Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Franchir la frontière du bon sens (jack+ava)

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Ava Morris

Humain(e)

Franchir la frontière du bon sens (jack+ava)

mardi 25 janvier 2022, 17:27:29

La télévision tourne en arrière-plan, accompagnée du grincement de la cafetière derrière. Les bruits animent le salon dans lequel Erin patiente, seule. Son attention est portée vers son écran, dans ses mains ; une série de sms y défilent et témoignent de l’excitation naissante. L’homme ne devrait tarder à arriver pour réviser. C’était ce qu’il était convenu au départ mais la situation avait dérapé depuis quelques heures déjà. Détachée de l’échange sulfureux par un bip sonore, l’étudiante se lève, péniblement.

« Tu veux du café ? »

Sa voix s’élève à l’encontre de son jumeau, enfermé dans sa chambre. Mais toute réponse, si tant est qu’elle existe,  est étouffée par l’arrivée soudaine de son copain et l’utilisation de leur désagréable sonnette. De brefs salutations, elle l’invite à patienter dans sa chambre le temps qu’elle finisse de remplir les tasses. La sienne prise, celle pour son frère laissée sur le plan de travail, elle le prévient avant de retrouver son amant :

« Au cas où, je te l’ai laissé dans la cuisine. Je vais réviser avec James. »

L’homme rejoint, Erin laisse la porte entrouverte, volontairement.
Leurs révisions peuvent débuter. Mais s’ils semblent partis pour respecter leur engagement, seulement dix minutes après, l’ambiance change. Très vite, les grincements du lit accompagnent les gémissements indiscrets de l’étudiante et elle ne fait aucun effort pour les dissimuler. Son jumeau et les voisins deviennent tous, malgré eux, les spectateurs de leurs ébats, ébats très courts cela dit. Être entendue aura été le seul véritable plaisir d’Erin face à la précocité de son partenaire. La honte accompagnant son incapacité à la satisfaire, il prétexte une fausse urgence pour disparaître, à peine rhabillé.

Surprise, énervée, la jeune femme reste là plantée dans son lit plusieurs minutes. Comment avait-il pu oser ? Sérieusement ?
Il faudra le temps d’une douche pour lui permettre de calmer ses esprits et chasser l’envie de le poursuivre et régler ses comptes avec lui. Sortie de la salle de bain, vêtue d’une culotte échancrée noire, d’un t-shirt serré, elle pénètre sans gêne dans la chambre de son frère. Sans lui prêter attention, elle profite qu’il soit installé à son bureau pour squatter son lit.

« T’as pensé à prendre ton café ? S’enquit-elle, en premier lieu avant de pester. Putain. C’est pas possible qu’il soit nul au lit, si ? Puis le coup de “on baise puis je me casse” mais quel connard ! »

Erin n’a jamais été pudique avec son jumeau. Proche de lui, elle lui raconte autant ses états d’âme que les détails de ses parties de jambe en l’air. Et à l’inverse, la demoiselle s’intéresse tout autant à celles de son frère, inexistant pour l’heure. Mais elle y travaille.

« Ah. Au fait, la pote que je t’ai présentée, tu te souviens ? Tu ne l'as pas convaincue et elle s’est déjà trouvé un autre mec. A ce rythme, à quarante ans, tu seras encore puceau, c’est pas possible. J’ai l’impression que plus je te présente de meufs, plus tu deviens empoté. »

Le fil de la discussion a vite changé. D’elle à lui. Ca lui évite d’attiser sa colère envers l’autre con et de l’oublier, un instant. Son attention est ainsi focalisée sur son jumeau, à qui elle jette des regards discrets.

« La seule solution, c’est que je m’occupe moi-même de ton cas. »

Si le ton emprunté semble léger, ses paroles sont sérieuses. Proche de lui, peut-être trop, ses parents avaient déjà remarqué dans leur adolescence qu’elle allait souvent trop loin -sans franchir une ligne incestueuse- ; elle aimait se faufiler dans son lit la nuit pour dormir à ses côtés ou discuter avec lui pendant qu’il prenait sa douche. Des limites claires avaient été posées. Et de peur de s’attirer leur colère, Erin était devenue presque sage, elle avait essayé de repousser son attirance pour lui, de l’ignorer. Jusqu’à aujourd’hui où ce dernier recours pour le décoincer, tâche qu’il lui tient vraiment à cœur, devient un prétexte pour franchir la ligne.
Mais la jeune femme ne va à sa rencontre, tout de suite. Elle reste posée sur son lit, curieuse d’observer sa réaction.

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Franchir la frontière du bon sens (jack+ava)

Réponse 1 mardi 25 janvier 2022, 19:03:06

“Non merci.”

Le nez plongé dans l’épais recueil relié de jurisprudence de la Cour suprême, Erik n’a pas réellement prêté attention à la question de sa sœur. L’arrêt qu’il étudie l’intrigue, le raisonnement des juges lui échappe. il fait la moue, remonte sa paire de lunettes sur son nez. Sans ses verres épais, Erik est presque beau gosse, mais il ne voit pas grand-chose. La décision est éminemment politique, ce qui explique la faiblesse du syllogisme employé, constate-il en tournant la page jaunie par le temps. La sonnerie de la porte d’entrée le fait sursauter et il étouffe un juron. La foutue manie de James de laisser son doigt appuyé sur la sonnerie pendant exactement quatre secondes, chaque fois qu’il se pointe à l’appart. Erik ne se lève pas pour le saluer. Il n’en a pas envie, et les deux étudiants ne s’apprécient guère. Réviser avec James. Le jeune homme esquisse un sourire, avant de prendre quelques notes sur son ordinateur portable. Le DM qu’il prépare pour le lendemain matin est quasiment achevé et il escompte bien écraser la concurrence, une fois encore.

Mais sa concentration est mise à l’épreuve par les petits gémissements de sa sœur, qui finissent par retentir dans tout l’appartement, par le claquement de la tête de lit qui cogne contre le mur de la chambre. Elle abuse. Il a un tic nerveux, grogne de dépit. Toujours cette irrépressible jalousie. Son sexe gonfle lentement alors qu’il imagine James aller et venir entre les jambes fuselées de sa sœur. Agacé, il écrase son chibre de la main droite, à travers l’épais tissu de son jean, le caresse nerveusement de la paume de sa main… Mais s’interrompt lorsque sa sœur cesse de gémir. Deux minutes, sérieusement ? Il lève les yeux au ciel, parvient à retrouver sa concentration l’espace d’une quinzaine de minutes.

“Mh ? Ah, du café. Non j’ai oublié”,
rétorque-il d’une voix un peu lointaine, avant de faire pivoter son siège pour se retourner vers son intrue préférée.

A sa moue courroucé, il devine que sa partie de jambe en l’air n’a pas été satisfaisante. “T’as qu’à mieux les choisir.” Il hausse les épaules, toujours un peu fâché contre elle. Il a du mal à comprendre pourquoi elle lui impose ses ébats, sachant à quel point elle…Non, évidemment. Elle ne sait pas à quel point elle l’excite et elle ne doit jamais le savoir. Il se rembrunit, s’efforce de ne pas laisser trop longtemps traîner son regard sur le corps gracile de sa jumelle.

“Ta pote. Laquelle ? La rousse avec le sac vert, les bottines marrons et le verni un peu écaillé ? Ouais, je l’aimais pas trop...”

Il rougit légèrement. Il ment, et Erin le connaît bien trop pour ne pas s’en apercevoir. La fille lui a plu et la conversation avait bien commencé, jusqu’à ce qu’Erik ressente le besoin de lui expliciter les détails de la bataille de Fort Donelson. Nul, il est vraiment nul. Il n'a jamais rien compris aux nanas, ni à leurs centres d’intérêt. Alors il se réfugie dans le porno depuis des années et ressasse des fantasmes inavouables.

“Bah ouais, évidemment, je ne vois plus que cette solution, t’es la seule meuf à être capable de me supporter plus de vingt minutes”. Petite pause. Il observe l’air singulier de sa sœur, poursuit. “Enfin, la plupart du temps.” L'atmosphère est étrange, lourde, et Erik n’est pas à l’aise avec les images mentales qui s’imposent à son esprit. Embrasser Erin. Enfouir son visage entre ses cuisses diaphanes. Écraser sa queue contre sa vulve poisseuse. Il esquisse un sourire gêné.

“Tu plaisantes, hein ?”

Comme lui, Erin a une sexualité envahissante, exacerbée. Lorsqu’elle n’a pas eu sa dose, il lui d’être excessivement provocante, de le charrier sur sa vie sexuelle, sur la quantité de mouchoirs dégueulasses dans la poubelle de sa chambre ou sur l'état des boxers qu'il balance dans le sèche-linge. Mais cette fois-ci, c’est différent et Erik a l’impression d’être au bord d’un précipice. Est-ce qu’elle n’aurait pas découvert les photos d’elle en sous-vêtements qui traînent sur son téléphone ? Rien de vraiment problématique, mais…

“Hé, pourquoi pas. T’es pas si mal.” Il déglutit. Se cacher derrière un humour douteux semble être sa seule porte de sortie. Ses yeux se plantent dans ceux de sa soeur mais cette fois, il est incapable de retourner le regard. “Erin.” Commence-il, sans savoir comment terminer sa phrase.

Ava Morris

Humain(e)

Re : Franchir la frontière du bon sens (jack+ava)

Réponse 2 mardi 25 janvier 2022, 20:32:37

Au fil de la conversation, Erin se relève pour venir s’asseoir en tailleur face à lui, plus à l’aise pour l’observer, le détailler. Elle l’a toujours pensé et affirmé : son jumeau est un véritable canon. C’est peut-être pour ça qu’elle n’a aucun mal à convaincre des potes de le rencontrer. Jusqu’à ce qu’elles se rendent compte de sa maladresse avec la gente féminine. D’ailleurs, le mensonge sur sa dernière rencontre réhausse ses lèvres en un sourire taquin. Ses rougeurs sont adorables autant que sa tentative de rejeter sa précédente prétendante. Elle prend un soin particulier à les choisir, de véritables bombes. Puis, même s’il ne l’avait vraiment apprécié, une véritable femme dans son pieu est toujours plus agréable que se branler devant un porno.

Mais les options s’amenuisent et il s’embourbe à chaque rencontre. De ce fait, elle s’est proposée. Il ne l’a pas cru. Vexée en premier lieu, l’étudiante n'a pas réagi, laissant le silence faire son œuvre. Peu à peu, Erik semble comprendre jusqu’à son humour. Erin décide de le prendre au sérieux, comme une invitation. Bien sûr, elle a compris la tentative de son jumeau mais il lui ouvre une porte qu’elle ne peut refuser.
Descendant du lit, à peine quelques pas les séparent et la jeune femme vient s’installer sur ses genoux. Collée à lui, ses hanches ondulent contre les siennes, à la recherche d’un contact satisfaisant.

« Pas mal, hein ? C’est suffisant. »

Sa bouche se glisse au creux de son oreille puis descend le long de son cou. Son souffle brûlant s’écrase contre sa peau avec quelques baisers fugaces. Ses mains rejoignent son jeans pour se saisir de sa braguette. Descendue, ses doigts narguent la bosse naissante, avant de la libérer de sa prison. Ils entourent la queue pour la gratifier de quelques caresses lascifs. Mais l’impatience la gagne, le rythme s’accélère. De ses deux mains, elle le branle. De haut en bas, le mouvement expert s’accélère ; elle y met toute son âme. Sa voix délicieusement chaude vient s’ajouter.

« Je suis tes conseils et je choisis mieux mon amant. Mais si tu veux t’arrêter là, je peux toujours rappeler James. Il est parti la queue entre les jambes mais si je le supplie de revenir me baiser, je suis sûre qu’il sera ravi de faire la route. »

Son désir, son corps ne réclame que son jumeau. Mais la frustration mêlée à l’excitation, Erin a un véritable besoin à combler, maintenant. Si jamais Erik se refuse à elle, l’incompétent ferait l’affaire pour réparer les pots cassés. Mais elle n’y songe pas encore, pas vraiment. Ses mots ne sont que pure provocation pour le faire céder à ses plus bas instincts. Ses mains s’arrêtent. L’une maintient son membre pendant qu’elle se surélève. Son gland se presse contre son entrée, protégée par sa culotte humide.

« Tu n’as qu’une seule chose à me dire pour que ta longue traversée du désert s’arrête, Erik. Je te promets que je m’occuperais si bien de toi que tu en oublieras tes pornos et tes soirées branlettes. »


Jack Taylor

Humain(e)

Re : Franchir la frontière du bon sens (jack+ava)

Réponse 3 mercredi 26 janvier 2022, 12:12:04

Lorsque sa jumelle se redresse, le premier réflexe d’Erik est de repousser sa chaise vers l’arrière, comme pour lui échapper. Il a toujours été le plus raisonnable des deux, c’est donc à lui de mettre un terme à cette situation. “Tu…” La jeune femme s’installe en amazone sur ses genoux, et Erik, les yeux écarquillés, retient sa respiration. Son front heurte celui de sa sœur, il sent le souffle tiède de sa respiration contre ses lèvres entrouvertes, le velouté de ses fesses épouser le renflement de son gros chibre, s’y frotter lascivement.

“Attends. On peut pas. Faire ça.”

Mais Erin le dévore. Féline, ses lèvres papillonnent sur sa peau. Erik ne sait que faire de ses mains, il soupire d’aise, remue son bassin. Il se trouve empoté, maladroit. Finalement sa paume droite se place entre les omoplates de sa sœur, les doigts de sa main gauche se posent sur sa taille. Sa peau est ferme, chaude. Ce n’est pas la première fois qu’il touche sa sœur. Il leur arrive encore parfois de se chamailler un peu pour rire. Ce corps gracile, il le connaît bien, mais il le redécouvre. Il se penche, dépose un baiser dans le creux de son épaule, un autre dans son cou.

“Putain putain.”

Il balbutie, alors que les doigts fuselés de sa sœur se battent avec la fermeture éclair de son jean. Incapable de se contrôler, c’est à son tour de remuer fiévreusement le bassin, pour mieux sentir la caresse de la pulpe de ses doigts. Enfin, elle abaisse son boxer pour libérer un épais veineux, surmonté d’un gland violacé, obscène, qu’elle empoigne. Erik se cambre, et un long gémissement guttural s’échappe de ses lèvres entrouvertes. Elle sait y faire, serre bien juste au dessous du gland lorsqu’elle commence à le branler. Un peu de foutre visqueux s’échappe de son méat, s’insinue entre les doigts serrés de la jeune femme.

“Non. Arrête pas.”
Le ton est plus affirmé.

Un tic agite sa lèvre inférieure alors qu’un relent de jalousie lui pince le cœur. Il peut faire mieux que ce naze, il en est persuadé. “Que James reste là où il est”, achève-il, amer. La prise de ses doigts se raffermit sur ses hanches et il la presse contre lui avec force. Erik est loin d’être un colosse, mais fidèle à la maxime de Juvénal - mens sano in corpore sano - il s’entretient régulièrement. “Ooh..” le cœur battant,  la bouche entrouverte, il la regarde se redresser, se hisser sur ses cuisses. Impatient, Erik grogne, se contorsionne. Sa grosse queue glisse sous le tissu de sa culotte, glisse contre les lèvres bavuves du sexe de sa soeur. Sa main libre quitte le dos de la jeune femme pour se glisser sous le T-shirt, et se refermer sur l’un de ses petits seins. Contre la peau de sa paume, il sent le mamelon érigé d’Erin, sur lequel il applique bientôt la pulpe de ses doigts.

Plutôt que de lui répondre - il en est bien incapable - c’est au tour d’Erik de se redresser, puis d’écraser ses lèvres entrouvertes contre la bouche de sa sœur. Le baiser est brusque, maladroit, mais passionné. Erik respire fort, sa langue caresse celle de sa jumelle. De la salive dégouline sur son menton, mais il en a plus rien à foutre. Ses entraves enflammées par le désir, il grogne d’impatience. Il a envie de la remplir, de la souiller.

“Vas-y. Met-la. J’ai envie.” Besoin, même.

Ava Morris

Humain(e)

Re : Franchir la frontière du bon sens (jack+ava)

Réponse 4 mercredi 26 janvier 2022, 20:30:56

Il a tenté de résister, de s’échapper, d’être la voix de la raison. Mais le désir les dévore et Erin sait se faire convaincante. La mention d’un autre achève d’attiser sa jalousie. Son œuvre est parfaite ; les dernières résistances sont tombées. Erik la surprend lorsque sa main vient à la rencontre de son sein. Un soupir satisfait franchit ses lèvres. Mais elle n'a pas le temps d’y réagir plus longuement que ses lèvres s’emparent des siennes. Il prend les devants pour un baiser fougueux. Ses doigts se glissent dans sa nuque, elle y répond avec la même ardeur. Sa langue mêlée à sa congénère, elle l’oublie sa maladresse pour se laisser happer par l’instant. Enfin, son jumeau la gratifie des mots qu’elle attendait tant, de l’expression de cet appétit dévorant.

Il lui aurait suffi d’un doigt pour écarter sa culotte et le laisser aller entre ses chairs. Mais les vibrations incessantes de son téléphone laissées sur le lit l’agacent. S’il est aisé de les ignorer, la sonnerie qui se joint à l’appel soudain achève sa patience. Les lèvres pincées, elle peine à se lever pour le récupérer. Erin ne quitte pas longtemps les genoux de son frère, juste le temps de l’attraper et de faire descendre sa culotte, au passage. Libérée de ce dernier rempart, le gland gonflé vient se caler contre son étroite entrée. Il la nargue sans que l’impulsion pour y pénétrer ne soit donnée. Avant de s'adonner à ce plaisir, de remplir ce besoin, l’étudiante consulte son téléphone.

Un nouvel appel intervient. Sa main vient brusquement clore les lèvres de son jumeau.

« Fais vite, lance-t-elle, agacée et frustrée en décrochant. La voix à l’autre bout murmure quelques mots incompréhensibles. C’est tout ? J’ai pas très envie de te parler là. De toute façon, on se voit lundi à la fac. »

L’homme insiste, cherche à prolonger la discussion.
Le bassin d’Erin se presse contre la verge tendue, sous son impatience incontrôlable. La sentir si proche sans pouvoir assouvir ce besoin vicéral est une véritable torture. Cependant, son gland fraye son chemin dans cette chaleur humide et elle étouffe de justesse un gémissement indésiré.

« Je suis pas disponible ce soir. Patiente un peu, ça te fera pas de mal. »

L’appel coupé au nez de son interlocuteur, elle pousse son bassin pour entamer la délicieuse pénétration. Le téléphone éteint dans la foulée, elle ne tarde pas à l'envoyer valser sur les bureaux. Sa main libère les lèvres de son frère pour les posséder des siennes. A son initiative cette fois, un baiser langoureux débute. Sa langue vient tout de suite chercher le réconfort de sa sœur.

« Enfin, susurre-t-elle contre ses lèvres. »

Elle arrive à sa garde et apprécie quelques secondes le contact divin de sa queue. Enfin comblée, ses hanches entament de rapides et amples mouvements pour apprécier chaque centimètre de son pieu dressé. Sa voix obscène ne tarde pas à partager son plaisir ; entre soupirs et bruyants gémissements interrompus, les voisins se font à nouveau spectateurs involontaires des ébats d’Erin. Ces bruits scabreux paraissent plus authentiques, qu’il y a quelques instants.

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Franchir la frontière du bon sens (jack+ava)

Réponse 5 jeudi 27 janvier 2022, 16:57:32

“Putain.”

Ses lèvres à quelques millimètres de celles de sa sœur, Erik fronce les sourcils, agacé. C’est l'autre, qui les interrompt. Ce qu’il peut le détester, de se tenir une fois de plus entre Erin et lui. Lorsqu’elle se retourne, il tente de lui attraper le poignet pour l’empêcher de s’emparer de son téléphone, mais elle est trop vive pour lui, et sourde à son grognement de protestation, elle bondit de ses genoux pour s’emparer de l’appareil d’une main, abaisser sa culotte de l’autre, pour dévoiler une jolie petite fente rose et luisante, soigneusement épilée. ‘“hm-mh.” La petite main d’Erin s’écrase sur ses lèvres entrouvertes alors qu’elle se réinstalle de nouveau face à lui, pressant le renflement de sa vulve poisseuse contre sa hampe. Le gland dérape, la grosse queue frotte contre les lèvres intimes de la jeune femme. De ses mains fiévreuses, Erik s’est emparé de ses hanches, enfonçant la pulpe de ses doigts dans sa peau tendre et tiède.

Vlan, le téléphone ricoche contre l’écran de son ordinateur portable et ses dents s’entrechoquent avec celle d’Erin lorsque brusquement, elle s’empale sur son gros gland. “Haa…” Stupéfait, il lui faut de longues secondes avant de répondre aux caresses de la langue de sa sœur, alors qu’il sent son chibre écarteler ses chair tendres et molles, jusqu’à ce que ses couilles ne frottent contre son intimité.

“Enfin”, répète-t-il, stupidement.

L’une de ses mains remonte entre ses omoplates pour se refermer sur sa nuque, afin de l’attirer encore plus près. La pointe de ses cheveux violets chatouille son nez, ses épaules. Elle sent bon le propre, sa petite salope de jumelle. Salope. Le mot résonne dans son esprit. Il a envie de l’insulter, pour se venger de tout à l’heure, pour la remettre en place, mais les mots ne franchissent pas ses lèvres. Contre ses lèvres, il l’entend couiner, gémir et soupirer, alors qu’elle s’empale sèchement sur son chibre. Arrimée à ses épaules, Elle le baise. Salope. Ses doigts remontent le long de sa nuque, se perdent dans ses cheveux. Il l’embrasse encore, nerveusement, accompagne le mouvement de ses hanches avec son bassin. Sous le poids de leurs deux corps en mouvement, l’antique chaise de bureau grince. Erik s’empare de la lèvre inférieure de sa jumelle, qu’il malmène du bout de ses dents blanches.

"Ça te plaît hm ? Salope”, ose-il enfin le coeur battant, les reins en feu.

Mais le téléphone vibre de nouveau, et Erik serre les dents. “Réponds-lui”, finit-il par murmurer, surpris par sa propre réaction. “Parle-lui. pendant qu’on le fait. Que je te remplis.” Cette fois-ci le ton est plus assuré, presque impérieux, ponctuant ses mots d’un coup de bassin plus appuyé.


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