Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Rachele Florenza

Humain(e)

Flys

dimanche 11 juillet 2021, 00:16:13

SEIKUZU - 21H10
AILE DES ADMISSIONS DE L'ASYLUM


Vous ne comprenez toujours pas comment vous en êtes arrivée là. Vous vous doutiez qu'un jour vous iriez trop loin, et que  votre mère ferait de même, vous pressentiez qu'elle finirait par recourir à la cure de désintoxication. Surtout après votre dernier renvoi du lycée pour consommation de cannabis.

D'une certaine manière, vous saviez que cela arriverait, mais comme ça ? Attachée ainsi à une civière ? Le corps cadenacée dans une épaisse camisole de force ? A vous débattre sans espoir de victoire pour les empêcher de vous entrainer toujours plus profondément dans cet horrible dédale de couloirs blanc et de sas gris numérotés ?

Seulement une heure plus tôt vous embrassiez langoureusement Ibiki dans votre chambre, vous vous apprêtiez à faire l'amour pour la première fois ensemble, ce devait être sa première fois à lui,  quand on avait toqué à la porte. Ces femmes en blouse blanche si courtes qu'on peut voir la naissance de leur fesses, qui poussent maintenant votre civière, étaient venue chez votre mère pour vous emmener. Kimaya leur avait ouvert sa porte, les avait guidés vers votre chambre avant de vous dire: "Ma chérie, n'ai pas peur, c'est pour ton bien..."

Le beau et courageux Ibiki avait tenté de s'interposer, de les repousser mais en vain. Le pauvre n'avait commis pour seul crime que d'être tombé amoureux de vous et d'avoir voulu vous défendre et pourtant... elles l'avaient pris lui aussi. Et il vous regarde maintenant d'un aire terrifié, se demandant comme vous pourquoi, et ce qui va lui arriver. Comme il hurlait pour qu'on le détache, il a même été bâillonné.

Votre mère marche d'un pas affolé à coté de la civière à laquelle vous êtes attachée par d'épaisse sangles. Son regard ne transcrit pas la colère ou le mépris mais la peur, l'inquiétude, la tristesse. Visiblement, elle pense vraiment qu'il s'agit de la meilleur chose à faire pour vous "sauver de la drogue". Sans doute les femmes qui l'accompagnent ont elles cru qu'Ibiki aussi consommait du cannabis. Du moins c'est la seule chose qui semble logique.

Finalement, un grand sas à double battant s'ouvre sur une pièce blanche, pourvue d'armoires à pharmacie, d'écrans de contrôle mais aussi de chevalets, de tables de maintiens, de harnais et de poulies. A la vue de ses objets saugrenus, même votre mère réagit et semble s'interroger. L'effroi dans le regard d'Ibiki grandit.

Au centre de ce palais délirant, une femme se tient, elle aussi en blouse blanche courte, les cheveux noir, la peau olive des femmes d'orient, elle vous toise d'un air malveillant, un sourire malsain au coin des lèvres.

Sonia - Mes demoiselles, Monsieur... soyez les bienvenue à l'Asylum. Nous sommes ici pour vous aider et vous guérir de vos tourments. Au cours de votre séjour ici, vous aurez droits aux meilleurs soins et thérapies qui vous libérerons de vos tracas de la vie courante pour vous offrir un nouveau bute dans la vie, une nouvelle fonction...

Votre mère fronce les sourcils, elle ne semble pas comprendre.

Kimaya - Excusez moi Madame, j'ai peur de ne pas bien vous comprendre. J'ai accepté de faire interner ma fille chez vous pour simple cure de désintoxication et je trouve vos méthodes d'internement violente et scandaleuse. Qui plus est je ne comprend pas pourquoi vous dite "Mes demoiselles", je suis la mère d'Izumi, je suis ministre, je ne suis pas une patiente.

Sonia regarde votre mère d'un aire sournois et amusé. Elle consulte son porte vue.

Sonia - Ho ? Permettez que je regarde... humm.. non... non il n'y a pas d'erreur, je lis bien ici vos trois nom pour une réorientation professionnelle et sexuelle...

Kimaya - se... sexuelle ?

Votre mère trésaille et semble complètement perdu, Ibiki essai de se libérer et gémissant sous son bâillon pendant que les deux infirmière s'approchent de votre mère...


Izumi Cho

Humain(e)

Re : Flys

Réponse 1 dimanche 11 juillet 2021, 03:42:51

- Mère qu'avez vous fait ? Je ne mérite pas ce genre de traitement… Mère osez me regarder dans les yeux au moins…

Attachée à une civière, harnachée pour ne pas que je m'échappe, je cherche du regard ma mère qui ne fait que suivre le mouvement. Je me secoue sur la planche pour essayer de desserrer mes liens, morte de peur. Au-dessus de ma tête je vois les lumières défiler et des ombres se former sur les murs.

- Mère ? Mère ?

Je m'acharne à lui crier dessus tournant la tête dans tous les sens quand je vois Ibiki dans la même situation que moi avec un bâillon sur la bouche.

- Ça va aller Ibiki, mère va nous sortir de là… Pas vraie mère, vous allez faire quelque chose ?

Elle ne me répond pas, continuant d'avancer avec les infirmières.

- Je ne recommencerais plus mère, je vous le jure… Ne me laissez pas ici !!!

J'arrête de poser des questions pour supplier ma mère, je ne pensais pas qu'elle aurait eu le courage de m'inscrire à une cure de désintoxication. Elle en parlait depuis si longtemps que je croyais que c'était des paroles en l'air, j'avais dépassé les limites en me faisant exclure de l'école pour consommation de cannabis. La goutte d'eau qui fait déborder le vase…

- Mère laissée au moins Ibiki rentrer chez lui… Il n'y est pour rien… Sa famille va s'inquiéter…

Je me sens coupable de l'avoir entraîné malgré lui dans cette histoire, nous étions dans ma chambre prête à faire l'amour pour la première fois quand tout a dérapé… J'avais insisté pour qu'il passe me rendre visite aujourd'hui. C'est de ma faute s'il se retrouve attaché dans ce lieu hostile. Nous passons des portes battantes pour arriver dans une immense salle qui ne ressemble pas à une chambre d'hôpital. J'entends la voix d'une femme, je relève ma tête pour essayer de voir son visage…

- Mère…

Je couine pour essayer de résonner ma mère, je veux qu'elle se rende compte que cette histoire est bizarre. Et tout va s'éclaircir en peu de temps, j'ai froid dans le dos et je me remets à soulever mon corps aussi fort que je le peux. Toute la civière se met à trembler sous mon poids…

- Fuyez mère… Vite ! Courez chercher du secours !!

Je lui crie dessus morte de peur, des larmes coulent sur mes joues à cause de la pression. Je ne veux pas subir une réorientation professionnelle et surtout pas sexuelle… C'était une cure pas ce genre de pratique dans une salle qui fout les chocottes.

- FUYEZ !

Rachele Florenza

Humain(e)

Re : Flys

Réponse 2 dimanche 11 juillet 2021, 11:39:03

Confuse, dépassée par la situation, Kimaya ne sait pas comment réagir. Elle hésite, elle vous jette un regard plein d'incompréhension, puis reporte son attention sur les deux infirmière qui avancent vers elle, puis vous toise à nouveau pleine de regret et de peur à son tour.

Mais il est déjà trop tard, les deux infirmières dévergondées sont déjà sur votre mère, de chaque côtés elles l'encadrent et lui posent chacune une main sur l'épaule pour la faire reculer vers un grand fauteuil high-tech pourvue de toute une machinerie étrange et d'un casque VR.

Infirmière 1 - Calmez vous Madame, tout va bien ce passer, nous allons vous aider à vous détendre en attendant que votre camisole soit prête...

Infirmière 2 - Oui... faites confiance au docteur Al'Azred, Sonia sait ce qui est le mieux pour vous et votre fille...

Kimaya - mais je... non... vous vous trompez je...


Votre mère ne voit pas le repose-pied du fauteuil dans son dos, ses mollets butent contre celui-ci et elle tombe à la renverse pour s'affaler sur le latex rembourré. Son corps s'y enfonce légèrement et confortablement. Les deux infirmières, visiblement rodées à l'exercice, l'accompagnent dans sa chute et la maintiennent sur le siège pendant que Sonia se rapproche et active le casque VR. Vous apercevez furtivement les images qu'il projette au moment où elle se rapproche de Kimaya, c'est un odieux mélange d'images et de couleur chaotiques et violentes avec des motifs en spirale et en fractales, entrecoupés de scène pornographiques extrêmement brutales, humiliante et dégradantes. Vous remarquez également que le casque est pourvu d'oreillettes d'où jaillissent des sons discordants entrecoupés de hurlement de plaisir, de gémissements orgasmiques.

Kimaya - Arrêtez ça... je... je suis quelqu'un d'important.. vous... vous allez le regretter...

Sonia sourit à cette vaine menace et se place derrière elle, le casque VR en main.

Sonia - Allons allons patiente 519, écoutez vous, délire de la persécution, mythomanie, agressivité... vous êtes malade, vous avez besoin d'être... apaisée... Heureusement vous êtes encore jeune et belle, vous avez eu votre fille à 17 ans vous êtes suffisamment "fraiche" pour profiter de votre corps et pour satisfaire les fantasmes de nos clients...

La doctoresse fait alors descendre le casque VR sur le visage de Kimaya.

Kimaya - De... de vos clients ? Quoi ? Mais qu... ho !

Sonia vient de poser le casque sur les yeux et les oreilles de votre mère, elle sursaute, comme si elle était agressé par quelque chose de surprenant et de brutal, puis tous son corps se détend d'un seul coup. Les infirmières cessent de lui tenir les bras, Kimaya n'essai même pas de se défendre, elle reste affalée et pantelante sur le fauteuil.

Kimaya - gueuuu... gu... hennnn...

Votre mère ouvre grand la bouche, comme si elle s'apprêtait à faire une fellation. Elle commence à baver et à gémir...

Scène:
Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Sonia - Parfait. Infirmière, prenez note, la patiente 519 réagit très bien à la première étape de sa thérapie, elle fera probablement une très bonne esclave sexuelle et a faible cout de dressage.


« Modifié: lundi 12 juillet 2021, 14:59:44 par Rachele Florenza »

Izumi Cho

Humain(e)

Re : Flys

Réponse 3 lundi 20 décembre 2021, 15:50:21

- Ne la touchez pas ! Ne touchez pas ma mère, vous n'avez pas le droit !!

Je crie encore plus fort quand je vois les infirmières s'approcher de Mère pour l’encercler. Je m'époumone encore, la tête sur le côté, je leur envoie des postillons, des filets de salive coulent le long de mes joues.

- Elle n'était pas consciente de ce qu'elle faisait quand elle a eu affaire à vous... Elle ne savait pas ! Mère dit leur que vous... QU'EST-CE QUE VOUS FAITES, ARRÊTEZ !! STOPPPPPP ENLEVEZ LUI VOTRE SALE TRUC DU VISAGE !!!

Je serre les poings aussi forts que je peux, je bande mes muscles pour tenter d'enlever mes liens en vain... Je ne peux que regarder l'horreur qu'ils font subir à ma Mère. Je perds mon sang-froid de plus en plus, ne pas pouvoir lever le petit doigt me fait vriller. Fini les bonnes manières, la retenue, je craque.

- GROSSES SALOPES ! SALES PUTES ALLEZ VOUS FAIRE FOUTRE !! VOUS ÊTES CINGLÉES DE FAIRE ÇA. AHHHHHHHHH DÉTACHEZ MOI, PUTAIN ! PUTAIN ! AHHHHHHHHH.

Les cris, les injures ne s'arrêtent pas alors que le brancard vibre sous mon énervement sans céder. Ma voix s'envole dans les aiguës, je suis hystérique. L'arrière de mon crâne vient taper contre mon étreinte sans que je me fasse mal, enfin je ne sais pas tant que je suis folle de rage. Il place le casque sur les yeux de Mère, même si je ne suis pas très proche d'elle et qu'on se prend souvent la tête je refuse qu'on lui fasse du mal. Elle ne mérite pas ça !

- LA TOUCHE PAS SALOPE ! ENLEVE LUI TA MERDE-LÀ ! MÈRE MÈRE FERMEZ VOS YEUX NE REGARDEZ PAS !!! FAITES-MOI CONFIANCE POUR UNE FOIS.

Je vois son corps commencer à réagir, se détendre, se débattre, résister.

- UNE SEULE FOIS S'IL VOUS PLAÎT... S'il vous plaît...

Elle n'a rien écouté... Je ne dis plus rien, muette à présent l'écoutant pousser des bruits dénués de sens. Comme un enfant qui ne sait pas parler, elle glousse, s'embrouille... Le spectacle est horrible pour moi. Mère réduit à ça, en seulement quelques secondes... La bouche ouverte devant des images abominables. Je la regarde quelques secondes qui semblent durer des heures... Avant de doucement les yeux vers une infirmière, mes sourcils se courbent, froncent. La colère remonte en flèche !

- Salope...

Je serre les dents, c'est à peine audible.

- SALOPE !

C'est un peu mieux, j'articule. Mes yeux vacillent d'une femme à l'autre.

- SALOPES SALOPES SALOPES !! DÉTACHEZ MOI VOUS ALLEZ VOIR !!!

Je me remets à crier sur ces folles, qu'elles me libère je vais leur faire regretter tout ça.


Rachele Florenza

Humain(e)

Re : Flys

Réponse 4 dimanche 27 mars 2022, 18:43:58

Izumi - UNE SEULE FOIS S'IL VOUS PLAÎT... S'il vous plaît...

Les infirmières restent sourdes à ses suppliques et continuent de prendre des notes et de "préparer" Kimaya sous les yeux de sa propre fille. Et visiblement, soumettre sa ravissante maman à un odieux spectacle hypnotique ne semble pas leur suffir. L'une d'entre elle fait couiner les roulettes d'une table de travail entre la civière sur laquelle est attaché Ibiki, son petit ami et le fauteuil sur lequel est allongé sa mère. Sur la table, divers objets étranges, des sextoys, mais aussi des seringues et des flacons d'une substance rose. La doctoresse à la peau sombre ajoute alors:

Doctoresse Sonia - Madame la Directrice veux s'occuper de la jeune rebelle elle-même, nous allons donc nous concentrer sur sa maman et son petit ami le temps qu'elle arrive Mesdames. Veuillez continuer avec la patiente 519 pendant que je prépare le matériel pour Monsieur Ibiki...

Ibiki - MMMM ?!

Gémit le jeune homme sous son bâillon en relevant la tête pour regarder aussi terrifié qu'interrogateur, la doctoresse. Il recommence à se débattre mais la camisole est trop bien attachée. Pendant ce temps là, les infirmières remontent la jupe de Kimaya pour révéler un vulve ravissante et délicate, Izumi remarque même qu'elle ressemble beaucoup à la sienne, en plus grande.

Infirmière - Visiblement, la patiente 519 n'a pas l'habitude de faire des folies de son corps malgré sa beauté, ses parties intimes semblent presque intactes.

Note une des infirmière avant de saisir un long tube en latex. Elle fait un signe de tête à sa partenaire qui presse le bouton d'activation d'une étrange machine qui se trouve sur la table de travail. Un petit bruit de martellement se fait entendre dans le cœur de la machine et un bruit de sussions au bout du petit tube en latex qui s'avère être en fait une ventouse à aspiration.

Infirmière - Nous allons développer la taille et la forme de ses terminaisons nerveuses pour obtenir une meilleur réponse aux stimulations sexuelles. Cela devrait augmenter sa sensibilité et la fréquence de ses orgasmes à l'avenir...

Izumi – Salopes...

Murmure la belle rebelle, toujours prisonnière de sa propre camisole. Mais encore une fois, son intervention est totalement ignorée par le "personnel médical". Celle qui tenait la ventouse la rapproche maintenant du clitoris de la jeune maman qu'elle vient de libérer de son petit capuchon de chaire.

Infirmière - Attention chère patiente, cela va tirer un peu... mais vous allez adorer ça...

Elle dispose la ventouse autour du clitoris de Kimaya qui se fait brutalement happer vers le haut, lui arrachant une véritable jiclée de ciprine ainsi qu'une nouvelle complainte de plaisir et de surprise.

Kimaya - HO ? HOOOOOOOOOO !!!

Son petit mont de plaisir gonfle et se gorge de sang, il devient rouge rubis, s'allonge, palpite, tremble alors que ses cuisses se couvrent de mouille brûlante, brillante sous la lueur blanche des néons.

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Kimaya commence à frotter son bassin sur le fauteuil, d'arrière en avant, de manière obscène, comme si elle tentait de se masturber le cul sur celui-ci, comme si tout son corps demandait à se faire baiser.

Izumi - SALOPE !

Hurle alors la belle rebelle. Elle a criée si fort que sa mère semble l'avoir entendu malgré le casque sur ses oreilles. Sa maman tourne son visage déformé par le plaisir et la lutte vers elle et tente de bafouiller quelques mots, mais la bave qui coule de ses lèvres l'empêche d'être compréhensible.

Izumi - SALOPES SALOPES SALOPES !! DÉTACHEZ MOI VOUS ALLEZ VOIR !!!

A nouveau, les hurlements d'Izumi parviennent à briser la trans de sa mère qui tourne toujours le visage vers sa fille et essai de parler malgré l'hypnose.

Kimaya – Izu... ma... ma ché... chér... hooooooo.... sexe.... bai... baiser... obéir... NON ! Non... Izumi ma chérie, fuit... fuit... je suis dé... hooo c'est bon hooo... n.. non... je suis désolée... va t'en vite...

Les infirmières se regardent, l'air surprise, mais leur étonnement laisse rapidement place à un sourire sardonique et pervers. L'une d'entre elle retourne son visage amusé vers Sonia  et lui dit:

Infirmière – Docteur, il semblerait que notre future femelle gestante ait décidée de résister finalement...

Sonia – Ho vraiment ? Comme c'est amusant... ça tombe bien, j'avais justement préparé un petit cocktail pour le patient Ibiki... mais dans ce cas... nous allons l'administrer d'abord à notre belle petite maman...


Ibiki – MMMMM ?!

Ibiki réagit encore une fois en regardant ces femmes perverses d'un œil terrifié et essai à nouveau de se débattre. De son côté, Kimaya lutte toujours contre l'hypnose et répète en boucle à sa fille:

Kimaya - Fuir... chérie... tu.. fois fuir... désolée... suis... esclave.. NON ! C'est ma faute...

Sonia s'approche de Kimaya, elle tient une seringue pleine de la substance rose du flacon. A son approche, les infirmière commencent à découper à la hâte les vêtements de la mère d'Izumi pour qu'elle soit enfin nue. Elles posent de petites électrodes sur ses seins et s'écartent.

Kimaya – Izu ma petite chérie... je... fuir... fuit ma chérie...

Sonia – Tss tss tss... ma chère patiente, vous êtes vraiment au plus mal... rassurez vous... je vais vous aider... tous vos problèmes, toutes vos peurs, toutes vos vilaines pensées compliquées vont s'envoler d'un seul coup...


Dit la doctoresse en s'installant à la droite de la mère de famille en pleine lutte pour lui saisir le bras.

Kimaya – Non... non... libre... libérez ma fille... pi.. pitié... pitHEN...

La seringue vient de pénétrer le bras de Kimaya sous les yeux de sa fille et d'Ibiki qui ne peuvent rien faire pour l'aider. Sans la moindre pitié, Sonia presse le piston et le liquide épais et sirupeux dessine à fleur de peau la veine dans laquelle il est injecté.

Kimaya – GAAAAAAAAAAAAA !!!

Tout le corps de la mère d'Izumi se cambre en avant comme si elle avait reçu un coup de poing dans le dos. Elle écarte grand les cuisses et se met à jouir en hurlant, déversant un flot ininterrompu de ciprine et d'urine mélangée pendant qu'elle perd totalement le contrôle de son corps. Des larmes épaisses coulent de sous son bandeau, derniers vestiges de sa volonté et de sa peine alors que toutes ses émotions sont dissoutes dans un maelström de sexe, d'orgasme et de folie.

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