Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Une rencontre salvatrice [Fend]

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Grizelda Medson

Terranide

Une rencontre salvatrice [Fend]

mardi 26 avril 2022, 21:44:29

Les doigts de la Terranide vinrent doucement tirer sur le tissu de sa capuche, dissimulant ainsi le haut de sa tête. Son regard fuyant, évitant de prôner l'attention d'un revendeur d'esclaves. Ce dernier criant sur la place publique pour vendre sa marchandise, interpelle ainsi les passants. Il fallait être réellement stupide pour se pavaner en ces lieux, où des êtres tels qu'elle, sont perçus comme de simples esclaves. Être stupide, ou assez prétentieux pour croire que rien ne pourrait lui arriver. Grizelda c'était toujours promis de ne pas vivre avec des interdits, même si cela peut parfois être risqué pour son propre compte. Qui plus est, elle n'était pas ici par simple provocation, ou caprice de sa part. Madame Weldinson, sa responsable, avait une course à faire dans les parages. Son grand âge, l'empêche toutefois de se mouvoir avec aisance. Loyale envers elle, Grizelda décida d'y aller à sa place, lui promettant de faire bien attention. La voici avec sa petite bourse, en route vers le lieu de rendez-vous pour échanger cet argent avec l'objet convoité pour la boutique d'antiquité. Grizelda se veut discrète, mais elle ne peut empêcher des œillades curieuses vers les magasins. De magnifiques étoles dans l'un d'eux, fit scintiller son regard. Elle pourrait dissimuler ses oreilles parmi sa chevelure, et les couvrir de ces beaux tissus. Plutôt que cette cape qui venait à étouffer la moitié de son visage. Bien que cette fois, elle en avait choisi une assez courte, couvrant simplement jusqu'en bas de ses fesses. Ses appendices animaliers tels que ses oreilles, et sa petite queue en fourrure sont invisibles.   

Assez rêvasser, elle devait se diriger sans tarder vers sa destination. Son regard se lève vers une horloge, mince ! Elle pensait qu'il était plus tard que cela. Finalement, elle s'était tellement hâtée, qu'elle se trouvait avec une bonne heure d'avance. Pourquoi ne pas en profiter pour prendre du bon temps ? Voici d'ailleurs, une petite troupe d'artistes qui vient égailler les places avec ses artistes. Des musiciens et chanteurs, proclamant leur art pour quelques pièces en échange des sourires. Intriguée, Grizelda s'approcha à son tour dans la foule, et mira leur exploit. Un léger sourire sur son visage, un apaisement soudain. Pourrait-elle, elle aussi, parvenir à s'afficher devant les autres de la sorte ? Chanter n'était pas question, encore moins pour jouer de la musique. Mais elle se débrouillait plutôt bien en danse, et se retient de ne pas laisser son corps s'exprimer.

Un effleurement vint cependant la tirer de sa rêverie. Le mouvement de la foule fit qu'elle était de temps à autre ballottée dans un sens et dans l'autre. Elle prenait bien attention à ce que sa cape ne bouge pas. Mais cette fois, c'était différent... Le temps qu'elle se rende compte de la chose, elle vit une main sortir hâtivement de sa pochette, et emporter avec elle sa bourse. Non ! Cet argent lui avait été confié par Madame Weldinson, et la pauvre femme n'était pas des plus riches. Ni une ni deux, la lapine courageuse se lança à la poursuite du malfrat. Il était rapide le bougre, et se faufila entre les ruelles de la place, s'éloignant ainsi de la foule. Dommage, pour lui, Griz était elle aussi bien rapide, impossible de lutter contre une lapine en endurance.   

Attendez ! Arrêtez-vous !

Des cris vains. De toute évidence, il n'allait certainement pas s'arrêter pour lui rendre si simplement son butin.

Les deux individus continuèrent cette poursuite de longues minutes. Grizelda avait à cœur de ne pas contrarier sa responsable, et ne voulait la décevoir. Elle allait le rattraper, reprendre sa bourse et de ce pas retourner sur la place ! D'ailleurs, elle vit son but presque atteint, voyant qu'un cul-de-sac allait empêcher le voyou d'aller plus loin. S'arrêtant à seulement quelques mètres de lui, elle reprit son souffle, et le toisa d'un regard mauvais. Bien qu'elle se montrait assurée, elle paniquait quelque peu au fond d'elle.

Ça suffit ! Rendez-moi ma bourse, et je vous promets que cette affaire s'arrêtera là. Mais si vous refusez, je vais devoir prévenir les autorités.

Mensonge évidemment. Mais cela pourrait-il lui faire peur un minimum ? A sa stupeur, elle ne reçut qu'un simple rire pour réponse.

T'es sérieuse là ? Tu crois vraiment que je vais te rendre ça ? Et tu comptes faire quoi exactement, hein ? Je t'écoute ma jolie.

Bah alors Franck, tu nous ramènes de la compagnie ?

Des voix résonnant derrière elle, la firent se retourner d'un geste bien trop abrupt. Sa capuche quittant ainsi sa place, et dévoilant ses longues oreilles pelucheuses. Mais, ce n'était pas réellement le cadet de ses soucis actuels. Devant elle, se tenaient trois autres hommes. Son coeur se mit à battre rapidement, tandis que son regard chercha vainement une échappatoire. En y réfléchissant, ce n'était pas très malin de sa part que de c'être ainsi mise à la poursuite de cet inconnu, jusqu'à cet endroit où elle se retrouve seule.   
 
Regarde ce petit pactole, une bourse bien remplie. On va pouvoir se payer des verres ce soir les gars !

Imbécile ! Laisse tomber ta stupide bourse, tu ne vois pas que cette petite va nous rapporter bien plus ?!


Son sang se glaça subitement. L'une de ses mains se posant sur le dessus de sa tête, remarquant ainsi le piège dans lequel elle se trouvait fourvoyée. Grizelda dissimule sa peur derrière un léger froncement de sourcil, essayant d'intimider les malfrats. Évidement, cela ne fonctionne guère, puisque l'un d'eux s'approcha d'elle sans aucune hésitation. Saisissant alors, le bas de son visage dans un geste brusque qui la fit grincer des dents. Ses mains agrippèrent le bras de l'homme pour tenter de le repousser, mais il était bien trop fort pour elle.

Pas très prudent de venir seule ici de ma belle, on va rapidement te revendre à bon prix, j'en suis certains. Tu es un bon petit lot... Je suis sûr que nous pourrions nous amuser un peu, sans risquer d'abîmer la marchandise évidemment.

A ces mots, l'homme passa l'un de ses doigts sur les lèvres de la lapine, qui dans un élan salvateur, le lui mordit sans retenu, lui arrachant ainsi un cris de douleur. Agacé par roublarde, il vint à la projeter en arrière. Son dos se heurta contre le mur, son coeur manqua de nouveau un détour. Il fallait qu'elle se sorte de là, ou les minutes qui vont suivre vont lui être détestables.

   
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Alphen

Créature

Re : Une rencontre salvatrice [Fend]

Réponse 1 mercredi 27 avril 2022, 16:02:28

J'aime beaucoup le Nexus, sa vie est bien différente de la Terre, bon, autant que sa culture et sa technologie, mais il y a une grande diversité, non présente sur Terre. Bref, c'est bien de changer d'endroit de temps en temps et de vivre de nouvelle aventure !

Aujourd'hui j'étais allez à ce grand marché, le nombre d'article, l'ambiance général est toujours très agréable, bien qu'assez bruyant. Usant de mon pouvoir, je minimisais les sources de bruit pour mon audition afin que cela soit plus supportable. Avantage, on est tranquille, inconvénient, j'ai tendance à beaucoup ignorer les gens et les rendre un peu énerver par moment d'être ignorer. Bref, je m'en fiche et m'en préoccupe peu. Mais cela m'amène aussi à être bousculer. Bien que l'autre est plus de risque d'être envoyer bouler.

Connaissant les voleurs, je n'avais pas de bourse, j'utilisais mon stockage pour sortir de la monnaie ou moi-même voler en toute discrétion sans rien porter sur moi. Un méchant ? Non, un simple voleur de broutille. Mais ne vous inquiétez pas, je ne le fait que très rarement ! J'aime beaucoup plus voir les choses, que les achetés !

J'étais là... Tranquille, quand quelqu'un déambula et me poussa un peu. Suivis par une autre, cela m'agaçait et ayant rapidement compris qu'il y avait un vol, je fis mon curieux et verrais si j'interviens et me venge... pour le fun.
Sautant de toit en toit, je les retrouve vite et observe la situation, qui pars vite en sucette. La volée est une terranide, ma foie, plutôt séduisante, avec des voleurs qui se disent avoir toucher le gros lot.

Mangeant un paquet de fraise, le vent soufflait délicatement mon écharpe. Le combat allait être unilatéral... Dommage. Bon, je dis sa, mais je n'ai presque jamais rencontré de personne capable de me donner satisfaction.
Acculer contre un mur, la femelle allait y passer... Quand soudain, son regard tomba sur moi, par hasard ? Elle avait senti mon regard ? Chercher une sortie ? L'odeur sucré des fraises dans une douce bise ?

Peut importe, elle me fixa, très certainement se demandant si j'étais un allié ou un ennemi. Et comme je ne comptais pas intervenir, je me contenta d'un sourire innocent et d'un geste de la main.
Sauf que l'un remarqua son regard et dirigea le sien vers l'endroit cible et me vie aussi.

- Et toi, dégage de là !
- C'est ta copine ?! Tu viens la sauver ?

Il est vrai qu'avec mes cheveux blanc, on aurait pu croire que je n'étais pas humain (esper donc...). Me prenant pour son camarade, ils dégainèrent leurs sabres.

- Oh je ne fais que regarder, continuer sans moi. Haussais-je les épaules.

- T'as peur hein ?!


- Oh oui, je tremble de peur. Mangeais-je tranquillement une autre fraise. L'ignorant royalement.

Sa réponse fut plutôt amusante, il me lança un couteau de jet et celui-ci eu une trajectoire étrange. Pour ceux aux bons yeux, ils virent l'arme me toucher et rebondir, voltigeant en l'air avant de retomber à ses pieds.

- Je crois que tu vas devoir t'entraîner encore un peu pour toucher une cible fixe. Me moquais-je alors de lui, me sachant très bien à l'abri de ses piètres tentatives. Mais comme votre divertissement commence à m'ennuyer... Je vais pimenter les choses.

Je sautais alors du toit et retomba avec légerté au sol, soulevant un fin nuage de sable.

- Toi tu vas voir, on va t'égorger. Celui qui semblait être le leader siffla, très certainement pour se donner un peu de renfort si d'autre de son groupe était dans le coin.

- Oh oui, vas-y ! Plus vous êtes de fou, moins je m'ennuie. Lui souriais-je mesquin.

Si la lapine n'était plus trop surveiller, elle restait malheureusement pour elle dans un coin et n'avait pas de porte de sortie.

Dessous la tenue de Fend
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Grizelda Medson

Terranide

Re : Une rencontre salvatrice [Fend]

Réponse 2 mercredi 27 avril 2022, 16:39:36

Bien que sa position lui était inférieure face à celle des malfrats qui l'entourent, Grizelda ne semblait vouloir montrer signe de panique ou de soumission. Cela n'était pourtant que physique... Car intérieurement, elle se mordit la chaire de sa joue. Comment allait-elle se sortir de cette situation ? Nulle envie de terminer en esclave, encore moins d'un vulgaire objet pour étancher ces messieurs. Son regard chercha en vain un échappatoire... Quelque chose... Quelqu'un... Lui ?! Cet homme, qui les surplombait sur le toit, était-il de leur coté ? Ses lèvres voulurent se mouvoir pour lui demander de l'aide, mais rapidement, elle se stoppa. S'il voulait réellement la sortir de ce pétrin, il ne serait pas là à manger comme s'il regardait un vulgaire spectacle. Un voyeur. Rien d'autre qu'un voyeur. Un souffle sortit des narines de la lapine, non seulement elle était proie à ces voyous, mais en plus son malheur allait servir d'attraction. Toutefois, sa présence ne semblait plaire aux hommes qui le remarquèrent à leur tour. Rapidement, des suppositions futiles se mirent à jaillir de leurs lèvres. Le goujat tenta pourtant de les dissuader de toute idée d'intervenir, rien ne semblait calmer les ardeurs de ces messieurs. Grizelda voulut profiter de cet instant pour s'enfuir, même s'il ne voulait l'aider, elle pourrait au moins profiter de cette bévue pour s'échapper. Les chances firent assez mince, car malgré tout, les loubards restèrent devant le seul passage vers la libération. Ainsi, son corps resta consigné contre ce mur de pierres froides.

L'animation battait son plein, lorsque l'homme à la chevelure blanche se décida à descendre de son toit. Ses vêtements laissèrent imaginer qu'il venait d'un pays chaud, mais cette idée n’effleura pour le moment l'esprit de la lapine. Il aurait pu être sans aucun affublement, que cela ne lui aurait fait ni chaud ni froid. Partir de là. Elle voulait simplement, partir de là ! Sans savoir s'il était un ennemi pour elle, Grizelda s'approcha de lui dans un élan propulsé par son talon qui la projeta en sa direction. S'il n'était pas son ami, il ne l'était non plus à ces voyous. Loin d'imaginer que les ennemis de ses ennemis sont ses amis, mais au moins, elle avait une autre personne contre eux. Dos à lui, presque dans un effleurement, elle mira les quatre hommes qui se mirent à les encercler.   

- J'espère que dans votre prétention, vous savez ce que vous faites.

Au vu de la manière dont il interagit avec eux, Grizelda se complaît à croire qu'il sait ce qu'il fait. Il serait dommage qu'il périsse en quelques secondes seulement... Non pas que son sort intéresse la demoiselle, mais un combat pourrait donner une distraction, et ainsi libérer le passage qui l'empêche de prendre ses jambes à son cou. Bien que ce soit égoïste, elle n'hésiterait pas à le laisser se démener seul avec eux. Après tout, lui de même n'avait l'idée de l'aider dans un premier temps.

- C'est notre jour de chance les gars, on va pouvoir s'amuser aujourd'hui !
- Ouais, on va rabattre le clapet de ce prétentieux, et le faire saigner tout en douceur. Après, nous nous occuperons de grandes oreilles.

Ne pouvaient-ils pas l'oublier ? Inconsciemment, la Terranide recula de quelques pas en réponse à ceux s'approchant d'elle par l'un des hommes. Cette fois, son dos touche celui du nouvel individu. Elle ne voyait ce que faisaient les voyous face à l'homme, mais celui qui faisait face à elle, et donc dans le dos de ce dernier, ce mit à l'assaut. Certainement, le faisait-il tous ensemble. Dans un empressement, Grizelda saisissa une poignée de terre au sol et la balança dans les yeux du malfrat, puis se baissa rapidement pour éviter un coup malheureux. Se sauvant ainsi de la fine lame d'un couteau qu'il tenait dans sa main, mais n'étant plus derrière lui, cette dernière fila vers le dos de l'homme à la chevelure blanche.   
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Alphen

Créature

Re : Une rencontre salvatrice [Fend]

Réponse 3 mardi 03 mai 2022, 21:13:05

Au final j'allais peut-être un peu m'amuser. Le groupe "rival" croyant avoir toute leur chance, j'en rigolais intérieurement, ayant hâte de voir leur tête lorsque ceux-ci seront méchant battu. Je m'approchais nonchalant et la lapine en profita pour se mettre dans mon dos, j'aurais presque pu sentir son pompon et son parfum.

Elle aussi doutait de moi, j'en souris un brin amuser et m'étira d'une main, tenant toujours mon paquet de fraise.

- Oh, ne t'inquiète pas. Sauf si tu espère les voir s'en sortir indemne. J'ai du mal à me retenir. Haussais-je les épaules.

Voilà qui irrite les autres, qui font comme si tout cela n'était rien. Qui était trop confiant là-dedans ? D'après eux, ce serait moi, mais dans mon sens, c'est eux qui n'ont pour l'instant pas une chance de gagner. J'aurais pu dormir pendant qu'ils m'attaquent que cela n'aurait rien changer. Tel est ma puissance... Pas infini non plus, mais incomparable aux simples humains.

- Oh mais je n'attends qu'a ce que vous prouviez être capable de me satisfaire. Ricanais-je, leur donnant un frisson... d'énervement ? De dégoût ?

Elle recula, inquiète, me touchant, tandis que j'attendais qu'ils s'approchent un peu. Les deux malfrats fassent à moi m'attaquèrent simultanément... Au moins une bonne idée, plutôt que d'attendre comme dans un RPG, que ce soit son tour ahah !
Néanmoins, j'attrapais à main nue un glaive, qui se figea, comme s'il fut prit dans un étau, faisant rire pour une seconde le bandit avant de le choquer de voir que mes doigts ne tombaient pas et que pire, il n'arrivait pas à récupérer son arme.

Je me fichais de celui derrière moi, toujours sans crainte. Leur armes rebondissant sur moi, comme s'ils frappaient un mur, passer le choque, les voici à me taper de toute leur force sans aucune technique.

- Ennuyeux...

- Tu vas crever oui ?!!!

Soupirant à dévier les lames, je fini par attraper le poignet d'un des bandits et lui briser net, ce qui lui arracha un désagréable crie de douleur. Avant d'utiliser le pommeau de son arme pour assommer le second. Le troisième avait complètement relâcher son attention de la lapine pour venir m'égorger, m'attaquant par derrière, sa lame sur mon cou.

- Meurt bâtard !

Mais rien n'y fit... Son arme n'entailla même pas ma peau.

- T'es en roc ou quoi ?!

Ce combat tournait au ridicule... Je tordis sa lame jusqu'à la rupture de celle-ci et lui planta le bout dans sa cuisse. J'aurais pu facilement les tuer, mais c'était vraiment devenu ennuyeux et... Mes fraises étaient étaler au sol.

- Zut...

Alors qu'il grognait de douleur, un genou à terre, j'agrippais sa chevelure pour le forcer à me fixer dans les yeux.

- Rembourse les moi ou...

Celui au poignet briser tenta malgré tout une tentative pour se venger et me frappa de son poing encore intact. La seule réaction, fut d'être soudainement propulser en arrière sans aucune raison visible.

- Ou je t'enfonce la tête dans le sable.

Il commença à paniquer et me tendit le porte monnaie voler. Je soupirais et lui fila une claque, qui l'envoya le visage au sol.

- Pfff... Rien d'amusant. Jetant un regard rapide sur la lapine qui c'était éloigner et prête à la fuite si cela tournait mal. Je lui lançais son porte-monnaie et me retourna, prêt à partir. Ce fut bien trop décevant... maintenant je fais quoi ?


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