My mother girlfriend (pv Amy)

Jeudi soir 21h42. Dans ce bar branché de la ville, ce n'était  pas forcément le plus gros soir d'affluence. Néanmoins, il y avait du monde et composé essentiellement de "jeunes". L'université et son campus n'étaient  pas loin. Le lien était évident. De plus c e lieu avait l'avantage d'offrir du bon son et d'avoir des bières comme des cocktails comme une bonne carte de vins. On pouvait  aussi y déguster certains plats..Bref ,cela convenait  aussi bien pour une sortie entre amis, que pour un couple ou pour un rendez-vous galant.

Le jeune homme de 21 ans qui venait d'entrer dans le bar et de se diriger vers le comptoir était là avant tout pour tuer le temps. il n'avait pas envie de rester seul dans sa chambre universitaire. D'autant plus qu'il n'avait pas cours très tôt demain matin. Lui l'étudiant en droit, du moins ce que son père voulait, n'etait pas l'élève le plus appliqué et d'ailleurs il avait déjà raté un an. Mais voilà, Shenjo Grashi aimait sortir , profiter de la vie et jouer de ses charmes. Car le jeune homme de 21 ans était plutot pas mal foutu. Blond aux yeux bleus, il avait le visage d'un ange ce qui contrastait avec la noirceur perverse de son âme. Le visage imberbe, 1m87 pour 81 kilos d'un corps que le basket avait bien travaillé, il se savait populaire d'autant qu'il avait pour lui le charisme et la confiance qui lui donnaient souvent la conviction que rien ne lui était impossible.

Néanmoins, le jouisseur de la vie avait quelque peu calmé le jeu récemment. Il avait rencontré Ayame il y a quelques semaines lors d'une soirée. Il était avec elle et s'éclatait plutot bien avec elle. Pas de prise de tête et surtout, il passait du très bon temps en sa compagnie. Hors de question pour lui de vouloir se fixer mais dans l'immédiat le fait de la fréquenter régulièrement lui faisait plaisir. Certes, elle parlait de plus en plus de la présenter à son frère , à ses parents qui visiblement etait un couple de bourgeois. Shenjo savait qu'il allait devoir y passer à partir du moment ou il restait avec elle, mais il ne se pressait pas à l'idée d 'accomplir cette etape de sa relation. Et en attendant, il prenait malin plaisir à s'éclater avec la jolie petite étudiante.

Sauf que ce soir elle lui avait fait faux bond car elle avait un gros partiel de psychologie demain. Frustré, il avait décidé de sortir de son côté pour se vider la tête et éviter de trop cogiter sur le fait qu'il ne ferait rien ce soir alors qu'il avait une forte envie .

**Un mojito svp**

Avait il commandé au serveur. Tournant légèrement la tête, il la vit alors. Dans le monde ambiant, elle avait directement capté son attention. La raison? d'abord parce qu'elle sortait du lot. Elle était différente du public présent. Elle faisait plus âgée, plus classe, plus distinguée. Elle avait ce petit quelque chose que son oeil avisé ne pouvait pas ne pas remarquer. Discrètement, ou pas, il l'avait détaillé. De haut en bas.C'était une femme, sans doute mère de famille et instinctivement, son appétit sexuel mêlée à de la curiosité avait pris le dessus. Payant son verre il le prit et décida alors de s'approcher d'elle.

Car oui là ou la plupart se seraient contentés de l'observer en fantasmant, Shenjo lui avait décidé d'y aller sans vraiment douter. Ne se soucian tpas du fait qu'elle puisse attendre quelqu'un, il la rejoignit, se plaçant à sa droite et lui decocha un sourire charmeur tout en posant sur elle sonr egard bleu qui avait tant de fois fait des ravages.

**Bonsoir est-ce que je peux m'installer pres de vous et vous offrir un autre verre?**

Elle buvait du vin blanc. Un rapide coup d'oeil de sa part et il constata l'alliance. Elle était mariée, appartenait à un homme et cela lui procurait des frissons.Poussé par un désir impérieux de prendre ce qui était à un autre , elle faisait sur lui un effet certain. Du haut de ses 21 ans il détaillait cette femme qui de son point de vue devait au moins en avoir 35 même si elle faisait relativement jeune. Guettant sa réponse, il continuait de la fixer, alors qu'il portait un jeans légèrement délavé avec une chemise blanche avec une chemisette blanche de la même couleur pour prendre la transpiration dessous.La montre au poignet gauche, le teint halé, la coiffure parfaite, il avait aux pieds des chaussures blanches d'une célèbre marque à trois bandes.

Son mari était en déplacement, ses enfants se géraient seuls et Amy avait envie de sortir ce soir alors elle s’apprêta pour au cas où elle trouverait quelqu’un même si elle savait que ce serait le cas, se retrouver en présence d’homme lui donnait d’irrésistibles envies de les dévorer. Elle enfila donc une robe bustier noire fendue pour laisser ses jambes se dévoiler et faire voir que les culottes n’étaient pas un sous-vêtements que portait la mère de famille. Un maquillage léger et du rouge à lèvres pour accompagner la tenue ainsi qu’un collier laissant le pendentif tomber dans son décolleté et pour donner de la hauteur à tout cela elle chaussa des talons hauts de la même couleurs que sa robe et laissant voir ses pieds à la pédicure parfaite et ses ongles vernies d’un rouge vif.  Il n’y avait pas vraiment de doute sur les intentions de la presque quarantenaire lorsqu’on la voyait se vêtir comme ça c’était qu’elle avait vraiment envie de finir la nuit accompagnée.

Elle décida d’aller dans un bar fréquenter par des jeunes près dde l’université, elle aimait bien faire la cougar, à cet âge ils se pensaient les meilleurs, leur libido encore à son commencement leur faisait croire qu’ils étaient surpuissant et super-performant. C’était faux, rien ne valait l’expérience et Amy avait coucher avec un nombree incalculable d’homme pour le savoir, même le plus valeureux des jeunes adultes n’était pas aussi doués qu’un homme mûr lorsqu’il fallait donner du plaisir à une femme. Mais l’intensité t la fougue des jeunes âges étaient tout aussi bon que l’expérience alors pourquoi se priver de ça.

Assise au comptoir, elle regardait les garçons et les filles, elle n’avait pas vraiment de préférence, elle aimait dévorer et se faire dévorer autant par les uns que les autres mais à force de regarder tous ces corps elle commençait à avoir chaud et à avoir des envies de partouze géante. La belle commanda un verre de blanc bien fraîs pour faire passer la chaleur que ses envies lui procurait, elle faisait plus jeune que son âge de manière général mais sa manière de faire trahissait un âge avancé par rapport aux restes des personnes présente et elle comptait bien sur le fantasme de la milf pour attraper quelqu’un. Cela sembla fonctionner puisqu’un garçon s’approcha en demandant s’il pouvait s’installer et lui offrir un verre, Amy acquiesça.

Elle le regarda en ne cachant nullement qu’elle jaugeait tout ce qu’elle pouvait voir, il était plutôt mignon et grand par-dessus le marché, c’était un casse-croûte des plus appétissant :

« Moi c’est Amy. Tu t’appelle comment beau gosse ? »

Elle lui sourit en croisant les jambes pour les mettre en avant , le regard malicieux trahissant son envie de se faire plaisir.

Shenjo hesita un bref instant pour être certain de ne pas mal juger. Bordel cette superbe femme était plus qu'open non ? Cette façon qu'elle avait eu de lui répondre et de le regarder c'était captant à mort non ? Toute une série de choses commençant déjà à circuler dans sa tête, il tenta rapidement de garder une certaine mesure. Il fallait éviter de donner l'impression d'être un jeune empressé sans aucune expérience. Retrouvant un certain flegme, il commanda un autre vin blanc tout en constatant encore plus près qu'elle avait bien une alliance. Quel genre de mari laissait sortir sa femme ainsi ? A moins qu'il ne le sache pas ? Il était clair pour le jeune homme de 21 ans n'allait pas changer son opinion sur le mariage. Et surtout l'idée de chevaucher et posséder cette femme avant qu'elle ne rentre chez elle retrouver sa famille lui plaisait.

« Shenjo pour vous servir. »

Sourire malicieux il s'installer juste à sa droite, laissant ses yeux s'attarder sur les pieds et les chaussures de la mère de famille. Ils étaient juste parfait comme tout le reste. Elle n'était pas forcément canon mais elle dégageait quelque chose de fort et de puissant pour lui. Et puis surtout elle était différente de toutes les femmes, ou plutot filles, présentes ici. Pour être clair, il la voulait tout simplement et entendait bien jouer sa chance

« C'est la première fois que je vous vois ici. Agreable surprise. »

la vouvoyant, c'était une façon de lancer un petit jeu de séduction en sa compagnie. Shenjo n'allait pas se démonter, pas maintenant en tout cas.Sur de lui, il se sentait de taille à rivaliser. Laissant le silence s'installer, il la détaillait constatant sa robe sexy et ses jambes qu'il avait envie de caresser et de toucher comme jamais. Nul doute qu'elle voulait plaire et qu'elle savait ce qu'elle faisait.

« Je suis heureux d'être le premier à vous aborder ce soir vu tous les regards vers vous. A mon avis vous devez les impressionner les pauvres. »

Une manière de montrer que lui avait du cran et ne doutait pas une seule seconde.Fixant toujours l'alliance il n'allait pas lui demander si elle était mariée ce n'était pas necessaire. Ni même si elle avait des enfants. Il se plaisait à penser que oui et il trouvait qu'elle n'en gardait aucune sequelle physique bien au contraire. Elle était divine.Et carrement excitante.



pour vous servir

Amy ne cachait rien de ses intentions, elle avait faim et son appétit était toujours immense, c’est peut être cela qui faisait peur à tout ces jeunes qui lui lançaient des regards sans oser s’approcher. Ou alors certains la reconnaissait pour ses camshow, elle commençait à être connu et même si elle s’apprêtait différemment et qu’il était parfois difficile de la reconnaître quand on l voyait dans des situations différentes. Au bureau, elle avait l’air de la gentille sainte-nitouche dont on avait du mal à croire qu’elle soit sexologue. Devant la caméra, elle était une addict au sexe faisant faire à son corps des choses incroyables. Quand à elle de tout les jours, elle était juste une ravissante femme qui sentait l’envie et le désir à plein nez, elle était toujours prête à s’envoyer en l’air à tout moment.

La façon de parler de Shenjo la fit sourire, lui aussi avait envie de la même chose qu’elle, c’était plutôt amusant alors elle joua le jeu en buvant une gorgée de son verre :

« Je viens ici régulièrement pourtant, il y a toujours de quoi s’amuser. Mais c’est vrai qu’aujourd’hui les autres sont plutôt timide pourtant on ne peut pas récupérer le jackpot si on ne joue pas. »

Elle sourit malicieusement avant de boire une nouvelle fois et de le regarder de nouveau et aperçu son regard fixer l’alliance qu’elle portait à son doigt :

« Ne me dis pas que c’est ça qui va te bloquer, chéri. Les femmes mariées c’est un fantasme assez courant il parait. Mais si tu es du genre à avoir ce genre de principe de la vieille école, c’est dommage, tu avais l’air pas mal. »

Elle lui fit un clin d’œil et s’approcha un peu plus pour coller sa jambe à la sienne l’air de rien. C’est vrai que son alliance pouvait rebuter de potentiel coup mais c’était dommage, son mari était totalement d’accord pour qu’elle voit d’autre homme, il connaissait les envies et besoin d’Amy et lui aussi prenait du plaisir quand elle prenait du plaisir devant lui. Ils formaient un couple assez bizarre mais ils se complétaient.

Shenjo sourit et ne cacha pas une certaine impatience dans le regard. Confirmation lui était donné qu'elle était complètement open. Mieux, elle avait carrement donné le feu vert non? En tout cas c'est comme cela qu'il le comprenait. Redoublant d'assurance et d'appétit il dit alors.

"J'ai toujours été un joueur "

Façon de dire que lui n'avait pas de crainte à venir se frotter à elle. Regardant la jambe venir se frotter contre la sienne, il ne mit pas longtemps à laisser sa main gauche venir caresser cette même jambe par dessus la robe, cherchant même à caresser la jambe nue par l'ouverture. Effectivement Shenjo n'avait pas froid aux yeux et il pouvait sentir les regards envieux sur sa personne. Trop tard les mecs, c'est lui qui allait tirer le gros lot.Et pas plus tard que ce soir

"A vrai dire que vous soyez mariée m'excite davantage encore. J'ai toujours voulu connaitre ce genre de situations"

Discrètement, ou pas, il laissa sa main remonter un peu plus le long de la jambe, dévorant des yeux cette femme  qu'il voulait faire sienne. Plus besoin de mettre des formes, il avait compris que c'était pas le style de la maison. Continuant de maintenir le contact avec elle, il s'était légèrement avancé vers elle, du moins vers l'avant, pour venir lui chuchoter dans le creux de l'oreille

""Vous êtes mariée et moi je suis en couple également. Nous devrions peut être aller dans un endroit plus discret histoire d'être à l'abri des regards indiscrets?Je crève d'envie de vous.Qu'en pensez vous?""

Hors de question de la ramener sur le campus universitaire. Et ici, il craignait surtout qu'elle puisse susciter des convoitises et mieux valait dès lors limiter le risque qu'elle aille vers d'autres cieux. Se reculant un peu, il ne semblait plus trop se soucier de son verre. Il avait décidé de rester en pleine possession de ses moyens. Une nuit agitée l'attendait. Et comme un symbole, dans la poche de son pantalon, ,son portable se mit à vibrer. Rapidement il regarda.C'était Ayame. Pas le moment de lui répondre il avait mieux à faire. Et pas qu'un peu....

Lorsqu’il s’agissait de s’amuser l’âge lui importait peu et elle pouvait même se montrer bien plus entreprenante qu l’on disait pressé, elle ne voulait que profiter d’un instant de plaisir en compagnie d’un charmant jeune homme et elle en avait un qui s’était présenté alors elle n’allait pas le laisser filer.Et lui non plus ne semblait pas vouloir s’en aller au vue de ses gestes, il avait entreprit de lui caresser la jambe et ça la faisait sourire, le fait qu’il soit en couple ne la dérangeait pas vraiment, elle s’en fichait. Quand elle s’amusait avec un homme ou une femme mariée, elle se fichait bien de savoir si le couple avait les conditions que le sien.

« Je vois. J’espère que je ne te ferai pas trop d’effet, je suis bien différente des filles de ton âge et tu vas ressentir des choses que tu n’as jamais ressenti. »

C’était peut être présomptueux de sa part mais il était sûr que son expérience et ses envies n’avait rien à voir avec celle d’un jeune adulte, elle avait e l’expérience et un appétit insatiable. Elle se pencha sur lui pour porter sa main sur l’entrejambe du jeeune homme pour le palper :

« Tu es timide ? Tu n’as pas envie de te faire branler et sucer en public ? C’est très plaisant pourtant. »

Le public ne la dérangeait pas, elle était habituée même si le patron du bar ne serait sûrement pas d’accord pour les laisser faire. Elle excitait son membre viril à travers les vêtements comme si de rien n‘était en lui souriant :

« J’aime les lieux insolites pour m’amuser, tu as un endroit du genre pas loin ? »

Devant tout le monde en plein milieu du bar, dans une ruelle, dans un hotel, elle se fichait bien d’où elle allait pour se faire plaisir même si elle avait une préférences pour les endroits qui sortaient de l’ordinaire.

Shenjo devait bien admettre que cette femme sortait de l'ordinaire. Nullement gênée, elle venait de lui palper l'entrejambe qui evidemment était déjà bien en forme à en juger par la bosse déjà bien visible. De plus, elle avait limite presque envie de continuer ici même, sans se soucier des autres.Sauf que lui n'avait pas envie de cela. Il voulait sécuriser son coup, faire en sorte que rien ni personne ne puisse venir les déranger. Et puis c'était assez paradoxal mais il n'avait pas envie d'être vu avec elle. Il préférait se la jouer discret du moins dans un premier temps.

"Comme tu le vois je suis déjà bien en forme, tu n'as pas à te faire du soucis à ce niveau là"

Il voulait forcément se mettre en avant . Continuant de son côté de lui caresser la jambe, il n'avait pas vraiment l"idée d'un lieu insolite en ce moment précis.Pour être honnête il voulait juste un truc sympa, tranquille, ou il allait pouvoir profiter du corps de cette femme mariée. C'était tout ce qui comptait pour lui.

"J'avais surtout dans l'idée de trouver un endroit sympa pour faire ce qu'on a à faire. Une femme comme toi mérite mieux qu'un peit coup à la sauvette dans les toilettes ou dans une ruelle"

Le tutoiement était de mise désormais. Et avec ses paroles, il visait surtout à flatter son égo.Lui faire comprendre qu'il avait pour elle une forme de respect même si cela pouvait faire sourire au vu de la situation. Une deuxième main venant lui caresser l'autre  jambe, il revint lui chuchoter à l'oreille

"On peut aller à l'hôtel y en a un pas loin. Ou chez toi si tu préfères."

L'idée d'aller chez elle l'excitait. Il pourrait marquer son territoire d'une certaine façon. Mais il était hors de question de la ramener dans sa chambre universitaire. Encore une fois il voulait une certaine discrétion. Attendant donc sa réponse, il avait pendant ce temps tout le loisir de s'imaginer avec elle dans diverses positions. Et cette perspective lui faisait évidemment plaisir.

Les envies d’Amy pouvaient être surprenantes, elle si bien apprêtée et toujours propre sur elle aimait les endroits crasseux pour s’envoyer en l’air, tous les endroits malfamés, elle adorait s’y retrouver pour se faire plaisir, c’était excitant et on ne savait jamais ce qu’il pouvait s’y passer. Elle adorait les surprises alors c’était normale pour elle de chercher à pousser toujours plus les limites de la décence. Mais elle comprenait que tout le monde n’aimait pas ça et c’était bien dommage mais elle se contenterait de ce jeune homme aux goûts plutôt classique concernant l’endroit où le faire.

Lui toucher et lui caresser l’entrejambe et le fait de se faire caresser les jambes commençait à la démanger, elle avait envie de passer à la vitesse supérieure et les perles de désir qui commençait à se former entre ses cuisses en étaient la preuve :

« Allons à l’hôtel alors. La première fois c’est trop tôt pour venir à la maison, en plus mon mari n’est pas là alors c’est sans intérêt. »

Dans un couple normal c’était justement le fait que le mari ne soit pas là qui donnait l’envie à la relations infidèle de se produite à la maison mais chez Amy c’était bien différent. Savoir que son mari pouvait entendre ou regarder quand elle couchait avec un autre décuplait son plaisir et lui y trouvait son compte également. Elle finit son verre pour se lever et venir lui murmurer à l’oreille :

« J’espère que ça te gène pas que je branle pendant qu’on va jusqu’à l’hôtel. Je mouille déjà alors hésite pas à me doigter. »

L’hôtel était à quelque mètre de là alors elle avait bien le temps de la marche pour lui attraper le membre pour l’astiquer, il n’avait pas l’air d’aimer faire ça en public mais il n’y aurait personne sur le chemin. Elle laissa le montant de l’addition  sur le comptoir et sortie du bar avant son partnaire du soir.

« Si cela peut te faire plaisir »

Que pouvait-il dire de plus sur le fait d'être branlé en pleine rue ? Shenjo souriait mais néanmoins, il restait pour le moins déstabilisé par le comportement de cette femme mariée qui pour le coup le faisait passer lui presque pour un boyscout. C'était une nouvelle façon de faire qu'l ne connaissait pas mais ce n'était pas déplaisant de découvrir de nouveaux horizons. La remarque sur le mari confirmait aussi ses impressions.

Réglant la note, il avait compris qu'il allait devoir allonger pour l'hotel aussi. Bon cela valait la peine même si comme tout étudiant il ne roulait pas sur l'or. Mais il lui suffirait de sortir un peu moins dans le mois qui allait suivre.

Une fois dehors, il marchait donc à sa gauche tout en laissant l'accès à son entrejambe. Il était bien dur, ce qui n'avait rien de surprenant.Néanmoins, on pouvait remarquer qu'il tentait malgré tout de faire bonne figure en tentant de ne pas attirer les regards sur lui et sur sa partenaire. Essayant d'être discret autant que possible, il soupirait de plaisir alors que pour le moment il la tenait par la taille mais se montrer pour le moins sage. Plus passif qu'actif, il était déjà bien chaud quand il arriva à l'hôtel, puisque même si le trajet était court , il avait eu largement eu le temps d'admirer le doigté de la mère de famille. Heureusement ou pas, ils ne croisèrent personne sur leur route.

Réglant la chambre, cela lui offrit un certain repos même si la bosse dans son pantalon n'était plus vraiment dissimulable. Certes , pour le moment , sa partenaire pouvait un peu rester sur sa faim mais en pleine rue, que pouvait-il faire de plus ou de moins ? Il comptait se rattraper une fois mieux installer.

Arrivé dans la chambre 24, il déposa sa veste sur la chaise pres du bureau et alla s'installer sur le bord du lit. Il n'était pas nerveux mais il se posait mille questions. Ce qui n'était pas anormal vu la nature de la rencontre qui venait d'avoir lieu. Pour une fois, pour le moment, ce n'était pas lui qui tenait les rênes, du moins pas encore. Souriant, il la regardait, supposant qu'elle viendrait vite le rejoindre.

Comme elle l’avait proposé, à peine était-il sorti du bar qu’elle se colla à lui comme un couple standard pour se balader à la différence qu’elle plongea sa main dans le pantalon du jeune homme pour attraper son membre et le masturber dans la plus grande des décontractions.  Sa main était douce et expérimentée, l’acte était puissant tout en étant semblable à des caresses et elle pouvait sentir le barreau se dresser puissamment de tout son long, elle était déjà excitée et voulait la plaquer contre un mur pour ne pas perdre une seconde mais puisqu’il n’était pas d’accord elle se contenta de  le branler jusqu’à rejoindre la chambre.

Elle le lâcha pour le laisser se poser sur le lit en lui souriant alors qu’elle restait dans l’entrée, le temps de défaire son bustier et sa robe, qu’elle ne soit pas trop longue à retirer une fois dans l’action. Elle réarrangea ses cheveux et commença à le rejoindre prenant son temps pour arriver jusqu’à lui, se déplaçant avec grâce et envies :

« J’aime les choses sales et extrêmes, j’espère que ça ne te dérange pas. »

Elle lui sourit en écartant le pan de sa robe fendue pour lui montrer que depuis le début elle ne portait pas de culotte et qu’elle ruisselait d’envie et de frustration qu’il ne l’ai pas doigté pendant le trajet. Elle sortie son portable d’entre les seins et le posa sur la tranche sur un meuble avec l’objectif de la caméra vers le lit :

« J’aime montrer à mon mari comment je prend du plaisir avec d’autres homme et lui adore me voir me faire labourer par d’autre, tu n’es pas contre j’espère. »

Le jeune homme était peut être un chasseur mais la femme qu’il avait devant lui n’était pas une petite biche mais une lionne féroce et elle était affamée. Arrivée devant lui, elle s mit à genoux et libéra le membre viril bien dressé et posa ses délicate lèvre sur le long pour l’embrasser et le lécher avant de remonter jusqu’au gland et commencer à le sucer avec gourmandise.

Shenjo était dans un monde parallèle. Il ne voyait que cela comme explication. Cela dépassait tout ce qu'il aurait pu imaginer comme chose. Cette femme était une succube? Possible. Le pantalon aux chevilles, elle avait commencé à le pomper vigoureusement alors qu'il était déjà bien dur et qu'il venait à peine de se remettre de la branlette. Poussant un soupir de gémissement, il n'allait pas se plaindre même si tout ceci semblait irréel. Et cette histoire de filmer. Ce couple était détraqué non? Mais bon encore une fois il était hors de question de se poser trop de questions. le tableau était finalement idyllique en étant dans cette chambre avec cette femme mariée superbe et si open. La voir nue, à genoux, devant lui, avec uniquement ses chaussures à talons avait quelque chose d'idyllique.

"J'espère que tu m'en feras une copie"

Dit il avec le sourire. La surprise passait, il retrouvait un peu d'assurance. D'ailleurs sa main droite vint se poser sur le sommet du crâne d'Amy pour accompagner les mouvements sur sa verge. Même si cela n'était pas nécessaire tant elle semblait savoir comment s'y prendre

"Putain t'es bien plus douée que ma copine ."

Oui Amy savait ou et commencer donner des coups de langue ou avaler son pénis. D'ailleurs très vite, il se rendit compte qu'il devait calmer le jeu pour ne pas se laisser embarquer sur un terrain très glissant en sa compagnie. Voilà pourquoi, au bout d'un moment, il vint prendre le visage d'Amy pour venir l'embrasser.La langue cherchant sa jumelle, pour entamer une danse sensuelle, les deux jouaient l'une avec l'autre tout en s'apprivoisant.

"On a le temps la nuit ne fait que commencer"

Lui dit il le regard plein de malice, alors que pour la première fois il vint tater la poitrine de la mère de famille qui lui semblait parfaite. Se redressant, offrant une vue sur son sexe dur, dressé et plutot bien fourni, il se débarrassa de sa tenue pour offrir la vue d'un corps juvénile, bien formé et plein de vigueur.

"Garde tes chaussures cela m'excite"

lui dit il encore alors qu'il était revenu l'embrasser à pleine bouche. Alors qu'une main se faisait plus insistante sur les seins désormais.

Amy avait une sexualité hors du commun, ses envies ne semblaient jamais satisfaites et il n’était pas rare qu’elle pousse le vice jusqu’à faire quatre ou cinq session de sexe par nuit, ses partenaires se devaient donc d’être apte à produire cet exploit. Sa langue s’agitait autour du pieu de chair alors qu’elle allait et venait pour lui faire découvrir les profondeur de sa cavité buccale. Ce n’était qu’une fellation mais rien que cela faisait voir que la sexologue savait comment s’y prendre pour donner du plaisir à son partenaire.

Elle grogna presque lorsque son jeune partenaire se retira de sa bouche pour venir l’embrasser, c’était si frustrant de se faire retirer sa sucette ainsi mais elle répondit tout de même au baiser. Sa langue vint valser avec celle du garçon pendant que ce dernier commençait à jouer avec sa poitrine. Elle ne disait rien, le laissant faire, ses actes parlaient pour elle et elle repris le membre viril en main pour recommencer à le branler avec vigueur.

Elle le poussa pour qu’il s’allonge  sur le lit et monte sur lui sans rompre les jeux de langues et sans qu’il n’ait à quitter sa poitrine des mains en l’accompagnant avec douceur. Le sexe dur du garçon se retrouvant contre son entrejambe perlant de plaisir elle commença des va et vient pour se frotter sur la longueur du bâton de chair, le lubrifiant au passage de son essence plaisir, ce n’était pas au niveau des pénétrations mais c’était assez pour lui tirer quelque gémissement. Quittant ses lèvres pour glisser à son oreilles en lui léchant la joue sur le trajet, elle lui murure :

« Soit plus ferme, chéri. T’as l’air fort alors masse moi les seins férocement, fais moi mal. Tout ce que tu n’as pas fait avec une fille, tu peux le faire avec moi. »

Elle gloussa alors qu’elle enfonça un ongle sur le torse du jeune homme avant de le griffer sans ménagement, s’il nee voulait pas lui faire mal, c’est elle qui lui ferait mal pour son plus grand plaisir.  Elle se figea quelque instant pour prendre le mandrin virile de son partenaire dans une main et le maintenir droit le temps de placer l’entrée de son anus en face et s’insérer dssus, elle reprit en suite ses mouvements en lui souriant avec malice et envie.

Un cri, un gémissement , de plaisir , de libération. Une fois son sexe dans l'anus d'Amy, Shenjo pouvait les exprimer sans retenue. Cette fois , plus de retour en arrière possible. Le couple d'un soir venait de prendre l'autouroute, celle du plaisir des sens. Autour d'eux désormais il n'y avait plus rien d'autres qui comptaient que leur plaisir mutuel. Alors certes, ce n'était pas forcément par là qu'il aurait commencé , mais finalement ce n'était pas si mal .

Le plus dur avait été de pouvoir entrer complètement , et ce même si visiblement le passage était tracé. Pour lui le plus important c'était d'accompagner les mouements du bassin de la mère de famille mais pas seulement. Alors qu'elle se donnait sur son membre, lui de son côté voulait s'occuper de la poitrine, comme elle semblait le vouloir. Les deux mains s'y attelant, il la malaxait, la pétrissait, comme pour rendre cela plus réel finalement.Oui il était bien là entrain de s'envoyer en l'air avec une superbe femme. Et le tout devant les yeux , par caméra interposé ; de son mari.

Alors même le fait qu'elle lui griffe le torse ne semblait pas l'inquiéter.Certainement que sa petite amie allait poser des questions mais il était loin de tout cela pour le moment.Lui faire ce qu'il ne ferait pas à une autre ? Certainement et cela commençait par cette envie de lui manger les seins. Se redressant , tout en restant en elle, il lui sourit puis passant de sein à sein, commença à lécher et prendre en bouche les mamelons durcis. Il les aspirait, les sucotait, et quand il délaissait un sein, une de ses mains prenait le relais.

La regardant avec un désir ardent, il s'efforçait de continuer à suivre le rythme alors que par moment il sentait l'anus se contracter autour de son pieu de chair . Maitrisant son souffle, il voulait garder la cadence même si évidemment, il n'était pas un robot.

« J'ai envie d'être vraiment en toi »

Sous entendu de changer de position et de trou ? Sans doute mais pour le moment, Shenjo gardait encore une certaine retenue, pas toujours évidente.

Elle ne lui laissait aucun répit, s’il ne voulait pas prendre le contrôle de la chose pour se laisser aller, elle continuait de mener le jeu. Il n’avait aucune idée de ce qu’elle pouvait avoir envie de faire quand elle était désireuse d’aller encore plus loin dans le plaisir, plus c’était brutal plus elle aimait et ce n’était pas ses paroles et ses gestes qui allaient montrer le contraire :

« Tu es bien trop doux, chéri. Tu n’as jamais eu envie de faire du mal à une fille ? Ne serrait-ce que t’imaginer entrain de faire vivre un vraie calvaire à une pauvre petite ? »

Tout le monde avait eu cette envie ne serait-ce qu’un instant après une frustration ou une colère, elle lui permettait de se livrer à ses pulsions les plus malsaine et à faire fit de tout ce qui le retiendrait avec une partenaire régulière. Elle lui mordit férocement la lèvre avant de le giffler et de se redresser :

‘Ou alors t’es se genre de garçon soumis qui préfère se faire chevaucher et malmener ? Dans ce cas, je peux exaucer toutes tes envies de te faire traiter comme un esclave. Je peux te faire exploser les parties de plaisir. »

Elle avait plus l’habitude des dominateurs mais ls dominés étaient tout aussi jouissif quand ils se laissaient aller, qu’il soit l’un ou l’autre Amy n’était qu’au début de totu ce qu’elle pouvait lui faire. Plus elle devenait vulgaire plus elle était excité. Elle se redressa et se pencha même en arrière pour se retrouver à la parfaite perpendiculaire sur le membre virile du jeune homme. Elle se releva comme pour se retirer mais au moment où il ne restait plus que le bout du gland en elle, elle se laissa retomber, s’empalant entièrement dans un gémissement de plaisir puis elle recommença en le giflant avant de s’empaler de nouveau :

« Et là t’es satisfait ‘être vraiment en moi ?  Si c’était possible, même tes couilles rentrerait. »

Et elle recommença se mettant  lui donner des coup de seins plutôt que des gifles. C’était terriblement excitant et eelle prenait autant de plaisir à le chevaucher de cette manière qu’en l’agressant physiquement même si c’était de petites gifle qu’elle lui mettait, l’idée était de le stimuler et non de lui décrocher la mâchoire.

Bordel mais c'était quoi son soucis ? Shenjo n'avait pas l'habitude de ce genre de pratiques. Elle cherchait quoi ? L'énerver ? C'était réussi. D'ailleurs, d'un mouvement rapide, il la fit basculer sur le dos pour venir se mettre au dessus d'elle en lui maintenant les bras au dessus de la tête. Une manière de reprendre le controle de la situation et de montrer qu'il en avait assez.

« T'es une putain de malade en fait »

Shenjo ne pouvait pas accepter de se faire malmener de la sorte . Piqué au vif, il descendit une main pour venir la serrer à la gorge. La serrant plus fort, il se rendait compte qu'il n'était plus vraiment dans la mesure. Elle avait réussi à le faire sortir de ses gonds.

«  Tu veux jouer c'est cela ? »

Se faire remettre en cause comme cela il ne pouvait pas le tolérer. La tenant toujours avec une main sur les siennes et l'autre sur sa gorge , il n'en revenait pas de ce qu'il était entrain de voir.

« Je sais pas ce que tu cherches ni même si c'est un jeu mais  je vais pas me faire traiter comme un gosse sans rien faire. »

La tenant toujours par la gorge, il vint placer son pénis entre les jambes de la mère de famille et avec la main qui la maintenait par les bras, il avait commencé à guider sa verge pour venir la posséder. La suite était limpide : commençant à la limer, il ne cherchait même plus à  prendre son plaisir ou à lui en donner. Il cherchait juste à la marquer et à se venger. En la traitant de la pire des façons bien entendu. C'est ce qu'elle espérait non ?