[OS] Livraison pour une ménagerie... [PV Ruatonim][FINI]

Milana était une mercenaire, une terrifiante mercenaire pour les animaux presque humains que l'on nomme les "furies" des créatures mi-homme, mi-bête, indigne de fouler le sol de Terra. Enfin ça c'était son point de vue, elle les traitait pire que des animaux, car les animaux encore, elle les respecte et les nourris parfois. Elle avait donc trouvé une mission idéale pour elle, gardé une caravane en direction d'une ville où l'on vendait ses hybrides. La jeune mercenaire, fort de sa réputation de tueuse de géants, fut donc gracieusement payée pour aider les gardes. Bon, c'était une mission de routine, allez du point "a" au point "b" sans détour. Juste quelques haltes pour se reposer, le trajet prendrait quelques semaines, mais ça n'avait rien de grave.

Les créatures étaient dans des cages, fermées aux barreaux renforcés pour ne pas que ces bêtes puissent les plier ! Car l'air de rien, malgré leur situation déplorable, c'était des forces de la nature. Une belle cargaison de mâle en route pour un chantier manquant de main-d'oeuvre dans les terres désolées. Tous étaient en simple pagne, chacun sa cage rien qu'à lui. Le convoi avançait à la force de puissants chevaux de trait, un bel attelage de douze chevaux, pour tirer les trois charriots chargés de six cages chacun. Deux rangées de cages par charriot, le premier avec dix hommes-cheval de premier choix. Le second avec quatre tigres à dent de sabre et deux tigres des neiges. Enfin le dernier charriot portait les cages des trois hommes-loups et deux jeunes étalons. La dernière cage elle transportait le pire de tout le lot, une cage renforcée rien que pour lui... Un puissant loup des plaines, et pas un semi-humain, non, un vrai gros loup qui sait parler.

Toute cette ménagerie était donc déjà vendue, les humains gardaient la caravane tandis que deux autres humains conduisaient l'attelage de chevaux. Elle était sur son propre cheval, un fier et grand étalon géant. Un cheval rare et connu pour son endurance légendaire et ses aptitudes au combat. Elle, elle était une humaine rousse, tatouée sur les deux bras, en légère armure de cuir. Elle portait un pantalon long et large qui ne tenait que par ses ceintures. Elle avait des peaux de bêtes accrochée à sa selle, un katana de bonnes factures dans le dos et des boules d'oreilles de belle qualité. Elle ne manquait pas de récompense, des bracelets de jades, des pierres rades en décoration, tout indiquait le succès et la richesse de la mercenaire. Ses yeux de braise et sa peau dorée par le désert en disaient long. Elle faisait partie d'un peuple de guerrier très connu dans la région, l'avoir à ses côtés ne pouvait donc que rassurer.

Le minotaure n’était pas un héros, loin de là mais il était désormais monnaie courante qu’il attaque les caravanes de marchands d’esclaves qui traversait le territoire qu’il s’était lui même octroyé à coup de hache. Même s’il libérait d’autre créatures comme lui, il n’était pas à considérer comme un allié car ce n’était pas pour une quelconque justice ou de volonté de libéré les opprimer mais seulement pour le plaisir de tuer et, dans le cas où des femelles soient présentes, violer. Lors qu’il menait une attaque sur une caravane, il y avait souvent tout autant de mort parmi les humains esclavagistes que parmi les terranides qui se réjouissaient trop vite et c’était peut être pour ça que les caravanes continuait de passer par là,  cela passait pour des attaques de  bandits et non pas d’un minotaure seul.

Ruatonim regardait le convoi qui avançait en contrebas, il y avait beaucoup d’homme mais ce ne serait pas un problème pour lui, malgré sa carrure imposante il était rapide et précis et son maniement de la hache n’avait pas son pareil pour découper et arracher des corps. Il ne sentait pas l’odeur de femelle dans les chariots qui contenaient les terranide, il n’aurait donc aucun souci à faire des victimes collatérales au cas où ça tourne mal. Cependant même si parmi ses congénères il n’y avait pas de femelles, il reconnu l’odeur des femmes humaines, voila ce qui saurait le satisfaire mais elle semblait être une guerrière, il ne faudrait donc pas la tuer en combat, il n’était pas du genre nécrophile donc il préférait prendre son du avant de tuer.

Il décida donc de passer à l’action et il dévala la colline en fonçant dans le tas, hache à la main, le sol tremblait sous les grande foulée aussi rapide d’une montagne de muscle comme lui et avant que les humains se rendent compte de ce qu’il se passait, trois têtes roulèrent au sol, décapitées par un mouvement circulaire de la créature qui n’avait même pas ralenti dans sa course, se contentant de donner des coup de haches et de gantelet armé à ce qui se trouvait sur son passage.

Elle regardait au loin, bravant le soleil et le vent dans ce territoire hostile. Il parait qu'ici le mal est à tous les coins d'ombres. Pourtant depuis le début de leur trajet, rien ne leur a posé la moindre menace. Elle pourrait presque s'en détendre et en rire, mais elle et son oiseau surveillent le terrain. On ne sait jamais, puis elle est payée à surveiller et protéger ce convoi. Enfin elle vit de la poussière se lever, une tache noire devant la trace poussiéreuse.

- On nous attaque ! Sur vos gardes !

Dit-elle en sortant son sabre et un pistolet ? Elle se concentra sur ce qui arrivait, une grosse bête, au moins deux mètres et demi ! Elle fronce le regard, le combat va être difficile, et ces pas ces petits gardes humains qui feront le poids. Sous le poids de la bête, le sol tremblait un peu, la montre de muscles et d'acier les chargeait ! Un des Gard se prit pour un héros et s'aligna avec les autres. Il n'eut pas le temps de crier "en garde" qu'il pétrit la tête. Elle braqua son cheval et se stoppa net avant de descendre de sa monture. Face à cette abomination, le cheval était un poids mort. La créature armée pourrait couper la tête du canasson en moins de dix secondes, lui couper les pieds durant une charge ce qui serait catastrophique ! Elle laissa le cheval fuir, et se mit en garde l'épée en main, le pistolet braqué sur la bête. A-t-elle une chance de percer le cuir avec son arme ? Peu probable, elle aurait eu besoin d'un vrai fusil ou d'une bombe, pas de ce pistolet à silex.

- Ce n'était donc pas des pillards qui attaquaient les convois...

Elle fixa la bête musculeuse et mal odorante, un animal savauge. Elle finit par laisser tomber son arme et ranger son épée au fourreau. Elle n'est pas idiote à ce point, attaquer ce monstre sera une mort rapide, mais elle n'a pas envie de mourir aujourd'hui !

- Je me rend, pas la peine de tuer la mercenaire, et mes contractants sont morts...

Ce qui veut dire qu'elle pourrait même bosser pour lui !

Comme c’était souvent le cas, les gardes du convoi ne furent que des brindilles face à l’imposante créature que représentait le minotaure, sa hache n’avait même pas eu le temps de chauffer qu’ils étaient tous morts sans même avoir eu réellement le temps de se défendre, c’était quelque peu frustrant mais il était habitué. Sur ce domaine, il fallait se battre pour survivre et le minotaure était loin d’être la créature la plus imposante de ces contrées mais même celles ci, il leur faisait peur. Il grogna en regardant  les corps déchiqueter à ses pieds avant de se tourner sur la dernière survivante, l’humaine du groupe et il pouvait deviner à son accoutrement qu’elle devait être la plus expérimenté, il resserra donc sa prise sur sa hache prêt à se battre.

Mais le combat fut plus court que prévu puisqu’il n’eut même pas lieu, la combattante abandonné avant même d’avoir essayé de l’attaquer. Il n’avait tout de même pas confiance et s’approcha assez proche pour l’attraper par la ceinture et lui retirer son fourreau pour le jeter au loin avant d’envoyer valser son pistolet :

« Pour quelle raison ne te tuerais-je pas comme les autres ? »

Sa mains gantée lui saisit la gorge et la souleva jusqu’au dessus de sa tête :

« Tu aurai pu te battre comme une guerrière mais tu préfère abandonner pour sauver ta vie et tu penses que je te laisserai filer comme ça ? »

Il la plaqua férocement  dos contre un des chariot, la force de l’impact faisant plier les barreaux :

« Je m’en fiche d’eux mais qu’est-ce qu’il diraient si je leur demandaient c que je dois te faire pour te faire comprendre que tu n’aurais jamais du être là aujourd’hui ? »

Il souffla par le nez et resserra son emprise sur sa gorge, le métal froid de son gantelet marquant la peau de la femme.

Milana ne comptait pas mourir, et puis quoi, il va la vendre au pire ? Elle sera esclave quelque temps et trouvera un moyen de s'en aller à la douce. Tenue par la ceinture elle le regarde d'en bas, il est grand ! Elle sent son arme partir et puis l'écoute parler. Car elle s'est rendue, et que seul un lâche tue une personne qui s'est rendue ? Pour elle c'était évidement, mais lui qui sait. Elle fut soulevée et grimace un peu, merde l'enflure, il va lui briser la nuque à se rythme ! Elle l'entend encore faire le grand malin, comme si une bête de son genre était vraiment intelligente hein ! Elle n'en croit pas un mot, plaquée elle gémit de douleur et grimace, merde son dos ! Ça fait super mal là ! Elle sent les barres et ses côtes qui sont presque brisées avec le choc subit. Elle commençait à étouffer un peu et grimace toujours de douleur, il va la tuer ? Merde elle doit éviter ça ! Mais de l'argent n'est pas le genre de monnaie qui intéresse ce monstre, si ?

- Arggh... Ils sont morts... ils ne diront plus rien sale brute, il reste plus que les animaux en vie... Prends-les... ça te fera un repas.

L’honneur n’était pas non plus un concept que Ruatonim maîtrisait au sein des contrées du chaos, ici c’était vivre ou mourir et ceux qui s’en tenaient à des principes de courages ou d’honneur n’avait que peu d’espérance de vie. Le minotaure était une créature brutale qui passait sa vie à combattre contre d’autres monstres plus sanguinaires les un que les autres et que même un bataillon de soldats humains ne pourrait vaincre.

Il sourit en l’entendant parler, elle n’avait pas du tout compris ce qu’il avait demandé et avait répondu que ses compagnons ne pouvait pas répondre à sa question parce qu’ils étaient mort mais ce n’était pas d’eux dont il parlait :

« Désolé ma chérie mais je ne mange pas d’animaux, seulement des humains. Mais je crois que tu m’as mal compris, je ne parlais pas de tes camarades faibles mais plutôt de ceux que tu as d’enfermés dans ces chariots. Qu’est-ce qu’ils auraient envie que je te fasse ? »

Il la regarda sévèrement et la refrappa contre le chariot, enfonçant encore plus les barreaux de la prison roulante :

« Peut-être que je devrai les libérer et que je les laisse s’amuser avec toi. Qu’est-ce que tu en dis ? »

Le minotaure pouvait la détruire d’un seul coup et il lui montrait bien qu’il n’y avait aucune échappatoire pour elle mais c’était dans ses situations là que le visages des victimes était le plus exaltant, quand elles voyaient leur mort arriver mais c’était aussi là qu’elles trouvait les proposition les plus folle pour marchander leur survie.

Elle n'en croyait pas ses oreilles, les furrys du convoi riaient de la situation, leur garde allait devenir leur vide-couille ! Quoi ? Elle cligne des yeux et les entends en effet réclamer qu'on la traite comme une pute, comme une joue sexuelle pour eux et les animaux de la caravane. Il voulait les libérer en plus ce saligaud ! Hors de question, elle doit marchander et s'en sortir ! Surtout que le loup de plaines semble très envieux de la sauter lui ! Quant aux deux hommes chevaux ils bandent déjà, les tigres eux ne sont pas assez intelligent pour comprendre et s'en foutent royalement pour le moment. Nul doute cela dit qu'une fois la partie commencée et qu'ils verront les autres mâles en rut... Ils suivront le mouvement.

- Attendez... on doit pouvoir trouver un terrain d'entente... J'ne peux pas coucher avec tout ces monstres ! C'est des animaux et des Terranides...

Elle tremble un peu, elle a peur et ne veut pas finir baisée par ce petit monde !

- Allez pitié... je ferais ce que vous me dites, j'suis intelligente et forte...

Ruatonim pu constater que tous les prisonniers avaient la même envie concernant le traitement à faire subir à la femme qui les gardait en cage, et à vrai dire le minotaure en avait bien envie aussi, c’était ce qu’il réservait généralement aux femmes qui se retrouvait dans cette situation. Il lisait la peur dans son regard et il aimait ça, mais il était bien décider à lui faire connaître les pires outrages, elle allait payé pour tout ce qu’elle avait fait par le passé et c’était le minotaure qui s’en occuperait le premier :

« Forte ? Comparée à qui ? Pour moi tu es faible et tu le sais très bien sinon tu ne te serai pas rendu et tu aurait attaqué comme les autres. Intelligente ? Peut-être. »

Il empoigna sa hache et la leva comme pour lui en donner un coup mais la lame s’arrêta avant l’armure en cuir qui recouvrait le corps de la guerrière avant de se poser contre le vêtement et de tout couper d’un coup net, la faisant tomber en deux :

« Tu ne veux pas coucher avec eux car ce sont des animaux et des terranides ? Donc ça veut dire que tu ne me considère pas comme tel ? Tant mieux car c’est moi qui vais te faire subir ce qu’eux veulent que tu subisse. »

Il ricana et fit tomber la lourde ceinture de fer qui retenait sont pagne pour dévoiler un sexe au dimension effrayante pour une humaine. Il la jeta au sol comme un vulgaire objet et il s’approcha d’elle bien déterminé à lui faire comprendre qui était désormais le maître.

Milana n'est pas très à l'aise à cet instant. Entre les bêtes qui veulent lui rouler dessus, son dos presque brisé par ce tas de muscle poilu et puant le taureau ! Elle l'écoute lui dire qu'elle est faible, et il n'a pas tort de ce point de vue. Enfin bonne, elle préfère clairement rester en vie ! Elle regarde donc ses yeux rouges espérant qu'il la relâche, mais au lieu de ça il prend sa hache ! Merde-t-elle va se faire couper en deux ! Elle ferme les yeux et prie rapidement dans sa tête, adieu monde cruel ! Ou pas. Elle entendit la hache fendre l'air, et puis rien, elle eut un peu froid à la poitrine c'est tout. Elle regarde alors et cligne les yeux, baisse le regard et voit sa poitrine à l'air. Il a juste coupé en deux son haut... Elle l'entendit alors et est un peu surprise, quoi, il veut se faire une humaine ? Mais il fait deux mètres et demi de haut ! Puis sa bite doit être énorme aussi ! Non ! Non et non ! Ça ne peut pas rentrer en elle ça ! Elle regarde quand même et voit la bite, il est sérieux là ?

- Non... non, je n’ai pas signé pour ça moi !

Elle le regarde approcher et tremble encore, elle n'a plus rien de la grande guerrière, elle a juste peur là ! Elle balbutie, mais rien ne sort de sa bouche. Elle finit par être figée devant l'énorme pénis du monstre. Cette chose est plus grande que sa tête, plus large que sa nuque... Elle ne peut pas s'occuper de ça, non, elle ne veut pas ! Elle tremble et le regarde en pleurs :

- Pitié... non, je ferais ce que vous voulez, mais ne fourrez pas ça dans la gorge je vais mourir si vous le faite !

Le minotaure n’avait aucune pitié pour les femelles qui se trouvaient sur son chemin et il prenait autant de plaisir à consommer son butin de guerre qu’à tuer, c’était là toute l’histoire de sa vie. Que ce soit des guerrière comme celle-ci ou directement des terranide qu’il délivrait, il prenait toujours son dû et au vue de la carrure de la créature ce n’était pas de tout repos pour la pauvre victime. Il était en effet d’une taille et d’une grosseur hors-norme pour une humaine mais il s’en fichait bien, il  trouvait toujours un moyen de rentrer en forçant même si parfois ça tuait la pauvre fille sur le coup de se faire déchirer par un membre tel que le sien :

« D’accord, je ne te le fourrerait pas dans la gorge. »

Il grogna tout en ricanant produisant un son plutôt étrange avant de la tourner dos à lui et de l’attraper par les hanches pour la soulever afin de ne pas avoir à s’agenouiller ou à se placer correctement pour lui entrer dedans. Il lui arracha les ceintures restante et déchira son pantalon puis Il pressa son énorme gland contre le petit trou de son anus pour entrer sans aucune finesse. Il adorerait l’entendre crier de douleur :

« Regarde, ici ça rentre. Doucement mais sûrement. »

Il souffla par le nez alors que son gland commençait à s’enfonçait petit à petit sur la route qu’il forçait. Avec les humaine, il se montrait particulièrement brutal, après tout ce n’était qu’un juste retour des chose.

Milana n'avait donc droit à aucune pitié ? Cette sale bête sauvage la retourna contre les barreaux avec force. Elle cria de douleur, elle était sonnée, elle ne résista même pas à la perte de ses habits inférieurs. La nudité n'était pas ce qui l'inquiétait le plus à cet instant, c'était ce qu'allait faire cette bête. Elle grimace rapidement quand elle l'entend enlever sa ceinture et son pagne, elle rougit et prie que ce ne soit qu'un mauvais rêve ! Mais non, au lieu de se réveille elle sent une atroce douleur dans son cul. Son anus se fit ouvrir par la force, c'était comme si un mec y mettait le poing entier sans lubrifiant ! Elle fut tellement choquée qu'elle ne fît que grogner de douleur, sa voix coupée et sa langue sortie bavant entre les barreaux. Quand cela se calma un peu, elle respira vite et fort, tenta de regarder et vit l'énorme chibre noir qui la pénétrait ! Elle panique un peu s'agite doucement ce qui fait danser son petit cul sur la bite et l'enfonce alors la faisant se calmer quand elle eut la moitié de la bite dans son cul ! Elle pouvait sentir son ventre être déformé par une bosse, la bite n'était pas encore totalement dedans pourtant !

- Argg... j'vais crever... putain... j'ai mal...

Le minotaure prenait toujours autant de plaisir à s’enfoncer dans les voies si serrées des humaines, il sentait tout leur corps trembler de douleur et leurs paroi se presser si fort contre son sexe. Il grognait de plaisir au fur et à mesure qu’il s’enfonçait en l’écartant à sec, il ne préparait pas le terrain lors des rapport consenti alors ce n’était pas pour le faire dans ce genre de situation. Il arrêta d’avancer quand son membre fut en elle jusqu’à la moitié et il déformait déjà le ventre :

« Oh ne t’inquiète pas, tu vas avoir encore plus mal après »

Cela l’amusait de la savoir en train de souffrir  et il n’avait pas aucune envie de la ménager et il lui fit bien comprendre alors que d’un coup sec, il força sauvagement pour l’empaler sur l’entièreté de son pieu de chair, se fichant bien de savoir dans qu’elle état elle serait ensuite et il commença de violent va et vient que l’on pouvait suivre en voyant son corps grossir puis rétrécir au passage de la virilité du minotaure :

« Ah, oui, c’est comme ça que j’aime les humaine bien empalée et en pleurs sous tant de souffrance.  Tu sera une nouvelle femme quand j’en aurait terminé avec toi, petite humaine. »

Elle crie de douleur, Bon Dieu son anus, elle ne pourra plus jamais chier après ça ! Elle est écrasée aux barreaux tendis qu'il presse son sexe en elle écartant son anus comme jamais il ne fut écarté. Elle respire de plus en plus vite, affolée, paniquée, elle va mourir à se rythme c'est certain ! Elle sent la moitié de la chose, l'écoute et suffoque un peu. Que peut-elle faire ? Implorer ? Elle ne parvient déjà plus à dire un mot et bave de douleur sentant son estomac écrasé par la présence monstrueuse en elle. Quand le reste rentra elle put voir son ventre difforme, la bite moulée dedans qui dépasse, est-ce qu'elle est morte ? L'a-t-il transpercé comme avec une lance ? Non, elle... Elle est vivante allez savoir par quel miracle ! Elle a une douleur atroce et s'est vomie dessus, mais elle vit encore ! la bite entière dedans elle pleure tendis qu'il parle de faire d'elle une nouvelle femme... Bon dieu, qui aurait cru qu'un Minotaure pouvait violer une humaine sans la tuer sur le coup ?

- Ahggghh, pitié... je... je n'arrive pas à respirer... Ahh, mon cul il me fait si mal, ça brule...

C’était une véritable torture que le minotaure faisait subir à l’humaine, il s’était enfoncer tout entier en elle et vu comment c’était partie, elle aurait sûrement préféré qu’il la déchire en la tuant sur le coup car maintenant elle se retrouvait avec un énorme pieux qui faisait bouger tout l’intérieur de son corps en bougeant. Les parois internes violemment écartées venait se refermé en pressant fortement le sexe de la créature se moulant à sa forme, il n’avait qu’à ressortir d’un coup pour tout emmener avec lui et lui ôter la vie mais ce n’était pas dans ses plans :

« Tout cela n’est rien comparé à toute la souffrance qui tu as provoqué. »

Il ricana et la lâcha, puisqu’il était tout entier en elle, elle pouvait tenir toute seule sans être soutenue et il en profita pour faire le tour des chariots avec la femme empalée sur son sexe :

« Alors vous aimez ce que je lui met, les gars ? »

Il se fichait d’eux mais il voulait détruire l’humaine alors il n’y avait rien de mieux que de l’humilier face à ses victimes. Et il avait envie de lui faire vivre un véritable cauchemar, il se dirigea vers la cage avec les hommes-loups et il força les barreau pour les plier assez pour passer la tête de l’humaine à l’intérieur :

« Elle se plaint de ne plus pouvoir respirer, montrez lui comment c’est encore plus dur avec la bouche pleine aussi. »

Elle n'avait plus d'anus, elle ne sentait qu'une forte douleur et sa peau se faire tirer le long de l'énorme engin du Minotaure. Son anus se dilate fortement, changeant de forme pour suivre la barre bien dure qui va et viens dans son petit cul. Elle se sent presque mourir, son audition commence à lui faire défaut et sa vision s'obscurcit tandis qu'il doit prendre son pied. Elle bavait et semblait perdre la tête sous les assauts. Elle l'écoute vaguement à moitié consciente alors qu'il est entièrement en elle. Elle l'entend parler à quelqu'un d'autre, mais n'arrive plus à trouver la force de tourner la tête pour voir les animaux en furie qui bandent et s'imaginent surement la suite. Oui ils vont tous lui passer dessus c'est une certitude ! Tirée et déplacée empalée sur une bite elle reprend un peu conscience, les entends et tombe en avant. Elle se fait rattraper par les loups et voit leurs énormes verges face à son visage. Elle ne veut pas ! Elle tente de fermer la gueule, mais un cri la fait ouvrir en grand et paf ! Une bite sauvage lui rentre dans la bouche et commence à aller et venir le loup grognant d'envie. L'autre lui prend une main et la colle sur sa tige rose pour qu'elle soit obligée de le branler.