Elle essayait tant bien que mal de s’excuser, de trouver les mots pour éteindre l’ire de celui qui lui faisait face, et pourtant cela ne semblait pas fonctionner. Ce n’était même pas qu’il continuait à l’avoiner de propos plus culpabilisants les uns que les autres, ou même qu’il continuait de l’attaquer physiquement. Non c’était pire que cela : Le monde rebouclait, encore et encore. En fait, elle avait bien compris qu’elle se trouvait dans ses propres rêves, qu’elle était plus ou moins emprisonnée dans son propre manque d’acceptation de ses agissements de la journée, mais elle imaginait qu’agir de la manière la plus honnête la tirerait de cet univers distordu et agressif. Non. Alors que Kaïto, ce jeune blond pourtant si doux naturellement, s’enhardissait à nouveau sous le coup d’une colère justifiable et justifiée, ils se retrouvaient tout les deux à l’emplacement même dans lequel il s’était trouvés auparavant, et revivaient les mêmes instants. Alors elle se demandait, dans cette lucidité étrange que les rêves peuvent vous offrir, ou vous suggérer, de quelle façon elle pouvait influencer cela pour qu’enfin ils avancent, pour qu’enfin elle fasse progresser son songe, et n’ai pas à nouveau à subir ces affronts, son chemisier qui vole pour libérer la volupté de son coeur, qu’elle ne ressente pas à nouveau les mains du jeune homme s’approchant de ses hanches libres et faibles. Mais rien n’y faisait, elle n’avait aucun contrôle sur la situation. Pire même, elle se retrouvait spectatrice de ses propres choix, ne pouvant qu’à peine répéter ce qu’elle avait déjà dit, comme si elle ne s’était pas suffisamment sentie sotte de craquer une première fois. Elle vivait un véritable purgatoire.
«
Je suis peiné, je te le répète. Ici au Japon, le respect de l'individu prime sur tout le reste. Tu as gâché ton effet avec Kyoko par pur égoïsme. Si tu veux t'intégrer à ce pays, il va falloir y mettre du tien et avaler des couleuvres si nécessaire. Il ne me viendrait pas à l'idée en Egypte, d'aller peloter une femme pour prouver à une autre ce que je vaux ou pas. Tu as fait une grosse erreur de jugement dans un pays où les traditions sont importantes. J'en suis navré mais il va falloir que tu sois punie. Il existait une manière de punir les femmes au Japon. Agenouillées, elles devaient laisser une foule d'hommes leur jouir dessus tant qu'eux le voulaient. »
Qu’était-ce ? Une nouveauté ? Alors qu’elle s’apprêtait à revivre pour la cinquième fois l’emportement soudain du jeune homme et son attaque courroucée, se terminant par une nouvelle boucle, ce coup-ci il prononça autre chose, quelque chose qui lui empourpra les joues à un degré à peine imaginable ! C’était son esprit qui créait ÇA !? Quelle…. Quelle genre de jeune femme était-elle pour que de tels songes ne lui viennent à l’esprit ? Peut-être qu’Emaneth était en train de manipuler son rêve ? C’est qu’elle en était capable la garce en plus, s’infiltrer dans les songes d’autrui pour y souffler des idées saugrenues, parfois même persistantes ! Pour autant … Elle ne l’avait jamais fait envers elle, surtout qu’Enothis connaissant l’existence de la Djinn serait capable de la remarquer, ou du moins, de percevoir son influence. Et dans le cas présent elle ne pensait pas cela plausible. C’était … Enfin il y avait quelque chose de trop idiot, de trop… exagéré pour que ce soit de son crû. N’empêche, se faire jouir dessus par toute une assemblée quelle… Quelle drôle de manière de faire.
«
Sois consciente de ma gentillesse car je vais t'éviter ce supplice.-
M… Merci »
Eut-elle prévue la réaction de la pièce ? Non. Etait-elle à l’origine de cette huée qui témoignait d’une franche déception à l’occasion de cette décision de ce Kaïto presque correspondant à la réalité désormais ? Si c’était le cas, que les djinns du désert la transforme en crapaud, car elle ne saurait contenir la honte que d’être celle qui, dans les faits, serait déçue de ne pas finir en objet d’amusement pour une foule de jeune homme en rûte. Elle savait qu’elle avait honte, extrêmement honte, mais de savoir désormais si c’était à cause du rêve et de ses messages confondants, ou de sa prime culpabilité, elle ne saurait le dire. En tout cas l’étudiant devant elle fit taire ces ombres qui semblaient se délecter de ce spectacle sans l’observer, et elle eut presque un soupçon d’espoir quand à la suite des événements… Mais visiblement, c’était sans compter sur son esprit tordu, qui ne manqua pas de lui faire vivre une nouvelle surprise sous la forme des prochains mots de son camarade de classe :
«
Pour avoir utiliser tes seins pour me séduire, c'est avec eux que je vais commencer alors mets y du tien et montre moi ce qu'une fille aussi belle que toi sait faire avec sa plastique. -
Comment ? Mais je… Je n’ai… Jamais… Enfin…. »
Mort à son esprit, mort à sa libido, mort à tout ce qui avait put créer cette situation qui la plaçait face à ce non-choix absolu qu’elle se retrouvait à suivre contre son gré ! Comment agirait-elle normalement ? Elle fuirait sûrement, loin et prestement. Mais à la place la voilà qui, pétrifiée, se retrouve à voir le garçon se déshabiller pour faire apparaître … Un gourdin. Un énorme et dense gourdin qui manque de faire un léger rebond dans les airs quand il est enfin libéré de son écrin de tissu. Elle couine d’appréhension à sa simple vue, mais bien loin de se retrouver à rompre le contact avec Kaïto, elle ne tire qu’à peine sur cette main qui lui tient le poignet avant que celui-ci ne fasse un geste opposé, et la traîne avec lui pour finalement l’amener à genoux, tandis qu’il s’est lui-même assis. Tête-à-tête avec le mandrin du jeune homme, trop proche pour ne pas le voir, pour détourner le regard de cet outil du diable. Son esprit tordu ne lui laissait pas le choix, alors quoi faire ? Suivre le flot ? Elle ne vit rien d’autre et laissa le jeune homme l’appuyer plus près de lui, la forçant bien délicatement dans le fond à englober son membre de ses deux larges orbes de chair. Elle tremblait un peu, n‘osait pas le regarder dans les yeux tant elle était gênée. Mais elle vint presser ses deux seins autour du matériel monstrueux du jeune homme, appuyant dessus un maximum, écrasant de sa chair chaude et moelleuse l’objet masculin, et se laissa… plus ou moins guidée par le damoiseau pour agir. Elle n’y connaissait rien, et elle avait honte, si honte, terriblement honte, mais… le rêve l’échauffait. Elle se sentait enfiévrée, elle avait le souffle coupée. Ses draps devaient être dans un beau état tiens, vu comment elle se sentait dans ses songes.
Elle ne savait même pas si elle faisait bien les choses. Elle avait bien les propos de Kaïto, mais bon, on remercie bien un petit chien quand il tend la tête pour être caressé. Et … Est-ce qu’elle venait vraiment de se comparer à un chien ? Mon dieu mais ça n’allait vraiment pas bien dans son esprit ! Hésitante, comme si elle voulait véritablement mettre un terme au rêve, et par là-même à l’ensemble de cette situation, elle cherchait à trouver le meilleur moyen d’accomplir sa tâche. Elle s’était presque habituée à voir ce morceau rouge et ardent monter et descendre d’entre sa poitrine, et venir lui tapoter le menton avec envie, alors …. alors autant qu’elle y aille plus vite non ? Au moins comme ça se serait finit, et adieu sa dignité déjà en lambeau ? Quitte à rejeter le tout de sa pudeur, elle fit donc ainsi, accéléra soudainement, et vit le résultat en quelques instants : Avec un grognement terrible, le jeune homme se mit à lui jouir dessus, semblant inarrêtable. Et elle, cruche et surprise, fit le pire en cette situation : Elle se recula d’un sursaut incontrôlable. Elle reçut le tout sur elle. Son visage souillé, ses seins tâchés, sa tenue ne protégeant plus rien ce fut même son ventre qui reçut les traits chauds et gluants, épais filets blanchâtre sur sa peau sombre. Et elle en tremblait. Pas de honte, d’excitation. Le souffle coupé, elle haletait en voyait ce jeune homme la couvrir de son jus, sans comprendre pourquoi son esprit s’attisait d’être ainsi souillée. Un frisson lui parcourait l’échine, et elle avait …. chaud, bien trop chaud.
L’instant d’après il lui somma de continuer et haletante, confuse, le regard fiévreux, elle se mit à obéir. Sa main sur le membre, le pressant entre ses doigts, de haut en bas. Aussi terrible était cette pensée, désormais … elle avait presque envie d’y goûter, comme si le fait qu’il s’agisse d’une punition lui était sortit de la tête. Rêve de merde, mais rêve quand même… C’était presque comme si son esprit assimilait ces informations et les enregistrait, avant de finalement les inscrire en sa chair. La situation était critique, et à ce rythme, elle allait juste perdre pied… alors quand il la fit cesser, elle le vécut à la fois comme un soulagement…. Et une déception.
«
Tu t'en sors bien, bravo, mais ce n'est pas fini. J'admire tes efforts et il va falloir persévérer. »
Est-ce qu’elle en fut heureuse ? Malheureusement pour elle, oui ! Bon dieu qu’était-elle en train de devenir ?
Transportée sur la table ? Ce ne fut que l’affaire de quelques instants, et si la position n’avait absolument rien d’agréable, sûrement même déplorable si elle avait vraiment eut été dans le monde réel, ici dans le rêve cela n’eut rien de gênant. Elle se laissa simplement faire, utiliser, le nez entre les cuisses d’un jeune homme avec lequel elle n’avait jamais parlé, et pire encore, dont elle avait fait le malheur dans la journée ! Alors c’était comme ça ? Quand elle pétait les plombs, se sentait coupable, elle finissait par rêver que l’autre se vengeait en faisant d’elle son petit jouet sexuel ? Eh bien elle pourrait presque s’y faire, très honnêtement, même si elle se doute qu’il s’agit là de son esprit embrumé de plaisir qui lui parle. En revanche, à l’instant même où il s’allonge sur elle, elle manque de paniquer, ne comprenant pas la situation, avant de percevoir cette décharge qui la traverse de part en part. Quelle…. DELICE ! Vibrante d’émotion, elle se tend, gigote, essaye de ne pas balancer son bassin vers l’avant dans un geste qui exprimerait le tout de son bonheur, mais c’est à peine si elle parvient de s’en retenir. Elle gémit, d’une voix douce, d’une voix parfaitement honnête. Et heureusement qu’il ne peut pas voir son visage parce qu’il y verrait tout les aveux de son abandon absolu ! Une plastique de salope qu’elle avait dit, et une plastique de salope qu’il avait prononcé … La question n’était presque plus d’actualité quand il vint la stimuler de ses doigts, glisser dans son antre chaude et humide pour venir y tirer les aveux de son bonheur : une salope aurait peut-être plus de pudeur qu’elle n’en avait actuellement.
Électrisée, elle tente autant qu’elle peut de se mordre la lèvre pour se taire, mais quand elle se concentre sur sa bouche, se sont ses hanches qui se redressent et gigotent pour mieux s’offrir aux attentions de l’inconnu. Et quand elle n’a plus le contrôle de sa bouche pour favoriser la manipulation de son bassin, elle se met à couiner et risque à tout moment de l’appeler par son prénom, ce qu’elle se refuse. Alors elle oscille entre un aveu et l’autre, dans une lutte ridicule qui ne va que croissant. Et ce jusqu’à ce qu’elle jouisse sous le doigté expert de son senior, qui semble avoir choisit de l’amener au bord du plus honteux des états avant de s’éloigner, et de la contempler. Elle ne peut encore se cacher, ce serait parfaitement idiot. Elle est tremblante, les jambes écartées pour offrir pleine accès à son fruit défendu, et entre ses lèvres elle est venue placer ses doigts, les mordillant en haletant lourdement. Elle tente de retrouver son souffle… C’est à peine si elle le souhaite encore d’ailleurs :
«
Tu es belle Enothis. Tu as aimé? Maintenant, j'adorerai que tu t'occupes encore de moi ... s'il te plait. Offre moi ce délice et je te pardonnerai tout, je pourrai même te redevoir quelque chose si tu le voulais. »
Pour la première fois, elle le regarda dans les yeux. Tant pis, elle assumait désormais pleinement, qu’elle soit une pute ou une traînée, tant pis, les songes ne sont qu’à elle, personne ne saurait l’y trouver pour la juger. Alors quand il s’approche avec son membre en direction de son visage, elle se permet de … sourire, avant de tendre les mains par dessus son visage, les posant maladroitement sur les hanches de l’homme à peine couverte du bas de sa chemise d’étudiant… Avant de souffler dans quelques mots délicats, désireux, avide même, quelque chose qui lui trottait dans l’esprit depuis un moment :
«
Oh oui… enfin. »
Va savoir si le Kaïto de son rêve l’a entendu, mais quand elle a enfin le gland entre ses lèvres, c’est pour l’englober sans la moindre gêne, ou la plus petit once de questionnement. Faire bien ou non, réfléchir à si elle agissait bien ou non…. Quelle idiotie elle avait eut ! C’était son rêve, tant pis si elle s’amusait non ? Alors de ses mains elle l’invita à avancer un peu plus, et elle vint faire passer cette chaire chaude et épaisse le long de sa langue, contre son palais, aspirant doucement tout en cherchant à taquiner les bords plus doux de son gland. Avide, elle cherchait plus ou moins à lui imprimer un mouvement, quelque invitation passive pour qu’il se fasse plaisir au creux de sa bouche, et de ses deux grands yeux d’ors elle venait l’observer, le questionner, lui suggérer son plaisir, et lui soumette le sien. Sans la moindre forme de procès toutefois, elle chercha à s’activer plus clairement, quitte à faire elle voulait y goûter, à ce jus terrible et enivrant, et tant pis si il s’agissait d’un rêve et qu’elle lui attribuait dans son manque complet de connaissance le goût d’un smoothie à la framboise ! Plus rien n’avait d’importance… Sauf ce qui s’ensuivit :
Elle aspira alors que, dans un sursaut de désir, Kaïto avait avancé ses hanches et avec ceux-ci son outil de « négociation ». En un instant elle se sentit suffoquer, incapable d’aller chercher de l’air tandis que le damoiseau se rompit le cou dans un frisson qui ne devait pas avoir grand-chose de commun vu ses précédentes réactions. Peinée, surprise, et surtout en train de perdre le contrôle de son moment de sérénité lascive, Enothis frappa avec un peu de peur les hanches du jeune homme pour lui signaler que ça n’allait pas bien mais … il n’en fit qu’à sa tête ! Alors elle le sentit attraper sa tête, et entre un instant de pleine panique et de pleine jouissance… de perte absolue de contrôle et d’excitation dû à sa position de petit objet sans force… Elle le sentit utiliser sa gorge pour son unique plaisir, vif et brutal. Elle se mit à pleurer, et à tremper comme jamais. Et jusqu’à ce qu’il se lâche en elle, elle fut tant tendue que son corps lâcha en même temps qu’il libéra sa bouche, la pauvre demoiselle reprenant de l’air comme elle put non sans recevoir quelques jets de foutre chaud au visage. Elle se laissa rouler de côté et tomber au sol, crachotant et toussant comme elle pouvait tout en récupérant un air qui lui avait tant manqué, et qui lui brûlait presque les poumons. Bon dieu, pour un rêve, elle pourrait au moins s’économiser ce genre de surprise. Mais elle se redressa, entendant malgré tout les étranges applaudissements et les propos de Kaïto. En fait, d’avoir réussi tout ça … la remettait en confiance. Alors elle s’en remettait… lécha ses doigts et essuya les larmichettes qui pendaient aux commissures de ses paupières.
Puis chercha tant bien que mal à se redresser, se plaçant comme elle put au sol. Assise, les jambes de côtés, elle n’allait pas se relever. Elle savait qu’elle ne parviendrait pas à le faire. En revanche elle pouvait parler, entre deux souffles courts, ce qu’elle fit…
«
Je… Je ne sais pas pourquoi… je fais un tel rêve. Et c’est presque dommage que ce soit avec un Kaïto aussi entreprenant et pas ce mignon senpaï que je croise de temps à autre au lycée. Après… C’est pas comme si je pouvais le faire au lycée … C’est bien la première fois que je me permets ce genre de liberté de toutes manières... »
Elle ne sut pressentir si le jeune homme avait une réaction à ces mots. Après tout, elle se parlait à elle même en cet instant, plus qu’elle ne cherchait une discussion avec ce Kaïto vengeur sortit tout droit des tréfonds de sa conscience. En revanche, elle trouva la force de s’appuyer à ce bureau sur lequel elle avait été si longtemps allongée dans une bien terrible position, et s’en aida pour se relever. C’est le moment où elle choisit de regarder le garçon en face d’elle et de l’observer un court moment, puis d’observer le morceau de chair encore beau et droit. Son rêve n’était pas encore finit hein ? Alors pourquoi ne pas aller plus loin ?
Elle se déshabilla, glissa le long de son corps les restes de vêtements qui lui faisaient l’effet d’un fardeau. Puis elle fit glisser sa jupe le long de ses hanches et se déchaussa. Elle était là, nue et rougissante, le corps déjà souillée, quelques restes de spermes coulant encore lentement entre ses seins, les soulignant d’une traînée pécheresse. Alors elle s’avança lentement le long des chaises et des ombres, s’éloignant lascivement de son juste « vengeur » pour aller s’installer devant la salle de classe, sur le large bureau du professeur. Assise alors, elle écarta grand les jambes, offrant la vue de son abricot parfaitement rasé et encore suintant de sa lubricité.
«
Autant finir ce songe en beauté non ? Kaïto-senpaï ? »
Sa voix se fit invitante, langoureuse, tandis qu’elle ouvrit son antre intime de ses doigts, tout en cherchant du regard celui qu’elle assimilait à une création de son esprit vaincue par la culpabilité :
«
A l’aide, Kaïto-senpaï, il faut me remplir avant que le vilain prof et les vilains élèves ne me baisent comme la salope étrangère que je suis ! »
*
* *
Autre part, dans le même espace, une autre personnalité se balade. Emaneth, dans sa pleine splendeur de Djinn, est à la recherche de sa chère moitié, sûrement perdue quelqu’autre part dans ce monde construit de toute pièce. Elle n’avait pas eut le temps de prévenir Enothis du danger environnant que la jeune femme s’était endormie, l’emportant avec elle dans ce traquenard, et désormais elle était en train de parcourir les couloirs inquiétants d’une école sordide dont la géométrie n’avait pas le moindre sens. Elle monte un escalier ? Bienvenue au rez-de-chaussée. Elle le redescend ? La voilà sur le toit de ce lycée sans queue ni tête. Et cette impression constante d’être observée, une horreur, tout simplement le pire frisson qu’elle avait eut à ressentir depuis longtemps ! Et elle était une Djinn bordel, pas une simple petite humaine, alors allez savoir quels étaient les risques encourus par sa pauvre petite protégée dans ce monde de dingue. Bon dieu, elle trouve celui qui a osé créé pareille dimension et c’était clair, elle en ferait du hachis. Non mieux, de la purée, par le bas, histoire de bien laisser la tête pour la fin, avec quelques gargouillis sanglants. Tant pis si elle est obligée d’en faire une goule pour qu’il contemple la fin de sa vie en temps réel, elle s’épuiserait mais en revanche elle tiendrait la plus belle des revanches pour les risques qu’elle est obligée de prendre afin de sauver Enothis. Allez, elle ouvre une porte et arrive dans un réfectoire, bondé qui plus est, par des ombres aux regards indéfinis. Elle perçoit une lubricité sans borne dans ces lieux, qui sait ce qu’il pourrait arrivé si elle se laisse submerger… Donc non pas le réfectoire, allons voir ailleurs. Une porte après l’autre, elle finira bien par trouver la bonne.