L'aventure est-elle au coin de la rue ? [Clad Oyio]

Voilà la fin de journée, il est 1 h du matin environ, je suis pressée de rejoindre ma petite maison, mon lit ! Me mettre dans un pyjama tout doux et dormir. Heureusement demain je n'ai pas cours, c'est le week-end, je vais pouvoir dormir, dormir, dormir... Mais pour le moment je dois finir de rendre des comptes à mon patron... Celui du bar à thème, il est gentil et je dois rendre l'argent que j'ai dans ma sacoche et déposer mon costume que je portais ce soir. C'était une soirée à thème sur un célèbre jeu vidéo, overwatch et mon personnage était Déva, Iva... Un truc du genre, je ne connais pas ce jeu à vrai dire... Je sais juste que les clients étaient très content de me voir habiller de la sorte. Costume

Je dépose donc mon costume dans les vestiaires, j'étais venue au bar directement après les cours donc je mets les vêtements de mon établissement. Une jupe bleu marine qui arrive à hauteur de mes genoux. Des longues chaussettes blanches, des souliers vernis. Un chemisier blanc avec un ruban de la même couleur que la jupe qui venait nouer le haut. Et par-dessus une petite veste pour lutter contre le froid du soir. Mon sac sur le dos, je salue mon patron et le reste du personnel avant de pousser la porte du bar pour me diriger vers l'arrêt de bus le plus proche. Avant j'avais un vélo, mais les filles de ma classe qui ne m'apprécient pas ont fait en sorte qu'il disparaisse mystérieusement à la sortie des cours... Depuis, je me déplace donc dans les transports en commun. Ce n'est pas pratique, mais quand on n'a pas le choix...

Le soir c'est assez embêtant car il y a moins de passage. Avec mon patron nous avons un arrangement pour que je puisse sortir à l'heure et avoir mon bus tranquillement. Sauf ce soir... Un message est affiché sur l'écran de l'arrêt de bus : "Désolé pour le dérangement la compagnie à rencontré un problème suite à un accident de la circulation. Le transport de la ligne s'est pour le moment arrêté. La police nous confirme qu'il faut attendre 1 h 30 avant le rétablissement des voix. Merci de votre compréhension."

Je soupire en voyant ce message... J'attrape mon téléphone portable dans ma poche et je vais regarder l'actualité. Effectivement, il y a eu un lourd accident à l'entrée de la ville. Il y a plusieurs voitures, un camion renversé en travers sur les voix. Apparemment c'est du carburant... Ce qui est bien embêtant. Ils disent 1 h 30, mais je pense que ça sera beaucoup plus... Je ne suis pas prête de rentrer chez moi... Je pourrai rentrer à pied ça mettrais moins de temps, mais je dois sortir de la ville et passer dans une forêt... Déjà à vélo j'avais peur alors à pied... Je n'ose pas imaginer. Pourquoi mes parents n'aiment pas la ville franchement, c'est trop bien !

Mais la question n'est pas là... Le temps va être long très long avant de voir l'ombre d'un bus arriver. Je vais donc me poser sur un banc près de la route, prête à attendre mon sort et voir les minutes s'écouler doucement, tout doucement...

Clad était de sorti ce soir. Il avait prit sa voiture de sport et s'était dirigé vers le centre-ville. Il était 21h et il avait entendu à la fin d'un de ses cours, qu'une fête étudiante à thème avait lieu dans l'hyper-centre. Il n'avait rien d'autre à faire et rien de mieux que de se mélanger à la chair fraîche et aux jeunes étudiantes dévergondées, et saoulent grâce à l'alcool.

Le jeune homme, à bord de son bolide, avait voulu prendre le périphérique afin de faire rugir son moteur, malheureusement, un accident avait déjà eu lieu et l'accès était restreint et surtout bouchonné par plusieurs kilomètres de bouchon. Tant pis, ce ne sera pas pour ce soir. Il se dirigea donc vers l'hyper-centre et le fameux bar à thème.

Il se gara dans un parking sous-terrain et descendit de son véhicule. Clad était habillé simplement d'un pantalon cargo noir, et d'un t shirt de la même couleur. Evidemment, ces habits coûtaient très cher et rien que le t-shirt valait plus d'une centaine d'euros. Beaucoup d'étudiants étaient déjà présent devant le bar, le son qui sortait du bar se faisait bien entendre. Après avoir salué, des camarades de classe, il entra à l'intérieur. Beaucoup de monde était à table, à siroter leur boisson, pendant que d'autres dansaient sur la piste de danse.

La soirée se passait bien, il discuta avec beaucoup de ses amis, mais il n'y avait vraiment aucune fille qui était assez appétissante pour lui. Sauf, cette serveuse. Elle était habillée comme un des personnage très connu d'Overwatch. Il ne savait pas non plus son nom, étant donné qu'il n'avait quasiment jamais joué à ce jeu, mais beaucoup de ses amis n'avaient cessé de lui répéter ce qu'elle représentait. Cette fameuse serveuse avait, sous son uniforme de personnage de jeux vidéo, de très jolies formes. Notamment, une paire de seins énorme. Sans parler de la forme de son petit cul.

Il voulait se la faire.

Peu avant la fermeture du bar, Clad avait prit sa voiture et s'était dirigé en face du bar, où il s'était garé. Il avait pu ainsi voir la jeune fille en sortir et se diriger vers l'arrêt de bus. Par chance, la circulation due à l'accident, n'avait pas reprit et la jeune fille décida d'attendre sur un banc quelques mètres après l'arrêt de bus. Clad, toujours dans sa voiture, arriva à sa hauteur.

« Hey ! Tu ne serais pas la serveuse du bar d'à côté ? » Dit-il en lui souriant et en montrant toutes ses belles dents blanches. « Je ne sais pas si tu es au courant, mais il n'y aura pas de bus avant un moment. Et si tu veux, je peux te ramener chez toi. » dit-il en continuant de lui sourire.

J'étais sur mon téléphone la tête ailleurs, tellement prise que je n'avais même pas remarqué qu'une voiture c'était arrêtée le long du trottoir. C'est quand j'entendis une voix que je me mis à sursauter, posant ma main au milieu de ma poitrine tout en relevant la tête.

"Vous m'avez fait peur !" Je soufflai juste après reprenant mes esprits. Je ne pensais pas du tout me faire accoster à ce moment.

Regardant le visage de l'homme qui se trouvait dans la voiture, je reconnus un des clients du bar. Et lui aussi m'avait reconnu apparemment... Bon je ne passe pas inaperçu faut dire.

"Oui je suis bien la serveuse ! Et vous vous étiez à la fête ! Je vous reconnais ! La soirée n'est pas encore terminée, vous partez déjà ?" Même si le client me tutoyait, je continuais de le vouvoyer conscience professionnelle. Mon patron était assez stricte avec ça, il ne fallait pas tutoyer les clients, même si ce sont des habitués. Pourquoi ? Je n'en savais rien, mais je suivais les règles.

Puis il me parle des bouchons qu'il y avait sur la route... J'étais bien sur au courant... Mais il me proposa juste après de me ramener chez moi.

"Hmmmm... Je ne sais pas trop..." Vraiment je ne savais pas ! Il n'est jamais bon de monter avec des inconnus en voiture, mais de l'autre côté il y avait presque 2 h d'attente pour mon bus. Assise sur mon banc je ne savais pas quoi faire, me frottant le front réfléchissant. Pis à quoi bon hésiter trop longtemps ! C'était un étudiant s'il était là ce soir. Il avait l'air bien avec sa belle voiture et les vêtements qu'il porte. Il n'a pas la tête à être un voyou ou quelqu'un de mal honnête.

"Bon d'accord, mais j'espère vraiment que ça vous dérange pas j'habite en dehors de la ville !"

Tout en disant ça je m'étais levé de mon banc, pour ouvrir la portière de la voiture et me mettre dedans, bouclant ma ceinture de sécurité. Le morceau de tissu passait au milieu de ma poitrine, écrasant mon chemisier blanc faisant encore plus ressortir mes seins.

"Alors j'habite dans le village juste après la sortie ouest, il faut traverser la forêt et c'est la première maison qu'on voit toute seule le long de la route. Mais je vais vous guider si vous ne savez pas. C'est déjà très gentil de me déposer."

Je fis un léger sourire en guise de remerciement, avant d'attendre que la voiture démarre. J'avais posé mon sac à mes pieds et mes mains étaient posées sur mes cuisses. Une petite fille sage. Je dirais plus timide finalement, je ne savais pas trop comment me mettre à l'aise dans cette belle voiture.

Clad toujours penché vers elle, afin de voir sa réaction, se dit qu'elle était un peu trop habillée dans son uniforme d'écolière. Enfin, même sans ça, ses deux gros seins ressortaient très bien de son chemisier. Après quelques instants d'hésitation, la jeune fille accepta de monter dans sa voiture. Elle fit claquer la porte derrière elle, enfila sa ceinture et informa Clad qu'elle allait le diriger vers chez elle. Il commença à mettre ses mains sur le volant, mais il avait du mal à défaire son regard, de l'énorme poitrine de la serveuse. La ceinture, les faisait effectivement bien ressortir et c'était magnifique. Il avait déjà du mal à calmer son excitation.

L'homme commença tout de même à conduire. Il répondit parfaitement aux directives de la belle. Quelques minutes passèrent et d'après la jeune fille, il était pas encore à mi-chemin. Clad eut une idée. Il actionna à l'aide d'un petit bouton, derrière son volant, le chauffage de la voiture. Il trouvait la jeune fille beaucoup trop habillée, il fallait qu'il en voit plus. Quelques minutes passèrent et la chaleur s'installa dans l'habitacle du bolide.

« Je … Raaah … Je suis désolé. Le chauffage en fait encore des siennes. » dit-il en faisant mine d'appuyer sur plein de boutons, afin d'essayer d'arrêter le chauffage. « Si tu veux un peu d'air, ouvre la fenêtre, mais à cette vitesse, le vent risque d'être un peu trop fort. » dit-il les yeux fixés sur l'horizon et ses mains sur le tableau de bord à la recherche du bouton qui arrêtera le chauffage.

En effet, Clad s'amusait depuis tout à l'heure à accélérer à vives allures. Heureusement pour eux, l'homme était très bon pilote et par chance, les rues étaient désertes. C'est pourquoi, en ce moment même, il roulait à plus de cent kilomètres/heure, en pleine ville. Il essayait de tout faire, pour que la jeune fille se déshabille un peu plus. Evidemment ses accélérations, servaient aussi, à faire bouger un maximum la poitrine de Sonya. Il ne pouvait s'empêcher de jeter des coups d’œil dans sa direction, à chaque fois qu'il faisait ça.

« Puis, j'espère que ma conduite un peu … Sportive, ne te dérange pas trop ? » dit-il avec un petit ton tout gentil.

L'homme commença alors à conduire, mais pas une conduit normalement, non loin de là, avec son bolide c'était plutôt une conduite de course. Je ne m'attendais pas à ça, je me tenais d'une main au siège de la voiture et de l'autre sur le repose coude de la portière. Heureusement, que je n'étais pas malade en voiture sinon j'aurai déjà tout renvoyé... C'était incroyable il roulait tellement vite en ville, heureusement qu'on était le soir et qu'il n'y avec presque personne sur la route. Les seules voitures qu'on croissait se faisaient dépasser à toute vitesse, en moins de cinq secondes elles disparaissaient du rétro extérieur...

En dehors de cette conduite, je pouvais sentir ma poitrine bouger dans tous les sens. A chaque virage, elle balançait d'un côté, puis d'un autre... Dans ma tête je ne pouvais pas m'empêcher de repenser à cette vidéo populaire qui passe sur les réseaux sociaux. Une jeune femme dans une voiture de course, le pilote roule tellement vite qu'il arrive à faire ouvrir son haut et ses seins en profite pour sortir... J'espère vraiment que cela ne va pas arriver... Car je peux sentir le tissu se tendre à chaque instant. A chaque virage. A chaque freinage. A chaque accélération. Vivement que j'arrive chez moi.

Et pour conclure le tableau, il faisait vraiment très chaud dans cette voiture... L'homme me signala qu'il y avait un problème avec le chauffage... Je le sentais ! Très bien ! J'en pouvais plus, je devais être rouge écarlate, plus le stress de la conduite. J'étais en nage. Pendant, un moment où la voiture roulait plus doucement j'en profite pour enlever rapidement ma veste pour me retrouver qu'en chemisier et descendre mes longues chaussettes.

"C'est pas grave pour le chauffage ! Ne vous inquiétez pas... Et pour la conduite... Non non du tout !" Il me ramène déjà, je ne vais pas me plaindre. Et d'un côté plus il va vite, moins j'aurai à supporter cette chaleur.

J'espère juste ne pas avoir d'auréole sous les bras ce n'est pas très... Hen. Voilà ! J'ai juste le temps de poser ma veste à mes pieds, que l'homme accélère de nouveau, je suis plaquée au fond de mon siège. Mes fesses glissent sur le siège, remontant ma jupe à la limite de ma culotte. Je me remets en place, ne remarquant rien, les yeux fixés sur la route, faisant attention que quelqu'un ne traverse pas devant nous... Le stress de la conduite ! Vivement ma maison, je me répète, mais j'en peux plus.

"Encore merci !" Je le remercie de nouveau histoire de me détendre un peu. "En fait, je ne me suis pas encore présentée, mon prénom est Sonya !" Peut-être quand me parlant un peu, il allait moins appuyer sur le champignon. C'était un test on verra bien. Et son chauffage, qui ne veut pas, se calme... Je viens à regretter de ne pas avoir attendu le bus.   

La voiture bougeait effectivement dans tous les sens. Et Clad s'en amusait. Les virages arrivaient les uns après les autres mais ce n'est pas pour autant qu'il levait le pied, bien au contraire. Il s'amusait même à drifter avec sa voiture. Prenant chaque virage, en faisant patiner les roues de sa voiture, perpendiculaire à la route. C'était une technique de conduite très dangereuse et peu de pilote en son capable. Notamment, car pas n'importe quelle voiture pouvait le faire.

Pendant ce temps là, il remarqua que la jeune fille, avait déjà enlevé sa veste et se débattait pour garder bien bas sa jupe. C'était manqué ! En effet, Clad avait bien vu la jolie culotte de la jeune fille dépassée. Ce qui excita notre homme encore un peu plus.

Cependant, il continua sa conduite très sportive. Ce qu'il voulait voir, c'était la poitrine de Sonya bouger dans tous les sens. Et pourquoi pas, faire éclater les petits boutons de son chemisier, qui, de son propre avis, avaient déjà bien du mal à contenir ses énormes seins,

Toujours, en train de piloter son bolide, la Belle se présenta. C'était vrai, Clad ne s'était pas encore présenté. Sans doute, trop obnubilé par le fait qu'il voulait se la faire.

« Enchanté Sonya. Moi c'est Clad ! » dit-il les yeux fixés à la route. « Et je t'en prie ne me vouvoie plus. On est plus dans ton lieu de travail. Tu peux me tutoyer, ce sera beaucoup plus simple. » dit-il en lui souriant.

Clad continua de conduire sportivement. Il sentait vraiment que le chemisier de la jeune fille pouvait péter à tout moment. Il accentua les accélérations et les freinages. Il prenait les virages de façon très large, afin qu'elle soit vraiment collée au siège et qu'elle ne puisse toucher à ses seins.

L'excitation montait. Était-ce à cause de la chaleur ? En tout cas, la bite de Clad commençait à vraiment durcir. Et était à présent bien visible sous son pantalon.

Clad comme il venait de se présenter conduisait toujours comme une fou malgré que je venais d'engager la conversation pour le détendre un peu.

"Oui... Désolé... Déformation professionnelle, c'est mon patron qui veut que... ATTENTION !!"

Sur le bord de la route, se trouvait une vieille dame qui je pensais aller traverser, mais non, je venais de paniquer pour rien du tout. Clad savait ce qu'il faisait et moi je flippais pour pas-grand-chose... Mais je n'en avais pas fini d'avoir peur. En pensant que la vieille dame allait traverser je mettais agitée sur mon siège, appuyant la paume de ma main sur le loquet de la ceinture l'ouvrant. La lanière remonta directement se loger dans le coin de la portière.

"Stop..."

Je ne voulais pas lâcher mon siège ni la portière pour me rattacher surtout que Clad roulait de plus en plus vite. J'étais vraiment une poule mouillée en voiture. Il prenait les virages comme un fou ! Ou un Dieu en fonction du point de vue... Pour moi ce n'était qu'un fou du volant. Je serais les fesses... Et de savoir que je n'avais plus ma ceinture de sécurité me faisait encore plus peur, un virage mal négocié et on finissait les deux à la morgue, enfin surtout moi...

Sous la peur, je ne remarquais même pas mon chemisier qui commençait à se tendre sous la pression. Mes seins bougeaient en fonction de la route, tirant sur le tissu et ce qui devait arriver arriva... Le premier bouton de mon chemisier saute, suivit du deuxième et ainsi de suite jusqu'à mon nombril environ.

"STOPP !"

Je me remis à crier pour qu'il s'arrête et que je puisse régler ce problème des plus embêtant. Surtout que mes deux seins étaient passés au-dessus du tissu ballottant en fonction de la route. Oui je n'avais pas de soutien-gorge, après le boulot j'avais un peu la flemme de tout remettre à chaque fois et ça me permettait de partir plus vite pour prendre mon bus... Ca m'apprendra... Maintenant voilà que mon chemisier avait explosé et que ma lourde poitrine bougeait de gauche à droite en fonction des virages et de haut en bas à cause de la route mal faite.

"S'il vous plaît..."

Je devais être rouge de honte, trop peur de lâcher prise pour me rhabiller j'espérais juste que Clad s'arrête pour que je puisse remettre ma poitrine à sa place.

Clad continuait de conduire à la même allure. Concentré sur la route, il n'avait pas pu voir le moment où le chemisier de Sonya, s'ouvrit, pour libérer ces deux gros seins. L'homme en même temps de conduire, arrivait à regarder ses deux gros obus bouger dans tous les sens. Ils étaient vraiment beaux et gros. Il n'avait qu'une envie, c'était d'y mettre son visage.

Sonya avait beau crier d'arrêter la voiture. Le jeune homme n'en avait que faire. Ils étaient seulement rendu à mi-chemin et la route était déserte. Il fallait en profiter. D'autant qu'en plus de son énorme poitrine, Clad pouvait apercevoir sa jupe remonter petit à petit. Il ne voyait pas encore le petit tissu, caractéristique de la culotte ou du string de la jeune fille, mais à présent, il faisait tout pour la voir quasiment nue.

Effectivement, l'homme voulait se la faire. Et quoi de mieux qu'une fille excitée et nue ?

Le bolide de Clad, faisait toujours autant de bruit, arrivé dans un petit village, non loin de la forêt, un virage à droite très serré, la vitesse que prit Clad força la jeune fille à se coller un peu à l'homme. Faisant mine de vouloir changer de vitesse, il agrippa un des seins de Sonya. Sans le relacher, il dit :

« Oups ! Excuse-moi ! Je voulais juste changer de vitesse ... » dit-il avec un air un peu bête, mais bien conscient de ce qu'il faisait.

Il tenait toujours le sein de Sonya dans sa main. Dieu qu'il était agréable à toucher. Gros, bien ferme et à la fois mou comme il faut. L'homme se mit carrément à la caresser. Allant, jusqu'à son téton pour venir le lui pincer.

Clad était toujours en train de conduire. Sa bite ne demandant qu'à sortir de son pantalon.

« Même si  c'est difficile à dire devant toi … Tu as de très beaux seins, Sonya ! » dit-il en lui souriant.

J'en pouvais plus, Clad ne ralentissait pas malgré la situation, mes seins suivant les mouvements de la voiture, rebondissant à chaque mouvement, on pouvait même les entendre claquer entre eux si les virages se trouvaient trop proches. En plus de ça je glissais sur mon siège, ma jupe se levant de plus en plus, laissant apparaître un bout de ma culotte avec des pokéballs dessinés dessus. Une culotte de petite fille innocente, qui est dans son monde jusqu'au bout.

"Ralenti..."

Trop tard, Clad prit un virage serré à l'arrivé dans un petit village, sans ceinture je suis projeté contre lui, légèrement en avant. Il attrape alors un de mes seins disant qu'il voulait changer de vitesse et qu'il c'était trompé.

Menteur ! Si c'était le cas, il l'aurait déjà lâché et n'irait pas jusqu'à pincer mon téton. Je pousse des petits cris quand il le fait.

"Lâchez-moi !!"

J'essaie de me redresser, mais un autre virage me fait encore plus me coller à lui. Pas le choix, je ne vois qu'une solution, je bouge doucement ma main qui se trouve vers mon siège et j'active la manette du siège. Celui-ci se penche d'un coup en arrière avec moi, je glisse dessus me retrouvant couchée sur le siège passager. Les seins toujours à l'air qui continue bien sûr de suivre les mouvements de la voiture... Suite à cette manœuvre, ma jupe avait totalement remonté, laissant voir l'intégralité de ma culotte, j'avais les jambes écartées pour essayer de tenir en place un minimum. Mes seins étaient maintenant tranquilles, mais je n'avais pas pensé que j'allais me retrouver comme ça...

Malgré les directives de la jeune fille, Clad était concentré sur ce qu'il faisait. Et il n'était pas question qu'il ralentisse. Après de nombreux virages, quasiment à l'aveugle, tellement ils étaient serrés, le bolide continua sa route vers une route un peu plus tranquille. Il pouvait ainsi regarder à côté de lui, ce qui venait de se passer. En effet, la jeune fille était à présent couchée à ses côtés. Ses gros seins débordaient de chaque côté de son corps, tandis que sa culotte était maintenant bien visible. Qui plus est, cette dernière avait les jambes écartées.

Clad n'en pouvait plus. Sa bite commençait à lui faire vraiment mal dans son pantalon. Il fallait qu'il la baise. Par chance, ils atteignirent la forêt. Il entra dedans à vive allure et s'arrêta non loin, dans un petit renfoncement, à l'abri des regards indiscrets. Avec sa clé, il coupa le moteur de sa voiture, il enleva sa ceinture et se positionna au dessus de Sonya.

« Ca fait un petit moment que tu me fait de l'effet. » dit-il en déboutonnant son pantalon et en lui montrant son énorme bite. « Tu vas devoir payer pour ça ! » dit-il en agrippant un de ses seins.

Ni une, ni deux, il se mit à embrasser un des seins de Sonya. Il aurait pu le manger, tellement il avait l'air appétissant. Il était gros et moelleux. Mais surtout, il avait un très bon goût et une très bonne odeur. Il commença à jouer avec sa langue, au niveau du téton de la jeune fille. Il pouvait ainsi sentir ce dernier, se durcir.

Le jeune homme s'amusait à bouger son bassin, afin de toucher la petite chatte de Sonya, avec sa bite. Ainsi, il commença à mettre du liquide pré sperme sur toute sa petite culotte. Avec sa main libre, il commença à lui caresser les cuisses, ainsi que ses fesses.

« J'espère pour toi, qu'une bite de vingt centimètres, ne te fait pas peur ! Sinon … Dommage ! » dit-il avec un air sarcastique.

Je ne pouvais pas me redresser, ballottant d'un côté puis d'un autre avec cette conduite de fou furieux. Et au bout d'un moment la voiture se stoppa enfin, je commençais à me redresser, patraque après avoir subi autant, surtout sur le dos ce n'était pas une de mes meilleures idées d'avoir baissé mon siège. Mais à peine que j'ai réussi à prendre appuie sur mes bras, Clad se retrouva sur moi, déboutonnant son pantalon à vitesse grand v.

"Non ! Arrêtez ça !"

Je pose mes mains sur son torse pour le repousser, alors qu'il avait la bite à l'air. Me disant que je devais payer pour lui avoir fait de l'effet. Ce n'était pas de ma faute, s'il n'arrivait pas à se retenir...

Mes bras ne font pas le poids longtemps, Clad s'écrase sur moi de toute sa carrure pour venir embrasser un de mes seins et s'amuser autour de mon téton avec sa langue. Mes mains avaient glissé le long de ses épaules pour quand même le restreinte dans ses mouvements. Je pouvais également sentir sa queue frotter par-dessus ma petite culotte, buter contre ma petite fente.

"Je ne veux pas..."

Bien sûr que je ne voulais pas... Déjà, ce n'était pas des manières de faire ça, alors qu'il voulait simplement me ramener... Et une bite de vingt centimètres me faisait bien peur, c'était la première fois que j'en voyais une en vrai. J'étais encore vierge, je ne voulais pas d'une première fois comme ça dans une voiture dans la forêt avec une personne que je ne connaissais pas. Non... J'avais peur !

Clad n'en avait que faire de ce qu'elle lui disait. Au contraire, plus elle continuait de se plaindre et plus ça l'excitait. Il faut dire qu'il adorait faire ce genre de choses à de parfaites inconnues. Elles sont toujours comme ça au début, mais tôt au tard, leur vraie nature prend le dessus. Il faut dire que notre homme sait comment éveiller ce côté lubrique chez les femmes. A tel point, qu'elles deviennent accroc à lui et qu'il est obligé de couper les ponts au bout d'un moment.

Il se passait exactement la même chose avec Sonya. Dû moins au début. Selon la personne, elle mettra plus au moins de temps à devenir ce que Clad recherche. En tout cas, pour ce qui est du moment présent, il sentait que la jeune fille ne savait plus quoi faire, c'était le but. Il continua alors de lécher et sucer le sein de Sonya.

L'homme ne parlait plus du tout, il laissait ses gestes parler pour lui. Sa bite fièrement tendu, vers la fente de la jeune fille, tapotait de plus en plus à travers son tissu humidifié par son liquide pré sperme. Plus en haut, il s'amusait à soulever cet énorme sein, tandis que son autre main, quant à elle, pinçait de plus en plus fort les fesses de Sonya.

Tout ça durait pendant un moment. A tel point que les seins de Sonya devinrent rouge, tout comme ses fesses. Il relâcha l'étreinte sur ses fesses pour venir au niveau de son intimité. Il agrippa le tissu de sa culotte et le déchira d'un coup. Laissant la jeune fille à présent toute nue. Sa bite se colla de nouveau à elle, mais maintenant il pouvait la toucher directement. Il commença à se frotter à son intimité.

« Tu me dis d'arrêter, mais je sens ta petite chatte toute humide ... » dit-il en relâchant le sein de Sonya.

L'homme se voulait encore plus violent. Il se releva légèrement, afin d'agripper les deux gros seins de Sonya avec ses deux mains. Il se mit à les frapper, les serrer très fort, les tirer, les écarter. Il leur faisait vivre un enfer. Mais Clad adorait ça.

Clad ne disait plus rien trop concentré à regarder mon corps et à s'amuser avec. J'avais beau lui dire n'importe quoi, il s'en fichait, j'avais l'impression que ce n'était juste qu'un prédateur en rute qui voulait simplement se vider et prendre possession de mon corps.

Il s'amusait à soulever ma poitrine, à la faire bouger dans tous les sens. Je pouvais le sentir, le poids de mon sein, qui ballottait. Retombant, tirant, ainsi de suite. J'avais mal... J'étais sur le point de pleurer, mes yeux se remplissant de buée, brillants de larme qui ne voulaient pas couler à cause de la peur. L'homme lâcha alors mes fesses, pour attraper ma culotte, tirant dessus. Le tissu rentra dans la raie de mes fesses avant de se déchiré sur le devant, me laissant maintenant totalement nue.

"NON !! S'il vous plaît !"

Je me remets directement à crier ! A hurler quand sa queue vient se coller de nouveau à ma petite chatte. Il se met alors à parler... Disant qu'il peut sentir ma chatte toute humide... Ce n'est pas possible qu'elle soit mouillée non.

"Laissez-moi... Je suis..."

Vierge. Je n'ose pas le dire finalement... Je ravale mes mots. Pensant que ça allait encore plus attiser sa perversité. Et vue comment c'était partie il allait bien le voir tout seul. Pour le moment, il se redressa pour encore plus meutrire ma poitrine. Les frappant, les tirants, les écrasant, les pressant... Aucune délicatesse... Cette fois c'est bon je me mets à pleurer, des larmes roules sur mes joues, je souffre. J'ai mal. Tellement mal. Je ne sais pas depuis combien de temps j'hurle... Depuis combien de temps je le supplie d'arrêter mon calvaire... Mais il n'écoute pas... Mon corps est là. Mais pas le reste.

Clad n'entendait plus rien. Il la voyait se débattre évidemment, mais il était en transe. Il voulait qu'une chose, qu'elle ne devienne qu'à lui. Qu'il prenne possession de tout ce qu'elle est, de tout ce qu'elle a. Qu'elle ne soit qu'un vulgaire objet. Qu'elle ne soit qu'attirée par lui et par sa bite. Son sexe, en effet, était toujours pointé vers la chatte de Sonia. Et tandis qu'il était en train de maltraiter l'énorme paire de seins de la jeune fille, l'homme pénétra très difficilement son intimité. Il reprit légèrement ses esprits, puisqu'il trouvait sa bizarre, qu'une fille qui mouillait autant, soit aussi serrée.

Et en effet, il y avait bien un truc qui clochait. Il vit un peu de sang couler sur son siège et se coller à sa bite. Elle était vierge ?! Une fille aussi jolie, aussi bonne avec un corps aussi parfait ?! Comment était-ce possible ?! Au lieu de paniquer, le jeune homme en ressortie une énorme satisfaction. Et au lieu de le dégoutter, il pénétra de nouveau Sonia. Avec de plus en plus de vitesse, de plus en plus de force.

Clad se mit au niveau de sa tête, et pendant qu'il était en train de baiser la jeune vierge, il attrapa sa nuque et rapprocha sa tête, pour venir l'embrasser. Elle avait très bon goût. Ce qui augmenta le rythme des vas et vient du jeune homme. Il relâcha son étreinte, pour poser une main autour de son cou et une autre sur le téton de son sein.

« N'aies pas peur. Tu vas voir. Dans très peu de temps, tu n'auras qu'une envie, c'est de te prendre ma bite encore et encore ! » dit-il en serrant fort son étreinte sur le cou de Sonia.

Pendant ce temps là, il était toujours en train de la baiser. Son sein était tout aussi maltraité. Il s'amusa à tirer sur le téton et vu le poids du sein de Sonia, à chaque fois qu'il le tirait à droite et à gauche, la jeune fille devait avoir mal.

Pendant presque une heure, Clad baisa Sonia. Mais il était un peu lasser de cette position et demanda :

« Retournes-toi. J'ai envie de m'occuper de ton cul ! » dit-il avec ordre.

La queue de Clad se colle contre ma petite chatte. Je sens qu'il commence à forcer.

"Douc... Doucement !"

Je me mets à hurler de douleur quand il rentre entièrement en moi, me déchirant de l'intérieur. Je sens quelque chose de chaud couler le long de mes cuisses. Sans le voir, je sais que c'est du sang. J'ai mal très mal. J'ai les yeux rempli de larme.

"Arrêtez..."

Je le supplie de se retirer, il le fait regardant sa queue qui doit être couverte de sang. Je respire profondément. Pour une fois il venait de m'écouter... Merci, mon dieu, mer...

"AHHHHHHHH"

Je crie de nouveau, basculant ma tête sur le côté. Clad venait de nouveau de rentrer en moi, écartant ma chatte avec force. Il fait claquer son bassin contre le mien, avec force augmentant la vitesse à chaque seconde. J'attrape la portière de la voiture et de l'autre main le siège pour me tenir. Je serre tellement fort, enfonçant mes ongles dans le cuir.

Je hurle encore dans la voiture, les gestes de Clad sont violents. Il attrape mon cou venant le serrer pendant qu'il baise ma chatte avec toujours autant de force. Son autre main vient encore une fois maltraiter ma poitrine qui rebondit en fonction des coups de bassin qui me met. Il s'amuse à tirer sur mon téton, remontant mon sein. Il est tellement lourd que j'ai mal, très mal. Je le vois se déformer à chaque instant, s'étirant.

Les minutes passent, je ne sais pas depuis combien de temps Clad est en train de limer mon intimité. La douleur du début est passée depuis un moment. Mais je continue toujours de crier, je n'en peux plus, c'est tellement long. Je ne savais pas qu'on pouvait baiser quelqu'un aussi longtemps sans éjaculer. De la salive coule le long de ma bouche, j'ai du mal à respirer. Les coups de bite s'arrêtent enfin. Il serait fatigué ? Il en aurait fini avec moi ? Je peux reprendre mon souffle. De la mouille coule partout le long de mes cuisses et sur le siège. Alors que je pensais en avoir fini, Clad me demande de me retourner pour s'occuper de mon cul.

"Non... Non pas ça..."

Je ne me retournerai pas... Cet homme venait déjà de prendre ma virginité. Il n'aura pas plus. Il ne passera pas par-là. Non. J'essaie de me redresser, me trémoussant sur le siège. Glissant à chaque mouvement pour essayer de fuir ? Ou je ne sais pas. Mais je ne voulais pas qu'il s'occupe de mes fesses.

"Laissez-moi tranquillement maintenant..."

Ma voix est faible. Je n'arrive presque plus à parlé, je suis épuisée. Je ne pensais pas que cela demandait autant d'énergie.