Il y avait une question en suspens, et je vais vite trouver une réponse. Dans ses yeux. Un regard mêlant la dépravation, l'appétit insatiable, la luxure à son paroxysme. Bientôt, j'y lâche même mon emprise lorsque son élan trahit l'envie débauchée de me limer la queue avec sa gorge, sa langue, ses lèvres pulpeuses et évidemment sa lourde poitrine grasse et opulente. Les bras maintenant croisés derrière la tête après avoir léché mes doigts de sa mouille abondante, je gronde mes gémissements dans une voix grave et satisfaite, des souffles d'aises bruyants à chaque expiration.
- Salope... Tu es parfaite. Délicieuse, au passage.
Des petites mimines tenant difficile ses monts de chairs, à la fois grotesque et incroyablement excitant, elle se fracasse avec une vitesse grandissante en étau autour de ma queue, le réchauffant toujours plus, l'engluant toujours plus, glissant toujours plus, me crispant bientôt tout le corps à l'approche imminente de mon orgasme. Ma respiration s'emballe, mes oreilles entendent toujours les bruits de succions et claquement de poitrine et son coulissement dans son sillon.
- Grrr...GRRR...RAAAH !
Le premier jet de sperme explose les portes de mon urètre pour ébouillanter le couloir buccal qui massait mon sexe. Les salves se poursuit dans un bruit de remplissage odieux, compact et gras, le liquide s'en va s'obstruer dans son œsophage alors que je continue de rugir ma jouissance, mes lourdes burnes se rétracter pour continuer de vomir sa semence épaisse. Débordant de ses lèvres alors que ses joues gonflent, pour sécher sur son visage et sa poitrine, j'enroule mon poing dans sa chevelure pour retirer ma bite de ses lèvres comme un sabre qu'on sort de son fourreau, le souffle haletant. Laissant sous yeux de désir une verge veineuse, souillée de baves et de fluides, mais toujours pulsante.
- On a pas fini, il faut que cette queue te baise maintenant. On va reprendre tranquillement dans la chambre...
Je quitte le pick-up après m'être rhabillé pour faire le tour, saisis une veste large pour mes épaules sur la banquette arrière, et en faisant le tour côté passager, je lui prête derrière un clin d'œil taquin pour éviter de se faire virer par le gérant parce que j'amène une pute à moitié à poils dans mon plumard.
- Je te garde encore chaude, ça serait dommage que tu chopes froid. Que je gronde presque attendrissant.
Lui offrant donc mes bras, je la porte en la gardant près de moi. J'ignorais si elle aimait les muscles, mais j'espère pour elle que ça sera confortable. On passe le comptoir, un signe de tête entendu avec le réceptionniste qui doit imaginer une copine, je retrouve l'ascenseur. La veste la couvrant suffisamment, j'en profite avec mon bras tenant ses jambes de glisser de nouveau mes doigts entre ses chairs pour continuer à la faire couiner et mouiller. Roulant sur ses lèvres, puis son bouton de chair, un majeur bien trop taquin finira par s'engouffrer pour élargir ses parois.
- Chaude...Mouillée...
Les portes s'ouvrent. La portant que d'un bras maintenant, je lèche sa mouille sur mon doigt comme si je dégustais un nectar divin. Elle était si bonne. Habilement, je trouve sans mal la carte pour ouvrir le battant et m'approcher de suite du lit avec le pas pressé, encore la béquille dans mon pantalon. Avec une nonchalance qui m'est propre je la balance sur le lit, profitant de toute ses chairs remuer avec la concupiscence dans les yeux. Prédateur. Carnassier.
- Est-ce que tu aimes quand on te bouffe la chatte en retour ? Parce que moi j'adore ça.
Attrapant ses jambes, je pose mes genoux au sol pour que ma bouche soit au niveau de sa vulve quand je la tire d'un geste sec dans ma direction - au bord du lit - simplement pour respirer la chaleur odorante de son vagin moite par le plaisir. J'y palpe l'intérieur de ses cuisses, embrasse ses chevilles puis remonte dans un filet de bave toute ma langue contre sa peau sur sa jambe pour finir jusqu'à l'aine. Puis son pubis légèrement duveteux, le regard embrumé par son saisissant parfum d'œstrogène.
- Alors...?
Je retire alors mon t-shirt, des bouffées de chaleur d'excitation tandis que mes muscles roulent sous ma peau au gré de mes mouvements, mon dos massif et encombrant devenant rond pour se pencher devant mon potentiel repas dont je vais prendre un plaisir sans fin à déguster.