Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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En tête-à-tête, en tête-à-queue. - Souta et Janus

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Li Hua

E.S.P.er

Li était la tête à abattre pour les concurrents, couper la tête pensante d'une organisation et la chute devrait suivre. Depuis quelques jours, elle était en danger, son petit frère qui traînait dans la rue l'avait informé que des hommes voulaient la capturer… Ce n'était pas le bon moment pour Li qui était en pleines négociations pour des gros contrats. À l'hôpital elle avait réussi à proposer des organes, une maison close avait ouvert et le patron voulait de l'opium pour les clients et surtout ses prostituées qui se montraient parfois trop rebelles. C'est à elle d'aller faire les déplacements pour mettre les termes des contrats au clair…

- Je dois sortir cette après-midi, j'ai rendez-vous avec le chirurgien, je n'ai pas le choix ! Si tu n'es pas satisfait trouve une solution pour mieux me protéger.

Li était au téléphone avec son frère avant de lui raccrocher au nez sur ses mots. La sécurité était difficile en ce moment, beaucoup des gardes du corps de Li , c'était fait prendre à partie et leurs têtes étaient connues pour Li qui voulait rester discrète, ce n'était pas la meilleure des solutions. Se faire oublier avec une troupe de gros manches à ses côtés… Li soupire en rangeant les documents sur son office, son frère avait une heure pour chercher une solution aux problématiques car la chef de famille n'allait pas déplacer son rendez-vous.

Le temps d'avoir une réponse, Li s'occupait de la paperasse jusqu'au moment où un sms arriva.

- Je t'ai trouvé un nouveau garde du corps, on arrive !

C'est la seule issue qu'il avait à proposer, encore un garde du corps. Li se frotta les tempes, en fronçant les sourcils, cette solution ne menait à rien pour elle. Vingt minutes après, son frère arriva dans son bureau.

- Laisse-moi parler en premier Li ! C'est un gars des quartiers, il connaît tout de la rue, les coins foireux, ceux sécurisés, les bonnes têtes et les mauvaises. Ce gars pourrait te mettre en sécurité en quelques secondes, il sait se défendre et te défendre ! Il sera toujours plus discret que les gueules cassées en costume qui te suivent… Tu voulais être discrète c'est le moment…

La discussion va continuer entre les deux pour savoir le pour et le contre, le frère de Li a l'air d'avoir confiance en lui. De son côté l'aînée n'est toujours pas ravie mais le temps passe et son rendez-vous approche à grands pas.

- C’est bon, nous n’avons plus le temps. J'accepte ton gars, va le chercher et toi, retourne oeuvrer je ne veux plus te voir de la journée…

Li était frustrée de devoir accepter un homme qu'elle n'avait pas encore vu, elle ne faisait pas pleinement confiance dans les choix de son petit frère. Elle regarda son frère partir, elle en profita pour se lever de son fauteuil et passer devant son bureau pour s'asseoir sur le bois vernis pour attendre son nouveau garde du corps. Pour ce jour important de signature de contrat, Li avait mis les petits plats dans les grands. Elle portait une robe moulante rouge avec des arabesques dorées dessus, celle-ci était ouverte sur sa jambe droite jusqu'à la naissance de sa cuisse et son dos était complémentaire nue. Pour apporter un peu de chaleur Li avait mis sur ses épaules un châle confectionné en plumes blanches. À ses pieds, elle portait des hauts talons rouges vifs pour aller avec sa robe la rendant encore plus grande que d'habitude. Elle avait comme d’habitude mis en valeur son visage avec du maquillage et toujours cette odeur d'opium qui flottait dans l'air.

Li attendait de pied ferme l'homme pour des présentations rapides avant de partir directement pour son rendez-vous et sûrement se jeter dans la gueule de ses concurrents qui eux aussi étaient à l'affût… Le chef d'une maison concurrente, avait réussi à remonter jusqu'au médecin pour le menacer de lui livrer sans attendre Li. Ce rencard n'était qu'un odieux piège pour capturer la cheffe de la famille Hua, ça allait être un sacré spectacle dans quelques minutes… Des hommes armés l'attendaient, le tout allait être explosif pour Li et son nouveau garde du corps qui se devait d’avoir l'estomac bien accroché pour gérer la situation.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : En tête-à-tête, en tête-à-queue. - Souta et Janus

Réponse 1 vendredi 11 mars 2022, 11:01:53

C'est fou la vitesse à laquelle les choses peuvent changer. Parfois même de façon radicale. Il y a encore deux ans il n'y avait pas de boulot dans le coin à moins d'être prêt à accepter toutes les merdes disponibles comme servir de garçon de course ou pour défendre des gars qui allaient clairement se servir de leurs mercenaires comme de boucliers car ils savaient d'avance que la situation serait merdique à souhait et que si quelqu'un devait crever, ce serait clairement pas eux.

Le plus étonnant c'est que le boulot qu'on vient de me refiler semble entrer dans cette catégorie. Le genre de saloperie dont je reste éloigné un maximum car je tiens pas à crever trop jeune non plus. Si j'ai accepté c'est parce que j'ai une dette envers un ancien type avec qui j'ai bossé et qui est en ce moment à l'hôpital. Rien ne me force à le dépanner en y repensant. C'est vrai quoi, je lui ai jamais demandé de me sauver les miches lors d'une course-poursuite alors qu'on avait une meute de clebs qui nous courrait après. Le gars a voulu utiliser ses mollets comme des jambons pour les attirer tout seul comme un grand. Urgh... Malheureusement le bouche à oreille est rapide dans les rues et une réputation a aussi vite fait d'être détruite si on apprend que je suis pas digne de confiance.

Après un bref entretien avec le client, celui-ci ne me donne que quelques infos sur la mission. Je suis censé protéger sa patronne lors d'un deal compliqué qui aura lieu le lendemain. Autant dire que les préparatifs seront à effectuer rapidement et que je risque encore de devoir utiliser certains contacts si la situation dégénère. Ca me fait déjà chier de devoir cramer des faveurs. J'espère que la paie vaudra le coup.

Le jour venu, je me retrouve rapidement avec le client qui m'amène devant la porte d'un grand bureau pour ensuite s'en aller en me demandant d'y entrer seul.
C'est quoi encore ce délire ? Pour mon embrouillomètre atteint des sommets alors que j'ai même pas foutu les pieds dans le bureau en question ?

Un grand et long soupir m'échappe alors que je me retourne en direction de la pièce pour y pénétrer sans perdre une seconde de plus. Le temps c'est de l'argent après tout. La pièce est grande, meublée avec soin et un luxe certain. On ne vit pas dans le même monde.
Après avoir brièvement balayé la pièce du regard, mon attention se porte si la patronne dont le client m'a parlé. Mes yeux s'écarquillent alors qu'ils examinent sa silhouette. Ou plutôt sa tenue qui est visiblement portée pour attirer les regards.

- Pour la discrétion... on repassera.

Je me reprends alors rapidement en enchaînant.

- Je critique pas le choix, hein. C'est juste très voyant.

Comparé à ma tenue jean, t-shirt blanc et veste en cuir, la différence vestimentaire est évidente au point de détoner. On m'a demandé d'enfiler un truc passe partout pour ne pas attirer l'attention et voilà que je retrouve avec une nana fringuée pour un carnaval. Manquerait plus qu'elle m'annonce que ses fringues brillent dans le noir.

Li Hua

E.S.P.er

Re : En tête-à-tête, en tête-à-queue. - Souta et Janus

Réponse 2 dimanche 13 mars 2022, 18:52:55

- Pas discrète moi ? Vous avez autre chose à proposer maintenant ?

Li lève les sourcils interrogatrice, ne laissant même pas cinq secondes pour répondre, en clair elle n'attendait rien en retour.

- Non ! De toute façon nous n'avons pas le temps. Je dois être présentable pour mon nouvel associé, s'il me voit avec des fripes comme les votres… Vous croyez vraiment qu'il pourrait avoir confiance en moi.

Ce n'était pas une question venant de la descendante de la famille Hua.

- Allons-y.

Li claqua des mains pour mettre la mécanique en route, il était hors de question d'être en retard pour ce rendez-vous de la plus haute importance. Elle saisit sa canne en ivoire avec la poignée en or massif déposé contre son bureau, elle n'avait aucune difficulté de marche, c'était juste un accessoire de mode comme les autres. Dans son autre main, elle prit une mallette noire avec tous les documents, de l'opium et une arme. Elle fit un signe de la tête pour dire à son nouveau garde du corps de l'accompagner, les deux passaient dans les corridors de la grande demeure de la famille Hua. Sur les murs les portraits de ses ancêtres, des statuettes d'animaux, des tableaux de valeurs pour les spécialistes certains étaient même portés disparus depuis des années. Une fortune inestimable…

Le binôme descendit au sous-sol qui servait de garage pour les voitures de la famille Hua, des sportives, des luxueuses et des passes partout.

- La discrétion assurément…

Li pointa du doigt, une voiture de ville de marque japonaise.

- Les clés sont sur le contact en route.

Li monta à l'arrière pour s'installer derrière les vitres teintées et laissé son garde du corps conduire la voiture. Installée, Li donna la destination qui conduisait directement dans les bas-fonds de la ville.

- Pour chaque extra à mon écart vous serez bien sûr rémunéré en conséquence. Tout travail mérite salaire, mon frère vous à juste proposer de faire attention à moi… Mais si un jour vous cherchez un contrat, vous savez maintenant où nous trouver. Nous avons toujours du travail…

Li leva la tête pour regarder dans le rétroviseur chercher les yeux de son garde du corps pour appuyer sa demande et surtout lui sourire en coin. La voiture roulait, Li tâchait d'entretenir la causerie, lui demandant son prénom, ce qu'il faisait actuellement, comment il avait connu son frère et toutes questions utiles pendant qu'ils s'enfonçaient dans les méandres de la ville.

Les deux allaient arriver, Li fit signe pour se garer dans une ruelle avant de descendre pour aller directement dans un bâtiment qui ressemblait à un garage désaffecté. Le piège venait de se refermer directement… Au bout de la pièce, le médecin gras en sueur, l'angoisse se lisait sur son visage… Li, ne mit pas longtemps à le savoir, ça puait la merde ici.

- J'espère que vous savez ce que vous faites, s'il m'arrive quelque chose vous courez à de gros problèmes…

La voix basse pour que seul son garde du corps puisse entendre, derrière eux des fortes explosions venaient de faire résonner les vitres du garage… Assurément, les pneus de la voiture qui venait d'exploser pour éviter toute fuite rapide et sans attendre, des hommes venaient rejoindre le médecin… Li les connaissait, la concurrence, armées jusqu'aux dents des fusils d'assaut dans les mains. Ils venaient de baragouiner des choses à propos de Li, qu'elle devait les suivre sans faire d'histoire.

- Non.

Li appuya sur les boutons de sa mallette pour l'ouvrir, lâchant sa canne pour attraper l'arme et tirer une première balle rapidement qui ricocha contre des tuyaux… Le déclenchement de la fusillade venait de sonner et son garde du corps allait devoir assurer rapidement, avec les deux hommes à l'intérieur qui jouaient au cow-boy et ceux qui devaient attendre devant le vieux garage… Il y avait des portes sur les côtés qui devaient emmener dans des réserves, peut-être à l'extérieur elle n'en savait rien. Est-ce que la chance allait être de leur côté.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : En tête-à-tête, en tête-à-queue. - Souta et Janus

Réponse 3 samedi 19 mars 2022, 07:25:26

La cliente ne perd pas de temps et me conduit rapidement dans un parking où sont garées plusieurs voitures de types et marques différentes. Leur seul point commun est qu'elles doivent toute valoir la peau du cul. Alors que l'on prend chacun sa place, elle me précise que si tout se passe bien aujourd'hui il y a des chances que son groupe fasse de nouveau appel à moi à l'avenir.

- J'en doute pas.

Vu le pognon qu'ils brassent, ça me semble évident que le boulot ne doit pas manquer avec eux. Sauf qu'ils ont l'air bien gentil le frangin et sœurette, mais si leur première mission est aussi foireuse que je le pense, alors j'ose à peine imaginer ce qu'ils me réserveront à l'avenir. Autant dire que ça part assez mal pour me donner envie de revenir les voir un jour.

Le trajet n'est pas bien long et la cliente en profite pour me faire subir un léger interrogatoire.

- On va dire que c'est un contact d'un contact qui nous a mis en relation.

Je n'ai d'ailleurs pas le temps de répondre à toutes ses interrogations que l'on arrive à l'adresse qu'elle m'a donnée.

- Génial, un endroit isolé et peu éclairé.

L'endroit rêvé pour se faire entuber en beauté. Ma première réaction est de tourner la tête en sortant de la voiture pour repérer les points d'accès et vérifier que personne ne nous a tendu une embuscade d'entrée pour ensuite aller chercher ma patronne d'un soir.

- Mouais... J'pense que si ils cherchent à nous buter, ils commenceront pas moi.

Et tout le monde sait que les cadavres n'ont plus de problèmes. A moins d'être ressuscité sous forme de squelette ou zombie. Il existe des rumeurs dans le quartier qu'un shaman vaudou s'amuse à vendre ses services pour pratiquer ce genre de saloperies en utilisant le cadavre de criminels notoires vu que personne n'ira les plaindre ou même savoir comment ils ont finis de leur vivant.

Je n'ai même le temps d'évaluer complètement la situation pendant que ma patronne parle à un type grassouillet que j'entends des trucs péter dans la direction d'où l'on vient et qu'une balle passe à quelques centimètres de mon oreille gauche.

- Oooh, putain !

J'attrape alors la folle de la gâchette par le poignet pour l'emmener se mettre à couvert derrière des caissons en métal dans lesquels on range habituellement des outils. La seule bonne nouvelle dans cette histoire c'est qu'il ne semble pas y avoir trop de types en face. La mauvaise c'est que je n'ai qu'une arme de poing et un taser sur moi.

- Ca va pas de tirer comme ça sans rien dire ?

Dans la foulée de ma remarque, je pose la main sur sa tête par réflexe pour la faire se baisser davantage le temps de mieux voir notre environnement. Vu l'aménagement de l'endroit et des portes que je peux voir de l'endroit où nous sommes, il va falloir prendre des risques si on veut se tirer d'ici en un seul morceau.

- Dès que je le dis, on court dans cette direction, okay ? Et on évite de tirer sans regarder pour pas gaspiller nos balles.

Da la main droite je lui montre une porte qui devrait, en toute logique, nous mener jusqu'à l'étage. Ce genre d'endroit à toujours une issue de secours en hauteur pour mener à l'extérieur en cas d'incendie. Ma main quitte sa tête pour attraper une bouteille de bière vide qui trainait sur le sol. A l'instant où j'entends l'un des deux sbires d'en face recharger, je jette la bouteille à ses pieds pour lui faire peur et gagner du temps pour dire à ma cliente de courir.

- Maintenant !

Le second qui ne s'y attend pas non plus lève trop son arme et tire sur une conduite de gaz qui explose et bloque son champ de vision. Ce gros coup de chance nous permet de prendre une avance confortable pour atteindre le toit qui devrait donner sur un immeuble voisin ou un escalier de secours.
L'ennemi devait penser qu'on tenterait de s'enfuir par l'entrée principal. Grave erreur... pour eux.

- J'ai une planque pas loin d'ici. Par contre va falloir continuer d'avancer.

Mon regard se tourne vers elle, de la tête aux pieds sur lesquels je m'arrête pour fixer ses godasses. Avec ce genre là elle risque de nous ralentir et faire durer notre fuite plus longtemps. Et pour ne rien arranger à la situation, voilà que la pluie s'incruste à cette joyeuse sauterie.

Li Hua

E.S.P.er

Re : En tête-à-tête, en tête-à-queue. - Souta et Janus

Réponse 4 jeudi 24 mars 2022, 16:09:02

Li s'apprêtait à tirer une autre balle ajustant la hauteur de son poing, quand son garde du corps l’attrapa pour la traîner en sécurité, en même temps elle le payait pour ça. Sa mallette encore ouverte en main, elle se mit accroupie derrière les caisses, elle avait envie de considérer le visage de ce lâche une nouvelle fois pour lui coincer une balle entre les deux yeux mais Souta appuyait fermement sur son crâne pour qu’elle reste bien cachée.

- Il vaut mieux entamer les hostilités en premier ! Ils n’allaient pas hésiter bien longtemps, je n’avais pas envie de me retrouver avec un cadavre à mes pieds, il serait regrettable de perdre mon nouveau garde du corps aussi promptement.

Pas le temps de jacasser trop longtemps, Souta avait déjà étudié la situation pour sortir Li de ce chantier en entière si possible. Il lui montre du doigt une porte qui doit amener à l’étage, c’est une bonne idée… Comme de toute façon, il y a déjà du monde qui attend devant l’entrée autant chercher une autre issue en hauteur. Li se prépare au signal, elle pose une main sur la caisse et une autre sur son genou pour pouvoir se relever plus aisément. Et au bout de plusieurs secondes, Souta lance une bouteille dans la direction des mafieux avant de lui dire d’y aller, Li se lève sans tarder monta sa mallette devant sa tête comme une protection.

La course débute, elle mène le pas pendant que Souta couvre les arrières, elle appuie contre la porte pour la faire claquer et la traverser, Li monte les escaliers le plus vite possible enchaînant les marches pour se retrouver sur le toit du garage sous la pluie qui décide de se conjuguer à la fête.

- Une planque ?

Li se retourne vers son garde du corps qui la regarde de haut en bas, s’arrêtant minutieusement sur ses chaussures à talons…

- Ne vous alarmez pas, j’en porte depuis que je suis en âge de marcher, je pourrais faire un marathon avec ! Mais je peux comprendre que ça ne vous inspire pas confiance.

Et dans ce genre de contexte, il valait mieux mettre toutes les éventualités de son côté pour réussir à fuir. Li enlève ses chaussures pour les ranger dans sa mallette qu’elle clôt sans attendre, elles n’allaient pas les laisser sur ce toit quand même. Pieds nus, le sol couvert de cailloux, de ferrailles et autres débris lui fait un peu mal, l’obligeant à alterner entre la pointe de ses pieds et ses talons.

- Juste un petit instant encore…

En montant les escaliers, Li avait aussi constaté qu’elle ne pouvait pas faire des pas d’une grande amplitude à cause de sa robe ajustée, même si elle était un peu ouverte sur le côté… Entre les talons et sa robe, c’était celle-ci qui lui posait le plus de problèmes. À contre coeur car c’était vraiment une robe qu’elle affectionnait énormément, Li attrapa les coutures sur la fente pour tirer d’un coup dessus, le tissu se déchira et après plusieurs attaques brusques dessus il finit par céder totalement. Une coupure qui n’était en rien nette et droite, asymétrique le tissu partait de son genou gauche pour remonter jusqu’à sa fesse droite… Dévoilant son galbe généreux et le fait qu’elle ne portait rien en dessous… Avec un vêtement aussi moulant, elle ne pouvait pas s'autoriser à porter des sous-vêtements sous peine qu’ils soient apparents.

- Je vous donne ça, il vous sera plus utile.

Dans l’opération, la patronne avait posé le revolver sur le sol, elle se penche en avant pour le ramasser et le tendre à Souta pour qu’il puisse en faire un meilleur usage. Avec le déluge qui continuait à tomber, le châle en plume commençait à peser son poids et Li prit aussi l’initiative de le retirer pour le coincer à sa mallette. Le vent, la pluie lui donnait la chair de poule, en plus de faire dresser sous sa robe ses tétons.

- Je vous suis !

À présent qu’elle était prête et probablement que Souta était rassuré de ne plus la voir en talon, ils allaient pouvoir se remettre en chemin pour se rendre dans sa cachette. Li s’approcha du bord du toit pour examiner comment ils allaient descendre, il y avait bien des choses pour s’accrocher… Mais avec la pluie, ça devait être très glissant et Li ne se voyait pas devoir courir pour se jeter de toits en toits comme dans les films. Elle allait quand même devoir se plier aux consignes de Souta sans piper mot si elle voulait rester en vie.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : En tête-à-tête, en tête-à-queue. - Souta et Janus

Réponse 5 samedi 26 mars 2022, 07:15:30

Compte tenu de l'embuscade que l'on vient de subir, la situation pourrait être bien plus grave. Reste à voir si on pourra rejoindre l'appartement qui me sert parfois de planque en un seul morceau et sans trop éprouver la cliente si je veux avoir du boulot à l'avenir. Le gros avantage jusque là est qu'elle semble plus s’accommoder à la situation que de râler inutilement comme c'est souvent le cas quand je suis engagé par des femmes.

A première vue on ne pourra pas accéder à un des immeubles voisins en passant par le toit. Sauter d'un immeuble à un autre est déjà assez risqué avec une météo parfaite. Tenter le coup et glisser pourrait provoquer une grave blessure, voir la mort d'un de nous deux. La seule alternative reste donc l'escalier de secours qui est justement bloqué et inaccessible depuis le sol.

- On va descendre par là.

Dans sa tenue et pieds nus, je tends la main à ma cliente pour mieux la guider. Le gravier laisse place à un balcon et des escaliers en métal. Elle va donc pouvoir échanger un appuie douloureux contre un autre plus lisse et glissant. C'est pourquoi je continue de lui tenir la main pour lui offrir un appui en me positionnant devant elle au cas où une autre surprise nous attende en bas. Ce qui n'est pas le cas... pour le moment.

Une fois en bas, il reste une échelle à descendre.

- Accrochez-vous à moi, ce sera plus rapide.

Tout en lui demandant la chose, je me positionne devant elle en lui tournant le dos pour lui faire comprendre de s'agripper à moi en mettant les bras autour de mon cou le temps de passer ce dernier obstacle.
La gêne n'a pas sa place dans une situation de vie ou de mort et ce que j'ai vu, cette bonne femme est loin d'être timide. Ce qui arrange bien mes affaires vu que je ne risque pas de perdre mon temps à tout lui expliquer en détail pour la convaincre de faire ci ou ça.

Avant de m'engager je dégager quelques mèches de cheveux qui pourraient me bloquer la vue et fous un coup de pied dans l'escalier pour faire sauter le verrou qui semble rouillé et m'engage lentement. La précipitation aussi peut provoquer un accident surprise.
En arrivant de nouveau au niveau du sol, on peut entendre des voix à proximité.

- Ils peuvent pas être loin. Trouvez-les ! ET BUTEZ-LES !

Puis les bruits de pas d'un groupe d'au moins 2-3 personnes approchent de notre direction. D'un geste réflexe je plaque ma cliente face contre un mur en me collant contre elle pour la masquer autant que possible. Un des hommes se retourne dans notre direction le temps d'une seconde avant de se mettre à ricaner pour lancer à un type de son groupe : - J'me la ferais bien avant de la buter, la gonzesse.

Grâce à l'obscurité ce dernier n'a vu qu'une silhouette devant moi. Pour une fois qu'une ruelle non éclairé me rend service. La dernière fois c'est un coup de couteau qui m'a attendu dans un endroit similaire.

J'attends quelques secondes avant de reculer pour regarder de chaque côté de la ruelle afin de m'assurer que l'endroit est dégagé.

- Vous pouvez remettre vos chaussures, on ne devrait plus avoir besoin de courir.

Je commence à m'éloigner encore un peu plus pour rejoindre le bout de la ruelle et y glisse ma tête pour vérifier quelle direction prendre. Puis je retourne auprès de ma cliente. C'est là que je découvre un clodo en train de la maintenir par les poignets en la reniflant.
Ces mecs font tellement partie du décor à force d'y vivre qu'on ne remarque même plus leur présence.

- Tu sais qu't'es bonne, toi ? Tu t'es perdue ? J'peux t'aider si t'es gentille avec moi.

Comment en vouloir de penser comme ça à un type qui n'a pas approché d'une nana depuis des années ? Et en plus de ça il voit sortir de nulle part une femme super bien foutue et avec des fringues légèrement arrachées. Il veut tenter sa chance et n'a rien à perdre vu sa situation. Sauf qu'il est tellement concentré sur elle qu'il ne voit pas revenir avec le pied levé qui avance rapidement en direction de sa figure pour venir s'écraser dedans au niveau de son nez.

- Haaaaaa, mon nez ! PUTAIN !

Sans même m'emmerder à voir l'état du clodo je me tourne vers ma cliente pour lui demander si elle est prête.

- On y va ? Cet idiot risque d'alerter quelqu'un à force de gueuler.

L'endroit à rejoindre se trouver facilement à une bonne demie-heure d'ici à pied. Il va donc falloir ruser et faire preuve de patience pour déjouer l'attention de nos poursuivants et les semer. En tout cas ils sont plus nombreux que je le craignais. Ces rues mal éclairées ne sont pas une sécurité suffisante. L'idéel sera de passer d'immeuble en immeuble autant que possible. Dans ce quartier il y a beaucoup de trafics en tous genres. Ce qui implique donc des passages secrets, des tunnels, des entrées qui n'étaient pas sur les plans de départ, etc.

Nous parvenons sans mal à traverser la premier rue pour atteindre un bâtiment dans lequel nous sommes obligé d'entrer car une patrouille arrive dans notre direction. En franchissant la porte, un groupe de trois personnes s'y trouve et se retourne logiquement dans notre direction. La porte suivante à prendre est malheureusement juste derrière eux.

Un gros malabar quitte alors sa chaise en regardant dans notre direction pour entamer la conversation.

- Tu veux passer ? Vas-y.

Il s'arrête alors brièvement pour se lécher les lèvres en regardant ma cliente avec une envie non dissimulée.

- Mais tu laisses la gonzesse ici.

Un grand et long soupir m'échappe de manière non retenue en entendant sa remarque pendant que ses deux amis se lèvent à leur tour en déshabillant la femme qui m'accompagne du regard.

- Sérieux, on va croiser combien de violeurs ce soir ?
- J'suis pas un violeur, enculé !
- Ah bon ? On dirait pas pourtant.
- Elle sera juste beaucoup mieux avec moi. J'sais faire hurler mes nanas.
- Et moi hurler les mecs...


Je sors alors le flingue que j'avais caché dans mon dos en entrant pour les voir lever les mains en une fraction de seconde. Tout doucement je fais tourner nos deux groupes en gardant la cliente dans mon dos pour nous rapprocher de la porte. C'est alors que je remarque une batte de base-ball en métal que je ramasse avec ma main libre. J'ordonne alors à la cliente d'ouvrir la porte et file derrière elle en bloquant l'entrée avec l'arme ramassée à l'instant.
Dans la seconde qui sui on peut entendre les trois types hurler et m'insulter de tous les noms.

- ENCULÉ ! T'ES MORT ! TA GONZESSE AUSSI ! ON VA LA NIQUER DEVANT TOI ET ON VOUS BUTERA TOUS LES DEUX !

Ah ouais... Faudrait vous trouer de meilleurs passes-temps les mecs. Surtout qu'en entrant dans le bâtiment voisin par la porte que j'arrive à forcer nous découvrons avec stupeur qu'il s'agit d'un bordel. Ou un club échangiste ? Des couples sont vautrés sur des mini canapés, contre les murs ou suspendus à des cordes pour utiliser des positions que je connaissais pas. Je vais même jusqu'à lâcher un : - Ah ouais, quand même.

Puis je me retourne rapidement pour faire des "oust" de la main à ceux qui regardent dans notre direction pour que l'on puisse avancer plus rapidement.

Li Hua

E.S.P.er

Re : En tête-à-tête, en tête-à-queue. - Souta et Janus

Réponse 6 dimanche 27 mars 2022, 22:54:41

La route débute pour les deux fuyards, Souta prend les devants pour protéger le chemin, tenant la main de Li pour lui faciliter ses déplacements dans les graviers et ultérieurement le sol glissant. Elle ne posait pas de question et ne se plaignait pas, à quoi cela pouvait bien servir à part les freiner et prendre des risques pour la suite. La patronne passe ses bras autour du cou de son garde du corps pour franchir le dernier obstacle du garage et se retrouver sur le sol, mieux que les toits mais qui comporte aussi son lot de péril. Les balourds qui les cherchent et qui arrivent armés jusqu’aux dents, Souta plaque Li contre le mur pour qu’elle arrête de bouger… Elle se pince les lèvres pour ne pas laisser échapper un bruit regrettable et arrête même de respirer pour devenir imperceptible contre son garde du corps, ses yeux se plantent dans les siens pour ne rien manquer. S’il décide qu’il faut courir, Li doit être préparée à agir et ne pas grelotter de peur en regardant ailleurs… La contrainte dure plusieurs minutes, avant que les ennemis ne partent dans d’autres rues, Souta reculant laissant Li souffler.

- Je le tuerai avant qu’il me touche celui-là…

Li parle doucement, pour ne pas donner leur position, Souta passe devant pour contrôler le chemin lui proposant de remettre ses chaussures… La patronne ne va pas rejeter cette offre, elle pose son attaché-case au sol et pose ses mains de chaque côté pour la déverrouiller et au même instant un sans-abri lui attrape les mains et s’approche d’elle pour la flairer. Li écarquille les yeux et tourne la tête tant son odeur corporelle est horrible… Elle regarde dans la direction de Souta, espérant qu’il puisse voir la scène… Li ne sait pas comment répondre, elle pourrait sans difficulté le mettre à terre sous peine qu’il fasse du vacarme. Au même moment, son garde du corps arrive pour le calmer sans se poser de questions, il lui colle un pied dans la figure.

- Si je savais que je pouvais le faire…

Li n’avait eu aucune réticence à tirer sur les ennemis alors coucher un SDF n’était pas être dérangeant pour elle.

- Nous pouvons y aller, je vais rester sans chaussures si nous devons encore grimper c’est plus sûr.

De toute façon les graviers du toit lui avaient déjà abîmé les pieds, elle devait juste faire attention de ne pas marcher sur une aiguille qui traîne ou du verre. Sous le déluge, les deux continuent leur route vers la planque de secours qui pourrait enfin les placer à l’abri. Les cheveux de Li, collent sur son minois, le reste de sa robe est comme une seconde peau sur elle ne cachant rien à son corps, le point favorable avec toute cette aventure c’est que la teinte de son vêtement s'est assombrie entre la poussière, la suie, la pluie un mélange abominable.

- Il serait rêvé de penser qu’un bain ou une douche se trouve dans votre planque…

Li s’imaginait une pièce simple, avec un fauteuil et quelques revues pour passer le temps en période sombre, elle n’a pas le temps d’avoir une réponse que les deux doivent cavaler dans un immeuble pour échapper à une patrouille. Et les problèmes ne sont jamais loin ici… Des hommes qui pensent être les rois du monde, qu’ils peuvent tout avoir voilà la vermine qui est présente devant eux.

La patronne soupire, ils font vraiment moins peur que les hommes armés qui traînent dehors et surtout ici c’est Souta qui est équipé et ne va pas hésiter longtemps à sortir le pistolet de Li pour les braquer. La patronne affiche un sourire, alors qu’elle tourne dans le dos de Souta, bernant les malabars pour ouvrir la porte et passer encore à une nouvelle épreuve. Ce chemin donne l’impression d’être dans un donjon dans un jeu vidéo à chaque salle, Li et Souta doivent affronter des périples pour réussir à s’échapper.

Et cette fois, ils doivent passer à travers un bordel, Li n’avait pas connaissance de celui-ci alors qu’une de ces activités était de commercialiser des filles, elle notait et allait s’assurer de savoir qui approvisionne ce bordel en fille et certainement en drogue. Complètement en dehors du thème, les deux attiraient les regards sur eux et une fille sur le côté attrapa la main de Li.

- TOI ! C’est toi qui as pris ma vie, tu m’as vendu…

Impossible, Li ne connaissait pas cet emplacement, elle ne vendait pas de marchandises ici.

- À un sale pervers dans une maison close vers le temple...

Ça c’est plus envisageable et même fort plausible, la mafieuse voyait bien de quel client elle parlait, un homme d’environ 70 ans qui cherchait des très jeunes filles. Elle avait dû s'enfuir pour se retrouver ici, Li lui avait offert un toit, de la nourriture, un patron et maintenant non contente elle lui criait dessus. Li repoussa ses mains, elle n’était pas bien épaisse et la drogue devait embrouiller son esprit, la pousser avait été simple sauf qu’elle revint à la charge s’accrochant à sa robe et se laissant tomber sur le sol. Le vêtement qui avait déjà subi beaucoup d'atrocité pour arriver ici, céda entièrement. La couture sur le côté explosa sous la tension de la fille qui s’accrochait frénétiquement à elle, autour de Li ne restait plus que le col et une bretelle, la totalité de la robe était entre les mains de la pauvre fille qui pleurnichait sur le sol.

Li bascula dans une salle sur le côté entraînant Souta, encore heureux il n’y avait personne, la fête se passant surtout dans le salon.

- Cette petite… Il faut que je trouve quelque chose à mettre ! J’attire déjà tout les tordu de la zone, alors si je n’ai même plus un vêtement sur le dos…

La mafieuse commença à faire les tiroirs dans la pièce, exposant son corps à Souta, ses fesses galbées quand elle se penchait en avant, ses cuisses fermes, ses seins à l’arrondi parfait généreux avec au milieu une auréole rosâtre et ses petits tétons pointant constamment vers le haut. Sans oublier son antre dénué de pilosité, une petite fente entre ses deux lèvres serrées. À genoux, les fesses en l’air, Li vidait un buffet sortant tout l’attirail indispensable pour faire du bondage.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : En tête-à-tête, en tête-à-queue. - Souta et Janus

Réponse 7 lundi 28 mars 2022, 07:58:40

Ce qui devait être une traversée express s'est avéré un poil plus compliqué et surprenant que prévu. Nous voilà dans une pièce dénuée de toute autre présence depuis laquelle on peut cependant aisément entendre des gémissements féminins et ricanements d'hommes tant les murs sont fins. Au moins cela devrait pouvoir couvrir nos échanges en cas de besoin.

L'aide de la pluie m'avais permit de remarquer les formes parfaite de ma cliente à plusieurs reprises jusqu'ici. Que ce soit le clodo ou les trois violeurs, je comprenais facilement ce qui les avait poussé à agir de la sorte vu qu'ils ne risquaient pas de croiser un petit lot pareil de si tôt dans leur misérable vie.
Amusé à sa remarque je lui réponds en souriant :

- En même temps la robe hyper moulante est pas de rigueur dans ce genre de quartier.

J'aurais pu ajouter "quand on est aussi bien foutue" dans la foulée mais je me suis retenu vu qu'on parle d'une cliente qui a les moyens de me faire gagner un peu de pognon sur la durée.
La pièce dans laquelle on se trouve en ce moment doit être destinée aux jeux de rôles étant donné son mobilier et les objets que Li extirpe d'un des meubles.

Il y a même un bureau sur lequel je décide de m'asseoir pour profiter de la vue offerte sans la moindre gêne pas la femme dont je dois assurer la protection. Ce qui est sûr c'est qu'elle est actuellement sans défense face à moi et cela n'a pas l'air de la déranger ou perturber.

- Des menottes, de la corde, des baillons... C'est le genre de truc qui vous plaît ?

En tout cas c'est clairement ce qui excite l'un des couples d'une chambre voisine qui ne retiens pas ses envies. Les gémissements ont laissé place à des cris de plaisir ou des ordres prononcés si fortement qu'on dirait que l'homme souhaite être entendu à l'autre bout de la ville.

- A genoux, pute, si tu veux ta récompense.
- Oh oui, maître !
- Montre-moi ta jolie petite gueule que je pisse dessus.
- Haaaannn...


Surpris, je me tourne dans la direction d'où viennent les voix avant de me remettre à rigoler un bon coup.

- Ah ouais, carrément.

Mon regard revient rapidement se porter sur ma cliente qui me fait de plus en plus d'effet compte tenu de la situation. Entendre des femmes couiner de tous les côtés, quelles simulent ou non pour satisfaire leurs clients, ou voir cette plastique de rêve se dandiner devant moi de manière aussi suggestive n'aide pas ma situation.

Une bonne commence à se former de manière prononcée sous mon jean pour le déformer au niveau de ma cuisse droite.

- On devrait sans doute faire une pause le temps de souffler. Il s'est passé pas mal de trucs en peu de temps.

Le contenu du meuble qu'elle fouille de manière consciencieuse ne semble pas contenir ce qu'elle cherche. A moins de vouloir se balader en corsage en cuir de dominatrice. Une tenue qui ne la fera passer encore moins inaperçue que sa robe qui lui collait à la peau.

- Les filles doivent garder leurs fringues ailleurs. Dans des vestiaires ou leurs chambres si elles vivent dans ce taudis. Du coup... on va devoir tenter d'y aller en ce mêlant à la foule.

Je la laisse quand même fouiller le reste de la pièce pour la laisser se rendre elle-même à l'évidence au bout d'une dizaine de minutes. Soit on tente de lui trouver des vêtements ailleurs, soit on file à la planque avec elle à moitié à poil. La solution me semble évidente. Heureusement que les nanas à poil ce n'est pas ce qui manque ici.

Une fois cette mission bouclée je vais me pieuter pour une journée complète car je risque d'être aussi crevé physiquement que mentalement.
Mon regard se porte une dernière fois vers celui de la cliente lorsque j'inspire un grand coup en tournant la poignée de la porte pour me rendre dans le couloir remplis de clients et employées. La femme de tout à l'heure n'est plus dans le coin. Quelqu'un l'a probablement emmenée ailleurs pour éviter de déranger les autres.

Les premiers mètres se franchissent sans encombre. Puis c'est là qu'un couple s'interpose pour nous barrer la route. Fait étrange, c'est la femme qui prend les devants en venant analyser le corps de Li en se passant la langue sur les lèvres tout en plissant les yeux comme si elle venait de se trouver un bout de viande de premier choix à dévorer.

- N'est-elle pas superbe, chéri ?
- Pas autant que toi.
- Vil flatteur. Non, sérieusement... Elle me plaît.


La femme sort une liasse de billets de son décolleté comme dans les films et me tends la chose en souriant de manière hautaine, limite dédaigneuse.

- Tiens, prends ça et va te trouver quelqu'un d'autre.

Amusé également, je ne regarde même pas l'argent qu'elle me propose en soupirant sous son nez.Ma main droite se glisse dans le dos de Li pour passer sous son bras droit et saisir un de ses gros seins qui me la rempli complètement en le malaxant délicatement sous les yeux surpris du couple.

- Désolé mais ça va pas être possible. Il va falloir attendre votre tour. Et ça risque de durer longtemps. Vous avez vu ses seins ? J'ai hâte de voir ce qu'elle sait faire avec.

L'expression change radicalement sur le visage de la femme qui se met à pester avant de s'en prendre à son époux. De mon côté j'y suis allé un peu fort. Le but reste de leur montrer qu'ils perdent leur temps avec nous.

- Et toi tu ne dis rien ? T'es un homme ou pas ?

Ce dernier se confond en excuse pendant que je profite de cette opportunité pour tirer ma cliente avec moi afin de reprendre notre route. Ce n'est qu'après quelques mètres de plus que je remarque que je tenais encore son nichon lourd et moelleux dans le creux de ma main alors que mes doigts tentaient naturellement à en saisir les contours sans y parvenir.

- Oups, désolé.

En arrivant au bout du couloir se trouve un escalier qui mène eux étages supérieurs. Espérons qu'on trouve une chambre ou un vestiaire avant que je ne me laisse un peu trop emporté. Cette nana est tellement bandante qu'il me faut rassembler toutes mes forces pour ne pas céder à la tentation. Si ça avait pas été une cliente je l'aurais déjà collée face contre un mur pour en faire mon quatre heures.
« Modifié: lundi 28 mars 2022, 11:14:42 par Souta et Janus »

Li Hua

E.S.P.er

Re : En tête-à-tête, en tête-à-queue. - Souta et Janus

Réponse 8 mardi 29 mars 2022, 02:02:42

N’est pas de rigueur dans ce genre de quartier… C’est exact, mais à la base, Li devait rencontrer un client et elle ne pouvait pas venir avec les vêtements de madame tout le monde. La famille Hua à travers les générations entretenait un certain standing, elle n’avait pas le droit d’y faire opposition sauf dans ce cas précis ! Elle n’avait plus rien à se mettre et allait devoir faire avec les moyens du bord, si elle arrivait à mettre la main sur un bout de tissu, elle n’avait pas quand même dû prendre les rideaux ? La patronne continue son investigation, s’agitant dans la pièce pendant que Souta en profite pour se reposer, il pourrait l’aider à chercher un peu mais d’un autre côté il fait bien de se relaxer, il doit rester attentif pour défendre sa cliente. Même si Li a plus l’impression qu’il s’amuse de la situation, prenant le temps de lui poser des questions sur ses préférences.

- Je ne dis pas non à ce genre de pratique ! Reste à savoir qui claque le fouet…

Vu le tempérament de Li il était envisageable de croire que c’était ses partenaires qui portaient l’attirail du bon toutou, c’était se tromper ! Parfois, ce sont les gens qui ont le plus de pouvoir qui aiment se faire descendre pendant les ébats pour parvenir à évacuer toute la pression. Ceux dans la pièce à côté avaient l’air de prendre leurs pieds comme jamais, il était possible d’entendre des gémissements, des cris, des fessées et le moment où l’homme demanda à la prostituée de se mettre à genoux pour lui uriner dessus. Souta éclata de rire à ce moment, Li garda son sang-froid restant de marbre comme à son habitude. En même temps, elle n’avait pas à rire, dans le passé il lui était déjà arrivé d'exercer ce genre de pratique.

- Rien ici non plus…

Et surtout, ne rien trouver commençait profondément à l’agacer, ces prostituées devaient bien avoir des vêtements à se mettre elles ne se déplaçaient pas toutes nues dans toutes les occasions. Li se redresse pour fouiller dans un autre meuble, retournant les tiroirs pour y sortir cette fois une multitude de sex-toy de toutes les formes et tailles possibles, se demandant parfois si c’était réalisable de rentrer une chose aussi grosse. Souta, lance l’idée que les filles devaient préserver leurs vêtements dans un vestiaire ou leurs chambres, ce n'était pas bête… Cette pièce servait certainement de rangement pour les accessoires.

- Possible, je vais quand même terminer de chercher on ne sait jamais si on peut éviter de faire un détour.

La patronne se remit à chalouper dans la pièce, ses seins claquant, ses fesses se tendant quand elle devait se pencher sur l’avant, elle se mit même à genoux pour vérifier en dessous des meubles exposant sa vulve qui ne semblait pas se desserrer malgré tous les déplacements qu’elle faisait. Il fallait bien l’admettre il n’y avait rien ici, Li se redressa frotta ses genoux pendant que Souta se tenait déjà prêt vers la porte. Ils allaient devoir parcourir les pièces pour arriver au vestiaire ou aux chambres plus haut, la patronne espérait qu’elle n’allait pas croiser de nouveau une fille hystérique… De toute façon, il n'y avait plus rien à déchirer sur elle.

Bien sûr tout n’allait pas se passer comme prévu, un couple venait de s’interposer pour acquérir Li… Ce n’est pas croyable ! Même les femmes s’y mettaient après les violeurs, l'arrivée des perverses. La patronne prit une importante inspiration sentant qu’elle allait céder pour la remettre en place et heureusement Souta calma sans tarder le jeu à sa façon… Un couinement de surprise glissa d’entre les lèvres de Li quand son garde du corps attrapa son sein entre ses doigts et elle n’a pas le choix de jouer le jeu. Le refuser pour lui crier dessus n’était pas une alternative à ce moment.

- Une prochaine fois… Peut-être !

Li gloussa se rapprochant de Souta, pour enfiler ses mains sur son t-shirt encore humide sentant les sillons de ses muscles glisser sous ses doigts. Par chance, la femme ne va pas insister, préférant faire la morale à son mari pendant que Li et son garde du corps en profitent pour filer gardant une position serrée. Souta en profite toujours, ne décrochant pas de son sein, est-ce une technique pour chasser tous ses tordus, c’est bien trouvé… Enfin, c’est ce qu’elle croyait jusqu’au moment où Souta s’excuse car c’était juste un oubli… Comment omettre qu’on tripote sa patronne ?

- Ça va pour cette fois…

Li n’allait pas faire un tapage ici de toute façon, crier n’était pas la meilleure des choses à faire et de toute façon il allait d'ici peu partir. À l'étage, Li rentre dans la première pièce ouverte qu’elle croise.

- Un vestiaire, je vais pouvoir chercher quelque chose à me mettre sur le dos.

Elle commence à s’approcher des casiers, les premiers sont fermés avec un cadenas, un ouvert ne renferme que des crackers, des tampons et des photos d’hommes nus, elle s’attaque à la deuxième ligne quand une voix familière rugit du corridor.

- Poussez-vous ! Je vais défoncer la gueule de cet enculer et éclater le cul de sa gonzesse.

C’était bien la voix d’un des malabars que le duo avait croisée avant d’arriver ici, ils avaient dû parvenir à ouvrir la porte depuis tout ce temps. Li regarde dans la pièce, il y a qu’une lucarne avec des barreaux à l’extérieur et traverser maintenant dans le couloir n’était clairement pas la meilleure des choses à faire… Il savait que Souta était armé, il avait dû s'équiper aussi. Li sans sa robe pouvait passer inaperçue, son garde du corps moins il pouvait à peine se dissimuler dans le vestiaire et la voix de l’homme arrivait presque à eux. Cette fois, c’est Li qui prit l'initiative pour les tirer de ce bourbier sans des éclaboussures de sang… Car tirer dans cette maison close était franchement une mauvaise idée pour le reste de l’aventure.

La patronne plaqua son employé contre une rangée de casiers, entrouvrant celui qui pouvait s’ouvrir pour masquer le corps de Souta, sans attendre elle baissa son blue-jean ainsi que son sous-vêtement tout en se mettant à genoux c’est à cet instant qu’elle vit qu’il était déjà en train de bander. Pas le temps de lui demander pourquoi ! Li prit entre ses lèvres le membre devant elle pour percer l’entrée de sa petite bouche et au même moment le gorille rentra dans la pièce.

- Mon gars ! C’est un joli petit lot que tu as là !

L’homme resta à l’entrée du vestiaire, s’appuyant contre l’encadrure de l'entrée pour reluquer la scène, il ne devait voir que Li qui coulissait sur le sexe de Souta qui était bien caché normalement.

- Touches-toi en même temps grosse cochonne, on aime vous entendre couiner pendant qu’on se fait sucer !

Il n’allait pas bouger, tant que Li n’allait pas le faire, à genoux elle écarta ses cuisses pour glisser un doigt le long de sa fente pour stimuler son clitoris et commencer à pousser des gémissements pendant qu’elle continuait d’engouffrer le sexe de Souta dans sa bouche, bavant dessus.

- Tu mouilles sale chienne.

Une remarque que Li aurait voulu empêcher, oui elle mouillait, son antre débordait de cyprine depuis un moment. Ce bordel ne la laissait pas non plus insensible, voir ses hommes et ses femmes s’emboiter à chaque recoin et cette intimité avec Souta juste avant, le sentir contre elle. Sa main brûlant englobant son sein pour le pétrir lascivement, l’avait fait grimper plus rapidement dans les tours que ce qu’elle pensait. Et dans tout ça l’homme pour l'instant restait à les observer, est-ce qu’il allait partir à un moment pour chercher notre duo dans une autre pièce ou juste profiter du spectacle jusqu’à la fin.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : En tête-à-tête, en tête-à-queue. - Souta et Janus

Réponse 9 mardi 29 mars 2022, 07:39:53

Merde alors, ces mecs lâchent jamais l'affaire on dirait. Comment ils savent qu'on est là d'abord ? Si la cliente n'avait pas eu son "accident" on serait déjà loin à l'heure qu'il est. La visite des vestiaires est devenu plus risquée que prévu en l'espace de quelques secondes et je vais devoir me débarrasser de ce gros débile rapidement avant qu'il n'attire l'attention des mauvaises personnes.

Tout à l'heure j'avais sorti le flingue car ils étaient trois et qu'on n'avait pas de temps à perdre en bagarre inutile. Face à un adversaire isolé ce ne sera pas nécessaire. Quelques baffes, une clé de bras et le tour sera joué en moins de temps qu'il le faut pour dire ouf.

Sauf que je n'ai même pas le temps d'engager le combat que je sens qu'on me pousse en arrière. Comment c'est possible ? Il a un complice dont je n'ai pas remarqué la présence ? En tournant le regard en urgence je constate que c'est Li qui est à l'origine de la chose.

- Hein ?

Et sans faire preuve de la moindre hésitation la voilà qui englouti ma queue à demie gonflée dans sa bouche. Je retiens un gémissement de plaisir et de surprise face à cette agréable attention de sa part. On avait clairement deux plans différent quant à la façon de gérer cette situation. Mais qui suis-je pour aller contre le souhait de ma cliente ?

Elle ne semble pas vouloir que je parle pour ne pas trahir ma présence. C'est pourquoi je me contente de l'observer. Le casier et les quelques lampes accrochées devant des miroirs font que je ne peux distinguer qu'à moitié son visage et mon sexe dans cette position. Les sons et mon imagination font le reste pour remplir les blancs. En plus de la voix du mec à l'entrée qui se rince l’œil.

Les secondes passent et je peux sentir ses lèvres aller et venir plus rapidement et efficacement contre ma peau veinée et sensible grâce à la salive qui s'accumule naturellement dessus. Pour une femme aussi rigide, sa pipe est sacrément perverse. A croire qu'elle a des heures et des heures d'expérience derrière elle. La majorité des femmes se retiennent sur la salive pour diverses raisons, même si certaines dans le lot prennent du plaisir à effectuer des fellations.

- Ouais, ce que c'est bon...

La remarque est lâchée de manière à ce que le type à l'entrée ne nous entende pas. De toute manière je ne fais qu'exprimer un fait. Cette interlude me permet de souffler un moment et vu que c'est elle qui s'est jetée sur moi, c'est forcément qu'elle doit en avoir envie dans un coin de sa tête.
Toujours est-il que j'en profite en me laissant aller. Permettant à mon sexe de poursuivre son évolution entre ses douces lèvres expertes pour gonfler et durcir davantage jusqu'à lui remplir la bouche complètement. Jusqu'à même commencer à sentir la pointe de ses dents. Plus loin on peut entendre une deuxième voix.

- Je les ai trouvé ! Ils se sont barrés dans l'immeuble d'à côté !

L'homme à la porte semble mitigé entre joie et frustration alors qu'il se caresse l'entrejambe de la main droite pendant qu'il mate le cul de Li en plus de ses mouvements de bras pendant qu'elle se touche à sa demande.

- Dès que j'ai fini avec ces deux-là je viendrai te prendre par tous les trous, petite pute.

De là où je me trouve je n'entends que des baragouinages. Les sons humides qui s'échappent de la bouge de cette "petite pute" à genoux face à moi en train de me sucer captent toute mon attention. Maintenant que je suis en pleine érection et chauffé à bloc, je ne fais pas attention en posant ma main sur l'arrière de son crâne pour bloquer sa tête et la faire avaler autant de viande que possible l'espace de quelques secondes avant de relâcher ma prise.

Sa tête repart alors en arrière et j'extirpe ma trique épaisse et luisante de sa salive de sa douce et savoureuse bouche couverte de salive en la regardant avec une envie bestiale dans le regard.

- On m'a rarement aussi bien sucé. J'vais avoir du mal à sortir d'ici et assurer une protection efficace avec la trique dans cet état.

Je commence alors à remuer les hanches tout en frottant mon gland contre ses lèvres. Le temps un instant ma bite glisse et fait se frotter ma tige couverte de salive jusqu'à la moitié de celle-ci sur le visage de ma cliente.

- Cette belle petite bouche me fait tellement envie que je pourrais en abuser si je m'écoutais.

Voilà que je me laisse emporter par mon excitation. La chaleur des lieux, le comportement de la cliente et son expertise dans le domaine n'aident en rien à la situation. Une chose est sûre, aucun de nous ne quittera cette pièce tant que je me serais pas vidé au moins une fois.
« Modifié: mardi 29 mars 2022, 08:30:41 par Souta et Janus »

Li Hua

E.S.P.er

Re : En tête-à-tête, en tête-à-queue. - Souta et Janus

Réponse 10 vendredi 01 avril 2022, 23:52:51

Le gros balourd ne voulait pas quitter la pièce, prenant trop de satisfaction à regarder Li pomper son garde du corps, même si de son point de vue lui ne le voyait pas, il avait juste un gros plan sur la mafieuse à genoux qui venait glisser sur le membre chaud de Souta. De son côté lui avait aussi l’air d’apprécier cette gâterie surprise que Li lui offrait pour ne pas se faire repérer… Elle était sûre qu’il allait vouloir se battre, mais ce n’était pas une des meilleures solutions, il aurait fait du bruit, le malabar aurait eu le temps de prévenir ses adjoints et les deux compères auraient dû fuir avec une patronne intégralement nue. Ils devaient se poser avant, se reposer avant d’aller rallier la planque et pour ça, Li était prête à y mettre de sa personne.

Sa petite bouche coulissait sur sa colonne qui était maintenant à son apogée, bien dure, bien droite, bien gonflée, Li leva les yeux dans sa direction, Souta se délectait de la conjoncture dans son coin. Il était comme un pacha, il n’avait rien demandé et le voilà avec une femme à genoux qui s’occupait de lui en gémissant. Les doigts de Li flânaient en permanence sur sa perle de plaisir qui se montrait de plus en plus vulnérable et gonflée, tirant des couinements plus longs à la mafieuse.

- Ehnnn.

Ses lèvres moelleuses de la patronne se serraient sur le vif de Souta, sentant les veines enflées, elle s’aventurait de plus en plus loin, rentrant le morceau de chair plus intensément dans sa petite gueule d'ange. Son nez venait à flirter avec son bas-ventre, ses poils chatouillant ses narines avant de retourner en arrière pour aspirer son gland. La salive de Li, maculait son pieu jusqu’à couler à ses bourses gonflées. Sa petite langue n’était pas en reste, tournant autour du gland, se faufilant vers l’urètre pour y collecter le présperme qui sortait en filet. Et la libération de Li allait arriver, le gorille décida de partir, ajoutant qu’il allait revenir pour la baiser. Mais bien sûr, Li allait reculer sa tête pour reprendre sa respiration quand Souta lui attrapa la tête pour profiter encore quelques instants de la petite bouche de sa patronne, avant de la lâcher.

La mafieuse recula sa tête prenant une grande aspiration, regardant son garde du corps dans les yeux pendant qu’un filet de bave mélangé à du sperme reliait encore sa verge à ses lèvres. Elle enleva ce filet, avec sa main qui caressait son intimité, laissant sur ses lèvres une traînée de cyprine, pendant que Souta s’amusait à frictionner son gland contre le visage de sa patronne.

- Parfois, il est bon de ne pas s’écouter. C’était pour nous sauver la mise et éluder une bagarre dans ce bordel.

Li colla une dernière fois ses lèvres contre le vif de Souta laissant s'évader son souffle chaud, avant de se redresser devant lui, passant ses doigts dans sa bouche pour retirer la totalité de mouille qui se trouvait dessus.

- Je suis certaine que vous allez préserver ma sécurité encore mieux qu’avant, on ne sait jamais, une situation similaire pourrait se reproduire, il serait déplorable qu’il m’arrive quelque chose et que je ne puisse pas faire diversion. N’est-ce pas ?

La patronne entra son majeur entre ses lèvres pour parfaitement le nettoyer, entrouvrant la bouche, Souta pouvait voir sa petite langue pivoter autour comme elle l’avait fait avec son gland quand elle était à genoux devant lui.

- Je suis certaine que vous allez parvenir à vous détendre, le temps que je trouve des vêtements.

Dans un son humide, elle retira son doigt de sa bouche pour se retourner examiner les casiers, son bassin basculait sous le nez de Souta qui n’allait pas l’aider à se calmer. Li força les casiers devant elle qui étaient comme les autres fermés, juste un semblait s’ouvrir, se trouvant en bas à même le sol. Pour contraindre la porte, Li n’avait pas le choix et devait se placer à genoux encore une fois. Les cuisses écartées, elle commença à tirer sur la porte qui était si rouillée qu’elle lui donnait de la résistance jusqu’au moment de céder et c’était le jackpot… Derrière la porte se trouvaient des habits en boule, Li devait juste trier ce qu’elle voulait.

- Il va falloir se satisfaire de ça, je crois…

Li se pencha en avant pour bien explorer le casier, affichant ses fesses tendues devant son garde du corps ainsi que sa petite chatte rose toute mouillée, ainsi entre ses cuisses elle avait l’air si serrée, étroite s’ouvrant à peine malgré sa position. Sa fente fine et minuscule brillait de son excitation, car Li essayait de le masquer, de feindre son désir, son envie de baiser ! Et c’était complexe, n’arrêtant pas de frétiller, de remuer son bassin pendant que son bas-ventre la démangeait.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : En tête-à-tête, en tête-à-queue. - Souta et Janus

Réponse 11 lundi 04 avril 2022, 12:31:27

Des mensonges ou des excuses bidons j'en ai entendu un paquet dans ma vie. Et celui de la situation d'urgence ne tient pas une seconde car elle pouvait très bien faire semblant vu que l'autre couillon ne pouvait pas voir sa tête de là où il était. Sans parler du fait qu'elle prenait clairement un malin plaisir à venir se remplir la bouche toute seule au lieu de se contenter du strict minimum.

- Ouais, je peux rien dire sur la qualité de la diversion.

Toujours est-il que je bande comme un âne avec une trique tendue et gonflée à bloc. La chair de poule recouvre la peau de mes bras brûlant sous mes vêtements alors que mon rythme cardiaque s'est légèrement accélérée entre ses caresses et la risque de nous faire prendre. Là je n'ai qu'une envie : la plaquer face contre un casier et l'ouvrir comme un possédé.

Surtout que cette allumeuse ne fait rien pour m'aider à me calmer entre ses propos et ses gestes aguicheurs. Même les sons produits par sa bouche quand elle se nettoie les doigts me font un effet pas possible à cause de tout ce qui vient d'arriver.

Se satisfaire de ça ? Je ne trouve à lui répondre qu'un : - Ouais, on dirait bien.

Inutile d'être une lumière pour remarquer les traces d'humidité qui brillent presque alors qu'elle se dandine devant moi avec son cul parfait à l'air. J'ignore ce qu'elle bouffe ou quels sont ses loisirs. Mais ce cul a été fait pour être culbutée dans toutes les positions possibles et imaginables.

Je m'approche alors d'elle sans faire de bruit et me laisse glisser pour poser un genou au sol sur sa gauche. De là, je tend le bras dans son dos et laisse vagabonder mon index et mon majeur droit collés l'un contre l'autre pour ne faire qu'un avant de venir lui titiller sa chatte trempée.

- Il avait raison le salaud. C'est trempé là-dessous.

Tout en poursuivant mes délicates caresses, je laisse mon pouce se tendre pour se glisser au chaud entre ses miches toniques et moelleuses. J'initie alors un double frottage entre ses deux zones sensibles en lui glissant à l'oreille.

- On sait tous les deux comment les choses vont finir.

Je lui souffle alors à l'oreille en appuyant un peu plus sur ses lèvres intimes pour lui faire croire que je veux les pénétrer pour m'arrêter au dernier moment.

- Vaut mieux s'arrêter là pour maintenant. Je pourrais en profiter tranquillement quand on sera à la planque.

J'attrape alors un mouchoir en papier dans une boite posée pas loin et m'essuie la queue de toute la salive qu'elle avait laissé dessus pour prendre ensuite mon temps à la remettre bien au chaud en observant ma bonnasse de cliente s'habiller sous mes yeux. Chaque femme à ses atouts. Alors qu'elle c'est limite la perfection incarnée. Sa gueule d'ange, sa grosse paire de nichons, son cul parfaitement rebondi et potelé qui te donne envie de le claquer ou de croquer dedans.

Une fois à la planque elle risque de ne pas être tant en sécurité que ça avec moi dans les parages. Chaque chose en son temps cependant.
Désormais prête, je passe devant elle pour quitter la pièce et redescendre l'escalier quand on entend des voix énervées. Les deux types de tout à l'heure sont revenues dans le bâtiment car ils savent que l'on n'était pas finalement pas dans celui d'à côté.

Je tire alors Li par le poignet pour l'attirer dans une chambre qui devrait donner sur un immeuble d'appartements. Heureusement il y a une fenêtre ouverte de chaque côté. Reste à espérer qu'on puisse y accéder sans trop de galère.

Li Hua

E.S.P.er

Re : En tête-à-tête, en tête-à-queue. - Souta et Janus

Réponse 12 dimanche 10 avril 2022, 18:10:35

Li la tête dans le casier, fouille les vêtements, tirant ce qui peut estimer être intéressant à enfiler ne portant pas attention à son garde du corps sur l’arrière, quand elle éprouve un frisson monter dans son dos, au point de la faire se redresser. Son buste se lève abruptement, ses mains se collent contre le casier pour préserver l’équilibre, pendant que ses fesses sont continuellement tendues sur l’arrière offerte à Souta qui venait de coincer ses doigts contre son antre humide. S’amusant à tourmenter sa fente, ajoutant bien vite son pouce qui vient ouvrir ses fesses pour s’y faufiler, flirtant entre ses deux zones vulnérables.

- Ehn… Souta…

La voix lascive de la mafieuse glisse entre ses lèvres à moitié fermées, sa tête bascule en arrière en fermant les yeux, ses tétons déjà dressés vers le haut deviennent encore plus durs, plus sensibles gonflant à outrance pour buter contre le casier juste devant. Son garde du corps insiste sur ses lèvres intimes, les écartant délicatement, avant de se retirer laissant un filet de cyprine égoutter sur les cuisses de Li, toujours cambrée contre le casier.

- S’amuser comme ça avec sa patronne…

Li tourne la tête vers son garde du corps, ses joues légèrement écarlates, elle l’avait pris en bouche pour les protéger de son côté lui avait juste voulu s’amuser un peu et forcer la détente pour l’enflammer encore plus. La mafieuse savait aussi jouer, elle allait lui attester pour le reste du chemin et l'arrivée à la planque. Li n’aime pas qu’on s’amuse comme ça avec elle.

Souta est réellement passé à autre chose, essuyant son vif avec des mouchoirs, Li de son côté plonge de nouveau dans le casier pour obtenir des vêtements frottant ses cuisses l’une contre l’autre sous l’effet de l’excitation. Elle a du mal à passer à autre chose. Elle se lève pour endosser un top blanc avec des fausses perles dessus avec écrit : I <3 big dick, en dessous ses tétons sont toujours bien dressés et gonflés tirant sur le tissu en coton. Pour le bas, elle passe une jupe plissée bleutée qui lui arrive à mi-cuisses avec une gigantesque ceinture autour de la taille qui était cousue directement dessus… Rien n’allait ensemble. Après il ne fallait pas s’étonner, on était dans un bordel les filles avaient des vêtements en conséquence même dans des casiers. Elle n’avait pas mis de sous-vêtement, ne voulant pas porter une culotte appartenant à une inconnue, logique.

- C’est véritablement… Dégradant.

Li s'aperçoit dans un miroir, elle est épouvantable, comment une dame comme elle se retrouve dans ce genre d’accoutrement. Elle détache ses cheveux qui lui arrivent au niveau de l'articulation de ses genoux, elle prend un élastique avec des cerises qui traînent là pour faire une interminable queue-de-cheval pour ne pas être gênée pendant ses déplacements.

Prête, le duo reprend sa route, très vite coupée par les aboiements des deux gorilles qui sont déjà de retour dans l'édifice. Souta attrape sa patronne pour la traîner dans une chambre et chercher une sortie rapidement, ne voyant que la fenêtre…

- Sauter…

Li se tourne vers Souta, le regardant avec des gros yeux, il n’y a pas le choix c'est la seule issue surtout que les voix se rapprochent de plus en plus et qu’il est possible d’entendre les portes de l’étage claquées. Elle soupire, pour se placer à la fenêtre, elle regarde vers le bas, il n’y a que deux étages de hauteur mais une chute même de cet intervalle peut faire mal, voire fatale. Li va passer la première, si les malabars arrivent dans la pièce, Souta pourra gagner du temps.

- Tenez-moi.

Li monte sur le radiateur pour se poster sur le bord de la fenêtre, la pluie qui persisté de tomber n’aide pas à avoir une bonne stabilité même avec son garde du corps qui l’aide à se maintenir. La mafieuse prend une importante inspiration avant de se jeter en avant, poussant avec ses jambes de toutes ses forces pour franchir le vide jusqu’à l’autre fenêtre. Son ventre s'écrase contre le rebord, son buste est dans le bâtiment pendant que ses jambes sont dans le vide, ses pieds cherchant une prise pour se hisser. La mafieuse sent son cœur s’emballer dans sa poitrine, quand elle arrive enfin à atteindre un appui sur une pierre pour l’aider à se tirer vers le haut.

Son buste passe de plus en plus, elle met sa tête vers le sol pour faire un contrepoids vers le bas, elle commence à s'écrouler dans la pièce de l’appartement sans savoir où elle se trouve exactement. Quand, Li sans un nouveau problème arrivé, elle n’arrive plus à descendre elle se trémousse dans tous les sens, sans parvenir à tomber. La tête en bas, les jambes toujours en dehors avec sa jupe qui descend sur son buste laissant encore une fois apparaître ses fesses et son antre cette fois sous la pluie. Le t-shirt de la mafieuse est venue se bloquer dans les rails du radiateur, mais le pire reste la ceinture de sa jupe qui s'est accrochée dans le sillon de la fenêtre la paralysant totalement quand elle veut aller vers l’avant.

- Rahnnnn… Ce n’est pas croyable…

Li attrape le radiateur pour s’aider à progresser sans effet, restant dans cette situation honteuse, ses fesses nues par la fenêtre remuant sous la pluie. Souta avait encore la place pour passer, mais il allait devoir faire attention Li prenant quand même une bonne moitié de l’encadrement de la fenêtre.

Souta et Janus

Humain(e)

Re : En tête-à-tête, en tête-à-queue. - Souta et Janus

Réponse 13 lundi 11 avril 2022, 07:40:22

La situation est loin d'être alarmante même si chaque seconde compte pour pouvoir nous mettre à l'abri et souffler un peu avant de reprendre notre route. Personne ne sait où l'on se trouve, ce qui nous permet de pouvoir progresser et changer d'immeuble sans avoir à nous précipiter. Aller trop vite c'est aller à l'encontre des problèmes.

C'est pourquoi je prends le temps d'aider ma patronne à passer par la fenêtre ouverte pour atteindre un immeuble voisin afin de s'y réfugier un bref moment. Sauf que je ne m'attendais clairement pas à la voir se coincer avec les jambes qui remuent en plus d'observer qu'elle se trouve encore le cul à l'air.

- C'est un sketch.

La distance m'empêche de pouvoir l'atteindre avec mes bras. Il me faut un objet, quel qu'il soit, pour pour me permettre de l'a faire avancer et dégager l'accès pour m'échapper d'ici à mon tour. C'est alors que je finis par trouver un balai. Je le saisis par la brosse pour éviter de frotter la partie sale sur elle et je tente d'en diriger la pointe sur une de ses fesses et commence à pousser. La manque de stabilité et la pluie n'aident pas car je vois cette même pointe glisser pour venir se coller entre ses fesses pour s'y coincer.

Je tire alors en arrière pour retenter ma chance. Cette fois c'est contre sa fente luisante et trempée avec laquelle je me suis amusé plus tôt que l'objet termine sa course. Il me faudra pas moins de dix essais pour parvenir enfin à la faire passer complètement.

C'est alors que j'entends des bruits de pas et des voix s'approcher dangereusement de la porte où je me trouve. La patronne m'a demandé de ne pas faire de vagues. Sans la moindre hésitation je fonce à mon tour à travers la fenêtre pour sauter jusqu'à atteindre sans souci le bâtiment d'en face. Au point d'oublier que ma cliente devait être sur ma trajectoire.

Cela ne loupe pas car je me retrouve à l'emmener avec moi alors que je roule sur le sol de ce qui semble être une grande pièce vide. Après plusieurs secondes nos deux corps s'arrêtent et je me retrouve sous elle la tête coincée au creux de sa généreuses poitrine comprimée dans son haut criard au message vulgaire.

Mes deux mains d'abord posées sur son dos glissent toutes seules jusqu'à se saisir de son cul humide et à découvert avec sa jupe qui s'est logiquement relevée à cause de ces mouvements brusques et désordonnés.

Je fais alors en sorte de changer nos positions pour me retrouver cette fois au-dessus pour la regarder dans les yeux après avoir enlevé mes mains de son postérieur pour ne pas qu'elles se retrouvent coincées.

- Ca commence à faire beaucoup là, non ?

Malgré la pluie qui couvre grandement les sons et la distance qui sépare les deux immeubles, on peut entendre les voix de nos deux poursuivants.

- Ils sont pas là non plus ! Putain, fais chier !

Un grand sourire aux lèvres, je m'amuse à glisser une main contre sa vulve trempée pour jouer un peu plus avec elle étant donné que cela n'avait pas l'air de la déranger quand j'ai tâté le terrain dans les vestiaires il y a quelques minutes.

- Ils ont perdus notre trace.

La première phalange de mon majeur s'immisce très légèrement entre ses lèvres intimes serrées sans aller trop loin pendant que je rajoute d'une petite voix :
- Cette petite chatte est à l'abri... pour le moment.

Ma main s'éloigne ensuite de son intimité pour remonter lentement le long de son corps, en passant par sa poitrine aux pointes dresses, pour venir attraper sa main et l'aider à se relever.

- Faudrait pas qu'on traîne trop. A se balader le cul à l'air, vous allez attraper froid.

Le fait de ne pas avoir froid aux yeux n'y changera rien du tout. Ceci étant, j'ai vraiment du mal à cerner cette femme. Elle semble si attachée aux apparences au premier abord alors que se balader à moitié à poil ne lui fait absolument rien. N'importe qui d'autre serait trop gênée pour faire un peu en avant dans la même situation.

L'immeuble dans lequel on se trouve semble être abandonné. Ou alors en pleine rénovation car il y a des bâches et des sacs de terre ou de ciment un peu partout. Peut-être même qu'il peut s'agir d'un cimetière de mafieux. Ces types adorent enterrer leurs cadavres de cette manière pour ne pas qu'on les retrouve.

Passer par les toits serait trop risqués. Nous allons devoir tenter notre chance en redescendant jusqu'au rez-de-chaussée et en reprenant les petites ruelles. Reste à espérer qu'on ne fera pas une énième rencontre bizarre.
« Modifié: lundi 11 avril 2022, 07:57:30 par Souta et Janus »

Li Hua

E.S.P.er

Re : En tête-à-tête, en tête-à-queue. - Souta et Janus

Réponse 14 samedi 16 avril 2022, 21:51:06

Li se retenait de ne pas brailler pour ne pas ameuter tout l’immeuble dont les immenses gorilles qui les cherchaient dans les pièces voisines, rongeant son frein en essayant de se débattre comme elle le pouvait de son côté. En levant la tête, elle remarqua que c’était cette maudite ceinture qui était coincée dans la fenêtre… Les prostituées ont véritablement des goûts horribles, en plus d’être effroyable visuellement ce n’est pas pratique.

- Ehnnn.

Les mains de Li forcent sur le chauffage quand elle sent un objet rond se placer entre ses fesses.

- Que ? Que faites-vous ?

Un marmonnement que Souta ne peut pas comprendre dans l’autre immeuble, avec la pluie qui tombe en plus créant un rideau, impossible que Li arrive à se faire comprendre la tête en bas. Elle sent encore une fois l’objet au bout rond se fixer, cette fois contre son antre humide écartant ses lèvres pour se retirer… La patronne se met à remuer avec plus d’énergie tirant le plus fort possible sur le radiateur, plus vite elle se libère plus vite son garde du corps arrêtera de la bousculer. Le bout rond vient entrer en relation plusieurs fois après sa peau, touchant encore ses fesses, son intimité, rentrant dans son épiderme quand le moment de la délivrance arrive. Les coutures autour de la ceinture viennent à capituler la laissant sur le carreau et laissant Li se renverser intégralement dans l’immeuble lui laissant échapper un gémissement de libération.

La main sur sa poitrine, Li prend de larges inspirations, le sang commençait à lui monter à la tête, son visage est rouge pivoine avec des gouttes de sueur au niveau de la racine de ses cheveux. Pourtant, elle n’a pas le temps de se délecter ce moment, elle doit faire signe à Souta qu’il peut traverser et lui tendre la main pour l’aider si besoin avant que les malabars arrivent pour l’embarquer. Li se met sur ses genoux pour se redresser en face de la fenêtre, sauf qu’elle n’a pas le temps de se soulever complètement qu’une ombre vient barrer sa vision.

Sa mâchoire claque sous le choc, Souta venait de l’embarquer dans sa chute, roulant sur le côté pour s’arrêter un peu plus loin de la pièce. Li avait la tête qui tournait avec toutes les acrobaties qu’elle venait de faire, restant allongée sur Souta le comprimant entre sa poitrine sentant uniquement ses mains appuyées contre ses fesses fermes. Ce n’est pas terminé, d’un simple déplacement de bassin son garde du corps envoie sa patronne sans scrupules sur le côté pour se mettre à cheval sur son bassin, la dominant de sa stature.

- Vous…

Li le pointe du doigt prête à enchaîner quand elle entend les voix des malabars dans l’appartement à côté lui coupant la parole, elle ne va pas se risquer à causer à ce moment sous peine de se faire détecter. Souta vient en tirer profit passant ses doigts sur sa vulve moite, la mafieuse vient se mordre la lèvre du bas pour ne pas faire de bruit, se tortillant sous les cuisses musclées de son garde du corps.

- Ehnnnn…

Juste des gargouillis sortaient de ses lèvres closent, le volume montant quand il entreprit à plonger son doigt dans son antre serré, ne le laissant pas traverser même avec toute son humidité présente. Il s’arrête, ne forçant pas le passage préférant remonter sur le corps de Li, laissant une traînée moite sur les vêtements qu’elle portait.

- Je ne risque pas d’attraper froid à l'heure actuelle.

Li était en feu, son corps respirait la luxure à ce moment, elle avait du mal à se maîtriser et son corps criait à la baise. Sa petite chatte serrée dégoulinait de cyprine, tachant ses cuisses, ses tétons étaient gonflés à outrance sous ce t-shirt trop petit pour les maîtriser comme il faut. Souta l’aide à se relever, ses jambes tremblantes frottaient l’une contre l’autre pour faire baisser la pression dans son bas-ventre.

Elle ne rajoute rien passant devant, elle prenait des importants inspirations pour se détendre et faire descendre la pression. L’immeuble était vide, entièrement en ouvrage, sans lumière elle faisait attention où elle marchait pour ne pas choir une nouvelle fois. Ils arrivèrent assez vite en bas, il allait quitter du bâtiment quand une ombre se leva sur la façade. Li se retourna pour coller Souta contre le mur, tirant sur le haut de son pantalon pour faire rentrer sa main à l'intérieur, attrapant son vif pour le masser. La main adroite de la mafieuse glisse langoureusement sur le sexe de son garde du corps, alors que l’ombre apparaît laissant place à un chien errant.

- Fausse alerte…

Li ricana se collant contre son garde du corps, son souffle brûlant frôlant son cou plongeant sa deuxième main dans son pantalon pour y agripper ses bourses pleines.   

- Vous n’allez pas attraper froid non plus avec la température qu’il fait ici.

La mafieuse fit claquer ses lèvres, retirant ses mains après être sûr que Souta était bien dur.


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