Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Une égérie de choix. [White Rabbit]

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Whitney Dahmer

Humain(e)

Une égérie de choix. [White Rabbit]

vendredi 04 janvier 2019, 17:10:31

Whitney Dahmer : Ardoise
Madonna Ridgway : Tomate
Lil Wagner : Marron
Gaga Lopez : Bleu marine

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C'était un bel après-midi ensoleillé, les membres du groupe des Spooky Kids s'étaient rassemblés dans une petite salle de spectacle que leur chargé de communication leur avait réservé. Des panneaux publicitaires montrant les membres du groupe avec des silhouettes de femmes nues avaient été posées un peu partout dans les rues de la ville de Seikusu afin de faire la promotion d'un casting organisé pour débusquer de jeunes femmes audacieuses à la recherche d'expériences uniques, des super show girls. La salle de spectacle constituait en une seule petite scène, avec un bar sur le côté et plusieurs chaises sur lesquelles étaient assis les Spooky Kids. Une dizaine de jeunes filles étaient déjà passées sur scène pour tenter leur chance : toutes ont été refusées.

Dahmer était assis au centre de la pièce, tenant son menton à l'aide de sa main et affichant un air complètement blasé sur son visage. Les autres membres étaient eux aussi blasés, mais pas pour les mêmes raisons. En fait, ils étaient plus agacés qu'autre chose par les refus consécutifs de leur leader qu'ils trouvaient illogiques. Des numéros entrant dans l'esprit et la dynamique du groupe, il y en a eu, mais à chaque fois, Dahmer lâchait un soupir avant de dire à la candidate de quitter la scène et d'appeler la suivante. Une nouvelle candidate se présenta : elle avait un style très gothique et semblait bourrée. Au moment où elle prit le micro en mains, Dahmer cria « Suivante ! », ce qui irrita encore plus ses compagnons. La candidate, vraiment sous le coup de l'alcool, s'emporta et s'avança vers Dahmer en l'insultant avant de se faire virer par un gars de la sécurité.

« C'est pas possible Dahmer merde quoi ! On a même pas entendu ce qu'elle avait à proposer ! »

« Je m'en moque. »

« On trouvera jamais personne comme ça, tu sais ! »

« Je préfère rentrer ce soir chez moi bredouille plutôt que de me trainer une conformiste qui se la joue rebelle parce que c'est chouette lors de mes concerts. »

Dahmer avait de l'ambition, il ne prenait pas son rôle de rockstar et surtout d'artiste à la légère. Peut-être avait-il trop d'ambition : cette dernière ne pouvait jamais être comblée totalement, ce qui semait un grand ennui dans la vie de la shock rockstar. Un ennui tel que des pensées morbides lui venaient parfois à l'esprit : était-il trop différent des autres pour vivre une vie qui en vaut la peine dans ce monde ? Ces questions, il les balayait vite de son esprit en repensant à son désir de création ainsi qu'à son désir de provocation. Des personnes comme lui, il en existe, les membres de son groupe en sont la preuve. Mais il avait besoin de changement dans sa vie, la candidate qui deviendra sa prochaine show girl serait plus que ça pour lui, ça serait une personne qui le complète, une sorte de moitié.
Gaga Lopez était resté silencieux, un comportement en phase avec son tempérament très calme.
Lil Wagner se leva brusquement de sa chaise, balançant cette dernière parterre.

« Aller, je me casse, ça sert à rien ! »

Il se tourna et se dirigea vers la sortie d'un pas déterminé.

« Wag' ! », Lopez sortit de son silence.

Au même moment, une jeune femme habillée en bunny girl et portant une culotte rose fit irruption sur la scène. Elle avait de belles formes. Dahmer haussa un sourcil en voyant l'allure générale de la femme, ne se rendant pas compte que son intérêt pour le casting venait d'augmenter d'un cran.

« Laisse-le partir, Lo', et observe la scène. »

« Modifié: vendredi 04 janvier 2019, 17:53:32 par Whitney Dahmer »

White Rabbit

E.S.P.er

Re : Une égérie de choix. [White Rabbit]

Réponse 1 lundi 07 janvier 2019, 00:49:48

Tout avait commencé par une dispute entre les deux sœurs. Jaina avait reproché à White Rabbit sa frivolité, en lui indiquant qu’elle en avait assez que sa sœur passe son temps à gaspiller leur argent, et ne fasse rien d’utile de sa vie et de ses pouvoirs. Il fallait bien admettre que Jaina était une professeur à l’université de Seikusu, au complexe scolaire Mishima. Elle participait régulièrement à des colloques, et était une femme expérimentée et réputée. De son côté, la Lapine était tout l’inverse, passant ses journées à dormir, à faire des bêtises, ou à s’amuser dans un style très hédoniste et profondément épicurien. Mais White Rabbit avait aussi une mentalité d’enfant, et avait été très vexée par cette dispute. Elle avait donc décidé de se remonter les bretelles, et de trouver un boulot. Elle s’était renseignée sur un éventuel maid café, ou un bunny girl café. Si elle aimait bien le Japon, c’était parce que le pays était à leur image. Un pays extrêmement sérieux, ancré dans de profondes traditions, dans un conservatisme à toute épreuve… Mais qui laissait aussi s’exprimer des zestes de pure folie et d’insouciance démentielle. Au Japon, on pouvait volontiers croiser des individus en cosplay de gros ours rose, sans compter les cafés particuliers… Ceux où on était servis par des maids, par des filles déguisées en chats, les cafés avec des chats à câliner, les distributeurs de culottes usagées… Le Japon était le paradis de la fantaisie !

Finalement, White Rabbit avait répondu à une annonce pour participer à un casting en vue de rejoindre un groupe de musique, les Spooky Kids. La musique était quelque chose que la Lapine appréciait beaucoup, surtout le rock. Le casting consistait à se présenter sur scène, et à danser et à chanter sur une musique libre. La bunny girl s’était donc rendue sur place, dans sa tenue usuelle, celle qui lui avait valu une main aux fesses en postulant pour un maid café, mais un refus de poste malgré tout.

Ce fut ensuite à son tour de grimper sur scène. Elle arriva ainsi, avec une démarche pleine de sensualité, et se posta au milieu de la scène, tenant sa main sur le micro. Dans les gradins, il y avait quelques personnes assises, et elle leur sourit doucement. Il n’y avait pas de timidité dans sa voix, et elle attrapa le micro, le retirant de son trépied, tandis que la musique qu’elle avait choisi s’enclencha. Un mode karaoké d’un grand classique du rock des années 1980’s, « I Wanna Be A Cowboy » des Boys Don’t Cry.

Loin de rester figée sur place, White Rabbit profita des quelques secondes où la musique se lançait pour attendre à côté du trépied, yeux clos, puis se mit à chanter :

« Riding on the range,
I've got my hat… On,
I've got my boots… Dusty.
»

Sa voix était mélodieuse, avec des tonalities sensuelles, tandis qu’elle se déhanchait doucement sur place. En finissant le premier couplet, elle se déplaça doucement, et reprit ensuite, mimant une selle en écartant les jambes, omme si elle tentait de s’asseoir sur son cheval, et reprit :

« I've got my saddle
On my horse.
He's called... T-t-t-t-t-trigger
Of course.
»

White Rabbit marqua chaque « -t » du mot « trigger » en tendant sa main en avant, mimant un pistolet avec le pouce levé et le doigt brandi. C’est ensuite que venaitle refrain, qui subit quelques aménagements, et pendant lequel elle pointa du doigt, l’un après l’autre, les hommes assis devant elle :

« I want to be a cowGIRL
And you can be my cowBOY
I want to be a cowGIRL
And you can be my cowBOY
I want to be a cowGIRL
»

Et, juste après ce refrain, il y avait un couplet où une femme en détresse chantait désormais, un passage qui se révéla encore plus sensuel, White Rabbit se livrant à un show qui relevait alors Presque du strip tease, même si elle ne retira aucun de ses vêtements. Elle pliait les genoux en se déhanchant, frottant ses collants avec sa main libre, accentuant les soupirs féminins à la fin de chaque vers pour leur donner une légère connotation :

« Riding on the chuck wagon,
Following my man.
His name is Ted,
Can you believe that?
Camping on the prairie
Plays havoc with my hair.
Makes me feel quite dirty,
Though we all do sometimes
»

Elle reprit ensuite le refrain, et continua sur ce rythme, se lançant dans une danse spectaculaire. La Lapine avait aussi envisagé de postuler dans un club de strip-tease. Elle se déplaça en arrière, et, tout en sifflotant à nouveau le refrain, s’avança à nouveau, parlant plus fort, frappant le sol avec ses talons en les pointant encore du doigt, et reprit ensuite, avant de terminer en modifiant encore les paroles sur la dernière strophe :

« My name is RABBIT,
And one day I'll be dead yo, yo.
»

Et elle se tut ensuite…
DC d’Alice Korvander.

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Whitney Dahmer

Humain(e)

Re : Une égérie de choix. [White Rabbit]

Réponse 2 lundi 07 janvier 2019, 12:25:45

Dahmer constatait la grande sensualité que dégageait la bunny girl, sensualité qui la démarquait des autres. Un certain charisme en découlait : cette fois, il avait réellement envie d'écouter la prestation de la femme qui se tenait devant lui. Son intérêt grandit lorsqu'elle prit le micro et qu'elle se mit à chanter "I Wanna Be A Cowboy", grande chanson du rock'n'roll et faisant partie des influences de Dahmer. Ce dernier pensait que cette musique allait parfaitement avec la jeune femme, sa sensualité n'en pouvait qu'être décuplée. Ce fut le cas, tant par sa prononciation que par sa gestuelle, lorsqu'elle écarta les jambes par exemple, ou encore lorsqu'elle pointa du doigt les individus se trouvant dans la salle en mimant un pistolet. Elle avait de l'audace et c'est ce qui plaisait beaucoup à Dahmer. La flamme qu'il avait dans les yeux grandissait de seconde en seconde, il vibrait pour la première fois depuis un long moment. Ses yeux restaient fixés sur la bunny girl. La modification du refrain le fit sourire.

«Pas mal ça Dahmer, hein ?»

Ridgway n'eut point de réponse de la part de son confrère. C'était bon signe. Il rigolait intérieurement en pensant à Wagner qui était parti juste avant le "show de la révélation". Le leader des Spooky Kids eut l'impression d'assister à une sorte de strip tease. Les soupirs qu'elle relâchait à la fin de ses phrases prenaient une dimension quasi sexuelle. Le show finit en apothéose avec une danse spectaculaire et des dernières paroles qui restaient gravées dans l'esprit de Dahmer.

« My name is RABBIT,
And one day I'll be dead yo, yo. »

Il se répétait cette phrase plusieurs fois sans se rendre compte du mal que cette dernière lui faisait. Cette femme, morte, un jour ? Il n'en était pas question, du moins, pas tant que Dahmer serait là. L'étincelle qui rendrait sa vie plus croustillante était juste sous ses yeux, hors de question de la laisser filer. Lorsque le show fut terminé, un long silence régnait dans cette salle de spectacle. Les membres du groupe ne bougeaient pas, ils continuaient d'observer la bunny girl. Dahmer rompit ce silence en claquant dans ses mains, à un rythme lent mais suffisamment fort pour que le son résonne dans la pièce. Il se leva de sa chaise et marcha jusqu'à la scène. Il s'arrêta lorsqu'il était juste en face de la jeune femme. Il passa une main dans les cheveux de cette dernière et la glissa jusqu'à sa joue.

«Quel est ton nom ? Nous allons faire de grandes choses ensemble et... je meurs d'envie de t'embrasser. Mais je ne le ferai qu'une fois que tu auras tué pour moi.»

Il se mit à rire de bon coeur et se retourna vers les membres de son groupe.

«Les gars, je vous présente la nouvelle égérie de notre groupe !»

«Ah bah c'est pas trop tôt !»

«Bienvenue bunny girl !»

Dahmer espérait bien qu'à terme, il s'agirait plus que d'une simple collaboration. Il fit signe à ses collègues afin de leur dire qu'ils pouvaient rentrer chez eux, fit partir tous les gens de la salle pour rester en tête-à-tête avec la jeune femme. Il voulait s'entretenir avec elle pour mieux la connaître, parler logement, argent et organisation pour créer un album qui les mènerait tous les deux au sommet de la gloire afin d'enchainer avec une tournée de folie. Il lui posa ces questions les unes après les autres.

White Rabbit

E.S.P.er

Re : Une égérie de choix. [White Rabbit]

Réponse 3 lundi 14 janvier 2019, 00:39:58

Le pire est qu’elle avait fait tout ça sans user de sa magie ! White Rabbit aimait beaucoup la danse, tout ce qui relevait, aux yeux de sa sœur, d’une frivolité et d’une perte de temps ! Il se dégageait ainsi de cette bunny girl une sensualité évidente, couplée à une franche assurance. Elle avait après tout commencé officiellement sa carrière en s’alliant avec un criminel, Bane, et en jouant avec le célèbre Chevalier Noir de Gotham City. Alors, quand elle s’était amusée à être coursée par Batman d’un bout à l’autre de Gotham, ce n’était pas un show comme ça qui allait l’effrayer ! L’homme responsable du spectacle semblait en tout cas ravi, et la Lapine sourit doucement. En fait... Son show les laissa un peu pantois. Elle sonda alors leurs esprits. White Rabbit était avant tout une puissante magicienne, qui était capable de télékinésie. En la matière, elle pouvait donc sonder les pensées extérieures des gens sans qu’ils ne remarquent rien, ainsi que leurs souvenirs très récents, et constata ainsi qu’ils avaient eu l’air de s’ennuyer fermement avant son arrivée. Les précédentes candidates n’étaient pas très motivées, ou proposaient quelque chose de trop conventionnel, ou utilisaient encore des musiques locales, comme de la J-Pop. Autant dire que, en ressortant un vieux morceau de rock des années 80’s, chanson britannique parodique de l’image légendaire du Far West américain, elle avait fait fort !

Dahmer se rapprocha d’elle, et, tout en la complimentant, ne tarda pas à fixer les règles, caressant la joue de la femme. Un geste d’autant plus symbolique qu’au Japon, les contacts physiques étaient proscrits, ce que Jaina rappelait fréquemment (et assez vainement) à sa sœur. Quand les deux jumelles étaient sorties de leur cocon, elles avaient chacune hérité d’une part de l’autre. Dans une conception freudienne, on pouvait dire que Jaina avait hérité de tout le côté « sur-moi », ce qui faisait d’elle une personne sérieuse, inflexible, et très rigide... Tandis que la Lapine, elle, avait plutôt hérité du côté « ça », cette portion de l’inconscient que les dessinateurs de bande dessinée symbolisaient en cas de conflit moral par un petit démon libertin, celui qui incitait Milou à manger un os plutôt qu’à aller sauver Tintin. Ce n’était dès lors pas un hasard si la femme avait pris l’allure d’une bunny girl, dont elle ne changeait désormais plus.

Ravi, Dahmer la présenta comme la nouvelle égérie du groupe, et la Lapine sourit, ravie, flattée comme un petit enfant à qui on aurait donné une récompense.

« Héhé, génial, cool ! »

Elle les remercia, puis le duo se retrouva ensuite seul, Dahmer congédiant le reste de l’équipe, et posant à la Lapine plusieurs questions. Face à l’homme, celle-ci lui sourit à nouveau, se montrant pulpeuse et sensuelle. Ainsi, elle commença par enrouler ses bras autour du cou de l’homme, frottant ses seins contre son torse, et poussa alors en avant. Et, alors qu’ils étaient tous les deux sur l’estrade, Dahmer, au lieu de tomber sur le sol, tomba étrangement quelques mètres plus loin, sur l’un des fauteuils, avec White Rabbit sur lui.

« Ben, j’ai déjà un grand appartement de luxe que je partage avec ma sœur, mais elle ne cesse de me rabrouer parce que je ne participe pas assez au paiement du loyer, et parce que je n’ai pas un revenu stable. Est-ce de ma faute à moi si je n’ai pas envie d’être caissière ? »

La Lapine se redressa un peu, s’appuyant sur les épaules de Dahmer, ne laissant pas le temps à l’homme de comprendre comment il avait fait pour se retrouver dans son fauteuil. D’ores et déjà, White Rabbit commençait à amplifier les pulsions de l’homme, ces pulsions naissantes qu’elle avait senti en lui, notamment quand il lui avait caressé la joue. Depuis ses lèvres, des fumées de magie rose s’échappaient, que l’homme inhalait sur place. Un discret aphrodisiaque, mais non moins efficace.

Ses mains caressèrent les épaules de l’homme, et elle lui sourit à nouveau :

« Mais, en réalité, je pense qu’il serait bon pour moi de passer un peu de temps loin de ma sœur... Malheureusement, je n’ai pas encore trouvé d’âme chevaleresque qui accepterait de m’héberger chez elle... »

Une invitation grosse comme une maison... Ou comme cette bosse qu’elle avait envie de sentir entre les cuisses de l’homme.
DC d’Alice Korvander.

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Whitney Dahmer

Humain(e)

Re : Une égérie de choix. [White Rabbit]

Réponse 4 mercredi 16 janvier 2019, 10:50:34

Dahmer se laissa faire lorsque White Rabbit l'enlaça et se colla à lui, sentant son opulente poitrine sur son torse. Il ne réagissait pas, ayant juste un sourire en coin car la situation l'amusait. Il fut surpris au moment où elle le poussa et où il se retrouva sur un fauteuil l'instant d'après. Il commençait à comprendre que la bunny girl n'avait pas que des talents de show, il y avait quelque chose d'autre derrière. Il s'assit confortablement dans le fond du fauteuil et attendit les réponses de sa nouvelle égérie. Lorsqu'elle lui parla de la situation avec sa sœur concernant leur appartement, il comprit vite où elle voulait en venir. Il sentit que la lapine s'appuyait sur ses épaules et sentit que l'atmosphère changeait, une ambiance très sensuelle régnait dans la pièce pour le plus grand plaisir de Dahmer. Mais ce dernier savait que la relation qu'ils avaient commencé à créer relevait surtout d'un rapport de forces. Leurs caractères sont plus ou moins les mêmes, cette collaboration serait une sorte de jeu pour voir qui prendra le dessus sur l'autre. Sur ce terrain, la rockstar refusait de perdre. Il voulait garder le contrôle, d'où la condition qu'il lui avait fixée dès le début en montant la rejoindre sur la scène. La dernière phrase qu'elle prononça était on ne peut plus explicite. Dahmer sourit une nouvelle fois.

« Aller, viens chez moi. Nous allons faire de belles choses ensemble ! Quant au loyer, ce n'est pas un problème. Considère que l'argent que tu vas nous apporter grâce à ton talent sera la petite compensation pour l'hébergement, haha. »

Il se leva du fauteuil. Il posa délicatement ses doigts sous le menton de White Rabbit pour relever sa tête afin de la fixer droit dans les yeux.

« Suis-moi, ma belle. »

Il quitta la salle en compagnie de la bunny girl et se dirigea vers son appartement. Il se situait dans le centre-ville et pouvait être considéré comme un appartement de luxe. Sur le chemin, il parlait avec son invitée de diverses choses afin de savoir ce qui l'intéressait dans la vie. Ses réponses étaient très intéressantes. Au bout de quelques dizaines de minutes de marche, il arriva face à son logement, ouvrit la porte et se dirigea vers un ascenseur privé le menant directement chez lui. Ils montèrent jusqu'au quatrième étage et, en sortant de l'ascenseur, ils étaient face à une grande porte vitrée que Dahmer ouvrit. Il fit entrer White Rabbit, lui présentant son chez lui.

« Bienvenue ! »

Il y avait un salon avec un grand canapé, une table basse et une télévision. Des bouteilles d'alcool ouvertes et diverses pilules étaient posées sur la table basse, il y avait même quelques traces de poudre blanche. C'était la pièce centrale. Sur la gauche, il y avait sa chambre et la salle de bain, et sur la droite, il y avait une cuisine et un studio d'enregistrement et de mixage. Des tableaux d'art abstrait couvraient les murs, et des guitares de tout type se trouvaient un peu partout dans l'appartement. Dahmer alla chercher un sac poubelle pour balancer tout ce qui se trouvait sur la table basse dedans. C'était la première fois depuis longtemps qu'il n'allait pas consommer l'une de ses substances en rentrant chez lui, certainement grâce à la présence de White Rabbit. Il balaya tout ça d'un geste du bras, faisant tout glisser dans le sac qu'il ferma immédiatement.

« Je ne sais pas s'il y a des affaires que tu dois aller chercher chez ta sœur, en tout cas, il y a tout ici. »

Il se dirigea vers la cuisine et sortit deux coupes ainsi qu'une bouteille de champagne, proposant à la bunny girl si elle voulait un petit verre.

« Je sais être gentleman quand il le faut, alors, je te laisse mon lit, j'irai dans le canapé. À moins que tu insistes pour que je dorme avec toi car le noir t'effraie, haha ! Mais souviens-toi, il ne se passera rien tant que tu ne m'auras pas rendu un certain service. »

Le soleil se couchait, il comptait parler de l'organisation pour l'album à son invitée le lendemain. Il voulait lui laisser le temps de se familiariser avec son nouveau lieu de vie.

White Rabbit

E.S.P.er

Re : Une égérie de choix. [White Rabbit]

Réponse 5 lundi 21 janvier 2019, 01:10:57

White Rabbit ne passerait sans doute pas sa vie avec Dahmer... Mais quelques soirées, peut-être... Au moins le premier soir, le temps de voir de quoi l’homme était capable. En tout cas, il eut suffisamment de volonté pour résister à ses formes langoureuses ainsi qu’à ce parfum de magie rose s’échappant de ses lèvres, ce soupçon d’aphrodisiaque qui se diluait dans l’air. Il la repoussa sans méchanceté, et elle le suivit. Dehors, elle avança normalement, mains généralement jointes dans son dos. On aurait pu croire que les gens porteraient son attention sur elle, vu sa tenue très affriolante, même pour les critères japonais... Mais il n’en était rien. Personne ne semblait en fait la regarder, comme si la Lapine avait trouvé sa proie, et que les gens qui la regardaient ne voyaient en elle qu’une femme ordinaire. La magie était encore à l’œuvre, car la Lapine ne voulait en effet pas être importunée par d’autres. Sa cible était là, marchant devant elle, quittant le studio pour rejoindre le centre-ville contemporain de Seikusu, comprenant des bâtiments, des tours d’acier et de verre dont certaines s’élevaient vers les nuages, telles des tours de Babel modernes.

Ils rejoignirent ainsi un bel immeuble, très élégant, avec un ascenseur qui les conduisit à une suite agréable, accessible par une solide porte vitrée qui s’ouvrit sur leur passage. La Lapine vit une grande salle centrale, et observa rapidement le slieux, notant sur une table basse des cadavres de bouteilles d’alcool, de petits monticules de poudre blanche. Bras croisés dans le dos, la Lapine papillonna des yeux en observant les lieux.

« C’est joli ici », commenta-elle.

Son regard se porta sur un étrange tableau accroché au mur, qui lui évoqua vaguement une femme en levrette... Ou un homme enturbanné en train de prier. Elle n’aurait pas su trop dire, et sortit de sa contemplation quand Dahmer, récupérant un grand sac poubelle, fourra à l’intérieur les carcasses de bouteilles, les cadavres de boîtes de pizza, et autre chose.

« Des affaires ? Non, j’ai tout ce que j’ai sur moi. »

Elle le laissa aller à la cuisine, et en profita pour se coucher sur le sofa, près d’une grosse télévision à écran plat. Elle regarda lentement autour d’elle, tenant dans sa bouche une sucette qui semblait avoir jailli de ses doigts. Quand Dahmer revint avec deux bouteilles de champagne, elle lui sourit, et reposa sa sucette, d’une couleur rose, sur une petite assiette, et se redressa rapidement, se tenant ainsi face à l’homme, attrapant d’une main le verre :

« Nous faisons déjà chambre à part ? plaisanta-t-elle. Je déteste dormir seule... » avoua-t-elle ensuite.

Elle avait après tout passé plusieurs siècles dans un sarcophage sinistre. S’il y avait bien une chose que la Lapine n’aimait pas, c’était la solitude, et il fallait sans doute y voir là l’une des raisons l’amenant à agir comme ça avec les autres, à se montrer si tactile, si proche, si... Si aventureuse.

Tout en attrapant le verre de champagne, elle claqua alors des doigts, et l’installation audio de Dahmer se mit en place.

« Et j’adore la musique ! »

Un accord de guitare bien connu se mit à résonner dans toute la pièce, avant que la voix du Dieu ne résonne dans la pièce : « Layla », d’Eric Clapton.

« Surtout le rock ! » précisa-t-elle alors, un sourire éblouissant sur les lèvres.
DC d’Alice Korvander.

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Whitney Dahmer

Humain(e)

Re : Une égérie de choix. [White Rabbit]

Réponse 6 lundi 04 février 2019, 21:24:20

« Oh, tu as peur du noir ? »
 
Cette question n'attendait pas de réponse, Dahmer se doutait du sous-entendu qui se cachait derrière cette phrase. La situation l'amusait toujours plus de seconde en seconde, atteignant l'apogée lorsque White Rabbit déclencha d'elle même l'installation audio de son salon, libérant une musique rock dans toute la pièce. Cette musique confirmait les pensées de Dahmer : cette femme avait du goût. Ils avaient tous les deux du goût, et leur collaboration serait très certainement grandiose. Sans s'en rendre compte, il sentait que son coeur s'emballait. Il écoutait la chanson et discutait avec son invitée tout en retirant les bijoux qui se trouvaient sur ses mains et en retirant également le vernis noir posé sur ses ongles. Il posa sa coupe de champagne sur la table basse, se leva du canapé, ôtant les faux-cils placés sur son oeil droit, et se dirigea vers son studio d'enregistrement et de mixage en emmenant White Rabbit avec lui. Il la fit rentrer à l'intérieur ce qui lui permit de découvrir une pièce totalement insonorisée, une véritable bulle extérieure au reste du monde. Des disques d'or et de platine étaient fixés aux murs et plusieurs guitares étaient appuyées sur ces derniers. Un carnet était posé sur une petite table. Dahmer le saisit et le consulta, parcourant les pages remplies de textes et de brouillons. Il s'arrêta sur une page comportant une liste, une liste de titres visiblement, dont certains étaient barrés. Il s'empara d'un stylo et rajouta trois titres en quelques gestes de poignet. Il finit par dévoiler le contenu de la page à sa charmante égérie.
 
« Bound Souls
1. Devil With The Scabbed Horns
1. Rabbit With The Scabbed Ears
2. Rock Me Baby
3. King Of Nothing
4. From Another World
5. Deep Misanthropy
6. Cri$i$
7. D Is For Dirty
7. B Is For Bunny
8. Black Nails
9. Dope Fiend At Home
10. D. I. E.
11. White Pow(d)er
11. White Killer
12. Bound Souls
»

Il s'agissait là de la tracklist du nouvel album des Spooky Kids, "Bound Souls". La moitié des titres avait déjà été enregistrée et mixée, d'autres morceaux n'en étaient encore qu'à l'état de démo. Dahmer venait de modifier trois titres, une réécriture de ces derniers était nécessaire. Avec l'inspiration que lui apportait White Rabbit, ce n'était pas un problème. Il se munit d'une télécommande et se tourna vers la jeune femme.
 
« Cet album va commencer fort. "Rabbit With The Scabbed Ears", voilà pour l'entrée en matière. Un riff bien lourd. »
 
Il passa la démo de la musique en question qui devait être réenregistrée avec des instruments plus "clairs" et mixée de manière plus propre. La musique retentit dans toute la pièce, cette mélodie était bien plus sombre et pesante que ce qu'il avait fait jusqu'à présent. Lorsque cette dernière se calma après le premier gros riff, Dahmer se mit à chanter doucement, d'une voix à la fois sensuelle et malsaine. Il changea les paroles instinctivement en s'approchant de White Rabbit doucement.
 
« She is the rabbit with the scabbed ears - hard-drug face... she wanna powder her nose... »
 
Il se glissa derrière elle, glissant ses mains le long de ses hanches et continuait de chanter doucement à son oreille, humant le parfum qui se dégageait d'elle. Comme ça arrivait rarement, la rockstar était au naturel, pas de maquillage, ni de teinture ou de lunettes. Un désir inconscient voulait que White Rabbit puisse le voir tel qu’il est réellement sans tous ces artifices - il faut dire qu’il était plutôt bel homme -. Il ôta ses mains des hanches de son invitée lorsque la démo de la musique s’arrêta avant le second gros riff et alla remettre le carnet d’idées à sa place. Il venait de présenter à la jeune femme les bribes de la future tournée. Dahmer jeta un oeil à l’horloge du studio.

« Il se fait tard et nous devons être en forme pour bosser sur le projet demain. Si tu veux prendre une douche, il y a tout ce dont tu as besoin dans la salle de bain. »

Ils sortirent du studio et Dahmer pointa du doigt l’endroit où se trouvait la salle de bain.

«  Je t’attends dans le lit pour te rassurer alors, ma belle. »

White Rabbit

E.S.P.er

Re : Une égérie de choix. [White Rabbit]

Réponse 7 lundi 11 février 2019, 01:02:41

Non contente d’être très belle, la Lapine avait aussi des goûts musicaux tendant vers le rock. Cependant, le rock était un genre musical immense, tellement vaste qu’il était désormais insuffisant de se contenter de dire qu’on aimait le rock. La Lapine aimait juste la musique de manière générale, un soupçon de vie et de fantaisie, et elle aimait bien le côté rythmé et vif du rock. Elle laissa donc Clapton filer dans la pièce, tout en remuant la tête doucement, son corps décrivant déjà, instinctivement, quelques mouvements de danse. Autant dire que, si la vie était une pomme, White Rabbit croquerait à pleines dents dedans. Dahmer lui présenta ensuite ses propres morceaux, et la Lapine le laissa faire, sans trop savoir ce qu’était un « riff ». Fort heureusement, elle avait des pouvoirs magiques assez variés, et obtint l’information qu’elle cherchait sur la définition de ce mot dans l’esprit de Dahmer.

*D’accord... Tout cela est vraiment fascinant !*

Malheureusement, White Rabbit, contrairement à Jaina, n’était pas du genre à aimer apprendre. En voyant des notes de musique défiler dans la tête de son hôte, elle laissa tomber. En soi, ce n’était pas que la Lapine était idiote, mais elle était en revanche écervelée, n’aimant pas apprendre. Une conséquence du fait qu’elle était la partie de Jaina Hudson reposant uniquement sur le plaisir. Frivole, et dans sa logique simple d’esprit, la Lapine se contentait de peu, ce qui l’amenait souvent dans des situations dangereuses... Ce qui n’était pas pour lui déplaire, comme si elle n’avait aucune conscience du danger, aucune voix dans sa tête qui viendrait lui dire de se méfier.

Une musique grave et forte se mit à résonner. Un véritable changement de ton par rapport à Eric Clapton, l’ensemble était beaucoup plus fort, beaucoup plus... Beaucoup plus lourd, avait-elle envie de dire. Elle avait l’impression d’entendre du hardrock, ou ce que certains appelaient le metal, des styles abrutissants qu’elle réutilisait parfois quand elle tendait des pièges hypnotiques à ses partenaires. D’ailleurs...

*J’ai été plutôt calme avec Dahmer, moi...*

Elle ne lui avait pas encore réservé ses fameuses farces, des illusions d’optique et sensorielles créées par sa magie. Ceci dit, avec White Rabbit, rien ne changeait jamais, surtout quand Dahmer se glissa dans son dos, et, un brin possessif (mais cela ne dérangeait guère la bunny girl), s’évertua de lui susurrer dans le creux de l’oreilles les paroles de sa chanson. La Lapine se pinça doucement les lèvres, remuant doucement. Ce genre de musique ne la dérangeait guère, et Dahmer poursuivit. Elle s’attendait presque à le voir poursuivre dans ce sens-là, caresser son corps avec ses mains, et tenter de l’embrasser, car elle-même creusa son dos, s’appuyant contre le corps du jeune chanteur, frémissant doucement sur place, le cœur battant faiblement la chamade.

Puis tout cela s’arrêta, l’espèce de transe musicale se termina, et Dahmer l’invita à prendre une douche, avant de le rejoindre dans le lit. Elle sourit alors, toujours avec ce ton séducteur et envoûtant, et hocha la tête.

« Bien sûr ! À tout à l’heure ! »

Elle rejoignit ensuite la salle de bains.

L’eau ne tarda pas à s’écouler de la cabine de douche, et, après quelques minutes, le silence s’instaura dans l’appartement, rompu par les sifflements de White Rabbit, qui chantonnait dans la douche. Et, si on s’approchait de la salle de bains, dont la porte avait été fermée, on aurait pu voir des vapeurs en sortir. Des vapeurs d’eau, peut-être, mais qui semblaient un peu trop conséquentes et un peu trop importantes pour n’être liées qu’à l’eau. Les vapeurs remontèrent dans le couloir, et, peu à peu, envahirent tout l’appartement, prenant ensuite des teintures rosâtres.

Puis la Lapine continuait à chanter, une voix mélodieuse, qui semblait résonner de plus en plus fortement. Et, plus le temps passait, et plus la mélodie prenait un accent reconnaissable, un ton audible :

« She is the rabbit with the scabbed ears... »

La Lapine apparut alors sur le pas de la porte de la chambre, toujours habillée de sa guêpière blanche et rose érotico-sanglée, et s’avança doucement, faisant claquer ses talons, son corps disparaissant dans la pénombre par un effet de contre-champ.

« She wanna powder her nose... »

Et, en évoquant le nez de Dahmer, celui-ci sentit alors le doigt de la Lapine se poser sur son nez. Elle venait d’apparaître là, assise à califourchon sur son corps couché dans le lit, et appuya avec son doigt, venant le coucher sur le sol. Les murs de sa chambre semblaient se mouvoir, comme si des peintures animées dansaient dessus, et la Lapine, en souriant, se pencha vers lui.

« Laisse-moi te guider dans mon trou, Dahmer... Au fond du terrier du lapin... » glissa-t-elle, toujours avec sa voix envoûtante.

Elle l’embrassa ensuite, ses magnifiques lèvres venant se coller aux siennes...
DC d’Alice Korvander.

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Whitney Dahmer

Humain(e)

Re : Une égérie de choix. [White Rabbit]

Réponse 8 lundi 11 février 2019, 14:37:45

La rockstar attendait dans sa chambre, les rideaux étaient fermés, il faisait noir. Il était en caleçon noir sous un long peignoir bleu marine. Comme à son habitude, il bouquinait un peu, des livres parlant de religion, de politique, d'ésotérisme, bref, des sujets dont les fondements étaient de la même nature selon lui. Ce soir-là, c'était un livre d'ésotérisme et plus précisément sur la Kabbale, un outil issu du judaïsme visant à apporter des  réponses à des questions existentielles telles que l'origine de l'univers, le rôle de l'homme et son avenir. La Kabbale se sert de la figure de l'arbre de vie pour représenter symboliquement les lois de l'univers. C'était le genre de sujet qui intéressait fortement Dahmer. Il resta plongé dans sa lecture jusqu'à être perturbé par quelque chose. Il détourna les yeux de sa page et regarda autour de lui, découvrant une étrange vapeur rosâtre qui se répandait dans la pièce, dans tout l'appartement même. Il se doutait bien de l'origine de cette vapeur, c'était encore un coup de sa précieuse égérie. Elle semblait posséder des pouvoirs mystérieux. Dahmer ne se doutait pas d'à quel point ils étaient importants. Il posa son livre sur sa table de chevet, tourna la tête en direction de sa porte de chambre et y découvrit White Rabbit qui se tenait face à lui, droite et toute en sensualité -sa tenue y contribuait davantage-. Il l'observa marcher dans sa direction, sans bouger, et se laissa plaquer sur le lit une fois qu'elle était montée sur lui. Les paroles de cette dernière confirmèrent ce à quoi Dahmer pensait, et son baiser également : cette situation l'excitait beaucoup. Il se laissa embrasser, sans y mettre du sien, posa ses mains sur les épaules de White Rabbit et la repoussa légèrement. Il se rappelait qu'ils étaient toujours dans un rapport de force, et cette fois-ci, la domination aurait une dimension sexuelle, le rockeur avait compris qu'il aurait du mal à maintenir son invitée, d'autant plus que ses pouvoirs pourraient jouer en sa défaveur.

« D'accord White Rabbit, puisque tu veux jouer, nous allons jouer. »

Dahmer voyait cette situation comme un jeu. Au fond de lui, il espérait bien être surpris par les pouvoirs de White Rabbit, afin de varier un peu ses relations sexuelles. Il avait confiance en elle, il ne l'avait choisie pour rien, il savait qu'elle était capable de grandes choses. Il alla poser ses mains sur les cuissardes blanches de la jeune femme et les fit glisser jusqu'à ses fesses qu'il pressa légèrement, la regardant d'un air aguicheur. Il déplaça son doigt jusqu'aux lèvres de White Rabbit et le rentra doucement dans sa bouche.

« Ce doigt représente le parcours que ma langue ainsi qu'une autre partie de mon corps va effectuer ce soir. »

Il sortit le doigt de sa bouche et le fit glisser tout le long du corps de White Rabbit en passant par son cou, ses seins (et plus précisément, à l'endroit de son téton), son ventre et ses hanches, ses cuisses, ses fesses, et un tour entre ses fesses jusqu'à son entrejambe, endroit où il exerça une légère pression.

« Partageons nos corps, je veux connaître le moindre recoin de ton intimité ma belle. »

Il se redressa d'un coup et plaqua la jeune femme sur le lit en la maintenant par les poignets. Il approcha ses lèvres des siennes et dit sensuellement :

« Notre petit jeu va pouvoir commencer. J'espère que tu es prête, je vais te baiser comme jamais. »

Il lui mordit les lèvres avant de l'embrasser intensément et langoureusement, prenant un malin plaisir à mêler sa langue à la sienne. Il l'embrassa jusqu'à ce que chacun éprouve des difficultés à respirer.

White Rabbit

E.S.P.er

Re : Une égérie de choix. [White Rabbit]

Réponse 9 mercredi 13 février 2019, 07:49:32

Faire l’amour avec une illusionniste comme White Rabbit était très souvent une grande expérience, hors normes et surnaturelle. Elle aimait l’imprévu, et elle aimait les expériences atypiques. Et cet homme lui plaisait. En ce moment, il était son nouvel amant, et la Lapine réagissait comme une gamine, fantasmant déjà sur leur relation, envisageant les hypothèses les plus folles. À califourchon sur lui, elle se mordilla les lèvres, frémissant au contact de ce doigt, gloussant à l’image de la métaphore qu’il répandait, tandis que ses mains se crispèrent sur son torse. Il avait enfilé un simple peignoir avec un caleçon, et elle sourit donc, n’ayant au passage pas hésité à suçoter son doigt, le mordillant même, se montrant taquine et entreprenante.

« Une belle carotte, voilà qui plaît à une Lapine, tu sais, Whitney... »

Après avoir caressé son corps, Whitney se redressa, et l’embrassa. La Lapine frémit à ce contact, sentant la main de l’homme se saisir de ses cheveux, et entrouvrit la bouche, partageant un baiser avec lui, sa langue jouant avec la sienne. Ce fut un baiser assez intense, où Whitney mordilla la lèvre inférieure de la femme, la coinçant entre ses dents, arrachant à la femme de nouveaux frissons, les mêmes que ceux qu’elle avait ressenti au contact de son doigt, mais de façon plus intense encore. Elle répondit donc à son baiser, ses mains venant caresser les épaules de Whitney. Sous lui, elle soupirait doucement, sentant son poids, sa masse, le sentiment primitif du mâle venant dominer la femelle, et le plaisir subséquent qui en jaillissait.

Lorsque les lèvres se rompirent, la Lapine sourit encore, et souffla contre son visage. Elle sentait son érection caresser ses cuisses, mais, si Whitney s’attendait à ce que la jeune femme le laisse agir sans jamais prendre d’initiative personnelle, c’est qu’il s’était mépris sur son compte. La Lapine ressentait en effet une nouvelle bouffée d’excitation, qui remuait dans tout son corps, et qui l’incitait à passer à l’action,. Ses jambes s’enroulèrent ainsi autour des cuisses de Whitney, et elle les serra brusquement, avant de le pousser sur le côté. Les rôles s’inversèrent ainsi de nouveau, car la Lapine se retrouva sur le corps de Whitney, son sexe contre le sien...

...Et alla poursuivre le chemin logique en se redressant. Sa main libéra le sexe de Whitney de son caleçon, et elle sourit à nouveau, malicieuse et envoûtante, enserrant sa verge entre ses doigts élégamment gantés, et l’approcha de ses lèvres intimes.

« Là... Là... »

White Rabbit soupira à nouveau, tandis que, autour de Whitney, quelques notes de piano se firent entendre, son membre turgescent glissant contre les lèvres de la Lapine... Puis elle s’empala dessus en gémissant. Et, tandis que le sexe de l’homme disparaissait dans son corps, les notes de piano se terminèrent pour laisser place à une musique principale, qui atteignit son point d’entrée tandis que, tout autour de la Lapine, des lumières rosâtres et vives explosèrent, lui donnant l’impression d’être au cœur d’un arc-en-ciel de sensations et de délices épileptiques.

« She’s Like A Rainbow » se mit à défiler tout autour d’eux, tandis que la Lapine se mit à danser sur lui, s’empalant sur son corps, inondant la pièce de couleurs à ses coups de reins, et se pencha vers Dahmer, retournant l’embrasser, avant de danser encore. Elle remplissait la pièce de couleur partout, comme un arc-en-ciel dansant sur son partenaire, et l’emmenant voler avec elle vers des monts de plaisir.

Être avec White Rabbit, c’était comme planer, au sens le plus bandant du terme !
DC d’Alice Korvander.

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