Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Zone Sous-Marine => Discussion démarrée par: Akira Fubuta le dimanche 27 mai 2018, 14:34:51
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- Comment ai-je pu me retrouver ici ?
C'est bien ce que se demandait Akira en cet instant, bloquée entre deux parois rocheuses alors que l'eau montait peu à peu vers elle. Il faut croire que ses habitudes d'exploratrice avaient fini par lui porter préjudice. S'être lancée seule à la recherche de la zone sous marine, comptant seulement sur ses talents de nageuse... sa confiance avait visiblement pris le dessus. A cours d'oxygène, et épuisée, la jeune femme galbée s'était réfugiée par chance dans cette cavité sous marine dans l'espoir d'y reprendre un peu d'oxygène. Malheureusement, la surface était trop loin maintenant.... et la marée montait considérablement. Avant même d'utiliser son pouvoir sur la roche, Akira se retrouva aspirée dans les profondeurs des abysses par le courant. Privée de surface solide, son pouvoir devenait inutilisable.
Son seul espoir serait de remonter à la surface. Mais impossible. Le soleil est à peine visible d'ici, et le courant est trop fort pour elle.... malgré tout, Akira est loin de se laisser abattre. Ce n'est pas la première fois que la jeune femme se retrouve en position critique, cela a même quelque chose d'excitant. En réalité, l'urgence de la situation lui fit avoir une idée. Après tout, s'il lui faut une surface solide pour utiliser sa capacité... son maillot en est une ! La jeune femme ne tarda pas à tracer un cercle sur son sein droit, duquel s'échappa une lumière bleutée, presque divine. Il ne lui restait plus qu'à se réfugier dans la dimension parallèle... mais un nouveau problème survint.
Avant d'avoir pu terminer le cercle, ce qui n'aurait du prendre que trois pauvres secondes, Akira sentit quelque chose lui agripper la cheville. Lorsqu'elle baissa les yeux, Akira aperçut une créature inconnue. Une sorte de sirène couverte d'écailles, au visage monstrueux. Bien loin de l'idée qu'elle se faisait de ces élégantes créatures marines. La jeune femme tenta de se dégager du mieux qu'elle le pouvait, mais rien à faire. Cette chose était en train de l'attirer au fond de l'eau, et elle risquait bien d'arriver à ses fins. Comment pouvait-elle s'en sortir dans une pareille situation ? Devait-elle regretter son choix de partir à l'aventure seule ? Non, bien sûr que non. Au milieu des quelques problèmes que cette vie lui a apportés, une multitude d'instants merveilleux avaient eu lieux. Pour rien au monde Akira ne regretterait cela.
D'un mouvement sec, la jeune femme parvient à se dégager de l'emprise de la bête, déstabilisée un court instant. La jeune femme ne perdit pas une seconde pour nager à toute vitesse en direction de la surface, retenant sa respiration presque à court comme elle le pouvait. Alors que la bête reprenait ses esprits, Akira continuait de nager. Manifestement, elle n'atteindra pas la surface avant quelques minutes. C'est bien trop court. La créature nage déjà vers elle à une vitesse folle, elle l'aura rattrapée dans quelques secondes. Dans un pareil moment, Akira ne pourra pas s'en tirer sans aide.
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Certaines cavités rocheuses étaient de véritables dédales sous marins au large du japon. Près d'une petite ile de sable ressemblant à un cliché de celles que l'ont voyait dans les histoires de naufrages, serpentait l'une de ces galeries. Des mètres et des mètres de grottes, certaines immergées, d'autres possédant de petites cavités avec de quoi respirer. Nombreux étaient les plongeurs qui s'y étaient noyés en s'y perdant. Enfin ça, c'était la version officielle des gardes maritimes. Car si effectivement diverses noyades naturelles avaient eu lieux, d'autres corps eux étaient retrouvés à des killomètres de la zones, comme déplacées. Dévorés, la thèse d'un animal sous-marins carnivore avait été retenue, mais moi, je connaissais la vérité.
Depuis peu, des sirènes plus diaboliques et plus perfides s'étaient installé dans ces mers, traversant un portail abyssale de Terra. Bien plus gourmandes, dangereuses, et monstrueuses, leurs nouveaux terrain de chasses semblaient être les alentours de cette île, et peu le savaient. J'étais d'ailleurs moi même une de leurs cibles et devait perpétuellement me battre contre elles. Aujourd'hui encore, je patrouillait dans cette zone maudite avec un atout de tailles. Si je n'avais pas forcément l'avantage du nombre, mon compagnon sous marin qui n'était qu'une sorte de grosses pieuvres géante, avait bien de quoi effrayer même ces créatures. Alors que je finissais à me battre avec l'une d'elle, le cri d'une sirène maléfique plus éloignée se répercuta dans l'au, comme blessée. Quelqu'un d'autre se battait contre ces bestioles ? Surement un plongeur imprudent.
Va t'occuper d'elle.
Sur ces mots, le " kraken " passa devant tandis que je m'occuperais d'aider la victime... Enfin... peut-être... on verra bien sur place ! En l'occurence comme il semblait que ce soit une jolie baigneuse en détresse, je ne me priais pas pour nager dans sa direction. Au même moment, la sirène monstrueuses sur le point d'attraper ses jambes, pousse un hurlement et disparait dans les fonds, tirée par de longues et puissantes tentacules qui s'enroulent autours d'elle. Mon compagnon a fait du bon boulot, et moi j'en profite me rapprocher de la belle petite chose perdue. Bon ça n'as pas l'air terrible, à en juger par la couleur de ses joues ça doit surement faire un sacré moment qu'elle se bat pour ne pas respirer. Il va lui falloir de l'air, et très vite... Mais la surface est encore loin. Tant pis, que cela lui plaise ou non je ne vois qu'un seul moyen : presser mes lèvres férocement contre les siennes et l'obliger à écarter ses lèvres avec ma langue. Pas pour lui rouler une pelle, non, mais pour soulager ses pauvres poumons en expirant. C'était comme... lui faire du bouche à bouche, en quelque sorte... De quoi la faire patienter le temps de remonter lentement vers la surface et enfin crever ce voile d'eau, pour regagner le soleil.
Fiou et ben, on peut dire que t'es une sacrée chanceuse toi, et aussi une sacrée imbécile... Depuis quand on nage à de tels profondeurs sans équipements de plongée ? T'es suicidaire ?
Bon, après tout c'était son problème, et puisque le petit ilot de sable n'était pas loin autant y nager. Ca lui serait surement plus facile de reprendre ses esprits là bas.
Si tu viens pour ces histoires de trésors oublie ça, ces cavités sous marines sont pires qu'un labyrinthe, c'est impossible de les traverser sans s'y noyer.
Le soleil était vraiment pesant sur ce petit ilot et je sentais que je ne pourrais pas y rester très longtemps sans manquer d'eau.
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Lorsqu'elle aperçut le kraken s'attaquer à la monstrueuse sirène, Akira pensa tout d'abord à un autre prédateur ayant pour but de la dévorer. Cependant ses craintes furent rassurées en constatant que le monstre ne s'attaquait pas à elle. Le seul problème restait son manque d'oxygène. Alors que la jeune exploratrice était à deux doigts de perdre connaissance, elle sentit de charmantes lèvres se presser contre les siennes. La jeune femme ouvrit les yeux pour constater qu'il s'agissait d'une séduisante sirène venue lui porter secours. Elle compris rapidement ce qu'elle voulait, et inspira profondément pour lui dérober un peu d'oxygène et ainsi éviter la noyade. Akira avait déjà suffisamment frôlé la mort. La splendide jeune femme s'agrippa au cou de la sirène a l'aide de ses deux bras, pressant son corps contre le sien afin d'être certaine d'atteindre la surface.
L'arrivée à l'air libre fut une libération. Akira prit une grande bouffée d'air, exténuée, mais soulagée d'être enfin de retour à la surface. Elle ne put même pas répondre à la première phrase de sa sauveuse, trop essouflée pour placer un quelconque mot. Elle se laissa emmener sur le petit ilôt, toujours agrippée à la sirène. Akira la relâcha finalement une fois sur la terre ferme, et se laissa tomber au sol, allongée dans le sable.
- Je ne viens pas pour les trésors, seulement pour explorer. Ces galleries avaient l'air pleines de surprises... la preuve.
Malgré la situation Akira n'avait pas perdu son humour. Elle s'étira, souriante, heureuse d'être saine et sauve. Le regard tourné vers le ciel, elle commença simplement à profiter du soleil. Qu'il est bon de ressentir sa chaleur lui caresser la peau... cet endroit est un vrai petit coin de paradis. De plus, maintenant qu'elle y est allée, elle pourra y revenir à volonté grâce à son pouvoir. C'est dans la poche !
- Tu es bien tombée, petite sirène. ♥
Akira toisa la sirène de ses yeux bleus envoutants, un petit sourire naissant sur ses lèvres pulpeuses. C'est la première fois qu'elle rencontre une sirène amicale, et qu'elle en voit une d'aussi près. Elle est plûtot jolie de surcroît, quelle chance...
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Généralement après une telle approche, j'ai le droit à des remontrances qui ressemblent à " pourquoi tu m'as embrassé putain ! " alors que je leurs sauves juste la vie. Quand ce n'est pas ça, le rouge se se prive pas de monter à leurs joues, comme de petites pucelles toute timides d'avoir sentie les lèvres d'une sirènes contre les leurs. Avec cette femme il n'en était rien, elle ne semblait même pas surprise de comprendre que j'étais une sirène, comme si ce genre de mystère était pour elle une habitude. Bon, au moins ça changeait un peu, et je n'aurais pas besoin de passer les explications pour prouver que j'étais bien une sirène. Elle se permet même d'en rire. Je rêve ou elle essayait de me faire du charme là ?
Ouai enfin, y avait combien de chance pour que tu tombes sur moi juste à ce moment ? L'océan est vaste. Tu as juste du une chance qui dépasse l'imagination.
Son sourire est rayonnant et ses lèvres pulpeuses me donneraient presque envie de lui refaire du bouche à bouche tout de suite. Dommage, elle ne semble déjà plus assez essoufflée pour ça ! Ce qui ne m'empêche pas de m'approcher encore dangereusement de sa bouche, tournant la tête de droite à gauche pour l'observer. Mon maillot deux pièces moulant mes formes à force d'être trempé, est d'une superbe couleurs pourpres, et touche à plusieurs reprises le corps de la belle, sans le faire exprès. On aurait presque pu croire que c'était intentionnel pourtant, devant ma poitrine rebondissant contre sa peau.
Ouai pas de doute, t'es qu'une humaine. Plutôt jolie, mais qu'une simple humaine quand même !
Je reste très proche d'elle, un regard interrogateur sur le visage, penchant la tête sur le côté.
Bon, toi t'as le visage d'une inconsciente qui reviendra quand même explorer... c'est ça ? Il serait plus prudent d'y aller tant que je suis là avec mon compagnon alors... Au fait, je m'appelle Lyli.
En parlant aussi proche de son visage, le souffle de mes paroles s'écrasait contre ses lèvres, l'enivrant de mon parfum océan. Si elle voulais explorer, je ne comptais pas la laisser y retourner seule, c'était trop dangereux. Et puis... moi aussi j'étais une sirène, il ne fallait pas l'oublier... Attirer sa proie dans l'eau était une base... Peut-être aurais-je envie de m'amuser avec elle, qui sait... probablement ! Elle était si belle !
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- J'aime l'aventure, peu importe les risques je finis toujours par m'en sortir !
Akira étouffa un petit rire élégant, amusée par la remarque de la sirène. La chance, c'est sa meilleure amie après tout ! Combien de fois lui a-t-elle portée secours. Si la chance était une personne, elle lui aurait sûrement déjà fait l'amour sauvagement. Mais pour le moment, quelqu'un se trouve déjà à sa portée... et son corps semble l'avoir ressenti, puisque ses mamelons durcissent peu à peu jusqu'à être visibles à travers son maillot. Akira se passe lentement la langue sur les lèvres en sentant le corps de la sirène contre le sien.
- Tu es jolie aussi, mais je ne suis pas une humaine comme les autres, petite sirène. Tu as entendu parler des Esper ?
La jeune brune passe lentement ses doigts sur le ventre de Lyli, atteignant peu à peu son nombril. Elle ne la quitte pas des yeux, un regard ardent la dévore presque. Un parfum aux senteurs de framboise s'échappe de ses lèvres lorsque la sirène exhale son parfum marin, les deux senteurs s'entremêlant avec sensualité. Akira semble réceptive aux charmes de Lyli, c'est indéniable.
- Oh... vraiment ? Serait-ce une invitation ?
Demande t-elle d'une voix doucereuse, venant presque lui caresser la peau. Akira est indéniablement intéressée par la sirène en face d'elle, attendant d'en voir plus encore. Cela fait longtemps qu'elle n'a pas pu se faire plaisir, et l'occasion est peut-être toute trouvée... après tout, peu de gens sont dignes de prendre du bon temps avec elle. Ce n'est pas une femme ordinaire ! Et manifestement Lyli non plus. Qui se ressemble... s'assemble. Elle en a plusieurs fois fait l'expérience.
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Non je ne rêve pas elle me fait bien du rentre dedans là ! Son doigt toisant mon nombril, son souffle fruité sur mon visage, puis... son regard. J'ai l'impression qu'elle me veut, qu'elle est prête à me sauter dessus comme un félin joueur, chassant sa proie. Houla, elle ne sait vraiment pas ou elle met les pieds, et à vrai dire j'aime ça ! Elle est téméraire, belle, et l'idée de plonger avec une sirène ne lui fait même pas peur malgré ce que les légendes disent de nous... On va peut-être bien s'amuser.
Les Espers ? Des humains avec des capacités c'est ça ? Oui, tu n'es pas la première que je rencontre.
Pour une humaine elle est étrangement envoutante, et impolie aussi ! Je lui dit mon nom, mais je n'ai pas le droit au siens ? Ou alors, elle est beaucoup trop occupée par l'idée d'observer mon corps ? De m'imaginer sans ce maillot ? Mais j'avais encore bien d'autres surprises qui n'étaient pas visibles... Enfin, si c'est ce qu'elle semblait vouloir de toute façon, nul besoin d'user de stratagème supplémentaire pour lui suggérer de faire un petit plongeon. Je me lève donc, brisant ce contact rapproché avec un petit sourie joueur, sans même la prévenir que je m'en allait. Au moins, elle peut profiter de mon superbe déhancher de fesses pendant que je me dirige vers l'eau, dans les premières vagues. L'eau arrivé à la taille, je me retourne avec un air coquin.
Une invitation ? Peut-être, mais une invitation dangereuse mademoiselle l'aventurière... les sirènes sont parfois si lunatique... qui sait ce qui pourrait se produire. Des choses très agréable peut-être...
Avec grâce, je me laisse tomber en arrière pour faire la planche sur l'eau, fixant ce ciel d'un bleu magnifique.
Mais je pourrais aussi changer d'avis, et vous laissez boire un peu la tasse juste pour m'amuser... Oui, les invitations des sirènes sont dangereuses ma chère...
Le défis était lancé !
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Oh oui, la sirène ne se trompe pas. Akira étant en manque de sensations depuis un petit bout de temps, croiser une si belle créature est une occasion qu'il ne faut pas laisser passer. La jeune femme remet lentement son soutien gorge en place, laissant entrevoir un très court instant ce qu'elle cache dessous... et sans surprises, cela ne manque pas de beauté.
- La mienne est un peu spéciale...
Akira fait un clin d'oeil à la sirène. Elle n'a pas donné son nom pour laisser une petite part de mystère, il s'agirait de simplement rester une jolie femme à ses yeux pour l'instant. Faire l'amour avec une inconnue est tellement plus excitant. La jeune femme ne se prive pas d'observer le magnifique fessier de la sirène lorsqu'elle se dirige vers l'eau, se mordant les lèvres avec sensualité en contemplant ce spectacle. L'Esper trace de son index un cercle dans le sable, jusqu'à ce qu'il s'auréole d'une aura bleutée. L'espace d'un court instant, le cercle qui se transforme en trou semble absorber littéralement Akira, puis se referme.
- J'aime le danger, je pense l'avoir prouvé tout à l'heure... non ?
Lance alors une voix venant d'en dessous. En quelques secondes, la sirène sent une paire de mains venir effleurer son dos, pour finalement qu'Akira ressorte de l'eau entièrement dans une aura toujours bleutée. La jeune femme lui sourit avec candeur.
- Je sais aussi m'amuser à ma manière.
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J'étais désormais hors d'atteinte, loin du sable, je n'avais plus pieds. Etrangement, la belle restait sur le petit ilot avec ce petit sourire, celui qui promet de bien belles choses à venir. Il fallait qu'elle se dépêche pourtant, je serais bientôt trop loin, et elle allait sacrément se fatiguer à nager à contre courant pour me rejoindre. Je pensais presque qu'elle était devenue hésitante face au danger quand...
Que... quoi ?! Oh !!!
Je ne savais que dire, étonnée par le contact de ces douces mains sur mon dos. De nouveau un regard vers la plage, plus personne, elle avait disparue ! Je regardais en tout sens, agitant mes cheveux mouillés quand enfin... je fini par comprendre ce qui se passe. Enfin pas tout à fait. Elle est apparue dans cette étrange aura, comme si la belle au maillot rouge avait traversée une dimension ou quelque chose de ce genre. Toujours perplexe et étonnée, je la regardais sortir de l'eau avec autant d'éclat et de prestance qu'une sirène. Elle aussi sait s'amuser à sa manière hein ? J'en affichais déjà un large sourire qui chassait mes doutes, avant de disparaitre sous l'eau sans un mot. Comme un requin en chasse, ma silhouette tournait autours de son corps juste sous la surface, avec grâce.
J'ai pas compris toute l'astuce de ton pouvoir, mais il a l'air amusant.
Parler si clairement sous l'eau confirmait encore une fois que j'étais une sirène, si le doute persistait encore. Mais déjà, un autre danger se profilait entre ses cuisses, le danger d'une vilaine sirène au désirs grandissant. Profitant de ne pas avoir besoin de respirer sous l'eau, je recrache des bulles d'air par grosses goulées au niveau de ses cuisses. Elles chatouilles l'intérieur de ses jambes, les longent, avant d'éclater contre sa culotte rouge. Ce ne sont peut-être que les prémices de ce qui pourrait l'attendre, mais il fallait bien la faire languir un peu avant non ? Je me permettais même d'y déposer mes lèvres soigneusement, comme pour partager un doux baiser, droit contre sa culotte.
Si tu me veut, il va falloir m'attraper !
D'une voix joueuse, espiègle, je longe mes mains contre ses cuisses, jusqu'à la pointe de ses pieds. Je les quitte presque avec regret lorsque je commence à m'évader, nageant un peu plus vers le large et les dites profondeurs qu'elle a déjà exploré. J'étais sure qu'une aventurière comme elle ne me laisserait pas partir aussi facilement !
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Akira suivit du regard la séduisante sirène lorsqu'elle lui tourna autour, sourire aux lèvres. Les mains jointes dans le dos, comme si elle attendait poliment quelque chose, Akira adressa un sourire à Lyli. La jeune esper émit un petit rire soyeux devant la surprise de la sirène, elle était habitée à ce genre de réactions. Après tout son pouvoir n'était pas commun et particulièrement difficile à comprendre dans sa totalité. Mais pour l'instant, ce n'est pas ce qui l'intéressait...
- Amusant ? Oui, je prédis que nous allons nous amuser.
Akira se laissa totalement faire, offrant sa culotte aux lèvres de la sirène et même plus encore. La jeune femme sentit un léger frisson lui parcourir le corps jusqu'à l'échine, signifiant que les avances de Lyli avaient leur effet. Chaque seconde, à chaque contact, son corps lui rappelait ô combien il désirait enfin relâcher ses pulsions sexuelles. Et la sirène semblait savoir jouer de cela à la perfection. Il serait dommage de s'arrêter là non ? Akira porta un doigt à ses lèvres, et prit un air de petite fille battue.
- Oooh, je ne vais pas pouvoir résister...
Akira laissa la sirène s'éloigner durant quelques secondes avant de ramasser deux coquillages, lentement. Rien ne sert de se presser. Personne ne peut lui échapper, une fois qu'elle y a apposé sa trace. Un simple effleurement du doigt suffit. Souriante, Akira traça un cercle sur le petit coquillage qu'elle venait de ramasser, et disparut une fois de plus. Elle réapparut quelques secondes plus tard, juste en face de la sirène, si bien qu'elle n'eut aucun mal à l'attraper pour se blottir contre elle l'air de dire "tu ne peux pas m'échapper". Sous l'eau, Akira ne pouvait pas parler... mais les actes suffisent pour se faire comprendre. Les douces mains d'Akira commencèrent à longer dangereusement le corps de Lily en direction de sa poitrine...
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Je m'éloigne ricanant mais la belle au maillot rouge ne bouge pas, une fois encore. Je m'attends à un coups comme celui de tout à l'heure et accélère même la cadence jusqu'à la perdre totalement de vue, pour tester la portée de son sortilège. Elle ne semble pas avoir de limite, même hors de vu et sous plusieurs mètres de profondeur, la belle inconnue me rejoint sans même se soucier de l'atterrissage. C'est vrai quoi, j'aurais pu la piéger à des centaines de profondeurs, sous une pression qui lui aurait été difficile à retenir, et pourtant elle ne s'était même pas posé de question. Cette femme était vraiment du genre à prendre des risques pour de bon et ça me plaisait. J'avais même l'impression qu'elle était capable de prendre son pied dans bien des situations... Soumise ? Dominante ? L'aura qu'elle dégageait semblait presque murmurer " quel importance du moment qu'ont s'amuse ". J'en décocha un sourire, en la laissant guider ses mains sur mon corps presque nue.
Gourmande...
Quand ses doigts effleurent enfin ma poitrine, je pose mes mains sur les siennes pour stopper sa progression, avec un sourire amusé. Je la retient, l'empêche de saisir ces deux monts de chaires moelleux pendant un instant, avant de la guider moi même sur eux. Je ne sais pas vraiment combien de temps elle était capable de rester en apnée, mais après tout elle aimait le danger non ? Alors autant prendre tout mon temps. Elle savait de toute façon que mes lèvres étaient son réservoir d'oxygène... Si elle le méritait cependant... hi hi !
Voyons voir combien de temps notre aventurière peut retenir sa respiration, après tout, la notion de danger a l'air de t'exciter, non ?
Mes mains glissent hors des siennes, maintenant qu'elle est installée sur ma poitrine, l'objet de ses convoitise, elle n'as plus besoin de guide ! Ce qui me laisse libre de venir caresser ses cuisses et de longer à mon tours sensuellement son corps, jusqu'à son derrière. Quel maillot rouge superbe, caresser ses fesses au travers est un pure bonheur et pour montrer toute ma satisfaction, je lui donne une petite tape dessus, en la fixant d'un regard coquin. La lueur lubrique dans mes prunelles ne trompe pas mes intentions, mes désirs... Une compagnonne de jeu si téméraire était rare, et la petite sortie aquatique n'allait pas durer qu'une poignée de minute...
Soudain, les caresses sages sur sa croupe prenaient toute une autre allures, et mes mains filaient entre. A travers le tissus impossible d'y pénétrer mes doigts à l'intérieur de cette paire de fesses, pourtant je m'efforce de m'amuser comme si cette barrière n'existait pas, introduisant mes doigts freinés par la culotte et introduisant bien le tissus entre ses fesses à chaques coups.
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Akira ne se fit pas prier de son coté pour commencer sa petite affaire, aggripant avec fermeté les deux lobes de chair de la sirène. Elle commença par les malaxer doucement, appréciant simplement le fait de les toucher. Depuis que sa poitrine a commencé à se développer, Akira a toujours été passionnée par les seins. Que ce soient les siens ou ceux des autres... quoi de plus agréable que de les lécher, les sucer, les pincer jusqu'à l'extase ? Cependant, Lyli semblait avoir trouvé une zone d'autant plus érogène... et cela se ressentait. Akira esquissa un petit cri étouffé, puisqu'elle ne pouvait pas ouvrir la bouche sans avaler de l'eau. Elle allait devoir faire avec...
Pas besoin de mots. Akira adressa un sourire de défi à la sirène, et arracha son soutien gorge avec les dents, presque sauvagement. La voilà seins nus. La jeune esper agrippa cette fois sa partenaire aux fesses, enfonçant ses doigts dans toute la chair qu'elle pouvait attraper, et commença à mordiller les mamelons de Lily avec espièglerie. Elle les mordilla, les aspira, et commença même à enrouler sa langue autour avec sensualité, répandant sa salive sur ces boutons roses. Mais de son coté, les assauts de la sirène ne pouvaient pas la laisser indifférente... et elle comptait bien le montrer, puisqu'elle se mit à remuer les fesses au rythme des doigts de Lyli.
- Hmmm...
Tandis qu'Akira suçait et léchait les seins de sa partenaire, la sirène arrivait peu à peu à introduire le tissus de la culotte d'Akira entre ses deux fesses, lui donnant l'apparence d'un string. D'ici elle pu se rendre compte, du bout des doigts, qu'Akira mouillait malgré le fait qu'elle soit totalement immergée dans l'eau... le liquide est plutôt différent après tout. Akira commence à sentir qu'elle est à bout de souffle, et plonge donc ses lèvres contre celles de la sirène, prenant une grande bouffée d'air salvatrice.
D'ailleurs, Akira ne manqua pas d'introduire sa langue à l'intérieur de la bouche de Lyli, parcourant ses parois buccales avec un appétit dévorant, entremêlant leurs salives sans retenue ni pudeur.
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La gourmandise dont elle faisait preuve sur ma poitrine réchauffait mes désirs, malgré l'eau, la belle aventurière ne craignait pas d'ouvrir la bouche et d'user de sa langue pour me satisfaire, léchouillant et mordillant mes tétons. L'injustice faisait que je pouvais gémir autant que je le voulais sans me noyer, de mon côté, pendant que mes deux boutons roses s'endurcissaient sous ses dents. Je gémis sans retenue, tapant son derrière d'une fessée plus féroce, à chaque fois qu'elle resserre ses dents. Même sous l'eau mes mouvements son fluides et ne sont pas ralentit grâce à mon affinité avec l'océan, elle peut aisément sentir chaque petits coups comme si nous étions sur le sable chaud. En parlant de quelque chose de chaud d'ailleurs, je peux clairement sentir une petit différence entre ses cuisses. Un liquide un peu plus chaud se mélange à l'eau, et semble se diluer d'avantage quand la culotte rentre dans ses fesses. Je suis persuadé qu'il s'agit de son nectar, et le baiser est surement le meilleur timing pour vérifier cela.
Concentrée sur mes lèvres pour quémander de l'air, je la laisse d'abord jouer avec ma langue et y réponds volontiers en enlaçant ma langue dans la sienne. Ces deux serpents avides de luxures qui gigotent entre nos lèvres, dans ce baiser gourmand, semblent tant la captiver que j'en profite pour la surprendre, glissant sous son maillot pour cette fois, réellement rentrer l'index dans son anus. J'y reste bien logée, tournoyant à l'intérieur et faisant de petits vas et viens pour la stimuler. Il s'agissait souvent de l'antre la plus tabou aussi bien pour les hommes que les femmes, mais cette aventurières semblait assez joueuses pour e pas être aussi prude. Raison pour laquelle j'y restais sans honte pour stimuler son fondement, en soufflant l'air qu'elle voulait tant pour regonfler ses poumons.
Déjà à cours de souffle ? on ne faisait que commencer pourtant.
Le baiser prend fin, et seul une main derrière sa tête nous maintient encore si proche. Je dépose un nouveau baise sur ses lèvres rouges, sans langues cette fois, et bien plu brève pour la distraire encore une fois. Avec un regard vicieux et amusé, je sors mon doigt de son fondement en attrapant sur mon passage l'arrière de sa culotte. Le devant qui recouvrait son intimité fait alors le même effet qu'un string, comme avec son derrière, mais cette fois c'est son intimité féminin qui se retrouve coincé dans ce " fil ". La culotte forme un large élastique qui se loge entre ses lèvres intimes, éclaboussant surement une belle trempée de cyprine au passage... Impossible de le savoir sous l'eau, mais je sens la chaleur autours de ses cuisses plus envahissante encore.
Je me demande si tu es assez excitée... Je suis sure que je peux te faire jouir juste comme ça...
Je ne lui retire pas sa culotte, au contraire, le tissus qui a formé cette espèce de corde rouge dans son sexe m'amuse, et je commence à le tirer d'avant en arrière, d'abord doucement. En produisant cette friction, je comptais bien lui offrir la délivrance, pendant que mes lèvres commençaient à explorer son corps. En l'allongeant sur le sable, il était plus facile de continuer à frotter sa culotte tout en embrassant son bas ventre, tendrement. Je ne saurais m'en contenter, toutefois, et laissait déjà ma langue vagabonder vers sa poitrine, que j'évitais étrangement. Ma destination fut en effet son cou, gracieux, doux, que je saisissais entre mes lèvres avec gourmandise. J'avais l'impression de vouloir dévorer un délicieux bonbon en embrassant et en saisissant ainsi entre mes lèvres la peau de son cou, comme un félin joueur.
Avec ça, le danger de ne pas respirer, et sa culotte qui devenait de plus en plus étroite en chauffant son sexe, je n'avais aucun doute sur le plaisir qu'elle pourrait prendre. Sans compte que mes baiser dans le cou et les mouvements de la frictions faisaient perpétuellement bouger mon corps, et donc rebondir ma poitrine au lourd bonnet, dans la sienne. C'était aussi une sensation agréable de sentir ces deux paires de seins se presser l'une sur l'autre, comme deux fruits moelleux...
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Akira accepta le défi sans broncher. Elle aimait les défis, et n'en était pas à sa première expérience sexuelle. Elle mordit un peu les lèvres de la sirène avant que celle-ci ne rompe le baiser, appréciant de sentir son doigt enfoncé dans son anus. La pudeur n'était plus de mise en cet instant, et sentir cet endroit tabou souillé par la présence d'un doigt lui procurait beaucoup de plaisir. Alors que les muscles de son anus se raidirent pour contracter autour du doigt de la sirène, Akira sentit son intimité mouiller de plus en plus. Au bout d'un petit moment, Akira saisit la main qui lui avait servi à introduire l'index dans son anus, et le lécha sans retenue avec beaucoup de perversité, pour finalement la relâcher afin de la laisser s'occuper d'elle. Elle ne se fit pas prier pour éjecter un jet de cyprine lorsque Lyli tira sur sa culotte, a présent coincée entre ses lèvres intimes gorgées de plaisir. Une simple pression semblait suffire pour évacuer un peu de son nectar intime, a croire qu'elle s'était retenue spécialement pour l'occasion. Akira laissa échapper quelques bulles de sa bouche lorsque Lily arrêta de l'embrasser, elle allait maintenant devoir rester en apnée. Cela ne fit que rajouter du challenge !
Akira sentit son intimité vibrer au rythme des assauts de la belle sirène, sentant sa culotte s'introduire dans la fente de son vagin à chaque coup. Lorsqu'elles se posèrent sur le sable marin, toujours sous l'eau, Akira profita de l'occasion pour assaillir Lyli elle aussi. Elle ne devait pas être la seule à prendre du plaisir. Akira était néanmoins beaucoup plus directe, puisqu'elle commença par introduire son majeur dans l'anus de la belle sirène, sous sa culotte. La belle brune fit quelques va et viens à travers de la paroi anale de sa partenaire, se lécha le doigts à plusieurs reprises, et repris sans repos son activité. De l'autre main, elle introduisit deux doigts de plus dans l'anus de sa partenaire, bien décidée à commencer par cet orifice. Elle voulait se sentir sale, vilaine, perverse.
Leurs deux poitrines collées s'échangèrent leurs sueurs diluée à l'eau, tandis que les jets de cyprine s'échappant de son intimité en rythme venaient se répandre sur les doigts de la charmante sirène, lubrifiant au passage sa culotte pour se préparer à la suite. Akira ne jouissait pas encore, mais prenait énormément de plaisir à cela. Et elle espérait que ses trois doigts, auxquels elle ajouta un quatrième pour écarter l'anus de la sirène, suffisaient à lui faire plaisir également. Loin d'en arrêter la, Akira se vidait cependant bien vite de son oxygène, puisque le plaisir la poussait à ouvrir régulièrement la bouche pour laisser s'échapper de petits cris étouffés par l'eau. Les bulles d'oxygène s'échappaient à vue d'oeil vers la surface, rappelant qu'Akira ne pouvait tenir éternellement... mais elle aimait cela. Cette sensation de flottement, d'étouffement, d'évanouissement imminent... Akira était comblée, alors que ses yeux commencèrent à se révulser de plaisir.
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Quel coquine, quel joueuse, quel sauvage... elle n'y allait même pas tendrement et prenait le chemin le plus direct dans mon anus étroit... bien plus étroit que le siens ! Oh ça oui ! Peu de mes amantes avaient eu le privilège d'y entrer, durant longtemps ce sujet était même tabou et quiconque osait s'y aventurer subissait mon courou ! Il fallait un minimum d'intimité avec moi pour pouvoir explorer ce trou si jalousement gardé... ou faire fort impression. Il s'agissait du second cas de figure en l'occurrence, tandis qu'elle prenait un malin plaisir à multiplier les doigts. Avec les cris plus aigue et mon visages rougissant, elle devait bien se douter que je n'en avait pas l'habitude. Je me trémoussais de plus en plus, et mes parois anales bien trop étroites rendaient la tâche compliqué à son dernier doigts.
Aha .. ah, ho !!!!! Kya ah ! perverse !
Je ne savais plus vraiment ou me mettre et remuait les fesses plus qu'il ne le fallait, ce qui eu pour effet d'écraser sa poitrine bien plus forte sous la mienne. Ca ce n'était rien, et dans un sursaut quand le 4 eme doigts s'agita et perça mes défenses, je déchira la culotte. Oups, j'avais perdu le contrôle de ma force qui, sous l'eau, était largement supérieure aux créatures terrestres. Le bas de maillot rouge céda en rentrant plus férocement que jamais dans son intimité, sous le dernier assaut. Mais bientôt, un autre problème se fait sentir, je le vois en croisant ses yeux rongés par le plaisir... La belle aventurière commence à manquer de souffle. Je me presse alors dans l'urgence pour la faire respirer mais, au dernier moment, dépose un petit baiser sur ses joues prenant la couleurs de deux tomates, peu à peu.
J'ai l'impression que tu aimes ça... sentir l'air te manquer peu à peu, cette tête quoi tourne délicieusement... Oh oui je sais... je vais te faire découvrir les joies d'un orgasme puissant et dangereux, je vais te faire jouir sans air... Je retourne mordiller son cou, alors qu'une autre idée me vient en tête. j'avais bien vu avec quel gourmandise elle s'était léché les doigts, à plusieurs reprises après m'avoir pénétré par derrière... Je me relevais donc, quittant l'empalement de ses doigts dans mon anus avec un large soupire d'aise. Mes cuisses tremblante montrent toute le bonheur que j'ai pu en tirer grâce à elle, j'avais même été à deux doigts de jouir tant mon anus serré avait été stimulé...
Oui, on va faire comme ça... tu ne respireras pas tant que tu n'auras pas jouit...
Un jeu dangereux qui la pousserait au bord de l'étouffement à chaque nouvelles seconde mais qui, je n'en doutais pas, allait grandement l'excitait si je l'avais bien cernée !
Mais avec la culotte déchirée il allait falloir changer de méthode, ce serait donc mes doigts qui prendraient le relai. Au bien sure j'avais bien d'autres façon de la combler mais... garder un peu de mystère pour plus tard me paraissait être une bonne idée ! Elle devrait donc se contente de mes doigts qui caressaient lentement le contours de sa vulve, alors que je prenais une position allongée contre son corps. Mon visage devant sa vulve, et mes fesses devant son visages, elle aurait alors tout le loisir de s'amuser directement avec sa langue, plutôt que de lécher ses doigts. Je n'attendais d'ailleurs pas son approbation pour poser mon popotin contre son visage et m'y frotter, prenant soin de sentir son petit nez buter contre mon anus, et les bulles d'air le chatouiller. En penchant mes fesses ainsi en arrière, c'est mon visage qui s'avance vers son sexe humide, bientôt jonché de coups de langues félin. Miam, que son nectar a bon gout ! sa petite fente est si humide que je me peux m'arrêter de la léchouiller comme une petite neko. Si seulement ma position me le permettait j'en aurais fait de même avec sa poitrine, qui me faisait si envie... Mais bon nous n'étions pas pressées ! C'est bien pour ça que je prenais tout mon temps pour léchouiller et embrasser son clitoris, toujours en dandinant mes fesses sur son visage. Elle avait au moins assez à l'essentiel de mes zones érogènes juste sous ses yeux entre mes fesses et mon intimité.
J'en oubliais presque que la pauvre était en apnée forcée, bien que ça n'ait pas l'air de lui déplaire. Il fallait alors faire vite, et je commençais à me montrer plus concrète, englobant le tours de ses lèvres intimes chaude et enflées dans ma bouche, comme pour l'aspirer et sucer un délicieux bonbon. Oui, j'en suçais tout ce qu'elle pouvait m'offrir en y faisant peu à peu serpenter ma langue à l'intérieur, dansant sans retenue dans tous les sens. Je ne pouvais louper aucune goutte tant mes lèvres étaient refermées de manières imperméables et produisait une multitude de sons presque obscène, sous cette intense succion !
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En effet, l'anus de Lyli était plus étroit que celui d'Akira, qui avait l'habitude d'être pénétrée par cet endroit aussi bien que par le devant. Il faut dire qu'elle avait eu nombre de rapports sexuels avec diverses créatures quelles qu'elles soient, allant de jeunes succubes jusqu'aux géants des montagnes. Cela confirmait bien qu'Akira aimait les sensations fortes, les risques et par dessus tout les défis ! Lyli n'eut aucun mal à le remarquer. Akira commença à sérieusement manquer d'air, mais le défi de Lyli lui donna la force de se contenir, quitte à entrer dans un état de semi conscience... D'ailleurs, lorsque son maillot s'enfonça une ultime fois dans son intimité avant de céder, un jet de cyprine surpuissant jaillit de la vulve d'Akira avec énergie avant de se diluer lentement dans l'eau. Akira poussa un nouveau cri étouffé. Après quelques minutes à élargir son anus, Akira fut contrainte d'arrêter puisque la sirène se leva. Elle n'eut cependant pas à se plaindre, puisque s'asseoir sur son visage lui offrait un repas encore plus appétissant... l'anus et la vulve de la sirène étaient maintenant collées à ses délicieuses lèvres. Des lèvres qui ne tardèrent pas à se coller à l'anus de Lyli, encore une fois. Ce petit orifice serré l'excitait incroyablement, tellement que la jeune esper décida de l'élargir le plus possible, dans le but de l'ouvrir totalement aux relations anales... ce challenge lui plaisait bien. D'un côté tenir le plus longtemps sous l'eau sans jouir, de l'autre élargir l'anus étroit de la sirène.
De son côté, alors que Lyli recouvrait de coups de langue l'intimité trempée d'Akira, elle reçut plusieurs giclées incontrôlées de cyprine chaude directement dans la bouche, l'abreuvant ainsi de ce délicieux nectar salé. Ses lèvres intimes déversaient sans cesse de ce liquide qui semblait pouvoir couler à flot sans jamais s'épuiser, provoquant une série de bruits obscènes particulièrement sales, mais terriblement excitants. Les parois intérieures de la jeune femme ne cessaient de se gorger et de se vider alors que la sirène aspirait son clitoris entre ses lèvres... Akira ne put s'empêcher d'avaler une gorgée d'eau involontairement, en poussant un cri étouffé. Quelle sensation... quelle extase incroyable ! La jeune femme cru perdre son mental tant la noyade était proche. Elle ne voyait d'ailleurs plus grand chose, puisque les formes commencèrent à devenir floues autour d'elle.
- Bloub !
Sentant qu'elle arrivait à la fin de sa courte réserve d'oxygène, Akira utilisa les grands moyens. La jeune femme plaça ses deux mains de chaque côté de l'anus de Lyli, entrant quatre doigts de chaque mains à l'intérieur, de gré ou de force. Seuls ses pouces étaient encore à l'extérieur... mais le pire restait à venir. Akira se mit à tirer violemment de chaque côtés pour élargir l'anus de la sirène et voir l'intérieur de sa fleur anale se dévoiler à elle... ou elle ne put s'empêcher de ruer sa langue à l'intérieur. Akira y cracha une gorgée de salive, puis entreprit de lécher sans aucune pudeur la région anale de sa partenaire, sans cesser de tirer en continu de chaque côtés. La sirène devrait trouver du plaisir dans la douleur, elle n'avait pas le choix... pourquoi serait-elle la seule à souffrir ? Hihi. ♥ Au bout d'une vingtaine de secondes, alors qu'Akira avait agrandit de force l'anus rougit de la sirène, elle sentit l'orgasme venir intensément, son bas ventre se raidir brusquement... et sa vulve déchargea une quantité astronomique de cyprine salée dans la bouche de Lyli. Cela ne s'arrêtait plus, a vrai dire. Akira laissa s'échapper un dernier cri de plaisir, alors que sa dernière poche d'oxygène s'échappait de ses poumons.
- HUMMMMBLBUBLBOURLGLGGLGL !
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Voila qu'elle recommençait, obsédée par mon derrière qui s'élargissait à vu d'oeuil sous ses doigts. Combien y en avait-il cette fois ? 4 ? Non, beaucoup plus, et mon anus fut prit d'une douleur étrangement entrainante. Etirées au maximum, mes parois tendues semblaient ne plus pouvoir s'ouvrir d'avantage, me donnant l'impression d'être une petite pucelle, tant les couinements presque mignons de hontes quittaient mes lèvres. Instinctivement, je me dandinais de droite à gauche pour tenter d'échapper à ce traitement troublant, ayant l'effet inverse de tirer mes fesses à droite et à gauche délicieusement. J'eus très vite de mouiller à mon tours, et bien qu'elle ne pouvait pas respirer elle devait bien en sentir le gout quand sa langue sortait pour me déstabiliser encore plus. Mais voila que le jeu devient encore plus dangereux, les premières bulles se font entendre, le genre que l'ont relâche en buvant la tasse. La aussi, elle doit sentir que l'eau salée est gorgée d'un nectar bien plus chaud, et si nous étions pas sous la mer je serais en train de mouiller contre son visage. D'ailleurs elle ne s'est pas faite prier de son côté puisqu'elle se laisse enfin aller aux réjouissances.
Sa cyprine éclabousse autours de ses cuisses avec bien plus d'abondance, maculant l'intérieur de ma bouche et ma langue. Ca y est, elle jouit ! Ses jambes tremblent et elle semble perdre pied durant on orgasme. Parfait, le timing est tout simplement parfait, mêlant l'étouffement et son plaisir qui ne peut plus se contenir. Ses muscles semblent prit de spasmes et je dois englober mes lèvres plus fermement pour ne pas perdre prise et rater une seule goute de ce nectar si précieux. a L'aide de mes mains c'est bien plus facile de la maintenir en place en appuyant sur ses cuisses. Ses mouvements entravées, je peux enfin sucer et boire jusqu'à la dernière goutte de sa jouissance, sans arrêter pour autant mes mouvements de langues hasardeux, qui ont l'air d'un serpent agités sur ses parois tendues.
En sentant ce gout unique et en l'entendant pousser ce dernier cri sous l'eau l'excitation devient beaucoup trop puissante de mon côté aussi. Le danger qu'elle subit semble se répercuter sur moi, comme si je pouvais ressentir cette adrénaline qui coule dans ses veines. Le fait de la savoir si proche du danger m'excite assez pour jouir à mon tours, les cuisses tremblantes et l'anus se resserrant sous les contractions. La seconde suivante, m'accordant avec sa propre jouissance, je me laisse à mon tours totalement aller en poussant de petits cris de plaisir, et en enfouissant totalement son visage sous mes fesses. Même si l'idée de l'étouffer sous ma croupe est amusante, je sais qu'elle n'as pas besoin de ça pour commencer à asphyxier, non, je m'étais plus amplement assise sur son visage pour y jouir dessus, et lui laisser le plaisir d'y gouter si elle avait encore la force de le faire.
Wahh.... Oh... tu es vraiment une amante d'exception...
Je n'avais pas dis ça au hasard, même si on se connaissait encore peu j'avais cerné la belle aventurières, jouer ainsi sous l'eau avec moi en prenant tout ces danger comme plaisir n'était pas à la portée de toutes les créatures... Elle était déjà haut dans mon estime, et les dernières gouttes de mon extases se déversaient enfin sur elle, peu après qu'elle ait terminé. Même si c'est elle qui avait besoin de reprendre son souffle après une apnée si longue que j'en avais perdu la notion, c'était moi qui restait encore un instant fesses sur son visage à souffler et inspirer lourdement. Enfin, pas trop longtemps tout de même, je connaissais l'ampleur du danger et retournai aussi vite que possible près de son visage, un regard intense et une main dans ses cheveux. Il lui fallait de l'air et pourtant, mon autre main libre se guida toute seule contre sa poitrine, pour la malaxer tendrement en la fixant.
Te voir dans cet état est si... délicieux... Si je ne me contrôlais pas je pourrais essayer de te faire jouir une deuxième fois...
Mais soyons raisonnable, l'aventurière avaient surement déjà du dépasser ses limites, et je collais mes lèvres aux siennes pour lui apporter un peu d'air. Oui, juste un peu pour ne pas la submerger trop d'un seul coups, juste un peu le temps que nous remontions à la surface. Lentement, nos corps flottaient vers le haut pendant que je malaxais tendrement son sein, encore munie de ce maillot rouge. Je ne quitte pas ses lèvres un seul instant non plus, ses lèvres belles et pulpeuses avec lesquels je partage mon oxygène. Ca aurait presque un côté romantique, de partager le même oxygène de cette façon... je riais presque à cette idée en perçant enfin la surface d'ailleurs, reculant de quelques centimètres mais, la main toujours ancrée dans sa poitrine pour la presser et la tordre dans tous les sens.
Alors ma belle, c'était comment de jouir en suffoquant ? Si tu ne veux pas retourner tout de suite sous l'eau, je peux bien te laisser un peu les commandes, le temps que tu reprenne ton souffle.... l'ile n'est pas si loin.
C'était là une proposition que je faisais peu, signe qu'elle m'avait vraiment fait forte impression. Mais qu'elle n'aille pas croire que la prochaine plongée ressemblerait comme deux gouttes d'eaux à la première.... j'avais d'autres surprises en stock comme, de quoi combler son joli derrière avec autre chose que mes doigts... ou encore mon compagnon tentaculaire, si l'envie d'essayer quelques choses de plus exotique l'intéressait...
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Akira lécha compulsivement l'anus de Lyli à la fin de son orgasme, avec le peu de forces qui lui restaient. Il est impossible de décrire la sensation extrême qu'elle ressentit alors que la jeune femme arrêta de respirer, une fraction de secondes avant que Lily ne l'abreuve d'oxygène. Akira reprit conscience hors de l'eau, accrochée au cou de la sirène instinctivement. Ses jambes tremblaient encore d'excitation, et son intimité déversait encore les restes de cyprine qu'elle pouvait contenir. Son anus était pris de fortes contractions musculaires, ce qui n'était pas pour lui déplaire. Akira mit plusieurs secondes avant de reprendre totalement ses esprits, recrachant l'eau qui s'était infiltrée dans son oesophage. Elle n'avait plus la tête à réfléchir à quoi que ce soit, et se laissa donc mener par Lily.
- C'était trop bon... je veux encore baiser...
Dit-elle alors, encore tremblante. Le sexe lui avait trop manqué tout ce temps, elle ne pouvait pas s'arrêter en si bon chemin. Et puis, après tout, l'anus de Lily n'était pas encore assez élargi à son goût. Elle ne s'arrêtera que lorsqu'elle pourra y entrer son poing... hihi.
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Ses mots d'une franchise étonnante avaient au moins le mérite d'être clair sur ce qu'elle voulait. Elle me voulait moi, encore... et encore... ça ne semblait être que le début d'une longue aventure durant laquelle je lui laissait volontiers les devants à son tours. Nous avions bien profiter de l'eau, et nous y reviendrons plus tard pour de petits jeux encore plus originaux, après tout, son amour pour le danger et les aventures plus innovantes n'était pas passé inaperçu et j'avais déjà quelques idées de côté. Jusque là, pour l'heure, je l'aidais à nager vers le petit ilot le temps qu'elle reprenne son souffle, une main toujours ancrée sur sa poitrine avec perversité. J'avais beau nager, je n'en oubliais pas pour autant l'essentiel et malaxait tendrement un de ses seins, sans le lâcher jusqu'à la rive. Une fois sur le sable chaud, je m'y allonge avec ma nouvelle conquête du jours, un large sourire en la fixant dans les yeux. Après un petit silence j'éclate en un rire amical, en allant l'embrasser une fois de plus.
Une sirène ça s'offre pas aux autres comme ça tu sais d'habitude... tu comptes en profiter comment ma belle ?
Je ne connaissais toujours pas son nom et il serait mentir de dire que ce n'était pas excitant, en un sens... Bon pas autant que sa poitrine moelleuse et ronde, c'est sure, mais quand même. D'ailleurs, je revenais à la charge en m'allongeant auprès d'elle, malaxant tantôt ses seins avec tendresses, tantôt avec plus de fougue pour offrir un délicieux contraste à ses deux orbes. lorsque je me montrais plus sauvage, je refermais férocement ma poigne pour l'aplatir entre mes doigts, et tirer sur l'extrémité de son téton déjà bien dur et pointu. L'aventurière était excitée, autant que moi c'est un fait, et je profitais de sa poitrine soulevée encore fortement par chaque respiration pour m'amuser avec cette partie de son corps. J'en profitais car une partie de moi savait que mes fesses allaient peut-être prendre cher, très bientôt... laissant en moi grandir un feu intense et inavouable, et réveillant cette douleur que j'avais déjà dans mon derrière laissé écarté. Que comptait elle en faire maintenant ?
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Akira se laissa mener jusqu'au sable par Lily, ses seins se faisant tripoter sans qu'elle y oppose de résistance. Sur le trajet, elle semblait reprendre peu à peu ses esprits mais surtout réfléchir à ce qu'elle allait pouvoir faire à son amante... une multitude de choses s'ouvraient à elles. Après tout, ses voyages lui avaient permis de récupérer de nombreux artefacts, auxquels elle avait accès à tout moment grâce à son pouvoir. La jeune esper avait déjà hâte de faire découvrir à Lily la trompe d'aphrodite, le cor d'héléanor ou encore le tonneau d'hermaeus... des noms qu'elle avait trouvé elle même bien sûr. Sa bouche forma un immense sourire rien qu'à ces pensées, jusqu'à ce qu'e les deux femmes atteignirent le sable du petit ilôt paisible.
- Oh, j'ai plus d'un tour dans mon sac petite sirène...
Les yeux d'Akira brillaient d'excitation à chaque fois que Lily tirait sur ses seins, laissent ses joues rosir à vue d'oeil. Akira ne comptait pas en rester là bien sûr, c'est pourquoi elle alla se coller au corps de la sirène, frottant son intimité dénudée contre celle de sa partenaire, y laissant un peu de son nectar inépuisable au passage. La jeune femme enfonça par habitude son index dans l'anus de la belle sirène, avant de le ressortir et de le lécher quelques instants avec luxure. Soudainement, une lumière bleue s'échappa de l'anus de Lily. Place à la surprise...
- J'ai ouvert un portail dans ton cul, hihi ~
Akira commença à enfoncer sa main dans l'anus de Lily le plus lentement possible pour l'élargir toujours plus, comptant bien en sortir toutes sortes d'objets. C'est la première fois qu'elle pensait à faire ça, ce qui avait le don de l'exciter particulièrement. Qu'est-ce qu'elle allait bien pouvoir tirer, hmm ? Akira sentit un objet plutôt large à travers le portail, et commença à tirer dessus. Il faut bien le sortir de la pour voir de quoi il s'agit !
- Voyons voir ce que nous avons la ma belle...
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Quand elle m'annonce avoir ouvert un portail dans mon cul, pour le citer selon ses mots, une sensation de peur m'envahit . Un... Un portail dans mon derrière ? Ca va surement impliquer une lourde douleur, des cris d'agonie... Je vais y survivre au moins ? Plus de peur que de mal dirons nous... que de mal ? Non ce n'est pas ça, en fait j'ai réellement mal mais... ce n'est pas le genre de douleur à laquelle je m'attendais. Je ne souffrais pas, cette douleur dans mon derrière m'offrait une sensation à la place indescriptible, un plaisir presque inavouable qui me fit ancrer les mains profondément dans le sable, pour en serrer par poignées entières. Divers cris de douleurs couplés à un visage rouge de honte, rouge de honte d'aimer ça alors que je trémoussais mon cul de droite à gauche en mordillant mes lèvres. Akira que je fixe durant toute la durée de ce traitement, semble s'en amuser pendant qu'un long objet sort en écartant mes fesses. C'était une sensation vraiment troublante qui me fit tomber contre son corps une fois l'objet entièrement sortie, presque d'épuisement et de soulagement.
Vi... Vilaine perverse... Lui lançais-je entre deux respiration, poitrine écrasée dans la sienne et mon derrière bien à l'air, largement écarté.
Quand je découvre l'objet qui est tombé contre le sable, un énorme gode, je comprends alors pourquoi j'ai si mal et imagine bien le trou que celui-ci a du laisser sur son passage. Je me doute aussi qu'il y retournera, sans le portail cette fois. Car ce qu'elle vise avec ce jouet est tout bonnement mon cul, qu'il va falloir d'avantage préparer.
Profite en bien...
Un large sourire lui prédisait que je me vengerais tôt ou tard, pour son plus grand plaisir ! Mais pour l'heure son tours était comme promis venu et j'allais saisir ce très large jouet en main. Avec la sangle, je lui fixe ce gode ceinture tout bonnement... énorme ? Autours de sa taille. Non, j'en suis sure maintenant, il ne rentrera jamais ! Comment allait-elle faire ? J'étais en réalité loin d'imaginer l'élasticité dont pouvait faire preuve les parois anales puisque peu avaient oser s'y aventurer. Persuadée qu'il n'y passerais jamais sans aide, je commence alors à me mettre à quatre patte et lèche le jouet sur toute sa longueur. De longs coups de langues félins et quelques petites morsures provocante plus tard, avec le regard qui allait avec, je commençais à en sucer le bout. Je ne la quittait pas des yeux pendant que le jouet à moitié mou glissait entre mes lèvres, le mouillant abondement de ma salive. Bientôt, je vins à prendre cela comme un défie et l'enfonça progressivement jusqu'à la base de ma gorge, déformant mes joues au passages et faisant couler la salive jusque sur le bord de mes lèvres. Une longue inspiration plus tard, je pousse un grand coups qui dessine la forme du gode dans la gorge, semblant la gonfler. Là encore je saisis le sable entre mes doigts, férocement, en essayant de retenir une quinte de toux qui s'étouffe sur l'objet. Je ne peux garder cette chose bien longtemps mais je le fais autant que cela me semble possible, jusqu'à ce que ma gorge se resserre et se contracte, m'obligeant un retrait en urgence. Oh qu'il est bon de respirer après ça, je ne me prive d'aucune de ces larges goulées d'air que mes poumons aspirent avec avidité, qui soulèvent ma poitrine avec intensité.
Je crois... que ça passera mieux.... maintenant...
Le jouet brillant et dégoulinant s'empale bientôt entre mes fesses. Je m'assois littéralement dessus dans un profond soupir, tendant les mains vers l'avant pour saisir sa poitrine, que je serre avec gourmandise. Commence alors une douce danse rythmée par mon bassin, qui s'empale petit à petit sur cette chose, qu'elle a sortie du portail. Rien à faire, seul le bout y entre et sort en y glissant avec facilité grâce à cette lubrification. Mais si elle voulait y entrer profondément elle allait devoir m'aider, car ces petites préliminaires me faisaient déjà mal au derrière comme en témoignaient mes mains qui agrippaient sa poitrine comme deux bouées de secours, comme si les serrer plus fort pouvait atténuer ma douleur...
Si la position ne lui plaisait pas elle pouvait toujours la changer, après tout, c'était elle qui avait les commandes pour le moment...
-
Akira la laissa s'étouffer avec cet énorme gode comme une grande, un sourire malicieux au bout des lèvres. Elle avait déjà une petite idée de ce qu'elle allait lui faire, et son anus allait s'en souvenir. Akira vint en aide à la sirène pour se placer sur elle, le gode ceinture dressé droit pour faciliter la pénétration. Elle allait avoir besoin d'aide pour faire rentrer tout cela... et Akira avait plus d'un tour dans son sac. Alors que Lily s'empalait dessus lentement mais sûrement, la jeune esper traça deux cercles de chaque côtés dans le sable, pour en ressortir deux gants noirs. Ceux-ci paraissaient de prime abord bien trop grand pour elle, mais lorsqu'elle les enfila, leur forme s'adapta aux mains d'Akira pour les épouser parfaitement. Elle plaça ses deux mains gantées sur les hanches de la sirène et lui lança un sourire provocateur.
- Compte jusqu'à trois... un... deux...
Trois ! C'était bien plus drôle de la prendre par surprise ! Bizarrement, Lily s'embrocha de dix bons centimètres sur l'immense verge, comme si Akira avait eu assez de force pour l'empaler avec tant de facilité. Et elle n'était pas encore arrivée au bout du jouet. La partie ne faisait que commencer. Akira se lécha les lèvres, laissant Lily serrer ses seins par réconfort. Après tout, il lui fallait bien un moyen d'encaisser tout cela... et tout ce qui allait suivre. La jeune esper lui fit faire quelques va et viens en la tenant par la taille, avec une facilité déconcertante, élargissant son derrière à chaque passage de cet énorme phallus. La jeune femme se délecta du plaisir et de la souffrance de Lily, espérant qu'elle finisse par rompre sous le choc. Après tout, les rapports sans violence étaient un peu ennuyeux...
- Tu peux crier si tu veux ! ♥
Prochaine étape, Akira enfonça un doigt dans l'intimité de Lily alors qu'elle chevauchait toujours le gode, et ouvrit un nouveau portail. Elle il plongea deux doigts et en ressortit, lentement bien entendu, une longue corde. Elle prit tout son temps pour la laisser frotter contre les parois intimes de sa partenaire, avant de la jeter au sol. La corde ne tarda pas à se mouvoir toute seule, pour venir s'enrouler autour des jambes et du cou de Lily, reliant sa gorge à ses jambes ce qui l'empêchait de se mouvoir correctement. Au moins elle restait libre de lui malaxer les seins, Akira tenait à lui laisser ce plaisir. La sirène devait donc continuer de se faire empaler sur le gode tout en évitant de se pencher trop pour ne pas étouffer... ce qui avait le don d'exciter Akira.
- Humm... comme tu es mignonne quand tu fais cette tête...
Puis, d'un coup sec, Akira tira sur les hanches de Lily pour l'enfoncer entièrement sur le gode, qui lui remontait au moins jusqu'au nombril. Elle fit pris d'une grande extase, contemplant l'expression de la sirène face à cette douleur mêlée à un plaisir sans doute tout nouveau pour elle. Elle ne lui laissa d'ailleurs même pas le temps de récupérer, et recommença de plus belle à l'empaler sur le gode sans interruption.
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C'était si étrange de se retrouver de l'autre côté, d'être celle qui subissait les envies de sa partenaire, de son amante. Assise sur ce jouet beaucoup trop gros, je criais à gorge déployée en regardant vers le haut, les joues rouges de hontes et de plaisir, la langue déployée hors de ma bouche. Mon regard était à moitié vagues et comme pour l'aider à s'enfoncer dans ce trou jalousement gardé mes fesses donnent de amples coups vers le bas, me provoquant que plus de hurlement. Après tout qui pouvait nous voir, qui pouvait nous entendre ? Autant crier à gorger déployée, autant continuer à lui serrer les seins comme deux ballons d'air prêt à exploser, sous mes doigts qui les pressaient plus que de raison. J'imaginais déjà ses deux globes de chaires tendre prendre une teinte rouge tant je les tordait, mais elle avait l'air d'aimer ça. Et puis pouvait-elle s'en plaindre ? C'était moi qui souffrait le plus après tout... Une douleur étrangement envoutante malgré le feu qui prenait mon derrière.
Puis tout monta encore d'un cran devant cette corde. Une brûlure dans le vagin qui me fit mordiller les lèvres pour ne pas crier plus, une sensation de frottement intense à m'en donner l'impression de prendre feu. Elle ne dura pas bien longtemps heureusement, car cette corde avait un autre but. Un but que je ne comprenais pas tout de suite, pensant qu'elle voulait simplement assouvir un fantasme simplet et répandu qu'était celui d'attacher sa partenaire. La encore je ne bronchais pas vraiment, jusqu'à ce que la corde s'enroule autours de mon cou. Par réflexe, je tire un coups sec, mauvaise idée, la corde s'enroule et m'étrangle.
Oh vilaine garce... tu veux te venger ?
Elle voulait se venger pour avoir bu la tasse pendant nos émois maritimes ? Bien, je l'acceptais, mais qu'elle ne s'attende pas à ce que je fasse preuve d'autant de souffle qu'elle, moi. N'ayant pas besoin de retenir ma respiration sous l'eau, je n'étais pas du tout habituée à l'apnée. Enfin, j'essayais tout de même de limiter les mouvements brusques pour le mouvement jusqu'à ce que...
AH... AHHHHHHH !!! OHHHHHHHHHHHHH !!! AIIE !!
Je ne sais pas d'ou elle tire cette force à vrai dire puisque mes yeux sont levées vers le ciel et que je n'ai même pas vu ces gants qu'elle porte, tout ce que je sais c'est que ce regain de force soudain m'empale progressivement sur le gode bien trop gros, et écarte de plus en plus difficilement mon cul.
AH ! Ca... ça ne rentr.... rentreras jamais ! C'est trop gros !
Je lui serre tant la poitrine que j'ai du mal à imaginer la douleur qu'elle peut ressentir elle aussi. Mais une chose est sure, je me vengerais ! Quand je reprendrais les reines, ses orifices seraient comblés à un point qu'elle ne peut s'imaginer ! C'est surement en m'accrochant à cette pensée que je pouvais tenir le coups, et rabaisser la tête pour la regarder avec un large sourire de défis.
Va y, fais toi plaisir, profite bien. Semblait dire mon regard alors que je faisais exprès de pencher mon corps pour m'étrangler à demis avec cette corde qu'elle m'avait fixée, toujours avec ce regard de défis. Avec ça et cette pénétration déjà bien commencée, mon sexe assaillit par ses doigts ressemblaient bientôt à une rivière, trempant son ventre avec mon nectar. La cyprine perlait par grand gouttes sur son nombril alors que la bosse que formait le jouet déformait encore un peu plus mon bas ventre.
Juste le temps de reprendre un peu mon souffle en toussant et puis je me cambre de nouveau pour que son système bien ficelé me coups la respiration. Mes jambes tremblent déjà, mes muscles se contractent, mais jouir maintenant serait surement décevant pour elle, alors je me retiens, serrant les dents, le visage rougissant et ma conscience délicieusement à moitié dans les vapes. J'avais chaud, très chaud, et mon corps perlait de sueur de toute part, tandis que mes jambes elles, tremblaient d'un spasme d'extase...
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Akira était en réelle extase devant cette rivière de cyprine, mêlée à ces cris de douleur de la belle sirène... quel bonheur ! Ses réelles envies pouvaient enfin être comblées avec elle, c'était bien trop bon pour s'arrêter en si bon chemin. Les seins d'Akira étaient tant maltraités qu'ils en devenaient presque violets sous la pression des doigts de Lily, mais cela ne faisait que l'exciter encore plus. Encore et encore, il lui fallait plus que ça. Akira voulait la voir pleurer. Akira s'étala toute la cyprine de Lily jusqu'à la bouche, se léchant les doigts au passage pour ensuite lui recracher le liquide au visage, provocatrice. Elle n'avait pas fini d'en voir de toutes les couleurs.
Akira ouvrit ensuite un portail et en ressortit deux objets. L'un semblable à un simple sticker, l'autre à un long gode parcouru de petites tentacules. La jeune femme adressa un sourire narquois à la sirène, puis appliqua le sticker sur le godemichet qui lui empalait le cul depuis tout ce temps. Si elle pensait que c'était déjà trop gros... qu'elle attende de voir la suite. Alors qu'elle appliqua le sticker, le godemichet doubla d'épaisseur en lui déchirant sûrement les parois anales au passage, puisqu'il était profondément enfoncé en elle. La bosse visible sur son ventre s'agrandit peu à peu, mais ce n'était pas assez. Akira introduit ensuite sans prévenir l'autre jouet parcouru de petites tentacules, directement dans l'intimité de Lily, sans la moindre once de douceur. Ce jouet était au moins aussi long que celui qui était introduit dans son cul, mais la petite différence se fit sentir... lorsqu'il se mit à tourner à une vitesse alarmante. Les tentacules s'allongèrent à l'intérieur de Lily pour fouetter l'intérieur de son minou et de son ventre, sans oublier le fait qu'Akira continuait de faire des va et viens.
- Alors ? Tu aimes ? C'est une de mes créations. ♥
Lily était donc assaillie par le cul et par le minou, et assez violemment. Pour finir, la corde commença à se raccourcir peu à peu, obligeant Lily à cambrer la tête en arrière pour continuer à respirer... bien qu'avec difficulté. Akira continuait de la maltraiter avec ses jouets, sans aucune retenue, une lueur de sadisme dans le regard alors qu'elle fixait profondément Lily. Plus besoin de mots, seuls ses cris suffiront à apaiser sa soif. Pièce maîtresse de son petit numéro, Akira sortit un dernier objet de son portail. Une petite boule verte et molle, comme une sorte de blob. Lily n'eut pas le temps de se demander de quoi il s'agissait qu'Akira le lança dans sa bouche. La sirène sentit alors la petite boule se mouvoir dans sa gorge et descendre dans son oesophage en direction de son estomac... il ne fallait pas lui laisser une seule ouverture. Le petit blob s'amusa à rebondir dans tous les sens à l'intérieur même de Lily, se frayant un chemin jusqu'en bas pour finalement ressortir par le millimètre d'espace entre ses parois anales et le gode... avant de remonter en direction de sa bouche à nouveau !
Akira, elle, se délectait d'un tel spectacle, fière de ne pas lui laisser une seule seconde de répit.
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Le traitement était déjà compliquer à supporter, mais tout s'enchaina ensuite à une vitesse folle. J'avais beau être une créature au caractère loin de celui d'un ange, prenant un plaisir malin à punir celles qui oseraient pénétrer mon territoires, mais contre toute attente malgré ce trait, je n'en restais pas moins assez fragile. Si ce n'était pas le cas dans l'océan, mes capacités étaient bien en dessous d'une humaine lambda une fois hors de l'eau, les petit jeux pervers de l'aventurière me faisant donc irrémédiablement souffrir. J'aurais voulu lui dire d'arrêter là si l'objet déjà trop large n'avait pas soudainement grossit, et que la corde ne m'étranglait pas d'avantage d'un seul coups. Mais là, tout ce que je pouvais faire était de hurler, en sentant mon derrière... se briser ? oui, c'était le mot juste, j'avais l'impression qu'il ne retrouverait jamais sa forme d'origine, que les parois allaient se déchirer tant cela devenait douloureux. Déjà, mon esprit embrumé semblait partir peu à peu alors que mon dernier grand cri fut totalement étouffé par la corde, n'envoyant qu'une large salve de salive hors de ma gorge étreinte.
Elle... Elle en profite un peu trop... putain... PUTAIN ! Attends un peu... que...
Je connais une aventurière qui allait prendre cher une fois que j'aurais repris le dessus. Elle m'avait fait mal ? Elle découvrirait la douleur à son tours. Elle pensait avoir manqué d'air sous l'eau lors de nos préliminaires ? Elle n'avait encore rien vu... Oui, si elle aimait pousser les choses à l'extrême elle ne saurait plus ou donner de la tête, je pousserais ses aptitudes physiques bien au delà... comme elle semblait le faire avec plaisir, sur mon pauvre corps qui s'étrangla bientôt de surprise devant un de ses nouveaux jouet. Mais ou avait-elle trouvé toutes ces choses ? J'étais déjà dans les vapes et voila que désormais, une boule gluante se jeta droit dans ma gorge ! Si les sons gutturaux ne suffisaient pas à lui montrer que le passage était compliqué, les bosses elles qui se formaient dans ma gorge devaient bien le lui montrer. C'était comme avoir du mal à avaler quelque chose qui restait coincer dans la gorge, qui formait une boule visible de l'extérieur avant de se faire avaler avec toute la peine du monde, dans un sons et un mouvement de gorge implorant presque la pitié d'un oeuil extérieur. Elle y prenait pourtant un malin plaisir, je le voyais bien à ce sourire qui devenait de plus en plus flou.
Dans un ultime acte de raison, une des mains lâche sa poitrine, libérant un de ses orbes de chaire qui sous la pression avait des traces bien visibles de mes doigts. La couleur rouge foncée donnaient presque l'impression d'une longue bataille féroce. Quant à l'autre, la main y resta ancrée, puisque j'avais libéré un de ses seins pour une seule raison précise : essayer de la gifler. Sans franc succès vu ma force réduite sur la terre ferme, qui donna simplement l'impression d'une tape estompée. Qu'importe, je me met alors à lui serrer le cou en grimaçant de douleur et... en tremblant de plus en plus. Peu à peu la poigne s'estompe, mes jambes se relâchent, se contractent, et je jouis, souillant son ventre avec abondance tandis que je m'évanouis peu à peu contre elle. Une seule pensée m'accompagne dans ce monde flou et ténébreux qui m'embrasse dans ses bras : La vengeance sera rude !
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Akira lui adresse un large sourire d'extase lorsqu'elle tente de l'étrangler, submergée par le plaisir de lui faire perdre la raison. Lorsque son cri fut étouffé par la corde serrée autour de son cou, Akira se précipita à sa bouche pour lécher bruyamment la salive s'échappant de celle-ci. Les fluides corporels ont toujours été son péché mignon. Quand la sirène atteint enfin l'orgasme, Akira ne put s'empêcher de mouiller abondamment de l'entrejambe, stimulée par un tel spectacle. Elle renvoya les objets dans sa dimension, et accueillit la pauvre Lily contre son corps trempé de cyprine. Après tout, la sirène en avait de la réserve ! Akira venait de le constater pour son plus grand plaisir. Akira lui caressa gentiment le dos, comme on le ferait à un petit chaton. La jeune femme venait de retrouver sa tendresse après l'extase.
- Ma petite Lily... tu es si mignonne !
Akira entrecroisa ses jambes avec celle de sa partenaire, frottant son intimité contre la sienne, et lui lécha la joue. Elle aspira ensuite un peu de la cyprine qui l'inondait avant de joindre ses lèvres à celles de Lily pour la déverser dans sa gorge, souriant. Rien de mieux pour la réhydrater après tout. Un petit sourire malicieux naquit sur ses lèvres pulpeuse, la jeune voyageuse était fière de ce qu'elle avait accomplit. Elle alla ensuite enfoncer deux doigts dans l'anus de la sirène pour constater les dégâts, espérant qu'il reste marqué de l'expérience qu'elle venait de lui faire subir. Ce ne serait pas amusant d'avoir fait tout ça pour rien, non ?
La jeune femme regarda Lily, encore étourdie, attendrie par son visage paisible. Akira ne se doute pas de ce que Lily a en tête, malheureusement, et vient lui donner un tendre baiser en l'enlaçant pour conclure le rapport. Ce contact a presque l'air romantique !
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Dans les vapes, impossible d'entendre ses derniers mots, et à vrai dire je ne cherche pas à les écouter, je suis bien tête contre sa poitrine à ne penser à rien. C'est moelleux , tendre et les battements de coeurs accélérés sont presque réconfortants. Je ne suis surement pas restée longtemps dans cet état, quelques minutes tout au plus ? Impossible à dire mais la douleur dans mon derrière se réveilla soudainement et alerta ma conscience qu'il fallait e réveiller. J'ouvrais donc doucement les yeux en sentant des lèvres pressées sur les miennes, des lèvres pulpeuses, celles de l'aventurière. Il faut dire qu'elles sont agréables et je ne rechigne pas à y répondre en émergeant lentement de ce sommeil, ouvrant peu à peu les yeux. Son visage me revient, d'abord trouble, puis la sensation de sueur qui coule sur mon corps chaud, l'odeur et le gout de la cyprine... Le temps d'assembler mes pensées et un nouveau mouvement un peu trop brusques éveille encore cette douleur dans mon derrière, qui me fait sursauter et quitter le baiser. Je me détache instinctivement de son emprise, et lui envoie une gifle, de plein fouet cette fois.
T'en aurais pas... UN PEU TROP profité ?
Je ne sais même pas si je dois la blâmer ou prendre ça comme un jeu, j'étais un peu troublée, on ne me touchais pas de la sorte habituellement, on ne se permettait pas ce genre de choses ! Et encore moins de al part d'une humaine. Mais soit, prenons ça comme un jeu, et comme dans chaque jeu une fois un palier achevé, il fallait monter au niveau suivant... niveau souvent plus difficile que les précédents, en toute logique !
C'est un peu injuste non ? Moi je n'ai pas tout ces objets... alors utilise ton pouvoir, sors en ce que tu veux... mais cette fois... ils seront à ma disposition ...
Si elle tentait une entourloupe comme en sortie une arme contre moi, elle pouvait être sure que je me montrerais implacable. Je lui faisait déjà une fleur là, même si ça n'y paraissait pas, alors le mieux qu'elle avait à faire était de coopérer. Bon... Et.... il faut aussi l'avouer... j'avais vraiment hâte de voir ce qu'elle sortirait de ce portail, ce qui serait à ma disposition. Mais elle devait se dépêcher, bientôt l'eau me manquerait et je devrais retourner m'hydrater complètement.
Tu vas être une fille bien sage n'est-ce pas ? Je ne serais pas obligée de t'attacher pour que tu restes en place.
Quoi que.. si c'était ce qu'elle voulait après tout...
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Akira écarquilla les yeux, la joue encore fumante après cette giffle. A la fois excitée et attendrie par cette réaction à chaud, la jeune femme prit toutefois un air innocent et apeuré.
- M... mais... je ne voulais que te faire du bien !
A noter que tous les objets qu'elle avait utilisés sur Lily étaient toujours par terre et fonctionnels. La jeune femme imagina un court instant ce que Lily comptait lui faire... allons... elle n'allait pas réellement faire ça hein ? Son anus est vierge à elle aussi malgré les apparences ! Ce serait douloureux. Elle commença à reculer lentement, toujours assise dans le sable. Une seconde ou deux étaient suffisantes pour qu'elle sorte une arme du sable, sachant qu'une sirène hors de l'eau ne doit pas être si dangereuse... mais elle ne voudrait pas abîmer son amante ! En entendant Lily parler de "l'attacher" ses pensées furent une nouvelle fois submergées de pensées perverses.
- Je... je... hiiii !
Elle se releva et tenta de s'enfuir, sachant très bien qu'elle n'irait pas loin. L'île était si petite qu'une dizaine de secondes suffisaient pour en faire le tour, et Lily devait être bien plus dangereuse sous l'eau... mais c'était précisément ce qui plaisait à Akira. Elle voulait éveiller son côté sadique, pour que Lily lui fasse du mal. Et c'est pourquoi la jeune femme commença à s'enfuir dans l'eau, bien trop lentement pour pouvoir espérer s'en sortir.
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S'enfuir dans l'eau ? quel idée stupide, j'avais l'avantage du terrain, elle savait ce qui l'attendait : le grand plongeon ! Le faisait-elle exprès ? semblant tantôt dominante, tantôt masochiste, difficile de prévoir ce qu'elle pensait réellement, mais si elle voulait que je reprenne l'avantage soit, ça allait être facile. Qu'elle n'aille pas se plaindre après cependant, la punition serait sévère. Comme pour la pousser à continuer ses pas vers l'arrière, je rentre dans l'eau lentement, suivant son retrait jusqu'à ce qu'elle n'ait plus pied. Un sourcil s'arque brièvement avec un sourire l'air moqueur, sui semble vouloir dire : Tu t'attendais à t'échapper ? Ben voyons. Et quand toute échappatoire semble enfin hors de portée je me jette à l'eau, remontant à la surface juste contre elle et appuyant à demi sa tête sous l'eau avec une main. Sa bouche, son nez, étaient sous l'eau, la privant d'air, seul ses yeux et tout le haut de son visage paraissaient encore à la surface pour continuer de me toiser facilement. D'un regard cruel, je lui maintient cette moitié de visage sous l'eau avec un certain amusement, souriant.
Tu as peur ? Non, je suis sure que tu es excitée rien qu'à cette idée... celle que je te maintienne la tête sous l'eau de ma poigne féroce, sans même savoir combien de temps je pourrais continuer ça... Mais je la laisse respirer, et quand sa tête sort de l'eau je profite de sa bouche aspirant l'air pour y glisser ma culotte en boule, que j'avais préparer de mon autre main. Un simple bâillon de fortune chargé du gout fort de la cyprine. Ne t'en fais pas, je vais prendre un malin plaisir à t'étouffer, si c'est ce que tu veux tant... Je ne me m'arrêterais pas jusqu'à ce que tu gigote dans tous les sens en hurlant ta détresses, d'avoir pitié...
J'attache ensuite ses bras dans son dos avec la corde qu'elle avait tant utilisée contre moi. Autant dire que quand je la relâche, c'est le grand plongeon, droit comme un piqué dans les fonds ! Elle peut toujours se débattre faute de pouvoir nager, rien que l'idée de voir sa belle poitrine rebondir sous ses gesticulation m'excite d'avance. Après un petit moment à rigoler, je la rejoint sous l'eau et l'attrape férocement par les cheveux pour l'obliger à s'allonger dans le sable chaud, fesses bien à l'air et en évidences. Elle ne peut voir ce qui se passe mais je suis sure qu'elle peut sentir que quelques instant plus tard, la longueur rigide qui butte contre ses fesses est bien réelle. Il ne s'agit pas d'un jouet, après un peu de concentration et de magie, un long membre masculin épais pousse entre mes cuisses pour se caresser contre les fesses de l'aventurière. Avec la culotte dans la bouche, elle risquait de bien boire la tasse, mais bon le danger l'excitait non ? Alors, sans un mot pour annoncer les festivités, je me saisis de ses fesses, d'une main de chaque côté puis... pousse un grand coups de rein dedans ! Oh, c'est plus serrer que ça en a l'air, on a pas du profiter beaucoup de son derrière. Aller, un deuxième coups de reins à en enfoncer sa tête dans le sable un peu plus loin.
La prendre avec tant de férocité dès le début, avec en vue sa tête baignant dans le sable, les nombreuses bulles d'air qui quittent ses pauvres narines et sa bouche, laissant seconde après secondes ses joues s'enflammer et ses poumons se vider.... c'était un spectacle délicieux. Et que dire de sa belle chevelure brune verdâtre, qui flottait derrière sa tête comme un joli récif d'algue. Un nouveau coups puissant, suivit d'un autre, et encore d'un autre jusqu'à augmenter rapidement le rythme de cette sodomie, chargées de nombreuses fessées pour la tenir en haleine.
Je te détache une main, sort moi une ball-gag de ton portail, je veux sceller tes lèvres comme il se doit. Et sort moi aussi quelques objets originaux et intéressant, avant que le manque d'oxygène ne te laissent plus les idées claires...
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La jeune femme se débat, du moins feint de se débattre. En réalité, elle adore la tournure que prennent les choses. Se sentir dominée après avoir réduite Lily à l'état de trou... quel bonheur ! Elle n'attendait que ça. Akira a toujours aimé la domination, que ce soit en tant que dominante ou dominée. Réduire et être réduite à l'état d'objet sexuel... cette sensation n'avait pas d'égal jusqu'ici. La jeune femme finit donc par se laisser faire, la tête à demi plongée sous l'eau, ce qui l'obligea à garder son calme pour ne pas expulser trop vite le peu d'air gardé dans ses poumons. La jeune femme leva des yeux suppliants vers la belle sirène, désormais soumise.
- Bloub...
Elle prit une grande inspiration quand Lily ressortir sa pauvre tête de l'eau, et vu sa bouche obstruée par la culotte trempée de celle-ci. Akira arbora un sourire pervers et ne tarda pas à aspirer goulûment toute la cyprine possible. La jeune femme mordit même la culotte roulée en boule pour l'essorer du maximum de liquide possible. Lorsqu'elle fut attachée et commença à couler au fond de l'eau !
Akira tenta de se débattre, en vain. Elle coulait irrémédiablement. Sa poitrine généreuse et son fessier rebondit rebondissaient au rythme de ses gesticulations hasardeuses. Lily l'attrapa par les cheveux pour la forcer à s'allonger dans le sable, ce qu'elle fit forcée de faire, les fesses à l'air prêtes à recevoir leurs sentence. Akira finit par sentir quelque chose de rigide et long contre son fessier, et tiqua. Non... ce n'était pas... Lily lui aurait caché ça ?
- HHMMMMGGNGNGNMMMMMMM !!!
Akira poussa un long cri aigu de surprise et de douleur, quand Lily introduit son sexe dans le cul d'Akira. La jeune femme ne s'y attendait pas, par conséquent son anus était encore un peu serré. De plus, elle n'avait pas beaucoup l'habitude de se faire sodomiser malgré les apparences. C'est donc avec beaucoup de douleur mais encore plus de plaisir que la jeune femme accueillit le pénis de Lily, la tête enfouie dans le sable. Ses cris étaient étouffés par le sable et les bulles d'eau s'échappant de ses lèvres pulpeuses. La jeune femme criait de plus en plus vite au rythme des coups de reins de la sirène, alors que son anus se dilatait peu à peu.
- Bloub ! Blub ! Blllblb !
La jeune femme s'exécuta à la demande et sortir une ball gag de son portail, ainsi que quelques objets au hasard. Un immense gode de la longueur d'une femme et de la largeur d'une cuisse, un fouet enchanté refermant les plaies qu'il créée en frappant, un collier se refermant progressivement sur la gorge, un double gode en forme de v s'enfonçant dans deux trous à la fois, et la même paire de gants augmentant la force que tout à l'heure. Il restait également une sorte de rouleau tournant sur lui-même, sûrement destiné à être enfoncé quelque part lui aussi.
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La voici enfin, la précieuse ball-gag, offerte comme un trésor, le trésor qui scellera ses lèvres. J'aurais pu le lui insérer avec amour, tendrement mais non, la belle aventurière avait clairement montré son amour pour la fougue, les relations plus brutales . Je me risquais alors à une approche plus musclée en lui tirant les cheveux pour l'allonger sur le dos, et plaça un pied contre son ventre, accompagné d'un regard sadique. Peu à peu, la pression du pied contre son bas ventre augmente, d'abord assez lentement pour qu'elle comprenne ou je veux en venir, puis jusqu'à l'obliger à se vider de son souffle en écrasant assez son ventre pour la faire crier dans une grappe de bulle. Ses poumons vidés, je la laisse suffoquer et chercher son air, air absent en la toisant toujours de mon regard sadique. Son seul salut est mon pied nue qui quitte son ventre pour coller à ses lèvres et fermer de force ses lèvres. Bon elle peut toujours boire la tasse par le nez mais au moins ce sera moins assommant avec sa bouche scellée.
Tout ces objets ont l'air amusant mais je vais prendre mon temps nous ne sommes pas pressées... Je vais d'abord te remplir copieusement, te faire un ventre bien rond, plein, tout chaud !
Avant de la bâillonner encore une fois, je lui offre tout de même un baiser salvateur et langoureux, coupés de trois longues expirations pour remplir ses poumons, tout de même... Après ça, la ball-gag rouge scelle ses lèvres et je lâche ma belle aventurière dans le sable, cul en arrière. Une belle fessée lui est administrée mais surtout, ce collier en cuir dont je ne connais pas l'utilité, et que je lui enroule autours du cou. Outch, l'eau mouillant le cuir le rends plus serré et j'ai l'effroyable impression de l'étrangler, loin de me douter que ce collier avait cette fonction comme réel but. Une fois bien fixé, je regarde le gros jouet qui est d'une taille simplement inhumaine ! Mais je n'y touche pas encore, comme convenu j'avais encore le temps et je préférer retourner dans son anus pour en racler ses parois bien étroites.
Je vais me vider en toi pendant que tu t'étouffe, petite perverse ! J'ai hâte de voir toute les jolies bulles que tu vas faire en hurlant de douleur et de plaisir !
Je pousse si fort en elle que l'impact dans son derrière fait vibrer son corps et le pousse vers l'avant, vers le sol comme une vulgaire soumise maltraitée ! Et il y avait aussi ce fouet qu'elle m'avait laissé, un fouet qui après un léger coups sur son derrière dévoile son intéressante particularité : Celle de ne laisser aucune marques ! D'abord curieuse, je me prends vite au jeu et fouette sans retenue son cul ainsi que le haut de son dos, admirant les effets magiques qui ne laissent aucune marque,s aucun saignements ! Juste la douleur de cette morsure qu'est le cuir. Bientôt, sous la douleur que l'aventurière ressent et qui semble prendre une grande place dans son plaisir, j'en viens à mon tours à être très excitée. C'est quand la belle commence à gigoter, surement à cours d'air et suffoquant, que mon plaisir atteint son paroxysme. Je jouis une première fois en poussant un ultime et grand coups de reins en avant, pénétrant une nouvelle frontière dans laquelle ma verge est écrasée par ses chaires si étroites. La suite n'est qu'une longue série de hurlement de bonheur et de liquide chaud, épais, qui remplie son cul. Un nuage blanc s'échappe des commissures de son anus pour se diluer dans l'eau, signe des quantités de semences impressionnantes que je suis capable d'expulser t qui gonflent lentement son bas ventre... dans une chaleur presque réconfortante.
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Akira apprécie la brutalité de la sirène, qu'elle accueille comme un cadeau. Elle est tirée par les cheveux, traitée comme une chienne, et en redemande. Quelle sensation extraordinaire... le pied de Lily venait chasser tout l'air de ses poumons avec brutalité n'en est que plus plaisant encore. Akira est forcée de recracher tout l'air qui est en elle par la bouche et le nez, suffoquant rapidement. Ses yeux se révulsent lentement alors que l'inconscience lui tend les bras, mais l'adresse de Lily lui permet de lui redonner de l'air juste à temps avec un fougueux baiser. Elle sait s'y prendre, c'est une certitude. Akira sourit à la sirène pour lui montrer qu'elle est loin d'être brisée, et qu'elle peut encaisser bien plus que ça. Il lui fallait plus, bien plus. Quand bien même elle manquerait d'air, ce n'était pas assez.
Akira se laisse mettre en position par Lily, son joli cul rebondit bien relevé vers sa partenaire. La chair moelleuse de son fessier rebondit généreusement à la fessée de la sirène, ce qui provoque un petit cri chez Akira. Cependant, le collier qu'elle lui place autour du cou lui coupe bien vite la voix. Elle connaissait cet artefact. Il ne s'arrêtait de serrer qu'à la limite de ce qu'un humain peut endurer, alors sous l'eau... le challenge n'en serait que plus difficile. Akira aimait cela, encore. La jeune femme a une sueur froide en voyant Lily se saisir du gros jouet, mais soupire de soulagement quand elle le repose. Son cul ne serait sûrement pas assez gros pour l'accueillir, du moins sans avoir mal.
- BLOUB !
Un cri étouffé s'échappe de la gorge d'Akira, lorsque Lily entre une nouvelle fois en elle. Quelle petite gourmande. Le cul d'Akira vibre et se tasse au ryhtme des coups de reins de la belle, faisant rebondir sa chair tendre et moelleuse contre le ventre de Lily. Couplée aux coups de foeuts douloureux mais si bons à la fois, la jeune femme est en véritable extase de plaisir. Son intimité ne tarde pas à gicler plusieurs fois, laissant s'échapper des vagues de cyprine consécutivement, l'un des secrets d'Akira. Il
y a peut-être même un peu d'urine, qui sait, parmi tous ces fluides corporels, Akira se vide entièrement. La jeune femme gigote sous le plaisir et la torture, bavant abondamment, à court d'oxygène, les yeux révulsés. Et au firmament, la jeune femme jouit en même temps que Lily. Le foutre chaud pousse jusque dans son ventre, le faisant légèrement gonfler, preuve des quantités impressionnantes que Lily a en réserve. Simultanément, un ultime jet de cyprine s'échappe une nouvelle fois de l'entrejambe d'Akira pour se diluer dans l'eau avec la semence. C'était sale... et au vu du regard d'Akira, elle en redemandait.
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Difficile de dire si la belle aventurière au nom encore inconnu avait des limites. Si c'était le cas, je ne les avaient pas encore trouvés. Sous la torture, les pénétrations et même le manque d'air, la belle brune ne faisait que jouir, orgasme sur orgasme. Mais une odeur forte m'interpela entre ses cuisses, se diluant dans l'eau, et je la saisit par les cheveux pour venir la regarder droit dans les yeux. Peut de toute, elle venait de se faire pipi dessus pendant le dernier orgasme, alors qu'elle n'avait pourtant rien bu à ma connaissance, si ce n'est ma cyprine.
C'est parce que tu as peur que tu te fais pipi dessus ? Peur de voir jusqu'ou je peux encore gonfler ton ventre ? Peur de ne pas pouvoir respirer à temps ? Ou... peur de cette grosse chose que tu m'as donné, avec laquelle je m'apprête justement à défoncer ton derrière ?
Les mots si crus n'étaient pas mon genre, mais j'avais deviné plus tôt que ceux-ci faisaient frémir d'excitation la belle aventurière. Alors je n'hésitais pas à bien insister sur ce mot, en repoussant son visage sans même lui donner de l'air. Un peu trop dangereux ? Surement, Elle allait suffoquer, et je sais qu'elle en mouillerait d'avantage rien que d'y penser. D'autant plus qu'il était enfin l'heure d'explorer jusqu'ou elle pouvait supporter la douleur dans son anus. Cet objet était vraiment énorme, comment avait-elle pu avoir l'idée de m'offrir cette chose à disposition ? Je connaissais les capacité des parois anales à s'élargir mais.. y avait des limites ! Enfin, si c'est ce qu'elle voulait, qu'elle ne vienne ps crier stop une fois commencé.
Tu cherches de l'air ? Oh ne t'en fais pas... ce n'est pas avec de l'eau que tu vas te noyer.
Sur ces paroles, je l'allonge dos contre sable et prends une position bien connue des humains, vulgairement appelée 69. Avec ma verge dans sa bouche et bientôt dans sa gorge, effectivement, ce n'est pas avec de l'eau qu'elle va boire la tasse. Et la suite elle la connait ! Cette position pas choisit au hasard permet de saisir ce jouet aux proportion diablement ridicule. Qu'importe, je pousse avec dans ses fesses et... Outch, ce qui fait office de gland a déjà tant de mal à passer que je dois le tordre dans tous les sens en poussant, écartant l'antre de son anus à un point que je n'aurais pas soupçonné possible. C'est si tendue que ça donne l'impression de bientôt craquer, et je pousse encore, à deux mains, comme elle le désirait au fond d'elle malgré la douleur irritante. De l'autre côté aussi ce n'était pas des plus doux. Ma verge en érection et palpitante se glissait dans sa gorge en boucle, jusqu'à la sentir se serrer fort contre mon appendice, tant elle commençait à chercher de l'air.
Après tout, c'est elle qui voulait jouer dans les extrêmes non ? Et tandis que le jouet aux proportions infernale se glissait toujours plus loin dans cette trop petit pour elle, remuant le sperme de son ventre à chaque bond, je me préparais à jouir... encore ! Une première giclée longue et chaude tapissa le fond de sa gorge, la première d'une longue et assommante nouvelle rasade