une visite pas du tout prévenue. (PV Scarlet)

La sorcière avait finit de "s'occuper" d'une jeune demoiselle qui avait eut l'impudence de la traité de sorcière à deux piécette, la pauvre victime était complètement parcourut de marques de coup de fouet et d'où perlait un peu de sang, enfin ce que la sorcière n'avait pas aspirée.

Quoi qu'il en soit, elle avait entendue parlée d'une belle demeure qui se trouvait un peu à l'écart du monde de Nexus, comme la plupart des nobles, aussi l'idée de ce farcir une comtesse ou une aristocrate plaisait beaucoup à Mozaria. Avec de la chance elle pourrait manipuler une de ces servantes pour l'utiliser contre sa maitresse, la sorcière adorait voir la figure des maîtresses, quand ces dernière étaient prise en main par leurs esclaves.

L'humaine se retrouva devant une énorme grille, fort bien décoré, la sorcière envouta un gardien avec une mélodie, le pauvre était réduit à l'état de pantin et la sorcière en profita un maximum, il finit dans les buissons ligoté à un arbre, Mozaria n'allait tous de même pas laisser une personne donner l'alerte et perdre son effet de surprise, elle arriva enfin devant la porte et eut une excellente idée, beaucoup de personne voulais avoir une magicienne dans leur manoir, pour faire des tâches nécessitant un coup de pouce magique, aussi l'humaine frappa la porte trois fois, avec douceur et fermeté. La porte s'ouvrit et une servante la regarda.

- Bonjour excusez moi de vous dérangez, j'ai entendue dire que cette demeure recherchait une personne qualifié en magie, est-ce bien là ? Si c'est le cas, puis-je avoir une audience avec le maîtresse de maison ?

« Ojou-Sama ? »
« Oui ? »
« A propos de cette annonce que vous m'avez fait déposer à la ville... je ne suis point sûre qu'elle portera ses fruits. »

La Maîtresse de maison, à savoir Scarlet Wingstone, dernière héritière de la famille, si l'on ne comptait pas les pourritures enfermés dans les sous-sols du manoir, jeta un sourire sur Karma, sa chère servante, également goule contre sa volonté. Mais c'était du passé. A présent, elle était fière de servir de servante à la famille depuis des siècles, et sa condition ne la dérangeait nullement. Elle avait même porté la petite annonce de sa chère Maîtresse avec bon cœur, le matin même, à Nexus.

Le problème dont parlait Karma était empreint de logique... la Scarlet Mansion était en effet assez mal -ou assez bien, ça dépendait des avis- situé : en plein cœur des Landes Dévastés. Entourés de monstres et de créatures prêt à sauter sur le premier colporteur venu.

« J'avais prévu ça, Karma. Mon annonce n'était pas faite pour les simples d'esprits. Et je suis certain qu'il se trouvera bien assez d'êtres pour y répondre favorablement... »


A peine avait-elle dit ça, que la cloche d'Or de la porte sonna. Scarlet poussa un petit rire propre à son être, une tasse de thé noir à la main, avant de regarder Karma sortir de la pièce, pour aller répondre à cet appel espéré...

*

L'invitée de la Maîtresse avait tout de même une drôle d'allure. De longues couettes sombres, un accoutrement qui l'était tout autant. Et ce visage pâle, caractéristique des humaines qui renfermaient en elle des pouvoirs insoupçonnés...
Et puis, en plus...

« China vous a laissé passer aussi facilement ?.. »

China n'était autre que le garde qui ornait le portail du manoir depuis peu de temps : ancienne servante de la famille, Scarlet ne l'avait laissé sortir que depuis très peu de temps, en ayant assez des créatures et des chasseurs de vampires volontaires, lui déposant également un sort qui lui interdisait formellement de passer le seuil de la propriété...

Ou plutôt, LA garde. Car, oui, China était une hermaphrodite. Une femme capable de prendre l'apparence d'un homme, et j'en passe. Mais bien sûr, Mozaria ne pouvait pas savoir qu'elle s'était amusée avec une métamorphe peu de temps avant... et Karma cessa de se poser des questions, en entendant Scarlet lui intimer un nouvel ordre, par télépathie  celui de se presser.

« Suivez-moi, Houkyaku-Sama. »

Le terme officiel que venait d’employer Karma qualifiait officiellement Mozaria la sorcière d’invitée… et donc de convive, qui serait bien traitée par la Maîtresse. Enfin, ça, c’était en principe.

Elles montèrent ensemble les quelques étages, à l’aide d’escaliers d’ébène noir recouvert de soie rouge, sur lequel il semblait aisé de poser les pieds, sans jamais se fatiguer. Quoiqu’il en soit, les dix étages furent montés rapidement, Karma par la force de l’habitude, et Mozaria sûrement aidée par sa Magie.

« Oujo-Sama, Madame l’Invitée est là. »

De ce que Mozaria pouvait voir, il n’y avait que luxe et oisiveté. Un feu craquant dans une cheminée de marbre blanc, des fauteuils moelleux disposés avec soin ça et là de la pièce, tous d’une couleur rouge sombre, comme la moquette qui ornait le sol. Les murs étaient également recouverts d’une tapisserie élégante. Pas la moindre trace de poussière ou de défauts quelconques : tout était impeccable et disposé avec soin.
C’était là que Scarlet attendait son invitée, assise paresseusement mais avec une certaine élegance dans un lourd fauteuil moelleux, la tête appuyée sur un bras, lui-même posé sur l’accoudoir. Ses habits ne gâchaient en rien l’atmosphère oisive de la pièce : une robe noire dentelée, soyeuse et un brin transparente, dans le style de ces terriennes qu’on appelaient « Gothic Lolita ». Son éternel bonnet avait disparu, libérant l’odeur musquée qu’elle promenait partout avec elle, et ses cheveux avaient été coiffés avec soin. En gros, la vampire ne doutait nullement que l’on allait visiter sa demeure le jour même, et elle s’était préparée spécialement pour ça… une envie de femme l’avait pris, et en voyant Mozaria, son sang de succube commençait à bouillir. Une véritable beauté, dans la gamme des sorcières maléfiques, comme elle les aimait. Elle allait bien la traiter, c’était certain. Après, il fallait quand même savoir ce qu’elle entendait par « bien traiter »…

« Bienvenue dans ma demeure, Sorcière-Sama. »

Une phrase de bienvenue, censé mettre la sorcière à l’aise. Scarlet l’invita également à s’asseoir prés d’elle, dans un des lourds fauteuils. En gardant un sourire rassurant, ses yeux brillants dans les flammes de la cheminée.

Il fut très aisé pour la sorcière de parcourir les escaliers, elle préférait les chemins tortues aux routes plate. Mozaria eut le plaisir de voir la beauté des lieux, mêlant noblesse et une sensation qu'elle ne connaissait que trop, de plus l'odeur de cette femme l'informa qu'elle était dans une demeure d'un vampire.

* Une vampire comtesse, la partie sera amusante*

Mozaria dut attendre un peu que la servante informe sa maîtresse de la présence de la sorcière, d'ailleurs la vampire avait vite comprit sa nature en l'appelant sous son statut, elle rendit la politesse avec légèreté.

- Je vous remercie de vote accueil noble vampire.

La sorcière c'était inclinée et utilisa ces quelques connaissances en aristocratie pour montrer ces bonnes manières, une femme noble était généralement assez irritable au manque de politesse et la sorcière se garda bien de ne pas la froisser.

Elle s'assit de façon assez traditionnel, mais qui montrait bien que Mozaria ne se croyait pas au dessus de la vampire ... pour l'instant.

- J'ai entendue des rumeurs, selon lesquelles, vous cherchez une personne douées en magie.

Mozaria commença ainsi sa monologue d'embauche, histoire de baisser la garde de la vampire.

- Je suis actuellement en possession d'une magie ancienne qui peut vous êtres utile en cas de problème, je dirais social. Je pratique aussi un peu de magie noire, blanche et rouge.

Elle s'était assise de manière presque royale, princière. Comme une ancienne princesse que l'on aurait reconverti à une pratique plus... bestiale. Elle semblait véritablement maléfique, et cela plaisait bien sûr à la vampire, qui plissa les yeux dans un sourire satisfait. Depuis le début, elle ne comptait pas uniquement se faire enseigner des tours de magie, de toutes façons. La visite serait bien plus amusante que cela. Elle n'avait pas sacrifié une journée de sommeil pour seulement se faire apprendre de la magie noire.

« Karma, prépare-nous une tasse de thé, veux-tu ?.. Oh, et puis... apporte aussi ton dernier petit cadeau, si elle n'est pas... partie. »

Elle insista bien sur le dernier mot, tandis que Karma partait s'exécuter. Elle revint quelques minutes plus tard, apportant ce que l'on lui avait demandé. Dans sa main droite, un plateau d'argent portant un service à thé délicatement décoré. Dans sa main gauche, une chaîne, au bout de laquelle se promenait... une esclave nue.

Le corps était couvert de bleus, de coupures et de quelques traces inesthétiques marqués par un fer rouge, particulièrement sur ses fesses, mais il était également d'une maigreur effroyable, au point que certains os viennent à en percer la peau. Le regard mort, caché par quelques cheveux blancs, regardait le sol. L'esclave tremblait, tandis que sa Maîtresse, sûrement l'auteure de sa dégradation, se rapprochait, désignant quelques marques ça et là, sans vraiment se préoccuper de l'état alarmant du corps.

« Je me suis rendu compte il y a peu de temps, que mes techniques relevaient de la banalité presque absolue. Ca m'a beaucoup choqué, je dois dire. »

Il y avait plus choquant, mais ça, la jeune vampire ne semblait pas s'en rendre compte... Soudainement, elle lanca son pied dans la figure de l'esclave, qui s'effondra dans un gémissement, mort sur le coup.

« Ils n'ont même pas le temps de souffrir... C'est tellement déplaisant... »

La Princesse soupira et fit une moue de dégoût en voyant le cadavre, tandis que la Maid remportait le corps après avoir posé le plateau. Scarlet se rassit et prit une tasse, en regardant intensément la sorcière, qui n'avait nullement bougé.

« La violence, j'en connais un rayon. Beaucoup trop, à mon humble avis, d'ailleurs. Vos services devront m'apprendre à être plus... Subtile. »

La subtilité. Voilà ce que voulait apprendre Scarlet, au cœur de son manoir, en quête de prochaines tortures, et d'un certain entraînement... Elle ne voulait plus asséner un coup de couteau brusque dans la plaie, mais d'abord y répandre du sel pour l'empêcher de cicatriser... tout cela dans l'unique but d'infliger plus de douleur à ses futures conquêtes. Comme toutes les petites psychopathes, elle tuait pour le plaisir : comme elles, elle était incapables de s'arrêter.

La vampire regarda, toute sourire, Mozaria qui n'avait toujours pas pipé mot. Son sourire était toujours aussi large, à la limite du naturel.

« Qu'en dites-vous ? C'est dans vos cordes ? »

Mozaria examina l'esclave que la goule avait ramenée, rien à dire dessus, hormis quela sorcière aurait put la faire souffrir bien plus longtemps, sans avoir à la tuer, car tuer était d'une facilité déconcertante. Chose que l'esclave reçu de sa maitresse, une viande froide de plus sur terre.

La sorcière pencha un peu la tête sur le côté pour pouvoir admirer ce chef d'œuvre maintenant sans vie, bon Mozaria n'aurait pas mit l'esclave dans cette état et elle entendit l'ennui de la maîtresse de maison à les voir mourir facilement.

Puis Mozaria entendis la demande assez spéciale de  la vampire, ce qui la fit sourire et pousser une soupir quelque peu irrespectueux, elle se leva et alla vers un tableau représentant une scène de torture. Puis elle dit de sa voix envoutante.

- La subtilité fait partie de la souffrance, mais est considéré par bien des créature comme une attitude faibles, si vous comptez vraiment suivre mon enseignement sachez que je demanderais un paiement que peu de gens accepte et rare sont les personnes qui en sorte vivante.

Pourquoi laissez planer autant d'ambiguïté, très simple, la sorcière voulait tester un peu la vampire, elle ne  mentait pas, après une manipulation et une séance de torture à sa manière, la personne finissait soit folle, soit mourrait sous le supplice.

- Sachez que si vous acceptez, je ne prendrais pas de gant et vous punirait autant de fois que c'est nécessaire, même si cela doit vous amener près de la mort, mes enseignements se finisses de deux manière, la réussite ou l'échec. Dans le deuxième cas vous serez, au mieux, mon jouet et, au pire, un autre cadavre jonchant ceux qui ont fait un pacte avec moi.

La sorcière croisa ces main l'une sur l'autre, sur son genoux droite, attendant la réponse de la vampire.

Tuer, pour un homme normal, était généralement rempli de risques. Sans parler de celui qu'avait instauré la morale humaine, il y avait autre chose, au delà du voile. Un poids, lourd comme du béton, apparaissait sur le dos du coupable, et il en devenait si lourd... qu'il finissait par écraser.
Écraser quoi ?
A peu près tout.

Mais, dans le cas de Scarlet, ou de Mozaria, elles étaient immunisés contre cet énorme poids. L'une, par sa condition de vampire, tout d'abord, qui la forçait à tuer pour survivre... et son rang de Princesse de la Famille Maudite.
L'autre... par sa condition de sorcière, et... sûrement autre chose. Scarlet était pleinement enclinte à connaître le deuxième "système immunitaire" que possédait cette sorcière au beau visage.

La vampire n'avait jamais connu d'êtres comme Mozaria. Le fait qu'elle ne sorte que très peu souvent du Scarlet Mansion la pénalisait, et les proies que lui apportait Karma étaient d'une grande banalité, puisqu'elles se faisaient avoir. Donc, il était normal que la vampire fixe la magicienne avec un intérêt poli, mais aussi, et surtout, méfiant. Évidemment, elle ne laissait rien paraître, parce que s'aurait été des plus louche, mais son esprit imposait certaines questions avant de passer à un nouveau niveau.

Les froissements des chaussures de la sorcière contre la moquette signèrent l'arrêt de la réflexion de Scarlet, qui écouta posément les paroles de Mozaria. Aucune peur, pas même appréhension, ne vint troubler le ton de la voix de la vampire lorsqu'elle répondit, d'une voix malicieuse :

« Avez-vous déjà rencontré des Vampires, Sorcière-Sama ? »

Question simple, qui était hors du contexte, sans vraiment en sortir complètement. Mais ça, Mozaria ne put le comprendre que lorsque son hôte continua de parler, baissant la voix, presque dans un chuchotement.

« Nous ne mourons pas aussi facilement... »

Scarlet n'avait pas manqué de se rapprocher de la sorcière, à pas de velours, lévitant légèrement dans sa marche, à moins que ce ne soit qu'une impression. L'héritière donnait beaucoup d'impressions de toutes façons : l'impression qu'elle suivrait sagement l'apprentissage de la Sorcière, l'impression que celle-ci la dominerait entièrement... l'impression, en gros, de n'être qu'une bête facile à dompter, une créature qui n'avait pas autant de pouvoirs qu'elle ne prétendait avoir. Elle aimait jeter de la poudre aux yeux des gens, et Mozaria n'était pas une exception.

Poussant un tout petit rire, doux comme celui d'une enfant, elle s'amusa encore un peu, en se plaçant juste derrière Mozaria, et en lui enserrant la taille de ses bras. La sorcière avait une odeur agréable, des vêtements doux, en plus d'être magnifiques, et Scarlet aimait tout ce qui était beau. Se les approprier était une habitude chez elle, mais dans ce cas-là, faire d'une sorcière son esclave lui semblait très inapproprié.

Pourquoi ? Parce que Scarlet, contrairement à certaines personnes, traitait les gens de son rang avec autant de respect qu'elle ne se traitait elle-même. Qu'entendait-elle par "gens de son rang" ? Eh bien, des personnes aux pouvoirs, à la force, à la puissance égale à la sienne. Tout simplement. Violer une humaine ne la répugnait pas. Battre une sorcière incitait à la méfiance. Parce qu'avec le deuxième cas, cela lui retomberait forcément dessus. Il fallait réfléchir et respecter certains principes, ce que la vampire faisait à ce moment-là. En cas d'urgence, les principes pourraient toujours être ignorés, mais en attendant, c'était ainsi.

« J'accepte votre proposition, Sorcière-Sama~ »

Cette réponse était ponctué d'une voix purement enfantine, très travaillé par sa propriétaire, qui ne parlait pas ainsi en habitude -enfin, pas autant, parce qu'elle avait toujours un ton assez immature- et dans ce genre de situations. Elle voulait donner l'impression à Mozaria d'être une toute petite fille, curieuse et qui remerciait d'une douce étreinte.

Un véritable jeu de manipulation, des deux côtés du voile. Restait à savoir qui le tomberait en premier...

Mozaria savait le risque qu'elle pouvait subir quand la maîtresse de maison connaitra des sorts puissants ou efficace, ce qui était presque tous les sorts qu'elle allait apprendre, mais le risque était quelque chose d'enivrant, que peu d'humains seraient  allés à la limite où elle se trouvait.

Cette limite était comme un fil de fer reliant sa proie et s'entourant autour de son cou, un mauvais mouvements, un mauvais mots et cela pouvait se retourner contre l'instigatrice, mais la sorcière trouvais cette situation amusante. Elle répondit avec maestro à la réplique de Scarlet sur les vampires.

- Je le sait très bien, pour en avoir fait mourir à petit feux, je parle des nosferaltus, de vampires supérieur et non des vampire de bas-étage. De plus ma science s'adapte facilement aux être pour trouver leurs faiblesse et les exposés à ma bienveillance.

Le dernier mot était ironique, Mozaria n'éprouvait pas le besoin d'avoir des sentiments humains, elle l'avait chassée au fond de son cœur. Elle ne frissonna pas en sentant la vampire la prendre dans une étreinte qui paraissait douce, mais que la magicienne prenait pour une manipulation qui la ferait tomber dans sa toile au moindre faux pas, Mozaria n'apprécia pas d'être dans la situation de ces proies, mais si cela permettrait de pouvoir profiter d'elle après, alors cela en vaux la chandelle. De plus la sorcière pouvait admirer du coin de l'œil les belle forme et blancheur des mains, ressemblant à celle des poupée, cette vampire était vraiment une des proies les plus intéressante et Mozaria comptait bien ne pas tomber la première dans ces pièges.

- Bien dans ce cas je commence par une première chose, pendant tous les cours, vous devrez m'appelez Senseï ou Mademoiselle. Si je juge que vous ne faites pas d'effort suffisant je vous punirais comme il se doit, par contre si vous réussissez à dépasser mon espérance, je vous laisserais une heure pendant lequel je serait l'esclave de vos moindre désir.

Mozaria se retourna, le nez touchant presque celui de la vampire, elle n'allait rien lui cacher.

- Sachez que seul deux personnes sur une centaine ont réussit jusque là et ils avaient de très grand pouvoir, beaucoup plus que les vôtres. Si vous voulez renoncez il est encore temps, je en vous prendrais presque rien en échange du déplacement.

Elle avait une vue des statistiques assez optimiste, mais c'était aussi pour voir la détermination de la vampire et en même temps vois si elle serait facile à plier à sa volonté ou non.

« Oooooh~ »

Sa bouche formée en un grand « o », et le ton enfantin bien calculé dans sa voix, Scarlet s'écarta doucement de la sorcière, tenant encore un pan de sa robe dans une de ses petites mains. Du haut de la sorcière, elle ressemblait vraiment à une gamine curieuse. De quoi faire frémir le meilleur des manipulateurs.

« Alors, tu as déjà tué des vampires, Sorcière-Neechan ? »

Changement de ton voulu, et tellement soudain qu'il en devenait choquant. Mais tant pis. Scarlet était intimement persuadé que Mozaria avait débusqué son jeu à 85 pourcents, environ. Mais elle aimait jouer un jeu, et Mozaria aimait sûrement ça également. Elles allaient jouer le jeu de la Maîtresse soumise, et de l'invitée Dominante, sans aucun égalité. Ou presque.

Scarlet inclina doucement la tête, sans lâcher la robe de Mozaria, quand elle lui recommanda de changer d'appellation. Une heure ? Ce serait largement suffisant pour satisfaire quelques fantaisies... Scarlet était adaptable à tout, c'était ça l'avantage. Une femme qui aimait avoir mal, on n'en trouvait pas tout les jours.
L'héritière leva le nez et finit de conclure le marché.

« J'accepte de bonne grâce, Mademoiselle. Et maintenant... pouvons-nous commencer ? »

Scarlet attendait sagement, prés de la sorcière, mais elle trépignait d'impatience en réalité. Tout cela se révelait très excitant, et l'idée d'avoir une si jolie demoiselle pour "institutrice" la ravissait autant que possible.

Mozaria cacha un sourire tout en voyant la pièce de théâtre que nous faisait la jeune vampire.

- Oui effectivement, j'ai tuée comme tout autre créature.

Le fait d'appeler Mozaria avec le suffixe -Neechan n'avait même pas ciller les yeux de la sorcière. Elle attendit que la vampire finit son spectacle pour débuter le sien. Elle sourit à la question de Scarlet, comme toute réponse, elle sortie se flûte traversière et joua un air, China toqua à la porte et ouvrit sans que sa maîtresse lui ai autorisée de rentrer, la victime avait les yeux vague et avait prit son apparence féminine. Mozaria connaissait son vrai nom et pouvait donc prendre les plein pouvoir sur sa conscience.

- Je suis assez expérimentée pour reconnaitre un polymorphe, aussi elle a comme punition, de m'avoir cacher ça, le droit de servir de cobaye. Nous allons commencer par des choses très simples, que même vous pouvez faire, je le montrerait sur China et vous devrez faire pareille sur moi. Mexseltur tu vas me servir comprit ?

China s'inclina et dit avec une voix presque mécanique.

- Bien maîtresse.

Mozaria reprit son discourt avec Scarlet.

- Voilà ce qui pourra vous arriver si vous échouez, sachez que mes victime résiste bien une dizaine de fois mes délices avant de rendre l'âme.

Via une formule de magie d'azur interdite, elle changea la pièce, la transformant en salle de torture et de plaisir, la sorcière devint pâle, car ne l'oublions pas utiliser la magie d'azur interdite a un prix, affaiblir momentanément le corps et l'esprit.

- Bon commençons nous n'avons que trop attendues.

Elle déshabilla China puis la prit par derrière et avec sa main droite l'étrangla presque, laissant suffisamment d'air pour survivre tout en donnant la sensation de manque, puis avec sa main gauche, elle transperça le téton gauche de la victime qui l'espace d'un instant fut libérée de l'emprise et se mit à crier de douleur, la sorcière poussa le sadisme jusqu'à lécher son cou pendant qu'elle criait. China était terrorisée devant le monstre qui la faisait souffrir. Une fois le contrôle mental reprit, elle libéra China et la sorcière se déshabilla.

- Maintenant à vous jeune apprentie et ne vous retenez pas.