Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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L'horreur ne va pas sans l'imagination. - Rachele Florenza

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Li Hua

E.S.P.er

La concurrence était pénible dans la ville, chacun voulait faire sa place, conquérir des parts pour faire sombrer les autres. Il y a peu, Li avait lancé une importante opération pour supprimer des concurrents ! Des hommes armés étaient descendus dans des bordels, des clubs, des caves partout où la famille Hua savait qu’il y avait des trafics. Les hommes en noir de Li, avaient tué des patrons, des gérants et autres personnels une vraie hécatombe, les prostitués qui étaient là avaient été prises pour les affaires de la mafieuse qui voulait encourager son autorité dans le milieu. Un coup d’éclat, la police ce soir-là ne savait plus où donner de la tête, une force de frappe partout en même temps. À chaque visite, les hommes de main de Li laissaient une carte avec une fleur de pavot imprimée sur le recto pour mentionner que c’était son clan qui avait fait ça. Ne pas avoir peur et s’imposer dans le milieu.

À présent il fallait établir les défenses, Li savait qu’il allait y avoir des répercussions que des adversaires allaient vouloir se exercer des représailles, c’est pour ça qu’elle avait fait déplacer sa production d’opium dans d'autres safe zones un peu partout dans la ville. Les prostituées qu’elle gérait travaillaient encore, les humains étaient aisément remplaçables a contrario des armes ainsi que les œuvres d’art qui avaient été stockés dans des entrepôts extrêmement sécurisés.

- Madame Hua, votre voiture est prête.

C’était autour de Li de changer de quartier pour préserver sa protection et planifier les autres attaques, la cheffe ne voulait laisser souffler personne. Dans sa robe ajustée à la perfection comme à son habitude, elle prit sa mallette contenant son ordinateur pour se diriger dans le garage où son conducteur l’attendait. La mafieuse monta à l’arrière, relevant sa robe cramoisie pour chercher plus de confort, elle glissa sa ceinture de sécurité entre sa poitrine abondante et fit signe dans le rétro de démarrer.

À l'autre bout de la ville, vers la côte se situait la zone sous-marine avec des laboratoires, Li avait fait l’acquisition d’un emplacement pour y monter une zone sécurisée, c’est à cet endroit qu’elle se dirigeait en même temps que l'astre solaire se couchait sur la ville. Dans la voiture de sceau allemande, la cheffe passait des coups de téléphone à ses hommes pour organiser son arrivée. Sauf que Li n’allait jamais arriver à destination…

- Attention !

Sur le côté gauche, une voiture arrivait en plein phare pour heurter le véhicule de Li, tout était arrivé si vite… Le choc était brutal, la mafieuse se crispa sur son siège pendant que tout volait dans la voiture qui se stoppa contre une palissade au bord de la route.

- Oishi vous allez bien ? Oishi ?

Le voiturier ne répondait pas, s’étant pris le traumatisme de son côté Li avait eu de la chance d'être à l'opposé. La fenêtre avait explosé laissant l’occasion à la mafieuse de s’échapper de ce côté ne pouvant ouvrir sa portière, sans observer qui venait Li laissa tomber ses talons pour s’enfuir dans les ruelles à flanc. Quel clan pouvait être à l’origine d'un assaut aussi violente ? Est-ce que d’autres allaient en tirer profit voyant la cheffe de la famille Hua en panique s’échapper ? Elle n’était pas dans une situation favorable à ce moment.

Rachele Florenza

Humain(e)

Re : L'horreur ne va pas sans l'imagination. - Rachele Florenza

Réponse 1 lundi 11 avril 2022, 15:08:12

Depuis la vitre teinté de sa limousine couleur crème, la Baronne regarde le spectacle avec un sourire dédaigneux aux lèvres. Malgré la vélocité et le courage dont elle avait fait preuve pour attaquer le business de Rachele, la nouvelle Yakuza de la ville se comportait comme n'importe quelle proie une fois acculée et désemparée.

Si Li avait pris quelques instants pour regarder le 4X4 qui l'a percuté de peins fouet, elle aurait sans doute remarqué que le véhicule n'était pas arrivé en roulant... non... les traces de mains profondément enfoncées dans la tôle du coffre ne laissaient aucun doute, le véhicule avait été "lancé" sur le sien... ce qui ne présageait rien de bon sur ses chances de survie.

Mais la jeune femme ne perd pas de temps en tergiversation ou enquête, elle retire ses talons hauts pour courir plus vite mais dans la mauvaise direction. Ou plutôt dans la bonne, à condition que l'on aborde le point de vue de Rachele.

Pour organiser son "invitation", la mafieuse avait fait vider et condamner discrètement tout le quartier à coups de pots de vin à la police et aux syndicats de copropriétés. Li Hua était seule, personne ne viendrait à son secours, elle ne faisait que s'enfoncer plus profondément dans la nasse que Max avait conçu pour elle.

La limousine arrive juste à coté de la voiture de Li Hua, Rachele remarque que le voiturer respire encore. De nouvelles idées germent dans sa tête à cette révélation. Elle ouvre sa fenêtre et passe ses doigts dans la chevelure éparse de la silhouette féminine qui s'est agenouillée devant sa portière.

Rachele – Esclave ? Soit gentille, charge notre ami dans le coffre...

La mystérieuse jeune femme remercie Rachele en lui léchant les doigts et se relève pour s'acquitter de sa tache. D'une main, elle arrache la portière cabossée par le 4X4 et de l'autre saisit le voiturier pour le charger dans la limousine, comme s'il n'était qu'une valise.

Rachele – Bien... je suis satisfaite... maintenant, va chercher ta futur sœur. Je veux qu'elle profite des même égards que toi quand je t'ai capturée...

L'esclave zéro frissonne tans de plaisir que d'horreur en entendant ces mots, son esprit brisé et lessivé ne lui permettant plus de distinguer les deux. Elle n'a que des souvenirs nébuleux et flou de quelqu'un qu'elle avait été, mais qu'elle n'est plus, Rachele l'avait détruite avant de recoller tous les morceaux à sa convenance. Elle est l' esclave zéro désormais et elle ne vis que pour éprouver la jouissance de satisfaire sa Maitresse et ce serait un jour le cas de sa nouvelle proie...

Elle frotte sa tête contre la paume de Rachele comme une chienne en chaleur et s'élance à la poursuite de la Yakuza.

Après seulement quelques mètres de fuite, Li peut déjà entendre le bruit des véhicules qui se sont mis à sa poursuite. Ils semblent venir de partout, de chaque ruelle. Elle entend aussi des bruits de pas qui courent dans sa direction et curieusement, il ne semblent appartenir qu'à une seule personne, qui se rapproche très vite.

Le dédale de rue condamnées ou occupées par ses poursuivants se referment sur elle minute après minutes jusqu'à ce qu'elle atteigne une large impasse, cernée de haut immeubles dont toutes les fenêtres sont calfeutrées. Acculée, dos au mur, Li Hua n'a pas a attendre longtemps avant que ses adversaires ne révèlent enfin leur visage.

D'abord, trois 4X4 noirs l'encerclent, des hommes en costume noir à bouton de rose rouge en sortent. Li reconnait la livrée de la Cosa Florenza, la Cosa Nostra de la baronne du crime italienne, celle qui a massacré deux clans Yakuza durant les trois dernières années. Une femme dont le surnom "Max" est synonyme de terreur pour ses ennemis comme pour ses alliés.

Une étrange jeune femme portant une combinaison de vinil intégrale uniquement ouverte sur l'entrejambe et les seins se détache du groupe et s'avance vers Li. De ses bras pendant des courroies qui permettent de les lui sangler comme une camisole de force. De plus près, la Yakuza remarque que celle-ci porte un cercle entre les mâchoires qui l'empêche de parler ou de fermer la bouche. Une coupe de cheveux "half hawk" dont les parties rasés du crâne laissent apparaitre des cicatrices et des traces d'électrochoc. Enfin ses yeux, aux pupilles totalement dilatés lui donnent une expression de folie pure et de fanatisme.

Une longue limousine franchit enfin le rempart que forment les 4X4 et vient se positionner devant l'esclave zéro. Celle-ci ouvre alors la porte et révèle sa maitresse, impériale dans sa grande robe fendue aux cuisses.

Rachele – Bonsoir ma très chère amie... Quel plaisir de faire enfin votre connaissance après tout ce que vous avez fait pour attirer mon attention...

Li Hua

E.S.P.er

Re : L'horreur ne va pas sans l'imagination. - Rachele Florenza

Réponse 2 mercredi 20 avril 2022, 22:50:52

Les ronronnements des moteurs de ses adversaires réagissaient derrière elle, pendant que la mafieuse prenait la fuite dans le quartier, des phares venaient l’aveugler pour qu'elle ne change pas de route, ainsi que des individus armés. La trajectoire de sa fuite était toute tracée pour qu’elle se jette dans la gueule du loup, Li le comprit rapidement, elle essayait quand même de changer de route, tentant de forcer les portes de certains bâtiments bien entendu fermés. Rien ne voulait capituler devant la persévérance de la patronne qui se devait de s'orienter dans une impasse sombre. Les murs des immeubles montaient jusqu’au ciel l’étouffant, toutes les fenêtres étaient bouchées pour que rien ne puisse paraître. Li arriva à ce mur, le dernier, ne pouvant pas le franchir elle se retourna les pieds en sang suite à sa course insensée.

Des 4x4 venaient d’arriver pour lui verrouiller la route si elle voulait se remettre à filer dans la direction opposée, Li savait que c’était perdu d’avance… C’était la conclusion, elle devait bien se l’avouer. Sa poitrine se soulevait sous sa robe, tendant les coutures du linge, elle était bien athlétique mais la fatigue mélangée à l’adrénaline rendait les choses plus ardues. Des hommes en costumes venaient de faire leur avènement, Li venait de ferrer le plus gros poisson de la ville.

- Max.

La mafieuse pensait que les plus grosses têtes allaient mettre plus de temps à réagir, organiser les troupes, choisir les attaques, cela demandait une incontestable élaboration. Est-ce que cette attaque était un coup à pas de chance, que Max avait juste demandée d’attaquer toutes les voitures de la mafieuse et que par malheur c’était Li qui se trouvait à l’intérieur. Ou carrément un brillant coup de génie. Une autre personne fit son apparition entre la lumière des phares des grosses cylindrées, une femme dans une combinaison très spécifique. La baronne avait des goûts spéciaux pour décorer ses subordonnées, tout le contraire de son dressage qui avait l’air de fonctionner à la perfection en voyant cette pauvre fille. Chacun avec sa technique propre, Max semblait être accro aux décharges électriques, Li préférait employer des drogues dans ses cellules et voir la décadence des hommes.

Et pour achever le tableau, c’était autour de la baronne de faire son avènement, assise dans sa limousine, ne prenant pas la peine d’en sortir.

- Bonsoir à vous, je ne pensais pas avoir une riposte si promptement. Surtout de votre clan, ma chère.

Li restait droite, ne tremblait pas, passant ses mains dans son dos pour appuyer dessus pour garder la tête haute malgré la transpiration qui avait fait son apparition à la racine de ses cheveux ébouriffés à cause de sa course fulgurante. Pourtant, les apparences cachent bien des choses, derrière cette carapace de marbre, la mafieuse savait très bien qu’elle n’était pas dans une position de force, que la peur la dévorait petit à petit. La seule chance qu’elle avait était ses hommes qui pouvaient venir la chercher, sauf qu’il fallait gagner du temps. Elle devait rejoindre la zone sécurisée, ses hommes étaient au courant puisqu’elle devait y arriver avec son chauffeur… Ils allaient se mettre à sa recherche, tracer son téléphone portable, son ordinateur, la puce dans sa voiture tout objet connecté qu’elle avait à sa disposition. Ils allaient constater son accident et intensifier les recherches sans délai. Li le savait, ils allaient arriver pour la libérer, de son côté elle ne devait pas s'effondrer, montrer que la cheffe de la dynastie Hua savait maintenir la tête froide même dans les situations complexes.

Max pourrait la descendre sur le champ d’une balle dans la tête pour ce qu’elle venait de faire, pourtant la mafieuse savait que ça n’allait pas arriver ! La baronne n’allait pas rayer cet affront si vite, la course-poursuite n’était qu’un avant-goût qui allait conduire Li dans les griffes acérées de Max.

Rachele Florenza

Humain(e)

Re : L'horreur ne va pas sans l'imagination. - Rachele Florenza

Réponse 3 jeudi 28 avril 2022, 17:29:43

Rachele sort de la limousine et s'approche avec sa servante. Les hommes de mains se montrent surprenament respectueux avec Li Hua et l'invitent poliment à lever les bras pendant qu'ils passent un capteur sur ses vêtements. Ils repèrent les mouchard, radio, portables et demandent à la belle Yakuza de les leur remettre. Ce qu'elle fait sans résister. La baronne de Seikuzu croise alors les bras et lui dit d'un ton réprobateur:

Rachele - Li Hua... Li Hua... Li Hua... que t'ais je donc bien fait pour me traiter avec si peu de respect... venir comme ça... dans MA maison, sur mon territoire, tuer mes maques et mes dealeurs, empêcher mes filles de bosser... vraiment... vraiment... tu me fend le cœur Li Hua... Quand je pense que nous aurions pu devenir de si bonnes copines... nous partageons tans de passions communes...

L'esclave en tenue obscène s'approche à son tour et palpe Li Hua pour voir si elle ne cache rien d'autre, elle prend tout ce qui s'apparente à de la drogue ou des armes sous toutes les formes. La Yakuza sait qu'elle doit la jouer finement à ce moment.

Li Hua - Je ne visais personne en particulier, j'ai reçu des menaces il y a peu d'un groupe en me renseignant j'ai appris qu'il se dissimulait dans le ville, j'ai frappé fort.

Du mensonge, du venin sortant de sa bouche. Mais celui-ci semble sans effet sur l'italienne. Rachele porte un doigt à son œil droit pour mimer le fait de retenir une larme, mes ses yeux sont sec, aussi sec que ceux de Li Hua, tout cela n'est que jeu de manche, mise en scène.

Rachele - Des menaces ? De moi ? hoooo... quel vilain mensonge... pas de ça entre nous ma chère Li Hua, nous allons passer tellement de temps ensemble désormais, nous ne pouvons pas commencer à nous mentir...

Li Hua - Ou peut-être d'une personne qui ose se faire passer pour vous, ma chère amie... Dans notre milieu nous savons que les traitres sont nombreux à frapper à notre porte. Si j'avais su... Vous pensez bien que je n'aurais jamais oser vous attaquer.


Un sourire narquois ce dessine sur le visage de Li Hua qui ne renonce pas à son mensonge, c'était le seul moyen de pouvoir sauver sa vie à ce moment.  Rachele le lui rend et semble se laisser convaincre. Ce qui en terme de gestuelle mafieuse, signifie généralement que votre interlocuteur va vous loger une balle dans la tête...

Rachele - Mais bien sur, tu as raison ma chérie. Tout ceci n'est qu'un vaste mal entendu, quelqu'un à sans doute voulu nous monter l'une contre l'autre... Oublions tout cela et partons sur de nouvelles bases. J'ai vraiment très envie de faire de toi une de mes nouvelles amies et pour ça je nous ai préparée une soirée entre filles !

Rachele prononce cette dernière phrase avec un ton étrange, un mélange d'adolescente excité d'aller en soirée et la morgue d'une tueuse de sang froid. Mais c'est le comportement de sa servante en vinyle noir  qui en dit le plus long sur les véritables intentions de Dona Florenza. Celle-ci termine sa fouille et pousse Li Hua vers la Limousine sans politesse ni ménagement.  Li manque de perdre l'équilibre, ses pieds nus la font souffrir.

Li Hua - Comment je pourrais refuser une proposition de votre part ma chère, devenons amies pour notre bien. Je suis ravie de me joindre à votre soirée filles.

La mafieuse n'est pas dupe, elle allait se faire manger à cette soirée.  Elle savait qu'elle n'allait pas passer un bon moment à côté de cette vipère.  Rachele la précède et s'installe confortablement dans la limousine. Quand Li Hua arrive devant la porte à son tour, l'Esclave Zéro lui saisit les poignets et les lui passe dans le dos pour les attacher entre eux avec des serflex (collier en plastique).

Rachele - Excuse mon esclave ma chérie, elle fait ce qui faut pour qu'on passe une bonne soirée.

Li Hua sent soudain la lame d'un couteau parfaitement bien aiguisé frôler sa peau, des fesses jusqu'à la nuque pendant que l'esclave Zéro coupe sa robe et ses dessous. Jusqu'à ce qu'elle soit nue, révélant ses formes sculpturales et élancées.

Rachele - Et ça c'est pour que tu soit plus à l'aise et... ho oui parfait.. tu es aussi belle que ce que je m'étais imaginer, on va vraiment beaucoup s'amuser... Il manque juste un petit quelque chose... humm... voyons voyons... Esclave...

L'esclave Zero passe un fin collier en vinyle noir autour du coup de Li Hua, celui-ci est assorti d'un anneau en acier devant. Puis elle s'accroupie entre ses jambes et lui passe des sandales, également en vinyle, à talons si hauts que Li Hua se retrouve a devoir marcher sur la pointe des pieds.

Rachele - Voila, là c'est parfait. Tu es superbe.

Li Hua - Une étrange façon d'accueillir une invité...


Li arrête de parler le temps que l'esclave de la Baronne lui passe un collier autour du cou, ainsi que des talons aux pieds, si haut qu'elle aurait bien des difficultés à se déplacer avec.

Li Hua - Ce collier est un généreux cadeau. Je vous remercie.

Ironie, Li ressemblait à un vulgaire animal domestique avec un collier autour du coup. Une chienne des bas fond ! Son sourire sur son doux minois se crispait, elle allait lui faire payer un jour ou l'autre cet affront.

Rachele lui sourit d'un air carnassier, en l'espace d'une seconde, Li Hua peut voir son vrai visage, celui d'une perversion et d'une cruauté totale, surprenante chez une femme qui ne semble pas avoir plus de 24 ans.

Rachele - Je savais qu'il te plairais... c'est qu'il correspond mieux à ta vraie nature plutôt que ces.. frusques... que tu portais... ça ne t'allais pas du tout, chacune dans ce monde doit se vêtir en fonction de son rôle et là, tu es parfaitement dans le tien...

L'esclave Zéro pousse Li Hua en avant pour l'obliger à monter dans la limousine. Elle l'installe face à Rachele et lui passe sa ceinture de sécurité, bien qu'elle semble plus avoir un rôle de chaînes. Puis l'esclave s'installe à coté d'elle, fixant de ses yeux fou sa maitresse en l'attente de nouveaux ordres.  La limousine prend la route et quitte les lieux, trop tôt pour que les secours de Li puisse identifier ses kidnappeurs. Li serre les dents pour ne pas sortir une phrase qui pourrait encore plus lui nuire, elle doit se plier aux règles de Rachele, cette garce.

Li Hua - Nous n'avons pas les même goûts, vous préférez le vinyle et moi la délicatesse des choses. J'ai un cœur comparé à vous Rachele. Il est facile de le reconnaître. Et parfois dans notre monde, il est bon de montrer un peu de compassion surtout envers ses ennemies qui peuvent devenir des précieux alliés avec le temps.

Jamais la mafieuse deviendra alliée avec cette femme. Juste de la regarder, elle mourrait d'envie de lui arracher la gorge pour la laisser s'étouffer dans son sang.

Rachele - Ho mais rassure toi, je fais preuve d'une grande clémence et de beaucoup de compassion à ton égard, regarde, tu es encore en vie. Pas de sac poubelle, des talons aiguille en lieu et place d'un bloc de ciment, avoue que ce pourrait être pire. Tout ça parce que je t'aime et que j'ai envie de te faire participer à mon bisness. Regarde l'esclave Zéro, elle aussi, au début, elle n'aimait pas être nue en public, porter des talons haut et les belles tenues que je lui offre. Mais maintenant tu vois, elle est heureuse, elle aime ce qu'elle est. N'es ce pas esclave ?

L'esclave zéro glousse comme une adolescente nymphomane à l'idée de sa prochaine sortie, mais le cercle qui tiens sa bouche grande ouverte lui empêche de répondre avec des mots.  La situation pourrait être pire, mais Li savait qu'elle allait souffrir avant de rendre son dernier souffle si cela devait arriver. Elle avait confiance dans son équipe, il allait la retrouver et les choses allaient changer. Tout ce que la Baronne allait faire subir à la mafieuse allait lui retomber dessus en dix fois... Non mille fois pire.

Li Hua - Votre esclave à l'air si épanouie en votre compagnie... Les séances d électrochocs ont du la ravir.

Li ferait tout son possible pour ne pas se retrouver comme cette esclave zéro, à admirer cette vipère. Rachele prend un air faussement peiné

Rachele - Ho tu sais, ça m'a désolée d'en arriver là avec elle... Mais son métabolisme d' E.s.per était trop puissant, elle assimilait les drogues trop vite, elle résistait au contrôle mental... et aux lavages de cerveau... ça m'a fendu le cœur de devoir lui griller les neurones, ses souvenirs, sa personnalité. Mais au moins elle avait enfin un esprit pure et vide, prêt à être réécrit. Elle y a perdu en intelligence c'est vrai, je ne suis même pas certain qu'elle sache encore lire, écrire ou compter, mais tout ça ne lui servait à rien de toute façon. Vu que son rôle dans la vie c'est de faire plaisir à sa maitresse.

L'esclave Zéro écoute le récit de sa propre destruction mais ne semble pas réaliser que Rachele parle d'elle. Au lieux de cela, elle continue de glousser en regardant Li Hua et sa maitresse. Pressant fébrilement son corps contre celui de la Yakuza comme si elle avait du mal à retenir ses pulsions sexuelles. Li se voyait rassurée à demi mesure, elle aussi avait des capacités spéciales qui pourrait lui sauver la mise dans cette épopée, elle pourrait tenir plus facilement à souffrance que la Baronne allait lui faire subir.

Li Hua - Et qu'elle serait mon rôle dans cette histoire ? Vous avez déjà votre esclave personnel en avoir deux ne doit surement pas vous intéressez. Et il serait dommage de détruire ce cerveau si important qui pourrait vous être utile ?

Rachele prend une coupe de champagne et commence à la déguster goute par goute, savourant sa première victoire avec ostentation.

Rachele - Tu as raison, même si je ne me fixe aucune limite au nombre de mes esclaves personnels ce n'est pas le rôle que je te réserve. Non, je suis quelqu'un de plus pragmatique que frivole malgré les apparences et j'aime que les choses entrent dans l'ordre. Tu as mis une sacrée pagaille dans mon bisness, je voudrait que tu m'aide à rembourser les dégâts et à faire des profits, voit cela comme des intérêts sur une somme d'argent que tu m'aurais emprunté.

Sans prévenir ni crier garde, l'esclave zéro passe un bandeau sur les yeux de Li Hua, celui-ci épouse parfaitement les formes de ses yeux et du creux à la base de son nez. Puis ses mains serpentent lentement vers sa poitrine pour la première et vers son ventre pour la seconde.

Li Hua - Rembourser les dégâts...

Ce n'est pas compliqué pour Li de savoir le sort que lui réserve la Baronne, même si sa perversité pouvait dépasser les limites de l'imaginaire. Elle essaya de se dégager quand l'esclave zéro lui déposa le bandeau pour boucher sa vue et la ceinturer avec ses bras, cette folle. Elle n'avait pas à la toucher.

Li Hua - Rachele, profite bien de ce moment quand viendra ma vengeance je peux te dire... Que tu vas regretter de m'avoir gardé à tes côtés.

Il en était trop pour Li ça devait sortir. Rachele sourit si fort que Li Hua peut entendre le bruit de ses lèvres se retrousser sur sa dentition parfaite.

Rachele - Hooo, voyons... que de vilains mots... ça partait si bien entre nous pourtant... tu ne veux quand même pas me vexer... tu sais qu'il ne faut jamais vexer sa maitresse... les vilaines esclaves sont puni...

Les doigts de la main gauche de l'esclave zéro viennent caresser les seins de Li, elle masse délicatement le bout des tétons avec la pulpe et les ongles pendant que tout son corps glisse le long de celui de la Yakuza. Elle utilise son autre bras pour écarter les cuisses de la prisonnière et faire passer l'une d'elle sur son épaule, ouvrant grand les portes de sa féminité à son visage. Li Hua l'entend toujours glousser et haleter comme la nymphomane décérébrée qu'elle est.

Li Hua - Une maitresse... Laisse moi rire, je ne suis pas aussi faible d'esprit que ton esclave zéro, il m'en faudra plus pour me briser.

Li pousse des gémissements quand elle sent des mains se poser sur son corps, sans pouvoir voir qui faisait ça. Elle se doutait que c'était l'esclave zéro, mais le cerveau diabolique de la baronne pouvait cacher des choses. La langue de l'esclave zero se pose sur l'intimité de Li Hua et commence à la lécher de bas en haut, comme une chienne qui laperait son écuelle. Elle le fait jusqu'à ce que Li Hua commence à mouiller d'elle-même, à cet instant Rachele lui ordonne d'arrêter.

Rachele - C'est bon esclave, elle est prête mais elle n'est pas pour toi ce soir... [A Li Hua] Tu es tellement orgueilleuse... pour qui te prend tu ? Tu sais, ça me désole d'en arriver là... mais je vais devoir te rappeler ta place et ta vraie nature ma chérie, pour ton propre bien... Et à propos de ça...  nous sommes arrivés...

Le bandeau est enlevé des yeux de Li Hua qui découvre que la limousine est maintenant garée dans une sorte de petit parking souterrain aux murs de béton défraichi par la moisissure. Frustré par l'excitation sexuelle et le désir qu'elle ne peut pas assouvir, l'esclave zéro se montre plus brutale dans ses geste. Elle saisit Li Hua par ses bracelets de plastique et la tire hors de la voiture.

Rachele – Doucement esclave, ne l'abime pas, ce n'est pas ton tour ce soir, tu l'auras si tu es sage...

La femme en vinyle noir jappe de satisfaction entre ses lèvres grandes ouvertes pour remercier sa maitresse et pousse à nouveau Li Hua vers l'avant, en direction d'une grande porte en fer crasseuse, comme si elle était rongée non par l'humidité mais par une sorte de matière grasse et huileuse. Un des hommes de main leur ouvre la porte et les sens de Li Hua sont soudain assailli par un concert de hurlement de plaisir et de douleur, de gémissement de désespoir et de jouissance. Par l’odeur de la sueur d'innombrables hommes et femmes, de celle du foutre, de l'urine, du sang et du tabac mêlé à celui de l’alcool entêtant. La Yakuza peut alors comprendre que la matière visqueuse qui corrode la porte d'entrée est en fait composé des vapeurs de transpiration et de crasse humaine.

L'esclave zéro la pousse encore en avant, vers cet endroit sombre d'où s'échappe cette mélopée infernale. Après quelques pas dans la pénombre, Li Hua voit alors tout ce qui s'y passe et le spectacle qu'elles observent est d'une monstruosité sans borne. Rachele ne l'a pas amenée à son Club huppé mais dans un  bordel clandestin répugnant, réservé à la clientèle la plus pauvre: immigrés clandestins, parias et junkys, ouvriers. Derrière des barreaux crasseux résonnent les gémissements et les cris des esclaves sexuelles livrées à leurs clients. Des matelas crevés et jaunis par l’usage, le temps et le sexe sont disposés à même la pierre défraîchie du sol.

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Abrutis par les drogues qu’on leur injecte constamment pour les garder dociles et obéissantes, les bras couvert de bleus dû aux piqûres, aux traces de doigts et aux coups ; totalement épuisées, lessivées par les interminables heures de baise qu’elles subissent en permanence, les jeunes femmes du bordel ne sont plus que l’ombre d’elle-même.  Telle des poupées de chaire, des pantins dont on aurait coupé les fils, elles se laissent manipuler par des mains bestiales qui jouent avec elles comme si elles n’étaient que des objets qu’on peut casser. Elle se font pénétrer par tous les orifices sans qu’elle trouve encore la force de résister ou de hurler leur refus. Elle se contentent de gémir et de crier quand les innombrables queues de leur tortionnaires les pénètrent sans ménagement, profitant du sperme du précédant client pour ne pas perdre de temps en préliminaires et lubrification.

Celles qui ont le malheur d’être suffisamment consciente de ce qu’elles subissent trouvent encore un peu d’eau que leur corps n’a pas utilisé en sueur et en ciprine pour pleurer pendant que leur « propriétaires temporaire », leur « locataire » les sodomisent ou tentent maladroitement une triple pénétration, ou tout autre acte dépravé dicté par leur perversité. D’autres dont le cerveau a totalement été détruit par les drogues et le traumatisme ou que la folie a transformé en nymphomanes hystériques en viennent même à empoigner les bites dressées des clients qui les leurs présentent pour les guider vers leur bouche, leur cul ou leur pauvre vagin béant et déformé.

Rachele – Tu vois ma chérie, c'est dans ce genre d'endroit que les vilaines filles orgueilleuses bossent pour moi. Pour leur apprendre l'humilité et leur place dans le monde.

L'esclave Zéro et Rachele entrainent alors leur prisonnière dans la pièce poisseuse, traversant la mêlée de corps pour se diriger vers un coin de la pièce où ont été disposés des lits sur lesquels sont attachées des jeunes femmes qui semblent encore consciente des horreurs qu'elles subissent. Deux d'entre elles, les orifices encore dégoulinants du foutre de leur derniers client regardent, terrifiées, deux vieillards répugnant se déshabiller pour les violer.

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Rachele – Regarde ma chérie, comme tu as été une vilaine fille, j'ai réservé un lit rien que pour toi... enfin toi et tes clients... Et il va en falloir, à cinq dollars la passe tu vas avoir du boulot pour rembourser tes dégâts

La vengeance de l'italienne est odieuse: elle a décidé de nier totalement la valeur de Li Hua et sa haute naissance. Elle aurait pu vendre sa beauté et ses charmes pour une fortune aux plus riches de la ville, du pays, voir au delà, remboursant ainsi sa "dette" en quelques nuits. Mais non, elle va la prostituer aux pire raclure des bas fond pour que son supplice soit aussi long que répugnant et déshonorant. Comme la jeune femme rousse attachée sur le lit juste à coté d'elle et qui subit déjà les coups de rein de son client en gémissant d'horreur, Li Hua est attachée  en étoile pour ne pouvoir serrer ni les bras, ni les cuisses, la laissant offerte et vulnérable à son premier client.

Rachele – Je te présente Marco, un immigré clandestin qui fait des ménages et des jardins,  c'est un turque bien membré, je suis certaine que tu n'a jamais offerte tes charme à un homme comme lui... je me suis dit que ce serait bien pour commencer...

Dit la baronne en masturbant sans vergogne la queue courte mais exceptionnellement large d'un gros lard à la calvitie prononcée. Celui-ci se content de rire en bavant, trop excité pour parler. Rachele lui lâche la queue et le porc prend cela pour un "top départ". Il se laisse tomber de tout son poids sur le lit, faisant grincer le matelas crasseux et commence à gripper sur le corps de Li en rampant sur elle comme une énorme limasse. La Yakuza sent la sueur et le poids écrasant du butor de 110 kilos la recouvrir. Ses doigts poisseux glisser le long de ses cuisses pour les empoigner et les écarter.

Son gland monstrueux et maladroit chercher la porte de ses lèvres intimes en donnant des coups de reins brutaux jusqu'à ce qu'il finisse par la trouver... la belle asiatique sent alors l'épaisse bite, encore gluante de la mouille d'une autre femme, lui écarter démesurément les lèvres intimes et ses délicates parois vaginales, comme un bélier défonçant une toute petite porte pour s'enfoncer en elle. Et tout en restant affalé sur elle, il commence à bouger les fesses de haut en bas pour la baiser aussi salement que n'importe quelle autre pute du bordel...

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Li Hua

E.S.P.er

Re : L'horreur ne va pas sans l'imagination. - Rachele Florenza

Réponse 4 dimanche 08 mai 2022, 19:09:54

Une longue conversation dans la limousine de la Baronne, où Li avait fini par perdre son calme envers son adversaire, réduit à l’état d’animal avec ce collier, ces liens et ce bandeau la mafieuse ne pouvait pas imaginer à quelle sauce elle allait se faire manger. Son esclave écarte ses cuisses pour pouvoir y glisser son visage de folle dingue pour lui lécher l’entre jambe. Li essayait de la dégager, remuant comme elle pouvait à travers les liens qui la retenaient.

- Ordonne à ta cinglée de s’écarter.

L’ordre arriva bien tard, laissant le temps à son esclave de tremper sa langue dans la cyprine de la mafieuse, laissant des traînées brillantes entre ses lèvres

- Orgueilleuse…

Voilà un propos bien ironique venant de la Baronne. Le bandeau est retiré laissant à Li le retour de la vue, ses yeux en amande papillonnent le temps de retrouver parfaitement son sens. Découvrant qu’elle venait d’arriver dans un parking, l’esclave la sort de la voiture avec force manquant de la faire tomber avec les talons qu’elle porte. Ses pieds ont du mal à se stabiliser comme il faut avec cette hauteur à lui tordre les chevilles sous le moindre faux pas. En marchant, elle essaie de déterminer où elle se trouve, chercher le moindre indice qui pourrait la reconduire ici si elle arrivait à sortir pour détruire cet endroit en cendre. Dans sa tête, Li imaginait cette vengeance qui allait être mémorable. Il ne faut pas chercher la cheffe de la dynastie Hua.

La porte devant s’ouvre laissant place à une odeur familière, la mafieuse à également ce genre d’endroit à disposition sûrement pas pour les mêmes raisons. Li appelle ces endroits, les caves, des hommes et des femmes prisonniers pour tester la drogue qu’elle fabrique avant de la mettre sur le marché. Les détenues sont accros à leurs doses, ils ne peuvent pas s’en passer et une fois sous l’effet de celle-ci s’adonne au diable. L’urine, la sueur, le sexe tout se ressemble, il manque juste cette odeur d’opium qui vient mettre du baume au cœur de Li.

- Je vois que nos idées se rejoignent.

Li comprenait bien qu’ici ce n’était pas une cave comme elle avait conçu, le tout ressemblait plus à un bordel de la basse-ville, gagner de l’argent facilement sur le dos des pauvres qui viennent jeter le peu d’argent qu’ils ont dans des femmes qui ne peuvent pas se rebeller. Le principe de juste venir pour se vider les couilles qu’importe le trou. Le trio passe entre les corps chevauchés, certaines femmes semblent inertes sur le sol ou dans des vieux matelas, avant de passer une nouvelle porte qui mène à la pièce des rebelles. Des filles qui ne veulent pas se laisser faire et qu’on doit attacher pour qu’elle puisse rapporter de l’argent. Et Li allait les rejoindre à son grand malheur.

- Je vais te faire payer pour ça…

La mafieuse serre les dents, alors qu’elle essaie d’appuyer sur ses pieds pour ralentir la marche si seulement elle n’avait pas ses chaussures elle pourrait se défendre. Ici c’est presque impossible, le seul mouvement brusque manque de lui briser les chevilles et l’esclave zéro est là pour la retenir, la mettre au pas.

- On ne me touche pas sans en payer le prix…

Le cœur de la mafieuse s’emballait à un rythme fou, soulevant brusquement sa poitrine l’agitant en plus de ses gestes brusques pour essayer de retarder le moment qui allait arriver. Ses sourcils venaient à se froncer, laissant ses yeux en amande presque se fermer, les quelques babioles qui retenaient sa coiffure venaient de céder laissant ses longs cheveux descendre en cascade jusqu’à ses chevilles. Avant de venir se faire attacher sur ce matelas souillé qui avait dû voir des centaines de filles passer, voir plus. Li redressa sa tête pour dévisager la Baronne.

- Salope.

Un murmure dans sa bouche quand elle voit l’homme s’approcher d’elle, ce certain Marco, lui aussi allait le payer… Et se retrouver sans couilles pour le reste de ses jours. Il se laisse tomber sur Li, lui coupant la respiration sous son poids, elle ouvre grand la bouche pour chercher l’air qui n’arrive plus dans ses poumons pendant un instant, crachant sa salive en même temps.

- Sale porc… Ehnnnn. Ne me touche pas.

Entre des gémissements elle lui crie dessus pour qu’il enlève ses sales pattes, elle tente de lui donner des coups de genoux pour le faire reculer alors qu’il se poste entre ses cuisses la verge tendue pour chercher l’ouverture de la mafieuse.

- Non…

Li essaie de se mouvoir sur le matelas, tordant son bassin de chaque côté pour éviter sa queue humide qui frappe contre l’intérieur de ses cuisses.

- Non… Non !

Elle ne va pas pouvoir tenir longtemps à l’esquiver ainsi, il vient maintenir son bassin pour enfin réussir à l’empaler d’un coup sec. Son intimité serrée s’ouvre pour le laisser à peine passer, Li croit sentir un craquement au niveau de son bassin comme s’il venait de la déchirer. Elle lève la tête vers le haut, creuse son dos sous la douleur, la bouche ouverte pas un son n’arrive à sortir si bien que la douleur est insupportable. Coincés au fond de sa gorge, seulement des gargouillis arrivent à se faire entendre dans la pièce, pendant qu’un excédent de salive vient maculer ses joues rouges.

Li est encore consciente, elle aurait préféré tomber dans les pommes. Li est encore en vie, elle aurait préféré une balle dans la tête. Elle n’arrive même pas à pleurer, son visage déformé par la douleur, est figé dans le temps pendant que l’homme la besogne comme une prostituée. Ses seins rebondissent au rythme des coups du client qui veut aller plus loin dans l’intimité serrée de la mafieuse, l’ouvrant de plus en plus.

Rachele Florenza

Humain(e)

Re : L'horreur ne va pas sans l'imagination. - Rachele Florenza

Réponse 5 vendredi 03 juin 2022, 18:54:43

Marco - Arrête de bouger putain...

Grogne le gros turque en bavant sur le cou et les seins de Li Hua alors qu'il l'immobilise sous son poids pour qu'elle ne puisse plus fuir sa queue répugnante et grasse. Il la pilonne brusquement en gargouillant de plaisir. A chaque fois que Li Hua le sent s'enfoncer en elle, elle l'entend pousser des cris de jouissance abominables, laissant imaginer sans aucun filtre le bien qu'il ressent quand sa grosse bite lui écarte les lèvres intimes et déforme les parois de son petit vagin.

Marco – hooooo... salope... t'es serrée... gueuuuuu... petite pute d'asiat... j'adore... haaaa... les porno asiat... gueuuu...

C'est donc ce qu'elle est en cet instant d'horreur, la matérialisation d'un fantasme inaccessible, la personnification d'une catégorie pornographique odieuse et raciste. L'image d'Epinal de la superbe jeune femme aux yeux bridés, aux traits parfaits,  au sexe étroit tant convoité par le sexe démesurément gros d'un peuple barbare et brutal.

Il continue ses vas et vient avec régularité et violence. Le  grincement rythmique du lit,  les grognements de plaisir et surtout le bruit à la fois sec et gluant de ses cuisses qui frappent contre les hanches de Li Hua, le claquement des beaux seins de la belle qui rebondissent sur sa poitrine, se mêlent au concert de bruits pervers du reste du bordel.

Sans le vouloir, la belle asiatique participe au spectacle pervers et sale que donne ce lieux, elle devient un rouage de la machine à baiser, une figurante dans le fond qui apporte l' odeur de son corps et ses gémissements au tableau d'ensemble. Ainsi possédée et beusognée par son premier client, son corps et sa chaire ne font qu'un et fusionnent avec celui des autres putes de Rachele.

Soudain, le gros turque commence à se tendre et à se contracter, il saisit encore plus fort Li Hua qui sent sa bite gonfler et palpiter en elle. Elle sent qu'il va jouir...

Marco – raaa... oui... putain je sent que ça vient... Marco va te remplir sale pute... oui... gaaa... ouii hoooo...

Il passe une main sous les fesses de la jeune femme pour plaquer ses hanches contre les siennes et referme l'autre sur son sein gauche pour l'écraser entre ses doigts. Il se contracte alors de nouveau en poussant un grognement de plaisir et Li Hua sent son gland cracher une première rasade de foutre brulant au plus profond de son intimité. Ses coups de reins deviennent plus lent et encore plus brusques et à chaque fois il jouit en elle d'épaisses giclées en bavant sur ses seins. A la quatrième et à la cinquième éjaculation, Li Hua sent la semence de son violeur se frayer un chemin entre les parois de son vagin pour dégouliner sur ses fesses.

Il se retire alors en souriant de manière perverse pour éjaculer une dernière fois sur le ventre et le visage de Li Hua, pour l'humilier d'avantage.

Marco – Voila, tu ressemble à une vraie pute maintenant salope...

Sur ces paroles pleines de mépris, à des milliers de lieux de ce qu'un homme d'aussi basse extraction aurait normalement pu dire à une baronne Yakuza, le turque obèse pose un billet de 5 dollars froissé et jauni à coté de Li pour la "payer".

Puis il s'écarte du lit, sa monstrueuse carrure permettant à Li de voir à nouveau la pièce autour d'elle. Et le spectacle qu'elle découvre ne peut que lui révéler l'horrible vérité: son cauchemar ne fait que commencer. Car autour d'elle se pressent déjà d'innombrables autres hommes, de toute taille, couleur de peau, âge et corpulence. Tous en la regardant d'un air pervers et affamé, ils se masturbent en s'approchant du lit.

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Li Hua ne voit plus rien d'autre qu'une foret de corps poisseux et suants, leur sexes souillés par la mouille des autres esclaves, dressés vers elle en attendant leur tour. Des petites bites de salariman trop longtemps engoncées dans leurs petit pantalon bon marché, des plus grosses, couvertes d'un pellage noir, épais, gras et entortillé autour du membre et des couilles, jusqu'à la queue monstrueuse, presque animale, d'un dealeur à la peau noire comme l'ébène.

Un premier homme s'offre le tour suivant et s'allonge directement entre les cuisses de Li et la baiser directement, profitant que sa chatte est encore toute lubrifiée par le sperme du turque pour la pénétrer d'un coup et commencer des vas et viens. Ce répugnant pourceau sent le tabac froid et la bière et il ne lui faut que quelques poussées maladroites dans l'intimité de Li pour commencer à jouir frénétiquement comme un ado en plein dépucelage. Son sperme vient remplir un peu plus le ventre de la nouvelle pute du bordel, s'ajoutant à celui de Marco jusqu'à ce qu'il soit brutalement repoussé en arrière par des mains immenses et noires.

Li se retrouve alors, toujours désarmée, les chevilles et les poignets liés au quatre coin du lit, face au mastodonte africain, à la musculature luisante, et au sexe démesurément gros et long en comparaison de sa petite chatte de japonaise.

Rachele – Je te présente Lachance, un de mes clients préféré, et celui de beaucoup d'autres putes... Il a réussi a dévergonder une paladine de Terra, je suis certain qu'il va faire des merveilles avec toi aussi...

Rachele se met sur la pointe des pieds pour chuchoter quelques paroles venimeuses à l'oreille du géant de basalte. Li ne les entend pas mais remarque immédiatement ce qu'elles lui font. Lachance se pince les lèvres d'excitation, son sexe se dressant fièrement, sans l'aide de ses mains, au dessus de ses énormes testicules.

Li n'a que quelques secondes pour parler, pour lui demander ce que Rachele a bien pu lui dire pour le mettre dans cet état, avant que Lachance ne se jette à son tour sur elle pour la pénétrer sauvagement. Sa queue est tellement épaisse et large que même lubrifiée et élargie par deux hommes, le vagin de Li peine à s'écarter pour le laisser passer. Chacun des 25 centimètre de pénétration est une interminable progression qui fait grogner et souffler de plaisir le violeur qui s'enfonce  lentement en elle.

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