Une journée qui avait commencer mollement, des cours pas captivant, du moins pour Notori, qui voulait que ce cour de math finisse rapidement, alors que le cour avait juste débuté depuis 5 minutes. Sans doute du au fait que le prof n'était pas assez dynamique et qu'il avait commencer par faire un résumé du dernier cour. Ou parce que Notori n'aimait pas les maths en première heure, ne voulant pas réfléchir si tôt. Néamoins ce qui s'annonça être un cour long et chiant, fut troublé par l'arriver imprévue d'une fille assez atypique, clairement étrangère.
Elle se présenta comme une nouvelle élève, ce qui surprit tout le monde car le prof ne leur avait rien dit, malgré le protocole, et il semblait l'avoir oublier, lui qui se targue d'une bonne mémoire. Les présentations furent faîtes en bonne et du formes, l'ensemble de la classe la regardant avec curiosité, lu disant bonjour d'une seule et même voix. Elle n'attira pas que des regard curieux, mais aussi des regards un peu plus lubriques de la part des garçons. Une fois faite, elle s'installa derrière Notori, qui lui fit un grand sourire à son passage, avant de replonger la tête dans son cahier. Notori était ravie que sa classe accueil une nouvelle élève, une anglaise apparemment, vue qu'elle parlait anglais. Elle s'imagina déjà entrain de lui poser des questions sur la mode vestimentaire chez elle, les marques, comment elle s'habiller et chez qui, si elle voulait faire du shopping après et puis pourquoi pas, finir dans sa chambre pour...
Notori pris une brusque inspiration. Elle venait de s'imaginer son corps entrelacer avec la nouvelle, l'embrassant passionnément sa main la... la masturbant. Elle se tapota la joue, en clignant des yeux, se réveillant. Elle savait les cours de maths perturbant le matin, mais pas à ce point. Elle se concentra sur le tableau, le prof abordant le nouveau cour, cherchant à oublier ce qu'elle venait de penser. Donc si elle ajoute un lit, soustrait ses vêtements, divise ses jambes et multiplie par la nouv... Notori manqua de tomber de sa chaise, face à la vision de son esprit. Depuis que la succube venait de s'installer, le sceau était entré en action, se mettant à pulser doucement, s'illuminant d'une lumière rouge sang au yeux de la succube.
Notori était assaillit de visions obscène dé qu'elle relâcher son attention, le fessant rougir, en continue et sans arrêt, devenant de plus en plus invasif et intense, entraînant rapidement tout les garçons de sa classe, imposant des visions de bukkake ou de gang bang avec la nouvelle. Notori se cachant derrière un livre, et chercha à empêcher ses visions. Les excercices, la lecture ou se pince la joue, la détournant des visions seulement quelque instant. Et pour ne rien arranger, son corps se mit à réagir, ses tétons se durcissant et son intimité commençant à mouiller. Le tissus de ses habits se firent comme plus serrés, les frottements bien plus perceptible, provoquant des frissons, particulièrement sur ses zones érogènes. Notori finis par haleté et à finir en sueur, parvenant à le cacher, personne le remarquant, surtout que la cloche retentit. La nouvelle étant le centre d'attention, on ne fit pas attention à Notori, qui avait inondé sa culotte, au point de débordé sur la chaise, en PLS sur son pupitre ses cheveux aidant à cacher son visage rouge et son presque ahegao.
Cela n'en finissait pas, son intimité la brûlant, sans compter qu'elle pouvait sentir le regard de la nouvelle dans son dos, ce qui n'arranger rien. Elle finit par partir peu à près la nouvelle, alors qu'une de ses amies avait remarquer son état et se dirigea vers les toilettes, d'un pas incertains, s'appuyant sur les murs. Le sceau, loin de la laisser tranquille, émit des ondes, agissant comme une balise pour guider la succube jusqu'à Notori. Cette dernière s'enferma dans une cabine, sans la verrouiller, et entreprit de retirer sa culotte une fois assises sur la cuvette. Complètement imbibé, la culotte tomba par terre avec un floc, avant que Notori ne commence à se doigter maladroitement. Elle n'avait plus l'esprit clair, ignorant qu'elle était dans les toilettes des hommes, bien trop presser de se soulager, se mettant à gémir, essayant tant bien que mal de ne pas faire de bruit.