Je vais mourir dans un temple shinto, d'avoir baisé avec un gode trop long et trop gros. Je ne sais même pas si j'aurai une tombe au cimetière. Et, quand on parlera de moi, ce sera pour parler de la salope qui s'est faite défoncer par un chibre qu'utilisait une inconnue. Morte d'avoir trop baisé, ç'aurait été une jolie épitaphe. Morte parce que, à force de vouloir plus gros, elle a pris trop gros, c'est moche. Mais là, je n'en peux plus, trop de douleur, si peu de force, je ne vais pas tarder à m'évanouir.
Je sens pourtant Akira m'enlever l'énorme machin, et, presque aussi forte que la douleur, j'éprouve la sensation d'un immense vide, plus absurde encore l'envie d'une bonne vraie queue à la place. Mais ce n'est pas pour cette fois. Akira est carrément en train de me fister, elle y a mis le poing sans forcer, et je sens un gel glacial s'insinuer partout. Glacial d'abord, brûlant presque aussitôt après. Mon esprit ne se concentre plus que pour cela, comme si la douleur avait disparu.
Je n'ai plus mal, je n'ai plus ce sentiment de vide, j'ai à nouveau le sentiment d'être... remplie. Et Akira me le fait vraiment réaliser, lorsqu'elle retire son poing, en me faisant quand même mal.
« Et voilà ma chérie, tout va mieux maintenant. »
« Tout va vraiment mieux ? ». J'aurais aimé qu'elle me réponde, mais, quand j'ouvre enfin les yeux, ce sont trois queues déjà bien raides qui se tiennent au dessus de moi.
Akira est vraiment folle, mais une queue, ne bonne queue, j'ai envie de retrouver ça, après ce que je viens d'endurer. Je sais que je pue la mouille, que mes cheveux en sont collés, mais ça ne dérange pas ces trois hommes. Je m'agenouille dans la mare de cyprine, je les regarde d'en bas, avant d'enfourner la première queue entre mes lèvres, un dard long et fin, un gland rose pas trop gros, un parfum subtil. Mais la dégustation ne dure pas, les autres s'impatientent ; je suis sure qu'ils se sont branlés en me regardant prendre le gros gode. Le deuxième a un sexe dans la norme, déjà gluant de quelques gouttes ; ce serait dommage pour lui qu'il lâche déjà dans ma bouche, et j'y vais mollo. Le troisième est différent, décidément, avec un sexe qui paraît très gros, qui m'étouffe presque, qui me fait vraiment creuser les joues, mais qui n'est finalement pas long.
Je jette un regard furtif à Akira, qui a déjà un chibre dans chaque trou. « Tu croyais m'avoir, tu vas voir ». J'indique au deuxième de se mettre dos à terre ; il baignera dans la mouille mais tant pis. J'ai une petite appréhension quand je descend sur lui, peur des douleurs dans ma chatte meurtrie ; je guide le rythme, il tient juste sa queue et ça entre tout seul, me faisant retrouver une baise « normale ». Le premier, je le veux dans le cul, un petit trou déjà ouvert par les deux doigts de Akira. Il n'en demandait pas tant, je vois un sourire sur son visage. Bingo ! J'ai gagné, c'est le plus doux de la bande, il avance avec tact, et je suis moi-même surprise de la facilité avec laquelle il parvient juste au fond de mon fondement. Hum, la sensation de deux bites en moi en même temps. Je regarde Akira déjà déchaînée, et je fais signe au troisième qui envahit ma bouche avec peu de douceur. Celui-là, c'est sûr, il va vraiment baiser ma bouche, surtout qu'il empoigne mes cheveux pour décider du rythme. Sans parler la même langue, il suffit de simples gestes pour s faire comprendre.
J'ai trois bites en moi, pour la première fois, grâce à Akira, je l'avoue.
Je la regarde, mes yeux déjà brillants. La folle sarabande peut commencer.