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L'École du Sexe [Alix Sable]

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Alix Sable

Humain(e)

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    Contrebandière garçon manqué à la langue bien pendue.

Re : L'École du Sexe [Alix Sable]

Réponse 15 samedi 10 novembre 2018, 15:04:12

En l’espace de quelques semaines, je réalisais désormais pleinement combien Doutzen avait opéré un changement en moi. Jamais auparavant, je n’aurais même imaginé être en train de baiser sauvagement au beau milieu du couloir d’un lycée terrestre, en tenue d’écolière, avec un plug vibrant dans mon fessier. L’Alix de Nexus possédait une vie sexuelle très peu épanouie, une Alix qui n’avait plus rien à voir avec celle actuelle.
En oubliant momentanément le lieu public, je maintenais Doutzen contre le mur en saisissant son fessier à pleines mains, et en profitait pour enfoncer férocement mon sexe en elle. Et j’en étais excitée comme jamais ! Peut-être était-ce dû à l’intervention de Youko, peut-être était-ce parce qu’il s’agissait de ma maitresse, cette blondinette à la plastique parfaite ou peut-être un peu de tout…  Au fond, c’était sans doute autre chose… Quelque chose de plus pervers.

« J’aurais… Aaah… une récompense après, maitresse ?... » Soufflai-je entre deux coups de reins.

Qu’est-ce qu’il me prenait au fond ? J’étais en ce moment même, en train de faire l’amour à ma somptueuse maitresse et pourtant, la simple idée qu’il puisse y avoir une récompense derrière redoublait mon ardeur. Derrière au sens littéral… Ah, Ichtora-senseï, c’est votre faute ! Ma queue gonflée remuait furieusement à l’intérieur de Doutzen, et je ne m’arrêtai que l’espace de quelques secondes pour reprendre mon souffle.
Une vraie folle furieuse. Moi-même, je ne comprenais pas réellement d’où provenait cette énergie soudaine, et je n’osai pas non plus m’avouer à moi-même qu’il s’agissait de la promesse d’une, possible, récompense. A croire que le dressage infligé par ces deux perverses avait opéré. Quoiqu’il en soit, le baiser dont me gratifia Doutzen, se jouant de ma langue, acheva de m’échauffer plus que nécessaire. Je tiraillai les lèvres de la magnifique blonde, poussant et jouant de sa langue avant d’échapper un couinement étouffé.

Eh oui, encore ! De longues coulées de liquide chaud se déversèrent dans l’intimité de ma maitresse, se mélangeant à la mouille abondante entre nos cuisses, et les pulsations de l’orgasme secouèrent mon bassin de longs instants. Je léchai le menton de Doutzen, les yeux fermés, comme si cela devait me permettre de garder mon aplomb, même si j’y mettais toute ma volonté pour ne pas la lâcher et rompre le contact de nos sexes. Et puis, le choc passé, sur une impulsion…

« J’vais vous montrer, maitresse, comme j’peux être la meilleure esclave… » Lui chuchotai-je en la reposant délicatement sur le sol, me détachant d’elle par la même occasion.

Mes mains descendirent le long du corps de Doutzen, suivant la courbe de son corps nu, et j’embrassai sur le chemin, là ses seins, ici son ventre… Puis mes lèvres s’arrêtèrent devant sa féminité ruisselante d’un mélange de mouille et de sperme. Je levai les yeux un instant pour croiser son regard, et aussitôt, je me mis à lécher cet endroit intime, souillée par nos deux plaisirs. Ma langue se délectait de cette humidité avec des bruits lubriques, et rapidement, mes lèvres devinrent luisantes tandis que je dégustais ma maitresse avec appétit. Et tant pis s’il se présentait quelqu’un désormais !

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : L'École du Sexe [Alix Sable]

Réponse 16 mardi 13 novembre 2018, 01:26:39

Elles continuaient à s’envoyer en l’air dans le couloir, Doutzen se faisant prendre contre le mur. Alix continuait à la prendre, complètement lâchée. Quelle magnifique transformation ! Doutzen pouvait se féliciter d’avoir su transformer cette jeune femme rebelle en une belle perverse, une fille qui n’éprouvait maintenant plus aucune gêne à faire l’amour dans un lieu public. Ceci étant dit, Mishima restait un lieu très particulier, et leur rencontre avec Youko n’avait, visiblement, fait que renforcer les ardeurs d’Alix. Doutzen n’allait toutefois pas s’en plaindre, car elle adorait ça. Elle se faisait joyeusement prendre contre le mur, et gémissait longuement, ornant le mur de sa sueur.

« Haaaa… !! Hmmmm, A-Alix, hmmm… !! »

Doutzen gémissait longuement, se tortillant sur place. Si Alix aimait la sodomie, c’était aussi un trait commun avec Doutzen. Le membre tendu de sa partenaire s’enfonçait dans son con, lui arrachant de nouveaux soupirs. Sa salive se mélangeait à celle d’Alix tandis qu’elles échangeaient des baisers. Il fallait bien admettre que ce mur était bien moins confortable qu’un lit, et elle se tortillait dessus, tandis que les minutes continuaient à défiler, chaque minute passée les rapprochant de l’heure de la sonnerie. Doutzen gémit à nouveau, heurtant le mur, et sentit encore Alix s’appuyer contre elle.

Elle esquissa un nouveau soupir, gémissant de nouveau, et sentit Alix continuer à s’enfoncer en elle. Elle avait bien entendu sa jeune esclave lui demander si elle aurait droit à une récompense, mais… Et bien, Doutz’ n’était tout simplement pas en état de lui répondre ! Elle se faisait après tout bourrer la chatte, mais… Doutzen avait souvent répété à Alix qu’elle était une Maîtresse gentille, qui n’hésitait pas à récompenser ses esclaves pour leur fidélité, pour leur énergie… Et il fallait bien admettre que, en ce moment, Alix était très énergique ! Elle la besognait joyeusement, enfonçant sa queue jusqu’à la garde dans son sexe.

« Tu… Tu vas me briser le dos, hmmm… »

La Maîtresse et l’esclave s’unissaient l’une à l’autre, ne faisant plus qu’un dans un même élan, un élan de sexe et de passion. Elle gémissait donc longuement, serrant ses doigts sur les cheveux d’Alix. Leurs baisers étaient mordants, une excellente manière d’étouffer les soupirs de Doutzen… Jusqu’à ce qu’elle sente Alix se relâcher en elle. La belle hermaphrodite s’abandonna énergiquement en elle, balançant des filaments de foutre dans son corps, se répandant goulûment.

« Ohhh… Alix, hmmm... »

La sensation d’être remplie, d’avoir du sperme débordant dans sa chatte… Ah, Doutz’ adorait ça ! Elle sourit ensuite en reposant pied à terre… Mais Alix n’avait toujours pas fini ! Elle se dépêcha en effet de s’agenouiller devant elle, et lécha son sexe. Doutzen gémit encore, sentant la langue vorace d’Alix glisser sur ses cuisses, avalant les fluides intimes qui en sortaient, un mélange de cyprine et de sperme. Elle avalait sans difficulté, continuant à gémir, et la main de Doutzen ne tarda pas à l’accompagner, serrant les cheveux bleuâtres de sa partenaire, qui continuait à s’y attaquer avec appétit.

Doutzen gémissait donc, se tortillant sur place, s’appuyant contre le mur, ses joues encore légèrement rouges sous l’effet du plaisir qui croissait en elle.

Et la sonnerie retentit alors.



Quelques instants après, la porte de la classe s’ouvrit, libérant une flopée d’élèves. Personne ne sembla s’attarder sur les quelques traces ornant le mur, et il y eut un brouhaha de bruits de pas, de paroles échangées, de mots rapides, le concert diffus et habituel d’un lycée.

Près de la porte de la classe, une autre porte avait été utilisée, donnant sur un local technique, où, au milieu de balais, de serpillières, et d’outils ménagers, Alix finissant son cunnilingus. Doutzen gémissait doucement, la tête appuyée contre un placard, mouillant encore, offrant à Alix une délicieuse salve, leurs affaires traînant sur le sol. Ils avaient réussi in extremis à s’abriter ici, emmenant avec eux leurs vêtements.

« Là, oui… Bois bien, Alix, tu auras droit à ta récompense auprès d’Ichtora-senseï… Mais je crois que nous allons manquer aussi le prochain cours. Hmmm… Tu me paieras ça ce soir, haaaa… Me faire manquer des cours, c’est la preuve que tu es une vilaine esclave, Alix ! »

C’était aussi ça, la dure vie d’esclave… Quoi qu’il se passe, on avait toujours tort !
DC d’Alice Korvander.

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Alix Sable

Humain(e)

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Re : L'École du Sexe [Alix Sable]

Réponse 17 dimanche 18 novembre 2018, 18:15:15

La sonnerie résonna bruyamment dans le couloir encore temporairement vide, mais malgré cela, je ne l’entendis qu’à peine. Surprenant à quel point ma honte et la hantise d’être surprise s’étaient évaporées à l’appel de la luxure. La faute à Doutzen bien entendu. Faute partagée par Ichtora-senseï, les deux pestes n’ayant pas lésiné d’efforts pour m’habituer à un tel comportement, et je dois bien avouer que cela avait parfaitement fonctionné.
Au point que tout ce qui m’importait à l’instant, fut de lécher copieusement l’onctueux sexe de ma maitresse qui gémissait contre le mur. Si celle-ci ne m’avait pas agrippé par l’épaule pour m’entrainer dans cet étroit placard à balai, il serait fort à parier que je serai sûrement encore en train de la lécher au milieu des élèves du lycée. Doutzen avait réussi l’exploit de balancer nos affaires en un rien de temps quand, en bonne élève, je palliais au plus pressé, c’est-à-dire m’agenouiller entre ses cuisses.

« Oui, maitresse… C’est ma faute tout l’temps. J’vais me rattraper. »

A genoux entre les jambes ruisselantes de ma maitresse, je m’appliquai à léger l’abondant mélange de cyprine et les restes de spermes qui en découlaient. Au moins, je lui faisais de l’effet ! Doutzen mouillait tant et si bien, que je devais avaler à intervalles réguliers ce jus lubriques, avant de retourner à l’assaut. Ma langue gigotait entre ses lèvres intimes sans répit, embrassant son clitoris, encouragée par ses gémissements suaves.
En vérité, je me moquais pas mal du cours suivant. Merde, Doutzen m’avait inscrite dans ce lycée pour être son esclave sexuelle personnelle, un fait que je commençais tout juste à intégrer, alors à quoi bon résister ? Je serai sans doute mise devant un autre exercice incompréhensible, que je pourrais à peine lire, avant de récolter une punition supplémentaire.

« J’aurais fait une récompense si j’vous fais jouir, maitresse ? » Tentai-je entre deux lampées.

Réclamer sans arrêt une gratification n’était sans doute pas la meilleure manière de l’avoir, mais tant pis, ce fut plus fort que moi ! Je faisais de mon mieux pour cajoler ma maitresse, et c’était déjà suffisamment difficile de résister à une nouvelle érection. Mes mains glissèrent derrière les cuisses de Doutzen, remontant sur son fessier, en prenant possession, lentement mais sûrement.
Même si ma maitresse aimait à me reprocher d’être une mauvaise esclave, je commençai moi-aussi à comprendre ses désirs, et ses petites faiblesses. Le potentiel pour la satisfaire était une affaire de connaissances ! Sans cesser une seule seconde mon cunnilingus, mes doigts se faufilèrent le long de son ravissant fessier pour venir doigter son fondement que je savais évidemment sensible. Elle me l’avait suffisamment suggéré, après tout !

« Je serai une bonne esclave maitresse, la meilleure. D’ailleurs, j’ai commencé à noter tout ce que vous aimiez… »
*… Et c’est plus facile à apprendre que les maths.* Ajoutai-je pour moi-même.

Hors de question de sortir de ce placard sans avoir porté ma maitresse à l’orgasme ! Je doigtai tendrement son postérieur, m’efforçant de dévorer énergiquement son sexe à pleine langue. Cette fois, Doutzen aurait bien du mal à me qualifier de piètre esclave quand je me donnais autant de mal !

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : L'École du Sexe [Alix Sable]

Réponse 18 lundi 26 novembre 2018, 00:47:48

Sa faute tout le temps... Pauvre Alix ! Mais, somme toute, c’était là le lot quotidien des esclaves. L’esclave avait par principe tort, car le Maître, ou la Maîtresse, ne pouvait évidemment se tromper... Et, même quand il se trompait, c’était encore de la faute de l’esclave, qui aurait dû lui signaler cette erreur ! La condition d’esclave était par nature injuste, mais, en l’état, ce n’était sûrement pas Alix qui s’en plaindrait. La jeune femme assumait au contraire de plus en plus facilement son rôle, surtout quand elle réalisait combien ce lycée était pervers, et combien Mishima, sous ses apparences de lycée ordinaire, dissimulait des situations perverses et osées. Après tout, il n’y avait qu’ici qu’elles avaient pu, tout en faisant l’amour dans un couloir, être abordées par une camarade portant une robe noire moulante en latex. Dieu sait ce qui pouvait encore attendre Alix...

Mais, pour l’heure, l’esclave continuait à lécher l’intimité de Doutzen. Celle-ci serrait ses mains sur les cheveux bleus de son esclave, gémissant doucement, et parfois plus fortement, surtout quand Alix glissa un doigt dans son fessier, alternant ses coups de langues de quelques propos bien sentis, qui ne manquaient pas de faire réagir Doutzen.

« Aaah... Ne sois pas si... Si présomptueuse, Alix-chan... Les esclaves arrogantes ne méritent pas de récompenses ! »

En vrai, Doutzen adorait cette situation. Elle avait sa propre esclave ! Qui aurait cru que cette idée puisse un jour la faire à ce point fantasmer ? Après tout, à l’origine, elle avait été une esclave forcée, vendue à la Mafia russe. Reto Kroes avait fait d’elle une esclave sexuelle, dont le but était d’être son « Petit Chaperon rouge », d’offrir son corps à des hommes âgés et pervers afin de pouvoir les piéger ensuite. Une sorte de redoutable prostituée-espionne, qui avait peu à peu accepté sa situation. Le lycée Mishima, où le sexe était si libre, l’avait fortement aidé en ce sens, car elle avait rencontré bon nombre d’élèves aussi pervers qu’elle, ainsi que des membres du corps enseignant. Initialement, Doutzen avait choisi d’être déléguée de classe pour être insoupçonnable, mais cette élection n’avait fait que la précipiter dans les méandres du stupre, en l’amenant à rejoindre des clubs dont Alix allait bientôt pouvoir saisir la teneur.

Quoi qu’il en soit, pour en revenir à la situation actuelle, Alix avait effectivement bien saisi que sa Maîtresse était, comme elle, une grande sodomite. Paradoxalement, la sodomie avait été l’élément le plus difficile à aimer pour elle. Reto l’avait longuement sodomisé, jusqu’à ce que le corps de Doutzen, bon gré mal gré, finisse par accepter la sodomie, et elle en tirait effectivement, depuis lors, un grand plaisir. Ce mélange exquis de douleur et de plaisir... Quand le doigt d’Alix se glissa en elle, Doutzen se pinça les lèvres, et ses doigts se crispèrent plus fortement sur les cheveux de sa partenaire. Elle gémit à nouveau, la respiration lourde.

« Hmmm... A-Alix, haaaa... ! »

De fait, si les élèves dans le couloir n’étaient pas si bruyants, ils auraient sans aucun doute pu entendre les soupirs et les gémissements de Doutzen ! Celle-ci avait beau tenter de se retenir, le plaisir qui déferlait en elle était tout simplement trop fort pour qu’elle arrive à le retenir. Elle le laissait donc s’exprimer, jaillir de son corps, que ce soit sous forme liquide, par la cyprine s’égouttant de plus en plus abondamment de ses cuisses, ou sous forme orale, par ses soupirs. Son bassin remuait doucement d’avant en arrière, accompagnant les mouvements buccaux et digitaux d’Alix. Léchant son sexe et titillant son fondement en même temps, Alix était en tout cas en train de lui prouver qu’elle était très douée en la matière. Sa formation était bel et bien un succès !

La jeune Doutzen en était toute ravie, et elle continuait à se dandiner sur place, gémissant à nouveau. Sa tête heurta le mur, tandis que le plaisir continuait à déferler en elle, de plus en plus vif, de plus en plus fort.

« Hmmm... A-Alix ! »

Doutzen sentit l’orgasme la traverser, et ses doigts se crispèrent sur ses cheveux. Elle s’abandonna au plaisir suprême, contre sa jeune esclave, et ce avec un plaisir sincère et immense, sa mouille déferlant contre la bouche de sa belle partenaire.

« Là... Lààààà... »

Oh, oh, que c’était bon ! S’abandonnant au plaisir, Doutzen en ferma les yeux, une vague d’allégresse venant s’emparer de son corps après ce délicieux orgasme.
DC d’Alice Korvander.

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Alix Sable

Humain(e)

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Re : L'École du Sexe [Alix Sable]

Réponse 19 vendredi 30 novembre 2018, 18:52:35

Récompense ou punition. Je commençai honnêtement à me demander laquelle de ces deux options serait ma favorite et si, au fond, l’une ou l’autre changeait grand-chose. C’est vrai quoi, tu parles d’un dilemme ! A choisir entre une récompense lubrique, ou une punition sexuelle, mon cœur balance, même je dois avouer que les punitions me tentaient davantage jusqu’à présent. Exactement le genre de pensée d’une petite pute soumise, pensai-je en cajolant la chatte de ma maitresse du bout de la langue.
Ah, la punition ! Ça y est, l’esprit se met encore une fois à délirer, et je vois d’ici le tableau… Doutzen me liant sur une grande table, faisant venir d’autres déléguées de classes armées de faux chibres, relevant ma jupe, retirant le plug… Oups, des picotements se manifestent entre mes jambes, et je suis obligée de chasser ses pensées hautement lubriques avant de ruiner tout le travail précédent ! Ma maitresse s’était sacrifiée, si l’on peut dire, pour briser mon érection précédente, ce n’était pas le moment d’en avoir une autre…

*Quoique, à ce rythme…*

La mouille de ma maitresse s’écoulait en abondance sur ma langue, et sans l’épuisement de mes deux orgasmes précédents, nul doute qu’un beau barreau serait de retour. L’orgasme de Doutzen était un impératif ! Sans quoi, une autre érection me vaudrait une punition, et… Oh, minute. Mon esprit marqua un moment de silence. Argh ! Si seulement ce plug arrêtait de vibrer ne serait-ce qu’un instant… Alix, concentre-toi sur une seule tâche à la fois, m’intimais-je.
Doutzen gémissait comme jamais, et il faut bien avouer que j’en ressentais une certaine fierté. Ma langue serpentait entre ses lèvres intimes, je la repliai, courbait, avant de suçoter les endroits sensibles comme me l’avait bien appris la senseï. En tout cas, mon intuition était effectivement la bonne. L’index qui gigotait à présent entre les belles fesses de ma maitresse lui déclenchait à chaque mouvement un nouveau couinement onctueux.

« Mmuah… C’est que j’commence à bien vous connaitre, maitresse ! » Glissai-je entre deux coups de langue avant de repartir à l’assaut.

Au moins, était-ce là une forme de récompense que de satisfaire sa maitresse. L’orgasme de Doutzen fit dégouliner un flot de cyprine que je m’empressai de savourer avec de lubriques bruits spongieux. Je léchai encore son intimité, lentement, tendrement, caressant ses jambes fuselées et remuant l’index dans son fondement. De quoi l’accompagner au paradis ! C’est qu’on est une esclave consciencieuse ou on ne l’est pas, après tout.
Quant aux cours, ils m’étaient complètement sortis de la tête. Depuis combien de temps étions-nous sorties ? J’embrassai les cuisses encore frémissantes de plaisir de ma maitresse, léchant encore son intimité de temps à autre, appréciant les ondes de chaleur que l’orgasme lui procurait. J’étais bien ici, à genoux entre les jambes de Doutzen, plus aucune envie de sortir ! Et histoire d’enfoncer le clou de l’arrogance, je levai les yeux vers la lycéenne, lui adressant un sourire insolent.

« J’suis sûre que j’suis la meilleure des esclaves, j’peux vous faire jouir en un clin d’œil, maitresse ! »

Récompense ou punition ? L’un dans l’autre, si je ne parvenais pas à avoir ma récompense, j’aurais bien une punition ! Mais n’était-ce pas exactement ce que je recherchais… Cette fois, le dilemme revenait à Doutzen !

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : L'École du Sexe [Alix Sable]

Réponse 20 lundi 03 décembre 2018, 01:12:43

Doutzen n’allait pas pouvoir tenir éternellement ! Elle se souvenait encore avec amusement du moment où elle avait rencontré Alix, et où cette femme avait tenté de la contrôler, de la dominer. De fait, les deux femmes s’étaient battues, mais, finalement, les pulsions profondes d’Alix avaient eu raison d’elle. Et maintenant, elle était là, agenouillée devant elle, amenant doucement Doutzen vers un nouvel orgasme. Et Doutzen, qui commençait à bien connaître Alix, était sûre que l’érection de cette dernière, qu’elle peinait pour l’heure à palper, devait être en train de repartir. Alix était ainsi, et ces quelques premières semaines de formation avaient permis de réaliser combien elle était gourmande ! Doutzen, en réalité, était sincèrement très excitée à l’idée d’avoir sa propre esclave ! C’était un indéniable premier pas pour cette jeune femme, une victoire qui traduisait sa perversion, toujours de plus en plus grande. Et celle-ci n’allait pas s’arranger !

« Oh, Alix... »

Venant la narguer, Alix lui répéta qu’elle commençait à bien la connaître. Se pinçant les lèvres, Doutzen gémissait en effet sur place, mouillant contre les délicieuses lèvres de son esclave, qui se faisait un malin plaisir de la sodomiser avec son doigt, égayant dans l’esprit pervers de la Maîtresse quantité de fantasmes. Elle comptait bel et bien punir Alix, mais... Le fait est que Doutzen, si elle était la Maîtresse d’Alix, était aussi l’esclave d’autres personnes. Elle avait donc aussi bien en elle des pulsions de dominatrice que de pure masochiste, et, en ce moment, ces pulsions étaient en train de s’exprimer. Doutzen soupirait donc de plaisir, se tortillant sur place, sentant le corps d’Alix se crisper encore contre le sien.

Puis le plaisir suprême finit par arriver. Un magnifique orgasme traversa la jeune femme de part en part. Ses doigts se serrèrent fortement sur les cheveux d’Alix, et elle s’abandonna contre ses lèvres, la mouille affluant sur son visage, dégoulinant ensuite sur son menton. Doutz’ s’abandonna joyeusement, succombant au plaisir suprême, et conserva ensuite sur ses lèvres un sourire évasif. L’orgasme... Une situation qui était toujours autant plaisante ! Une véritable libération qui laissait son corps frissonnant et extatique.

Et, devant elle, Alix la nargua encore. Doutzen la regarda silencieusement, puis sourit alors.

« Oh, tu crois ça ? »

Reprenant son souffle, Doutzen récupéra sa montre, et enclencha un chronomètre, tout en lui parlant :

« Nous allons mettre tes dires à l’épreuve, petite salope arrogante... Je vais te chronométrer. Un timer de cinq minutes pendant lequel tu vas fourrer ta bite dans mon cul... »

Car, comme Doutzen le soupçonnait, la verge d’Alix avait bien grossi. Elle pouvait la sentir en avançant son pied, caressant sa verge avec la pointe de sa chaussure. Elle avait entre-temps préparé le chronomètre, puis se retourna alors, et s’agenouilla, avant de se mettre à quatre pattes, en délicieuse position de levrette.

« Dès que je sentirai ta queue en moi, j’enclenche le chronomètre. Si je ne jouis pas au bout de ces cinq minutes, je te punirai très fortement. »

Quel dilemme ! Doutzen savait qu’Alix adorait se faire punir par elle... Elle allait donc devoir choisir quoi faire, sachant que, dans tous les cas, elle se devait d’obéir à sa Maîtresse, qui lui présentait son magnifique cul, dans l’attente de sa belle verge !
DC d’Alice Korvander.

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Alix Sable

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Re : L'École du Sexe [Alix Sable]

Réponse 21 mercredi 05 décembre 2018, 22:18:47

Les souvenirs lubriques de notre deal ne cessaient de parasiter mes pensées tandis que, agenouillée entre les cuisses de ma maitresse, je lapais consciencieusement la mouille de son dernier orgasme. Ah, cette fameuse soirée pas si lointaine ! L’inoubliable nuit où elle m’avait mis à quatre pattes, sodomisée, tenue en laisse et même fait aboyer, accomplissant là mes pires fantasmes de soumise… D’un côté c’était légèrement différent, mais de l’autre, cet intermède dans le placard à balais du lycée me rappelait furieusement cet épisode en bien des aspects…

*Merde… J’suis encore en train de délirer sur une punition…*

Hors, avec cette folle imagination, venait l’inévitable raideur croissante entre mes cuisses. A vrai dire, je ne m’étonnai même plus de mes propres pensées lubriques, comme si l’idée de n’être plus qu’une esclave sexuelle en attente des pires perversité de sa maitresse, devenait parfaitement normal. Les mains posées sur les genoux, je hochai la tête vers Doutzen pour appuyer mon affirmation précédente.
Oh que oui, je pouvais la faire jouir, j’en étais convaincue ! Mais d’un côté, pareil culot n’allait pas rester sans réponse, et je savais que ma maitresse ne manquerait pas de me le faire payer. Pari gagné puisque, pendant que je demeurais immobile et à genoux comme une parfaite petite soumise, Doutzen concocta son prochain défi en récupérant sa montre. A croire que les épreuves en temps limité étaient décidément ses favorites !

« Oui, maitresse, je-… Aaahen… » Commençai-je avant d’être sournoisement coupé par une pression sur le sexe.

Les consignes étaient données, l’épreuve était claire, et si la perversité de la situation n’avait pas suffit à me provoquer une belle érection, les fesses exposées de ma maitresse le firent. Je tendis les mains pour venir caresser le somptueux postérieur de Doutzen, la queue tendue à m’en faire mal, quasiment dans un état second. Minute, Alix ! Une seconde de plus, et je perdais complètement de vue ma première intention.
Mon idée de base était en effet de me faire punir, et dans ce cas, devais-je réellement obéir aveuglément ? Ou bien provoquer ma maitresse pour me faire punir fortement, selon ses propres mots ? Tu parles d’un dilemme ! Mais ces fesses… Je me mordillai les lèvres, puis finalement, après une longue hésitation, je commençai à embrasser son postérieur, glissant ma langue lentement le long de son fondement, la léchant avec une langueur toute provocatrice.

« Mmmhaaah… » La traduction de ce gémissement baveux était claire : Je vais désobéir, et bien en profiter !

Le choix était simple. Soit je devenais la plus obéissante des esclaves en suivant les consignes à la lettre, soit… Je me comportai très mal pour obtenir une punition tant désirée. Mais dans un sens, avais-je réellement le choix ? Ma petite expérience m’avait justement apprise que Doutzen prenait un malin plaisir à retourner mes dires contre moi, et au final, n’aurais-je pas obligatoirement tort en demeurant obéissante ?
Mes options demeuraient plutôt limitées, sinon inexistantes… Confortée dans mon plan, je léchai pendant plusieurs longues minutes le joli cul de Doutzen, en sachant pertinemment qu’elle n’avait pas encore enclenché le chronomètre. Les règles étaient les règles après tout ! La simple pensée que j’encourrai une forte punition m’excitait, et c’est avec une très belle érection que je me redressai finalement derrière ma maitresse après l’avoir copieusement léchée.

*Finalement, j’crois que j’préfère être la plus vilaine des esclaves, c’est plus amusant…*

Doutzen était tout comme moi, une grande amatrice de sodomie, et ma conscience me soufflait que la narguer de ce côté-là risquait de me causer de sacrés ennuis par la suite. Peine perdue pour ma conscience, j’étais bien décidée à pousser le vice, et commençai à frotter mon sexe entre les fesses de ma maitresse… Et rien de plus ! Pendant plusieurs minutes la narguai-je ainsi, glissant ma verge bien durcie le long de sa raie, effleurant son petit trou en faisant mine de la pénétrer, mais sans rien faire.
Une véritable torture, du moins, l’espérai-je ! A ce rythme, Doutzen n’aurait jamais son compte de sodomie, et j’étais la première à m’en douter. Au bout d’un temps exagérément long, je poussai légèrement, faisant entrer juste le gland dans son fondement… A peine quelques secondes avant de le retirer dans le but de la chauffer, et pire, de la frustrer !

« J’y arrive pas maitresse… J’ai une crampe en bas du dos… » Dis-je soudainement d’un air faussement désolé pour accompagner ma piètre excuse.

Pire insolence…

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : L'École du Sexe [Alix Sable]

Réponse 22 mardi 11 décembre 2018, 01:00:40

C’était le paradoxe du soumis. Jusqu’à quel point obéir, et jusqu’à quel point désobéir ? D’un côté, le soumis devait obéir, mais, de l’autre, le soumis étant masochiste, il devait aussi désobéir pour recevoir une punition à la hauteur de la désobéissance. C’était ce qui faisait le sel d’une relation sadomasochiste, et Doutzen le comprenait très bien. Elle comprit donc qu’Alix, en jouant avec elle, en faisant traîner les choses, cherchait une excuse pour se faire punir... Et elle frustra donc volontiers sa Maîtresse, frottant sa queue, allant même jusqu’à feindre de la pénétrer... Avant de s’arrêter. Alix gloussa alors en indiquant avoir « une crampe en bas du dos »... Doutzen grogna alors en se retournant vers elle.

« Je vois... Tu as envie de faire ta rebelle, hein, petite pute ? »

Elle lui refusait sa sodomie ! Doutzen se redressa donc. Elles étaient nues, mais Doutzen avait accès à son uniforme. Elle récupéra alors divers instruments situés dans ses poches, à savoir un collier, une laisse, et... Un cockring. Ce petit anneau noir se posait à la base de la verge d’Alix pour empêcher cette dernière de jouir. Doutzen lui ordonna de se mettre à quatre pattes, et en profita pour lui mettre son cockring, et l’attacha ensuite avec son collier.

Tout en se rhabillant ensuite, Doutzen la provoqua, enfilant ses collants, sa culotte, son soutien-gorge, puis son uniforme.

« Tu vas me payer cette humiliation, vilaine esclave, oh ça oui, tu vas me le payer ! Je vais te faire regretter ton insolence, sale chienne, tu vas voir ! »

Doutzen pouvait volontiers se montrer autoritaire quand elle le voulait, et Alix allait bientôt en avoir la confirmation. Habillée, elle sortit ainsi en tirant Alix derrière elle, et rejoignit le couloir. La nudité d’Alix ne gênait nullement Doutzen, qui reprit sa marche sans crainte, et ne se dirigea pas vers la classe de Myumi. Après tout, aux grands maux les grands remèdes, et, au vu de l’insubordination manifeste d’Alix, Doutzen était bien décidée à passer avec elle à un degré supérieur !

Elle s’aventura ainsi dans les méandres du couloir, laissant sa petite esclave rebelle avec une belle trique, jusqu’à rejoindre les escaliers, et rejoignit le rez-de-chaussée, là où on trouvait, outre quelques classes, des salles de stockage, et dédiées à l’évènementiel. Elle se dirigea dans un couloir assez sombre, longeant les locaux réservés aux associations du lycée. Fort heureusement, il n’y avait personne à cette heure, et Doutzen s’approcha ensuite d’une porte close. Elle la déverrouilla, et tira encore sur la laisse, invitant Alix à entrer.

« Voilà... La pièce de ta punition ! »

C’était une grande pièce sombre. Doutzen alluma quelques lampes, ce qui permit d’éclairer divers instruments dédiés au sadomasochisme : des chevalets, des cordes, des croix de Saint-André, des cagoules, des trônes sexuels... Un sacré assortiment ! Difficile de croire qu’un tel équipement pouvait se trouver dans un lycée sans admettre que la formation sexuelle était l’un des objectifs secrets du lycée Mishima. Doutzen referma ensuite la porte, et la verrouilla à clef, puis reporta son attention sur Alix... Et commença par la pousser avec le pied. Alix tomba ainsi sur le dos, et Doutzen retira ses sandales rapidement, puis écrasa la verge de la femme contre son pied, plaquant sa queue sur son ventre, et appuya fort pendant quelques secondes.

« Tu vas voir, je vais te dresser, moi, sale pute ! »
DC d’Alice Korvander.

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Alix Sable

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Re : L'École du Sexe [Alix Sable]

Réponse 23 jeudi 13 décembre 2018, 18:28:36

Là, vraiment Alix, tu y es sans doute allée un peu fort. Ce fut exactement ma pensée lorsque Doutzen se redressa d’un air furibond. Refuser sa sodomie tant souhaitée par ma maitresse était déjà très punissable, mais rajouter une moquerie délibérée avec ça… Moi et ma grande gueule décidément. Certes, cette punition était amplement méritée, en plus d’être ce que je recherchai, mais je savais combien la lycéenne pouvait se montrer particulièrement stricte et peut-être même un peu violente.
Cette fois, mon cul allait prendre cher ! J’étais désormais divisée entre l’excitation de la découverte, de la surprise, et la crainte d’une douleur bien trop forte à mon goût. Après tout, mes premiers débuts dans le sadomasochiste n’avaient pas été un franc succès, et ils ne m’avaient même pas du tout laissé un souvenir mémorable. Je me replaçai à genoux, attendant sagement que Doutzen termine de fouiller ses affaires, dévorée par la curiosité et un début d’excitation.

*Qu’est-ce qu’elle va me sortir ? Ferme ta gueule, Alix, c’est pas le moment d’en rajouter…*

Un cockring, et une laisse ? Je ronronnai presque quand ma maitresse me les enfila comme une parfaite petite chienne à ses pieds. Ouf, honnêtement, je m’étais imaginée bien pire et je me mis à quatre pattes avec un certain soulagement. Ce dernier fut de courte durée par contre, vu que ma maitresse se rhabilla en m’insultant copieusement et me traina en-dehors du placard. En public ! Mon cœur s’emballa au moment où nous franchîmes la porte, mais à mon grand soulagement, le couloir était désert, et il n’y avait donc personne pour admirer mes fesses nues.
La marche à quatre pattes est plus compliquée que l’on se l’imagine, surtout quand on se balade avec un plug anal, un cockring, une énorme érection, et qu’on nous oblige à descendre des escaliers. Mais Doutzen, qui était habillée elle, n’en démordait pas et tirait sur ma laisse dès que je faisais mine de ralentir un peu la cadence. Nous longeâmes des pièces inconnues, j’étais nouvelle ici de toute manière, jusqu’à s’arrêter devant une porte similaire que ma maitresse déverrouilla aussitôt.

« Ah… Oh… » Dis-je bêtement en découvrant une véritable antre du masochisme.

Très honnêtement, je n’avais aucune idée de l’usage de la moitié de ces trucs. Bien évidemment, je pouvais supposer que l’on s’attachait ici et là, qu’on flagellait avec ci ou ça mais…

« Ça sert à qu-… Ouhap ! »

Doutzen m’avait propulsé sur le cul sans crier gare. Le plug s’enfonça à nouveau dans mon postérieur, ce jouet qu’on ne m’avait pas retiré depuis des lustres, et m’arracha un couinement subite. Le regard à la fois pervers et furieux de ma maitresse m’informa que, décidément, j’allais passer un bien mauvais moment. Ou bien un délicieux moment à me faire torturer par ma somptueuse maitresse, tout ça restait à voir !

« Ahan… Oui… Han maitresse… »

C’était difficile d’articuler quand un pied, franchement sexy, vous écrasait sournoisement le pénis. Hors, je dois bien avouer que cette situation m’excitait terriblement. Etant plaquée dos contre le sol, le moindre mouvement de Doutzen remuait davantage le plug fiché dans mon fondement, et faisait remonter de délicieuses sensations dans tout mon corps. Si bien que je me retrouvais à gesticuler moi-même sur le sol, en gémissant de plaisir, soumise au pied de ma maitresse.

« Hmm… Qu’est-ce que vous allez me faire… faire à votre pute, maitresse ? » Parvins-je à articuler en admirant la jambe fuselée de Doutzen martyriser mon érection.

Je remuai le bassin sur le sol comme un asticot, finissant par utiliser malgré moi le pied de Doutzen pour me masturber, en frottant mon sexe contre ce dernier. Quelle image devais-je donner ! Je me faisais brutaliser, plaquée et écrasée au sol, un jouet dans le cul et un anneau autour du sexe, mais pourtant, j’étais incroyablement excitée… C’était plus fort que moi !

Doutzen Kroes

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Re : L'École du Sexe [Alix Sable]

Réponse 24 lundi 17 décembre 2018, 00:44:11

Doutzen se retrouvait face à ce même paradoxe qui agitait les soumis. Comment les punir vraiment ? Ce n’était pas en les humiliant ou en les battant qu’on y arrivait, car c’était très précisément ce qu’ils attendaient ! Et là, en maltraitant la queue d’Alix avec son pied, Doutzen savait que la jeune femme appréciait. Fort heureusement, Doutzen n’avait pas encore dit son dernier mot ! Car, face aux soumis de cette nature, qui étaient très masochistes, il fallait jouer sur la frustration ! Et, là-dessus, Doutzen avait justement des instruments à sa disposition.

Tout en ayant sa queue écrasée, Alix continua d’ailleurs à la provoquer, ce qui amena Doutzen à appuyer davantage avec son talon.

« Mais tu continues encore à me narguer, Alix !! »

Elle serra encore, puis relâcha alors la pression, laissant la queue d’Alix se redresser. Sans rien dire, Doutzen se rapprocha d’une table, et la rapprocha, puis récupéra divers instruments dans un placard : des cordes, un bandeau noir, des pinces, et une ceinture abritant une série de godes de taille et de forme différents qui pendouillaient à cette dernière. Avec sa main, elle tira sur la laisse d’Alix, lui ordonnant de se coucher sur la table. Particulière, celle-ci abritait en effet plusieurs sangles.

Doutzen avait un ton sévère, et désigna la table :

« Allez, dessus ! Couche-toi dessus sur le dos, sale pute ! »

Une fois qu’Alix se fut exécutée, Doutzen l’attacha à hauteur des poignets et des chevilles. Ses poignets se retrouvèrent ligotées sous la table, et ses chevilles le long des pieds de la table, qui comprenaient des sangles. Quant à sa tête, Doutzen l’attacha avec son collier à une sangle au milieu de la table. Ainsi ligotée, la jeune femme était sans défense. Doutzen appliqua ensuite sur son visage le bandeau, bloquant sa vue, et attrapa ensuite les cordes.

« Rassure-toi, j’ai des notions en la matière. Au Japon, le shibari est un véritable art, et, au lycée, il existe des cours particuliers pour nous apprendre ça. Tu vas voir... »

Elle avait glissé cela sur un ton doux, inhabituellement et dangereusement doux. Lentement, elle attacha la femme, tout en enfonçant dans sa bouche un nouveau gode. Elle utilisa les cordes pour retenir le tout en elle, et termina son œuvre en pinçant ses tétons avec ses pinces à linge. De la même manière, elle retira également le plug anal d’Alix pour un plus gros.

Le spectacle final était saisissant.

Doutzen sourit lentement en l’observant, puis attrapa un appareil photo situé dans la pièce, et photographia la jeune femme, puis attrapa la télécommande contrôlant les vibromasseurs.

« Bon, j’ai pris beaucoup de retard, alors... Je vais venir te revoir pour la récréation, dans une bonne demi-heure. D’ici là, tu seras sans doute devenue plus sage. »

Impossible pour Alix de contester, et Doutzen appuya sur le bouton, enclenchant les vibromasseurs. Elle la laissa ensuite sur la table, à souffrir en silence, avec sa queue tendue, et qui ne pouvait pas jouir. Une frustration intense, tandis que, avec les sangles et les cordes, Doutzen avait totalement immobilisé Alix sur la table. C’était une punition bien méritée, et Doutzen referma la porte à clef derrière elle, avant de filer.
DC d’Alice Korvander.

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Alix Sable

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Re : L'École du Sexe [Alix Sable]

Réponse 25 jeudi 20 décembre 2018, 19:13:15

Le rôle de peste rebelle me collait à la peau. Même dans cette posture indécente, à me faire malaxer le sexe par la plante de pied de ma maitresse, il m’était impossible de réfréner mes provocations. J’ondulai au sol, cherchant à frotter le bout de ma verge contre ses orteils chauds, ce qui créait de délicieuses sensations en plus de narguer Doutzen. Quelque part, j’étais véritablement curieuse de voir jusqu’à quel point était-il possible de la pousser.

« Mais non… maitresse… » Répondis-je innocemment.

Non, à peine ! Doutzen répliqua en pressant fermement mon érection, me faisant échapper malgré moi un léger ronronnement, avant de m’abandonner là pour farfouiller dans un placard. Qu’est-ce qu’elle comptait préparer au juste ? Je me retrouvais dévorée de curiosité à son égard, cherchant véritablement à savoir si elle  allait se montrer à la hauteur de mes espérances.
Car ce n’était ni plus ni moins qu’un mind game ! J’éprouvai comme une fierté bizarre d’être considérée comme une esclave difficile à mater, et il me fallait absolument découvrir si Doutzen était celle qu’il me fallait. Allait-elle enfin réussir à me clouer le bec ? Ou bien allait-elle lâcher l’affaire rapidement ? C’était tout l’intérêt de cette surenchère de provocations, et je la vis revenir vers moi, les bras chargés d’accessoires tous plus lubriques les uns que les autres.

« Oui maitresse ! » Répondis-je avec enthousiasme en m’allongeant sur la table conformément à ses ordres.

Honnêtement, tout cela prenait une tournure qui m’excitait plus que de raison. Doutzen se mit à littéralement me saucissonner à la table à l’aide d’un jeu de sangles, si bien que mon pauvre cœur commença à s’emballer. Être ainsi sans défense avait une saveur incomparable de luxure, et je brûlai de connaitre la suite sulfureuse. D’ailleurs mes pensées s’emballèrent déjà, l’imaginant me prendre ici et maintenant, enchainer les tortures autour de mon sexe déjà si malmené…

« Le quoi ? J’crois que j’ai pas encore ce cours-là, par contre j’veux bi- Hmpf !... »

Un gode me coupa la parole. Aveuglée par un bandeau doux, je sentis des cordes venir emprisonner mes seins, entourer mon ventre, maintenir mes jambes complètement écartées… Doutzen ajouta des pinces sur ma poitrine, ce qui déclencha chez moi un petit couinement douloureux, aussitôt suivi d’un soupir de plaisir quand elle enfonça un nouveau plug entre mes fesses.
Des bouffées de chaleur s’emparèrent de moi, et je sentis la pointe de mon sexe perler d’excitation. Finalement, ma maitresse était peut-être bien plus à la hauteur que je ne l’aurais imaginé… J’essayai de remuer mollement contre la table, une bien vaine tentative quand les cordes me retenaient alors que je n’avais même pas la moindre d’envie de m’y soustraire.

« Humpf ?! » Et qu’est-ce que c’était que ce bruit ? Doutzen prenait des photos ?!

Difficile de protester plus clairement avec la bouche occupée, et le démarrage des vibromasseurs m’arracha de toute manière, un cri étouffé. Hors, la voilà qui me laissait là ! J’entendis vraiment la porte s’ouvrir puis se verrouiller, me laissant dans le silence presque complet si ce n’est le léger bruit des jouets. Ce coup là, je ne l’avais pas vu venir…! Je tentai de gesticuler légèrement, mais les cordages étaient trop serrés, et cela ne faisait qu’enfoncer davantage le plug entre mes fesses.
Je poussai un profond soupir, me forçant à demeurer calme. Bon, Alix, ce n’est jamais qu’une demi-heure, il suffit de serrer un peu les dents jusqu’au retour de Doutzen… Si les trente premières secondes furent effectivement supportables, ce ne fut pas le cas des vingt-neuf minutes et trente dernières secondes ! Les vibrations remontaient le long de mon sexe, complètement verrouillé par l’anneau à sa base, et le moindre sursaut faisait remuer le gode à l’intérieur de mon cul.

*J’y arriverai pas… J’vais devenir dingue, c’est pas possible… Pourquoi j’ai pas fermé ma gueule, bordel de bordel…*

Une véritable torture. Mon corps remuait parfois de lui-même comme pour échapper aux stimulations, empirant encore davantage la situation, et je me retrouvai rapidement en sueur à baver sur le gode dans ma bouche. Depuis combien de temps était-je ici ? Une éternité ! Quoique je fasse, quelque chose me touchait, me caressait, me pinçait, si bien qu’au bout d’un moment, même ma respiration exacerbait l’insupportable plaisir…
Ce serait sans doute agréable si, à mon grand désespoir, Doutzen ne m’avait pas collé ce cockring ! Je n’avais même plus aucune notion du temps, peut-être quelques secondes s’étaient écoulées, peut-être une dizaine de minutes, comment le savoir ? Mon esprit hurlait qu’on le délivre de cette punition, bien méritée pourtant, qu’on me détache, qu’on m’encule, qu’on me fasse jouir ! Peu importe, tant que ça s’arrêtait, sans quoi j’allais devenir complètement cintrée.

« Humm !!! » Hurlai-je derrière mon bâillon, au bord des larmes, et la verge prête à exploser.

La porte ! Je l’avais entendu, quelqu’un était rentré ! Je gémissais pitoyablement, la peau trempée de sueur, un filet de bave s’échappant de mes lèvres, et le sexe dégoulinant de désir. Était-ce Doutzen, ou quelqu’un d’autre ? A ce stade, je n’en avais plus rien à cirer, plus aucune honte, pourvu que l’on me délivre de cette punition ! En particulier les vibromasseurs, je ne pouvais plus supporter ces stimulations sur la queue, et qui se répercutaient ensuite le long des cordes.

Mon corps était littéralement en feu. Je couinai pathétiquement, en espérant que l’on comprenne le message : Je ferai n’importe quoi pourvu que l’on me fasse jouir !

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : L'École du Sexe [Alix Sable]

Réponse 26 lundi 24 décembre 2018, 00:49:32

Doutzen profita de sa demi-heure pour retrouver son calme. Elle récupéra ses affaires, et en profita ensuite pour appeler quelques membres du club qu’Alix verrait ce soir. Pendant ce temps, elle avait lancé une application avec son téléphone portable qui la connectait à la webcam qu’elle avait allumé dans la pièce, ce qui avait au passage déclenché une notification pour chaque membre du club. Chaque membre pourrait ainsi lancer l’application, et voir qu’une esclave était en train de souffrir dans leur salle d’entraînement. Le conseil des élèves disposait de son propre club, et d’un budget suffisamment conséquent, ce qui avait permis aux femmes travaillant dans le club d’avoir des équipements de ce genre. Des équipements redoutables qu’Alix était en train de découvrir. Cette demi-heure promettait d’être la plus longue de sa vie !

*Mais elle l’a bien cherché, après tout... Il ne fallait pas me provoquer !*

Doutzen profita de ce cours pour contacter d’autres amies, et ne s’intéressa pas une seule seconde à ce dernier. À la fin du cours, elle retrouva donc deux autres membres du conseil d’élèves : Youko, qu’Alix avait déjà eu l’occasion de croiser, et Shidaru, une autre élève assez intelligente, mais au tempérament sulfureux, et qui aimait bien provoquer les autres. Ensemble, le trio se rendit dans le local, et Doutzen referma la porte derrière elles.

En les entendant, Alix se mit à gémir, se tortillant sur place. Les filles gloussèrent en tournant autour d’elle, et la main de Shidaru ne tarda pas à caresser son sexe bien tendu.

« Tu lui as mis un cockring ?
 -  C’est une punition !
 -  Oui, et ça a l’air de bien marcher... Regarde comme elle frétille sur place. Si on pouvait la laisser parler, je suis sûre qu’elle implorerait qu’on lui retire cet anneau, et qu’on la fasse jouir. »

Elles s’amusèrent encore, Youko caressant les cordes, complimentant Doutzen sur la qualité de son cordage. Le shibariétait un art délicat, très difficile, et elles s’entraînaient habituellement sur des mannequins. Doutzen avait appris auprès d’autres femmes, précisément comme Youko, et la jeune femme était donc fière des progrès accomplis. L’art de la corde était un art délicat, il fallait faire les bons nœuds, à des endroits précis, afin de pouvoir immobiliser sa proie, sans pour autant lui faire trop mal. À la base, le shibari était avant tout une forme de torture, car, en contorsionnant le corps dans des positions inattendues, on pouvait infliger de grandes souffrances musculaires. L’évolution aidant, le shibari était depuis un art érotique, et les maîtres de cette discipline recevaient souvent des clients voulant juste s’encorder pendant des heures.

Youko caressa ensuite le visage d’Alix, glissant ses doigts sur son bandeau. Elles continuaient à l’observer depuis quelques minutes, et Shidaru se concentra sur sa queue, léchant goulûment ce membre épais, se délectant des couinements d’Alix. Doutzen se déplaça alors, et se rapprocha de l’oreille d’Alix :

« Écoute-moi très attentivement, Alix... Si tu veux jouir, tu vas devoir faire une dernière chose pour moi... »

Pendant qu’elle parlait, Youko s’affairait, et amenait une bonbonne d’eau abritant un liquide plus doré. Si Alix pensait avoir fait le tour de la perversion des filles qui l’entouraient, elle allait vite déchanter ! Youko attacha à la bonbonne un tuyau relié à un masque, et, quand le gode fut retiré de la bouche d’Alix, on se dépêcha de lui mettre le masque.

« Tu es vraiment une vilaine esclave, Alix, et nous allons t’humilier plus bas que terre. Pour les esclaves comme toi, nous avons une belle bonbonne, que nous remplissons régulièrement. Elle contient... De l’urine ! »

Et, pendant que Doutzen le lui expliquait, le cockring fut retiré, ainsi que le bandeau obstruant sa vision, ce qui lui permettrait, en tournant la tête, de voir ses trois tortionnaires.

« Tu vas jouir en buvant notre pisse, Alix ! Et nous arrêterons la bonbonne quand tu auras joui sur nous trois !
 -  Moi d’abord ! »

Youko était la seule à ne pas porter de sailor fuku, ayant encore sa ravissante robe noire moulante en latex. Et, tandis que Shidaru grimpait sur Alix, et approchait ses lèvres intimes pour s’empaler sur elle, Doutzen appuya sur un bouton... Et le liquide doré s’écoula de la bonbonne pour rentrer dans la bouche d’Alix...

...Et Shidaru s’empala alors sur elle !
« Modifié: jeudi 03 janvier 2019, 00:11:43 par Princesse Alice Korvander »
DC d’Alice Korvander.

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Alix Sable

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Re : L'École du Sexe [Alix Sable]

Réponse 27 samedi 29 décembre 2018, 02:19:13

La délivrance, enfin ! Cette demi heure fut sans aucun doute la pire de ma courte existence, attachée, pénétrée, bâillonnée et contrainte à prendre ainsi un plaisir intense, et ce sans la moindre possibilité de me soulager, la faute à ce maudit cockring. Au moins, étais-je rassurée sur la redoutable créativité de Doutzen dans le domaine de la perversité. Le doute n’était plus permis, elle était véritablement la maitresse qu’il me fallait, et pire encore, la dominatrice que je commençai vraiment à craindre. Après cette rude leçon, je me sentais clairement la volonté d’un doux agneau.
Plusieurs paires de talons brisèrent le désespérant silence qui m’entourait, trois nouvelles voix se firent entendre dont celle de ma maitresse, que j’accueillis avec des gémissements et des gesticulations de soulagement. Traduction : J’ai compris, bordel ! Délivrez-moi ! Tout aurait été si simple alors, mais évidemment, ça ne l’était jamais avec Doutzen. Celle-ci était accompagnée de Youko dont je reconnus la voix après notre rencontre précédente, et une autre, inconnue.

*Oui c’est un foutu cockring ! Enlevez-moi ça pitié ! J’vais devenir-… Oh non pas ça…*

Comme si la torture actuelle n’était pas suffisante, voilà qu’une main délicate se mit à caresser doucement mon sexe, déjà maintenu au bord de l’explosion. Je hurlai plaintivement, désespérément, mais le sex-toy enfoncé dans ma bouche m’empêcha d’exprimer clairement des supplications… Quoique, avec mon corps qui se cambrait, sautillait et tressautait à chaque fois que l’on me touchait, mon état d’esprit était plus qu’évident à ce stade.
Doutzen vint me susurrer soudainement ces consignes à l’oreille. J’étais alors très occupée à hurler derrière le bâillon, à couiner lamentablement, alors qu’une langue chaude et avide titillait ma queue gonflée. Laquelle de ces trois perverses faisait ça ?! Je n’en avais aucune idée, et de toute manière, ça n’avait plus beaucoup d’importance puisque ma maitresse m’exposa soudainement le supplice lubrique qui m’attendait.

*Non ! Pas la pisse, c’est crade !* Hurlai-je dans ma tête, craquant complètement.

Mais c’était peine perdue, car on retira le gode de ma bouche pour y sceller l’horrible masque et, maigre soulagement, ces trois pestes retirèrent cette saleté de cockring et le bandeau aveuglant. J’eus au moins l’occasion de découvrir la troisième perverse de l’équipe. Magnifique d’ailleurs, avec un soupçon de provocation dans le regard qui ne me laissait pas indifférente, mais… En l’occurrence, j’étais davantage paniquée par le châtiment dégoûtant qui allait s’abattre sur moi dans un instant.
Je serrai les lèvres en sentant le liquide chaud se déverser dans le masque. Hors de question d’ouvrir la bouche, je ne pouvais pas, ça ne devait pas se produire ! Cette simple idée me levait l’estomac. Le dégoût ressenti me fit momentanément oublier ce qui se passait à l’autre bout de mon corps, jusqu’à Shidaru s’empale sans prévenir sur mon sexe libéré de son anneau. Une vive sensation de chaleur entoura cette partie de mon anatomie, serrée dans cette antre délicate qui…

Me fit jouir instantanément.

 J’échappai un malheureux couinement qui m’obligea à desserrer légèrement les lèvres, permettant à un soupçon d’urine de s’infiltrer dans ma bouche, mais je me forçai à la refermer aussitôt. Sous la pression, le masque commençait à déborder sur le côté, complètement saturé de liquide jaune.

« Mais !... C’est pas vrai qu’elle a déjà juté ! » S’écrira Shidaru, frustrée, en se redressant pour regarder ma queue pulser de belles quantités de foutre sur son entrejambe.
« Oh, elle devait vraiment se retenir avec tout ça. Eh bien, à mon tour alors ! » Gloussa Youko.

Shidaru n’avait pas l’air ravi de ma performance. Une généreuse quantité de sperme s’étalait sur ses lèvres intimes, ainsi qu’une bonne quantité dans le creux de ses cuisses nues, coulant même sur ses collants d’écolière. J’avais littéralement explosé à l’instant où mon gland avait touché sa féminité chaude, ce qui n’avait rien d’étonnant après toute cette frustration emmagasinée !

« C’est injuste ! Et regardez, elle refuse encore sa punition ! » Shidaru pointait les filets d’urine débordant du masque. « Tu vas me nettoyer ça ET me faire plaisir, sale chienne ! »

Cela aurait dû m’inquiéter. Mais à ce stade, j’étais bien trop concentrée à sceller ma bouche pour éviter de goûter à cet atroce liquide, plutôt que de me pencher sur les invectives de la jeune femme. Et d’ailleurs, tout s’enchaina très vite. A ma grande surprise, la belle Shidaru coupa la bonbonne d’urine pendant que Youko s’affairait à je ne sais quoi, et on me retira le masque de la bouche.
Le soulagement !... L’espace de quelques secondes. Je vis à nouveau Shidaru m’escalader pour se placer à cheval au-dessus de ma tête, un sourire sadique aux lèvres. Dans cette posture, j’avais une parfaite vue sur son entrejambe nue, et surtout, complètement dégoulinantes de sperme épais.

« Tu vas vu ce que tu as fait ?! » Shidaru en profita pour me gifler sèchement. « Tu vas me lécher tout ça comme une bonne salope. »

Qu’étais-je sensée répondre à cela ? Je n’eus même pas l’occasion de formuler la moindre argumentation, puisque Shidaru s’assit littéralement sur ma figure. Ma bouche entra en contact avec ses lèvres intimes, chaudes, douces et surtout souillée de foutre. Comme un réflexe de soumise, malgré l’humiliation, je me mis à les lécher, glissant tendrement ma langue dans son intimité, ce qui ne manquait pas de collecter mouille et… Le reste.

« Hmm… Parfait. » Shiradu m’attrapa les cheveux, et colla davantage son bassin contre mon visage. « C’est qu’elle a l’air d’aimer son propre sperme, vous avez vu ? Tu as vraiment trouvé une perle. »
« Je ne suis pas certaine que ce soit une bonne punition, dans ce cas. » Observa Youko, que j’avais perdu de vue à ce stade.

Je m’occupais de nettoyer l’intimité de Shidaru, la léchant consciencieusement en lui arrachant des gémissements, tandis qu’une main caressait délicatement mon sexe en train de se raidir à nouveau. Youko allait probablement s’empaler sur moi à son tour, se servir de mon corps comme un jouet.
Tout ce que j’avais sous les yeux, c’était le sexe de la lycéenne et son ventre frémissant qui disparaissait sous l’uniforme, tandis que ma langue se promenait à l’intérieur d’elle. Et honnêtement, c’était bien moins pire que la bonbonne…

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : L'École du Sexe [Alix Sable]

Réponse 28 vendredi 04 janvier 2019, 00:43:34

Alix était une esclave rebelle, très masochiste, mais Doutzen se dit qu’elle avait peut-être trouvé sa limite en la voyant fermer ses lèvres, refusant catégoriquement le liquide doré. Une humiliation encore trop forte pour elle… C’était aussi la preuve que Doutzen n’était pas une Maîtresse cruelle. Elle cherchait juste la limite d’Alix, et, maintenant qu’elle venait de la trouver, elle avait un moyen de pression ! Elle compatit un peu pour Shidaru… Juste un peu ! La jeune femme était en souffrance, elle se tortillait nerveusement sur place, à tel point qu’Alix jouit presque instantanément, ce qui ne manqua pas de frustrer Shidaru. Doutzen, de son côté, laissa ses deux amies s’affairer avec la jeune femme. Shidaru ne tarda pas à retirer le masque et la bonbonne, et présenta à la place son sexe, avant de s’asseoir sur le visage d’Alix, qui dut la lécher. Silencieuse, Alix émergeait encore de sa demi-heure de frustration, tandis que Youko observait la scène.

La jeune femme avait une culotte très spéciale à retirer, et s’affairait donc, prenant aussi son temps, pendant que Doutzen, elle, réfléchissait soigneusement à la suite. Elle avait encore une nouvelle idée pour punir Alix, et se déplaça vers elle, pendant que Youko se mettait également en position. La belle brune avait grimpé sur les hanches d’Alix, s’appuyant sur ses cuisses, et frottait doucement ses lèvres intimes contre son sexe.

« Tu me fais honte, Alix… Jouir ainsi vite, comme une petite pucelle… J’ai promis à mes copines une esclave talentueuse et formée, et, au lieu de ça, je tombe sur une éjaculatrice précoce !
 -  Ouais, je ne sais pas si on va maintenir la réunion de ce soir… Nous sommes des déléguées de classe, nous, des femmes de haut standing ! »

Doutzen s’était penchée derrière Shidoru. Toutes ces femmes avaient déjà fait l’amour ensemble, et elles étaient autant des amies que des amantes. Le sexe était omniprésent à Mishima, dissimulé dans les soubassements, derrière les portes fermées des réunions de club. Il n’était pas affiché à l’entrée, mais le sexe s’emparait rapidement de chaque élève, et ceux glissant entre les mailles du filet étaient rares, très rares… Et relevaient davantage d’accident de parcours qu’autre chose.

Tandis que Youko continuait à se tortiller au-dessus de la queue de la belle Alix, Doutzen poursuivit ses instructions :

« Youko va s’empaler sur toi, et je vais chronométrer… Si tu jouis en moins de deux minutes, tu passeras toute la matinée rivée sur cette table, jusqu’au déjeuner… Au moins ! »

Ce qui était assurément une perspective horrible et insoutenable ! Mais, après avoir passé une demi-heure attachée là-dessus, Alix devait se douter que Doutzen était tout à fait capable de mettre sa menace à exécution.

« Hmmm-hmmm… Je vais commencer, ma belle…
 -  Et après, ce sera à moi… Et tu auras intérêt à faire oublier ta prestation minable ! »

Shidaru méritait bien ça. Elle n’avait même pas pu en profiter !
DC d’Alice Korvander.

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Alix Sable

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    Contrebandière garçon manqué à la langue bien pendue.

Re : L'École du Sexe [Alix Sable]

Réponse 29 vendredi 11 janvier 2019, 18:29:17

Le pire moment était passé… Du moins le croyais-je, et l’espérai-je bêtement. Mon débarquement dans ce lycée de la perversion était très récent, à peine quelques jours, et j’étais bien en peine d’imaginer l’ampleur de la débauche qui y régnait. Ces trois pestes notamment, avec leurs uniformes d’écolières présentables, leurs sourires innocents, se déchainaient sur ma pauvre personne. Et après le coup de l’abominable bonbonne d’urine, je craignais vraiment la suite des idées de Doutzen…

*Pucelle, mon cul ! C’est ça de m’avoir attachée pendant trois heures comme ça !* Hurlai-je mentalement.

La mention d’une réunion en fin de soirée m’inquiéta davantage que la situation présente. Qu’est-ce que ces folles prévoyaient ? J’étais partagée entre une légère inquiétude, et une profonde excitation renforcée par la position dans lequel je me trouvais actuellement. L’intimité de Shidaru me clouait le bec, là où une délicieuse mouille commençait à dégouliner sur le bout de ma langue, et je sentais en même temps quelque chose de doux et de chaud se frotter contre mon sexe.
Ces vicieuses profitaient de mon corps sans retenue ! Shidaru était en train de remuer sa croupe sur mon visage, le trempant d’un mélange de cyprine et de sperme, et je sentais un fort durcissement entre mes jambes à cause des caresses de sa collègue. Youko devait forcément se trémousser sur ma queue, ce qui m’excitait plus que de raison, probablement parce que je ne pouvais pas la voir dans cette position !
La vue m’était interdite, bouchée comme elle était par le bas ventre de Shidaru qui m’obligeait à la lécher, mais mon imagination faisait le reste, et je sentis une nouvelle érection se manifester. Exactement ce qu’attendait Doutzen pour me mettre sur le grill à nouveau.

« Mmmh ! » Gémis-je en entendant ses consignes.

Ma langue était coincée dans le minou de la lycéenne, mais grossièrement traduit cela donnait sans doute quelque chose comme ceci : « Non ! Pas encore ! J’veux pas rester là seule ! J’serai sage ! ». Clairement, la perspective de passer encore plus de temps attachée et incapable de faire cesser le plaisir des sex-toys vibrants dans mon cul, ce n’était même pas envisageable !
Nullement le temps de m’appesantir là-dessus, Youko me prévint de la suite, et je me concentrai sur ma tâche présente pour oublier les sulfureuses sensations. Lécher et cajoler le sexe de Shidaru trompa quelques temps mon imagination, mais il m’était totalement impossible de faire fi de la délicieuse sensation de chaleur, de douceur qui entourait étroitement mon sexe durci.

« Ahmm… Au moins, elle a un beau membre qui n’est pas décevant… » Précisa Youko, là derrière, ce qui fit glousser Shidaru.

« Faudrait déjà qu’elle tienne le coup plus de trente secondes. Aller, lèche mieux que ça, petite trainée ! »

Difficile de dire si ce fut le terme de trainée, ou la gifle que Shidaru m’asséna, mais je poussais un couinement pathétique qui la fit glousser d’autant plus. Je commençai à avoir une nette préférence pour Shidaru la provocatrice, peut-être était-ce simplement le ton cinglant, ou bien parce que j’avais une vue plongeante sur son corps nu en train d’onduler sur mon visage.
Quoiqu’il en soit, j’appréciai vraiment la manière dont la lycéenne me traitait, si bien que je redoublai d’effort pour lui faire plaisir, en oubliant quasiment Youko et tout le reste. Avec le temps, le plug entre mes fesses faisait presque partie de mon corps, au point qu’il m’était presque sortie de la tête, et je trouvai une sorte de réconfort agréable à être attachée ainsi à leur merci.

*J’vais faire mieux que deux minutes, z’allez voir…*

Ma langue visitait furieusement l’entrejambe de Shidaru, remuant lubriquement entre ses lèvres intimes, collectant l’onctueuse cyprine tout en revenant cajoler son clitoris de temps à autre. Des manœuvres qui n’étaient pas dépourvues de succès puisque je l’entendais gémir, et onduler sur mes lèvres, tandis que le goût de sa mouille se propageait dans ma bouche. Cela présentait également l’avantage de me faire presque oublier Youko empalée sur mon sexe rigide, ce qui me préservait d’un orgasme précoce cette fois-ci. Doutzen allait être fière de moi !
Désormais, une volonté farouche de me montrer à la hauteur m’habitait, d’être une parfaite esclave endurante qui pouvait faire plaisir à Shidaru, ma mai-… Doutzen. Oups. Ce n’était pas le moment de m’oublier en les confondant. Quoiqu’à ce stade, je me considérai comme la soumise de toute ces perverses infarles. En tout cas, je ronronnai d’aise en léchant l’intimité de la lycéenne, appréciant tout particulièrement d’être ainsi dans sa posture inférieure.

Pendant ce temps, les minutes s’écoulaient au rythme des mouvements de Youko sur mon sexe, des gémissements de Shidaru… Et moi je tenais le coup, fidèlement aux injections de ma maitresse !


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