Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Pere_Yves

Humain(e)

Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)

samedi 01 janvier 2022, 20:45:15

C'est défilé, aujourd'hui. Je n'aime pas ces parades, ces humains fiers d'aller tuer d'autres humains, mais aussi cette foule humaine qui les salue, les admire. C'est contraire à ce qu'on m'a enseigné. C'est contraire à ce que j'enseigne. La violence ne fera pas la société ; elle ne fera que des victimes, des veuves et des orphelins. Je ne suis debout sur le parvis de mon église que par obligation.

D'ailleurs, je ne regarde pas ces soudards, car je n'oublie pas que, dans le feu de la mort qu'ils sèment, trainent les dépouilles des femmes qu'ils ont violées, et les larme des enfants qu'ils privent d'avenir. Même ma propre Eglise s'est fourvoyée dans ces immondices, et, alors qu'elle prend peu à peu conscience de ces horreurs passées, je ne peux pas en applaudir d'autres.

Hélas, cette foule est aussi coupable d'ainsi encourager. Une foule où il y a peu d'hommes, parce ceux qui restent se font traiter de lâches. Une foule où il y a beaucoup de femmes, les plus nombreuses qui pensent que guerre rime avec virilité et qu'un homme en armure a la bite aussi dure que sa lance, et les plus rares qui pleurent leurs maris partants.

Mais il y a un autre groupe d'admiratrices qui attire mon regard. Des jeunettes ! A peine sorties de l'adolescence. Et plus excitées qu'une puce qui a trouvé un élevage de chiens. On dirait qu'elles sont à un spectacle musical, à hurler envers quelque idole, alors que seul Dieu doit être adoré. C'est sûr que, si un soldat met pied à terre, ces harpies se jettent sur lui pour le violer !

Parmi elles, il en est une qui retient mon attention, plus que toutes les autres. C'est cette petite brunette de Marguerite Clairbois. Il y a un moment que je l'ai repérée, lors d'une de mes promenades méditatives. Une jeune femme courageuse, qui vit dans une maisonnette toute simple.
Je dois avouer que ce qui m'avait distrait de ma rêverie était ce jupon qui avait volé au vent, juste avant que sa posture penchée vers l'avant ne me gratifie de la vue délicieuse d'une poitrine ample et corsetée.
Je ne savais pas qui elle était, alors. Je l'avais juste gratifiée d'un sourire, comme tout bon prêtre qui se respecte. Mais, sitôt revenu à l'église, j'avais activé mes contacts, afin d'en savoir davantage, son identité, le décès de ses parents, sa solitude, son courage, sa pauvreté.
Puisque Dieu m'en fut témoin, je peux même avouer que, le soir-même dans mon strict lit du presbytère, je me suis donné du plaisir dans des rêves lubriques. Je ne l'ai forcée à rien, il n'y a donc pas lieu de m'en condamner. « Hum, Marguerite, comme tu étais bonne ! ».

Mais, là, le spectacle a le don de m'énerver. Marguerite est de celles qui piaillent le plus au passage des soldats. Tout pour se faire remarquer ! A sauter comme une hystérique, j'en vois même sa poitrine tressauter à vouloir s'échapper de son corsage.
C'en est trop ! Je vais y mettre bon ordre. « Je vais t'apprendre, petite salope ! ».

J'ai dû ronger mon frein jusqu'à la fin du défilé, mais à peine est-elle rentrée chez elle, que je suis sur ses traces.
Elle ne semble même pas surprise que j'arrive à sa maisonnette. Sans doute ma tenue sacerdotale est-elle un gage de sécurité pour une jeune femme vivant dans l'isolement.
Si sécurisée qu'elle n'a nul scrupule à ostensiblement afficher sa poitrine bien serrée à en être plus pigeonnante encore ! Heureusement que ma soutane cache l'effet que ça me fait. Je dois absolument garder ma sérénité.

« Bonjour Marguerite. Je t'ai vue, tout à l'heure au défilé. Tu avais l'air bien excitée ; je t'entendais crier jusqu'à l'église ».

Je marque un temps d'arrêt, guettant sa réaction.

« Ne crois-tu pas que, à ton âge, tu devrais plutôt te chercher un mari parmi les jeunes du village, fonder une famille, avoir des enfants, et travailler à aider ton mari ? »

Je retrouve mon esprit de sermon, je dois lui en imposer.
« Ouais, en fait, je n'ai pas envie qu'un de ces ploucs de villageois tripote ces gros nibards ! »
L'intonation est là, je la poursuis.

« Tu viendras demain te confesser. Sois là à dix heures, et ne me fais pas défaut. Tu sais que Dieu t'observe, et qu'il te punira si tu ne le sers pas. »

« Ce que Dieu ne te dira pas, c'est que j'ai aménagé le confessionnal à ma manière. Les règles de l'Eglise sont parfois dépassées ; il faut savoir les moderniser. »
Je suis surpris de sa passivité ; on m'avait dit qu'elle était simple, pas très lettrée, mais sa quasi crainte envers ma fonction est un atout.

« Et, si tu es digne de ma confiance, je te prendrai par... euh je te prendrai pour l'entretien de l'église, en te payant bien sûr ».
Je sais qu'elle a du mal à avoir de quoi vivre ; ça devrait l'appâter. Heureusement qu'elle est trop simple pour ne pas avoir compris quand j'ai bafouillé !
« Quitte à entretenir, tu viendras aussi entretenir la vigueur de ma queue ; gratuitement, bien sûr, mais ça, on le verra en temps nécessaire ».

« N'oublie pas, Marguerite, demain à 10 heures ».
Et je tourne les talons.
Il me faut tout préparer, configurer le confessionnal, et remettre de l'ordre dans le presbytère.
« Modifié: dimanche 02 janvier 2022, 00:26:31 par Pere_Yves »

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)

Réponse 1 dimanche 02 janvier 2022, 13:41:07

Il se passe rarement des choses ici au village. Alors quand la chance est donnée de pouvoir voir les militaires défiler, il faut la saisir ! Ah qu'ils sont beaux et fringuant ces gaillards de la campagne qui quittent le village. Avec leurs lances en bois solide, leur casques que très peu de rouille ne vient piquer et avec leurs tabards qui ne possèdent presque pas d'accrocs. C'est la fine fleur de la jeunesse de nos campagnes. Ils rendent tout le monde fier dans le village. Après tout ils nous protègent et sont maintenant des hommes au service du roi ! Ou d'un seigneur peut-être ? Pour qui vont ils se battre au fait ? Bah qu'importe. Les anciens du village doivent le savoir et ils doivent estimer la cause très justes puisque eux aussi semblent contents de les regarder partir. Et ca n'a rien à voir avec le fait que ca éloigne tous les jeunes prétendants des femmes du village, non non !

La vie allait reprendre son rythme avec le départ de tous ces soldats. La main d'œuvre amputé de quelques bras solides, les paysans trouveraient une manière différente d'abattre le travail à faire. Aidés par le solide bon sens des anciens qui n'ont pas été appelés aux armes et grâce l'autorité morale éclairée du berger des âmes du petit bourg : le bon père Yves. Tout va bien se passer, on ne peut que s'en convaincre.
 
Marguerite qui est une âme généreuse et pieuse ne peut que sourire quand l'homme de religion vient la trouver. Elle lui répond avec la bouche en cœur et une étincelle de joie dans le regard car elle aime et admire les hommes de foi.

- Bonjour Père Yves !

Mais elle a tôt fait de perdre son sourire quand commence le sermon habituel sur sa vie. Penaude, la jeune fille baisse les yeux et écoute les reproches sans donner l'impression de tenir tête au bon père Yves. Elle n'a jamais lu les évangiles la Marguerite et elle ne comprend pas grand chose aux prêches non plus.  Elle sait qu'elle n'est pas parfaite mais qu'elle est jeune, que Dieu est pardon et qu'il l'a faite ainsi après tout. Et puis Lynette la fille du ferronnier est bien pire qu'elle alors que tout le monde l'encense. Ca ne doit donc pas être si grave. Mais en dépit de tout, aucune protestation ne franchit ses lèvres. Elle répond avec docilité, mains jointes dans son dos.

- Pardon mon père.

Elle hoche aux instructions de venir à confesse le lendemain. C'est une demande bien légitime qui n'a rien de très extraordinaire. C'est le rôle du bon père Yves de veiller à ce que ses ouailles soient pardonnés de leurs pêchés, n'est-ce pas ? Elle allait s'incliner pour partir vaquer à ses affaires, imaginant que le prêtre en avait fini avec elle quand l'évocation de l'entretien de l'Eglise fut faite. L'annoncé fit relever un instant les yeux à la jeune paysanne et briller son regard. Payée pour nettoyer l'Eglise ? Elle aurait accepté de nettoyer l'Eglise pour rien, si le curé le lui avait demandé. C'est donc une proposition inespérée car l'argent se fait rare quand on est jeune fille seule à la campagne. Quelques sous permettent de mettre un peu de beurre sur son pain ou même (oserait t'elle ??) s'acheter auprès d'un colporteur un petit ruban coloré dont elle pourrait décorer sa chevelure. (Après tout, ce serait la volonté de Dieu de faire ça si le père Yves lui dit de chercher un mari, non ?). Un sourire éclaire ses lèvres alors qu'elle s'exclame avec un enthousiasme redoublé.

- Oui mon père, dix-heures demain !


Et elle tient effectivement parole car à dix heures très précises, la voilà le lendemain qui se présente au temple, coiffée et propre comme à dimanche (Elle s'est lavée à la rivière juste avant ! Elle a encore les joues roses et les bras roses d'avoir frotté. C'était un devoir de se présenter au mieux devant le bon dieu, non ?). Elle a eu une nuit pour méditer et faire le point sur ses mauvaises actions aussi son discours est il prêt quand il la prie de bien vouloir révéler ses pêchés pour en demander le pardon.

- Pardonnez moi mon père parce que j'ai pêché ...

Agenouillée et humble, commence alors une énumération bien sincère des petits manquements et diverses fautes que pense avoir commises la paysanne. Des petites choses futiles et sans importances qui sont loin de pouvoir condamner la pauvre à l'enfer. Marguerite est une brave âme. Elle est généreuse, se déleste volontiers de ses biens au profit d'encore plus malheureux qu'elle, éprouve peu de jalousie (sauf envers cette pimbèche de Lynette la fille du ferronnier qui ne cherche qu'à l'ennuyer !). Elle ne cède pas à la paresse et rarement à la gourmandise. Malheureusement, il reste pourtant en elle un petit défaut bien commun chez les jeunes des campagnes du coin : Marguerite est tout sauf farouche. Elle ne voit pas le mal de céder occasionnellement aux avances qu'on peut lui faire tant que ca peut faire plaisir. Ainsi après l'énumération des fautes insignifiantes, viennent les confessions les moins avouables.

- ... et je vais parfois voir le boulanger le jour où je sais que sa femme n'est pas là. Car il m'offre toujours une petite brioche au beurre si j'accepte de lever mon jupon et délacer mon corsage pour lui. Il dit que ca lui plait de voir quelque chose de joli et que sa femme est toute fripée. Ca ne peut pas être mal de montrer son corps si dieu l'a fait joli et fait que des hommes sont malheureux de ne jamais les voir, si ?

Il suffit de voir le sourire lumineux du bonhomme quand cela arrive pour se convaincre que ca répand le bien.

- ... et si en plus il hasarde une main baladeuse en rajoutant une petite galette au miel, ca n'est forcément pas bien plus méchant.

Elle continue de raconter.

- ... et il y a le vieux Francois qui a les deux mains paralysées par ses rhumatismes et qui est alité. Je vais le voir chaque jour pour lui faire boire de la soupe ! Je lui fais parfois la toilette. Comme je le sais vieux et très seul, quand je le lave et que son épieu se dresse, je lui fais la grâce d'utiliser mes mains pour le soulager. C'est de la charité, mon père, non ? Il dit que je suis une sainte de l'aider ainsi. Une fois pour la Noël j'ai peut-être un peu utilisé ma bouche, mais il était si heureux et louait tous les saints du paradis ...

Et encore ...

- ... un beau jeune homme presque chevalier m'a sauvée de bien vilains hommes en revenant du marché du village a côté. Il était blessé et cherchait abri pour la nuit, c'était normal que je l'invite à dormir mon père. L'hospitalité est une vertu. Peut être que parce qu'il faisait froid et qu'il n'y avait qu'un seul couchage j'ai été plus hospitalière que j'aurais du ...

Et au final tout ca se finit en énumération où elle ne prend plus la peine de décrire en détail les circonstances pas nécessairements atténuantes qui ont entouré ses errances.

- ... Ah oui et aussi le jeune Léon Laruche. Fernand l'ancien colporteur. Les deux frères qui habitent l'ancienne scierie. Leur père aussi. Et puis Gaston la Futaille le jour où il a confondu la porte de sa maison avec la mienne. A moins que ce soit Gustave ? Ou les deux ?
 
Elle conclut son énumération en se mordant un peu la lèvre. Elle sait qu'elle n'est pas la plus sage du village mais elle est probablement pas non plus la plus polissonne ! Le père Yves doit biens s'en rendre compte si toutes sont aussi sincères qu'elle dans leurs aveux. Car Marguerite connait, elle aussi, ce que font les autres filles des environs et elle serait prête à jurer que tout ce qu'elle fait ne lui parait pas être grand chose comparé à d'autres ! Elle se trouve même très raisonnable car elle éconduit bien plus souvent ses prétendants qu'elle ne leur cède.

- Je crois que c'est tout mon père. Est-ce que Dieu va me pardonner ?


 

Pere_Yves

Humain(e)

Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)

Réponse 2 dimanche 02 janvier 2022, 20:54:16

Grand nettoyage, vérification de tout, jamais mon église ne fut aussi clinquante ; c'est d'autant plus absurde alors que j'ai sollicité une jolie donzelle pour en assurer l'entretien !

Avant même que 10 heures ne sonnent au clocher, Marguerite apparaît. Le soleil rayonne, et met en valeur sa silhouette aux jolies proportions. Le vent donne à la fois de l'allant à ses cheveux, et de la suggestion à sa longue jupe de tissu si léger. Dieu m'envoie un signe : voici de la chair fraîche et innocente.

Heureusement que je ne porte rien sous mon long habit de curé, car, vu comme mon sexe se tend à l'idée de prendre un pucelage, cette excitation se serait vue ! Tiens, ça me rappelle quand, lors d'un mandat précédent, j'avais dépucelé deux copines d'école le même soir. Elles étaient venues à confesse, car embarrassées de s'aimer l'une l'autre et souhaitant néanmoins passer à plus charnel, et je leur avais proposé de leur faire découvrir ce qu'est le coït avec un homme, pour qu'elles puissent ensuite décider.

« Bonjour Marguerite. Tu es à l'heure, c'est bien. Le confessionnal est là-bas, allons-y. Passe devant, je te prie ». C'est une évidence : « Hum ce joli cul, bien proportionné ; celui-là, je lui prendrais bien son pucelage aussi ! ».

Marguerite semble connaître, s'installe à genoux sur le prie-Dieu, tandis que je referme ma porte. « A genoux, voilà une pose déjà bien adapté, ma petite cochonne ».

Hélas, les quelques premières phrases m'ennuient, des défauts de pacotille, des trucs dont je me fous, qui me font débander en me disant que je me suis trompé, que c'est une simplette qui n'aura jamais d'attirance pour le cul, même en insistant lourdement. « Bon, vu comme ça tourne, je la dépucèle, puis je la renvoie à sa bicoque ! Pas de temps à perdre avec les niaises. Autant s'amuser avec la salope de Lynette, qui doit avoir le même âge ».

Mais, alors que l'ennui me guette, les mots changent.
"lever mon jupon et délacer mon corsage"
"utiliser mes mains pour le soulager"
"j'ai un peu utilisé ma bouche"
"j'ai été plus hospitalière que j'aurais dû"

et un autre... et des frères... et un vieux

« Je crois que c'est tout », la phrase me saisit alors que, caressant ma queue à travers ma soutane, je sentais une force invraisemblable monter dans mes reins, en attendant qu'elle cite avec force détails la suite, les autres.
« Ah ? », c'est tout ce que je parviens à lui répondre.
Je serais presque déçu de ne pas pouvoir lui prendre son pucelage, mais, vu son expérience, elle ne risque pas d'être une chieuse au plumard ! « Si elle est aussi ouverte ; jeunes comme vieux, voire plusieurs à la fois, je vais m'éclater ».
« Est-ce que Dieu va me pardonner ? », voilà bien la dernière question à laquelle je m'attendais.
« Euh ? », là aussi, ma réponse est brève, tant je suis pris de court. Si je lui dis oui, elle se barre et c'en est fini. Si je lui dis non, je pourrais la retenir.

Mais, là, elle est dans un état d'innocence, il faudrait que je la fasse un peu monter en pression ! « Si je sors de ma place pour venir lui montrer ma queue à sucer, pas sûr qu'elle s'y mette !. On va jouer encore un peu ; ce sera plus facile, quand elle sera bien chaude ».

Rassemblant le peu de concentration qui me reste, une main au menton visible par la grille du confessionnal, l'autre main astiquant ma queue sortie à travers deux boutons défaits de ma soutane, je prends un air grave, une voix solennelle.

« Eh bien, Marguerite, Dieu est satisfait que tu t'exprimes aussi sincèrement. »
J'imagine son sourire d'avoir passé l'épreuve aussi facilement.
« Mais Dieu est déçu, car tu résumes ça très sommairement, comme si c'était des choses insignifiantes, vite faites, sans que tu y prennes du plaisir. Dieu doit penser que tu me caches des choses. »
Je guette, à travers la grille, une réaction sur son visage. « Ne crois pas t'en tirer si facilement, ma petite dévergondée ! »

« Alors, dis-moi. Le boulanger n'a-t-il fait que mater et te tripoter, ou me caches-tu qu'il t'a prise ? »
Première estocade, je lui laisse le temps d'encaisser.

« As-tu avalé ce que le vieux François a craché dans ta bouche ? »
Rien qu'à lui dire ça, j' pense à sa pose agenouillée, à lui mettre ma queue en bouche.

« Est-ce toi qui a osé tenter le chevalier que tu as accueilli ? »
Les chevaliers ne sont pas tous courtois, mais, s'ils sont invités, ils en profitent.

« Etais-tu dans un lit avec les deux frères ? »
Rien qu'à l'imaginer prise en double, penser à sa petite rondelle me fait bander plus fort encore.

Aucune réponse ne s'est glissée dans mon énumération. Je vais en rajouter un peu ; « Sais-tu que j'ai le droit divin de te fouetter, si tu me caches des choses ? J'ai une badine, et je n'hésiterai pas à m'en servir, s'il faut de punir de tes péchés? ».

Je ne parviens pas, dans ce confessionnal peu éclairé, à percevoir son regard. Mais sa respiration semble s'être accélérée. Il est temps de porter l'estocade : « Une des filles du village, dont le prénom commence par L, m'en a dit bien plus que toi, et ses fesses se rappellent encore de ce que je leur ai mis ! ».

Va-t-elle fuir ? Ou a-t-elle peur de Dieu, au point de rester, avouer, et... ?
Je suis sûr de la (re)tenir avec la promesse de s'occuper de l'entretien de l'église.

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)

Réponse 3 lundi 03 janvier 2022, 08:16:20

Certaines réactions de la paysanne étaient prévisibles. Un sourire étire ses lèvres quand l'homme de Dieu annonce la satisfaction du très haut mais cligne des yeux quand il lui affirme qu'elle n'en dit pas assez.

- Non point de mensonges ni d'omissions mon père ! C'est la verité !

Ce qui était moins prévisible, c'était en revanche qu'elle se montre prolixe une fois les détails demandés. Comme si mentir face au créateur lui était insupportable.  Si Dieu avait besoin de détails, qui était elle pour en douter ? Elle ne voudrait certainement pas fâcher le tout puissant. Elle se fait donc un devoir de combler les lacunes de son premier récit.

- Le boulanger à des mains douces comparées à celles des paysans et des artisans qui sont caleuses et rêches. Il a l'habitude de malaxer la patte et ses caresses sont très agréables. Il me pétrissait les fesses avec douceur mais fermeté et glissait ses doigts dans ma fente qui s'était faite bien accueillante pour lui. Ses va et viens étaient très agréables mais je faisais trop de bruit à son goût, ce qui manquait d'alerter les gens dans la boutique. Alors il s'est hâté de me bâillonner en me mettant un pain rond dans la bouche. De son autre main il se caressait mais je jure que je ne l'ai pas touché !

Elle s'interrompt à ce moment et souffle d'un ton incertain.

- C'est assez de détails comme ça mon père ... ? Trop ... ?

Elle interprete la réaction du prêtre et ses autres questions comme une invitation à continuer. Elle hoche vivement quand c'est au tour de l'histoire du vieil alité d'être détaillée.

- Oui mon père, j'ai avalé autant que j'ai pu ! Même si la tige du pauvre vieux François n'était pas bien vaillante à cause de son âge. Ce qui aurait du être une giclée était en fait une coulure pas bien puissante. J'en ai eu sur le menton et les doigts et j'ai peiné à tout rattraper parce que je n'avais pas envie de salir un linge propre pour ça.

Qu'il y avait t'il à dire d'autre ? La question sur le chevalier la laisse perplexe. Elle relève les yeux et un sourire d'étrange nostalgie flotte sur ses lèvres. L'avait elle tenté ? Elle répond aussi honnêtement que possible.

- Je ne m'en souviens honnêtement plus, mon père. Je crois que nous en avions tous les deux très envie. Il était fringuant, fougueux comme un étalon et attentionné comme un prince. Il a mis sa bouche là ou aucun homme ne l'avait encore fait et fait crier très fort. Il avait à la fin le visage maculé de mon eau secrète et m'a fait goûter sa saveur. Alors que j'étais à genoux devant lui pour lui rendre la pareille, il déclara vouloir rester me besogner une semaine entière.

Difficile de rester impassible en se souvenant de cette nuit mémorable. Agenouillée, la jeune fille joint les mains et les coince entre ses jambes. Une manière de calmer un peu le feu qui lentement s'attise en elle. Elle ne voulait evidemment pas montrer son émoi car une jeune fille doit savoir faire preuve de retenue. Ce sont d'ailleurs des histoires dont elle n'aurait osé parler à personne. Mais pour Dieu, il fallait nécessairement faire une exception, non ?

- Les deux frères m'ont emmenée chez eux, dans leur grange, pour boire du cidre dont leur père venait d'acheter un tonneau. Nous avons rit, joué à un jeu idiot qui consiste à dire des vérités, faire des actions ou boire. Et puis j'ai fini nue et toute pompette assise sur leurs genoux pendant qu'ils me tripotaient à deux. A la fin nous avons oublié les jeux. Ils m'ont renversée sur un ballot de foin et pendant que l'un passait, je m'occupais de la tige de l'autre afin de ne pas faire de jaloux. L'un m'a prise alors que j'étais sur le dos et qu'il me tenait les jambes bien en l'air. L'autre m'a mise à quatre pattes et montée par derrière en me tenant par les hanches. Mais il me culbutait tant que j'avais du mal à m'occuper de la tige de son frère sans lui faire mal avec mes dents. Ce sont des vilaines choses à faire aux garçons de mettre les dents vous savez mon Père. Et à coups sûr les filles qui font ça finissent par ne plus avoir beaucoup de prétendants dans le village parce que les garçons parlent entre eux de ces choses là.

Elle en arrive ainsi à une conclusion qui lui parait fort logique et qu'elle énonce devant l'homme de dieu, persuadée à ce moment qu'elle recueillerait son approbation.

- Si Dieu veut vraiment que je me trouve un mari, il doit donc vouloir que je ne mette pas les dents.

Le récit avait continué de réveiller en elle une chaleur coupable. Ses yeux se sont fait un poil plus brillants, sa respiration un rien plus marquée et elle calmait son inconfort en se tortillant un peu. Mais la menace de la badine a tôt de la faire s'immobiliser. Bouche entrouverte de stupéfaction, elle s'exclame en brisant le silence tamisé du confessionnal.

- Ah mais Lynette mérite certainement la badine et bien pire mon père ! Pas moi ! Je suis certaine qu'elle ne vous a pas dit la moitié de ce qu'elle fait et qu'elle montre à qui veut la voir sa tâche de naissance qu'elle dit en forme de cœur mais qui ressemble à une betterave flétrie. 

La perspective de se faire fesser n'enchante cvraiment pas Marguerite. Surtout que rien ne dit que la sentence ne pourrait pas être publique, comme ca se fait parfois sur le pilori de la place. Elle ne survivrait pas à l'humiliation de voir Lynette s'esbaudir de son malheur ! Elle insiste donc.

- Je vous jure que je ne sais pas quoi dire de plus, mon père ! 

 
 

Pere_Yves

Humain(e)

Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)

Réponse 4 mercredi 05 janvier 2022, 09:35:10

« je jure que je ne l'ai pas touché », donc soumise avec le boulanger.

« C'est assez de détails... ? »
« Oui, Marguerite, Dieu t'a entendue. »
Et ma queue aussi, sortie de ma soutane, avec mes mains qui lui donnent de la vigueur.
Pourvu qu'elle ne remarque rien !

« j'ai avalé autant que j'ai pu, même si la tige du vieux François n'était pas vaillante... »

Hum, parfait, voilà qui va me servir avec l'évêque. Si elle lui fait une bonne pipe, et ce vieux machin doit bander mou et vite cracher quelques gouttes, ça le mettra en de bonnes dispositions pour signer le devis de réfection du presbytère. Quitte à y tringler les vieilles bigotes, autant y avoir du confort.

Plus elle en raconte, et plus ma respiration s'accélère.
Une semaine à se faire tringler par le chevalier. J'avoue que je devrai prendre des petites pilules bleues pour faire pareil. Mais la baiser dans tous les recoins de l'église, une semaine durant, ça me tente.
Puis en trio avec les deux frères. C'est comme si elle devinait mes pensées. Quand on se retrouve pour une belote, avec les trois servants de messe, elle serait un bon amusement. Tringler la dame de cœur en dix de der, voici une nouvelle règle.

« Ah, sa tache de naissance ? », Marguerite ne s'est pas interrompue à ma surprise. Mais je ne peux pas lui dire que je l'ai découverte, quand j'ai baisé Lynette sur l'autel. Oui, c'est clair qu'elle n'a pas froid aux yeux. Mais, elle, dans les mêmes circonstances, elle avait compris que sa confession m'excitait, et elle était venu me soulager. Se faire sucer par une jeunette, lui balancer tout dans la bouche et la voir tout avaler, se faire nettoyer la queue pour rebander, et la tringler en levrette sur l'autel pour la première fois que je la voyais, c'était un pied mémorable. Pas sûr, petite Marguerite, que tu feras mieux !

« Je vous jure que je ne sais pas quoi dire de plus mon Père », le récit est clos, mais pas mon excitation. Je reste muet un instant, j'ai du mal à rassembler mes pensées, trop d'entre elles se bousculent. Je ne peux pas sortir du confessionnal dans cet état, impossible de rentrer ma queue sous la soutane, ou alors ça va se voir.

Gagner du temps !

« Dieu t'a entendue, Marguerite ». Je marque un temps d'arrêt. « Je pense que la badine ne s'imposera pas. Mais, si tu venais à me mentir, je n'hésiterais pas. Et l'Eglise nous l'impose en place publique. Pour être certain de son efficacité, je demanderais au bourreau de lui-même chasser, comme homme de Dieu, le démon de ton corps, et de soigner le mal par le mal ». Hum, rien que de penser au vieux Charles qui la tringlerait en public, ça m'excite encore plus. « Certains de mes confrères vont même plus loin, en sollicitant de vigoureux paroissiens pour, à leur tour, faire ainsi taire le feu du démon chez celles qui ont péché ». Voilà que je trouve une justification religieuse à une partouze, mais, au point où j'en suis...

Si elle est aussi chaude qu'elle le sous-entend, elle doit avoir la culotte mouillée. On va voir...

J'essaie de retrouver une voix posée.
« Pourtant, Marguerite, il me semble que tu as oublié quelque chose ».

Je marque un temps d'arrêt, j'imagine son doute.
« M'avouer tout cela ne t'a-t-il pas perturbée ? »

Seul un silence me répond ; j'ai fait mouche.
« Marguerite, Dieu me dit que tu oses être excitée dans ce lieu saint ».

Elle était diserte sur ses frasques, elle est muette désormais.
« Ceci est inadmissible, et tu le sais. »

Sans bruit, je me lève, écarte mon rideau, sors du confessionnal, écarte le rideau qui la protège aussi. Je ne cache rien, ma queue sort, dressée, de ma soutane.
« Tu sais ce que tu dois faire ! »
Et, comme si le Diable prenait soudain place en moi :
« Et, si une seule goutte de ta mouille ou de mon foutre coule à terre, je te la ferai lécher à quatre pattes, avec le cul nu bien en l'ai pour recevoir la badine »

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)

Réponse 5 vendredi 07 janvier 2022, 21:03:34

La pieuse et naïve jeune fille begaye quand le prêtre la confronte et l'accuse d'avoir des pensées impures en cet instant même.
Elle pâlit, balbutie et finalement s'exclame d'une voix brisée.

- Je ne le fais pas expres mon père, je vous le jure, pardon !

Le rappel de la possibilité de se faire fesser publiquement est encore frais dans sa tête et l'image l'emplit d'une sainte horreur. Elle sursaute quand soudain le rideau s'écarte et révèle l'improbable spectacle de ce prêtre à la houlette levée, dressée comme la croix du fils du très haut sur la colline aux oliviers.  L'ordre intimé, la surprise et la peur font qu'à aucun moment la jeunette ne songe à se révolter, ni même à s'interroger. Saisie de terreur face à l'autorité incontestable, la brave et naïve Marguerite gobe la hampe du curé avec une telle ardeur qu'il doit la retenir d'une main pour ne pas risquer de voir son précieux chibre esquinté d'un coup de dent causé par un excès de ferveur. (Ce qui serait un pêché grave, rappelons-le ! Ce fait vient d'être établi il y a quelques instants à peine !).

Ni mouille ni foutre ne doit salir la maison du seigneur !  Alors la pauvre Marguerite serre les cuisses si fort qu'elle en contracte tout son corps menu, ce qui fait ressortir avec d'autant plus d'intensité la poitrine corsetée. Et ses lèvres s'activent comme une damnée. Pour sûr la bavarde à les lèvres entrainées et la gorge profonde. Elle pompe pour se sauver de la damnation. Sa salive coule de ses lèvres, mouillant abondamment la tige du saint homme pendant que simultanément et par crainte de laisser choir un liquide impur, elle place ses mains en coupe sous son menton. Une précaution pour l'heure inutile mais elle n'est pas prête à risquer de subir les conséquences d'une désobéissance, oh non !

Pere_Yves

Humain(e)

Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)

Réponse 6 vendredi 07 janvier 2022, 22:13:19

Vraiment pas farouche cette petite paroissienne. C'est sûr que toutes ses aventures sexuelles ne me laissaient pas le moindre doute. Mais qu'elle soit si goulue pour gober ma queue, c'est comme si elle n'en avait pas eu depuis des mois.
Et elle sait y faire ! Ses propos n'étaient pas que des affabulations. Il faut juste la modérer en la tirant pas les cheveux pour la ralentir, mais parfois appuyer sur sa tête parce qu'elle ne gobe pas assez profond.
C'est sûr que de ne se contenter que de jeunes sexes qui n'ont qu'un désir, gicler au plus vite, elle n'en a pas appris le plaisir de faire durer. Au moins, là, je sais que je pourrais lui apprendre, tout en en profitant bien sûr.

Mais le plaisir est de lui maintenir la tête avec ma queue bien au fond de la gorge, de voir son corps se tendre, de voir ses yeux presque se révulser, de percevoir son souffle qui peine à se stabiliser. Juste ce qu'il faut, pas qu'elle en meure, mais qu'elle s'y perde.
Elle sait faire une gorge profonde, et je dois admettre que, sur ce point, elle bat Lynette.

Vu comme elle serre les cuisses – d'ailleurs, je suis sur qu'elle les frotte l'une contre l'autre pour faire monter son excitation – c'est que son corps réagit, c'est que son cerveau ne voit pas cela comme un souci.

« C'est bien, mais on ne va pas s'arrêter à ça ! »

Je remets un peu d'ordre dans ma tenue, puis me saisis de ses beaux cheveux, un peu malmenés depuis qu'ils me servent à donner le rythme de la fellation, pour justement faire cesser celle-ci.
« On va passer à autre chose ».
La tenant ainsi « Reste à genoux, et avance avec moi ! », je l'oblige à avancer jusqu'à la petite chapelle de Sainte Gudredunde, paraît-il sainte patronne des filles de joie.
A cette heure, pas de danger d'être vu, il n'y a jamais personne.

J'ai toujours dans ma poche des lacets, pour attacher aux grilles les fleurs que les fidèles déposent dans les petites chapelles. Mais, là, ils vont me servir à autre chose.
Je prends un poignet de marguerite, et, d'un geste ferme, je l'attache à la grille aux pieds de sa sainte patronne.
« Ne dis rien, tu as péché, tu dois subir ! »
Je ne lui laisse pas le temps de réagir, et fais de même avec son autre poignet.
« Ainsi, tu regarderas ta sainte patronne, en subissant le châtiment ! »

Je relève sa robe, le jupon, les maintenant à sa taille coincés par son corset.
Joli fessier, encore caché par une culotte bien ouvragée pour une paysanne sans le sou.
C'est sûr qu'avec tous ceux qui lui sont passés dessus, il doit bien en avoir un qui lui a offert une culotte un peu plus sexy!
« Dis-moi, Marguerite, as-tu aussi péché par cette entrée interdite ? »
Interdite ou pas, je m'en moque ; c'est juste pour savoir si je serai le premier.
« Modifié: vendredi 07 janvier 2022, 22:30:14 par Pere_Yves »

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)

Réponse 7 samedi 08 janvier 2022, 01:39:53


La jeune paysanne se laisse faire, docile. Le menton encore dégoulinant de salive quand il se retire d'elle, le souffle court, elle murmure dà chaque fois qu'une injonction du saint homme lui est faite :

-Oui mon père

Elle se laisse ainsi trainer par les cheveux jusqu'au lieu de son expiation, avançant à quatre pattes comme un animal bien élevé alors que le rouge de la honte lui empourpre les joues. Elle sent ses poignets être pris pour être attachés. Elle se laisse faire sans opposer la moindre résistance. Elle tressaille quand ses jupes sont relevées et que ses fesses sont exposées à la vue du berger des âmes. Elle est à ce moment là persuadée que ce qui l'attend sera d'être fessée sous le regard sévère et désapprobateur de la statue de la sainte. (Dont elle ignore tout des attributions par ailleurs.) Un destin plus enviable que la sentence sur la place publique mais tout de même fort désagréable !

- Non non mon père, je n'ai pas pêché par cette entrée interdite ! Pas depuis ma dernière confesse. J'ai été pardonnée, pitié mon père !

Difficile de cacher à un œil averti l'état d'excitation dans lequel elle se trouve (A sa plus grande honte). Son sexe lisse surmonté d'une toison fine et entretenue s'ouvre d'une fente ruisselante d'eau intime. Chaque contact la fait tressaillir, comme si son humiliation nourrissait davantage les désirs exprimés par son corps. Elle tente tant bien que mal de serrer les jambes mais le prêtre a tôt fait de lui écarter les genoux de la pointe de la chaussure, la poussant à exposer davantage sa disgrâce et à se cambrer encore davantage.

La jeune fille se tortille ainsi, pour ainsi dire offerte, tant aux regards qu'aux volontés perverses du représentant de Dieu.

Pere_Yves

Humain(e)

Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)

Réponse 8 samedi 08 janvier 2022, 09:33:08

Il semble que j'ai vraiment tiré un bon lot, aujourd'hui. Peu m'importe tous ceux qui lui sont passés dessus ; elle a une telle trouille que j'en ferai ce que je veux. Et puis, rien que pour toucher une obole à entretenir l'église, elle en acceptera encore davantage. Finalement, si Lynette est vraiment une sacrée cochonne, je pense que cette Marguerite me satisfera davantage.

« je n'ai pas péché par cette entrée interdite, pas depuis ma dernière confesse », tiens, je me demande à qui elle était allée se confesser. Un curé de passage, qui l'a lui aussi tringlée dans sa bergerie ou dans un chemin voisin ? Ou bien mon remplaçant, lors de mon dernier voyage, ce jeune séminariste encore puceau ? En tout cas, si elle lui a dit s'être fait sodomiser, soit il en a viré écarlate dans le confessionnal, soit il s'en est tripoté toute la nuit. Avec l'expérience, il verra que, quand une paroissienne t'avoue sa sexualité, tu dois profiter de ton ascendant pour la purifier par là où elle a péché. Donc, je ne m'occupe pas de son cul !

« C'est bien, Marguerite. Tu dis avoir retenu les leçons de ton expiation. Je suis fier de toi, tu es une brave fille, tu trouveras un bon mari. Mais, pour le moment, tu m'inquiètes quand même un peu ».

Avec une délicatesse fort peu divine j'avoue, je pousse de la pointe de ma chaussure pour écarter ses cuisses serrées. Elle tremble trop pour que ce ne soit que de la peur.

« Je vais m'assurer de ta contrition ».

Un doigt de chaque côté de la culotte, bien jolie pour une bergère, je la fais glisser au long de ses jambes.

Hum, cette peau, comme elle est douce. Incroyable de découvrir ça chez une paysanne !

Ses fesses apparaissent, jolis globes dessinés. Elle prend soin d'elle.

J'aime faire durer. Elle est sous mon emprise. D'ailleurs, après que j'aie descendu la culotte à ses chevilles, elle lève d'elle-même un pied puis l'autre, pour m'aider à lui enlever. Elle n'a aucune gêne à s'offrir cul nu au regard de Jésus sur la croix!

Je la porte aussitôt à mon nez.
« Hum, Marguerite, il me semble percevoir certains fluides. Je pensais que tu venais ici pour faire pénitence de tes dérives, mais il apparaît que tu es plutôt venue pour m'ajouter à la liste. J'en suis très déçu. »
Sans hésiter, ma main claque sur un globe fessier généreusement offert, et ma surprise est de taille, non à voir combien elle réagit à cette claque, mais plutôt combien ma main laisse une trace rouge sur sa peau blanche ».

Yves, stop !

« Le vice est plus profond en toi que je ne le pensais. J'ai quelque chose à faire. »

Et je la laisse plantée là, allant vers l'entrée de l'église. Mes talons claquent sur la pierre nue, résonnant dans l'église ; j'ignore si elle sait ce que je vais faire, mais j'imagine qu'elle doit cogiter. Oh, c'est pourtant simple. Je ferme la porte de l'église ; à cette heure, ça ne surprendra personne. Et surtout, ça évitera que l'autre folle de Madame Sankui ne me fasse la même scène que lorsqu'elle m'avait surpris avec Lynette dans mon lit. Ça n'aurait jamais dû arriver, si ce n'est que je n'avais pas fermé la porte à clé, que Lynette braillait fort quand je la bourrais, que Madame Sankui était aussi bigote que jalouse. Heureusement, je n'ai pas perdu au change, puisque je me suis fait Madame Sankui chez elle, dans son lit conjugal, après avoir écouté sa peine due à l'infidélité de son mari. J'étais le bras vengeur envoyé par le Seigneur, j'en avais été honoré. Mais, aujourd'hui, je n'ai pas envie qu'elle m'emmerde ! Marguerite est un beau petit lot, je ne la veux qu'à moi pour le moment. Enfin, qu'à moi, tout est relatif, après tous ceux qui lui sont passés dessus. Au moins elle ne fait pas la pimbêche. Mais un doute m'étreint. Ai-je encore des petites pilules bleues ?

Porte fermée, je reviens à ma jolie paysanne, claquant des talons. Elle n'a pas bougé, elle ne tourne même pas la tête vers moi. Je regarde ce fessier offert, je me penche. Mon doigt inquisiteur ne fait que confirmer. Son sexe est béant, humide, chaud, impudique. La tension n'est pas du tout retombée.

Tout comme en moi. Je déboutonne ma soutane, et mon sexe dressé témoigne de mon excitation, également. Hum, une bonne levrette, ici ; ça me rappelle quand j'avais fait pareil à Shani Stevens. Mais elle, pas besoin de l'attacher, tant elle en demandait. Alors que Marguerite, faut voir si ça deviendra comme une évidence chez elle.

Je murmure : « Oh mon Dieu, donnez-moi la force d'effacer, pour vous, toutes les souillures que cette âme pécheresse a fait subir à sa chair »
C'est pratique la religion; j'ai la justification à tous mes démons.
Mes mains à sa taille, je m'enfonce d'un coup sec dans son sexe béant.

« Marguerite, repens-toi, repens-toi de tes péchés ! », je reste enfoncé en elle, savourant cet étui chaud, brûlant même, et aussi très accueillant. Tout au plus s'est-elle un peu cabrée sous l'attaque soudaine - quoique je suppose qu'elle devait un peu s'y attendre – mais elle ne manifeste aucune désapprobation. Après s'être tapé des jeunes et des vieux, des inconnus et des voisins, et même plusieurs à la fois, se faire sauter par un curé ne doit pas la déranger !

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)

Réponse 9 samedi 08 janvier 2022, 13:53:25



Déculottée, Marguerite gémit et proteste face aux accusations.

- Non mon père, je vous promet que je ne voulais pas !

Mais une claque puissant s'abat sur ses fesses, ce qui la fait sursauter et glapir. L'écho de la frappe avait retentit dans le grand bâtiment silencieux, amplifié par les hautes voûtes de pierre. La paysanne gigotte et ferme les yeux fort. Elle redoute que d'autres fessées s'abattent sur son postérieur blanc.

Mais elle finit par pousser un soupir de soulagement quand elle entend les pas du prêtre s'éloigner. La porte avait été fermée, les courants d'air avaient cessé de lui caresser les cuisses mises à nu.  Compte t'il la laisser là en pénitence ? Doit elle lever les yeux vers la sainte icone pour réfléchir sur ses mauvaises actions ? (Sont elles vraiment si mauvaises ? Elle ne fait de mal à personne après tout ...  Si Dieu avait voulu qu'elle n'attire pas le regard des hommes, il l'aurait fait vilaine, non ??). Sa contemplation des pieds de la statue ne dure guère car bientôt l'homme de foi revient vers elle.

Elle tressaille soudain en sentant le contact froid contre son intimité. Et malgré elle, elle ne peut s'empêcher de répondre à la pression sur sa fente en ondulant des fesses de manière à se frotter avec impudeur à ce doigt qui l'explore. Bientôt le prêtre se retire, laissant la jeune femme haletante et honteuse. Et quand soudain elle sent le père se positionner derrière elle, poser ses mains sur ses hanches et murmurer. Elle ose tourner la tête pour regarder derrière elle er demande d'une voix inquiète.

- Mon père ? Qu'est-ce que ... ?

Et soudain il pénètre en elle et sa phrase se termine en cri de surprise, étranglé. Elle se cabre et est prise d'un frisson alors qu'il reste ainsi immobile, planté en elle. Elle mord ses lèvres, serre entre ses doigts la grille glacée à laquelle elle est entravée. Soumise aux volontés d'un corps habité par le pêché, elle appuie alors de ses bras pour reculer davantage son fessier, faisant entrer plus profondément en elle le sexe du prêtre qui ne peut que constater à cet instant à quel point la brebis de son troupeau est égarée.

Elle gémit et dans un soupir murmure.

- Ooooh mon dieeeeu ouuuuui .... oooh ...

Pere_Yves

Humain(e)

Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)

Réponse 10 dimanche 09 janvier 2022, 08:43:31

Ce fourreau de chair palpitante est un délice. Peu m'importe combien y sont passés et combien y passeront, du moment que j'y ai accès à ma guise.

Oh Seigneur, oui, je sais que mes pensées ne sont pas très pures, mais au moins garde-t-elle sa peur de toi. Tu ne l'as pas fait aussi jolie pour l'empêcher de séduire, tu ne m'as pas donné un sexe pour m'empêcher de baiser.

Je sens Marguerite tendre son corps, comme si je n'étais pas assez profond en elle – oui je me doute qu'elle a déjà reçu des queues plus longues ou plus grosses, mais plus inexpérimentées sans doute – alors, tenant fermement ses hanches, je me mets à la gratifier de plusieurs allers et retours, sortant presque du brûlant fourreau de chair, m'enfonçant avec une force qui serait presque de la violence, la regardant ainsi partir vers l'avant, s'accrochant comme elle le peut aux grilles.

Trois... quatre... cinq... dix peut-être... je prends le temps, entre chaque coup de reins, de savourer ce plaisir. Ce n'est qu'un début !

Je me penche à son oreille, presque dans un murmure : « Il y a beaucoup à faire, pour expier tes fautes, Marguerite. Je vais te détacher. J'ai confiance en toi. Et Dieu te regarde aussi. Sans te retourner, tu vas enlever ces inutiles jupe et jupon. Puis, tu vas te retourner face à moi, et tu vas ôter le haut suffisamment pour que tes seins apparaissent à la vue du Seigneur. Car je sais que, pour toi, ce sont aussi des instruments du vice. Gros comme ils sont, je suis sûr que tu y as déjà fait coulisser des sexes d'hommes. Alors, tu vas me montrer jusqu'où tu as poussé ce vice. »

Je me retire d'elle, j'ai tout mon temps. Je vais faire durer. Je détache avec délicatesse ses poignets. Elle tient toujours fermement la grille. Je suis désormais persuadé que, même sans être attachée, elle se serait laissée prendre. Aucun doute, elle était prête pour la saillie. Mais pas question de la mettre enceinte, quoique, après tous ceux qui lui sont déjà passés dessus, bien malin qui pourra dire quel est le père.

Et puis loin de moi tout ça ! Je dirige, j'ordonne, elle exécute. Elle doit expier, je ferai sortir tous ces démons, du moins leur permettrai-je de s'exprimer.

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)

Réponse 11 samedi 15 janvier 2022, 14:54:11

Le prêtre commence son œuvre purificatrice. Et à chaque coup de rein qu'il assène, la fidèle répond par un cri étranglé. Elle halète, tremble quand il s'arrête, les cuisses ouvertes et l'intimité inondée. Elle hoche quand il lui murmure ses instructions à l'oreille.

- Oui ... mon père ...

Sitôt ses poignets détachés, elle les masse et se hâte de s'exécuter, sans oser lever les yeux vers l'homme saint. Lui tournant le dos, elle ôte d'abord ses jupons qui échouent au sols, finissant de révéler l'intégralité de ses cuisses, ses jambes et ses fesses nues.  L'opération est facile puisqu'ils s'attachent à la taille et que ceux-ci on déjà été déplacés. La jupe représente en revanche une difficulté car elle est partie intégrante de la robe dont elle doit se défaire quoi qu'il advienne. Elle se redresse donc à genoux pour délacer son corsage avant de passer la robe en entier par dessus la tête et se retrouve ainsi nue à l'exception de la petite croix qu'elle porte autour du cou. Elle pivote sur ses genoux, grimaçe au contact froid de la pierre sous ses genoux et accomplit le demi-tour demandé. Le visage rougi par la honte, le regard bas, elle presse alors sa poitrine pleine de ses deux mains et les expose à la vue du Père Yves, en même temps que le crucifix en bois qu'elle porte autour du cou vient se loger à la naissance du sillon forme par ses deux seins. Elle leve un regard timide vers l'homme de dieu dressé devant elle dont le sexe n'avait pas perdu en vigueur.

- Ainsi, mon père ... ?

Quelque chose dans le regard sévère et l'attitude de l'homme de Dieu la fait se convaincre de continuer. Alors elle change de position pour se mettre à hauteur de la verge et se met en devoir de la lécher abondamment le membre malgré la présence de sa mouille encore chaude dessus. Plus que donner du plaisir, elle macule ainsi le sexe de salive afin de préparer à la suite. Ce n'est qu'après de longues secondes qu'elle change de position. Elle se dresse sur ses genoux et emprisonne la tige de chair entre ses deux globes plantureux, créant pour le prêtre un fourreau de chair doux et accueillant. Elle presse ses seins de ses mains et exécute un lent va et viens, facilité par l'abondance de la lubrification. Elle accélère et amplifie le mouvement peu à peu, faisant tressauter le petit crucifix au dessus de sa poitrine pendant que le membre turgescent du prêtre allait et venait juste en dessous.

Entendant et ressentant les effets de son traitement sur le prêtre, elle ose relever un regard timide vers lui, comme si elle cherchait à quêter son approbation. Jamais une fille n'aura mis tant de cœur pour se faire pardonner de Dieu ...

Pere_Yves

Humain(e)

Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)

Réponse 12 dimanche 16 janvier 2022, 00:49:04

« Cette Marguerite est une brave petite. Il n'y a pas de malhonnêteté en elle, un peu de perversité, et encore ce mot est-il peut-être excessif. C'est une brave petite qui fera tout ce que je lui dirai. Qu'elle aille se faire sauter par la moitié du village ne me dérange pas, du moment que je l'ai pour mon usage personnel. »
Il est donc temps de lui témoigner ma confiance.

« Marguerite, tu es digne de la confiance du Seigneur, et, vu ta dévotion en ce moment, je te confirme que tu seras affectée à l'entretien de l'église, avec la rémunération de ton travail bien entendu ».
Je marque un temps d'arrêt, pour juger de l'impact de mes mots, tandis que ses seins entretiennent toujours la vigueur de ma queue.
Et je poursuis.
« Bien sûr, cela signifie aussi que tu t'occuperas de moi. Rassure-toi, je te laisserai vaquer aux occupations de ta maison. Mais tu devras être disponible pour mes besoins personnels, sans poser de questions, sans aller en parler au village ».
Je marque à nouveau un temps d'arrêt. Je ne doute pas qu'elle a compris, qui plus est vu ce qui se passe en ce moment. Mais il est bon de lui rappeler que ce n'est pas que pour expier ses péchés passés.
« Tu te confesseras aussi souvent que je le jugerai utile, et je t'informerai à chaque fois du châtiment que le Seigneur m'ordonnera de te faire subir ».
Elle semble avoir tout écouté, tout compris.

Je me dois de l'en remercier, et de sceller cet accord.
Posant ma main sous son menton, je la fais se relever. A temps, car le soin apporté à cette caresse allait avoir raison de mon endurance.
Debout, nue hormis sa petite croix, Marguerite est à la fois la féminité, la candeur, la jeunesse, la soumission.
Sans hésiter, je la soulève dans mes bras. Certes, elle a des rondeurs, mais je parviens à la porter jusqu'à l'autel, où je la dépose, l'allongeant.
Premier geste attentionné de ma part.
Son sexe est face au mien, sa nudité s'offre à la mienne. Je relève ses jambes, les pose sur mes épaules, ouvrant davantage l'antre de son plaisir, où mon gland se pose à l'entrée.
Elle est mouillée, elle est chaude, ce qui vient de se passer lui a donc fait de l'effet. C'est assurément la plus douce et la plus sensuelle des paroissiennes que j'ai prises ici.

Au fur et à mesure que j'enfonce mon sexe en elle, je la sens s'ouvrir, je la sens m'enserrer. Douceur, peur, soumission, je ne sais que dire. Saisissant ses hanches, je commence à accélérer. Ce qu'elle a déjà prodigué à ma queue m'a beaucoup excité, et son abandon actuel renforce cela.
J'en oublie le lieu, j'en oublie ma mission, j'en oublie les circonstances. J'ai juste envie de baiser une femelle nue qui se donne à moi sans retenue. Alors, j'accélère. Le rythme devient plus rapide. Les coups de reins deviennent plus forts.

Le napperon blanc posé sur l'autel en est tout froissé, mais peu importe ; Marguerite veillera désormais à ce qu'il soit toujours impeccable. D'ailleurs, sentant le plaisir monter en bouquet final, je me retire d'elle, et tenant mon sexe à deux mains, laisse enfin jaillir ce plaisir, aspergeant de mes jets aussi bien la poitrine de Marguerite que le napperon blanc.

Je ne me suis occupé que de mon propre plaisir. Pourtant, je regarde Marguerite, cherchant sur son visage quelque expression.
Mais il ne me faut pas oublier les fondamentaux !
Aussi peu crédible que je sois dans cette posture et dans cette tenue, la regardant toujours : « Tu es pardonnée, Marguerite, mais n'oublie pas que tu es désormais à ma disposition, et que cela implique de ta part une grande fidélité, une grande disponibilité. Dieu ne te pardonnerait pas de ne pas honorer tes engagements ».

Marguerite Clairbois

Humain(e)

Re : Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)

Réponse 13 mercredi 19 janvier 2022, 15:58:11

C'est un sourire joyeux de la jeune croyante qui accueille la nouvelle. Le pardon divin et la promesse d'une petite rémunération arrivent au moment même où ses deux seins emprisonnent la verge de l'homme. Elle n'y entend rien dans les volontés du seigneur mais à ce tarif là, la soumission au divin a quelque chose de très acceptable.

- Merci mon père !

Les mots sont sincères et innocents. Elle qui aurait été prête à aider à l'entretien du lieu de culte pour rien, elle ne peut que se sentir en joie à l'idée de recevoir quelques pièces en plus pour sa peine. La demande en revanche de n'en parler à personne la laisse clairement perplexe. Sa bouche s'arrondit en un "oh" interrogateur avant qu'elle ne réfléchisse et ne hasarde une explication.

- Pour ne pas dévoiler les secrets de la confession, mon Père ?

Probablement ! L'idée que le père puisse commettre des actes impies ne l'effleure pas. Pourtant si on lui expliquait, elle saurait sans doutes tenir un secret. Après tout, combien d'hommes mariés de bonne réputation ont discrètement profité de ses faveurs dans le village ? Et elle n'ira en aucun cas le crier sur les toits ! (La confession est une exception bien sûr. Parce que c'est Dieu ... tout ca ... vous comprenez ?).

L'engagement pris et avant que n'arrive la conclusion aux caresses qu'elle avait commencées, l'homme de dieu l'arrête et la fait se relever. Elle lève vers lui un regard candide, se demandant à ce moment si la confession avait pris fin. Un peu trop prématurément au goût de son corps qui continue de brûler et de réclamer. Un garçon du village aurait eu droit à la manifestation de sa désapprobation face à ce traitement inhumain. Allumer un feu chez une fille et refuser ensuite de l'étreindre, ca tient de la torture. C'est un crime ! Mais face à l'autorité morale suprême de ce village, ele n'osait rien dire, rien réclamer. Même si elle brûle d'envie de plonger ses doigts dans sa fente ruisselante pour en tirer elle même le plaisir qu'elle estime mériter elle s'en abstient ...  Après tout elle est en pleine punition.

Avec une vigueur surprenante, le prêtre l'attrape et dément ses craintes. Bientôt la voilà étendue sur l'autel dont elle a tôt fait d'agripper le drap blanc qui le recouvre. Surprise, un rien déboussolée par ce changement elle ouvre des yeux ronds de stupeurs qui bien vite se ferment lorsque le sexe du pasteur s'enfonce en elle. Elle ramène la tête en arrière et pousse un cri où plaisir et soulagement se mêlent. Trempée, ouverte, la paysanne était restée sur sa faim après les premiers aux ébats, son corps avait continué de pulser et de réclamer. A peine quelques coups de reins suffisent pour l'amener à la jouissance. Elle crie sans retenue, se cambre et tremble. Les mains fermes du père la maintiennent par les hanches et les coups de boutoir continuent, accentuant ses cris et la maintenant dans un état second jusqu'au moment ultime où il se retire d'elle. Haletante, la peau luisante de sueur après avoir été baisée avec tant d'autorité, ce sont grands jets blancs qui finissent par recouvrir la peau nacrée de ses seins. Les longues trainées de sperme chaud s'écoulent, tracent de nets sillons sur elle et s'écoulent sur l'autel. Témoin de la rédemption divine de la jeune femme, la croix de bois est elle aussi aspergée.

Il faut de longues secondes à Marguerite pour émerger après ce traitement. Cheveux défaits, cuisses écartées. Sa fente luit encore de mouille après le retrait soudain du père Yves et elle met quelques instants à se rendre compte de l'impudeur de sa position et de refermer les cuisses.

- Je suis pardonnée ?

Les circonstances précises qui ont donné lieu à ce pardon sont peu claires à ses yeux et les leçons à tirer de tout ça un peu troubles. Mais elle ne peut que se réjouir. Elle répond à la déclaration pieuse en se signant, maculant ses doigts avec les fluides corporels du prêtre au moment où elle touche sa poitrine pour symboliser le bas de la croix. Elle se regarde, regarde le prêtre et semble prise d'une hésitation.

- Je dois ... Me rhabiller mon père ... ? L'autel est ...

Elle n'ose poursuivre, de peur de prononcer quelque chose de très déplacé. Et puis faisant travailler ses méninges, elle comprend ce qui est attendu d'elle. Elle se redresse, descend de son piédestal de marbre et prend le napperon souillé qu'elle utilise pour faire disparaitre les traces de la récente "sanctification". 
 
Elle allait bientôt se rhabiller et sortira bientôt de l'église échevelée, corset encore à moitié délacé et serrant contre elle un napperon d'autel maculé.
Son attitude suintera la culpabilité et pourtant elle affichera l'air ravi de celle qui sait que ses pêchés viennent d'être lavés, passant avec indifférence devant les vieilles duègnes qui commenceront à cancaner à peine la jeune femme passée.
 
Du mois c'est ce qui se passerait si il la laissait partir à cet instant.


 



Pere_Yves

Humain(e)

Bonne à tout faire (Marguerite Clairbois)

Réponse 14 samedi 22 janvier 2022, 10:19:23

« T'es idiot, Yves. T'aurais dû te soulager dedans », je regrette un peu de ne pas être allé jusqu'au bout, car, vu comme elle mouillait, elle aimait cette pénitence.
Mais il ne faut pas aller trop vite en besogne, et ne pas mettre en péril mon ministère.
Si, dans neuf mois, elle annonce que le père du marmot est le curé, je suis mal barré !
Heureusement que, vu la facilité avec laquelle elle écarte les cuisses, je ne dois pas être le seul qui la saute, et il doit y en avoir quelques autres qui ont pris moins de précautions.

Elle est tellement innocente à se demander pourquoi ce qui vient de se passer, et ce qui arrivera encore c'est évident, doit rester secret. C'est facile, avec de telles oies, d'abuser de mon ministère ! Je pourrais lui demander n'importe quoi, au nom de Dieu, qu'elle le ferait. Mais j'ai des principes.
L'un d'eux est le partage ; celle qui se donne à moi, au nom du divin, doit aussi éprouver un plaisir digne du divin. El Marguerite, j'ai senti aux contractions sur ma queue qu'elle prenait sa part de plaisir. J'en suis heureux, j'en remercie Dieu.
Je suis même sûr que, vu qu'il n'y a plus aucun doute qu'elle s'est faite saillir par plus d'un villageois, elle n'a pas dû être au sommet de l'extase, avec certains jeunots et certains vieux aussi.

Je la regarde, attendri par ses gestes. Elle associe l'innocence à l'indécence.
Elle a de ces questions qui me désarment.
Prendre le napperon, souillé de mon sperme et de sa mouille, pour tenter d'essuyer les traces de mon plaisir sur sa peau si fraîche, est aussi doux qu'impudique.
Masser ainsi ses seins, caresser son entrejambe, avec un tissu pourtant dédié à une action divine, me fait remonter une chaleur satanique.
Nue, face à moi, indécente succube, elle fait remonter mon plaisir.
« Non, Marguerite, reste comme ça ! »

Sans même réfléchir, je m'agenouille, comme en dévotion. Une dévotion à sa chatte, à son sexe ! Agenouillé aux pieds de Marguerite, non pour lui demander pardon. Malgré le napperon, sa fente est encore luisante de mouille, à me demander si elle l'a essuyée au napperon ou si elle en a profité pour se caresser devant moi.
Mes doigts dessinent ses lèvres, mes yeux admirent ce coquillage parfaitement dessiné, soigneusement entretenu pour une paysanne. Aucune autre ne prend pas autant soin d'elle !
Je veux goûter ce fruit, je me moque qu'il soit défendu ou pas. Je me penche encore, ma langue effleure cette chaleur, mon nez hume ces senteurs. Si la damnation est aussi douce, je veux bien me damner à jamais pour Marguerite.
Ma langue s'insinue, dessine, fouille. Ce parfum capiteux m'enivre.
Ma langue cherche ce petit bouton de chair que Dieu a offert aux femmes, que mon ministère m'avait longtemps interdit de découvrir, dont j'adore jouer avec certaines paroissiennes qui n'ont jamais connu cela avec leur époux.
Je veux dévorer Marguerite, je veux que ses cris résonnent dans l'église, je veux sentir son plaisir ruisseler sur moi. Je ne suis plus un prêtre et elle n'est plus une pénitente.
Je m'arrête un instant, relève la tête vers elle : « Vas-y, Marguerite, libère ces démons qui sont en toi ! ».
Et je replonge au cœur d'elle. Je veux sentir son corps vibrer, ses jambes flageoler, son abandon total.


Répondre
Tags :