Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Retrouvailles [Cata]

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Catalina Taylor

Humain(e)

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  • FicheChalant

    Description
    Riche veuve, par treize fois, qui s'est exilée à Seïkusu et qui investit dans différents secteurs d'économie de la ville.
    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.

Re : Retrouvailles [Cata]

Réponse 15 lundi 03 janvier 2022, 22:19:17

La veuve observe son amant, le regard brillant de désir. Elle cachait bien le crainte qu’elle avait qu’il décide d’arrêter les frais, mais son cœur battait la chamade. Elle songe que la voix de son amant paraît un poil plus froide, mais se réussit à se convaincre que ce n’est que son imagination. Ses prunelles le regardent approcher, et elle crispe presque ses mains sur ses cuisses pour ne pas bouger, résistant à l’envie de venir le rencontrer à quatre patte en balançant ses reins.

Son souffle sort presque par saccades alors que la main de Jack défait son chignon, tant le soulagement qu’il ne parte pas en courant est fort. Peut-être qu’elle craignait plus l’abandon qu’elle ne le pensait, après ces retrouvailles peu communes.

Catalina se sent presque fondre en l’entendant ensuite parler de la punir, le désir chassant toute crainte de son être. Ses cuisses se serrent l’une contre l’autre, comme pour éponger la preuve que ces petits « mots doux » lui plaisent plus que de raison. Son cœur bat toujours la chamade, mais elle a l’impression de le ressentir autant dans son buste qu’entre ses cuisses. Sa langue vient nettoyer le crachat sur ses lèvres, presque inconsciemment, alors qu’elle se plie docilement à la brusquerie de l’agent Taylor.

L’observant entre ses cils, l’ex-tueuse à gage ne se lasse pas des traits masculin qui la prennent de haut. Elle a le souffle court alors que ses prunelles descendent lentement, appréciant le torse puissant qui la surplombe, les abdominaux sur lesquels elle a adoré faire courir ses ongles ou encore le chibre épais qui l’avait si délicieusement remplie.

Absorbée par sa contemplation, elle ne remarque pas le sourire qui étire les lèvres de Jack, et est surprise par le jet qui s’écrase contre ses lèvres toujours entrouvertes. Presque par instinct, elle les ouvre un peu plus avant que l’information ne remonte à son cerveau embrumé, recueillant d’un air affamé ce qui coulent sur sa langue.

Puis elle se fige, les yeux brusquement écarquillés, et elle fixe l’homme d’un air surpris...

Mais pas choqué.

Alors que le jet se dirige contre son corps, détrempant sa robe fine, ses lèvres s’étirent dans un sourire en coin. Ce n’était pas la première fois que la brunette subissait une douche dorée. Juste la seconde. Mais elle ne se montrait pas farouche pour autant.

Absolument indécente, la veuve obéit scrupuleusement à Jack en relevant sa robe. Le jet chaud souille son corps et elle s’en repaît. Elle se cambre presque, les cuisses écartées, toujours agenouillées, sans lâcher son amant du regard.

Son absence de protestation retient Five de débarquer dans la pièce, sans qu’elle n’en soit pour autant consciente. Son obéissance aux injonctions de l’agent qui lui pisse dessus achève de convaincre son protecteur de retourner à sa pause nonchalante contre le mur.

Quand le jet d’urine revient arroser son visage, elle ne se dérobe pas, et rouvre de nouveau la bouche, excitée par le regard que le brun pose sur elle. Elle déglutit, sans honte, sans le lâcher du regard. Et si elle grimace légèrement quand le goût inonde ses papilles, elle se reprend bien vite et ses mains relâchent le tissu ruiné de sa robe qui colle à présent à son corps encore plus qu’avant.

Ses lèvres se referment bien vite autour de la queue qui s’y glisse, alors que sa gorge émet un gémissement approbateur sans qu’elle ne puisse le retenir. Une nouvelle fois, elle déglutit, et elle ferme enfin les yeux en se laissant aller à la prise ferme autour de sa tresse.

Se laisser une fois pisser dessus, ça peut arriver. Les circonstances étant ce qu’elles étaient au moment où c’était arrivé, ça pouvait se comprendre. Une seconde fois, cependant… La veuve n’avait vraiment aucune honte, finalement, dès lors qu’elle était embrasée par le désir.

Sa langue agit presque d’elle-même, alors que l’ordre de Jack parvient jusqu’à son cerveau, et elle vient enrouler une main autour de la base du sexe de nouveau aussi dur qu’avant. Ses lèvres forme un anneau serré, juste en-dessous du gland, et elle aspire doucement sa gourmandise, ainsi que les dernières gouttes qui achèvent de la souiller complètement.

L’américaine rouvre les yeux pour les replonger dans ceux de son amant, le caressant presque autant que sa deuxième main qui venait de prendre en coupe les bourses dont elle convoitait le contenu. Elle frotte de nouveau ses cuisses l’une contre l’autre, aspirant avec ardeur la queue entre ses lèvres, comme une chienne en chaleur, désireuse de plaire à son maître. Les sons s’étouffent contre la chair qu’elle nettoie, qu’elle suce goulûment, et elle semble se complaire ainsi, recouverte de pisse, trempée et presque tremblant de désir.

Quand elle relâche enfin le sexe rigide de Jack, elle lui sourit, et se lèche les lèvres avec un air affamé.

« Est-ce assez propre pour toi, mon tendre époux ? Susurre-t-elle en tenant toujours queue et couille entre ses mains. Parce que j’ai besoin de te sentir m’enculer à fond, termine-t-elle avec un sourire en coin. »

Elle n’est pas fâchée, comme le ton séducteur de sa voix l’indique. Si c’est possible, elle à l’air encore plus débridée qu’auparavant. Encore plus chienne.

La veuve relâche finalement sa prise et se tourne, se mettant tout à fait à quatre à patte, offrant sa croupe à son amant. Elle ne se dérobe pas à son étreinte sur ses cheveux, et utilise même cette prise pour le tirer à elle s'il ne vient pas assez vite.

« Vient donc marquer ton territoire au plus profond de mes entrailles. Comme le chien que tu es, après m’avoir pissé dessus, ajoute-t-elle d’une voix basse en remuant les reins. Peut-être même que tu pourrais également marquer mon cou de tes dents, mmh ? »

Catalina n'a de nouveau qu'une chose en tête. Sentir Jack la défoncer proprement. Salement. Le béton contre ses genoux n'est qu'une vague sensation, trop faible pour dompter l'incendie dans ses reins. Elle est luisante, dans la lueur agressive des néons de la salle d'interrogatoire, mais elle semble dans son élément.

« Fuck me senseless, gronde-t-elle presque, impatiente. »
Compte en banque blindé.
RPs & Idées.

Evangile selon Sainte Cata 28:11 : "Venez à moi, vous tous qui avez envie de RP, on va s'enjailler grave j'm'en bats les couilles j'vous prends tous"
Evangile selon Sainte Cata 28:12 : "Vous trouverez du repos pour vos âmes en mon sein, à condition que vous soyez un mâle bien membré et prêts à me casser le bassin"

"Elle attire les bites comme le miel attire les abeilles" - Destin.

<3 <3

2eab41 - Paroles de Catalina.

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Retrouvailles [Cata]

Réponse 16 jeudi 27 janvier 2022, 16:15:29

Haletant, l’homme contemple sa femme, prostrée sur le col, luisante de pisse froide et néanmoins ravie, plus resplendissante que jamais. Tout autre que Catalina aurait été révoltée, révulsée par le traitement dont il vient de la gratifier, mais pas elle. Pensif, la tête légèrement penchée sur le côté, il se demande si Catalina Taylor a des limites ou si le concept lui est tout simplement étranger. Ses réflexions sont interrompues par le contact des doigts, puis des lèvres tièdes de la jeune femme sur son gland, qu’elle tète avec avidité. Cette fois, il la laisse lui bouffer le chibre sans intervenir.

“Putain, qu’est-ce que t’es bonne, sale pute.”

Les mots sont durs mais le ton est doux, presque tendre. Lorsqu’il estime son office terminé, il tire sèchement sur sa tresse, avant le bassin pour écraser de nouveau sa grosse queue contre son visage souillé. Les ongles de la veuve noire effleurent la peau si sensible de ses couilles et il soupire d’aise lorsqu’elle se retourne pour lui présenter sa croupe de chienne, raffermissant sa prise sur sa tresse pour l’inciter à se cambrer encore davantage, à bien creuser les reins. Sa main libre s’est emparée de sa verge, qu’il branle nerveusement, avant de s’agenouiller à son tour, derrière elle et de claquer sèchement ses petites fesses pour le plaisir de les voir rebondir. L’insulte qu’elle lui adresse le grise et il grogne d’impatience entre ses dents serrées.

“Montre-moi ton trou, salope”, grogne-il, "Écarte ton cul !”

Réflexion faite, il se demande s’il a vraiment repris le dessus sur elle, ou si au fond, il est l’esclave de Catalina, son chien en rut, prêt à lui casser les reins au premier claquement de doigt. Sa supplique sonne comme un ordre, et ça lui plaît mais… Il décide de la faire languir, pour la punir de son impudence. Il se penche en avant, crache sur le trou offert, dilaté. “Tu t’es bien ouverte, ma puce.”, murmure-il, taquin, avant d’écraser sa bouche contre l'œillet maltraité, de l’embrasser à pleine bouche avant d’y darder une langue avide pour la fouiller. Le goût de sa cyprine et de sa propre pisse explose sur ses papilles. C’est dégueulasse, mais ça ne l’arrête pas, au contraire. Sa langue s’agite en elle, racle ses entrailles. Lorsqu’enfin il se redresse, le souffle court, c’est pour remplacer sa langue par deux de ses gros doigts pour la fouiller vigoureusement, faisant claquer ses phalanges contre l’orifice défoncé. Il approche ses lèvres de la croupe de son amante, dépose un chaste baiser sur sa hanche, avant de tirer brusquement sur sa natte vers l’arrière. L’instant d’après, ses doigts quittent leur fourreau visqueux et son énorme gland caresse le pourtour nervuré de son petit trou.

“Là…”Le trou est obscène, luisant de stupre.

Sa main poisseuse s’arrime à ses hanches, et Jack s’enfonce en elle avec délectation. Penché au-dessus de son corps arqué, il couvre de baisers brûlant ses omoplates et bientôt sa nuque arquée. Ses doigts enroulent de nouveau la tresse autour de ses phalanges, et il approche ses lèvres charnues de son oreille, dont il mordille brièvement le lobe.

“Maintenant, ton chien va t’enculer”.

Joignant le geste à la parole, il projette son bassin vers l’avant, faisant claquer ses lourdes bourses contre sa petite chatte détrempée. Lorsqu’elle se cabre sous l’assaut, il répond à son invite, plante ses dents à la base de son cou pour y laisser une profonde marque rouge, légèrement sanguinolente. Sa main gauche se referme sur sa gorge fragile qu’il compresse entre ses gros doigts, pour la priver partiellement d’oxygène. Au fond de ses entrailles tièdes, il remue négligemment sa grosse bite en elle, écrasant sans pitié ses hanches de son bassin. “Plus. Fort, hmm ?” Sournois, il ralentit temporairement la cadence de ses coups de reins. Du bout de son nez, il chatouille sa nuque, s’enivre des vestiges de son parfum suave, et probablement hors de prix. La chienne compresse son chibre avec son cul, et l’agent Taylor frissonne, gronde d’extase. “Supplie mieux que ça, catin”, la nargue-il, en faisant lentement coulisser sa poisseuse en dehors de son fourreau soyeux, jusqu’à la collerette de son gland violacé.


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