Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le (lourd) roi du shopping (PV |-| Kara)

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Souta et Janus

Humain(e)

Re : Le (lourd) roi du shopping (PV |-| Kara)

Réponse 30 mercredi 23 décembre 2020, 01:00:04

Alors comme ça je causais trop ? La remarque est faite pour se rassurer ou est-elle sincère ? Le but est juste de l'aider à poursuivre au lieu d'agir sans dire un mot et risquer de la braquer. Mais bon, autant continuer tranquillement en se laissant porter.

Je la laisse prendre son temps et profiter. Le fait d'avoir un sexe imposant, plus épais et plus long que la moyenne n'est pas toujours facile à vivre. Surtout avec la plupart des femmes. La vie réelle n'est pas un porno. En avoir une grosse, voir une énorme pour certains, ne joue pas tant qu'on peut le croire sur la virilité durant l'acte. Tout est question de mesure et d'utilisation. Et pourtant on utilise cette expression bien souvent pour ceux doté d'un trou petit bout.

Après des caresses compliquées à cause de l'endroit étroit qu'est la voiture, je m'exécute et l'aide à me débarrasser de mon jean et mon boxer. La sensation de ses doigts fins et délicats sur mon membre épais et pulsant est un vrai régal. Un geste simple, mais un parfait avant goût de ce qui va suivre dans quelques instants car je doute qu'elle se contente de le caresser ou de le contempler.

Ma position allongée m'offre une vision assez excitante lorsqu'elle se retrouve nez face à la bête. Son visage était masqué en grande partie par ma bite lorsque cette dernière décide de s'y attaquer après avoir déposer quelques derniers baisers au creux de mes cuisses.
A mon tour d'exprimer mon plaisir. Un long soupir de plaisir s'échapper de ma bouche lorsque ses douces lèvres humides viennent embrasser ma peau sensible et veinée.

- Mmnnnnn ! Oui...

Les mots sortent tous seuls. Tout comme ma main qui s'active, guidée par la situation, pour se déposer sur sa tête et se glisser dans sa chevelure. Celle-ci l'accompagne dans ses gestes durant les première secondes. Car de toute évidence, elle ne parvient pas à engloutir plus des trois quarts de son dessert. Ce n'est pas faute de l'encourager en appuyant légèrement sans trop forcer.

Au bout de quelques minutes je me décide de prendre littéralement les choses en main. La droite dans ses cheveux lui fait comprendre de reculer un peu la tête pour que la gauche attrape ma queue à la base et la retire de sa bouche. D'un mouvement habile du poignet je lui fait pencher la tête sur le côté afin qu'en la remuant de gauche à droite, sa bouche remonte et descende le long de ma tige.

Je me retiens de lui donner la moindre consigne vu que je "parle trop". A elle donc de décider de la façon de procéder pour me donner un maximum de plaisir. Que ce soit avec ses lèvres, sa langue, sa salive. Il faut expérimenter dans la vie.
A chaque fois qu'elle fait un "tour" complet, mes veines font pulser mon sexe. L'organe gorgé de sang adore le traitement qui lui est offert et le rend bien à la belle Kara.

Mais au bout d'un temps l'envie est trop forte.

- J'adore ta façon de sucer ma bite... Mais oublie pas mes couilles.

Ma main pousse alors un peu sa tête pour lui faire comprendre de descendre encore plus bas. Je n'ai pas eu d'orgasme depuis trois semaines déjà, alors inutile de dire qu'elles commencent prendre à me démanger vu l'attention particulière apportée à ma tige et mon gland.

En tout cas elle est sur la bonne voie et peut-être qu'une fois que j'aurais visité sa gorge ce sera au tour de ses seins. Il serait criminel de ne pas tester une paire pareille alors qu'elle est juste là.

Kara Desco

Humain(e)

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    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Re : Le (lourd) roi du shopping (PV |-| Kara)

Réponse 31 mercredi 23 décembre 2020, 09:44:21

Plus rien n’existait autour de Kara dès lors qu'elle avait engouffré l’imposant sexe de Souta dans sa bouche, le suçant et le léchant avec ferveur, rendue folle par le parfum de sa peau et les râles qu’il lançait dès qu’un mouvement lui donnait davantage de plaisir. Les mains du jeune homme qui accompagnent son mouvement, l’obligent parfois à accélérer ou à se reculer pour mieux revenir enfoncer l’embout chaud qui écarte ses lèvres, la mettent dans un état de plus en plus enflammé.

Il possédait vraiment un corps sculpté pour faire rêver les femmes, plus elle allait et venait le long de cette hampe veinée et plus elle se rendait compte à quel point il était bien bâti. Loucher sur son membre épais et dur à l’extrême l’excitait, elle sentait son entre-jambe humide d’impatience, et elle ne pouvait pas s’empêcher de se dandiner.

Sa façon de parler était naturelle, vulgaire, aussi. Kara releva les yeux vers son visage à la demande qu’il lui fit, la bouche luisante, elle marqua une pause d’abord immobile. Puis elle sourit, d’un air entendu, complice, plissant ses petits yeux en amandes avec délice, pour replonger entre ses cuisses, mordre légèrement l’os de son bassin, et venir lécher ses bourses consciencieusement.

Immédiatement, son corps s’électrisa à nouveau, comme sur pilote automatique, et ses mains se placèrent fermement sur la queue de Souta, pendant qu’elle gobait et suçait ses testicules avec un mélange de délicatesse et de fougue. Plus elle bougeait ses mains le long des veines, plus elle se sentait défaillir, tanguant avec fièvre. Après l’attention particulière qu’elle portait à ses bourses, elle releva légèrement le visage, appelée insatiablement vers ce gland luisant et brûlant, qu’elle lécha à nouveau en gémissant.

La sueur perlait déjà à la naissance de ses cheveux, et l’air dans la voiture était suffoquant ; ses mains cessèrent leur mouvement de va et vient, et vinrent se placer sur ses seins, elle compressa l’un contre l’autre, en emprisonnant le sexe tendu et vif entre eux. En levant les yeux vers Souta, elle pinça les lèvres en créant des fossettes au creux de ses joues, et entreprit de frotter sa poitrine, prenant le relai de ses doigts.

C’était complètement fou, pour Kara, qui n’avait pas l’habitude d’une telle pulsion instinctive, par dans un lieu public, toujours. Pas dans une voiture. Elle avait l’impression que son sang était de la lave, s’écoulant dans tout son corps en la brûlant. Elle se rendait compte à quel point Souta était sexy, attirant, provoquant, même, alors qu’il était nonchalant et simple. Un frisson de plaisir la fit sursauter.

Il avait l’air au bord de l’extase, elle ne voulait pas manquer l’étincelle dans son regard, elle y tenait trop désormais, et la jeune femme fixait avec passion le visage de son amant. Paradoxalement, elle le trouva beau dès qu’il se crispa, et dans un réflexe en dernière seconde, lâcha ses seins pour enfourner son gland dans sa bouche, et avaler les giclées chaudes. Elle avait un peu paniqué, finalement, se rendant compte qu’elle n’avait pas très envie d’être maculée de fluides pâteux et collant dans un parking souterrain.

Le liquide aigre lui brûla la gorge, mais elle frémissait de plaisir à chaque contraction. Savoir qu’elle pouvait faire venir un homme avec sa langue, sa main ou sa poitrine restait une fierté malsaine dont elle était fière, boostant sa confiance en elle. Lorsqu’il se fut calmé, Kara se détacha lentement de son sexe, un filet indistinct la reliant encore à lui, qu’elle essuya doucement de l’index.

Elle se mordit la lèvre, lécha sa bouche comme pour se nettoyer, et planta ses yeux bleus dans ceux de Souta, un petit sourire sarcastique aux lèvres.

« Hé bah alors, Souta, on sait pas se tenir ? »



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Le (lourd) roi du shopping (PV |-| Kara)

Réponse 32 mercredi 23 décembre 2020, 10:45:46

La femme timide et hésitante que j'ai rencontré hier et retrouvé aujourd'hui semble être une toute autre personne. Comme on le dit souvent, elles sont le jour et la nuit. Deux parfaites opposées. L'envoyer jouer et taquiner mes boules était surtout une façon de l'embêter car sur le moment j'étais certain qu'elle refuserait. Peu nombreuses sont les femmes à accepter d'aller jusque là. Et je suis tout excité à l'idée qu'elle n'en fasse as partie.

- Putain, ce que c'est bon.

Entre les bruits de succion qui résonnent dans la bagnole et les sensation qui les accompagne je suis en train de subir un supplice tellement agréable. De là-haut je ne vois que son front et ses petits yeux illuminés par un lueur perverse. Enfin, pas exactement. Ses mains viennent très rapidement remplacer sa bouche sur ma queue. Je vois celle-ci trembler à son contact. Sentir ses doigts fins s'enrouler et presser ma tige pour tenter de dévorer a proie à l'image d'un cobra renforce mon excitation.

Le prédateur est devenu la proie. Et de ce que j'en vois, elle ne ma lâchera pas avant d'obtenir ce qu'elle veut de moi. Quand elle desserre son emprise c'est pour moi laisser un doigt parcourir ma grosse veine. J'ignore ce qu'elle cherche à faire et pourtant ça fonctionne.

La sensation douce, humide et rugueuse de sa langue qui se pose régulièrement sur mon gland sensible, celle de ses lèvres fines et délicates qui peuvent le gober à tout moment lorsqu'elle ne se contente pas de me chauffer sur un bref baiser. Ou encore la chaleur de son souffle qui suffit presque à me faire vibrer complètement rien qu'en venant s'écraser sur ma peau sensible. C'est peut-être inconscient chez elle car elle ne semblait pas à l'aise au début. Et pourtant elle a une technique à la limite de la perfection.

Je ne dis pas du tout ça parce qu'elle arrive avec sa poitrine énorme pour prendre la relève et tenter de me donner le coup de grâce. Depuis le retrait de mon jean et de mon boxer il m'arrivait de les sentir s'écraser sur mes cuisses quand elle me suçait. C'était de brefs contacts excitants et furtifs. Jouer sur de petites choses durant l'acte est une évidence. Qu'on le fasse volontairement ou non.

Le clou du spectacle arrive donc. Elle n'a même pas besoin d'utiliser ses mains pour parvenir à glisser son nouveau jouet entre cette énorme poitrine si moelleuse. Les femmes optent souvent pour la tendresse au départ. Question de contrôle. Elles aiment savoir qu'elles ont le dessus sur leur homme et qu'il aime de qu'elles font, qu'il ne cherchera jamais à s'extirper de cette situation car il sera toujours perdant au final.
Dans son cas, la chose est légèrement différente. Elle vise directement la jugulaire, cherchant l'efficacité avant tout. Sa fellation n'est pas très baveuse et pourtant ma bite glisse sans souci dans cet étau chaud qui s'adapte à ses dimensions. Ce mélange entre douceur et pression. En fin de compte c'est une image qui lui ressemble bien depuis qu'on est entré dans cette voiture.

Les râles de plaisir s'enchainent et je ne cherche ni à retenir mes vocalises, ni mon orgasme. On n'est pas là pour ça de toute façon. Et quand on ne se retient pas devant cette avalanche d'attention, on se met à jouir plus vite que prévu. Ce qui entraîne un second problème. Comment la chose va se terminer ? Je peux pas saloper la bagnole sinon je suis dans une merde folle. Lui demander d'avaler ? Ca me semble jouable mais compliquer car elle voudra sûrement pas.
L'autre possibilité serait de lui jouir dessus et lui demander de sortir rapidement. Mais là ce serait encore pire. Ca reviendrait à dire "Allez, dehors, t'es toute crade !"

Et voilà qu'elle décide d'elle-même de prendre les devants. Quand la jouissance arrive enfin, ses fines lèvres viennent de nouveau engloutir mon gland d'une traite. Elle a clairement compris ce qui allait arriver sans que je lui dise quoique ce soit.
Après une activité aussi prolongée ma crème doit être plus gélatineuse que d'habitude. Sans parler de la quantité qui va avec. Pourtant elle avale tout, jusqu'à la dernière goutte. Ou morceau dans ce cas particulier.

Bien entamé par cet exercice, je laisse tomber ma tête sur le siège en la regardant, elle, qui me fixe dans le blanc des yeux.

- Non, j'ai du mal quand on s'occupe aussi bien de ma bite.

Je me redresse alors un peu et décide de laisser glisser ma main gauche sur son ventre. Cette dernière continue son chemin et arriver rapidement au niveau de sa culotte pour y glisser immédiatement et vérifier l'état des lieux.

A mon tour de la regarder avec un grand sourire.

- Jouer avec ma queue à l'air de bien te plaire.

Mes doigts se mettent à doucement frotter ses lèvres intimes et son clitoris. De tous petits contacts et frottements qui ont pour unique but de la chauffer davantage. Sauf que je me laisse emporter et glisse mon index et mon majeur en elle. Sa fente n'oppose aucune résistance. Pire, elle les aspire carrément.

- Ta bouche est pas la seule à vouloir y goûter.

Maintenant que la machine est lancée elle aura du mal à s'arrêter. Pas avant d'avoir atteint son objectif ou d'imploser à cause d'une surcharge. Mes doigts continuent de s'enfoncer un peu plus en frottant les parois sensibles de son sexe chaud et humide.

- On sera plus tranquilles ailleurs.

Pour mieux reprendre ma place et lui faire comprendre de retourner sur le siège passager le temps que je nous conduise ailleurs je retire mes doigts trempés d'entre ses cuisses et lui montre le résultat de ma brève exploration. Je les porte ensuite à ma bouche pour les sucer avant de les essuyer sur mon torse.

J'enclenche ensuite le contact et fait démarrer la voiture sans prendre la peine de ma rhabiller. La queue toujours tendue et à l'air libre. Mon éjaculation de tout à l'heure était si forte que du sperme se remet à fuir du gland en petite quantité.

- On va faire un jeu. D'ici à ce qu'on arrive, je dois pas débander une seule fois.

Bah ouais, ça peut être marrant.

Kara Desco

Humain(e)

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Re : Le (lourd) roi du shopping (PV |-| Kara)

Réponse 33 mercredi 23 décembre 2020, 11:25:24

Loin de réfléchir à ses limites ou ce qu’elle faisait, Kara était en roues libres, elle ronronna lorsque Souta la complimenta, comme une gamine qu’on félicite, et mine de rien, cela l’encourageait, l’excitait encore. Elle sentait très bien sa main serpenter sur son ventre, dépasser son nombril, et s’aventurer sous sa culotte… Et elle savait combien leur échange torride l’avait rendu trempée.

Mais étrangement, elle n’en était pas gênée, au contraire, les mots de son partenaire la firent ricaner doucement.

« Tu te rends pas compte à quel point tu es sexy, je crois… »

Les caresses de ses doigts la firent immédiatement vibrer, c’était instinctif, elle lâcha un gémissement un peu plus fort, en laissant sa tête se balancer en arrière. Cette sensation était divine, Souta était doué, sans détour et cash, mais il était étonnant de délicatesse, de maîtrise… A côté, elle avait l’air d’une adolescente qu’on touche pour la première fois. Mais Kara n’y songeait pas, elle n’arrivait plus à réfléchir, tout son corps et son esprit n’avaient qu’une seule idée en tête : les doigts de Souta qui s’enfonçaient en elle, ses mouvements, ses caresses, les effleurements subtils ou appuyés.

Il avait raison, sa bouche n’était clairement pas à la seule à vouloir posséder le jeune homme, elle ne pouvait le nier, pas maintenant qu’il sentait la chaleur démente de sa chair où son cœur battait douloureusement.
Mais il semble avoir d’autres plans.

Chamboulée par ses caresses, Kara met du temps à comprendre ce qu’il attend d’elle, déjà prête à se laisser aller totalement sous ses mains, et perçoit enfin qu’il faut qu’elle s’installe de nouveau à sa place. Déjà ? Elle lui lance un regard interrogateur, peut-être même déçu… Frustré, en tout cas, ça, c’est sûr. Elle était trop excitée pour s’arrêter maintenant, elle allait lui rétorquer une plainte sévère quand elle percuta qu’il mettait la voiture en mouvement et sortait du parking.

Lorsqu’il suce ses propres doigts visqueux, Kara manque de défaillir. Ce geste est tellement vulgaire, tellement obscène… tellement érotique. Elle ouvre la bouche en o, soupirant d’émoi. C’était extrêmement efficace, elle se sent survoltée et… Il faut être sage, attendre, patienter. Quelle torture ! Ses sourcils se froncent.

« Bordel, j’espère que c’est pas loin ton endroit tranquille. »

Ca n’a pas intérêt, elle ne tiendra jamais plus de quelques kilomètres. Mètres ? Centimètres ? Elle fixe son sexe érigé et fier qui semble encore parfaitement apte à la contenter, et sa frustration lui tiraille l’intérieur des cuisses, qu’elle serre vivement comme pour se retenir. Cependant, les derniers mots de Souta font briller sa pupille, elle lève un sourcil espiègle en venant parler à son oreille, pendant qu’il conduit.

« Ah ouais ? » Ricanement, elle lèche le lobe de son oreille. « Nous fous pas dans un mur, trésor. » Ce petit jeu l’enflamme déjà, elle se dandine sur son siège, contorsionnée pour rester près du conducteur. 

Elle n’a pas fini sa phrase que ses mains reviennent déjà à la charge sur son sexe, l’une l’empoignant dans un mouvement appuyé, et l’autre glissant dessous pour caresser ses bourses. Elle se rend compte à quel point elle meurt d’envie de le sucer à nouveau, se retient, pousse des gémissements entre ses dents pour essayer de se contenir. La situation la rend électrique, elle n’aurait jamais cru pouvoir être aussi excitée par un quasi-inconnu dans une voiture.

Kara alterne ses douceurs en soufflant à son oreille des insanités. Elle ne réfléchit pas aux conneries qu’elle dit, comme dans un état second…

« Tu pourrais t’arrêter là, dans cette ruelle, et me prendre contre un mur. Oh, regarde, là il y a un hôtel ! J’ai envie de tes mains encore, tu me laisses sur ma faim, c’est cruel. Là, y a un jardin, trouvons un petit buisson, aller, s’il te plait. J’suis trempée, ne sois pas méchant. »



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Le (lourd) roi du shopping (PV |-| Kara)

Réponse 34 mercredi 23 décembre 2020, 12:38:06

La partie est lancée et ma chaude co-pilote est clairement prête à relever le défi. Me lécher l'oreille ans prévenir comme elle l'a fait un peu plus me provoquer un léger sursaut. Merde quoi ! Je m'attendais à certaines choses, mais clairement pas à celle-ci. Plus le temps passe et plus je trouve qu'elle cachait bien son jeu.

- Ouais, ce serait con.

Pour le moment je n'ai droit qu'au son et au toucher pour ne pas me laisser influencer. A la moindre seconde d’inattention je pourrais être tenter de lui faire des trucs. Un taaaaas de trucs. J'ai ces images dans ma tête. Des picotements dans les doigts en m'imaginant saisir cette énorme paire de seins pour me venger de ce qu'ils ont fait à ma queue plus tôt.
En temps normal c'est le cuir du volant qui m'aurait procuré cette sensation. Une preuve de plus que la situation est complètement folle et survoltée.

Mon bassin se tortille même par moments pour lui laisser encore plus de place afin qu'elle me branle et ma caresse bien comme il faut. Seigneur, ce que j'aime sentir ses mains sur mon corps. Autant en bas qu'en haut. La façon qu'elle a de les déplacer. C'est comme si elle cherchait à le mettre en pièce pour se l'approprier complètement. Et ça me plaît énormément.

Je m'attends à ce qu'elle me chauffe aussi verbalement car elle n'a quasiment plus aucune retenue désormais. On est loin du discours coincé de la vendeuse. Là, de manière brute et hard elle enchaîne des scénarios qui font tous bien envie.

- Ca me plaît l'idée du jardin. Par contre c'est pas mes mains qui t'attendent.

Un jardin ? Non, on dirait plutôt un petit parc. Désert à première vue alors qu'il fait beau et qu'en général tout le monde est dehors à cette heure. Suffit de voir la galerie marchande qui était bondée tout à l'heure. C'est bizarre.. Mais aussi très pratique.

Je commence alors à ralentir en cherchant un endroit où me garer. Le risque d'accident était quasiment limité, voir nul, je tiens le volant d'une main et pose l'autre sur sa tête pour la guider entre mes jambes.

- Reviens me sucer pendant que je cherche une place. Entraîne-toi dessus, car un truc me dit que ce sera pas la dernière fois que tu le feras.

Vu comment les choses se passent entre nous, cette situation sera la première d'une longue série. Kara a clairement des fantasmes à assouvir que je me ferais un plaisir d'expérimenter avec elle. Je continue de faire avancer la voiture, lentement. Quand je remarque une place libre. Je commence à faire tourner le volant pour m'y engouffrer quand... je décide de faire machine arrière et de continuer ma route. L'envie d'en profiter encore un peu est trop forte. Sentir sa langue se coller à ma hampe veineuse, l'entendre aspirer mon sexe et sa propre salive. Qui pourrait se retenir de faire un petit tour de plus ?
Et si ça se trouve il y a une meilleure place plus loin ?

Sauf que non, du coup je savoure chaque seconde en la regardant à l'oeuvre par instants vu la vitesse faible du véhicule. Jusqu'à retrouver la dite place.

- On est arrivé ma belle.

J'actionne le frein à main tout en gardant la main sur sa tête pour la laisser poursuivre jusqu'à ce qu'elle se rende compte de ce que je viens de lui annoncer. En quittant sa bouche délicate, ma bite se retrouve couverte de salive. Pulsante sans doute encore plus que tout à l'heure. L'idée de la prendre m'excite déjà énormément. Mais dehors ? C'est le bouquet. J'ai un mal pas possible à me retenir et me fous complètement que mon boxer se retrouve collé à ma queue lorsque je range ma marchandise et remonte mon pantalon dans la foulée.
L'idée de me balader à moitié à poil me dérange pas une seconde. Par contre ce sera dur de marcher avec un jean coincé au niveau des chevilles.

J'ouvre la portière rapidement, me précipite d'un pas rapide de son côté pour lui ouvrir et là, je la tire vers moi et l'embarque sur mon épaule comme une plume.
Dans la foulée j'active la fermeture automatique de la caisse et l'emmène dans la zone la plus tranquille et entourée de buissons ou d'arbres du parc et l'allonge par terre, sur le dos. En prenant quand même soin de glisser un doigt ou deux dans sa petite chatte humide en chemin. C'est elle qui a dit que ça lui manquait après tout. Je voudrais pas être un salaud.

Cette fois les positions sont différentes. A moi de me retrouver au-dessus. Je lui descends un peu plus sa robe pour avoir un parfait accès à ses seins sur lequel je fond comme le ferait un aigle sur sa proie. Ma bouche vient carrément engloutir sur téton gauche déjà dressé. Je colle ma langue dessus en lui faisant tracer des cercles autour de cette petite pointe sensible. Ma main droite venant s'occuper presque instantanément de son jumeau.

Je comptais jouer un peu avant de me lancer. Mais je crois que c'est inutile. Mon autre main remarque que c'est une vraie fontaine en bas. Ca coule tellement que je pourrais quasiment y entrer le poing complet.
D'un geste habile je déboucle ma ceinture et fait de nouveau sortir sa bête de sa cage en laissant son entrejambe respirer. Mon gland est si sensible qu'il me brûle presque. Si il pouvait parler il me supplierait de le faire entrer comme Kara l'avait fait dans la bagnole sur la route.

La main qui harcelait son téton jusque là vient se poser sur sa bouche quand j'entame le mouvement. Mon gland Violacé, et déterminé à écarter tout ce qui se trouvera sur son passage, s'engouffre dans son antre humide et brûlante.

- Putain ! Ce que t'es serrée !

Elle est pas humaine, si ? Parce que j'ai déjà affronté un gars qui contrôle le feu et la température n'était pas aussi élevée. En poussant fort avec mes hanches je finis par faire entrer mon gland épais. Sans m'arrêter pour autant.
Un mélange entre une touche de sadisme et un geste involontaire me font lui mordre plus fort que prévu son téton en même temps que la poussée.
Heureusement que j'ai eu l'intelligence de garder une main sur sa bouche... Qui est d'ailleurs déjà en train de se faire couvrir de salive.
Voilà que j'arrive bientôt à la moitié. Merde, si elle est déjà bien serrée par là, ce sera quoi si j'essaie l'autre trou ?

Faudrait pas qu'elle ameute tout le quartier. Je la veux pour moi tout seul.

Kara Desco

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Re : Le (lourd) roi du shopping (PV |-| Kara)

Réponse 35 mercredi 23 décembre 2020, 14:02:14

Un long soupir languissant accompagna cette petite phrase anodine où Souta annonçait qu’il avait d’autres cadeaux pour elle que ses mains. C’était bateau et téléphoné, mais juste cela la fit onduler sur son siège, impatiente. Elle n’eut pas besoin qu’on la supplie trop longtemps pour que sa bouche rejoigne sa main, qu’elle se brûle sur la peau tendue à l’extrême, luisante et douce de l’embout pulsant. Il parlait avec un tel naturel que c’en était troublant. Sans fards, sans filtre, juste ce dont il avait envie, sans se prendre la tête. Ses mots résonnaient à ses oreilles comme s’il lui avait murmuré des obscénités.

Bien trop amoureuse de cette queue qu’elle suçait avec fougue, Kara mit un bon moment avant de se rendre compte que la voiture était arrêtée, n’ayant même pas remarqué que le conducteur avait prit son temps pour rallonger le plaisir. Elle rechigne à lâcher l’objet de ses convoitises, mais se redresse finalement, le temps de s’essuyer la bouche entrouverte avec une sorte de langueur dans les mouvements. Elle ne comprend pas vraiment ce qui se passe, en réalité. C’est compliqué de se concentrer sur autre chose que son désir qui hurle dans sa tête. Pas que dans sa tête.

Quand Souta la soulève aussi facilement que dans la cabine, Kara ronronne d’excitation. « Tu pourrais faire de moi ce que tu veux… » avant de se rendre compte qu’elle a pensé tout haut, en se demandant déjà si cela ne va pas lui jouer des tours. En réalité, il est bien plus puissant qu’elle, c’est certain, et elle a une petite voix très faible dans la tête qui lui dit qu’elle va finir lamentable, peut-être dans un fleuve, qu’il est dangereux, qu’il va la buter, finalement.

Mais même si c’est vrai, Kara estime qu’il semble bien décidé à la prendre avant, et … autant mourir après ça. Cette idée farfelue s’envole immédiatement lorsqu’elle se retrouve dos dans les herbes, la robe roulée à la va-vite pour le laisser dévorer sa poitrine. Elle ouvre grand la bouche sans pouvoir se retenir de geindre. C’est trop bon pour réussir à se réfréner, la langue est trop agile, et combiné à ses doigts qui martyrise son vis-à-vis, Kara sent la tête lui tourner.

En entendant la bouche de ceinture, la tension monte instantanément, elle sait ce qui va arriver, elle frémit, impatiente, elle jubile d’avance, l’encourageant en soufflant de petits « oui, oui ! » avant qu’elle ne se fasse bâillonner. Ce simple geste l’excite sans qu’elle ne puisse rien y faire, ses mains lâchent les brins d’herbe qu’elle arrachait nerveusement pour s’enfoncer dans la jungle de ses cheveux argentés.  Il a bien fait de poser sa paume sur ses lèvres, elle a envie de hurler dès qu’il s’insère en elle.

Ses cuisses s’écartant bien plus pour lui laisser toute latitude, sentant la résistance de son corps face à son sexe épais, et elle plisse les yeux sous un mélange d’appréhension et de fièvre. Elle est bouillante, et son gland qui écartent ses parois en feu a l’air d’un tison ardent. Au moment où l’embout la pénètre totalement, Kara se contracte et se tord de plaisir, grogne de désir contre sa main, peste de ne pouvoir s’exprimer, tant elle a été foudroyée par cette morsure sur son sein. C’était brutal et violent, mais pourtant, elle a aimé… Elle se posait la question plus tard si c’était normal, ou non, trop accaparée par le membre dur qui l’envahissait.

Souta a clairement bien fait de la rendre muette, elle ondule avec frénésie et lèche désormais la peau à sa portée, entre ses doigts, ses cuisses se refermant autour de son bassin pour accentuer la pénétration, et tenter d’apporter son rythme. Son corps réclame le mouvement, elle veut qu’il bouge en elle, c’est vital !



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Le (lourd) roi du shopping (PV |-| Kara)

Réponse 36 mercredi 23 décembre 2020, 14:56:25

La chaleur que dégage son corps est aussi contagieuse que son excitation qui est en train d'atteindre des sommets. Ca me surprendrait pas une seconde de voir sa silhouette imprimée sur le sol après avoir fait disparaître l'herbe sous son corps fiévreux quand on se relèvera.

- Hmmmnnnnnnnn !

Le long soupir qui suit est le résultat d'une double sensation. Plaisir et douleur se mélangent dans un cocktail enivrant qui me pousse à aller encore plus loin. Physiquement et mentalement. J'ai du mal à contrôler mes mouvements à tous les endroits qui stimulent son corps. Ma prise se défait légèrement au niveau de sa bouche.
Sans réfléchir je desserre ma poigne et laisse glisser trois doigts entre ses lèvres. Les sucer gardera sa bouche occupée et bloquera en partie ses gémissements de plaisir.

Ma seconde main se pose sur un de ses cuisses pour l'ouvrir légèrement et me permettre de poursuivre ma progression. Elle est tellement étroite que chaque centimètre d'enfoui dans ce four m'arrache un grognement supplémentaire. J'ai l'impression de déflorer une vierge tellement c'est difficile. Pourtant elle est trempée là-dessous. Qu'est-ce que ce serait sans ?

Plus haut mes dents relâchent leur emprise sur ce téton que je n'arrête pas de lécher pour autant. Des lèvres je suce et tète la bête comme le ferait un gros bébé.

Arrivé aux trois quarts je me retire délicatement pour revenir de façon plus sèche. Un coup de rein compact mais bien dosé. Ses parois continuent d'opposer une faible résistance. Son corps veut me résister alors qu'il doit savoir qu'il n'a aucun chance d'y parvenir. Cette simple pensée me fait sourire et y aller de plus belle.

A la cinquième pénétration j'aspire aussi fort que je peux son sein pour le voir s'étirer. Je le recrache de façon vulgaire dans un bruit sale et humide sous ses yeux.

- T'es pas habituée à t'en prendre une aussi grosse, hein ?

Je me renfonce immédiatement en elle d'un coup sec. Encore une fois jusqu'aux trois quarts. J'installe ensuite un rythme plus rapide pour qu'elle s'y habitue. Que sa chatte s'ouvre sur le passage de ma trique puissante et épaisse pour finir par épouser ses formes le moment venu. Un moment qui finira par se produire inévitablement.

Ma main sur sa cuisse ouvre encore un peu plus ses jambes pour me mettre à la caresser en même temps. Je reste dans cette position pendant bien cinq minutes. Chaque coup de rein plus énergique que le précédent, plus rapide. Sans pour autant la pilonner comme une brute. C'est beaucoup trop tôt pour ça.

Le sexe toujours logé en elle, je tente une acrobatie pour corser les choses. Et pour ça j'ai besoin de mes deux mains. Je me saisis de ses chevilles pour relever ses jambes et les rabattre sur elle même. C'est d'ailleurs dans cette configuration que je poursuis mes assauts.
Elle sur le dos, les jambes complètement écartés et tenue par les chevilles.

- Si quelqu'un passe dans le coin il verra tout.

Lors de première poussée j'écrase lentement mon corps sur le sien. Jusqu'à ce que mon visage se rapproche dangereusement du sien, comme pour tenter de l'embrasser. A la place je lui susurre.

- Il verra ton vrai visage, celui d'une salope qui aime se faire baiser en public.

Je recule ensuite le visage sans déplacer mes hanches. Ho non, je vais commencer à m'y mettre sérieusement. Dans cette position il suffit de pousser et remonter. Mes cheveux me gênent un peu, mais c'est un faible prix à payer. Ma respiration également se veut plus lourde et audible.
Les muscles de mon bassin se contractent et lancent la machine. Une pluie de coups de reins viennent s'abattre sur le corps pulpeux de la belle Kara.

Mes cuisses claquent contre les siennes dès que la cadence augmente. Encore un peu plus et mes couilles en feraient autant sur ses fesses. Malheureusement il faudra du temps pour qu'elle s'habitue à la taille de mon membre. Puis de toute matière ça gâcherait une partie du plaisir.

Je veux la faire s'y habituer petit à petit. Qu'elle découvre les différentes sensations que cela pourra lui procurer sur la durée. Quand mon gland viendra embrasser son col dans une pénétration digne de ce nom.
Parce que ce qu'on fait là ne sont, au final, que des préliminaires.

Kara Desco

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    Kara est une jeune femme de bientôt trente ans, commerciale pour une grande entreprise, qui s'ennuie dans son job, et qui passe le plus clair de son temps à geeker sur le web et jouer en ligne sous le pseudo de Cassandre. Tantôt le parfait cliché de la working girl, tantôt la pantouflarde en legging qui mange de la glace dans son canapé ^^

Re : Le (lourd) roi du shopping (PV |-| Kara)

Réponse 37 mercredi 23 décembre 2020, 15:41:04

Il était évident que Kara n’avait jamais connu de partenaire aussi bien bâti, mais Souta faisait preuve d’une arrogance qui la fit sourire, entre deux succions de ses doigts qu’elle malmène depuis un bon moment, se vengeant sans doute des délicieux mouvements, alors qu’il s’enfonce centimètres par centimètres en elle.

Il semble augmenter la cadence à chaque fois qu’il lui parler, et la jeune femme commence à penser qu’il pourrait peut-être causer un peu plus. Pour voir. Elle ignore où sont les limites de Souta, mais clairement, elle navigue à vue, ignorant les siennes… Elle n’aurait jamais cru pouvoir être troublée dans une cabine d’essayage, avec des vendeuses juste derrière le rideau. C’était pire pour le parking, elle aimait le confort, les matelas moelleux, les ambiances tamisées pour qu’on ne remarque par trop son corps… Là, c’était le summum de la perversion, pour elle.

Ils baisaient dans un lieu public potentiellement remplis de gens divers, des familles, des enfants même. Ils n’étaient pas en vue, mais était-on à l’abri d’un ballon qui roule dans les buissons ? Cette pensée lui fit peur, une unique seconde, car celle d’après, elle se retrouve les jambes en l’air, et les mains fermes de Souta emprisonnent ses chevilles. Kara siffle un gémissement rauque, cette position comprime ses parois autour de ce sexe imposant qu’elle sent pulper contre sa peau sensible et brûlante.

Pour la narguer, la défier peut-être, l’exciter surement, il vient tout contre elle en l’écrasant pour lui décrire presque cette situation obscène. Elle tire le cou, pour atteindre ses lèvres, en vain. Il contrôle parfaitement la distance entre leurs visages. Il joue avec elle. Kara grogne mais est touchée en plein cœur par sa petite pique. Est-ce qu’il vient vraiment de l’insulter ?!

Elle écarquille les yeux et ressent une excitation sans nom, se crispant et donnant un coup de rein d’instinct. Quel enfoiré ! Elle l’adore. Elle adore cette queue énorme qui a l’air de s’installer lentement, c’est frustrant, mais elle a également conscience que des coups secs seraient douloureux… Malgré le désir bouillant qui l’enivre, Souta savait parfaitement doser ses assauts, il devait en baiser, des nanas… Un gémissement surexcité s’éleva un peu plus fort que les autres, quand il claque en rythme son corps contre le sien.

La sensation de son bas-ventre est incroyable. Elle pensait quand même que c’était assez cliché de vanter la taille des sexes masculins, mais elle ne pourrait plus être hypocrite. C’était dingue. C’était si bon. Trop bon. Et si c’était même pas encore totalement en elle… Cette constatation la fit frissonner d’impatience, elle piaffait en étirant les bras pour passer l’une d’entre elle dans ses cheveux gris. Agripper une mèche. Tirer légèrement.

L’autre, douce, poussait les mèches qui collait à son front par la sueur avec une sorte de tendresse que son regard rendait pourtant assez sale. Est-ce qu’il avait raison ? Est-ce qu’elle aimait se faire baiser en public ? Elle tira ses cheveux.

« Ferme-là, Souta. T’appelle ça de la baise ? »

Kara savait qu’elle allait le regretter, qu’elle n’était pas en position de force, mais quelque chose dans le regard d’ambre de son amant l’avait piquée au vif quand il l’avait traitée de salope. Elle ne savait pas si elle aimait ou non, mais son corps avait totalement été électrisé par cette insulte, et son bassin lui rendait ses coups de reins avec vigueur…

Elle avait de l’herbe dans les cheveux, de la buée dans les yeux, et elle le regardait avec défit. Comme si elle n’était pas déjà en péril après sa provocation, sa main jadis si douce sur son front caressa sa joue, avant de lui coller une gifle légère. Presque plus convaincante que celle qu’elle lui avait mis à son appartement…

« J’suis pas une salope. » Gémit-elle en roulant les yeux de plaisir.



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Le (lourd) roi du shopping (PV |-| Kara)

Réponse 38 mercredi 23 décembre 2020, 17:54:09

N'importe qui de normalement constitué s'énerverait en prenant un coup. Voir même en entendant une insulte, une moquerie, une critique. C'est parfaitement normal de réagir de manière négative quand quelqu'un cherche à vous atteindre d'une quelconque façon. Et je ne suis pas différents des autres êtres humains. Ce qui devrait signifier, dans le cas présent, que sa claque me pousse à réagir en conséquence.

Le résultat est probablement dû à un ongle ou une bague. Ma lèvre inférieure saigne et ce n'est pas parce que celle-ci s'est frottée ou cognée contre une dent au passage. Ma réaction est sûrement différente de celle qu'elle s'imaginait. Ou peut-être qu'elle cherche justement à m'énerver pour que je la baise comme une actrice de porno, un vulgaire objet, un trou à bites comme certaines personnes les surnomment.

- Hé hé...

Moi cela me fait rire. Pas par moquerie, pas par supériorité. Je trouve juste ça amusant et excitant à la fois. L'excitation et le plaisir peuvent se matérialiser sous tant de formes différentes.
D'un coup de langue habile je lèche ma plaie ouverte et avale les quelques gouttes de sang qui en sortaient.
Je commence alors à y aller plus fort en elle. Mon élan la fait se soulever un très bref instant. Mes hanches font le sens inverse pour me laisser sortir en remontant et je retourne m'enfoncer en elle en soupirant encore plus fort qu'avant. De façon très exagérée.

- T'as raison, t'es pas une salope.

Au même moment où ma phrase se termine, je coince ma queue gonflée et tremblant aussi profondément que je le peux en elle. Ce qui m'arrache une écrasante sensation au passage. Mais je peux gérer ça.

Je lâche alors ses chevilles pour glisser l'intérieur de mes coudes dans ceux de ses genoux et je la soulève une nouvelle fois, avec une facilité déconcertante, pour nous retrouver debout. A peine arrivés sur mes pieds, je fais descendre mes bras pour que son corps en fasse autant. Mon gland et la première moitié de mon sexe entrent en elle comme dans du beurre fondu.
Modeler cette chatte selon mes mensurations pendra un moment. En tout cas le résultat est parfait pour le moment.

Arrivé à mi-chemin je m'arrête exprès pour la regarder droit dans les yeux en souriant autant qu'après sa claque alors que des premiers signes de fatigue font leur apparition.

- T'es un grosse salope.

Je fais alors remonter mes bras et son corps. Et je décontracte mes muscles pour la laisser tomber et s'empaler sur ma trique tendue sans l'avertir. La contraction de ses parois sur ma bite est à la limite de l'insoutenable. Merde alors ! Elle a de la ressource et se laisse pas faire.

- Tu crains plus de pas jouir que de te faire surprendre. Avoue...

Cette fois j'opte pour un autre angle d'attaque. Je contracte le bassin et utilise mes hanches sur un mouvement rapide et compact pour la faire littéralement rebondir sur ma bite. Je pourrais prendre appui contre un arbre pour me faciliter les choses. Mais la tenir en l'air sans lui laisser la moindre échappatoire et la faire se sentir vulnérable au possible est un petit bonus malsain qui m'excite encore plus.

Je commence alors à la pilonner plus brutalement et sèchement qu'avant en ne cherchant qu'à la faire crier, grimacer, couiner. Qu'elle rameute tout le quartier s'il le faut, car je la lâcherai pas avant qu'elle accepte la situation.

Mes coups de bites sont brutaux, la façon de détendre les muscles de mes bras se fait sur un faux rythme pour qu'elle ne puisse pas les anticiper. Je mise tout sur des cadences et des poussées différentes. Mon corps tout entier me brûle et la seule source de fraîcheur que j'ai sont ces mains douces alors qu'elles sont désormais loin d'être froides.

- Hmmmmmmm ! Putain ! Cette chatte !

Comme dans la voiture, je suis pas là pour savourer au maximum et prendre mon temps. Plus maintenant en tout cas. J'ai pris sur moi pour l'habituer, la travailler au corps comme on dit. Mais là je vais pas me retenir et la baiser comme elle le souhaite au fond d'elle.

C'est pourquoi mes mains se saisissent de ses hanches pour m'offrir un meilleur appui. Mes doigts viennent s'y coller, s'enfoncer dans sa chair tendre.
De là, c'est en mode bestial que je passe. Mes mains, mes bras, mes hanches... Tout se déchaîne. Je sens chaque muscle de mon corps se contracter pendant que je passe à la vitesse supérieure. Mes mains tirent son corps léger vers le bas. Mes hanches vont se relever sur son bassin.

Ma bite trempée se fait masser et presser à la perfection par sa chatte. Je sens même du liquide dégouliner sur les derniers centimètres et mes couilles. L'orgasme arrive à grand pas.

- Putain... Ca vient... Je vais te... remplir !

Et aussitôt dis, aussitôt fait. Je ne pensais pas mes muscles capables de se contracter davantage et pourtant. Mes doigts s'enfoncent encore plus dans sa peau sans que je le veuille. L'orgasme est si grand que je ne contrôle plus tout mes gestes.

Pourtant ça ne m'arrête pas. Je lui redonne un coup de rein quand les deux premières giclées de crème sortent de mon gland. Et je recommence, sèchement, pour la suivante. J'avais les couilles si pleines qu'il me faut de longues secondes pour arrêter.
Le liquide gélatineux s'amasse en elle, je le sens. Celui-ci se met à couler depuis les infimes ouvertures à sa disposition pour dégouliner le long de ma tige et finir sur le sol.

Kara Desco

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Re : Le (lourd) roi du shopping (PV |-| Kara)

Réponse 39 mercredi 23 décembre 2020, 20:53:20

Souta était vraiment un mec ultra vulgaire, elle était persuadée qu’elle détestait les gens comme lui, que c’était réservé aux acteurs de X pas crédibles, que dans la vraie vie, il y avait plus de tendresse ou de silence… Elle se trompait lamentablement, et pire que tout, ses obscénités, ses positions non-conventionnelles… Ca la faisait vraiment triper. Même lorsqu’il se moque de sa gifle, elle n’arrive pas à lui en vouloir, comme si tout ça n’était qu’un jeu.

Un jeu d’adultes qui laissent aller leurs pulsions, et pour sa part, elle découvrait à chaque seconde combien cette situation la rendait folle de désir, folle de plaisir. Plus la respiration de Souta était bruyante, plus elle se sentait défaillir, c’était terriblement excitant de l’entendre réagir en même temps que ses coups de reins. Elle adorait l’idée de lui faire de l’effet, mais quand il la regarde droit dans les yeux pour l’insulter de grosse salope, Kara ouvre la bouche, choquée. Puis feule d’ivresse en roulant les yeux, puis revient le menacer du regard, puis frémit, puis le fixe.

« Connard. » Et pour autant… est-ce qu’il n’a pas raison ? Là tout de suite, être une salope, une grosse salope même, ce n’est pas le plus important dans son petit crâne qui tambourine et hurle ‘encore, encore ! Plus fort !’ Elle est choquée elle-même par son attitude, mais ne contrôle de toute façon plus rien : son instinct a pris le relais.

Il a tellement raison, merde. Elle veut réussir à reprendre un peu la main, bouger, onduler. Mais la position et le rythme imposé par son amant si musclé ne lui en laissent aucune possibilité. Elle est à sa merci, il la baise avec sauvagerie, et … merde, et elle aime ça.

A chaque accélération, à chaque fois qu’il la pénètre plus brutalement, Kara pense qu’elle ne va pas supporter davantage, que c’est trop, qu’elle ne peut endurer plus. Et pourtant… il monte encore en intensité, c’est infernal, elle se consume de l’intérieur, elle a du mal à se retenir de hurler. Kara a déjà oublié ce qu’il a dit juste avant, son cerveau est éteint, sa mémoire en pause, elle n’a que les sensations, que la brûlure, que le feu. C’est à la limite de la douleur. Non, c’est douloureux.

Plus il est vulgaire, plus Kara tremble, elle s’accroche à lui lorsqu’il balbutie un avertissement, enfonce ses ongles dans ses épaules, s’agrippe en gémissant fort à son oreille. Il n’avait pas menti… Elle se sent remplie par de longues et puissantes giclées bouillantes, frissonne de plaisir, serre son cou comme si elle voulait l’étrangler alors qu’il lui donne d’autres violents coups de butoir.

La brutalité de leur étreinte l’a épuisée, elle se sent comme une loque imbibée de foutre. C’est une sensation tellement bizarre. Elle frémit d’adorer ça. Halletante, la poitrine, les cuisses, le sexe en feu, elle a la voix rauque comme si elle allait s’étouffer.

« Oh, merde… Souta… je crois que t’as raison. » Elle plaque sa bouche sur le lobe de son oreille en ronronnant. « Je suis une grosse salope. » Toujours accrochée à lui, comme si elle craignait de tomber de ses bras, encore empalée sur son membre épais, Kara ajoute doucement d’une voix taquine. « Et j’ai pas joui. »



Souta et Janus

Humain(e)

Re : Le (lourd) roi du shopping (PV |-| Kara)

Réponse 40 mercredi 23 décembre 2020, 22:02:30

Lorsqu'elle me déclare ne pas avoir eu d'orgasme je me remets à sourire. Vraiment ? Dans son état actuel ? Après toutes les fois où j'ai senti que ma bite se faisait écraser par une pince hydraulique ? A d'autres. Mais je ne vais pas jouer son jeu. Oh que non, une idée plus amusante me vient à l'esprit et je vais la lui dévoiler dans quelques instants.

- Vraiment ? Aucun orgasme ? Pas même un petit ? Mince alors...

Ma queue, toujours dure et pulsante dans sa chatte qui baigne dans nos deux liquides, se remue pour touiller ce cocktail crémeux et pervers. L'étalant sur ses parois qui semblent plus sensibles qu'elle veut me le faire croire vu les expressions de son visage.

Je fais durer le jeu quelques secondes avant de la soulever assez haut pour que nos corps se séparent enfin. Mais pas complètement. Enfin, dans un sens. En la soulevant au de mes mains je garde sa chatte dégoulinante au-dessus du sol pour voir s'y former une petite flaque pâteuse et blanchâtre.

Une fois l'objectif atteint je dépose Kara au sol un peu plus loin en lui présentant la bête. Le gland qui empeste un puissant parfum de sperme se retrouve pile sous son nez.

- Quand on termine son dessert il faut nettoyer sa cuillère, non ?

Je m'avance un peu plus pour coller mon bout sur ses lèvres afin qu'elle me nettoie complètement la queue et les couilles qui sont aussi sales après tout ce qui a coulé dessus. Alors que ma queue entre doucement entre ses lèvres je pose ma main sur sa tête sans prévenir et la bloque où elle est.
Mon regard est fixe, au loin, comme à la recherche de quelque chose. La chose dure plusieurs longues secondes.

- Oups, j'ai cru voir quelqu'un arriver. Mais c'était juste un piaf.

Je relâche alors la pression sur son crâne et l'observe recracher ma bite désormais couverte de salive. Mais il en reste un peu, alors je l'encourage à continuer une petite minute pour ensuite lui présenter ms gros testicules encore bien chargés malgré ce qui vient de sortir entre ses cuisses plus tôt.
Mais il ne faut pas avoir les yeux plus gros que le ventre.

- C'est bon, ça devrait faire l'affaire.

Je l'interrompt alors et fais deux pas en arrière pour ranger mon attirail sous mon boxer dont le tissu me colle immédiatement. Vivement que je rentre prendre une douche sinon ça va renifler là-dessous. Puis je repars en avant dans la direction de Kara pour lui tendre la main afin qu'elle arrive à se relever et se plaquer contre un arbre à quelques centimètres de nous si besoin.
Elle a beau dire je vois bien que ses jambes flagellent. A ce rythme je suis parti pour la porter jusqu'à la bagnole. Ce que je fais assez rapidement sans lui demander son avis.

- Désolé, j'aurais bien voulu continuer jusqu'à te faire jouir. Mais la promesse était de t'offrir un petit dessert. Et tu me connais, j'aime pas forcer les choses.
Après, j'suis libre demain. Pourquoi tu passerai pas ? On pourrait essayer les consoles et... Je me rattraperai pour aujourd'hui.


Pour dire vrai, y mettre un terme ici me permet d'un côté de la pousser à revenir me voir car je sais qu'au fond d'elle l'envie de poursuivre et de recommence est présente. Tandis que de l'autre je vais arriver en retard chez moi. Enfin, je suis déjà en retard à en juger par l'horloge du parc.

On retourne alors à la voiture. Elle dans mes bras, soulevée comme une princesse alors que je viens de la ramoner comme un bête il y a encore même pas dix minutes. Je prends juste soin de récupérer une serviette sur la banquette arrière pour l'installer sur le siège passager. Parce qu'avec tout ce que je lui ai mis il y a des chances que ça continue de couler en chemin pour la déposer chez elle.

Kara Desco

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Re : Le (lourd) roi du shopping (PV |-| Kara)

Réponse 41 mercredi 23 décembre 2020, 23:14:44

Kara fronça les sourcils en l’entendant douter de sa version et ricana contre son oreille, peut-être assez moqueuse cette fois. Elle faisait la maline, mais n’en menait pas large, ainsi empalée et tenue par les tripes, vulnérable, faible, essoufflée. Elle n’était pas grand-chose pour l’heure…

« J’vois pas pourquoi je te mentirais, et puis, j’crois que je connais un peu mieux mon corps que toi, hein. »

C’était bien un mec… Ils pensaient tout savoir. Quels petits prétentieux. Kara pourtant se sentait trop bien pour discuter, et elle avait aimé qu’il la taquine. Ne se doutant pas qu’il allait la faire vibrer encore, elle s’attendait à être reposée au sol, aussi ne fut-elle pas surprise au début d’être soulevée… Mais qu’il patiente ainsi, elle à bout de bras, si facilement. C’était impressionnant de force, elle observa son visage et n’en crut pas ses oreilles en retombant au sol, louchant sur son sexe encore dur, poisseux, dégueulasse, odorant.

Ça devrait la dégoûter.
Ses mots sont vulgaires, il est ordurier, elle déglutit. A-t-il vraiment pris en compte ce qu’elle venait de dire ? Kara était en train de se demander si elle n’avait pas eu raison, dans la voiture. Peut-être qu’il était vraiment comme pas mal d’hommes qu’elle côtoyait, que seul le propre plaisir était au centre des ébats ?

Cependant, quelque chose d’instinctif la pousse à ouvrir la bouche pour gober son gland chaud, le léchant consciencieusement le faisant ressortir par intermittence, le temps de passer sa langue sur toute sa longueur, descendre sucer ses bourses poisseuses. Ça devrait la dégoûter. Elle hallucine de sa propre bonne volonté.

Mais soudainement, elle se retrouve avec toute cette énorme queue dans la bouche, l’étouffant en lui arrachant un haut-le-cœur. Elle relève des yeux ronds et un peu suppliants vers son visage, comme pour lui réclamer de l’air, elle ne pourrait pas tenir longtemps, elle se demande déjà comment elle fait pour ne pas vomir. Sa main vient donner quelques coups implorant sur sa cuisse, pour qu’il la libère.

Et cet enfoiré ricane, elle grogne un inaudible « ‘onnar’ », son sexe lui refusant toute diction, elle regrette immédiatement son audace car elle à l’impression d’être asphyxiée. Dès qu’elle sent la pression se relâcher, elle expulse le membre brusquement, toussant, peinant à reprendre son souffle.

Souta n’a pas l’air d’avoir terminé son petit jeu, il lui impose de finir. « Mais quel enfoiré ! » Peste-t-elle, de moins en moins coopérative. L’épuisement joue sur son moral, et son cerveau s’éveille petit à petit… Quand elle le voit se rhabiller, Kara hallucine. Elle ouvre la bouche pour protester, mais son corps se rappelle à son bon souvenir : elle peine à se redresser, elle a l’air d’avoir pris 10 ans.

Faisant profil bas, donc, elle se laisse porter et doit bien avouer que c’est salvateur. Ses jambes n’avaient pas l’air de pouvoir la porter jusqu’à la voiture, de toute façon. Elle a les hanches explosées, et pas seulement… Elle se sentait un peu mal, presque grognon… Comme si elle réalisait au fur et à mesure jusqu’où elle était allée avec lui. Pour lui.

Ses excuses lui laissèrent un goût amer, mais elle n’en rajouta pas, elle avait peur de dire une connerie. De râler. Kara ne pouvait plus se défaire d’une idée qui envahissait insidieusement son esprit : elle c’était faite avoir. Elle n’arrivait pas à expliquer grand-chose, mais c’était une impression qui laissait un arrière-goût aussi acre que le foutre qu’elle avait avalé en grande quantité et qui grattait toujours sa glotte, d’ailleurs.

Une fois délicatement posée sur une serviette afin de garantir l’intégrité du cuir des sièges de cette fameuse voiture de prêt, la jeune femme estima qu’il fallait quand même lui répondre, se racla la gorge, et se rhabilla du mieux qu’elle put dans l’habitacle.

« Euh, je bosse demain en journée mais. » Pourquoi elle faisait ça ? Il était évident qu’il fallait dire non. « Je peux passer après le taf, ouais. »

Fuis Kara, n’y va pas, c’était déjà assez hard et étrange aujourd’hui, ça risquait d’être pire ensuite… Elle se dandina sur son siège, peinant à trouver une position qui ne soit pas douloureuse. Merde, elle était complètement barge. C’était pas dans une camionnette qu’elle allait finir, c’était juste séquestrée dans l’appart de Souta.

D’une voix un peu éteinte, elle lui indiqua l’itinéraire à prendre pour la conduire chez elle, et à la dernière minute, comme un flash lucide, lui mentit pour lui désigner une rue plus loin.

« Dépose-moi là, jvais finir à pieds. » Oui, à pieds, même si elle devait rentrer en rampant, songea-t-elle en récupérant son sac et ouvrant la portière pour ne pas lui laisser le choix. Elle voulait une douche, là, tout de suite. Se sentait lâche, sale. Elle se dégoûtait.

« Euh. Hé ben…. Euh. » Elle tourna les yeux vers lui, fit un petit sourire nerveux. « A demain. » Mais quelque chose l’empêcha de s’enfuir trop vite, elle allait sortir, se ravisa, revint pour ajouter. « Euh, encore merci pour les robes. C’était… enfin, c’était pas obligé, vraiment. Mais. Ben. Merci quoi. »

Elle toussa, avec une grimace, sa gorge était irritée, et se leva pour quitter la bagnole de sport.




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