Duo derrière la Webcam [Alaïs]-[Magdalena]

Le temps que je sois revenue le publique a décidé qu'il fallait que je sois attachée. Normalement je ne suis pas fan du concept, mais maintenant que je suis bien chaude, l'idée a quelque-chose d'indéniablement excitante. Je regarde Marc me l'annoncer en sortant ses menottes et je le laisse me les passer aux poignets en m'expliquant que le public souhaite qu'elles soient attachées à mes chevilles.

La première chose qui me vient à l'esprit c'est que ça risque d'être tout sauf pratique pour ce qui doit suivre. Je suis supposée m'empaler sur un gros gode et faire des vas-et-viens tout en branlant Marc entre mes seins. La première position qui me vient en tête avec cette configuration d'attaches c'est les mains dans le dos croisées avec les chevilles. Mais je n'aurais aucune marge de manœuvre pour faire ce que je suis supposée faire. Ou alors ce sera marc qui devra me faire bouger à ma place et moi je devrais rigidifier au maximum mon bassin et mes abdominaux pour éviter de me plier, un peu comme si je devenais une sorte de poupée à bascule. Et ce serait marc qui aurait alors en main toute la suite, ce serait lui qui gérerait à quelle vitesse il se branlerais avec mes seins ce qui du coup gérerait aussi le rythme de mes pénétrations sur le gode.

Il a l'air bien assez costaud pour ça, et d'un autre côté je n'aurais pas la bouche pleine, je pourrais lui souffler des trucs. Et jusque-là ça c'est plutôt bien passé.

Bon, prenons le risque, après tout si ça ne fonctionne pas on pourra toujours changer quelque-chose après coup.

- Désolée, il va falloir que tu fasses tout le reste, souffle-je à Marc en allant me pencher puis m'asseoir doucement sur mon gode. Je gémis fortement en sentant le gland légèrement pointu entrer en moi, mais à nouveau je suis dos à l'ordinateur donc je ne peux pas voir les commentaires. Je pousse un peu plus mais pas trop vite non plus. Heureusement je suis dégoulinante de cyprine et tout rentre avec une aisance assez appréciable pour ma part. Je finis assise à genoux, le gode ayant presque complètement disparu en moi. Je me tourne pour nouer la menotte de mon poignet gauche à ma cheville droite, mais après je ne peux plus le faire pour les deux autres.

- Marc ? Demande-je pour réclamer un coup de main.

Il est plus que volontaire de finir de m'attacher et j'avoue qu'outre une certain appréhension, la situation commence à m'exciter de plus en plus. C'est la première fois que je suis à la merci de quelqu'un d'autre. Je n'ai jamais été attachée avant et je n'ai personnellement pas d'attaches pour tester ça seule dans mon coin.

Marc s'assied sur le lit en face de moi, j'ai l'impression qu'il prend bien son temps alors que je trémousse d'impatience empalée sur mon gode.

Finalement il prend son énorme chibre bien dressé et bien dur en main et me saisi le biceps droit pour me faire bouger un peu. Il passe son gland sous la chaînette et pousse doucement pour faire remonter son sexe entre mes seins jusqu'à ce que le bout vienne toucher mon menton. Je tourne un peu la tête et je le sens qui commence à m'attirer en avant. Je durci mon abdomen pour rester bien droite et je sens l'effet de succion  sur mon gode qui lutte pour me retenir en arrière, mais finalement je bascule vers l'avant alors que son glande viens frotter contre le bord de ma mâchoire puis le long de ma joue tandis que ma poitrine s'enfonce le long de sa lance de chaire.

Je gémit lourdement, la sensation est vraiment forte. Sentir un homme me caresser la joue avec son sexe est une expérience nouvelle et un peu rigolote, mais couplée à la pénétration massive que je subis, c'est super excitant.

- Pas trop vite pour commencer... Murmure-je haletante à mon partenaire.

Heureusement il est vraiment très gentil et très doux. Il me fait aller doucement d'avant en arrière en me tenant par les épaules, comptant sur la chainette pour assurer la pression de ma poitrine autour de son sexe. Je gémis chaudement, appréciant la sensation même si je suis bien obligée de me crisper pour faire le balancier avec mes genoux. Après quelques vas-et-viens je commence à bien profiter et me met carrément à frotter mon visage contre sa verge en lui souriant.

- C'est bon je crois que tu peux accélérer un peu... lui dis-je avec un clin d'oeil coquin.

Puis sans prévenir je sors ma langue et la colle contre son sexe pour qu'il me fasse bien lui lécher son chibre en me faisant aller de bas en haut.

Je sens que je commence à prendre mon pied ! C'était une bonne idée ces show préparatoires !

Attacher ses partenaires étaient quelque choses que Marc avait appris à apprécier même si les premières fois qu’on lui avait demander ce genre de chose il n’avait pas trop compris l’intérêt mais après plusieurs demande de la sorte, il y prenait goût. Cela ne le gêna donc pas d’accepter les demandes des spectateurs qui voulait qu’il attache Alaïs pour continuer le show même si ça posait quelque problème puisqu’elle était censé aller et venir sur son gode pendant que lui se branlait entre ses seins. La position qu’avait choisi ne lui permettait pas de bouger comme elle l’aurait voulu sur son gode et il allait donc devoir gérer ça aussi, il trouvait cela amusant.

Il attendit qu’elle s’enfonce sur son jouet pour finir de la menotter, elle ne pouvait plus bouger et il allait devoir gérer la suite comme elle l’avait bien dit. Afin de pouvoir gérer à la fois les va et vient de sa belle camarade sur son jouet ainsi que ses mouvement entre ses seins, il décida de s’asseoir sur le lit. Pour ce qui était de se branler entre ses seins, il l’approcha un peu pour qu’il puisse passer son sexe sous la chaînette qui reliait ses seins, elle l’avait bien serrer car il sentait qu’il n’aurait pas forcément besoin de les coller entre eux pour une meilleure sensation. Il posa ensuite ses mains sur les bras d’Alaïs afin de l’attraper et la souleva doucement, le gode ne bougeais pas et seul son corps se releva ce qui faciliterait la chose.

Une fois la position trouvée, il commença sans tarder une parfaite synchronisation entre ses mouvements, il la faisait remonter sur son gode en même temps qu’il s’enfonçait entre ses seins et elle pouvait voir ce que représentait réellement sa longueur car malgré qu’elle ait une poitrine plutôt imposante, une bonne partie du sexe n’était pas caché dessous. Il commença doucement, ce fut d’ailleurs la demande d’Alaïs. Il avait trouvé un bon rythme pour la faire monter et descendre sur son jouet alors il se focalisa sur ses seins. Il se frottait avec envie, sentant la douce poitrine de sa partenaire se presser contre son chibre en erection, lorsqu’il allait au maximum, il n’avait aucun mal à aller caresser sa joue avec, il trouvait ça plutôt amusant.

Lorsqu’il eut enfin la demande pour accélérer un peu, il ne se priva pas une seule seconde et ses mouvement se firent encore plus fluide. Il faisait en sorte que son sexe vienne se presser contre la langue tendue qui avait une grande envie de le lécher à chaque fois qu’il était à portée. Il accéléra également la vitesse à laquelle il la faisait monter descendre sur son gode. Il aimait beaucoup cette sensation mais il cherchait aussi une manière d’aller encore plus loin dans le plaisir. Et il regardait le chat pour ça. Cette configuration plaisait mais beaucoup se plaignait qu’elle soit de dos et qu’on ne voyait que le gode aller et venir et non pas son sexe entre ses seins, les gens demandaient donc qu’elle s’allonge sur le lit :

« Attachée comme elle est, ce ne sera pas très confortable ce que vous demandez mais ça peu se faire oui. »

Il se leva donc pour soulever sa partenaire et la coucher sur le lit en travers pour que la caméra puisse tout capter, autant la masturbation entre ses seins que les aller et venu du gode. Dans cette position, ça allait être lui qui devrait s’occuper de faire bouger le gode, il se plaça à califourchon sur elle pour repasser son membre entre sa poitrine en même temps qu’une de ses mains puisse prendre le gode en main pour le faire aller et venir :

« Comme ça, ça vous va ? »

Tout le monde répondit que oui alors il continua ses mouvement en accélérant encore. Il se pencha un peu sur Alaïs pour la regarder et sa main libre attrapa la télécommande du gode :

« Et si au lieu de le faire manuellement, on commençait à le faire vibrer ? »

La question était autant destinée aux spectateurs qu’à sa partenaire.

En haut, en bas. Monter, descendre. Enfoncé, ressorti. Ça peut paraître idiot mais ça m'amuse à cet instant de penser à ces mots tant je prend de plaisir à ce qu'il se passe. C'est la première fois que je suis attachée et je prend un pied fou avec un minimum d'efforts et je pense que Marc aussi s'amuse bien. Cependant ça ne dure pas très longtemps et je suis un peu surprise par la tournure quand Marc s'adresse aux caméras et finalement me soulève pour me poser sur le lit.

Je rosis un peu plus, c'est gênant d'être soulevée comme ça, même si j'ai l'impression de ne rien peser entre les bras vigoureux de mon partenaire. Je me fais la réflexion que je pourrais être complètement entravée qu'il aurais sans doute la force de se servir de moi comme d'un simple sextoy insérable. L'idée m'effraie un peu autant qu'elle m’excite, mais il se contente de me positionner pour qu'on voie bien mon sexe face à une caméra et qu'une autre puisse avoir un visuel de profil sur moi. Il glisse à nouveau son sexe entre mes seins en prenant position pour demander aux viewers si ça leur convient.

Moi un peu moins, j'ai le dos pas mal arqué dans cette position, alors un mec assis sur le ventre c'est un peu moyen... SOnge-je avant de le sentir recommencer à faire aller un peu le gode.

Ça me relance tout de suite et je recommence à gémir en frottant ma joue contre son sexe.

Et puis zut ! Tant pis pour mon dos, c'est trop bon !

Je recommence à gémir, soupirant chaudement au traitement qui m'est infligé. Et Marc en profite alors pour se saisir de la télécommande et me la montrer en suggérant un truc horriblement excitant.

J'ai la gorge plus occupée à laisser entendre mon plaisir qu'à parler et de toute façon, quand je suis excitée à ce point, j'ai de la peine à trouver mes mots. Je hoche passionnément la tête en réponse et mes yeux crient d'envie qu'il l'active.

Ça ne manque pas, il le fait peu après et je pousse un mélange entre un cri et un gargouillement de plaisir quand je sens les vibrations se répandre dans mon intimité. Je me tend et arque encore plus mon dos, son sexe s'agitant entre mes seins ballotés. Je sens une intense chaleur se répandre dans mon ventre et remonter le long de mon dos jusqu'à ma tête. Je deviens de plus en plus confuse et incapable de penser plus loin que la prochaine pénétration, comme si j'entrais dans un état second. Cet état je le connais un peu quand je faisais des shows toute seule, mais je ne l'ai jamais eu aussi fortement que quand je fais des choses avec d'autres personnes. Ça n'avait pas été aussi intense depuis ma première fois avec madame Charlie !

Je perds de plus en plus la notion du temps pendant que mon cerveau se gorge de plaisir et que je commence à crier de plaisir plus qu'à soupirer. Je n'ai aucun contrôle sur ce qu'il m'arrive et le seul qui peut décider ou non de quand nous allons jouir c'est Marc. Je ne suis plus qu'une figurante dans un univers de délices et je parviens à peine à garder conscience de ce qu'il se passe autour de moi. Mais à ce rythme...

Oui ! Oouuuiiii !! Vas-y Marc ! Fais-moi jouir ! Ooouuuuiiiii !!! Jouis toi aussi ! OOOUUUUIIIII !!! C'EST BOOONNNN !!!

Il imaginait bien que cette position devait être assez inconfortable pour sa camarade mais il espérait qu’elle saurait s’en accommoder et que le plaisir serait assez fort pour le lui faire oublier. Il sourit en l’entendant gémir et son hochement de tête lui donna son accord pour commencer à faire vibrer le jouet qui se trouvait en elle. Au vue de son excitation, il décida de mettre les vibrations au maximum pour un maximum de sensation.

Il prenait son pied à la voir prendre autant de plaisir et il ne resta pas en reste, puisque le jouet était désormais  en mode vibration, il n’avait plus à le faire aller et venir lui même pour qu’elle ressente du plaisir. Il le lâcha donc et le laissa aller simplement au rythme maximum qu’il avait mis, il pu ainsi poser ses mains sur les seins d’Alaïs et il les pressa encore plus ce que ce qu’ils ne l’étaient grâce à la chaînette afin de comprimer au maximum son sexe qui se trouvait entre. Et il commença à donner de vif coups de butoir en avant, il savait qu’il n’allait pu pouvoir tenir longtemps alors autant y aller franchement.

Si sa camarade gémissait fortement de plaisir, lui aussi ne pouvait taire ses bruit de plaisir alors qu’il frottait son sexe contre la peau si douce de la poitrine de sa partenaire, il avait déjà fait pas mal  d’action similaire avec d’autres filles mais aucunes ne lui avait donner autant de sensation. Il allait à grande vitesse lorsqu’il la prévient de ce qui allait arriver pour qu’elle se prépare :

« Je vais venir, hmpf. »

Il haletait alors qu’il renforça sa prise pour se sentir comme dans un étau et il donna tout ce qu’il pouvait. Il avait beau l’avoir prévenu, il ne finit par éjaculer qu’au bout de plusieurs longues secondes. Il se libéra de la frustration accumuler pendant toute cette semaine d’abstinence, un jet qui ne semblait pas vouloir s’arrêter. Il soupira d’aise en se relâchant, quand il avait dit qu’il pouvait la recouvrir à lui tout seul après une semaine, il n’avait pas été très long de la réalité.

Il resta dans cette position sans pouvoir bouger pendant un petit moment, en soufflant pour se remettre de ses émotions, il avait tout donner comme à son habitude mais il n’oubliait pas qu’ils étaient en plein show.

Je n'ai plus conscience de grand-chose si ce n'est que mon corps entier déborde de plaisir. Je sens l'énorme chibre de Marc se servir de ma poitrine pour se branler et ça m'excite de plus en plus. Je ne résiste pas à la lécher goulument chaque fois qu'il remonte contre ma joue.

Ça couplé au gode qui vibre comme un marteau-piqueur dans ma petite chatte et qui me rend folle. Je n'émet plus que des grognement rauques et des gémissements gargouillant de plaisir. La chaleur qui consumme mon ventre ne cesse de monter et je sens que je ne vais pas tenir encore très longtemps à ce rythme.

Quand Marc m'annonce qu'il va bientôt venir, je ne le remarque même pas vraiment tellement je suis en pleine transe de plaisir. Je me rend compte qu'il finit par cracher une énorme quantité de sperme sur moi quand j'en sens tomber sur mes yeux, mon visage et dans ma bouche entrouverte.

L'instant d'après je jouis à mon tour et mon corps s'agite de spasmes de plaisir incontrôlés, restreint uniquement par les menottes qui me retiennent par les poignets et les chevilles. Cette fois mon esprit devient vraiment une page blanche, c'est si bon que pendant un très long moment je suis comme dans un état second de béatitude extrême. Je continue de trembler et de m'agiter sur le lit jusqu'à ce que Marc pense à couper les vibrations du gode.

Je lui lance un regard heureuse depuis le lit. Je n'en peux plus, je suis vaincue de fatigue et de plaisir.

- Je crois que c'était assez pour le show de ce soir... lui souffle-je difficilement tellement j'ai de la peine à reprendre mon souffle. Détache-moi s'il-te-plaît...

Marc est suffisament gentil pour s'exécuter et je m'étire difficilement, mes cuisses me font un peu mal, ainsi que mes abdos et les muscles de mon dos. Je regarde le timer de la caméra du show et voit que nous avons largement dépassé les trente-cinq minutes et que nous approchons des quarante-cinq minutes. Je m'assied difficilement sur le lit pour faire face aux caméra et leur sourit en sentant la semence de Marc dégouliner de mon visage vers mon cou et ma poitrine. J'en profite d'ailleurs pour retirer la chaînette et relâcher mes seins avec un soupir de soulagement.

Je ne sentais plus mes tétons à force.

- Ce sera tout pour ce soir ! Annonce-je avec un grand sourire satisfait à la caméra. Vous vous êtes bien fait plaisir et nous aussi... Dis-je en passant un oigt sur les longues traines de sperme épais qui dégoutent de mon visage pour ensuite le porter à ma bouche et l'avaler avec un air gourmand.

J'aime bien le goût salé du sperme quand il n'est pas trop dilué par n coït trop long. Même si je me fais la réflexion après coup que je ne pensais pas faire ça dès le premier soir avec Marc.

Je suis néanmoins assez contente de voir que la plupart des commentaires semblent satisfaits et que bon nombre semblent avoir pris leur pied à peu près en même temps que nous.

J'agite la main dans un geste d'au revoir.

- À vendredi prochain mes chers petits pervers !

Je me sers ensuite de ma jambe pour aller presser sur la touche interrompre le stream avec mon orteil, soit la touche "espace". L'image de nous sur la caméra se fige et nous demande si nous voulons nous en servir comme miniature en attendant le prochain show.

- Il faudra qu'on pense à prendre une photo pour notre profil... Dis-je à haute voix avant de me tourner vers marc. Tu me donnes l'autorisation d'aller me laver ou tu veux que je reste couverte de ton jus encore un peu ? D'ailleurs je ne m'attendais pas à ce que tu éjacules autant, tu caches bien ton jeu avec tes jolies bourses ! Ris-je d'un ton coquin.

Même s’il avait jouit et qu’il semblait épuisé par ce moment de plaisir intense, Marc se remettait très vite et aurait pu continuer le show après une petite pause mais cela le dérangea pas non plus lorsqu’Alaïs annonça que c’était assez pour ce show. Il avait cracher une bonne quantité de sperme et il avait littéralement recouvert le visage de sa partenaire de foutre, il fallait dire que s’être retenu pendant une semaine avait bien aidé à fournir une telle quantité d’un coup. Il arrêta les vibration du gode et le retira non sans prendre tout son temps pour qu’elle le sente une dernière fois avant de lui retirer les menotte afin qu’elle puisse se redresser et se mettre dans une position plus confortable.

Les spectateurs semblaient très satisfaits de ce qu’ils avaient pu voir et il n’y avait pas de trop grande déception concernant la fin du spectacle. Il s’étira un grand coup après qu’elle ait éteint le live et souffla d’aise avant de rire à sa remarque :

« C’est de ta faute. Une semaine sans se vider, forcément quand on ouvre le tuyau ça sort en quantité. »

Il la regardait tranquillement en souriant, elle avait effectivement bien besoin d’une douche pour se nettoyer de tout ce qu’elle avait sur le visage. Il lui pris la main pour la caresser et la porter à ses lèvres pour l’embrasser :

« Tu as mon autorisation pour aller te laver mais pourquoi pas ne pas prendre cette douche ensemble ? »

Pourquoi s’arrêter alors qu’ils s’amusaient beaucoup ensemble, en plus quand il avait été question du fist elle avait dit qu’il faudrait tester entre les show donc cela voulait bien dire que rien ne les empêchait pas de faire un after rien qu’entre eux. Évidemment, il ne comptait pas la fister sous la douche, quoique si elle en avait envie pourquoi pas mais ils pouvaient bien profiter de se petit coin d’intimité pour se rapprocher encore plus :

« Il parait que je me débrouille pas mal pour nettoyer les endroits délicats. »

Il eut un petit sourire coquin en faisant cette proposition non dissimulée alors qu’il s’était déjà levé du lit en ne lui ayant pas lâché la main.

La remarque sur le tuyaux me fait rire doucement. Maintenant que la vapeur commence à retomber je prend petit à petit conscience que je viens d'avoir beaucoup de plaisir avec une autre personne qui m'a à peine touchée au final. C'était beaucoup plus sympa que ce que je pensais, je m'étais un film un peu lourd dans ma tête, mais au final c'était plutôt super, même si ça a été un peu court pour terminer.

Je lui rend son sourire à sa proposition de douche à deux. Même si je sens que je suis bien plus calmée, je suis toujours bien excitée.

- Pourquoi pas ma foi ? Réponds-je doucement en me relevant du lit.

Je lui prend la main et sans rien dire de plus le tire doucement jusqu'à la salle de bain. Il y a déjà des linges et du savon, mais de toute façon j'ai pris le mien. Je me munis aussi d'un peigne à dents fine pour gratter le sperme de mes cheveux et éviter qu'ils ne collent tout le reste de la semaine. Je rentre dans la cabine de douche et allume l'eau chaude pour me délasser dans un premier temps. Je sens Marc derrière moi dans la cabine qui est un peu étroite pour deux personnes.

Pour le moment je ne dis rien, je ne vois pas trop de quoi discuter et après tous les mauvais dialogues de tout-à-l'heure je n'ai pas très envie parler pour le moment. Je me contente de me rincer et de me laver doucement à l'aide d'une boule de fibres synthétique qui sert à faire mousser le savon.

Je ne sais pas trop combien de temps je me frotte le visages, les épaules, la poitrine, le ventre et les jambes. Mais au bout d'un moment, je finis par tendre le gant derrière moi sans rien dire. Une fois que Marc s'en est emparé je me contente d'attendre et finit par sentir le contact du savon contre mon dos ainsi que les mains puissantes de mon partenaire. Il me refait le coup du massage ce que j'apprécie énormément et salue de quelques gémissement simples. Je ne suis plus devant une caméra, je n'ai plus besoin d’exagérer ou de faire semblant, ce que je ne fais pas beaucoup à la réflexion.

Il continue de nettoyer mon dos un bon moment jusqu'à arriver à mes fesses. Je sens que les choses peuvent devenir intéressante et je me sens plutôt bien dans le silence qui plane. Je n'ai pas besoin de parler pour demander ce que j'ai cru comprendre qu'il voulait aussi. Je me plaque silencieusement contre la vitre et m'arque un peu en remontant mes fesses vers l'arrière, écartant doucement les cuisses, toujours dos à lui. Je lui offre une vue très complète de mon derrière et de ma vulve. Je me sens nerveuse et en confiance à la fois, ce qui ne m'est pas arrivée souvent dans ma vie.

Quand je sens ses mains se poser sur mes fesses et le savon commencer à ruisseler dans ma raie, je souffle simplement pour essayer de me détendre. Je laisse Marc jouer avec moi et les moins que je puisse en dire c'est qu'il est effectivement doué. Il n'a pas à jouer très longtemps pour rallumer les braises de mon plaisir et faire remonter la pression en moi. Je commence de nouveau à avoir envie, mais cette conne de règle à la noix m'empêche à nouveau d’assouvir mon envie : l'avoir au fond de moi. Une autre idée me vient en tête par rapport à ce qu'il avait suggéré plus tôt dans la soirée.

- Tu crois vraiment que tu pourrais faire tenir ta main en moi ? Demande-je d'un ton chaud et langoureux. Je connais un peu le fist mais je ne l'ai jamais vraiment pratiqué... Ça se fait par quel orifice au juste ?

Il sourit en la suivant jusqu’à la douche, il ne savait pas vraiment pourquoi mais il aimait beaucoup prendre les douches avec ses partenaires même sans forcément faire de choses coquines dedans. Peut être était-ce le fait que c’était un espace confiné et très intime dans lequel il pouvait être au plus proche d’elles. Il était donc ravi qu’Alaïs accepte sa proposition et il entra dans la cabine avec elle, comme il l’avait dit, il y avait la place pour deux.

Il la regardait se nettoyer tranquillement, profitant de l’eau pour le faire aussi même s’il avait beaucoup moins à faire. Elle avait commencé à se laver et il n’intervint pas, la laissant faire jusqu’à ce qu’elle lui tende le gants et le savon pour le dos.  Il sourit et comme pour avec la lotion, il profita de lui laver le dos pour la masser doucement, il aimait beaucoup ça. C’était ce genre de douce attention, qu’il adorait avoir avec ses partenaires, ce n’était pas grand-chose mais il en avait besoin et puis ça ne faisait pas de mal.

Il finit doucement par descendre sur ses fesses et continue de la laver tranquillement en les caressant au passage et sourit en la voyant se plaquer contre la paroi de douche en les relevant. Il ne peut donc pas s’empêcher de lui peloter le fesser et de titiller son entre fesse avant qu’elle lui pose une question qui le surpris quelque peu. Elle n’avait pas oublier sa proposition de fist est semblait avoir envie d’essayer ou du moins de savoir comment ça se passait :

« Eh bien il n’y a rien de très spécial. Pour ma par je commence par doigter en ajoutant les doigts un à un et quand je les ai tous mis, je ferme le poing. Ça permet de détendre et d’être sûr que ça passe. Et ça peut aussi bien se faire par l’avant que par l’arrière. Le fist vaginal est plus facile à pratiquer de part le fait qu’il fasse moins mal quand on est pas habitué et que le plaisir est garanti. Le fist anal nécessite une bonne préparation et fait quand même mal même si tu es habituée à utiliser des godes assez volumineux mais on peut s’enfoncer plus loin. »

Alors qu’il finissait de la laver, il se pencha sur elle pour presser son torse contre son dos et l’embrasser sur la nuque et dans le cou. Il retira son gant pour pouvoir mieux la caresser et il s’occupa directement de son entrejambe :

« Si tu en as envie, on peut essayer. Celui que tu veux. Ou les deux. Mais ne te sens pas obliger, on peut très bien s’en passer. »

J'écoute très attentivement les explications de Marc. Je n'ai jamais tenté le fist, je n'ai même pas de gode en forme de poing pour réellement essayer, pourtant j'en ai de bonnes tailles. Mais l'idée me semble quand même intéressante. Surtout, je me sens à nouveau suffisamment excitée pour vouloir tenter un truc.

- Déjà un pour commencer, ce serait pas mal... Commente-je un peu amusée. Tu es un peu rapide en besogne en proposant les deux à la fois Marc. J'ai déjà fait des doubles-pénétrations, mais ça ne veut pas dire que je commence par ça.

J'essaie de me pencher un peu plus pour qu'il voie mieux mon entrejambe.

- Par contre, l'eau est un mauvais lubrifiant... Dis-je en parlant d'expérience personnelle. Si tu veux un truc qui fonctionne pas mal, j'ai du lubrifiant à base de silicone pour ce genre de choses dans mon sac.

Je le laisse aller chercher le lubrifiant pendant que je l'attends en éteignant la douche. Il fait encore bien assez chaud dans la cabine pour nous permettre d'y rester nu sans forcément faire fonctionner la douche. Mais le point qui m'intéresse le plus c'est surtout d'éviter que le jet d'eau ne rince le lubrifiant pendant l'acte. Mine de rien ce n'est pas gratuit comme produit. Et je souhait avant tout éviter les irritation vaginale pour les jours à venir.

Quand il revient je lui souris et agite mon popotin.

- Par voie vaginale s'il-te-plaît. Si ça se passe mal je tiens à ne pas être incontinente plusieurs jours...

Je reste ensuite le plus immobile possible et attends ce qui va suivre.

Le fist était une pratique que Marc affectionnait assez et il ne comprenait pas trop les appréhensions liés à cela, quand il s’agissait du fist vaginal du moins. Comme toutes les autres manière e jouer, l’important était de bien préparer sa partenaire et comme il l’avait dit, pour lui ça passait par la doigter en ajouter un à un ses doigts, ce qui était la méthode la plus efficace selon lui. Il avait rit un peu à sa remarque sur le double fist même si lorsqu’il avait proposé de faire les deux, c’était l’un après l’autre même si le double pouvait être une bonne option pour plus tard.

Il alla donc chercher le lubrifiant d’Alaïs, il utilisait rarement ce genre de produit même si en y réfléchissant il devrait car il a souvent du mal à rentrer dans ses partenaires mais après tout, c’était leur envie de bien ressentir la chose au naturelle alors il ne posait pas plus de question. Il retourna ensuite dans la douche pour retrouver sa camarade et retourna l’embrasser avant d’appliquer le produit là où il le fallait pour une bonne pénétration sans problème.

Il commença donc par lui caresser doucement l’entrejambe avant d’entrer directement deux doigts et il les fit aller et venir de manière tout à fait banal :

« Tu sais, ça n’a rien de bien effrayant comme pratique surtout en vaginal. Il ne faut juste pas tout enfoncer d’un coup. »

Pendant qu’il parlait il accélérait ses va et vient et les rendait plus énergique avant d’entrer un troisième doigt. A partir de se moment les simple va et vient changèrent et il donna un mouvement rotatif à son geste en même temps qu’il allait et venait :

« Si je vais trop vite ou que ça ne te plaît pas, dis le. »

Il avait toujours cette volonté de plaire à sa partenaire et même s’il ne doutait pas de sa capacité à la préparer, il préférait le lui rappeler alors qu’il entrait désormais le quatrième doigt. Il n’avait maintenant plus que le pouce à l’extérieur et il posa ce dernier sur le clitoris de la demoiselle pour le titiller en même temps qu’il la doigtait avec les autres doigts :

« Je pense que ça devrait être bon. »

Il parlait beaucoup alors qu’il n’y avait pas forcément de quoi mais puisqu’elle semblait appréhender, il voulait la détendre un peu et détourner son intention en lui parlant. Il finit donc par faire entrer le pouce pour qu’il rejoigne les autre doigts et il fit de petits va et vient comme ça avant de décider de fermer le poing. Ses va et vient se firent plus lent qu’avec ses doigts mais il gardait le mouvement de rotation lors de la pénétration et il poussait afin d’entrer le plus qu’il pouvait et il ne s’arrêterait d’avancer que lorsqu’elle le lui dirait.

Le bisou me fait glousser. Plus les choses vont, plus je commence à apprécier Marc. Je ne me suis jamais laissée approchée aussi intimement et encore moins aussi facilement. Il est discret mais présent, ce qui est une qualité que j'ignorais apprécier chez un partenaire sexuel. Il n'y a pas besoin de le pousser, il vient naturellement. Il a le vice dans le regard, mais il ne s'y trouve pas cette envie dévorante, cette lueur conquérante, qui me fait douter et hésiter chez les autres garçons que je rencontre. Il est gentil et doux, il ne me presse et ne se presse pas.

Il le prouve très bien en venant m'étaler du lubrifiant sur la vulve avant de me la caresser. Les crasses font rapidement p,ace à deux doigts en moi qui commencent à me faire gémir doucement.

- Hnnnnn... J'imagine bien qu'il vaux mieux éviter de tout mettre d'un coup... Acquiesce-je en me tenant à la paroi transparente de la douche.

Je laisse Marc continuer son petit manège en moi. C'est même plutôt agréable d'être ainsi doigtée.

Je pousse un gémissement au troisième doigt... Je couine un peu au quatrième, je sens qu'il n'y a plus que le pouce qui fasse obstacle. Il fait désormais tourner sa main sur elle-même tout en faisant des aller-et-retour ce qui me procure des sensations supplémentaires. Je gémis plus fort, je respire plus vite. Mon cœur recommence à battre la chamade, je sens la chaleur recommencer à se faire dans mon bas-ventre. Je la sens monter petit à petit, me faire gémir et râler doucement de plaisir entre les mains expertes de Marc qui en profite pour caresser mon petit clito bien sensible et me faire gémir plus fort.

C'est meilleur que ce que je croyais... Songe-je impressionnée d'être déçue en bien. Moi qui craignais que ce soit plutôt désagréable, c'est au contraire tout l'inverse.

Finalement il rentre le pouce et j’admets me crisper un peu. ça fait beaucoup, beaucoup plus gros que ce que j'ai vaguement pris l'habitude de sentir me pénétrer à cet endroit.

Il coulisse et vas lentement en moi, sa main formant comme une sorte de cône qui me ramone l'intérieur mieux que mes plus gros godes.

Je me demande si son engin me fera quelque-chose de similaire... Songe-je en laissant le plaisir remonter le long de ma colonne vertébrale jusqu'à mon cerveau et me faisant frisonner tout du long.

Soudain je perds la voix quand je le sens qui serre le poing. Là ça commence à devenir un petit peu trop gros pour moi.

Je le sens essayer de bouger tout le poing, mais très vite ça devient plus inconfortable que bon.

- Marc... Est-ce que tu peux desserrer le poing s’il-te-plaît ? Demande-je gênée. C'est juste un peu trop gros pour moi... Gémis-je un peu moins à l'aise que quelques instants plus tôt.

Un peu tard pour te rendre compte que c'est trop gros Alaïs... Songe-je en me disant que mon partenaire va sûrement être déçu vu comme il voulais essayer.

Mais bon, je ne suis vraiment pas grande et il a des mains énorme par rapport à ma pauvre petite minette.

Marc n’avait jamais été ce genre de garçon qui considérait ses partenaires comme rien de plus que des trophées à inscrire à son tableau de chasse. Il n’avait même jamais compris en quoi coucher avec plus de fille qu’un autre te rendait meilleur et pourtant il était sûrement celui qui écrasait tous les autres qui jouaient à cela qu’il connaissait. Pour lui, le sexe n’était pas quelque chose qu’il pratiquait pour son propre plaisir mais pour le plaisir commun qu’il partageait avec sa partenaire. Il n’aimait pas faire quelque chose qui ne plaisait pas à la fille avec qui il était et il n’aimait pas non plus faire quelque chose qui ne lui plaisait pas à lui.

Il y était bien allé étape par étape pour que les sensations soient les meilleures possibles pour Alaïs et réussir à aller jusqu’au bout. Évidemment, la seule étape difficile à franchir était la dernière où il passait des doigts dépliés au poing mais il avait bien fait de son mieux pour que ça lui plaise le plus possible sans faire trop mal. Il ne fut pas vraiment déçu lorsque sa camarade lui demanda d’arrêter et de desserrer le poing, il avait beau avoir tout fait pour que ça passe du mieux possible, cela la gênait et ne lui plaisait pas il retira donc son poing :

« Ce n’est pas grave. J’espère que je ne t’ai pas fait trop mal. »

Il lui sourit et se pressa un peu plus contre elle pour l’embrasser dans le cou. Même s’il avait retirer son poing, il ne comptait pas arrêter, il avait donc repris l’étape la plus avancée qu’elle semblait tout de même appréciée, c’est à dire quatre doigts allant et venant en tournant et le pouce en dehors pour titiller son clitoris :

« Juste comme ça, tu apprécie ? »

Il demandait quand même pour être sûr. Il aurait pu arrêter directement après qu’elle lui ai demandé d’enlever son poing mais à part le fait qu’elle n’avait pas appréciée le poing, ils étaient bien partie pour prendre du plaisir et il ne voulait pas la frustrer en s’arrêtant net alors qu’il pouvait continuer de la caresser et la doigter sans forcément aller jusqu’au fist :

« Si tu commence à ne plus être à l’aise dans la douche, on peut aller se fourrer dans le lit et continuer nos bêtises sous la couette. »

Il rit un peu alors que sa main qui ne s’affairait pas à doigter Alaïs venait se poser sur un de ses sein pour le peloter. Après tout, la seule limite à leurs jeux en dehors de la caméra c’était de ne pas aller jusqu’à la pénétration, mais rien ne les empêchait de faire des cochonneries rien que tous les deux.

Heureusement que Marc est un vrai gentilhomme et qu'il corrige très vite le tir. Je pousse un léger soupir de soulagement, même si je suis surpris qu'il retire sa main. Mais bon, comme il remet quatre doigts juste après, je ne m'en plains pas. Il y a là largement de quoi me faire plaisir !

Je recommence à gémir et glousse quand il propose de passe au lit alors qu'il saisit un de mes seins pour le malaxer.

- Marc, on est trempés et je suis littéralement dégoulinante, ce ne serait pas très agréable... Ris-je doucement.

Personnellement je n'arrive que très difficilement à me lâcher si j'ai le sentiment que je suis en train de salir mon environnement. Et quand je dis salir, c'est au sens propre. Je n'apprécie pas particulièrement de faire le ménage alors j'essaie autant que possible de ne rien saloper, sauf quand je sais que je suis dans un environnement contrôlé et prévu pour ça.

- Et puis, je suis très bien sous la douche... Dis-je en tendant une main en arrière pour m'emparer de son pénis et commencer à le masturber doucement pendant qu'il me doigte.

Je continue encore un petit moment tout en poussant soupirs et gémissements sous les assauts de ses doigts. Je le sens durcir entre mes doigts et souris de plus en plus.

- Hmmm... Tu en as envie hein ? Demande-je en ayant la volonté de jouer avec le feu. Tu aimerais la prendre, ma petite minette en chaleur, pas vrai ? Continue-je en agitant un peu plus mes fesses sous son nez.

Je resserre un peu ma main autour de son sexe, pas pour que ce soit désagréable, juste pour lui donner la même impression que s'il était dans un vagin bien chaud et qui se contracte de plaisir.

- Je sens ton désir Marc... Je sens que tu as envie de briser notre règle... Dis-je avec une voix de plus en plus chaude à mesure que je sens la boule de chaleur et de plaisir dans mon ventre enfler.

Je me tortille au bout de ses doigts, je sens que je ne vais plus tenir très longtemps et risque de jouir à nouveau.

- Pas ce soir mon choux... Pas ce soir... Dis-je en accélérant brusquement la vitesse de ma masturbation pour essayer de le faire jouir en même temps que moi.

Ils continuaient de se chauffer l’un et l’autre mais ils n’oubliaient pas la première règle de leur accord aussi difficile puisse-t-elle être à ne pas enfreindre. Mais Marc n’était pas du genre un rompre un accord comme ça et même s’il avait extrêmement envie d’aller plus loin il se contentait de ses jeux de doigts qui semblait beaucoup plaire à sa partenaire. Ses quatre doigts allaient et venait à grande vitesse en gardant se mouvement de rotation  chaque allée et venue. Son autre main quant à elle tenait fermement le seins d’Alais et continuait de le malaxer avec la force tendre qui lui était si caractéristique.

Il sourit lorsqu’elle lui attrapa le membre pour commencer à le masturber, il ne lui avait pas fallu beaucoup de temps pour retrouver de sa vigueur et se tendre dans toute sa longueur entre les douce main qui le branlait. Il retourna l’embrasser dans le cou et remonter sur sa joue puis son oreille. Puisqu’elle voulait jouer avec le feu, il allait pousser encore plus le vice lui aussi.

Alors qu’elle avait soudainement accélérer la vitesse de masturbation, il se plaqua brusquement contre elle collant son torse contre le sien et en se pressant contre elle pour l’écraser contre la paroi de douche :

« Je suis sûr que ça te plairait beaucoup aussi qu’on oublie cette règle, non ? »

Il lui mordilla l’oreille et commença de long va et vient dans la main qui lui serrait fort le sexe pour faire comme s’il lui rentrait dedans. Il en avait profiter pour accélérer au maximum les mouvements de ses doigts en elle alors qu’il sentait qu’il durerait plus très longtemps das cette configuration. Et il n’avait pas tord car peu de temps après il avait jouit en  même temps qu’il avait repris possession du cou de sa partenaire pour lui faire un suçon.

Il a très bien compris où je voulais en venir. Décidément plus je le pratique, plus je l'apprécie ce Marc. Il rentre dans mon jeu si naturellement que c'en est presque à croire que ça fait des années qu'on joue ensemble alors que ça ne fait même pas dix jours qu'on se connaît et à peine quelques heures qu'on a commencé à vraiment jouer ensemble. Mais la confiance s'est vite installée et je trouve ça génial de voir comme tout est fluide avec lui.

Je soupire et gémit entre ses mains alors que je sens son sexe devenir dur comme de la roche sous mes doigts. Je sens son plaisir monter et je sens le miens en train de bouillir dans mon ventre. Il me susurre des choses perverses à l'oreille et ça me fait sourire en sentant mon excitation monter une nouvelle fois à son paroxysme.

Je pousse profond râle de plaisir en sentant ma jouissance remonter de mon ventre à ma tête en enflammant toute ma colonne vertébrale au passage. Je tremble, agitée des soubresauts et spasmes typiques de mon plaisir qui explose dans toutes les fibres de mon corps.

C'est dans ce genre d'instant que je me rappelle pourquoi j'adore me faire plaisir normalement. Mais là c'est complètement différent parce que je ne suis plus seule et mon plaisir n'est plus de mon ressort.

Je jouis fortement, un orgasme puissant qui à nouveau semble aspirer toutes mes forces. Mais en même temps j'ai la satisfaction de sentir le membre masculin de marc se contracter et éjecter sa semence contre la paroi de la douche. Cette substance épaisse, mais d'une couleur si pure et son goût salé qui ne cesse maintenant de me trotter en tête.

Mais il faut bien dire ce qu'il faut dire : Je n'ai plus de forces.

Je relâche lentement le chibre de Marc, le caressant encore un peu, mais plus doucement.

- Pfou... Je n'en peux plus... Deux fois en une soirée c'est très proche de mon record personnel... Dis-je avec un sourire à Marc. J'imagine que tu connais mieux, mais personnellement je ne suis pas toujours très endurante. Et en deux orgasme, souvent je suis vidée après. C'est très rares les fois où je me suis lancée dans un troisième...

Je me tourne pour l'embrasser doucement, devenant plus caressante pendant que je cherche à récupérer mon souffle. Puis je finis par séparer mes lèvres des siennes.

- Merci... C'était très intéressant... Et très bon aussi mine de rien... Lui dis-je avec un sourire.

Je fini par reprendre ma boule à mousser et je me redonne un petit coup avant de bien rincer et de sortir de la touche les jambes encore un peu tremblantes. Je prend un linge pour m'essuyer, me tournant vers Marc.

- Je t'attends au lit, OK ? Mais pour dormir cette fois, précise-je en me doutant qu'il serait probablement prêt à me ressauter dessus.

Pour moi, l'étape suivante va surtout être de découvrir si j'arrive à dormir avec quelqu'un dans le même lit que moi. Et ça, malgré mon sourire, je sens que ce n'est pas gagné. Pourtant ça devrait être naturel il me semble, mais allez savoir pourquoi, j'ai le trac en grimpant me glisser sous les couvertures.

Est-ce que je devrais m'habiller ? Songe-je juste après.

J'ai toujours porté un pyjama ou au moins un débardeur léger et une culotte pour aller dormir. Mais bon, pour une première impression je ne voulais pas faire gamine. J'ai bien une ou deux nuisettes dans mon sac, mais elles tiennent plus de la lingerie affriolante que du vêtement de nuit.

Bon, les draps sont doux, je peux essayer de dormir toute nue aussi... Songe-je en me disant aussi, et surtout, que ça m'évite de devoir sortir du lit pour me rhabiller.

Je relève donc la couette par-dessus-moi et attends le retour de mon collègue de la salle de bain.