Elle le sentit s'arrêter, et elle faillit pousser un soupir de soulagement. Mais en le sentant la ceinturer, et la presser un peu plus contre lui, Mathilde compris ce qui allait lui arriva, et elle se mordillait le pouce pour ne pas laisser de son s'échapper de sa bouche. Le vieil homme était brutal avec trois doigts, mais quand elle sentit tout le poing s'enfoncer en elle, sans aucune délicatesse, et toute la brutalité dont il faisait preuve, elle se sentit presque s'évanouir.
En fait, elle n'avait jamais reçu un fist aussi brutal, car si, quand elle en recevait, ses partenaires faisaient un tant soit peu attention à la délicate jeune fille, le proviseur avait pris le chemin inverse, et y mettait autant de muscle que d'énergie. C'était quelque chose de puissant, les sensations se mélangeaient un peu dans son esprit et alors que son intimité avalait la main de son proviseur, Mathilde ne savait plus comment se sentir, même si la sensation de plaisir mélangée a la douleur créait en elle un sentiment de contradiction délicieux...