Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Virginité & Littérature. [Verena]

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Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 75 vendredi 20 juillet 2018, 16:33:56

Rien n’arrêtera Elisabeth, elle ne sera sensible à aucun de mes mots.
« Honte ? Mais nous ne sommes que deux ici ma petite chienne. D'ailleurs ne bouge pas. »
Ces mots me rassureraient presque, par la relative discrétion qu’ils évoquent, mais ne me rassurent pas du tout quand, à la suite, elle s’éclipse de la pièce. J’aurais pu espérer que ma jouissance, car c’en était vraiment une, apaiserait sa folie, mais je n’y crois même plus.

Quand je la vois arriver, quand je vois ce qu’elle a en mains, je hurle « Nooonnnn ! », comme si les murs pouvaient transpirer mon effroi. Mais ça ne l’arrête pas.
« Allez, crie. Ça t'apprendra à me résister. »
« Noooonnn ! », mon nouveau cri se perd en écho dans les murs.
L’eau me brule atrocement, partout, pire encore que tout ce qu’elle m’a fait subir depuis des heures.

Je suis anéantie, meurtrie, et Elisabeth trimballe mon corps comme un fétu de paille. Tout au plus la vois-je mettre une corde au plafond, sens-je la corde passer autour de mon cou. La mort enfin, la délivrance !
J’ouvre mes yeux, regarde Elisabeth, et, quand elle avance son pied, parce que, même ainsi, je sais qu’elle va le faire, je lui dis, avec tout le peu de forces qu’il me reste :
« Merci de me délivrer »
Et le tabouret vole d’un coup de pied.

Surtout, ne pas lever mes mains, ne pas m’accrocher à cette vie dont elle a fait un calvaire, et dont elle ferait un enfer. Surtout, ne pas, dans un ultime geste… mais mon corps m’a déjà désobéi en jouissant, alors je ne suis plus sure de rien.

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 76 vendredi 20 juillet 2018, 22:45:02

Elizabeth regarde tranquillement Verena, attendant que la jeune femme s'aide de la corde d'elle-même. Ou qu'elle se laisse mourir peut-être ? Voyons voir si la jeune femme ose survivre. Si elle aime être une chienne, et qu'elle veut continuer de l'être. C'est un test que lui offre Elizabeth, dont elle est la seule décisionnaire. Quelle chance elle a, de pouvoir enfin faire un choix dans sa vie !

- Alors ma chienne ? La vie ou la mort ?

Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 77 vendredi 20 juillet 2018, 23:15:36

Ca ne se programme pas, surtout quand ça vient d'une autre. Je n'ai pas demandé à mourir, ni à ce moment, ni comme ça.
« Alors ma chienne ? La vie ou la mort ? »
Dans un élan qui m'échappe, malgré mon corps endolori, mes bras se dressent instantanément au dessus de ma tête, saisissent le corde comme ils peuvent. Mes muscles se tendent, dans une posture improbable, pour essayer de relever mon corps et soulager cette pression. Je tousse, je hoquette, mais je mets toute mon énergie. Mes jambes battent l'air, comme pour chercher un appui. Aussi légère que je sois, je ne tiendrai pas longtemps, et le regard sadique d'Elisabeth n'est pas une invitation à rester en vie sous sa coupe.

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 78 samedi 21 juillet 2018, 15:00:28

Elizabeth lui enfonce un doigt dans le cul et la soulève, de sa force surhumaine, pour lui permettre de respirer un peu. Elle a choisi la vie après tout !

- Tu veux donc continuer à vivre comme une chienne, hmm ?

La belle blonde envoie des décharges nerveuses, semblables à un courant électrique, directement dans le corps de Verena. Il faut la stimuler un peu, non ? Elle n'est pas au bout de ses peines, la pauvre ! Elizabeth a bien d'autres idées pour la faire souffrir un peu, avant de pouvoir lui procurer du plaisir.

- Tu te demandes sûrement pourquoi je te fais subir tout ça, hmm ? Qu'as-tu fait pour mériter ça ?

Elle la relâche, laissant alors Verena s'étrangler avec la corde de nouveau.

- Je me demandais la même chose il y a bien longtemps, tu apprendras à l'accepter.

Verena

Humain(e)

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 79 samedi 21 juillet 2018, 15:13:13

Je m'accroche comme je peux, mais je sais que ma force me lâchera. C'est incroyable que, d'un simple doigt, Elisabeth parvienne à me soutenir, pour récupérer un peu, reprendre mon souffle. Comment puis-je être aussi lubrique, pour être fière qu'elle viole ainsi mon cul ? Sans oublier que je ressens de violentes décharges, que je ne comprends pas, mais qui font mouiller ma chatte. Après tout ce qu'elle m'a déjà fait subir, ce n'est quand même pas juste un doigt qui me met dans cet état dont j'ai honte.

Je me moque de ses délires, je lui dis juste : « Elisabeth, arrête ça, je t'en supplie ».
Mais, pour toute réponse, elle enlève son doigt, et je retombe tout aussi violemment, le noeud marquant mon coup dans un craquement bizarre. Je fais encore un effort surhumain, mes bras agrippent la corde qui tombe du plafond. Je me suis encore sauvegardée, mais pour combien de temps ?

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 80 samedi 21 juillet 2018, 18:52:53

- Oooh ? Mais tu mouilles en plus !

La belle blonde lui écarte les jambes et commence à lui recouvrir la chatte de coups de langue, alors même que Verena est toujours pendue. Elizabeth s'en délecte d'ailleurs, et ne manque pas de le lui faire savoir en tirant sur ses jambes pour que la corde l'étrangle davantage, compliquant ainsi ses efforts pour se hisser.

Elizabeth se saisit ensuite de la batte de baseball. Puis, sans préparations ni douceur, elle empale subitement Verena par le cul. La batte est assez large pour lui faire horriblement mal, alors qu'elle l'enfonce toujours plus loin. Il n'y a pas d'autres mots, Verena est littéralement empalée.

Elizabeth se saisit ensuite du seau pour le placer sous la chatte de Verena, sentant qu'elle ne va pas tarder à pisser. Les pendues pissent toujours, non ? En tout cas, elle a plutôt intérêt à le faire.

Verena

Humain(e)

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 81 samedi 21 juillet 2018, 19:10:34

J'ai honte, j'ai trop honte, mais je ne dois pas craquer. Pourtant, après ces heures de violence, la langue d'Elisabeth est un plaisir merveilleux, qui laisse s'échapper un « Huummm » bien malgré moi..
Mais je devrais savoir qu'avec Elisabeth un plaisir est toujours assorti d'une souffrance, et elle tire aussi sur mes jambes, comme pour que la pendaison fasse son œuvre, m'arrachant, cette fois, un « Arrrgghh ! », alors que j'ai vraiment cru y passer

Je me redresse comme je peux, mais je quasi décoll vers le haut, quand je sens un objet rond en bois forcer mon anus. La batte de base-ball. Elisabeth la pousse avec une insistance inouïe, alors que mon poids me ramène vers le bas, comme me poussant à prendre dans le cul un truc encore plus gros que son pseudo phallus.

Je n'arrive plus à me soulever, je suis sure qu'elle m'a déchiré l'anus, mais je ne peux même plus parler, tant j'essaie d'économiser mes forces pour ne pas finir pendue.

Mes forces faiblissent, je le sais, et l'image horrible que j'ai de ma mort, est de finir pendue, enculée sur une batte de base-ball. L'horreur absolue, la seule image qu'on gardera de moi, une salope puant la pisse finissant ainsi.

Et, sous les yeux d'Elisabeth qui affiche toujours son sourire sadique, je me sens faiblir, mes bras faiblissent aussi, la pression de la corde est plus forte sur mon cou, et ma vessie me lâche, sans que je comprenne comment je peux uriner, quasiment assoiffée depuis la veille au soir.

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 82 dimanche 22 juillet 2018, 03:05:13

Cette violence, cette luxure, tout ceci rend Elizabeth complètement folle. Les joues roses de plaisir, les yeux brillants d'excitation, c'est une véritable démone qui se tient là. Verena, empalée par une batte si bien qu'elle forme une bosse sur son ventre, pendue, et pissant ainsi dans le seau, est plus belle que jamais. Elizabeth ne manque pas de lui lancer le contenu du seau pour la recouvrir de pisse.

- Ne meurs pas tout de suite, je reviens.

Après cinq interminables minutes, Elizabeth revient avec un gode immense. Si immense qu'en étant posé au sol, il manque de cinq minuscules centimètres le plafond. Elizabeth l'installe donc, et oriente cette fois-ci la chatte de Verena vers le bout. Ainsi, elle pourrait se retrouver empalée de la tête aux pieds, jusqu'à ce que le gland lui ressorte par la bouche.

- Si tu veux vivre, tu vas devoir te le prendre dans la chatte pour te surélever un peu.

Elizabeth ne lui demande pas son avis et tire sur ses jambes pour l'empaler sur le gode jusqu'au nombril, déformant son corps. La batte est toujours enfoncée de toute sa longueur dans le cul de la jeune femme d'ailleurs.

Verena

Humain(e)

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 83 dimanche 22 juillet 2018, 07:06:26

La corde semble grapiller quelques millimètres à chaque fois. Je ne tiendrai plus longtemps, car mes bas sont tétanisés. Mais ce n'est finalement rien, face à la douleur qui irradie mon cul. Même les trois salauds, même le pseudo phallus d'Elisabeth, tout ça n'était rien à côté de ce monstre, que mes leçons d'anatomie assurent avoir détruit une partie de mon corps. Ce que je ne comprends pas, c'est que ma petite rondelle, ou du moins ce qu'il en reste, serre assez fort cette batte pour la garder au lieu de l'expulser. *Oh Verena, ne me dis pas que tu aimes ça !*. Je dois mourir, pour mettre fin à ça, mais mes mains ne m'obéissent pas.

« Ne meurs pas tout de suite, je reviens. »
Elisabeth s'en amuse autant que je souffre. Rester en vie, c'est lui offrir tout ce qu'elle veut dans ma déchéance. Mais puis-je encore tomber plus bas ?
Je ne peux même plus battre des jambes pour essayer de soulager le poids de mon corps, tant la batte me bloque la taille.
Alors, quand je vois le monstre que ramène Verena, je sais que je ne tiendrai pas.
« Nooonnnn ! », c'est sans doute le dernier cri que je pousserai.
 Je n'ai jamais vu de gode pareil ! Il peut me transpercer pire qu'une arme.

« Si tu veux vivre, tu vas devoir te le prendre dans la chatte pour te surélever un peu. »

Elisabeth n'a pas eu la moindre hésitation, et ce nouveau monstre me transperce avec le mouvement qu'elle imprime à ma taille.c'est passé tout seul dans ma chatte, comme si ça glissait dans l'humidité. J'ai même cru entendre un étrange floc. Quelle horreur !
J'essaie de me surélever, tirant sur la corde pour me remonter, mais mes bras fatiguent, et je redescend plus encore sur ce monstre qui s'enfonce en moi de mon seul fait. Je vais exploser avec ces deux machins !

Elisabeth me regarde, ricanant, je le sais, m'empaler toute seule sur ce gode.

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 84 dimanche 22 juillet 2018, 19:07:08

- Allez Verounette, un petit effort !

Floc, flasch, flatch, et pire encore. Sa chatte émet toutes sortes de bruits, ainsi empalée sur le gode géant, et Elizabeth s'assure de la détruire en tirant sur ses jambes pour l'empaler encore plus. La corde serre son cou à chaque descente, lui occasionnant de nouvelles marques un peu plus à chaque va et viens. La partie est finie pour Verena, elle ne sera plus jamais la même. Son destin est déjà scellé depuis un petit moment déjà, Elizabeth la relâchera peut-être dans dix ans une fois qu'elle sera devenue une parfaite chienne comme elle-même l'est devenue.

Dans tous les cas, ce qu'il faut reconnaître, c'est la propension des orifices de Verena à recevoir toutes sortes de formes phalliques ! Une batte et un gode immense de la taille de deux cuisses parviennent à entrer, déformant complètement ses formes. Si Elizabeth ne la répare pas, Verena vivra avec un trou de la taille d'un ballon de foot entre les jambes pour le restant de ses jours. C'en est tellement invraisemblable que la jeune femme ne peut s'empêcher de rire.

Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 85 dimanche 22 juillet 2018, 19:39:15

Même mon père, dans ses pires abjections médicales, n'aurait pas imaginé qu'un corps puisse se distendre comme le mien, que des orifices puissent être ouverts comme les miens, que des corps étrangers puissent y entrer en un tel volume.
Même ses amis peu fréquentables n'auraient pas osé, envers leurs ennemis, des tortures aussi immondes que ce que me fait subir Elisabeth. Eux, avec une femme, ils violaient puis tuaient. Elisabeth, au contraire, savoure son plaisir. C'est une folle, c'est une malade.

Un craquement plus important annonce que la corde poursuit son oeuvre. Je ne peux pas résister, malgré mes bras qui donnent tout ce qu'il leur reste de force, car Elisabeth tire sans cesse mes jambes vers le bas.
La batte de base ball semble figée dans mon cul, ayant fait son oeuvre dévastatrice, tandis que le gode continue de faire son oeuvre troublante.

Elisabeth ricane, en tirant encore un coup sec sur mes jambes, et un "Ouuuiiii!" incongru sort de ma bouche, manquant me faire lâcher la corde, tant cela secoue mon corps.
Je viens de jouir, malgré moi. Je pleure. Je n'ose même pas regarder Elisabeth. Elle tire à nouveau un coup sec sur mes jambes. Ca ne s'arrêtera donc jamais?
« Modifié: lundi 23 juillet 2018, 07:20:13 par Verena »

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 86 lundi 23 juillet 2018, 03:05:34

- Voilà ! Jouis ! Jouis comme une pute !

Elizabeth tira de plus belle sur ses jambes, jusqu'à en faire casser la corde. Verena pouvait donc respirer pour de bon cette fois, mais à quel prix ? La jeune femme était empalée plus profondément que jamais sur le gode, et Elizabeth ne s'arrêta de tirer que lorsque le gland finit par lui ressortir par la bouche. Aussi invraisemblable que cela pouvait-il paraître, Verena était en vie. Elizabeth s'en assurait grâce à son pouvoir, plus folle que jamais.

Verena était donc empalée par un gode faisant la largeur de ses deux cuisses, et celui-ci lui ressortait par la bouche. Verena aurait du avoir la mâchoire broyée, mais Elizabeth avait également prévu le coup en rendant ses os assez souples pour ne pas se briser. En clair, la jeune femme possédait le pire pouvoir possible pour une malade comme elle. Le pouvoir de faire subir tout ce qu'elle voulait à une personne, sans jamais la tuer !

Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 87 lundi 23 juillet 2018, 07:21:40

« Voilà ! Jouis ! Jouis comme une pute ! »

Elisabeth n'attendait que ça. C'est aussi moi qui ai incité ces va-et-vients malgré moi, en essayant de me retenir pour ne pas mourir pendue.
Elisabeth n'est pas calmée ! Elle tire plus violemment encore, et la corde casse, le morceau autour de mon cou restant comme un collier, pour me rappeler le collier de chienne qu'Elisabeth m'a mis pour arriver ici.

Je ne peux même pas pousser un cri, tant cette libération s'accompagne d'une douleur inouïe. La gravité, la seule gravité, m'a fait descendre d'un coup sur le gode. Je n'ose imaginer l'état de ma chatte, ni comme doit être l'intérieur de mon corps.
Elisabeth a détruit ma virginité.
Elisabeth a détruit ma chatte, temple de jouissance quand on fait l'amour.
Elisabeth a détruit mon corps, et anéanti tout ce bonheur d'enfanter.
Elisabeth m'a détruite, mais elle est insatiable dans cette perversion.
Elisabeth tire avec violence et continuité.

Je sens ce monstre se frayer un chemin. Je le sens même écarter la batte de base ball désespérément figée en moi. Je ne sais même plus où en est le seuil de la douleur, car la chose glisse dans ma chatte avec des flic et des floc honteux. La chose remonte jusqu'à ce que le gland me sorte entre les lèvres. Je voudrais hurler mon effroi, mais je ne peux même pas !

Je suis un mélange de poupée gonflable et de pantin désarticulé, empalé sur une immense tige de caoutchouc en forme de sexe, avec un anus à la limite de la rupture par un autre immense en bois. Je ne comprends pas comment c'est scientifiquement possible, car je devrais être morte depuis longtemps. C'est comme si Elisabeth jouait de la matière de mon corps, de ma résistance, de ma vie.

Et, avec le regard sadique et satisfait qu'elle a, je m'attends au pire.

Elizabeth Ostwick

E.S.P.er

Re : Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 88 lundi 23 juillet 2018, 21:39:04

Elizabeth ne fit rien de plus et se contenta de s'asseoir en tailleur, admirant son oeuvre d'art d'un air satisfait. Une femme empalée sur un gode, agonisante, brisée. Elizabeth s'était bien défoulée aujourd'hui, et n'avait plus envie de s'amuser avec. Elle n'était plus divertissante, mais demain serait un autre jour !

La jeune femme se releva donc pour pouvoir mieux observer Verena, et s'approcha d'elle, toute sourire.

- Tu veux essayer de dire quelque chose ?

Verena

Humain(e)

Virginité & Littérature. [Verena]

Réponse 89 lundi 23 juillet 2018, 21:52:23

A chaque instant, j'ai l'impression de franchir un pas de plus, comme si Elisabeth repoussait, je ne sais comment, l'instant où je vais vraiment, ou enfin, mourir, dans des souffranes encore pires que tout ce qu'elle m'a fait endurer, mais surtout atteindre enfin la délivrance.
Avec tout ce qu'elle a forcé à entrer dans mon corps, tous mes organes distendus devraient me tordre d'une douleur insupportable, mais même pas. Pourtant, il va bien y avoir un momet où l'hémorragie interne va s'amplifier, où je vais me vider de mon sang, et mourir sous ses yeux moqueurs !

« Tu veux essayer de dire quelque chose ? »
Cette salope sait bien que je ne peut rien dire, avec ce gode qui me distend la gorge !
« Hummppfff »
Ca ne veut rien dire, et je la vois ricaner.
« Oouuuummmppphhhh »
Même échec de parole, mais Elisabeth est tout près de moi.


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