Akira avait eu un coup de barre, un élan de fatigue après une vague de sexe frénétique. Un moment qui aurait pu mettre un terme à ses élans, à sa fougue, et à la laisser parfaitement rassasiée. Dans ces conditions, Mélona se serait éloignée d’elle, l’aurait oublié, en ne voyant en elle qu’une concubine passagère, comme bien d’autres personnes. Mais, au lieu de ça, Akira s’était montrée pugnace, insistant, lui tenant tête, et faisant finalement preuve d’une énergie nouvelle, au fur et à mesure qu’elle suçait avec appétit la queue de l’homme les ayant rejoint. Le maître-nageur peinait encore à croire à sa chance. Dieu, mais comment diable avait-il pu hésité ? Tout son boulot ne valait pas ça ! Il aurait pu être viré ce soir qu’il en aurait rien eu à foutre, vu qu’il avait la chance de se faire sucer par une pure salope, une gourmande qui pompait généreusement son dard, l’enfouissant entre ses lèvres, l’astiquant bruyamment, multipliant les gorges profondes. Sa queue enflait et grossissait en elle, et ses mains se crispaient sur les cheveux de la femme.
Chaque fois qu’Akira se retirait pour happer de l’air, ou pour répondre à Mélona, l’homme fourrait sa verge tendue dans sa bouche. Et, pendant ce temps, la magie rose de Mélona se répandait. Hommes et femmes y étaient sensibles, et, de fait, les pupilles du maître-nageur se nimbèrent de rose pendant quelques secondes. Peut-être aussi qu’inconsciemment, Mélona donnait à ces deux amants un petit coup de pouce, comme si elle-même avait encore envie de profiter d’Akira. Et, honnêtement, vu la magnifique femme qu’elle était, on ne pouvait que la comprendre, non ?
« Hihi, tu mouilles tellement, ma chérie... Sa queue t’excite, hein ? »
Simple question rhétorique, bien sûr, et, tandis que Mélona la masturbait, les doigts nichés en elle se collèrent entre eux, jusqu’à ce que les tentacules ne viennent former un plus gros membre, de taille phallique, écartant progressivement les parois vaginales d’Akira, avant de la pénétrer. Elle se faisait ainsi prendre par le devant et par le derrière, Mélona se frottant sur elle. Tout le bras occupé à la pénétrer se transforma en un tentacule, et elle fit pousser une nouvelle paire de bras sur son corps, s’en servant pour masser et pincer les seins de la femme.
« Là, là, n’aie pas peur pour la fatigue, Tata Mélona va t’aider ! »
Un autre tentacule émergea, en forme de seringue, et se planta dans le cou de la femme, répandant dans ses veines une substance magique, un concentré de magie rose, mais aussi de slime.
« Voilà... Un petit boost pour toi. Tant que tu seras excitée, la jouissance de tes partenaires viendra te revigorer ! »
Mélona lui avait en fait injecté un peu d’elle-même, une partie de slime qui se mélangea à son organisme. Un morceau d’elle qui allait lui redonner un coup de boost, mais lui offrir aussi bien d’autres surprises... Que Mélona choisissait de conserver pour elle pour l’heure. Après tout, il fallait bien lui faire la surprise !