela ne m'empêche cependant pas de sourire comme un benêt en écoutant Alice dire qu'elle prend du plaisir dans ce qu'elle fait.

J'ignore si elle est une jeune femme timide qui n'attend que de s'ouvrir au monde du sexe pour se lâcher ou si elle joue la comédie. En tout cas, si c'est le deuxième cas, elle pourrait percer dans le monde du cinéma. Tous ses gestes, ses regards et sa respiration me donnent envie de la forcer à aller plus loin. Son côté innocent à quelque chose d'enivrant. Le genre à vous pousser à vouloir la corrompre sans lui demander son avis car elle ne résistera jamais.

- Oooh, merde...

La phrase m'échappe à l'instant où elle retourne s'occuper avec délicatesse de mon gland. Tout ce qu'elle fait jusque là est si innocent et sensuel. Des choses auxquelles je ne suis pas tellement habitué. Pas que j'aille m'en plaindre, bien au contraire.

Est-ce que le fait de changer d'instructeur lui a permis de se lâcher d'avantage ? Ou alors est-elle obéissante et soumise de nature ? Toujours est-il que je profite comme un pacha de tout ce qu'elle m'offre sans dire un mot.

Dans une autre situation j'aurais d'ailleurs tenté de me retenir aussi longtemps que possible. Heureusement je n'ai aucune raison de le faire ici car je suis dans cette chambre dans un unique but : profiter. Alors je laisse les secondes devenir des minutes. La première passe pendant que je lui souris en sentant sa langue pudique tenter des choses sur mon gland.
Puis viennent les trois d'après où mes sourcils se froncent légèrement pour montrer qu'elle est sur le point de provoquer quelque chose.

Arrivé à la cinquième ou la sixième, je pose mes mains sur les accoudoirs du fauteuil en grognant. Mes doigts prennent possession du tissu de mon siège alors que ma bite se met à trembler dans un dernier spasme de plaisir alors que sa poitrine remonte pour couvrir temporairement mon gland. A la seconde suivante, alors qu'elle semble redescendre par habitude à cause du rythme imposé depuis le début de ce massage mammaire, une généreuse giclée de sperme s'échappe de ma queue pour venir s'étaler en diagonale sur son visage. Allant de son front jusqu'à son menton.

- Ooooh, putain, ce que c'est bon.

Comme pour s'adapter à sa tendresse, le reste de mon sperme se déverse doucement et délicatement hors de mon gland pour couler le long de sa paire de seins énorme. D'abord sur le dessus. Pour couler ensuite de manière assez mitigée vu que le plus gros resté collé à sa peau. La masse visqueuse et gluante s'accumule sur sa poitrine alors que mon gland trône encore et toujours face à elle sans tressaillir.

Cette grosse et première éjaculation ne pas fait perdre une once de vigueur. Il faut dire que je sais clairement ce qui m'attend car j'ai demandé à ce qu'elles me sucent ensemble toutes les deux pour le second acte. Et de ce que j'ai pu voir de Sofia, la brune ne devrait pas être aussi innocente que sa collègue. Bon sang, je suis bouillant d'impatience en imaginant ce qu'elle me réserve.

Puis voir les doux traits du visage innocent d'Alice déformés par cette épaisse rayure de sperme que j'ai balancé dessus ne calme pas mon excitation.

Alice Makai

Humain(e)

Re : Il faut toujours commencer par les bases (PV |-| Alice Makai )

Réponse 13 lundi 03 juillet 2023, 17:35:51

Guidée par Sophia, les mouvements d'Alice se font petit à petit moins hésitants, pressant sa poitrine sur le sexe tendu de l'homme, le masturbant à un rythme lent et régulier. Encore plus, elle prend un plaisir certain à sentir le monstre de chair brûlant entre ses seins, une part d'elle se demandant si elle était de taille à accueillir un membre si imposant en elle.

Rapprochant une nouvelle fois son visage de son gland, elle laisse échapper un souffle chaud dessus, reprenant sa respiration avant d'ouvrir une nouvelle fois les lèvres, les posant sur son extrémité en un doux baiser, avant d'ouvrir davantage la bouche pour le laisser entrer. Elle ferme les yeux, suçotant de longues secondes comme si elle souhaitait le marquer avant de le relâcher, soupirant d'aise. Puis elle reprend son massage mammaire, toujours sans aucune précipitation.

Derrière elle, Sophia voyait que la plus jeune semblait avoir les choses bien en main (ou en seins ?), mais, elle la sentait aussi encore tendue, aussi décida-t-elle de l'aider à sa manière. La laissant désormais suivre le rythme qu'elle lui avait imposé, elle descendit ses mains sur le corps d'Alice, posant la gauche sur son ventre, tandis que la droite descendait plus bas, sur son intimité, faisant ouvrir de grands yeux dans sa direction à la demoiselle qui avait en cet instant la bouche pleine. En retour, la brune lui décocha un de ses sourires dont elle avait le secret, glissant doucement deux doigts sous les tissus qui recouvraient son intimité, venant titiller sa fente tout en murmurant à son oreille.

- Chhh ne fais pas attention ma belle, concentre-toi sur ta tâche…

Un gémissement étouffé échappa alors à Alice, qui libéra immédiatement le sexe de l'homme d'entre ses lèvres pour pouvoir se les mordre, et contenir les soupirs que lui provoquaient les caresses de son ainée. Elle fermait les yeux, essayant de se concentrer davantage sur ses propres mouvements que sur ceux de sa collègue. C'est pourquoi elle fut totalement prise au dépourvu lorsqu'un épais jet de sperme vient lui barrer le visage, laissant échapper un hoquet de surprise.

- Ooooh, putain, ce que c'est bon.

Alors que le reste de sa semence s'écoulait lentement sur ses seins, Alice sentit Sophia se détacher de son dos, venant admirer l'oeuvre de leur client, un sourire malicieux au coin des lèvres.

- Et bien et bien, qu'avons nous là ?~

La brune trempa le bout de son doigt dans le sperme, avant de l'apporter à sa bouche pour le sucer, braquant son regard de braise dans celui de l'homme pour lui montrer qu'elle n'en avait pas fini avec lui. Elle ne lâcha son regard que pour aller directement lapper le sein d'Alice, toujours sous le coup de la surprise, avant de lui faire tourner la tete et d'enfoncer sa langue dans sa bouche, lui faisant goûter au liquide gluant qui la souillait. Ce ne fut qu'après de longues secondes que la plus agée ne laissa sa collègue reprendre son souffle, adressant un sourire au client avant de retenir Alice qui reculait légèrement.

- Attends attends, on est encore loin d'en avoir fini~ Regarde, tu ne l'as même pas nettoyé.

Pour illustrer son propos, elle attrapa la verge encore fièrement tendue d'une main ferme pour recommencer à le branler, collant ses lèvres pour lécher le sperme qui perlait encore au bout de son gland. Puis lentement, la bouche glissa sur le côté gauche de la hampe, sa langue venant s'enrouler sur la circonference de son sexe, à plusieurs hauteurs. Sophia lança alors un regard à Alice, qui comme d'instinct, vint imiter sa mentor, se plaçant sur le côté droit à son tour pour faire jouer cet appendice visqueux sur le manche de chair, touchant parfois la langue de la plus âgée, comme si les deux cherchaient à s'embrasser de nouveau, mais que cette virilité se posait en obstacle constant entre elles. De petits soupirs de plaisir, mais aussi de frustration échappaient de plus en plus à Alice, sous l'emprise du produit donné plus tôt par sa collègue. Elle voulait continuer à goûter cet homme, toujours plus, mais elle mourrait également d'envie de sceller ses lèvres à celle de la brune.

- Encore… J’en veux encore…

Souta et Janus

Humain(e)

Re : Il faut toujours commencer par les bases (PV |-| Alice Makai )

Réponse 14 mercredi 12 juillet 2023, 06:19:07

L'aînée brune prend les devants comme d'habitude depuis son arrivée dans cette grande chambre. Voir cette combinaison de sensualité et de perversité dans ses gestes alors qu'elle vient suçoter goulument son doigt qui a été trempé dans mon sperme fait légèrement ressauter mon membre d'excitation qui reste encore coincé entre les grasses mamelles de la jolie Alice qui, elle, reste sans réaction.

Une autre vision d'excitation m'est alors offerte quand Sophia décide de rouler une longue pelle de plusieurs secondes à sa nouvelle collègue pour lui faire goûter au liquide épais qu'elles ont obtenu après leur dur labeur.

A peine libérée, ma bite est assaillie par la langue experte de la prostituée. Toujours aussi dure et chaude malgré la jouissance récente. L'orgasme auquel j'ai eu droit n'est d'ailleurs pas totalement terminé car quelques petites traînées blanches viennent s'échapper de mon gland pour venir dégouliner le long de ma tige à un rythme lent pendant que mes deux camarades de jeu se mettent à lécher chacune de leur côté.

- Ah oui ? Et tu veux quoi ?

Ma main droite vient se poser délicatement dans la chevelure de la jolie Alice qui semble être perdue dans sa propre luxure pour la faire s'approcher de ma bite de manière plus évidente alors qu'un nouveau filet vient couler directement pour entrer en contact avec ses douces lèvres chaudes.

- T'aimes le goût du sperme ?

Je maintiens son visage en position sans trop appuyer pour m'assurer qu'elle puisse lécher et engloutir la coulée de sperme qui est arrivée droit dans sa direction. On est là pour aider à sa formation après tout. Nombreux seront les clients qui voudront qu'elle avale d'ailleurs.

Une fois fait, je la relâche pour la faire remonter jusqu'à mon gland en m'assurant qu'elle y arrive en même temps que sa formatrice.

- Ou tu préfères sucer ma grosse bite ?

Désormais au sommet, je viens encourager Sophia à embrasser la nouvelle recrue tout en les gardant au contact de mon gland sensible qui continue de fuir légèrement. Cette double attaque est juste parfaite pour entamer ce nouveau petit jeu pervers.
Je les laisse savourer cet instant plusieurs minutes avant de profiter de l'occasion parfaite où Alice ouvre la bouche pour mieux embrasser sa partenaire et appuyer sur son crâne afin de lui faire engloutir mon membre dur et tendu.

Mon gland est le premier à la remplir alors que je presse encore un peu plus pour m'assurer que plusieurs bon centimètres viennent profiter de la chaleur humide de sa cavité buccale.

Alors que je la relâche pour lui permettre de reprendre son souffle, je la regarder amusé en lui demandant :
- Et là, t'en veux encore ?

Mon regard se tourne alors vers Sophia à qui j'offre un grand sourire et un clin d'oeil. Puis je recommence l'opération en la maintenant quelques secondes de plus sur mon membre pour m'assurer qu'elle finisse par bien baver dessus.

- Elle cachait bien son jeu derrière son air innocent.

De nouveau libérée, Alice va pouvoir se retrouve face à mon membre imposant, brûlant... et dégoulinant de salive. Prêt à se faire sucer dans les règles de l'art vu que c'était ce que j'avais demandé un peu plus tôt.

- Venez me sucer toutes les deux. Et vous retenez pas pour moi.

Cette fois-ci je libère totalement la chevelure d'Alice pour venir coller mon dos contre le dossier du fauteuil pour ensuite poser mes bras sur les accoudoirs tel un pacha. Les jambes parfaitement écartées pour leur laisser assez de place.


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