S'enfuir de la place publique sans se faire attraper n'est pas simple.

Kazu avait fuit de chez elle depuis un mois et à présent, elle errait dans le monde de Terra. Avec ses jolis petits pieds de Terranide, elle avait fini par débarquer dans la place publique de Nexus. On lui avait souvent parlé de cette place comme étant connue pour son exposition et sa vente d'esclaves, mais aussi comme étant un endroit très visité pour faire des achats en tout genre.

*A présent que je suis ici, comment je vais faire pour en repartir saine et sauve ? Tss j'aurais du emporter une veste à capuche, ça m'aurait été bien utile pour passer incognito. Les gens vont vite remarquer que je ne suis pas humaine et je vais avoir des ennuis. Tant pis maintenant que je suis à cet endroit, j'y reste pour le visiter un peu, ensuite je repartirais*

Pensa la demoiselle en se rendant compte qu'elle n'avait pas prit le temps de prendre de quoi cacher ses oreilles et sa queue de chat. Avec sa robe violette et ses attributs de félins, elle était sur à cent pour cent de se faire remarquer par la population, mais au point où elle en était, ça lui était égal, car elle savait qu'en étant entrée dans la place par erreur, elle était perdue d'avance. Son temps de tranquillité fut court, car dès qu'elle fit un pas en avant, des gens la remarquèrent. Ces gens s'avancèrent vers elle et la minette comprit, en voyant leur massue et leur habits parfais pour se fondre dans le décors, qu'elle devait fuir le plus vite possible.

La Terranide prit donc ses jambes à son cou et elle se carapata dans une autre direction. Cette petite maline profita de la masse de gens pour se faufiler dans la foule, ce qui fit que les mauvais gens qui lui couraient après l'avaient perdue de vue. La miss continua de courir lorsqu'elle remarqua un jeune homme marcher avec des béquilles. Elle s'arrêta un instant, puis, elle se concentra et elle agita de gauche à droite sa clochette en direction de l'adolescent qu'elle voulait aider. Comme la dernière fois, une lumière s'échappa de l'objet et elle alla directement dans le corps malade.

"Voilà monsieur, vous pourrez à nouveau vous servir correctement de vos jambes"

Sur le visage du blessé on pouvait y lire l'incompréhension, ce qui était tout à fait normal. La minette le regarda un moment en souriant, puis, elle entendit arriver les hommes qui voulaient l'attraper, alors, elle reprit ses esprits et elle fila le plus vite possible. Lorsqu'elle fut loin, le jeune homme tenta de marcher sans ses béquilles et il fut très étonné de voir qu'il pouvait à présent remarcher comme quelqu'un de normal et il voulu retrouve la petite puce qui l'avait guéris, mais dans la foule, il ne la retrouva pas. Entre temps, cette dernière avait parcouru un bon bout de chemin en zigzagant entre les stands et les êtres humains. Malheureusement, elle prit mal un contour et elle bouscula quelqu'un, ce qui la fit tomber sur les fesses. Etant coincée entre cet inconnu et un des murs de la place publique, elle ne pouvait plus fuir et elle était à présent en position de faiblesse et ce fut pour cela que l'on pu voir ses oreilles baissées et lire sur son regard la peur.

Cela faisait un certains moment que je visitais cette ville qui me rappelle tant de souvenir, maintenant j'étais une Grande Prêtresse du dieux Odin, mais avant j'étais la vampire qui circulais des ces rues, chassant les proie, les vidants de leurs sang et laissant leurs dépouilles sur le sol, comme je n'avait plus mes croc je ne pouvait plus mordre, mais ma soif de sang avait complètement disparut, sauf quand je me blessait, j'adore passer ma langue râpeuse sur mes plaie emportant mon sang jusqu'à mes papilles gustative, mais je n'en éprouve plus une envie folle comme avant.

Quoi qu'il en soi je devait trouver des prêtresses, c'était mon boulot et éviter aussi de tomber sur l'Ordres immaculé, on ne sait jamais ce que ces tarés sont capable de me faire, une vie tout aussi palpitante qu'avant hormis le fait que étant devenus humaines, je devait préserver ma vie et mon corps de toute blessures. D'ailleurs un bandit me pointa son couteau sous ma gorge, quelqu'un de normal aurait passé son argent, mais moi je n'en avais pas et il était hors de question que mon corps redevenue vierge se fasse prendre par un inconnue et encore moins un violeur, aussi eut-il la surprise de sentir une faux de glace se poser près de son cou et un grognement de Geri, un des deux protecteur d'Odin ayant la forme d'un loup de glace.

Le vloeur partie à toute jambe, mais le simple fait de m'avoir touché constituait pour lui la peine de mort, dix mètre plus loin sa tête se détacha de son corps, je changea la faux en katanta, que j'attache au niveau de a hanche droite, j'avais une petite affinité en tant que gauchère, mais je suis ambidextre. Une fois ceci fait je renvoya Geri dans la demeure du dieu que je sert et continue ma balade. Le simple fait de porter une arme me vit le respect et la crainte, ma tenue étant légère on ne pouvait supposé de moi que d'être une femme sachant tuer si nécessaire, je prit une petite ruelle pour profiter d'un courant d'air frais.

J'avais beau être devenue une prêtresse nordique, je supportais mal la chaleur. C'est ainsi que je tombe sur une terranide, enfin elle me percuta de plein fouet, je n'avais pas bougée, mais la demoiselle se trouva les fesse sur le sol, je remarque qu'elle était fort jolie et je vit aussi ces oreilles montrer sa peur, je pose ma mains sur sa tête et lui fit un sourire en disant.

- Faut pas avoir peur petite, je ne vais pas te manger et tu es trop jeune pour m'intéresser.

Je n'avais pas perdu ma grande gueule, chose qui me caractérisais et m'attire bien souvent des ennuis.

Ce qui ce trouvait devant elle n'était pas une créature assoiffée de sang, mais une jeune femme très jolie. Pourtant dès qu'elle lui dit qu'elle était trop jeune pour elle, les oreilles de Kazu se relevèrent et sur son regard on pu y voir de l'interrogation. Que voulait-elle dire par la ? En tout cas, si c'était pour ce moquer d'elle, ce n'était pas très sympa de sa part.

"Comment ça trop jeune ? J'ai dix-sept ans madame, quel âge faut-il avoir pour que la personne vous intéresse ? Et puis, c'est pas facile de pas avoir peur quand y a des gens qui vous poursuivre pour vous enfermer juste parce que vous avez des oreilles et une queue"

C'était une femme alors, elle se sentait en confiance et c'est pour cela qu'elle avait le courage de dire ce qu'elle pensait, car si c'était un homme qu'elle aurait percuté, elle aurait fermé sa grande bouche. Kazu se rappela alors du contact agréable de la main posée sur sa tête et cela la fit penser à la personne qui était morte par sa faute. En se remémorant se souvenir désagréable, elle aurait eut envie de pleurer, mais ce sourire affiché sur les lèvres de l'inconnue lui remontait le moral et fini par la faire sourire à son tour. Ce sourire, encore une fois ne dura pas longtemps, car son ouie fine de chat la prévint que les esclavagistes allaient bientôt débarqués

"Je ne voudrais pas vous embêtez madame, mais les méchants hommes ne sont plus très loins et je n'ai pas envie de finir dans une cage. ça ne vous ennuierais pas de me montrer un endroit sur de la ville pour que je puisse y passer quelques jours en attendant de trouver mieux ? En échange, je pourrais vous être très utile, enfin si vous le voulez bien... s'il vous plait..."

En disant ces mots, elle avait plutôt l'air d'une gamine perdue, mais ce n'était pas grave, enfin pas pour l'instant. Pour lui donner l'envie de l'aider, elle avait prit une expression toute mignonne sur son visage. Ce n'était pas sur que ça marche, mais au moins elle aurait essayé.

"Mon père m'a beaucoup parlé de l'esclavage, je crois qu'il voulait que je serve à quelqu'un plus tard, dites madame, c'est vrai que les esclaves ne doivent rien dire et obéir ? Si c'est le cas, je veux bien obéir, tant que vous ne me livrez pas à ces fous"

Elle était prête à se corrompre pour ne pas finir torturée et enfermée comme les autres femmes qu'elle avait vues en coup de vent lors de sa course-poursuite pour échapper à ces tyrans d'esclavagistes. Quoi qu'elle décide, la miss avait toujours ce regard de chaton battu pour essayer d'avoir un résultat concluant et se sortir de ce mauvais pas.