Voila qu'elle recommençait, obsédée par mon derrière qui s'élargissait à vu d'oeuil sous ses doigts. Combien y en avait-il cette fois ? 4 ? Non, beaucoup plus, et mon anus fut prit d'une douleur étrangement entrainante. Etirées au maximum, mes parois tendues semblaient ne plus pouvoir s'ouvrir d'avantage, me donnant l'impression d'être une petite pucelle, tant les couinements presque mignons de hontes quittaient mes lèvres. Instinctivement, je me dandinais de droite à gauche pour tenter d'échapper à ce traitement troublant, ayant l'effet inverse de tirer mes fesses à droite et à gauche délicieusement. J'eus très vite de mouiller à mon tours, et bien qu'elle ne pouvait pas respirer elle devait bien en sentir le gout quand sa langue sortait pour me déstabiliser encore plus. Mais voila que le jeu devient encore plus dangereux, les premières bulles se font entendre, le genre que l'ont relâche en buvant la tasse. La aussi, elle doit sentir que l'eau salée est gorgée d'un nectar bien plus chaud, et si nous étions pas sous la mer je serais en train de mouiller contre son visage. D'ailleurs elle ne s'est pas faite prier de son côté puisqu'elle se laisse enfin aller aux réjouissances.
Sa cyprine éclabousse autours de ses cuisses avec bien plus d'abondance, maculant l'intérieur de ma bouche et ma langue. Ca y est, elle jouit ! Ses jambes tremblent et elle semble perdre pied durant on orgasme. Parfait, le timing est tout simplement parfait, mêlant l'étouffement et son plaisir qui ne peut plus se contenir. Ses muscles semblent prit de spasmes et je dois englober mes lèvres plus fermement pour ne pas perdre prise et rater une seule goute de ce nectar si précieux. a L'aide de mes mains c'est bien plus facile de la maintenir en place en appuyant sur ses cuisses. Ses mouvements entravées, je peux enfin sucer et boire jusqu'à la dernière goutte de sa jouissance, sans arrêter pour autant mes mouvements de langues hasardeux, qui ont l'air d'un serpent agités sur ses parois tendues.
En sentant ce gout unique et en l'entendant pousser ce dernier cri sous l'eau l'excitation devient beaucoup trop puissante de mon côté aussi. Le danger qu'elle subit semble se répercuter sur moi, comme si je pouvais ressentir cette adrénaline qui coule dans ses veines. Le fait de la savoir si proche du danger m'excite assez pour jouir à mon tours, les cuisses tremblantes et l'anus se resserrant sous les contractions. La seconde suivante, m'accordant avec sa propre jouissance, je me laisse à mon tours totalement aller en poussant de petits cris de plaisir, et en enfouissant totalement son visage sous mes fesses. Même si l'idée de l'étouffer sous ma croupe est amusante, je sais qu'elle n'as pas besoin de ça pour commencer à asphyxier, non, je m'étais plus amplement assise sur son visage pour y jouir dessus, et lui laisser le plaisir d'y gouter si elle avait encore la force de le faire.
Wahh.... Oh... tu es vraiment une amante d'exception...
Je n'avais pas dis ça au hasard, même si on se connaissait encore peu j'avais cerné la belle aventurières, jouer ainsi sous l'eau avec moi en prenant tout ces danger comme plaisir n'était pas à la portée de toutes les créatures... Elle était déjà haut dans mon estime, et les dernières gouttes de mon extases se déversaient enfin sur elle, peu après qu'elle ait terminé. Même si c'est elle qui avait besoin de reprendre son souffle après une apnée si longue que j'en avais perdu la notion, c'était moi qui restait encore un instant fesses sur son visage à souffler et inspirer lourdement. Enfin, pas trop longtemps tout de même, je connaissais l'ampleur du danger et retournai aussi vite que possible près de son visage, un regard intense et une main dans ses cheveux. Il lui fallait de l'air et pourtant, mon autre main libre se guida toute seule contre sa poitrine, pour la malaxer tendrement en la fixant.
Te voir dans cet état est si... délicieux... Si je ne me contrôlais pas je pourrais essayer de te faire jouir une deuxième fois...
Mais soyons raisonnable, l'aventurière avaient surement déjà du dépasser ses limites, et je collais mes lèvres aux siennes pour lui apporter un peu d'air. Oui, juste un peu pour ne pas la submerger trop d'un seul coups, juste un peu le temps que nous remontions à la surface. Lentement, nos corps flottaient vers le haut pendant que je malaxais tendrement son sein, encore munie de ce maillot rouge. Je ne quitte pas ses lèvres un seul instant non plus, ses lèvres belles et pulpeuses avec lesquels je partage mon oxygène. Ca aurait presque un côté romantique, de partager le même oxygène de cette façon... je riais presque à cette idée en perçant enfin la surface d'ailleurs, reculant de quelques centimètres mais, la main toujours ancrée dans sa poitrine pour la presser et la tordre dans tous les sens.
Alors ma belle, c'était comment de jouir en suffoquant ? Si tu ne veux pas retourner tout de suite sous l'eau, je peux bien te laisser un peu les commandes, le temps que tu reprenne ton souffle.... l'ile n'est pas si loin.
C'était là une proposition que je faisais peu, signe qu'elle m'avait vraiment fait forte impression. Mais qu'elle n'aille pas croire que la prochaine plongée ressemblerait comme deux gouttes d'eaux à la première.... j'avais d'autres surprises en stock comme, de quoi combler son joli derrière avec autre chose que mes doigts... ou encore mon compagnon tentaculaire, si l'envie d'essayer quelques choses de plus exotique l'intéressait...