|Terminé | Allô allô, monsieur le proviseur... [Iki Ota]

Au cours de sa longue carrière il avait pu constater que la vraie nature des gens se dévoilait une fois qu’il se laissait aller au sexe, des femmes en tout point irréprochable qui devenaient de véritable chienne en chaleur il en avait connu des tas et ça qu’il aimait. Mais il devait bien admettre que les jeunes de cette époque étaient différents de la sienne, ils étaient beaucoup plus libérer et c’était très jeune que se manifestaient leurs perversions. Il en avait des connu qui lors de leur première rencontre ne le voulait pas et il s’était montrer extrêmement violent et au final elles étaient revenu car elles avaient aimé ça car en vérité toutes les femmes étaient des salopes, ce n’était pas le monopole des hommes et Iki était là pour leur leur montrer.

Il y avait tant de possibilité pour une jeune fille de 17 ans de gagner de l’argent que de choisir d’offrir son corps était forcément une preuve que sa partenaire du moment était une bonne grosse perverse et il ne pouvait pas ne pas l’honorer comme il se devait. Chacun des mouvements, le faisait gémir de plaisir, il prenait un pied fou à sentir le rythme s’accélérer et il faisait de son mieux pour accompagner le mouvement en ne rompant pas le baiser qu’ils s’échangeaient.

Pour accompagner encore mieux le mouvement, il repris pleine possession de sa poitrine et commença à la peloter avec force, lui palpant les seins à pleines mains tout en accompagnant les mouvement de montés et descente que la jeune fille faisait. Ses pouces se pressaient contre ses tétons pour les faire tourner en les écrasant. Il prenait son pied il faisait de son mieux pour qu’elle aussi.

L'apparence sérieuse et posée que Mathilde affichait habituellement était en contraste assez puissant avec son état actuel. La déléguée de classe un peu prude avait laissée la place à son côté plus sombre. Elle qui aidait les autres avec un sourire innocent se retrouver maintenant à se dandiner au bout de la queue de son proviseur en gémissant comme une cochonne, tout ça pour une poignée de billets. Mais comme le devinait le vieil homme, ce n'était pas l'argent qui la motivait, ce n'était qu'un prétexte pour laisser libre cours à ses désirs, ses envies les plus sombres.

Alors qu'il empoignait fermement sa poitrine pour jouer avec ses tétons, qui s'étaient dressés de plaisir, elle poussait des petits cris en plein baiser à chaque fois qu'elle se rabaissait sur la verge de son client, tout en jouant avec sa langue. Bien que ce soit dans le cul qu'elle soit prise, cela ne l'empêchait pas de mouiller abondamment, dévoilant le plaisir qu'elle prenait avec ce vieux pervers.

En résumé, la pauvre Mathilde, souvent épargnée volontairement des conversations les plus crues de ses camarades, car elle était jugée comme trop innocente, se retrouvait à être sans doutes la plus grosse chienne de toutes ses connaissances...

Le proviseur aimait le genre de fille qu’était Mathilde qui pouvait montrer deux visages totalement différent entre le moment où elle était en cours et lorsqu’elle était en dehors. En tout cas elle avait l’air d’apprécié et de prendre son pied comme lui le prenait. Elle continuait d’aller et venir en montant et redescendant de plus en plus vite et pourtant il avait toujours l’impression d’être autant à l’étroit qu’avant et ça le stimulait au plus haut point.

Il continua de la peloter tout en se laissant chevaucher pendant encore un petit temps avant de décider que c’était à son tour de passer à l’action.  Il rompit le baiser qu’ils s’échangeaient et la poussa en arrière en ayant toujours les mains sur ses seins pour la faire se pencher en arrière avant de les faire glisser pour lui agripper les hanches  avec force  pour la tenir alors qu’il se redressait. La faisant basculer pour qu’elle ait les épaules contre le sol de la voiture, il se retrouvait désormais au dessus d’elle et il reprit les pénétrations.

Il ne se retira pas de son anus puisqu’elle semblait déjà prendre assez de plaisir par là mais il lui montra à quel point il pouvait se montrer surprenant malgré son âge. Il s’enfila à grande vitesse de toute sa longueur allant jusqu’à faire claquer ses bourses contre les fesses de la jeune fille, décidant de la labourer avec force :

« Ah, alors comment tu trouve ça? Pour un vieux c’est pas mal hein ? »

Il lui sourit en accélérant encore, resserrant sa prise sur ses hanches pour ne pas la lâcher lors d’un mouvement trop brusque.

Plus elle rebondissait sur la bite de son principal, plus elle se demandait si son endurance était dû à son âge ou à son expérience... Probablement la seconde, la plupart de ses clients, même ceux qui avaient à peu prêt le même âge, ne se tenaient pas aussi longtemps, même si pas mal d'entre eux savaient passer plusieurs fois. Elle souriait presque en imaginant la quantité qu'il allait déverser en elle après une bonne session.

Ce fut donc un peu surprise que ses pensées furent interrompues par le vieil homme, qui voulait visiblement commencer à la dominer. Ca ne l'étonnait pas, il semblait du genre agressif, à prendre ce qu'il voulait, et elle l'aurait presque félicité de s'être retenu aussi longtemps, si il n'était pas son client. En fait, elle appréciait aussi bien se faire dominer, même dans la position pas franchement confortable dans laquelle elle se retrouvait. Elle était quand même assez souple et musclée pour ne pas trouver la position trop embêtante, et ça l'excitait un peu plus, de se faire prendre au sol, son proviseur maintenant son bassin à sa hauteur pour se faire plaisir sans vergogne, laissant libre court à ses envies de la pénétrer comme il en avait envie. Elle trouvait cela franchement séduisant. Elle ne pût s'empêcher de le taquiner, cependant, alors elle répondit, en soufflant entre chaque mots.

-Pas.. Mal... Pour un vieux...

Son sourire et ses petits cris de plaisir ne dupaient personne, elle aussi prenait très clairement son pied.

Le vieil homme était en effet très endurant, il pouvait tenir la cadence pendant bien plus longtemps que la plupart des autres hommes et même les jeunes, c’était le résultat de plusieurs décennies de pratique intensive. Depuis ses quatorze ans, il était en action presque tous les jours, c’était il y a cinquante-six ans, c’était cette passion dévorante pour le sexe qui le rendait si endurant à son âge. De plus sa condition physique exceptionnelle n’y était pas non plus étrangère, il entraînait son corps comme il le faisait déjà à ses vingt ans, il n’était pas de ces vieillards gâteaux qui dépérissaient  en se laissant aller avec l’âge, il profitait de sa vieillesse comme il avait profiter de sa jeunesse.

En reprenant la main sur la situation, il pouvait laisser désormais libre cours à sa véritable personnalité et il ne se faisait pas prier. Il se montrait brutal dans ses gestes, aucune grâce ne ressortait de ses assauts répétés qui claquait bruyamment à cause du choc de ses bourse contre le fessier rebondi de la jeune fille. Mais cette position n’était pas des plus confortable alors il décida d’encore changer sans pour autant s’arrêter.  Puisqu’il la tenait avec force par les hanche, il la fit se tourner pour ne plus qu’elle soit visage face à lui mais face au sol pour ensuite la soulever un peu qu’elle puisse se mettre à quatre patte.

Il se mis donc à quatre patte au dessus d’elle et continua de la sodomiser avec férocité comme un chien le ferait avec une chienne, il Lui attrapa cependant la gorge avec force pour ui faire relever un peu al tête et la tourner assez pour qu’il puisse l’embrasser. Son autre main étant retourner la peloter a lors que ses assauts faisait trembler tout son corps.

Pour la jeune étudiante, il n'était qu'une question de quelques moments avant qu'elle succombe définitivement au plaisir que le vieillard lui procurait. Sa brutalité était pour elle complètement exquise, et se sentir utilisée la faisait trembloter de plaisir, presque autant que les coups de reins qu'elle recevait. C'est ainsi que ce couple de pervers resta un moment dans cette brutalité perverse, ou le seul son qui pouvait se faire entendre était le bruit des bourses de l'homme claquant contre elle, et leurs petits sons de plaisir respectifs. Ce petit jeu ne dura qu'un court instant, car assez rapidement, et sans vraiment enregistrer ce qui se passait, Mathilde se retrouva a genoux, les mains au sol, le cul levé comme pour réclamer la bite encore en elle, alors que le proviseur se penchait sur elle pour la prendre plus sauvagement encore que dans ses rêves les plus fous. Elle était au paradis, mais pas celui fait de nuages et d'anges chastes...

Alors qu'il la sodomisait comme elle le méritait, Iki put sentir ses orifices se resserrer considérablement autour de son imposante queue au moment ou ses mains agrippèrent le cou de la jeune fille, qui répondit au baiser avec plus de passion encore. Elle aurait surement des marques le lendemain, mais elle n'aurait qu'a porter un col haut.

On ne pouvait pas faire plus bestial dans cette situation, la main puissante du vieil homme se refermait sur le petit cou fragile de la jeune fille au fur et à mesure qu’il intensifiait ses mouvements et il en était de même pour celle qui malaxait ses seins avec vigueur. Pour lui, c’était comme si elle n’était qu’un jouet qu’il pouvait casser à tout moment, c’était cette sensation exquise et perverse qu’il aimait ressentir lorsqu’il avait le contrôle total de sa partenaire.

Il la sodomisait encore et encore, il prenait un plaisir fou à écarter son anus qui se pressait toujours plus fort contre son membre et il finissait enfin par se sentir venir  à force de s’abattre sur elle de manière si violente mais il n’en avait pas encore fini. Afin de parachever son œuvre, il pris du recul lors en sortant entièrement son sexe avant de se planter en elle avec violence, la faisant partir son l’impact visage contre la vitre teinté qui les séparait du chauffeur. Et alors qu’il déversait une quantité phénoménal de foutre en elle, il relâchait son emprise sur son cou en rompant le baiser pour la laisser respirer un peu mais rester torse plaquer contre son dos et complètement ancré en elle

Il souffla chaudement, se donner autant étant tout de même fatiguant même pour quelqu’un de sa condition :

« Alors comment as-tu trouver ton nouveau client ? »

Il continuait de bouger doucement pour faire comprendre qu’il était encore bien en elle et qu’il n’aimait pas se retirer alors qu’il était encore bien tendu, il fallait faire profiter jusqu’au bout de son imposant mât de virilité même s’il allait falloir le nettoyer maintenant.

Elle sentait toute la brutalité du proviseur ressortir dans ses mouvements, dans sa façon de la prendre comme une poupée sans vie, et elle était aux anges. Sentir son cou se faire serrer assez pour lui faire mal, lui faire des marques, sentir son autre main, puissante, jouer avec sa poitrine comme si elle lui appartenait. Elle était complètement à sa merci, et il semblait aimer ça autant qu'elle.

Alors que l'action arrivait à son plus fort, elle le sentit commencer à se retirer, et alors qu'elle s'apprêtait à lui supplier de la lui remettre bien profond, il le fit sans se faire attendre. Il l'avait transpercée d'un coup de bite, et elle sentit sa joue venir se coller contre la vitre glaciale, son souffle créant de la buée sur la vitre teintée, tendis que tout son corps s'emportait vers l'avant, suivi de celui de son amant. C'est au moment de l'impact de sa joue contre la vitre, quand la pénétration atteint son point le plus profond qu'elle se permit de jouir, en poussant un long cri de plaisir, alors qu'elle se faisait remplir de foutre chaud, entièrement. Elle se laissa presque retomber, en se rattrapant sur les coudes, les fesses toujours en l'air pour laisser l'accès à son partenaire, tendit que son regard se perdait vaguement vers le sol de la voiture pendant qu'elle respirait bruyamment, un sourire un peu niais sur le visage, toujours en euphorie.
 Heureusement qu'elle avait un plug dans son sac, pour ne pas ruiner ses sous vêtements de rechange !

-Ce serait plutôt à moi de vous poser la question... Après tout, c'est vous qui payez... Mais entre nous, c'était divin ♥

Il était resté en elle, en bougeant doucement, et elle répondait en bougeant ses hanches lentement pour compléter ses mouvements.

C’était ce genre de découverte qui faisait extrêmement plaisir au vieux proviseur, le matin même il n’aurait pas pensé s’envoyer cette jeune fille et sans doute qu’il serait passé à coté jusqu’à ce que son tour soit venu d’être convoquée mais ça aurait pu être le lendemain comme des moins plus tard et il aurait été déçu de ne pas l’avoir goûter avant. Comme quoi ses amis pouvaient se révéler être des hommes de goût parfois au lieu de s’envoyer en l’air avec des prostitué sordide comme ils en avaient l’habitude en dehors de leurs réunions au club.

Iki avait pris son pied et c’est dans un dernier râle de plaisir qu’il retirait son sexe de l’antre étroite qu’il avait exploré pour se laisser tomber sur la banquette en soufflant.  Il sourit en l’entendit dire qu’elle avait trouvé cela divin, cette jeune fille se montrait de plus en plus inintéressante et il aimait ça :

« Oui, c’était excellent, si j’avais su que ce serait si bon, je serai venu te voir plus tôt. »

Son sexe n’était plus aussi dur que lors de la pénétration mais il était toujours assez dressée pour offrir de la longueur et il avait bien envie de continuer un peu de s’amuser :

« Et si maintenant, tu venais me nettoyer le sexe ? Je suis sûr que t’as envie de me le dévorer après ce qu’il t’as fait. »

Il la regardait avec toujours le même regards pervers et il écarta les jambes pour lui laisser l’espace pour se positionner afin qu’elle vienne lui sucer la queue comme il se doit.

La jeune étudiante avait pris un incroyable plaisir à se taper son proviseur. Ce genre de tabous augmentaient encore le plaisir qu'elle tirait de ses petites escapades. Et puisque il semblait s'être amusé tout autant qu'elle, et qu'il était surement en passe de devenir lui aussi un client régulier, elle décida intérieurement d'offrir une petite gâterie gratuite à son "parrain". Il le méritait bien, après avoir introduit un si bon coup à la jeune femme.
-Si j'avais su, je vous aurais moi même proposé mes services plus tôt !

-Oui, ce sera avec plaisir, attendez un instant !

Elle était restée à quatre pattes le temps qu'il se retire d'elle, et elle commençait déjà à sentir la quantité importante de sperme lui couler le long des jambes. Sa demande d'attente était justifiée cependant, puisqu'elle récupéra rapidement un plug anal dans son sac, qu'elle s'inséra rapidement sans sourciller, ce qui eut pour effet d'arrêter la 'fuite' qui avait lieu dans son fondement. Une fois correctement remise de ses émotions, elle s'approcha du vieil  homme en imitant le déhanché d'un félin, avant de venir coller son visage  entre les jambes de son partenaire, sentant son odeur et se donnant elle même des petits coups sur la joue pour faire bien rendre la verge du proviseur dure comme il se devait.
Une fois la tâche accomplie, elle n'attendit pas d'ordre ou de demande supplémentaire et avala la queue petit à petit, faisant danser sa langue avec le bâton de chair, jusqu'a l'avoir profondément dans la gorge, puis commença a effectuer des mouvements de vas et viens avec un bruit indécent.

Il retint un petit rire en la voyant sortir un plug anal de son sac pour se l’insérer afin de ne pas laisser couler le sperme en dehors, c’était amusant  et plutôt inhabituel mais il la laissa faire. Il ne la lâcha pas du regard lorsqu’elle venait se glisser entre ses jambes, décidément cette jeune Mathilde était pleine de ressource et n’en finissait pas de l’étonner et la petite remarque en miroir à la sienne dans laquelle elle avouait que si elle avait su elle aurait proposé ses services avant le faisait sourire, il était effectivement sur la même longueur d’onde.

Il souffla de plaisir lorsque son sexe entra dans la bouche de la lycéenne, c’était aussi une des choses qu’il aimait beaucoup, se faire sucer parfaitement pouvait se révéler être aussi jouissif qu’une bonne sodomie. L’humidité de sa bouche et le jeu de langue le faisait progressivement reprendre une bonne érection  pour son plus grand plaisir. Il lui passa une main dans les cheveux pour lui caresser tranquillement :

« Tu sais ce qui serait bien ? C’est que tu vienne dans mon bureau sur convocation de temps en temps. »

Suivant ses va et vient, il attendit qu’elle descende pour la bloquer en ayant la totalité de son sexe en bouche avant de la relâcher plusieurs secondes plus tard. Il gardait toujours le contrôle sur tout et même lorsqu’on le suçait il pouvait se montrer très taquin et il lui montra lorsqu’il lui plaqua violemment la tête contre lui, l’empalant sèchement alors qu’elle était en train de remonter, ses bourses coller à son menton, il ne la lâcha pas avant qu’elle face signe qu’elle ne pouvait plus tenir.

Elle le regardait dans les yeux en le suçant, et elle semblait heureuse de lui nettoyer la queue. C'était un peu étrange comme sentiment, même pour elle, mais elle se sentait plus proche de ce tout nouveau client que de la plupart de ses habitués, certains datant de un ou deux années auparavant... Ils étaient connectés par leur perversité mutuelle et leur amour du sexe. C'était la réponse qu'elle avait trouvé intérieurement.

A la surprise du proviseur, elle se mit à imiter le ronronnement d'un chat quand il commença à lui caresser les cheveux, faisant par la même occasion vibrer sa gorge, une sensation qui devait être assez agréable pour le vieil homme. Quand il lui fit la remarque sur la convocation, elle lui fit un petit signe "OK" de la main, pour signaler son approbation. Elle n'allait pas refuser un si bon coup, quand même !

Puis, elle le sentit prendre le contrôle, et quand il la garda à la base de son sexe, pour lui montrer qui était le patron, sans doutes, elle se soumis avec plaisir, en le gardant en gorge une vingtaine de secondes, avant que les larmes lui montent aux yeux et qu'elle soit obligée de sortir la chaude trique de sa bouche pour respirer, créant de la buée avec son souffle, même si la voiture était chauffée à l'intérieur. Comme par réflexe, elle passa ses doigts sur sa gorge, là ou le proviseur avait laissé sa marque, du bout des doigts.

Le rapport de domination était toujours présent avec Iki, il devait toujours tout contrôler et le sexe ne faisait pas exception, c’était lui le patron et que ça plaise ou non il le faisait savoir à sa manière. Même lorsqu’on lui suçait la queue, il ne pouvait s’empêcher de s’amuser en bloquant l’acte en gorge profonde jusqu’à ce que sa partenaire ne puisse plus respirer avec la gorge obstruée de la sorte et Mathilde n’y avait pas échappé.

Il lui sourit en remarquant qu’elle passa ses doigts sur son cou, là où il l’avait serrer pendant qu’il la sodomisait sauvagement, il lui avait laissé une belle marque déjà bien visible malgré le peu de temps qui s’était écoulé depuis :

« Tu aime ça ? Te faire dominer de la sorte avec force ? »

Il le faisait naturellement car c’est comme ça qu’il aimait faire mais si la jeune fille aimait se genre de traitement, il pouvait s’arranger pour lui donner ce qu’elle appréciait, dans le sexe le plaisir devait être mutuel quand il était opéré dans de bonnes conditions alors il pouvait bien lui faire plaisir, surtout de cette manière :

« Vas y, allonge toi sur la banquette et ouvre bien grand la bouche, si tu aime ça, tu vas adorer. »

Il lui sourit en lui caressant la joue, il ne savait pas depuis quand il était là tous les deux mais pourquoi s’arrêter maintenant alors qu’ils pouvaient encore prendre le pied de certaines manières.

Elle tapotait du bout de ses doigts sur sa gorge un peu distraitement, alors qu'elle reprenait peu à peu son souffle, jusqu'a récupérer une respiration normale. Elle n'avait pas instantanément compris d'ou venait la question, mais en baissant le regard, elle s'était rendu compte qu'elle caressait la marque sans y avoir fait attention, ce qui avait sûrement interpellé le regard, et l'esprit, du proviseur. Elle lui offrit son plus beau sourire, toujours en se caressant du bout des doigts.

-Oui, c'est tellement... Grisant.
Puis, elle sembla plutôt intéressée par la proposition. En fait, elle n'avait jamais fait ça dans cette position, rare était ceux qui prenaient totalement le contrôle, et plus rare encore étaient ceux qui le faisait avec une véritable brutalité dominatrice comme le faisait si bien l'homme qui était en face d'elle. Intriguée, et désireuse de connaître de nouvelles sensations, elle s'allongea sur la banquette, sur le dos, la tête à l'envers. Elle se sentait prête, et  elle lui fit un petit signe en ouvrant la bouche, prête à recevoir toute la passion du vieil homme.

Dehors, il commençait à peine a faire nuit, le temps passe si vite quand on s'amuse...

Lorsqu’un dominateur rencontrait une partenaire qui aimait se faire dominer, c’était là que le plaisir prenait forme dans on expression la plus pure, le proviseur se délectait de la jeune fille qui semblait être totalement en phase avec ce qu’il proposait, c’était une partenaire de premier choix et il y avait tant à lui faire découvrir.

Il la laissa donc s’asseoir en la suivant du regard et il lui caresse la joue et lui embrasse le front avant de se mettre lui aussi en position. Se positionnant debout au dessus de sa tête, une jambe de chaque coté de la banquette, il lui repris la gorge à deux main cette fois ci pour la maintenir et bien l’aligner de manière à pouvoir s’enfiler dans sa bouche sans obstacle et ce qu’il fit.

Sans lui demander si elle était prête, il s’enfonça dans sa bouche et sa gorge d’un coup sec jusqu’à lui écraser ses bourses contre les lèvres avant de commencer des va et vient avec autant de vigueur et de puissance que lorsqu’il lui labourait l’anus. Au fur et à mesure que les claquement de peau contre de ses testicules contre le visage de la lycéenne se faisait de plus en plus fort, le proviseur resserrait son étreinte sur sa gorge. Évidemment il ne serrait pas au point de l’étrangler mais il y mettait tout de même assez de force pour quelle sente la pression sur sa trachée. Il se déchaînait en lui baisant littéralement la gueule.