« Aaaah, aaah... grosse pute ! Sale chienne ! Espèce de putain de salooope... »
Je viens de me prendre ça en plein ! Ça faisait si longtemps qu'on ne m'avait pas traitée ainsi. Je revis ! Il a fallu que je vienne dans un temple pour entendre ça à nouveau. Et ça me fait l'effet d'un aiguillon. Puisque lui ouvrir le cul a déclenché ça, j'insiste et mon simple index commence à se trouver très à son aise, au point de lui adjoindre le majeur, m'offrant juste sous les yeux la belle vision de ce petit trou qui n'est plus si petit.
Mais j'ai aussi l'impression que ça a métamorphosé Akira. Elle est en train de me broyer la chatte, et l'expression « défoncer » prend toute sa valeur. Mes parois sont distendues, sa main cogne et les étire encore, avec un rythme de folie. Je dois ruisseler de mouille, tacher ma robe de bure sous moi !
Et, comme si ça ne suffisait pas, j'ai le cul dans un de ces états. Il doit être aussi béant que ce joli petit trou de cul que j'ai sous les yeux. Et, là aussi, elle a oublié la douceur, elle me ramone littéralement l'anus !
D'ailleurs, une première et violente décharge nerveuse m'alerte sur l'état avancé de la jouissance qui monte. Je sais déjà que celle-là, je ne l'arrêterai pas !
J'ai le bas-ventre en feu, à peine sous mon contrôle, s'agitant pour venir à la rencontre de l'une et l'autre main. Comme la fois où Léa m'avais prise, alors que j'avais un plug dans le cul, me mettant dans un tel état de transe, juste avant d'inverser, en me sodomisant avec un god ceinture, tout en jouant avec la télécommande de l'oeuf qu'elle m'avait fourré dans la chatte.
Là, je suis transpercée de la même manière, et une deuxième et violente décharge nerveuse m'indique que ça monte, inexorablement.
La troisième n'a pas le temps d'arriver, que mon visage se trouve noyé, sous des flots quasi continus de cyprine. Akira est partie ailleurs, elle m'inonde, j'ai peine à respirer, étouffée par sa chatte et noyée par sa cyprine.
La troisième décharge nerveuse arrive, ou plutôt l'orgasme monte, sort, jaillit, explose. Mon bassin décolle une nouvelle fois, une dernière fois, vers sa main qui m'a distendu la chatte, sentir une dernière fois ça, tandis que des secousses incontrôlées m'agitent en tous sens.
Je pars, je monte, mes cris car c'en est j'en suis sure se perdent dans sa chatte, se noient dans sa cyprine. Je hurle, j'exprime, dans une sorte de silence contraint, qui exprime mal le pied que je prends.
« Aaaaaaaaaah... ouuuuuh... hmmmm.... c'était si bon... »
Akira me parle, mais je suis ailleurs. Haut, très haut, et je ne redescends pas vraiment. Réalise-t-elle même que je ne peux rien dire, tant elle maintient la pression sur mon visage, tant je suis couverte d'elle.
« Oh putain, ce que c'était bon ! » dis-je de cette voix étouffée.