Je la regarde faire, un sourire sur le visage. Je m’approche doucement et je pose aussi la main sur le tigre, admirant également le travail ciselé et les courbes de la musculature. Puis je me tourne vers la jeune femme.
- C’est une amie, une amante qui m’avait fait cette sculpture en remerciement d’une soirée passée en ma compagnie. Elle m’a affirmé que le tigre était mon portrait. Si vous portez la main un peu plus loin …
Je me saisis de ces doigts délicats, pour les amener un peu plus loin après les testicules.
- Vous pouvez sentir après mes bourses le pénis qui entre, et les détails de la fente, y compris le clitoris qui, je dois bien le reconnaitre, est une représentation parfaite de ce à quoi j’ai goûté.
Puis je la lâche poliment, la laissant toucher ce qu’elle voulait, me contentant de l’observer.
- Bien sûr je me suis dit qu’un tel ouvrage, je me devais de le présenter ici, dans l’entrée. Il fait son effet, il faut bien l’avouer.
Je te souris à nouveau, avant de continuer.
- Sinon je me réjouis que votre route se soit passée sans encombre. Et ne craignez rien, si la route est impraticable, il y a ici une chambre qui vous attends, vous y serez chez vous pour la nuit. Et en parlant d’hospitalité, si vous le souhaitez j’ai fait préparer de quoi grignoter et à boire également. Il y a du saké bien sûr mais aussi du vin chaud.
Je te fais signe, avec grâce et style, du chemin à suivre, sans avoir l’air de te commander pour autant.