A la recherche du bonheur [PV MITAKE]

Cela faisait trois semaines. Trois semaines que Samantha n’avait rien fait qui lui paraisse important. Rien de concret, rien de sérieux, rien qui lui permette de se sentir accomplie en tant que femme ou même en temps qu’être humain. Même du point de vue de ses amis, cet état était passable, et la plupart se mettaient d’accord pour dire que la jeune femme traversait une mauvaise passe. Mais aucun d’entre eux n’avait la moindre idée de la véritable nature du profond mal-être qui affectait Samantha

Peut-être que c’est une loi, au fond… Peut-être que je suis condamnée à ne pas atteindre un état de bonheur?

Assise à la fenêtre, dans un cybercafé, elle laissait son front se coller contre la vitre froide. Malgré la fraîcheur ambiante, elle avait chaud. Et la plus qui laissait s’écouler des cataractes le long du verre n’arrangeait pas les choses. Oui, c’était un fait, Samantha Ackermann était en train de se morfondre. D’un point de vue purement personnelle, elle se sentait dans une situation d’échec total. Et dans ce genre de circonstances, se sentir bien dans sa peau était totalement impossible.

Si seulement je pouvais rencontrer quelqu’un...

Découragée, elle décolla son front du verre froid et remit sa veste. C’est presque à contrecœur qu’elle reprit son sac à main pour quitter le cybercafé, cherchant à rejoindre son appartement. Un appartement ridicule, de seulement une trentaine de mètres carrés, et qui faisait pitié au milieu de ce quartier chic...

Les occasions pour Ran de retourner voir ses parents se faisaient de plus en plus rares pour elle, surtout en ce moment, alors qu'elle était fiancée et qu'elle préparait son futur mariage. Heureusement, elle avait pu profité d'une occasion un d'un jour de repos dans l'organisation de ce dernier et de la formation magique d'une de ses invitées, pour venir rendre une petite visite chez ses parents, sur Terre, et en profiter pour leur remettre un faire part, en leur annonçant la nouvelle. Ces derniers avaient été heureux pour elle et, quelque part, soulagés d'apprendre la nouvelle. En effet, étant devenue succube, ils n'étaient pas certains qu'elle assurerait la descendance et l'héritage de la famille. Heureusement, Ran n'était pas devenue une succube comme les autres. Elle savait conserver des liens, et différencier sa vie sexuelle - vitale pour les représentantes de sa race - de sa vie sentimentale. Et puis, son futur époux était un vampire aussi, alors question libertinage, ça se posait là.

Bref, l'ambiance à la maison était à la fête de famille et les cadavres de canettes et de pizzas s'amoncelaient sur la table. Si bien qu'à un moment, la jeune fille décida d'aller sortir les poubelles. Fort heureusement, elle ne sortit pas dehors avec son apparence habituelle, ayant adoptée une forme totalement humaine et portant un top léger s’arrêtant sous sa poitrine ainsi qu'un shorty au ras des fesses. Bon, ça restait osé, mais elle ne sortait pas totalement nue non plus. Et alors qu'elle mis les ordures dans la benne, elle vit passer à coté d'elle une femme, probablement une trentenaire, l'air maussade et trainant le pas. C'était la première fois qu'elle la voyait dans le quartier, mais bon, comme elle avait quittée la maison familliale depuis quatre ans à présent, elle avait sans doute dû emménager dans le coin entre temps.

- Hmm... Bonsoir madame... C'est la première fois que je vous vois dans le quartier... Vous venez d'emménager ?

Le parapluie n’était plus tout jeune, mais il avait l’avantage de toujours être étanche et de la protéger de la pluie de façon très correcte. C’est donc avec la garantie d’arriver chez elle en restant au sec que Samantha commença à prendre la route. Depuis quelques jours, elle faisait plusieurs fois l’aller-retour entre chez elle et le cybercafé. Elle connaissait donc le chemin...

- Hmm... Bonsoir madame... C'est la première fois que je vous vois dans le quartier... Vous venez d'emménager ?

La trentenaire sursauta. Elle n’avait pas entendu arriver la jeune fille, et celle-ci arrivait presque dans son angle mort. Elle avait même manqué lâcher son parapluie.  Mais elle se reprit bien vite. Quelle image donnerait-elle aux passants si une adolescente parvenait à l’effrayer?

-Non, je… J’habite ici depuis un an… je, vous êtes?

C’était une façon comme une autre de demander l’identité de cette inconnue. Samantha n’était pas très à l’aise avec les inconnus, mais sans savoir pourquoi, la jeune fille lui inspirait assez confiance pour qu’elle parvienne à surmonter son handicap

La femme sursauta et se raccrocha à son parapluie, comme si elle avait peur d'être vue après cette petite frayeur. Mais avec le temps qu'il faisait et le début de soirée, il n'y avait pour ainsi dire personne dans la rue.

- Non, je… J’habite ici depuis un an… je, vous êtes?

- Je m'appelle Ran. Mitake Ran. Mes parents habitent la villa juste là...

Elle précisa ses parents, en montrant la villa en question, car elle même n'y venait plus que périodiquement. Bien qu'elle ait énormément à faire sur son île, elle trouvait quand même le temps de venir voir ses parents, prendre de leurs nouvelles. Contrairement à la femme, Ran n'avait aucun mal à converser avec une inconnue, sans doute sa nature succube ? Mais à bien y réfléchir, c'était bien la première fois que la jeune fille parlait aussi naturellement à quelqu'un qui aurait pu être sa prof de sport au lycée. Hormis Mélinda et certaines succubes de son clan, qui étaient âgée de plusieurs siècles, Ran n'avait jamais conversé aussi naturellement avec des personnes de plus de 30 ans. A part peut être certaines de ses employées ? Non, même la plus vieille d'entre elles n'avait que 28 ans...

Ran aurait pu continuer à faire connaissance avec cette femme ou lui souhaiter une bonne soirée et repartir, mais la pluie se fit soudain beaucoup plus intense, tout comme le vent et, si l'inconnue parvint à agripper le manche de son parapluie, cela n'empêcha pas celui-ci de se retourner complètement par la force du vent. Même la jeune fille dû mettre son bras en visière pour se protéger les yeux, alors que tout son corps était désormais trempé

- Oups, le temps se gâte... Restez pas là, venez vous abriter chez moi, avant d'attraper froid... Et comment vous vous appelez au fait ?

Entre voisines, il faut bien se soutenir, non ? Ran retourna donc chez elle en pressant le pas, ouvrant le portail avant de laisser le passage à la femme... alors qu'un éclair frappa le sol à plusieurs centaines de mètres de là.

Selon les indications corporelles de la demoiselle, Samantha put donc se faire un aperçu de la chose. Et ce qu'elle vit l'estomaqua. Est-ce que... Est-ce que les parents de la demoiselle seraient millionnaires? La brune savait que même avec un emploi stable et des revenus corrects, il lui faudrait des années d'économie pour pouvoir vivre dans la bâtisse pendant un an, et encore! Ce serait seulement si le loyer n'était pas aussi élevé que ce qu'elle imaginait pour une structure de ce standing!

C'est... C'est énorme...

Elle était définitivement intimidée. Peu importait qui vivait là-dedans, c'était quelqu'un avec des moyens. Et pas n'importe lesquels! Ils étaient riches, très riches. En cet instant, Samantha voyait déjà l'inconnue d'un tout autre œil. Non pas comme une fille de riche ni quoi que ce soit du genre. Plutôt une fille qui devait avoir des standards très hauts, une excellente éducation, et qui ne se laisserait pas marcher sur les pieds. Une femme qui aurait très certainement du caractère. Caractère qui ressortait déjà dans sa présentation. Mitake Ran. Un nom qui donnait l'aura d'une femme forte...
Lorsqu'elle l'invita à la suivre, Samantha s'empressa d'obéir. Le parapluie ne la protégerait bientôt plus, de toute manière. Vu son état, il était maintenant bon pour la poubelle. C'est donc avec un léger pincement au coeur que la trentenaire franchit la distance qui la séparait de la villa.

-Merci de votre accueil, en tout cas... Je m'appelle Samantha. Samantha Ackermann, mais appelez moi simplement Samantha, si vous le voulez bien...

Elle-même était à présent trempée, et si Mitake avait une bonne vue, elle pouvait aisément voir que sous le chemisier, Samantha ne portait aucun sous-vêtement. Les aréoles de ses mamelons étaient visibles, et frottaient doucement contre le tissu au rythme de ses mouvements...

Ran se précipita dans le hall de la villa, laissant la porte ouverte afin de laisser la femme entrer, avant de refermer la porte. Durant le court laps de temps durant lequel la porte était restée ouverte, la pluie avait eu le temps de rentrer elle aussi, mouillant une bonne partie de la pièce. Les vêtements de l'invitée étaient si trempés que l'on pouvait voir en partie au travers, permettant de constater que la femme ne portait aucun sous vêtements... Et comme ils moulaient également bien son corps, on pouvait aisément voir la forme phallique dans son bas. Mais les vêtements de Ran n'étaient pas en meilleur état et la femme pouvait aisément voir que l'ado ne portait pas non plus de sous vêtements sous les siens.

- Merci de votre accueil, en tout cas... Je m'appelle Samantha. Samantha Ackermann, mais appelez moi simplement Samantha, si vous le voulez bien...

- Dans ce cas, appelez moi juste Ran et tutoyez moi... j'suis nettement plus jeune que vous...

Elle attrapa une serviette de main qui trainait là et l'envoya à Samantha pour qu'elle s'essuie un peu les cheveux. Et alors que sa mère arriva dans le hall à son tour, la jeune fille retourna un peu la femme, juste histoire que sa mère n'ai pas de vue sur le membre assez bien visible, ce qui aurait été fortement embarrassant, sans l'ombre d'un doute.

- Tout vas bien ma chérie ? Oh, bonsoir, madame... Qui est-ce Ran ?

- Une voisine de quartier qui a été surprise par l'intensité de l'averse... Je l'ai invitée le temps que ça se calme.

- Tu as bien fait. Vous devriez prendre une douche avant de tomber malade.

Ran la guida donc dans les couloirs, jusqu'à arriver dans la salle de bain toute équipée. Il n'y avait cependant qu'une seule salle de bain et vu l'état de leurs vêtements, il n'y avait pas d'autre choix qu'elles la prennent toutes deux en même temps, afin d'éviter qu'une des deux n'attrapent un rhume. Vu la tenue légère que Ran portait, elle se déshabilla assez rapidement.

- On a qu'une seule salle de bain par contre et je pense pas que ma mère ait des vêtements à votre taille...

Heureusement, la douche à l'italienne était suffisamment spacieuse pour deux personnes.

Samantha avait l'impression d'avoir lutté pendant des heures. Le simple fait de franchir le seuil de la porte fut donc perçu comme un soulagement d'une intensité rare. Pour le première fois depuis longtemps, lorsque la serviette atterrit dans ses bras, Samantha se sentait... bien. Mitake lui avait demandé de la tutoyer, elle pouvait asiément se plier à ce genre d'instructions. Par contre, elle fut reconnaissante envers la jeune fille lorsque celle-ci la fit pivoter légèrement. Elle lui adressa alors un regard plein de remerciements en silence. Lorsque celle qui semblait être la maîtresse de maison lui adressa la parole, elle eut bien du mal à ne pas la complimenter en retour. La femme était superbe! Aussitôt, le volume de son membre manqua doubler. Toutefois, elle se concentra, laissant l'excitation retomber alors qu'elle était guidée vers la salle de bain.

-Je vous remercie, Madame! C'est un grand service que vous me rendez.

Une fois arrivée dans la salle de bain, Samantha eut rapidement un regard pour Ran. La jeune femme était également superbe, aussi belle que sa mère, si ce n'était plus... Toutefois, un petit détail tracassait Samantha, au départ. Allait-elle devoir se doucher en même temps que la jeune femme? Lui infliger la vision de sa verge ballottant dans tous les sens lorsqu'elle la nettoierait? Surtout que là...Son membre était presque au quart de son érection maximale, ce qui correspondait directement à une bosse plus que visible pour Ran, même si visiblement, elle n'en montrait rien.

Eh bien... C'est certes peu, mais c'est toujours mieux que rien, n'est-ce pas?

Cette philosophie, elle l'avait héritée de son père. Toujours trouver le mieux dans ce qui est le moins bien. Littéralement, se satisfaire de ce que l'on a. C'est ainsi que, honteuse, elle termina face à Ran. Les deux corps se faisaient face, l'un qui respirait la jeunesse et l'énergie, avec des formes qui n'étaient pas encore tout à fait pleines, et de l'autre côté, un corps formé, adulte, qui plaisait à ceux qui couraient après ce qu'on appelait les MILF. Et le duo commença une douche, chaude et relaxante. Mais surtout, pour Samantha, c'était une épreuve avant d'être une douche! Car son membre, lui n'avait que faire de son self-control! Le sagouin était dressé, bien droit, et n'attendait qu'une main, un vagin ou même une bouche pour se soulager!

C'est... C'est très agréable, même si c'est un peu gênant...

C'en était trop. Bon sang, l'occasion était trop belle. Sous le prétexte de demander à la jeune fille de lui donner le shampoing, elle la fit se retourner. Mais le mouvement n'était pas encore terminé que la trentenaire saisissait Ran par les épaules, la forçait à se pencher en avant, et voilà que déjà, son membre écartait les parois des chairs intimes, alors qu'elle-même saisissait la jeune fille par la nuque, la maintenant en place. Et déjà, la trentenaire ne se retenait plus. Ses inhibitions étaient tombées, seule comptait la satisfaction de son désir immédiat..

Ran l'avait sans doute un peu cherchée au fond. En découvrant que cette femme était une Futanari, avec un membre des plus appétissants, elle s'était imaginée jouer un peu avec et, au fond, elle avait cherchée à provoquer cette situation. Elle aurait très bien pu proposer à Samantha de se doucher la première et le faire ensuite, mais il n'y avait pas de vestibule à cette salle de bain et la paroi de la douche était transparente, ça n'aurait fait aucun sens d'attendre qu'elle y aille la première. De plus, il fallait avouer qu'une fois nue, la trentenaire faisait un peu envie quand même. Ran l'avait donc accompagnée dans la cabine et, alors que l'eau chaude ruisselait sur leur corps, la succube avait pu constater que le membre de l'invitée s'était raidit, atteignant une taille respectable. Elle s'en pourlécha discrètement les lèvres, alors que la Futa lui demanda le shampoing. Elle devina que ce n'était qu'un prétexte, mais joua le jeu tout de même, juste pour voir si elle irrait au bout de ses envies. Et Ran ne fut pas déçue. A peine se retourna t-elle, qu'elle fut mise en levrette de force, avant de se faire pénétrer profondément l’intimité.

- Han !

Samantha commença donc les hostilités en la dominant dans cette position, ne s’attardant pas à la préparer pour lui pilonner sa grotte intime, une main sur la hanche et l'autre sur la nuque. Très vite, sa chatte brulante s’humidifia, et ce n'était nullement dû à la température de l'eau, tandis que Samantha accéléra le rythme. Soupirant de plaisir, la succube se mit relativement vite à gémir plus fort, le visage plaqué contre la vitre et ses seins remuant au rythme de l'invitée. Ses parois intimes se resserrèrent sur le membre turgescent qui explorait sans vergogne son entrejambe tout en imprégnant celui-ci de sa chaude liqueur et le lubrifier en conséquence.

- Haaaaaa... Haaaaaaaa... Pu... Putaaaiiiin... Haaaaaa.... C'est.... C'est booooon.... Haaaaaaa....

De la buée se formait sur la vitre, près de sa bouche, alors qu'elle sentait la Futa accélérer ses mouvements en elle. Cette baise sauvage n'était qu'un préambule de ce qui se passera plus tard. Pour le moment, Ran se contenta de rester dans le rôle de l’adolescente, attendant le moment opportun pour lui révéler sa vraie nature...

Combien de temps? Depuis combien de temps exactement n'avait-elle pas pu se laisser aller ainsi? Pendant combien de temps les tensions s'étaient-elles accumulées, que ce soit dans son corps ou dans son esprit? Et surtout, qu'est-ce qui lui avait pris d'attendre si longtemps pour enfin se libérer de toute cette pression?

-Hmmpf... bon sang! Haaaa!

L'intimité de Ran était tellement serrée que Samantha eut l'impression qu'elle allait jouir en quelques mouvements de reins. Toutefois, si elle avait été une futanari "débutante", ç'aurait été le cas. Mais dans le cas de Samantha, on parlais d'une trentenaire qui était née avec un membre masculin. En d'autres termes, elle était endurante, peut-être plus encore que ce que Ran pouvait anticiper.

Espèce... espèce d'allumeuse... Tu m'a suivie, dans la rue, avoue-le... Tu m'a repérée de loin... Et tu as enfin ce que tu veux, c'est ça? Hmpf!

Elle ne pouvait pas dire que ce n'était jamais arrivé. Plusieurs fois, quand elle avant une vingtaine d'années, il était arrivé qu'elle soit affectivement la cible de groupe de jeunes femmes qui n'en avaient qu'après sa verge... Mais dans tous les cas, ici et maintenant, elle ne savait pa si cela suffisait pour percer à jour son amante du moment...
Ses coups de reins étaient rapides et profond, sans réelle brutalité. Visiblement, elle voulait tout de même lui faire plaisir de façon instinctive...

- Espèce... espèce d'allumeuse... Tu m'a suivie, dans la rue, avoue-le... Tu m'a repérée de loin... Et tu as enfin ce que tu veux, c'est ça? Hmpf!

Samantha se cherchait des excuses, mais la réalité était bien plus simple que cela : un pur hasard. La femme était passée devant chez Ran au moment où celle-ci était sortie jeter les poubelles. Il aurait suffit de vingt petites secondes d'écart pour qu'elles se croisent sans se rencontrer. La trentenaire aurait donc continuée son chemin en se morfondant et Ran serait retournée chez elle pour continuer de discuter avec ses parents, chacune continuant sa vie dans son coin. Vingt secondes, ce n'était pas grand chose, mais c'était amplement suffisant pour provoquer un bouleversement, que la Futa subissait de plein fouet, même si en ce moment, c'était surtout Ran qui prenait. En vérité, cela ne changeait pas grand chose pour la succube. Elle avait déjà rencontrée l'amour de sa vie, avait une grande famille, avait réalisée la première étape de sa vie de pâtissière et gérait une grande île balnéaire. Si cette rencontre devait donc changer quelqu'un, c'était bien celle qui fourrait joyeusement son intimité en ce moment même.

- Haaaaaa.... Haaaaaaa... Dis pas... n'importe quoi... Haaaaaaa... T'avais juste envie.... Haaaaaaa... D'sauter une jeunette.... Haaaaaaa.... Hmmmmmmm...

Ran la provoquait sciemment, pour voir à quel point elle avait envie de son corps. Mais si elle apprécie la levrette, rester dans la même position c'est un peu chiant à la longue et ça manque un peu d'interaction aussi. Alors sans prévenir et avec une force insoupçonnée, Ran repoussa la Futa pour faire sortir son membre de sa chatte, avant de se retourner, lui faisant face... et souleva une jambe. Le message était clair, la succube voulait que la Futa vienne la prendre en la portant contre elle. Ainsi, elle pourront faire d'autres petites choses durant la baise.